Ghfv

Le metteur en scène rentre sur scène et se tourne face au public.
« Bonjour Mesdames et Messieurs,
Je suis aujourd’hui présente sur cette scène car j’ai choisi de remettre en scène la pièce HuisClos de Jean-Paul SARTRE. J’ai décidé de discuter avec vous, spectateurs, afin de vous dire que j’ai modernisé cette représentation. J’ai réactualisée cette œuvre afin de toucher des spectateurs jeuneset actuels. Je ne voulais pas que vous soyez surpris, de voir une mise en scène différente de celle de son auteur. Il est bon de le savoir, car je ne veux pas que cela vous dérange. Je ne veux pasque vous soyez déconcentré à cause de cela, j’ai préféré vous le dire que de vous le cacher… Le fait de vous adresser la parole avant de commencer le spectacle, vous permet d’imaginer à l’avance la miseen scène. Je trouve cela plus intéressant, ceci vous permet de faire travailler votre imagination. Au cours de l’histoire, vos pensées changeront, peut-être que vous vous identifierez auxpersonnages ? Nous sommes tous différents et personne ne pense la même chose. Donc je préfère vous orientez vers des indices que vous soyez étonné.
J’ai choisi de remplacer les canapés de couleur par des poufsde différents coloris. Pour que cet endroit étrange paraisse plus serein, plus vivant et plus design. J’ai aussi pensé d’utiliser les jeux de lumières qui sont plus modernes. Ceux-ci seront centrés aumilieu de la pièce, afin de ne voir que le décor et la porte. De ce fait, nous ne verront plus les murs comme s’ils n’existaient pas, cela peut nous faire penser au vide. Ceci créera chez vous dususpens, du frisson, et de l’angoisse. Ah j’adore ça ! De plus, j’ai échangé le coupe-papier par un ciseau, ce qui est plus utilisé de nos jours. Enfin, j’ai rajouté un code pour ouvrir la porte de cettechambre, et remplacé la sonnette par un dictaphone. La porte verrouiller avec un code me fait penser aux postes de prison actuels. Alors que le dictaphone est simultanément présent dans tous les…

La cantatrcie chauve « uonesco »

