René guy cadou biographie

René Guy Cadou est un poète français, né le 15 février 1920 à Sainte-Reine-de-Bretagne en Loire-Atlantique et décédé le 20 mars 1951 à Louisfert également en Loire-Atlantique.

Né en 1920 à SainteReine de Bretagne, au cœur du marais de Grande Brière il est fils d’instituteurs laïques et vit une enfance heureuse. Il grandit dans une ambiance de préaux d’écoles, de rentrées des classes, debeauté des automnes, de scènes de chasse et de vie paysanne qui deviendront plus tard une source majeure de son inspiration poétique : « Mon père s’y plaisait en costume de chasse, Nous y avions de tendresrendez-vous… » Puis viendra à l’adolescence, le départ à Nantes pour le lycée, la mort de sa mère Anna, qui plongera l’adolescent dans une mélancolie profonde. La nostalgie de Sainte Reine et de cetteenfance terrienne, végétale et heureuse hantera plus tard sa poésie lyrique.

Brancardiers de l’aube (Les feuillets de l’Ilôt – 1937)
Forges du vent (Sagesse – 1938)
Retour de flamme (Les Cahiersde la Pipe en écume – 1940)
Années-lumière (Cahiers de Rochefort – 1941)
Morte-saison (Robert Debresse – 1941)
Porte d’écume (Proses – Cahiers de Rochefort – 1941)
Bruits du cœur (Les Amis deRochefort – 1942)
Lilas du soir (Les Amis de Rochefort – 1942)
Amis les Anges (Cahiers de Rochefort – 1943)
Grand élan (Les Amis de Rochefort – 1943)
La Vie rêvée (Robert Laffont 1944)
Testamentd’Apollinaire (Robert Debresse – 1945)
Pleine poitrine (P. Fanlac – 1946)
Les Visages de solitude (Les Amis de Rochefort – 1947)
Lettre à Jules Supervielle (Sylvain Chiffoleau – Nantes 1947)
Quatrepoèmes d’amour à Hélène (Les Bibliophiles alésiens – 1948)
[[Guillaume Apollinaire]] ou l’artilleur de Metz (Sylvain Chiffoleau – 1948)
Saint-Antoine et Cie (Sylvain Chiffoleau – 1948)
Le Miroird’Orphée (Gallimard – 1948)
Les sept péchés capitaux (1949)
Roger Toulouse (P.A.B Alès – 1949)
Guy Bigot (Sylvain Chiffoleau – 1949)
Art poétique (Sylvain Chiffoleau – 1949)
Le Diable et son…

Lecture analytique, « l’eloge du tabac », dom juan de molière

Théâtre] LA n°1

L’éloge du tabac.
Acte I scène 1, Dom Juan, Molière.

Eloge absurde et parodique => DJ/séduction = Sganarelle/tabac.
« Supériorité Sg/Gusman

I] L’éloge du tabac : uneparade parodique.

a) Genre de la pièce.
Palais => décor traditionnel de la Tragédie MAIS valet (sg) => Comédie.
Sg imite DJ (ex : ref Aristote) pr impressionner Gusman, par la « haute tenue » de sondiscours, veut se montrer cultivé => burlesque (traiter noblemt d’un sujet bas).
DJ parangon de Sg (modèle).
* « honnêtes gens », « tout le monde », « partout », « des gens » = montre que le tabacest 1produit universel, que tt le monde goutte. L.3 : « purge » : produit médicinal, mais également porteur de « vertu », « sentiment d’honneur » : Tabac vertu morale => PARADOXE !
*Tournuresfaussement savantes notamment la ref à Aristote : Absurde.
Anachronisme (raisonnement en retard sur l’époque actuelle).
Rythme ternaire dans l’éloge. Q° rhétorique l.6-10.
Parodie de l’éloquence molle =Alexandrin blanc (phrase de 12 syllabes dans un texte prosaïque) : « Et qui vit sans tabac n’est pas digne de vivre ».

