Explication du texte de schopenhauer

ci-dessous.
Schopenhauer observe l’homme de son siècle, celui dont nous sommes les héritiers, qui met au principe de ses actes, le bien-être, le confort, les jouissances matérielles, le loisir ou encore la santé. Il faut produire pour consommer, soulager nos besoins. Le XIXe siècle veut en effet que ce soient là les conditions nécessaires de l’humanisation. L’ennemi est donc clairement désigné: la souffrance, le malaise, l’angoisse, l’ennui qui sont des risques d’aliénation. Le temps du désir étant le temps du trouble et du manque, il devient un fardeau dont nous devons le plus rapidement possible nous débarrasser, au moins l’écourter dans la mesure du possible.
C’est ainsi que nous avons fait d’une rapide satisfaction des besoins et de la quête du plaisir qui s’ensuit, une valeur :l’utile.
Mais ce parcours du combattant mène-t-il vraiment au repos du guerrier ? Pouvons seulement atteindre un état durable de sérénité sur le plan du corps et de l’esprit ?
Schopenhauer dénonce l’illusion de cette entreprise : c’est un leurre de libération, car satisfaire nos besoins ne nous permettra jamais de passer d’un état moindre à un état supérieur. Nous essayons vainement d’échapper ànotre condition de souffrants en apaisant momentanément notre mal comme le fait un baume sur une plaie béante qui ne cicatrisera pas. Autant lutter contre des moulins à vent. Ce n’est qu’une illusion de progrès car nous nous battons pour échapper à l’angoisse mais tout nous y ramène nécessairement. (Penser au feuilleton « Le prisonnier »). Essayer d’échapper à sa souffrance constitutionnelle estune quête pitoyable, vaine, illusoire, impossible et dégradante. Toute satisfaction n’est jamais que provisoire : le bien convoité n’est qu’un antalgique pour combattre une douleur nécessaire. Prendre de aspirine pour soulager le mal ne suffit pas à rendre heureux, car dès que la douleur s’apaise, je l’oublie. L’homme ne peut sentir durablement que la douleur. L’absence de douleur ne se sent pas enelle-même , donc elle ne peut me rendre heureux. C’est juste au moment où la souffrance cesse, que j’éprouve du plaisir. Puis il se dissipe dans l’habitude. Et ce n’est que lorsque la souffrance reviendra que j’en sentirai le prix. Le plaisir ne se ressent que par contraste, jamais en lui-même.
Et quand bien même, qui ferait de l’aspirine une condition anthropogène ? Alors pourquoi misons-noussur l’effet illusoire et éphémère des biens matériels pour assurer notre devenir ?
D’autant que la métaphore de l’antalgique n’est pas suffisante. Car Schopenhauer nous présente ici les effets pervers de la consommation : Plus vous croyez vous faire plaisir ou vous soulager, plus vous allez voir mal quand l’effet cessera. A la manière d’une drogue, les plaisirs matériels nous rendent de plus enplus sensibles à la souffrance.

Texte de Rousseau, Julie ou la Nouvelle Héloïse.

« Mieux vaut encore ne rien avoir et tout désirer, que tout avoir et ne plus désirer » Telle est la maxime que nous pourrions tirer de ce texte. Reconnaissons qu’elle ne va pas de soi, et qu’il faut opérer un éclaircissement. Rousseau voir dans le fait de « tout pouvoir », la fin du désir, et avec la fin du désir,la fin de l’envie même de vivre. Qu’on me donne l’envie, l’envie d’avoir d’envie ! Supplie le dépressif, qui vit sa condition comme la pire des privations (« toute autre privation serait plus supportable » dira Rousseau). Aussi si le désir est notre « bien » le plus précieux, il s’agit d’en prendre soin : car le perdre c’est tout perdre (il perd pour ainsi dire tout ce qu’il possède) . Il ne sertdonc à rien de tout pouvoir et tout avoir, car perdant d’un même coup le désir, l’édifice s’écroule comme un château de cartes. La possession est une illusion dangereuse. « Malheur à qui n’a plus rien à désirer ». Quel étrange retournement de situation : Rousseau inverse la malédiction qui pèse depuis des siècles sur le désir. Non, dira Rousseau, il n’est pas ce qui perd l’homme, il est…