La Cantatrice chauve est la première pièce de théâtre écrite par Eugène Ionesco
La genèse de la pièce L’idée de la pièce est venue à Ionesco lorsqu’il a essayé d’apprendre l’anglais par le biais de la méthode Assimil. Frappé par la teneur des dialogues, à la fois très sobres et étranges mais aussi par l’enchaînement de phrases sans rapport, il décide d’écrire une pièce absurde intituléel’anglais sans peine. Ce n’est qu’après un lapsus, lors d’une répétition, que le titre de la pièce est fixé : l’acteur qui jouait le pompier, devait parler, dans une très longue tirade, d’une institutrice blonde… et au lieu de dire « une institutrice blonde » a dit « une cantatrice chauve » qui devint le titre de la pièce.Ionesco s’inspire de la méthode Assimil, mais dans Notes et contre-notes, il expliqueque l’absurde est venu se surajouter à la simple copie du manuel d’apprentissage. L’absurde devient le moteur de la pièce, car Ionesco a le projet de “grossir les ficelles de l’illusion théâtrale”. L’histoire Il est neuf heures du soir‚ dans un intérieur bourgeois de Londres, lesalon de M. et Mme Smith. La pendule sonne les « dix-sept coups anglais ».M. et Mme Smith ont fini de dîner. Ils bavardent au coin du feu. M. Smith parcourt son journal. Le couple se répand en propos futiles, souvent saugrenus, voire incohérents. Leurs raisonnements sont surprenants et ils passent sans transition d’un sujet à un autre. Ils évoquent notamment une famille dont tous les membress’appellent Bobby Watson. M Smith, lui, s’étonne, de ce qu’on mentionne « toujours l’âge des personnes décédées et jamais celui des nouveau-nés». Un désaccord semble les opposer, mais ils se réconcilient rapidement. La pendule continue de sonner « sept fois », puis « trois fois », « cinq fois » , « deux fois »…Mary, la bonne,entre alors en scène et tient, elle aussi, des propos assez incohérents. Puis elle annonce la visite d’un couple ami, les Martin. M et Mme Smith quittent la pièce pour aller s’habiller. Mary fait alors entrer les invités, non sans leur reprocher leur retard.Les Martin attendent dans le salon des Smith. Ils s’assoient l’un en face de l’autre. Ils ne se connaissent apparemment pas. Le dialogue quis’engage leur permet pourtant de constater une série de coïncidences curieuses. Ils sont tous deux originaires de Manchester. Il y a « cinq semaines environ » , ils ont pris le même train, ont occupé le même wagon et le même compartiment. Ils constatent également qu’ils habitent àLondres, la même rue, le même numéro, le même appartement et qu’ils dorment dans la même chambre. Ils finissent par tomber dans les bras l’un de l’autre en découvrant qu’ils sont mari et femme. Les deux époux s’embrassent et s’endorment.Mais, Mary, la bonne, de retour surscène , remet en cause ces retrouvailles et révèle au public qu’en réalité les époux Martin ne sont pas les époux Martin. Elle même confesse d’ailleurs sa véritable identité : « Mon vrai nom est Sherlock Holmes.».Les Martin préfèrent ignorer l’affreuse vérité. Ils sont trop heureux de s’être retrouvés et se promettent de ne plus se perdre.Les Smith viennent accueillir leurs invités.La pendule continue de sonner en toute incohérence. Les Smith et les Martin parlent maintenant pour ne rien dire. Puis par trois fois on sonne à la porte d’entrée. Mme Smith va ouvrir, mais il n’y a personne. Elle en arrive à cette conclusion paradoxale : « …

Les etats-unis au lendemain de la guerre de sécession

Les Etats-Unis au lendemain
de la guerre de sécession

Avec la rédition du Général Lee, chef des armées des Etats Confédérés, a Appomattox le 9 avril 1865 face à Grant et la ratification du 13ème amendement abolissant l’esclavage dans les états du Sud la même année, la page la plus douloureuse de l’histoire des Etats-Unis se tourne : jamais guerre ne leur avait ni le leur aura coûté autantde victimes et de dégâts que la Guerre de Sécession (Civil War) qui dura cinq ans (1860 / 1865) et opposa onze états du Sud qui firent sécession au sein de la « Confédération » au Nord qui souhaitait maintenir l’union. Cependant l’après- guerre civile présente une situation paradoxale : en effet les états du Sud sont sous occupation militaire, le Nord s’y installe en tant que vainqueur, alors mêmeque la Maison Blanche travaille à l’unité fédérale : le retour à la normale est donc difficile pour les états anciennement confédérés, dont la mentalité et la manière de vivre tend à disparaitre. De plus, le Président Lincoln, meneur de la victoire du Nord, est assassiné le 14 avril 1865 à Washington, ce qui fait de lui un héros martyr. La reconstruction, tant politique qu’économique ou encoresociale, doit se faire entre les mains de son vice-président, Johnson : après avoir perdu quatre ans et de nombreuses ressources, les Etats-Unis comptent bien rattraper leur retard, dans un monde en plein essor industriel, et redorer leur image de modèle démocratique dans le monde. C’est donc dans un contexte de division interne que nait l’Amérique moderne, son expansion à l’ouest, son envoléeindustrielle, son organisation sociale. C’est cette Amérique moderne qui semble se détacher définitivement d’une reconstruction maladroite qu’on se presse d’achevée dans les années 1880.
Ainsi malgré les difficultés posées par les divisions encore présente dans le pays, les Etats-Unis pensent déjà à profiter des acquis de la Guerre de Sécession, c’est-à-dire l’abolition de l’esclavage et lerenforcement des liens entre les états, pour se lancer dans une ère de prospérité. Mais comment se fait-il qu’alors en sortant de la plus grosse crise identitaire et du conflit interne le plus important de leur histoire, ils rentrent aussitôt dans une période de puissance et de richesse ( « Gilded Age »: »l’âge dorée ») en se détachant d’une reconstruction difficile entre 1865 et les années 1880 ?
Laréinsertion des perdants et l’état des lieux du pays révèlent les divisions et la faiblesse des Etats-Unis, cependant ces derniers entrent sans plus attendre dans une ère de prospérité : l’« Age doré ».