II] Une tirade d’exposit°
-> « In medias res » : au cœur des choses.

a)Elvire.
On apprend qu’E s’est lancée à la poursuite de DJ + portrait rapide de celle-ci; amoureuse « son cœur », passionnée « s’est mise en campagne » et naïve hyperbole « touchée trop fortement ».

b)Portrait de DJ
=>indirect : « mon maître a su toucher trop fortement » = séducteur accompli.
« ici » = objet de la poursuite.
Quête d’Elvire vaine.
*Champ lexical du commerce : pr DJ l’amourn’est qu’un commerce.
Portrait négatif
=> Autoportrait de Sg
Il se sent supérieur de Gusman. Fierté de son maître; il s’inclut ds ses aventures grâce aux pronoms « nous », « notre »…
Chp lex tragiquepour Elvire, guerre des sexes entre DJ et Elvire.
Sbj imparfait pr épater Gusman

III] L’unité du texte.

a) Comportement de DJ différent de celui d’un honnête homme.
« notre départ » =…

Rapport de stage dut geii

Remerciements :
Pour l’excellent déroulement de mon stage chez Martin Professional France, je souhaite remercier tout particulièrement :
XXX xxx, responsable du service technique et formation, en premier lieu pour son accueil au sein de l’entreprise, pour les différentes formations dont j’ai bénéficié enfin pour m’avoir permis d’étendre mes connaissances en matière de projecteurs asservis ;Toute l’équipe du service technique : Franck, Nicolas, Joël, Olivier, Fabrice pour m’avoir expliqué le fonctionnement des machines, leurs conseils et surtout de m’avoir considéré comme l’une des leurs ;
Toutes les équipes des différents services pour leur accueil et leur gentillesse.
Mon insertion professionnelle a été facilitée par cette équipe de cadres et techniciens me permettant ainsi unapprentissage fructueux.
Pour cette opportunité et ces dix semaines de travail : un grand merci à toutes ces personnes.

Sommaire
Remerciement
Glossaire
Introduction 6
1. Martin, n°1 de « la lumière dynamique et intelligente »
1.1 Historique 7
1.2 Son rôle 8
1.3 Les chiffres 8
1.4 Les produits 9
1.4.1 La lumière : Martin
1.4.2 Les machinesà fumée et à brouillard : JEM
1.43 La lumière architecturale : Martin Architectural
2. Mission, Activité 14
3. Techniques de la lumière dynamique et intelligente
3.1 La lumière dynamique 15
3.2 La lumière intelligente 16
3.3 Le principe de fonctionnement d’une lyre 16
4. Maintenance des diverses machines
4.1 La machine à fumée ou à brouillard 17
4.2 Leprojecteur asservis 18
4.2.1 Problème DMX
4.2.2 Problème de coupure de lampe
4.2.3 Problème de calage
4.2.4 Problème d’alimentation des moteurs
Conclusion 20
Liste des figures
Annexes

Glossaire
Projecteur asservi ou lyre asservie : projecteur monté sur un double système d’axe motorisé permettant une couverture spatial maximal. Il comporte deux parties, la baserenfermant l’électronique de contrôle et de puissance et la tête avec la lampe, les roues d’effets et le système d’optique.
DMX : protocole d’échange de données entre appareils et pupitre de contrôle.
Wash : Dénomination technique que l’on donne à un projecteur à grande ouverture capable de fournir un éclairage diffus, à l’inverse des faisceaux focalisés des projecteurs traditionnels.
Pan : Mouvementpanoramique donc horizontal de la lyre.
Tilt : Mouvement verticale de la lyre.
Shutter : plaques métalliques qui viennent d’interposer dans le faisceau lumineux, à fréquence donnée, créant ainsi un effet stroboscopique.
Dimmer : couteaux de shutter que l’on ouvre plus ou moins afin de régler la quantité de rayonnement souhaité, donc l’intensité.
Gobo : forme taillée dans une pièce métalliqueou en verre suivant les appareils, qui, en se plaçant dans le faisceau lumineux, permet la mise en forme du faisceau en sortie du projecteur.

