Sociologie

Sociologie CM

Introduction a la sociologie

Sujet typique du partiel : Société et Communauté

Dissertation : Entre 2 et 4 pages. Citation de référence (Auteur, citation de texte,…). Eviter de répéter les journalistes. Construire une réflexion argumentée.

Thématique du cours : Qu’est ce que la Sociologie ? Qu’est ce que l’institution, la communauté ? Qu’est ce qu’un lien social ?Préambule :

La sociologie se veut scientifique. Comment l’homme social est au monde ? Comment le monde s’impose à lui ? Comprendre comment l’homme social peut connaitre et agir dans le monde ?

C’est une approche phénoménologique. Qu’est ce que la phénoménologie ? D’après Rickert, elle traite la manière d’apparaitre des choses comme un problème autonome. La phénoménologie se propose de mettre aujour d’apparaitre comme tel.

– Comment les choses apparaissent ? Ca remet dans l’axe de la perspective de Durkheim. Durkheim dit : « les faits sociaux sont des choses »

– Il ne s’agit pas de se demander si le monde existe, mais comment le monde existe pour l’homme social.

Quels sont les apports de la phénoménologie pour la sociologie ?

1er apport : Ce n’est pas forcement le contenu dumonde qui nous intéresse mais la manière dont nous avons accès a ce lieu.

2e apport : Il ne s’agit pas de savoir si le monde est vrai, mais comment a partir du moment où le monde est vrai pour l’homme social a ton accès a cette vérité.

Ce deuxième apport met en relief l’idée d’une connaissance individuelle du monde et l’idée de connaissance subjective du monde. Donc le monde est vraisubjectivement et individuellement. La sociologie veut être objective par rapport à la subjectivité des individus.

Le monde n’apparait jamais complètement, il nous est donné de manière fragmentaire, sous forme de parses, dispersé. Les societes sont en perpétuelles transformations. Le monde se donne toujours sous la forme d’un horizon (qqch de lointain, de vastes, qqch qui n’est jamais dans satotalité.). Il est donc impossible de connaitre le monde dans sa totalité.

Pour les êtres sociaux que nous sommes, il y a un dualisme insurmontable entre la conscience du monde et le monde lui-même. La conscience du monde serait « au dessus du monde ». Le monde apparaitre comme beaucoup moins compréhensible, beaucoup moins atteignable. Mais ce dualisme insurmontable, peut être dépassé, a partir dumoment où on a conscience que l’homme social n’est pas au dessus du monde. Il appartient au monde, il est constitutif au monde. Ceci est possible a partir du moment où on défini l’homme social comme un être fini, un être mortel, et donc un être qui accorde un certain rapport au temps. L’homme ne surplombe pas le monde, il vit à l’intérieur parmi les êtres, les choses, les objets. C’est Heidegger quia surmonté le dualisme de l’homme en le remettant au cœur du monde. Heidegger fait la différence entre l’homme et les objets qui l’entourent. Il dit que les objets sont simplement la, ils subsistent (=durent). Les hommes ne subsistent pas, ils existent. Ils sont des êtres à partir d’une existence vécue. Les hommes possèdent une qualité d’existence qui les différences des objets. Cela rend leshommes étrangers au monde. Que ce soit le dualisme de Lucer, ou le dualisme de Heidegger, il faut ajouter une 3e dimension qui est le corps. L’homme social décrit par Lucer ou Heidegger n’est pas incarné. Si nous appartenons au monde c’est que nous avons un corps. Lorsqu’on bouge le monde se donne et se dérobe. Les communautés sont des sociétés qui ne bougent pas. La société est toujours enmouvement, contrairement a la communauté qui elle reste fermé. L’idée fondamentale est celle des mouvements : C’est-à-dire que le mouvement devient une dimension ou nous nous constituons et ou nous comprenons comme subjectivité incarné et finie. Le mouvement nous fait appartenir au monde et nous définie en terme de relation entre des sujets et des objets et des sujets et des sujets, c’est-à-dire que…