I) Un pays divisé et affaiblit
L’Union a gagné la guerre en 1865, notamment en raison de son avancée technique, mais une fois la paix faite, tout le pays doit être réorganisé, et en particulier lesétats du sud, ré-insérés par la force des armes.Abraham Lincoln ayant été assassiné quelques jours après la fin de la guerre, il n’a pu poursuivre son projet de reconstruction dans la fraternité dont il avait rêvé.Si l’espoir d’un redressement glorieux est visible, le président Johnson tente de réaliser les projets de son prédécesseur en dépit de nombreux facteurs qui l’en empêchent dans ledomaine social, politique et économique.

A . Une victoire au lourd tribut

1 ) Une économie fragile
– Désastre financier du pays: La guerre a coûté 4 milliard de dollars au sud et 16 milliard au nord.
– La guerre a éclaté au beau milieu de l’essor industriel, les forces sont épuisées.
– Situation financière catastrophique dans le Sud en particulier : ressources amoindries, plantationsdévastées, emploi de salariés obligatoire alors qu’autrefois les esclaves coûtaient très peu ( près de 4 millions ont été émancipés) et massacre du bétail.
– Marché extérieur atteint : l’Europe n’importe plus son coton des états du sud

2 ) Nouvelle donne politique
– le vrai but de la guerre n’est pas le même pour tous : Lincoln n’a pas défendu principalement l’abolition de l’esclavage…

Investissement

Enseignant : Mr LOUBNANI

ESG Marrakech

Niveau : Master 1 Sciences de Management Filière : Année 2009 /2010 Matière : La planification financière
CH 1 : Cadre de la décision d’investissement Section 1 : Définition et classification des investissements 1 Définitions de l’investissement L’investissement peut être défini comme un engagement immédiat de capital et de ressources rares dans desactivités devant créer, dans le temps, plus de richesse et de valeur qu’elles n’en auront consommé. Il en résultera un enrichissement net tant au niveau de l’individu que de la collectivité lorsque cet investissement est considéré comme économiquement faisable ou rentable. La survie d’une entreprise, son développement et sa profitabilité sont la résultante de sa stratégie et au moinspartiellement de sa politique d’investissement.
1.1 Définition comptable :

Cette première définition, qui concerne les comptes de la classe 2 du plan comptable,
englobe : -les immobilisations incorporelles (brevets, licences, fonds commercial …) -les immobilisations corporelles (terrains, constructions, installations techniques, matériels et outillages….) -les immobilisations financières(participations, prêts long terme….) Pour le comptable, l’investissement est une immobilisation .il s’agit d’une dépense affectée à l’actif immobilisé 1.2 Définition économique

En économie, investir c’est acquérir ou créer un capital fixe, en effet la formation brute de capital fixe représente la valeur des biens durables acquis par les unités productrices résidantes afin d’être utilisées pendant au moins unan dans leur processus de production.