Plan de dissertation sujet fonctions de la poésie

( TD ) ENTRAÎNEMENT A LA DISSERTATION
Objectifs :
Mobilisation de la culture littéraire et picturale
Travail du plan : recherche d’idées, illustration, organisation d’ensemblePréparation bac blanc
Constitution des groupes :
Sujet : Pensez-vous que la poésie et la peinture doivent avoir pour objectif la recherche du Beau ?
Proposition de corrigé
I-Oui
A- Beauté = thème récurrent
1) Beauté corporelle
Ex : « Femme noire », de L.S. Senghor ( éloge du corps / de la force de la femme africaine ) ; blasons du corps féminin ( oùchaque partie est évoquée et valorisée par le jeu des images )
2) Beauté d’un élément non animé
Ex : tableaux de paysages dans la poésie romantique, comme dans « Le Lac » de Lamartine ;natures mortes en poésie
B- Beauté formelle
Beauté du « chant »
Ex : Importance du rythme et des sonorités en poésie ( échos sonores, répétitions…) ; « lyre » = attributsymbolique du poète depuis l’antiquité ; aède = poète récitant et chantant dans l’antiquité ; proximité chanson / poésie ( strophes, vers réguliers, rimes…)
Beauté des images Ex : place desfigures de la métaphore, de la comparaison, de l’allégorie comme dans « Mignone, allons voir si la rose » de Ronsard
C- « L’art pour l’art » : la recherche du beau comme seul objectif de lapoésie
Ex : Esthétique Parnassienne de la seconde moitié du XIXème s : pour Théophile Gauthier seule compte la beauté formelle des poèmes. Le nom de parnasse provient de la mythologie grecque, danslaquelle la montagne où résidait Apollon et ses neuf muses s’appelait : Parnasse. Elle serait le séjour de l’art et de la poésie, ce qui s’avère, pour les parnassiens, un nom adéquat pour leurnouvelle école poétique. Comme le dit Théophile Gautier dans la préface de Mademoiselle de Maupin) « Il n’y a de vraiment beau que ce qui ne peut servir à rien, tout ce qui est utile est laid. »….

Justice belge

Dutroux: Dutroux condamné à la perpétuité
Mis en ligne le 22/06/2004 à 17:25
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(Belga) Marc Dutroux a été condamné à la réclusion à perpétuité mardi par la cour d’assisesd’Arlon. La cour a en outre ordonné sa mise à disposition du gouvernement pendant une durée de 10 ans. Elle a ainsi suivi le réquisitoire du ministère public.
{draw:frame} Marc Dutrouxavait été reconnu coupable des assassinats de An, d’Eefje et de Bernard Weinstein. Il avait aussi été déclaré coupable d’être le chef d’une association de malfaiteurs impliquée dans lesenlèvements d’enfants et membre d’une association impliquée dans le trafic de drogue ou de traite des êtres humains. Sa culpabilité est également établie dans les enlèvements, les séquestrations etles viols des 6 jeunes victimes, avec les circonstances que les tortures perpétrées lors des séquestrations de An, Eefje, Julie et Mélissa ont entraîné leur mort. Les viols de trois Slovaquesavaient également été retenus par les jurés. Marc Dutroux est aussi condamné pour trafic de drogue, avec la circonstance qu’il s’agit d’une acte de participation à une association, et pour lesfaits liés à la séquestration de Philippe Divers, Pierre Rochow et Bénédicte Jadot. (DEF)
Source :
Dutroux condamné à la perpétué, Lalibre,http://www.lalibre.be/belga/dutroux/article.phtml?filename=20040622T172541B148794.htm, visité le 09 Avril 2010.
Analyse de l’article :
Marc Dutroux a été condamné à la réclusion à perpétuité par la Cour d’assises d’Arlon car ilavait été reconnu coupable des assassinats de An, d’Eefje et de Bernard Weinstein et a aussi été reconnu pour d’autre faits tels que des séquestrations … Il a été condamné en Cour d’assisecar celle-ci s’occupe des crimes graves qui ne peuvent être renvoyés devant le tribunal correctionnel ; à savoir le meurtre, l’assassinat ou la tentative d’assassinat, la prise d’otage.

