Dissertation

Dans ce texte, Lucrère nous parle du bonheur et surtout de la « recherche du bonheur » des gens. Il nous dit que l’homme raisonnable, celui à la recherche du bonheur qui existe, ne cherchera ni la richesse, ni le pouvoir, ni les honneurs : il sait que la « suprême richesse » comme nos le dit Lucrèce dans son texte, celle qui véritablement rend heureux, c’est d’avoir une « âme égale » et donc dene pas être bousculé par la passion et de savoir ce contenter de peu au lieu d’avoir seulement des désirs illimités. vivre d’une âme égale et content de peu Le bonheur est donc a portée de main pour chacun or, on sait que tout le monde ou presque ne ce contente de ne pas écouté conseils de raison et donc ce ne sont qu’eux qui choisissent de vivre malheureux alors que le bonheur est accessible àtous. Tout le monde connais « l’argent ne fait pas le bonheur » c’est cela qui pose d’énorme difficulté aux personnes à la recherche du bonheur car eux ne croivent qu’à une seule chose : il faut être riche pour vivre heureux, mais ce n’est pas tout, ils pensent aussi qu’il faut avoir du pouvoir et de l’honneur. Or, cela est une grosse absurdité puisque nous le savons, cela n’est pas indispensablepour être heureux car en contre-partie, tout cela empêche a l’homme a profiter des plaisirs présents: cela les lancent dans une partie de férocité pour atteindre le pouvoir qui leur offrira honneur et argent mais cette bataille leur enlèvent le fait de se reposer et ils se disent tous que leurs souffrances seront atténués une fois que leur domination sera atteinte. L’honneur est parfois atteint parl’homme qui etait à la recherche de cela, mais très vite celui si se renconte qu’il n’est pas heureux voir moin heureux qu’avant d’être a la recherche de cette domination car il se rend compte qu’il n’a pas d’amis véritable comme il avait avant, il se retrouve très souvent seul et donc il vit désormais dans la pauvreté.
On peut donc dire que lorsque l’on est dans la recherche du pouvoir où l’onpense qu’il nous rendra plus heureux en nous apportant honneur et richesse, on devient malheureux et l’on ne profite plus des joies de la vie, puis par conséquent on se rend aussi compte par la suite que lorsque l’on à atteint ce but on n’est toujours aussi malheureux et donc on a « gâché » notre vie à la recherche du bonheur alors qu’il était à coté de nous et qu’il nous suffisait d’écoute desconseils et de suivre notre astinct sans être à la recherche de quoique se soit.

a) qu’est-ce que la « suprême richesse » ?
L’expression paraît incohérente, car si nous parlons de richesse telle quel est on parle alors de richesse matérielle :en effet, elle est toujours proportionelle, puisqu’il y a toujours plus riche et plus pauvre que soi. De plus, la richesse est une quantité, et donc dansl’incapacité d’atteindre un quelconque but car si l’on est riche on pourrait malgrés tout l’être d’avantage, cette richesse est un cercle qui ne se ferme jamais car l’on veut toujours ce contenter de plus de se que l’on a. Donc, on peut dire que la richesse dite matérielle ne peut pas être considérée comme « suprême » car ce n’est qu’une appartenance et donc cela ne peut être « suprême ».
Parconséquent, la richesse qui est mis en valer ici par le mot « suprême » doit ce référer à la vie heureuse: la « suprême richesse » ne peu pas être autre que le bonheur. Mais comme nous l’avons dit précédemment, le bonheur est à notre porté, mais ce sont les efforts fournis pour atteindre un bonheur imcompris par l’Homme qui nous empêchent d’être satisfait. Pour lucrère, dans ce texte, il nous ditqu’il faut simplement, pour être heureux, « vivre d’une âme égale et content de peu ». Il faut alors prendre soins de notre âme et donc ainsi la laissé choisir des choix pour notre vie, et non décider à sa place de ce qui est le mieux pour elle. C’est elle qui trouvera le bon chemin pour que l’on soit heureux, ce n’est pas nous même car nous, nous nous contentons pas de ce que l’on a, on voudrait…