Introduction
Dans le cadre de ma formation en Génie Electrique et Informatique Industrielle, dispensée à l’IUT de Cachan, je devais effectuer un stage de dix semaines dans une entreprise proposant une activité proche du Génie Electrique et informatiqueindustrielle afin de valider mon Diplôme Universitaire Technologiques.
J’ai donc effectué mon stage chez Martin Professional France, à Lisses du lundi 14 avril au vendredi 27 juin 2008.
Afin de satisfaire les exigences pédagogiques de l’IUT, mon tuteur M. Jérôme Garnier m’a proposé un sujet : Maintenance de projecteurs à lumière dynamique et intelligente au service après vente.
Aux cotés desautres techniciens j’ai donc été formée à la réparation de ces machines dans les locaux du service technique.

Figure 1 : Le siège de Martin Professional France

1. Martin, n°1 de « la lumière dynamique et intelligente »
1.1 Historique
L’entreprise Martin Professional France a été créée en Janvier 1997. C’est une filiale du groupe Danois Martin Professional qui est numéro un de la…

Congruences

Chapitre d’arithmétique
1 Multiple et diviseur d’un nombre
Définition Soient a et b deux entiers relatifs. S’il existe un entier relatif k tel que : a = k?b – On dit que a est un multiple de b ou que b est un diviseur de a. – On dit encore que a est divisible par b ou que b divise a. Théorème Soient a, b et c des entiers relatifs quelconques. Si a divise b et c, alors a divise toute combinaisonlinéaire de b et c: u?b+v?c, où u et v sont des entiers relatifs. En particulier, a divise b+c et b-c. Remarque Dans 9 l’ensemble des diviseurs de a est le même que celui des diviseurs de – a. Cas de zéro Tout nombre divise zéro, mais aucun nombre n’est multiple de zéro. Exemple 0; -42; 154 sont des multiples de 14, puisque : 0 = 0?14 – 4 2 = – 3?14 154 = 11?14

De même, la combinaison – 3?42 +35?154 est également un multiple de 14. 1.1 Ensemble de multiples, ensemble de diviseurs

L’ensemble de multiples et l’ensemble de diviseurs vont être chacun illustrés par un exemple. L’ensemble des multiples de 7 est : {…, -21, -14, -7, 0, 7, 14, 21, …}. Il y en a une infinité de la forme 7?k avec k?9. On note également cet ensemble 79. L’ensemble des diviseurs de 12 est {-12, -6, -4, -3, -2,-1, 1, 2, 3, 4, 6, 12}

2 Division euclidienne
Théorème Soient a un entier relatif et b un entier relatif non nul, il existe un unique couple (q, r) d’entiers vérifiant : a = b?q + r et 0 ? r < |b| Définition L'opération qui à (a, b) associe (q, r) est la division euclidienne de a par b. • q est le quotient • r est le reste Remarques a) Le reste r est toujours positif et < |b|. b) 18 = 3?2 +12 ne veut pas dire que 12 est le reste de la division euclidienne de 18 par 3 ! 1 Arithmétique dans Z 2.1 Exemples 20 = 3?6 + 2 -20 = 3?(-7) + 1 451 = 13?34 + 9 366 = (-18) ?(-20) + 6 -40 = (-7) ?6 + 2 q = 6 et r = 2 q = -7 et r = 1 q = 34 et r = 9 q = -20 et r = 6 q = 6 et r = 2 a = 20 et b = 3 a = -20 et b = 3 a = 451 et b = 13 a = 366 et b = -18 a = -40 et b = -7 2.2 ExemplesSoient a = 3100 et b = 2. Calculer la valeur du reste de la division euclidienne de a par b. On sait que a est impair, puisque a=3?3?…?3. Donc r=1. Soient a = 3100 +1 et b = 9. Calculer la valeur du reste de la division euclidienne de a par b. On décompose : 3100 +1 = 32?50 +1 = 950 +1 = 9?949 +1. Comme 949 ?9 on trouve r=1. 3 Congruence
Théorème Soient n un entier naturel tel que n?2, et a et bdeux entiers relatifs. Les entiers relatifs a et b ont le même reste r?Ð dans la division euclidienne par n si et seulement si a- b est un multiple de n. On dit alors que a et b sont congrus modulo n et on note a=b[n]. Exemple Prenons a=47, b=-16, n=9. On voit que a-b=63, un multiple de 9. On trouve les divisions euclidiennes : 47 = 9?5 + 2 -16 = 9?(-2) + 2 Dans les deux cas, r=2, donc 47 et -16sont congrus modulo 9 et on note : 47 = -16[9] = 2[9] Cet exemple illustre le fait que si a = k·n + r (avec a?9, k?9, n?Ð et n?2, r?Ð), alors la congruence a = r[n] est vraie.