La gestion d’une ressource l’eau

THEME : L’HOMME ET SA PLANETE AUJOURD’HUI

Sujet d’étude : La gestion d’une ressource, l’eau

Problématique : Quelle est la nécessité de traiter les eaux usées ?

1.Une ressource rare

Lesmers et les océans représentent 97 % de l’eau sur terre. L’eau des mers et des océans est de l’eau salée. Les 3% d’eau restante sont de l’eau douce. L’eau douce est plus facilement utilisable parl’homme car elle ne nécessite pas de subir des traitements de dessalement très couteux. Le problème est que cette eau douce se retrouve en majorité dans les glaciers à environ 70%.
Ce qu’il reste pourl’homme (de toute l’eau de la planète bleue) :
> 0,9 % sont des eaux douces souterraines
> 0,1 % sont des eaux douces de surfaces
Ce sont ces 1 % de l’eau totale de la planète bleue qu’exploite l’hommepour sa consommation quotidienne. L’eau de notre robinet est puisée dans une ressource naturelle telle que des nappes souterraines, lacs, rivières… Cette eau est pompée et acheminée jusque dans uneusine de production d’eau potable avant d’être redistribuée comme eau potable. Aujourd’hui de plus en plus d’eaux douces de surfaces sont souillées, polluées par l’activité humaine, agricoles,industrielles … Il faut la préserver !

2.La consommation d’eau moyenne par habitant en France

?

Chaque Français en consomme environ 137 litres par jour. Or 50 litres seulement suffiraient pour nosbesoins quotidiens.

?

On constate ici la répartition de cette eau dans les différents domaines de la vie quotidienne.

3.La solution est dans le recyclage des eaux usées

?

Les stationsd’épuration font partie des solutions majeures pour économiser de l’eau.

Synthèse:
Dans ce dossier, j’ai voulu montrer qu’il était nécessaire de traiter les eaux usées.
L’eau est en effet uneressource rare; comme le prouve le document 1 où l’on peut voir que seulement 1% d’eau est directement utilisable par l’homme, ce qui représente une quantité infime au vu des besoins de…

Impot

I-IMPOT
A-Définition
L’impôt est un prélèvement obligatoire réalisé au profit des administrations publiques, il ne donne pas droit a une conte-partie directe mais a des services fournis gratuitement par la collectivité.
Assiette de l’impôt : c’est l’évaluation de la matière imposable. Cette évaluation peut être forfaitaire (régimes micros, valeur locative…) soit par le dépôt d’unedéclaration à l’administration, déclaration déposée par le contribuable ou par un tiers.
B-Classification des différents impôts :
• 1/ Impôt sur le revenu, impôt sur le capital, impôt sur la dépense.

L’impôt peut taxer un revenu (Impôt sur le Revenu, Impôt sur les Sociétés), un capital (Impôt de Solidarité sur la Fortune, Taxes Foncières, droits de mutations, droits de succession) ou une dépense(Taxe sur la Valeur Ajoutée, Taxe Intérieure sur les Produits Pétroliers)
• 2/ Ces impôts peuvent être qualifiés de directs ou d’indirects :
o Impôt direct :
? il est généralement perçu par voie de rôle nominatif,
? il est périodique,
? enfin il est supporté et payé par le contribuable directement.
o Impôt indirect :
? il est perçu sans émission de rôle nominatif,
? il repose sur laréalisation d’un acte précis -consommation par exemple- il est donc intermittent,
? il est prélevé sur le consommateur et payé par le vendeur.
• 3/ Impôt réel – impôt personnel :

L’impôt réel taxe un acte ou un bien, (TVA par exemple) alors que l’impôt personnel taxe un patrimoine ou un revenu d’un contribuable en tenant compte de la situation de ce dernier (impôt sur le revenu parexemple).