1.3 Définition financière

Pour évaluer un investissement, le financier se place dans une logique de flux monétaires la
démarche générale consiste à comparer un décaissement (l’investissement) aux encaissements qu’il va générer d’où cette définition :

Investissement =déboursé immédiat en vue d’encaissements futurs
Ou encore :

Décisiond’immobilisation de capitaux en vue d’en tirer un gain sur plusieurs périodes 2 Typologie des investissements Investissements de maintien, investissements financiers, investissements de prestige,
investissements de diversification…il n’y a pas un classement des investissements mais plusieurs selon leur nature, leur objectif et leur risque ou suivant la stratégie. 2.1 Suivant leur nature Il s’agit desinvestissements : -corporels : actifs physiques tels que les acquisitions de terrains, de locaux, de matériels, outillages et biens d’équipements, de réseaux de distribution, de moyens de transport etc …… – financier : titres de participations, prêt à long terme etc ….. – incorporels : fonds de commerce, recherche et développement, formation et publicité etc. Cette typologie recoupe la classificationcomptable mais ne doit pas être prise dans cette perspective : ainsi du matériel roulant financé par crédit-bail ne fait pas partie des immobilisations pour le comptable ,alors qu’il s’agit pourtant d’un investissement corporel . De même une compagne de publicité peut constituer un investissement incorporel alors qu’elle constitue une charge comptable 2.2 Suivant leur objectif et leur risqueCette typologie qui recoupe deux critère significatifs a l’intérêt de rendre compte de nombreux investissements. De plus le critère du risque permet de poser des exigences croissantes en terme de rentabilité .plus un investissement sera risqué, plus on exigera une rentabilité élevée. Un investissement très risqué et rapportant peu serait immédiatement rejeté. Par exemple, les rentabilités deplusieurs investissements à haut risque (innovation) doivent se compenser si un ou plusieurs d’entre eux venaient à échouer partiellement ou totalement. D’où cette typologie par ordre de risque croissant :

Types R I S Q U E -renouvellement : -modernisation : – Expansion : -Diversification : -Innovation :

objectifs Maintien du potentiel Amélioration du potentiel Accroissement du potentiel…

Rapport stage

I – Travaux effectués

A – Entreprise …

Durant ma période de stage au sein de cette entreprise, mon activité principale a été le suivi de factures

1. Le rapprochement entre pré-factures etfactures

Tout d’abord j’ai commencé par le contrôle entre les bons de commande et les marchandises reçues. J’ai vérifié que la quantité que nous avions reçue correspondait bien au bon de commande, sila quantité commandée était égale à la quantité reçue alors une pré-facture est émise. Dans certain cas la quantité commandée n’était pas égale à la quantité reçue, j’ai donc crée un bon de reprise.Lorsque nous recevions la facture du fournisseur, j’avais pour tâche de mettre le cachet d’arrivée et d’agrafer le bon de livraison, avec la pré-facture créée, la facture reçue ainsi que le bon dereprise dans certain cas. Je les assemblais à l’aide du numéro de commande (s’il n’apparaît pas sur la facture, voir le numéro de bon de livraison).

Après cette tache réalisée j’ai ensuite contrôléle montant de la facture pour qu’elle corresponde à la pré-facture que l’entreprise avait créée.
Lorsque je voyais qu’il n’y avait pas d’écart entre le montant de la pré-facture et de la facture, jedevais valider la pré-facture pour qu’elle soit par la suite comptabilisée dans l’entreprise.

Cependant dans certains cas le problème suivant se pose :

– Ecart inférieur à 15 € TTC, dans ce casj’ai pris en compte le montant le plus favorable à l’entreprise et validé ensuite la pré-facture
– Ecart supérieur à 15 € TTC, dans ce cas je dois mettre en litige la pré-facture

Les écartsétaient dus au fait que le prix unitaire des factures pouvait être à 4 chiffres après la virgule alors que l’entreprise n’utilise que 3 chiffres après la virgule. Une telle différence s’explique parl’importance de la commande (plus elle est importante et plus il peut y avoir un grand écart).

2. B – L’enregistrement

Après avoir fait le rapprochement, j’ai ensuite saisi les pré-factures pour…

La folie chez erasme

La folie est présentée comme une déesse, fille de la Richesse et de la Jeunesse ; parmi ses compagnons fidèles on trouve Philautia (le narcissisme), Kolakia (la flatterie), Léthé (l’oubli), Misoponia(la paresse), Hedone (le plaisir), Anoia (l’étourderie), Tryphe (l’irréflexion), Komos (intempérance) et Eegretos Hypnos (le sommeil profond).