4 Opérations sur les restes
Théorème Soient n un entier naturel tel que n?2, et a, b, v et w des entiers relatifs. Si a?v[n] et b?w[n], alors : a+b = (v+w)[n] a-b = (v-w)[n] a?b = v?w[n] ak = vk [n] avec k?9 Bien entendu,v et w peuvent être simplement les restes respectifs des divisions euclidiennes de a par n et de b par n.

2

Arithmétique dans Z Exemple Posons n=7, a=44 (r=2), b=-24 (r=4), v=-26 (r=2) et w=-45 (r=4). On vérifie : 44+(-24) = ((-26)+(-24))[7] = (2+4)[7] = 6[7] 44-(-24) = ((-26)-(-24))[7] = (2-4)[7] = 5[7] 44?(-24) = ((-26)?(-24))[7] = (2?4)[7] = 1[7] 443 = (-26) 3 [7] = 23 [7] = 1[7]Exemple VRAI VRAI VRAI VRAI

Détermination du jour de la semaine correspondant à une date donnée ou réciproquement. On se sert des congruences modulo 7. Si le 12 juillet 1998 est un dimanche, quel sera le jour du 1er janvier 2000 ? La seconde date a lieu 538 jours plus tard que la première. Or, 538=6[7], donc le 1er janvier 2000 est un samedi.

5 Nombres premiers
Définition Théorè me Un entier…

Nouvelle stratégie communication diesel

La stratégie de communication DIESEL
Diesel est une marque ayant une place à part entière sur le marché de l’habillement, et, de plus en plus sur le marché du luxe. C’est pourquoi la communicationest devenue une part du budget global non-négligeable de la marque.

Par ailleurs, la création d’une nouvelle gamme « produits cosmétiques » entraine, par conséquent, une nouvelle campagnepublicitaire. Afin de la réaliser, il est nécessaire de se poser quelques questions. Pourquoi ? Quoi ? Comment ? Quand ?
Pourquoi ?

Étant donné que la gamme cosmétique de la marque est totalementinconnue à ce jour, l’objectif de la nouvelle stratégie de communication sera conatif et affectif. En effet, la gamme a besoin de prescripteurs pour la développer, la faire connaître et faire aimer.

Cetobjectif conatif à deux buts :

* Dans un premier temps, pour fidéliser les clients déjà existants de la marque.

* Dans un second temps, séduire des nouveaux clients qui consomment chezla concurrence.
Quoi ?

Il faut créer une communication qui soit en accord avec les valeurs de la marque. Il existe deux possibilités :
* Réaliser une publicité choquante et faisant le buzzcomme Diesel à l’habitude de créer. Il faut une communication faisant polémique pour entretenir l’mage.
Ou/ et
* Faire appel à des célébrités qui représenteront l’image de marque comme il peutexister chez les autres marques de luxe, tels que Charlize Theron et Jude Law chez Dior. Il faudrait, par conséquent, deux célébrités coïncidant avec l’image « trashy » et « fashion » de Diesel. Nousavons donc pensé, pour les hommes à Ashton Kutcher et, pour les femmes, Lady Gaga ou Rihanna.

Comment ?