• 4/ Impôt de répartition – Impôt de quotité :
Dans le cas d’un impôt de répartition, le produit attendu est divisé entre les différents contribuables, pour une somme donnée plus les contribuables sont nombreux plus l’impôt individuel sera faible. Les impôts locaux sont des impôts de répartition, les collectivités locales ont besoin d’un certain budget, celui-ci est réparti entre lesdifférents impôts locaux (taxe d’Habitation, Taxes Foncières, Taxe Professionnelle) et les différents contribuables (particuliers, entreprises).
L’impôt de quotité est le résultat de l’application d’un taux sans que le résultat de ce calcul puisse être connu à l’avance.
• 5/ Impôt proportionnel – impôt progressif :

L’impôt proportionnel s’obtient par l’application d’un taux fixe (TVA,Contribution Sociale Généralisée, impôt sur les sociétés).
L’impôt progressif s’obtient par l’application d’un barème qui permet de faire croître l’impôt avec la matière imposable (Impôt sur le revenu, ISF, droits de successions).
Pour bien comprendre la différence entre la proportionnalité et la progressivité, au SNUI, nous avons l’habitude de l’illustrer par l’exemple du « nounours ». Prenons le casd’une famille composée d’un couple et de 2 enfants (12 et 4 ans) qui doit déménager 1000 kg de meubles et objets divers au 4e étage de son nouvel appartement, tous les membres de la famille doivent participer à ce transfert.
Dans un système proportionnel, tous les membres doivent porter le même fardeau soit 250 kg. Ce sera sûrement plus dur pour le petit dernier de 4 ans…
Dans un systèmeprogressif, on estimera que l’enfant de 4 ans aura accompli son acte de solidarité s’il transporte au 4e étage son « nounours », en contrepartie ses parents plus costauds porteront une charge plus importante.
• 6/ Impôts d’Etat- impôts locaux

Les impôts d’Etat sont perçus au profit du budget national, en conséquence les taux et les modes de calcul – à quelques exceptions près (DOM) – sont identiquessur tout le territoire national.
A l’inverse les impôts locaux qui peuvent être directs ou indirects sont fonction dans leur mode de calcul (taux) des régions, départements et communes.
II- Emprunt
Un emprunt est une dette financière à long terme, alors que les dettes à moyen et court terme sont habituellement appelées « crédits ». Un emprunt est une dette résultant de l’octroi de prêts…

Colonisation

BASSANI 1ère ES 3 Aurélie Colonisation

La colonisation a commencé en Afrique au XVI siècle avec la prise de territoire par les Espagnoles et les Portugais. Dès le XVII, les Français sont présent dans les Indes occidentale et orientale. La colonisation s’accélère au XIX siècle en raisons desmoyens de la révolution industrielles. On y trouve différents types de colonies: les colonies de peuplements, c’est-à-dire celles où les Européens sont installer en plus grand nombre, et les colonies d‘exploitations qui implique la conquête militaire d’un territoire en vue d’en exploiter les richesses naturelles dans l’intérêt de la métropole.
Ces pays colonisés vont s’opposer à la présence desEuropéens. Ils contestent cette civilisation européenne sois disant « supérieure ». La colonisation consiste donc en la domination Européenne sur des peuples Indigènes. Mais, la colonisation a elle eu des aspects seulement négatifs pour les peuples colonisé ?