La folie, cette maîtresse des passions si dangereusepour l’âme, ensorceleuse dénigrée par tant de générations de philosophes et d’esprits religieux, est ici transformée en bienfaitrice de l’humanité. Elle prend très vite la parole et montre combienelle est importante et combien les hommes ont besoin d’elle. Le pari d’Erasme dans ce livre est donc de nous convaincre, malgré une très forte opinion contraire, que la folie est, finalement,indispensable au bonheur de l’homme, et même à sa survie.

Pourtant il ne s’agit pas d’un livre pessimiste, au contraire, étant donné que la Folie s’adresse à nous directement, et finit très rapidement parnous faire rire et nous montrer combien elle est préférable à tout autre chose, qu’elle est un don du ciel et qu’elle est même inconsciemment appréciée. Ce qui nous fait rire ici, ce sont les absurditésde l’homme, dans lesquels nous finissons quelques fois par nous reconnaitre, et qui finalement nous font relativiser sur la Folie des autres.
Que l’on soit, par exemple, croyant, inconscient ouréfléchi, nous sommes toujours concerné par elle : « La fortune aime les gens peu sensés ; elle aime les audacieux et ceux qui ne craignent pas de dire : « Le sort en est jeté ». La sagesse, au contraire, rendtimide.»
En vérité, il s’agit d’un incroyable satyre qui s’adresse à tous les hommes de son époque, dénonçant et détaillant toutes les folies particulières qui les animent. Des « travers » qui restesouvent d’actualité, que l’on soit chefs d’Etats (je ne pense pas qu’il y en ai beaucoup qui passe par ici), nobles ou du peuple, courtisans, moines ou prédicateurs.

voici quelques passages…

Censure

qu’est-il arrivé a sadam hussein?

Le président irakien Saddam Hussein a été pendu le 28 décembre 2006, le jour de la fête d’Al Adha. Comme si ses bourreaux, dans un ultime pied de nez, voulaient que ce jour de fête, célébré par des millions de musulmans et d’arabes à travers le monde, soit un jour de tristesse et de chagrin. A part les images livrées par le gouvernement irakien issu del’occupation, on ne sait pas grand-chose de cette mise en scène. Des images où on voyait le leader irakien, l’allure fière, marcher vers l’échafaud sans hésiter, sous les insultes et les quolibets de ses ravisseurs, répétant la Chahada jusqu’au dernier souffle.

Avec le livre de Khalil Al-Doulaîmi (Saddam, les secrets d’une mise à mort livrés par son avocat, ed. Sand), ce vide est à présent comblé. Cetavocat, président du comité de défense du président irakien, qui s’est entretenu pendant de longues heures avec Saddam dans sa prison, nous livre un témoignage poignant sur les deux guerres du golfe, les grandes étapes de l’occupation de l’Irak, la parodie de procès qui a condamné à mort son illustre client, le combat héroïque que mène la résistance et le rôle néfaste joué par l’Iran et Israël dansla situation actuelle de l’Irak et donne des détails troublants sur sa mise à mort.

Un livre à lire absolument pour avoir une idée réelle de ce qu’était Saddam et voir combien le fossé est grand entre ce que nous chantent les médias occidentaux et la situation sur le terrain où depuis l’invasion du pays en 2003, la résistance ne cesse de marquer des points.