Média | Promotion des ventes | Relations presse |
* Spot TV * Street marketing ouaffichage * Presse 1 à 2 pages dans magazines féminins | * PLV * Application Iphone pour visionner publicité en 3D * Distribution d’échantillons aux évènements | – Conférence presse avec…

Voltaire extrait de torture

Voltaire (1694-1778)

Article « Torture », dictionnaire philosophique portatif (1769)

Explication de texte
Plan

I – Un sujet abordé sous six angles différents

II – Dénonciation

III – Tonalité du texte

Dans la manière de procéder, Voltaire use d’une forme surprenante. En effet, les six paragraphes n’ont rien à voir entre eux. Malgré le sujet connu, chaque paragraphe estabordé différemment.

I – Un sujet abordé sous six angles différents

L’apparition de l’idée de Torture est dans le titre, puis aux lignes 1, 26, 38. Les autres thèmes qui reprennent ces idées : questions (l. 15 et 18). De manière plus lointaine, il en fait allusion avec « expérience » (l. 11) et dans le paragraphe 5, à la ligne 28, « aventure » dans son sens premier. Enfin le dernier, il y aencore une périphrase : « anciens usages atroces ».

Dans le premier paragraphe, il y a un parallèle entre l’antiquité et la pratique de la torture à Paris au XVIIIe siècle. Ce parallèle permet de montrer l’absurdité de leurs actes actuels. Ceci montre que c’est à son époque grâce au « conseiller de la Tournelle ». Le côté officiel de ces pratiques est montré par les termes suivants : « grandeet petite torture », « chirurgien ». On passe du domaine officiel au privé dans le second paragraphe. La présence de sa « femme », « juste avant le dîner », la conversation familière nous montre que l’on se trouve à son domicile. Dans le troisième paragraphe, on arrive à une généralisation sur le comportement des Français avec une comparaison avec les Anglais qui ont renoncé à la torture. On envient aussi à parler de l’inhumanité. Puis pas de transition avec le paragraphe 4. On a une anecdote qui est un exemple d’actualité : on connaît les causes de son accusation, ce qu’il a subi. Puis dans le paragraphe 5, on passe à un élargissement plus historique et géographique. Enfin dans le paragraphe 6, on a un point de vue extérieur où il compare la France avec la Russie, qui est arriérée,barbare. Ceci pour insister sur le fait que la France est le pays le plus barbare.

La torture est utilisée comme châtiment et comme moyen de faire avouer (par. 2-4). L’effet produit sur le lecteur est une surprise, qui permet de ne pas le lasser. Cela le choque aussi et l’amène à réfléchir et réagir.

II – Dénonciation

Les Romains qui sont à la base du droit utilisé au XVIIIe en France,permet en soulignant qu’ils torturent les esclaves, de nous montrer que malgré la différence des époques, leur justice n’a pas évoluée depuis l’antiquité. Au-delà de cette absence de progrès, il dit qu’en rabaissant l’être humain on peut alors le torturer. La justice déshumanise.

En principe le rôle du chirurgien est de sauver des hommes or il est ici dénoncé comme complice, car il les sauve pourqu’ils soient de nouveau torturés. On a donc un détournement de la torture lorsqu’il dit : « il se donne ». Il le fait donc par sadisme.

Dans le second paragraphe, la dénonciation porte sur les magistrats. Il lui dit qu’il ne se rend pas compte de ses actes. Ceci devient un sujet de conversation banal, qui paraît ne plus choquer et qui permet de se détendre. Voltaire a donc relancé sans arrêtcet intérêt. Dans le troisième, « inhumanité » est mise en rapport avec « fort humain » ainsi que les Français ont une apparence usurpée car ils se croient fort humain alors qu’ils sont inhumains et que ce ne sont pas les Anglais qui sont inhumains en raison du soi-disant vol du Canada. Voltaire souligne le contraire de la réalité. Dans le quatrième, la critique de Voltaire porte sur ladisproportion entre les chefs d’accusation et la sentence. D’autant plus, qu’ils insistent sur les circonstances atténuantes : sa jeunesse (à plusieurs reprises), ses origines familiales, son esprit et sa grande espérance. Le relancement ininterrompu de la phrase permet d’insister sur son innocence. Il nous montre aussi la barbarie à l’état pur et insiste sur l’absurdité. Il a été convaincu de sacrilège….

Commentaire composé sur un extrait de oberman de etienne pivert de senancourt

Commentaire composé sur un extrait de Oberman.