Au milieu du XIX siècle, l’Europe est forte de sa vitalité démographique et de sa suprématie technique. Les progrès scientifique, detransports, d’armement permettent aux Européens de se lancer à la conquête du monde. Les colonies sont présentées comme une source de puissance.
Les Européens sont persuadé de la supériorité des « Blancs » et de la tâche qui lui incombe de civiliser les peuples dit « sauvage », c’est-à-dire les faire sortir de la barbarie, les améliorés au point de vue moral, intellectuelle, industrielle…
LesEglises perçoivent les colonies comme de nouvelles terres de mission.
Les Européens se servent par exemple du missionnaire qui à pour rôle de christianisé les peuples musulmans animistes. Les Français veulent développé le gout du travail, amélioré leur hygiène et créé des écoles afin de les initiés aux richesse de la langue. Seule une élite en profite (Gandhi, par exemple). Le contact entreEuropéens et indigènes conduit souvent à l’acculturation de ces derniers.
L’Europe nie qu’il y est une autre civilisation en face d’eux. Ils se croient supérieur, sauf Lyautey au Maroc qui empêchera les Français de rentrer dans les Mosquées et se battra pour le maintient des traditions. Leur domination trop imposante créé des tensions. Les français ont souvent recourt à la violence pour imposer leurrègles aux Indigènes, c’est pourquoi on dira que les barbares sont en faite les Français car ils massacrent les Arabes. On ira même jusqu’à parler de génocide.

On trouve différents types de colonies: les colonies de peuplements, c’est-à-dire celles où les Européens sont installer en plus grand nombre, et les colonies d‘exploitations qui implique la conquête militaire d’un territoire en vue d’enexploiter les richesses naturelles dans l’intérêt de la métropole.
La prise des meilleures terres aux Algériens entrainent la famine chez ces derniers qui se réfugient dans les montagnes. Ils perdront la moitié de leur terres. En plus de ca, les Français interdisent aux indigènes de se réunir, d‘avoir du retard sur le paiement des impôts où même de refusé les corvées. On instaurera ensuite leservice militaire obligatoire pour tous. Les Européens s’imposent, en donnant du travail forcé, et avec leur politique avec les protectorats, c’est-à-dire quand un gouvernement local est surveillé par un état européen (exemple de l‘Annam, le Tonkin, le Cambodge et le Laos). Le droit de vote sera quand même accordé pour le gouvernement local, accepté à une minorité. Malgré tout, les Français épousenttout de même les Algériennes.

Les Européens développent le commerce avec les pays dominés dans lesquels ils puisent les matières premières dont l’Europe à besoin et auxquels ils vendent une partie de leur production.
Ils créent des routes, des réseaux ferrés, des écoles, investissent dans le bâtiment en créant des écoles et des hôpitaux par exemples. La création de routes de chemin de fer…

Les associations sportives

|BEP Métiers des Services Administratifs |
|FICHE DESCRIPTIVE D’ACTIVITÉPROFESSIONNELLE N°3 |
||
|ÉPREUVE EP1 : PRATIQUE PROFESSIONNELLE DES SERVICES ADMINISTRATIFS – CCF|
|Nom et prénom du candidat : BOUVRY Aurélien |
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|Établissement : LP BLAISE PASCAL 49500 SEGRÉAcadémie : Nantes |
|INTITULÉ DE L’ACTIVITÉ :|Activité administrative à caractère |
| |? Organisationnel|
|Les titres et les mendats |? Technique |
||? Relationnel |
||Date, période : |
|TÂCHES PRINCIPALES du RAP concernées : |Avril 2011…

Mac donalds : quelle communication dans la crise

Évolution du contexte de la crise : facteurs déterminants
Les médias sont de plus en plus nombreux et concurrentiels d’où utilisation de la crise pour accroître l’audimat.
Internet permet unepropagation plus rapide et plus étendue des informations en général et des rumeurs en particulier (cf affaire des vers de terre)
D’une manière générale, la mondialisation augmente la concurrence entre lesgrandes firmes et donc la visibilité des crises qu’elles traversent.
Multiplication des normes sanitaires qui font de la santé et de l’hygiène des secteurs à forte sensibilité : la population estelle-même très sensible et très réactive concernant les problématiques relatives à ces thématiques.
Professionnalisation des associations de consommateurs qui n’hésitent pas à dénoncer.

