Histoire

La grèce ancienne est marquée par de nombreux poète, appelé aèdes, qui a travers différents chants ou poème dessinent l’idéal de vie a suivre. Homère est un de ses aèdes qui jallone la Grèce antique. Poète aveugle, il est l’auteur de deux épopées majeures de la Grèce antique, l’Illiade et l’Odyssée. Cette dernière oeuvre se compose d’une vingtaine de chants différents, racontant les suites de laguerre de Troie. Pendant dix ans, Ulysse cherche a retourner chez lui, à Ithaque. Mais il se voit retardé par de nombreuses péripécies, dont bon nombre sont les fruits de la volontée divine, des dieux très présent dans le récit homérique. Aussi, a-t-on un extrait du chant VI, Ulysse, suite a sa fuite de l’île d’Ogygie et une bataille contre la colère de Poséidon, arrive au radeau sur l’île desPhéaciens où il y rentre Nausicaa et sa cité, tout cela grace à la volontée divine. On peut alors se demander comment Homère montre-t-il aux grecques son monde grec de se récit? Nous verrons qu’il peint une image idyllique de la cité grecque, puis qu’il donne grande importance au monde des dieux.

Homère, dans cet extrait, nous montre la cité des phaéciens, qui contraste en elle même avec le héro,Ulysse. Ce dernier a réussit a arrivé sur cette île aux prix de dures batailles contre les volontées divines.Il quitte un monde marqué par les maux et par une certaines vétustée, en atteste son moyen de transport de fortune quand il arrive sur l’île. De plus, Ulysse est également celui qui défit les dieux et leurs volontées, les dernières en date étant celle du dieu de la mer Poséidon. Ce dernierpoint marque le seul point commun notable entre Ulysse et les phaéciens, les dieux. Les phaéciens, quan à eux, sont présentés d’une manière contraire de celle du héro. Ainsi, l’atmosphère de cette île n’est-elle que bonheur, simplicité et paix.
Les phaéciens sont un peuple de pécheurs et de marchands d’où la mention de ports « de chaque côté de la ville »(l.41), ou la présence de matériel de pêchecomme des « cordages » (l.44) ou des « rames » (l.45). De plus, ce peuple est de toute apparences pacifique et peu soucieux des potentiels ennemis puisqu’il ne se soucient « ni d’arcs, ni de carquois » (l.45) mais plutôt de pêche. C’est une cité basée sur le travail non seulement sur les mers mais également sur les terres, ce qui nous est évoqué ligne 39 avec ces « terres » où travaillent ses hommes. Onnote également que les phaéciens usent de quelques techniques pour faciliter leur actions comme la demestication de bêtes et la présence de chariots. Mais le travail ne constitut pas la seule activitée mise en valeur ici, le jeu l’est aussi, comme jouer a la balle.En parrallèle à ses activitées apparait une grande richesse de la cité.
Les habitants de l’île d’Ogygie sont semble-t-il très riche.Aussi ils ne manquent pas de nourriture, c’est le cas de Nausicaa et de ses servantes qui sont satiètes (l.1). L’abondance est donc maîtresse dans cette île où même les servantes semblent ne manquer de rien, comme le montre leur « mantilles » (l.2). Ulysse lui même est succeptible de jouir de ses richesses puisqu’il ne manquera de rien (l.33), que se soit de vêtements ou même d’une escorte pourrentrer chez lui ce qui prouve la richesse intérieur de ce peuple qui permet à l’étranger égaré de rentrer chez lui sans contre partie si ce n’est le mérite. De plus, on a également connaissance de la demeure du chef de la cité qui semble très luxueuse puisque « facilement reconnaissable » (l.53). Ce qui nous amène à la cité de se chef.
La cité n’est de toute évidence pas directement au contact de lamer, mais ce contact se fait par des chemins étroits menant aux ports. Le cadre semble même idyllique lorsque Nausicaa nous décrit l’enclos de son père, qui semble être en plein milieu des Champs Ellysée (l.50). La cité se compose de plusieurs habitations qui ne sont ici que suggérées mais aussi d’une agora située autour d’un temple dédié au dieu Poséidon (ce qui est ici assez ironique vu le…