L’auteur de ce texte est Étienne Pivert de Senancour, né à Paris le 16 novembre 1770 et décédé à saint cloud le 10 janvier 1846. C’est unécrivain préromantique français dont les œuvres notables sont: Oberman (1804), De l’amour (1806), Valombré (1807) et Isabelle (1833).
Dans le présent texte l’auteur parle du plaisir qu’il a éprouvé àrechercher et trouver , non seulement la solitude, mais aussi la communion avec la nature, après avoir passé une enfance sédentaire, sans passion ni réel plaisir de vivre.
Nous allons exposer le fait quel’auteur entretient une relation particulière avec la nature, puis nous tenterons d’expliquer comment il analyse les sentiments éprouves durant sa jeunesse.

Le narrateur entretient donc unerelation privilégiée avec la nature, en effet, on peut voir que dés sa première promenade en foret, il a eu une sorte de coup de foudre, « je préférais ce lieu à tout ceux que j’avais vu » (L. 7-8) etil veux vite y retourner. Pour le narrateur, la foret est un lieu qui lui apporte du bien-être, « j’éprouvais un sentiment de paix, de liberté, de joie sauvage » (L. 14). Les narrateur aime la foretet la nature en général et il nous le montre avec une forte anaphore, « J’aimais les fondrières » (L. 20), « j’aimais les collines couvertes de bruyères » (L.21), « j’aimais beaucoup les grès renverséset les rocs ruineux » (L.22), « j’aimais bien plus ces sables vastes et mobiles » (L.22-23).
Malgré son amour pour la nature, le narrateur lui concède quelques défauts. En effet il regrette quecelle ci ne soit pas plus étendue, « quand j’atteignais l’extrémité de la foret, je voyais avec peine ces vastes plaines nues et ces clochers dans l’éloignement » (L. 10-11), à ce moment la de sa vie, lemonde des hommes ne l’intéresse pas. En outre, la foret n’est pas parfaite puisqu’elle ne lui donne un sentiment de joie que quand il s’y trouve, « et je rentrais toujours triste », (L.17). Il lui…

Note de synthèse

Plans et idées directrices pour la note personnelle

Page de garde :
Nom du documentaire/fiction/reportage/…
Numéro d’équipe
Chef de projet

Deuxième page :
Thème : petit pitch rappelantbrièvement votre sujet, cela permet de resituer votre examinateur qui aura probablement vu un grand nombre de film autre que le votre, quelques lignes suffisent, rappelez uniquement les idées les pluspertinentes de vos sujets.

Cahier des charges : il peut être bien vu de poser quelques informations sur le cahier des charges (reçu lors de la remise des sujets). Par exemple :
Genre : Docu / fiction/ reportage, …
Lieux de tournages : …
Support de tournage : …

Les points énoncés vont vous servir pour introduire votre sujet, vous pouvez maintenant passer à la rédaction de votre note.

I-ANALYSE DE LA DEMANDE

a) Analyse de la production
• Analyse du sujet et discussions
• de la demande à la faisabilité
• poser les contraintes techniques et artistiques ressortissant des premièresdiscussions

b) Ce que vous avez apporté lors de la phase dé préparation :
• au niveau artistique
• au niveau technique

II- LE TOURNAGE

a) « pré-tournage »

• le repérage
• plans lumièreet dispositifs d’éclairage ( pour la section image) à compléter d’annexes
• préparation et conditionnement des matériels utilisés
• le personnel (à savoir si il a été nécessaire d’assistantssupplémentaires,)

b) .. sur le tournage

• déroulement
• contraintes rencontrées
• solutions apportées

III- La postproduction
• Ce à quoi vous avez contribué
• Contraintes
• Solutions

IV-Conclusion

• prendre du recul sur le sujet
• rappeler que ce fut un travail d’équipe, un film d’équipe et non LE FILM DU RÉALISATEUR.
• Ce que cet exercice vous à apportez et ce à quoi vous avezcontribués

IMPORTANT :
• ne pas faire plus de 3 pages pour votre synthèse
• vous pouvez bien entendu parler des contraintes et problèmes rencontrés mais n’en abusez pas, il n’est pas utile…

Philo

Cette théorie envisage les différents états culturels comme des étapes plus ou moins avancées dans un processus de développement linéaire qui conduit fatalement toutes les sociétés à un même point :le point d’excellence, celui justement qu’aurait atteint la société occidentale avec la révolution industrielle.