Présentationdu contexte général : l’entreprise
Mac Donalds se positionne comme le leader international de la restauration rapide avec 30 000 franchises dans 121 pays différents. Bien que Mac Donald’s n’aitinventé ni le hamburger, ni la restauration rapide, son nom en est presque devenu synonyme. La marque s’est imposée comme un symbole de la mondialisation et de la prédominance de la culture américaine, àl’instar de la firme Coca-Cola.
Fiche technique de l’enseigne :

En s’adaptant à l’environnement socio-culturel, économique et technologique, et appuyée par une forte présence publicitaire, lafirme a su imposer ses produits standardisés partout dans le monde.

Source : http://cartographie.sciencespo.fr/index.php?q=fr/node/9&support=1&echelle=1&pays=&theme=2&a=3

Les cibles de lacommunication de Mac Donald’s
– Une organisation tournée vers la satisfaction client
– Une multinationale assise sur un « tabouret à trois pieds »
On a coutume de schématiser l’organisation de l’empireMac Donald’s comme reposant sur un tabouret à trois pieds (« three legged stol »). Cette métaphore illustre les cibles majeures de la chaîne :
*Clients : cœur de cible de la stratégie depuis…

Michel tournier constate que « la littérature est aujourd’hui considéré comme un ornement inutile ».

L’inutile est utile. Un paradoxe ? Certes non, puisque la littérature est en soit inutile car elle est un divertissement mais un divertissement est utile d’après Blaise Pascal puisqu’il sert à nous faire oublier que nous allons mourir. Ainsi Michel Tournier constate que « la littérature est aujourd’hui considéré comme un ornement inutile ». Nous pouvons nous demander si la littérature («l’ensemble des œuvres écrites auxquelles on reconnaît une finalité esthétique » Larousse) est vraiment inutile ? Nous commencerons par voir le paradoxe entre la facilité d’accéder à un livre et le point de vue d’une partie de la population selon lequel la littérature est « dépassée », ensuite en quoi la littérature est utile puis enfin nous verrons en quoi, inutile ou non, elle est importante.Aujourd’hui, la littérature est généralement considérée par une partie de la population comme « inutile ». Nombreux sont ceux qui ne lisent pas ou très rarement et ne trouve pas de plaisir ni dans l’écriture, ni dans la lecture. En effet, l’offre de plus en plus grande d’autres formes de divertissements a tendance à faire reculer l’intérêt de M. Tout-le-monde pour la littérature. Le cinéma, les jeuxvidéos ou encore la télévision apparaissent comme plus attractifs qu’un bon livre. La personne lambda préfère en effet aller voir l’adaptation d’un roman tel que La Guerre des Mondes roman de H.G. Wells au cinéma par Steven Spielberg (qui ne la en faite pas adapté puisque ce roman a été écrit en 1898 et que l’action se déroule au XIX ème siècle alors que dans le film, celle-ci a lieu au XXI èmesiècle, preuve que les adaptations de roman ne sont pas toujours exact…) plutôt que de lire le roman.
De plus, de nombreuse personne considère la littérature, à tort, comme le divertissement d’une certaine élite intellectuelle et elle paraît ennuyeuse et tout simplement inutile. La télévision, elle, au moins « divertit » même si c’est en faisant preuve de toute la médiocrité intellectuelle possible– voir la téléréalité et ses dérives. Enfin, il suffit d’écouter les déclarations de certains hommes politiques qui dénigrent l’enseignement de certaines œuvres littéraires ( La Princesse de Clèves par exemple…) pour se rendre compte de la moindre importance que l’on accorde à la littérature aujourd’hui . Il semble donc que le constat à faire sur la considération de la littérature dans notresociété soit encore plus sombre que celui qu’opère Michel Tournier.
Pourtant, jamais la littérature n’a été autant accessible grâce notamment aux nombreuses librairies, à internet où l’on peut se procurer tous les livres publiés dans le monde. Aujourd’hui, de nombreuses œuvres qui font désormais partie du domaine public, tel que la pièce de théâtre Roméo et Juliette de William Shakespeare sontdisponible gratuitement et légalement sur internet. De plus les genres littéraires se sont diversifiés depuis un siècle avec le développement de la littérature enfantine ou de la science-fiction. Il existe même des émissions consacrées à la littérature comme par exemple Un jour, Un roman diffusé sur la chaîne France 3 qui pour certaines personnes, se révèle intéressante et trouve sa place en tant quedivertissement. Dans ce cas-là nous aurions tort de la considérer aujourd’hui comme un « ornement », un simple élément au but purement décoratif. De plus, la formulation de Tournier implique qu’avant la littérature était mieux considérée, qu’on lui accordait une plus grande place. Ceci n’est pas faux, car comme on l’a vu précédemment, si l’accès à la littérature se démocratise, elle est dans le mêmetemps dévaluée.