Cette représentation de l’histoire prétend asseoir sa légitimité sur uneclassification objective : celle des techniques et de leurs complexifications croissantes. Ainsi sait-on ou croit-on savoir que :

« L’Europe actuelle fut d’abord habitée par des espèces variées du genre Homose servant d’outils de silex grossièrement taillés ; à ces premières cultures en ont succédé d’autres, où la taille de la pierre s’affine, puis s’accompagne du polissage et du travail de l’os et del’ivoire ; la poterie, le tissage, l’agriculture, l’élevage font ensuite leur apparition associés progressivement à la métallurgie dont nous pouvons aussi distinguer les étapes. » :« L’âge de pierre », « l’âge de feu », « l’âge de fer » : si les formes successives de techniques s’ordonnent dans le sens d’une évolution et d’un progrès, on peut bien établir une hiérarchieet penser que certaines sont supérieures en complexité et en efficacité à d’autres, moins savantes, moins astucieuses. C’est sur ce constat apparemment objectif que s’établit par analogie uneclassification culturelle des sociétés humaines qui reproduit donc la discrimination hiérarchique en prenant comme critère le développement technique. Le travail de Lévi-Strauss dans Race et Histoire (1952)a justement consisté à démystifier ce faux évolutionnisme.

D’abord, il dénonce les simplifications qui font croire à une succession chronologique rigoureuse alors que ces différentes techniquesont largement coexisté dans le temps et l’espace et constituent non pas des étapes d’un progrès à sens unique mais des « faciès » d’une réalité technique hétérogène dans ses formes. « Le progrès n’est…

Français

Fiche de lecture : « En attendant Godot », Samuel Beckett.

I/ L’auteur et son époque

1. Biographie de l’auteur

Dates: 13 avril 1906 à Dublin – 22 decembre 1989 àParis.
Classes d’écrivain: poète et dramaturge de langue française et anglaise.
Principales œuvres:
1951: Molloy (roman, depuis traduit en anglais par Beckett avec Patrick Bowles)
1952: Malonemeurt (roman)
1952: En attendant Godot (pièce en deux actes)
1953: L’Innommable (roman)
2. Contexte littéraire
-Courant littéraire de l’époque: réalisme dont Beckett estun écrivain représentatif
3. Contexte politique
– En attendant Godot a été écrit 20 ans après le début de la crise économique des années 30 et dans le contexte instable d’unenouvelle paix. L’existentialisme (courant philosophe des années 50) entraine une prise de conscience général que la vie est absurde

II/ Présentation générale de l’œuvre
-Genre de l’œuvre: Théâtre-Date de publication:1952
-L’oeuvre ne fait pas partie d’un ensemble.
-Objectif: se rendre de compte de l’absurdité
-Analyse du titre: L’une des tentatives d’explications est que Godot serait lemélange du mot anglais « God- » (Dieu)et d’un suffixe français populaire « -ot ». Cette explication donnerait une dimension metaphysique à la pièce : les deux personnages attendent l’arrivée d’unefigure transcendante pour les sauver, mais elle ne vient jamais.
-Analyse de la structure: pièce de théâtre composée de 2 actes sans aucune scènes.

III/ Étude détaillé de l’œuvre
-Résumé del’œuvre:
Deux vagabonds, Vladimir et Estragon, se retrouvent sur scène, à la tombée de la nuit pour attendre « Godot ». Cet homme – qui ne viendra jamais – leur a promis qu’il viendrait au rendez-vous ;sans qu’on sache précisément ce qu’il est censé leur apporter. En l’attendant, les deux amis tentent de trouver des occupations pour que le temps passe.
Des inquiétudes naissent : Est-ce le bon…