Le problème plus profond soulevé par Michel Tournier est donc lié à la vraie nature de la littérature. Puisqu’elle est considérée aujourd’hui par la personne lambda comme étant au pire ennuyeuse, au mieux un simple divertissement, il faut se poser la question du degré d’importance à accorder à la littérature. Considérons cette dernière comme un divertissement, n’en…

Langage c

2004 – 2005

Université Paris Dauphine IUP Génie Mathématique et Informatique

INITIATION A LA PROGRAMMATION PROCEDURALE, A L’ALGORITHMIQUE ET AUX
STRUCTURES DE DONNEES PAR LE LANGAGE C

Maude Manouvrier

La reproduction de ce document par tout moyen que ce soit est interdite conformément aux articles L111-1 et L122-4 du code de la propriété intellectuelle

Initiation à laprogrammation procédurale, à l’algorithmique et aux structures de données par le langage C TABLE DES MATIERES I. INTRODUCTION……………………………………………………………………………………………………………………….. 3 A. DEFINITIONS DE BASE DE LA PROGRAMMATION………………………………………………………………………………. 3 B. EXEMPLE DE PROBLEME ………………………………………………………………………………………………………………. 4 II. CONCEPTS GENERAUX DU LANGAGE C ………………………………………………………………………………. 4 A. FORME GENERALE D’UN PROGRAMME C………………………………………………………………………………………… 4 A.1 Exemple de programme C élémentaire ………………………………………………………………………………….. 4 B. TYPES DE BASE DU C…………………………………………………………………………………………………………………… 6 C. DECLARATION DE VARIABLES………………………………………………………………………………………………………. 7 C.1 Les tableaux statiques …………………………………………………………………………………………………………. 7 C.2 Les chaînes de caractères ……………………………………………………………………………………………………. 8 D. LESOPERATEURS ……………………………………………………………………………………………………………………… 10 D.1 opérateurs élémentaires …………………………………………………………………………………………………….. 10 D.2 Combinaison desopérateurs………………………………………………………………………………………………. 10 D.3 Expressions sur les bits ……………………………………………………………………………………………………… 11 E. LES STRUCTURES DE CONTROLE………………………………………………………………………………………………….. 12 E.1 Choix………………………………………………………………………………………………………………………………. 12 E.2 Choix multiple ………………………………………………………………………………………………………………….. 12 E.3Itération…………………………………………………………………………………………………………………………… 13 E.4 Boucle for………………………………………………………………………………………………………………………… 14 F. AFFICHAGE ECRAN……………………………………………………………………………………………………………………. 15 F.1 Syntaxe de la fonctionprintf……………………………………………………………………………………………….. 15 F.2 En cas d’erreur de programmation ……………………………………………………………………………………… 16 III. TRAITEMENT DES CHAINES DE CARACTERES………………………………………………………………….. 17 A. LECTURE DE CHAINE…