Extraits

‘’Les dernièresvolontés

Dans la nuit du vendredi qui précéda l’exécution, plusieurs officiers américains, dont le Commandant du camp, se mirent au garde-à-vous pour faire leurs adieux au président. Saddam, quant à lui, exigea de voir une dernière fois ses deux frères, Barazan et Sabaoui. Puis, comme à son habitude, il termina la prière du soir et passa la nuit sur son lit, à lire le Coran. Les heures passèrent.Les gardiens américains, persuadés qu’il pourrait se pendre, avaient renforcé leur surveillance… A quatre heures du matin, le commandant du camp se présenta dans la chambre du président et l’informa qu’il allait le livrer aux irakiens. Il lui demanda quelle était sa dernière volonté. Le président fit ses ablutions, s’empara du Coran et en lut quelques versets pendant le peu de temps qu’il luirestait. Ensuite, il demanda que ses affaires personnelles soient remises à ses avocats puis à sa fille bien-aimée Raghad. Il leur demanda également d’informer celle-ci qu’il était sur la route du paradis, à la rencontre de son Dieu, la conscience tranquille et les mains propres, qu’il donnait sa vie en soldat, sacrifiant sa famille pour l’Irak et pour son peuple.

Il mit une chemise blanche, soncostume gris, son pardessus noir et enroula sur sa tête la traditionnelle écharpe irakienne. Puis, il enfila le gilet pare-balles qu’il portait quand on l’emmenait au tribunal.

Il monta, avec les membres américains de sa garde, dans l’une des voitures blindées qui lui étaient réservées et qui portaient l’insigne de la Croix-Rouge internationale. Ensuite, selon les sources américaines, il voyageadans l’un des hélicoptères Black Hawk et demanda qu’on ne lui bandât pas les yeux. Il regarda Bagdad. Peut-être Bagdad a-t-il jeté sur son fils, qui se préparait à partir, un dernier regard d’amour ? Il traversa le ciel de Bagdad comme si c’était son dernier regard d’adieu. Comme si cette cité qu’il avait bâtie, honorée, et à qui il avait sacrifié sa vie, était, elle aussi, en partance. Elledisparut dans le lointain. Quelques minutes plus tard, l’avion se posait dans un camp du renseignement militaire américain, dans le quartier à majorité Chiite d’Al Kadhimya, sur la rive occidentale du Tigre. La région avait été divisée en trois secteurs : le camp américain, un secteur es forces de sécurité, et une zone de haute sécurité rattachée au ministère de la Défense du gouvernement irakien…

Analyse d’histoire de l’art : la dame à l’hermine + dossier aménagement du territoire

Analyse d’ATC : « La dame à l’hermine »

Artiste : Leonard de Vinci
Nom de l’oeuvre : La dame à l’hermine
Dates : 1488-1490
Techniques et support : Huile sur panneau (bois de noyer)
Dimensions :54×39 cm
Genre : Portrait
Lieu d’exposition : Musée Czartoryski à Cracovie en Pologne
Commanditaire : Le tableau aurait été commandité par Ludovic Sforza, duc de Milan. Ce portrait représenteCecilia Gallerani la maîtresse de celui-ci, et il l’aurait commandé avant son mariage afin d’avoir un souvenir de son ancienne maîtresse.
Description générale : Ce tableau représente le portrait d’unejeune femme, portant dans ses bras une hermine (sorte de furet). Elle porte une robe pourpre et bleu-gris d’imitation espagnole riche en ornements (nous pouvons en déduire qu’elle est issue de labourgeoisie). Elle porte un sautoir de perles à son cou, ainsi qu’un ruban autour du front. Ses cheveux blonds-vénitiens sont attachés en une natte. Elle à le buste de trois-quart et la tête tournée vers ladroite du tableau. Ses yeux semblent regarder au loin. L’hermine blanc qu’elle porte dans ses bras était un symbole de pureté.
Cadrage : Il s’agit d’un plan moyen. La femme pose de trois-quart.Composition : Centrée, dominante verticale.
Couleurs : Contrastées, chaudes, terreuses, pâles, douces.
Touche : Légère, précise, souple.
Lumière : Provient de la droite du tableau et éclairepleinement la femme. C’est une lumière chaude et tamisée.

I / LE TERRITOIRE FRANÇAIS ET SES DESIQUILIBRES.
A. L’espace naturel français.

1) Le relief

2) Les climats

B. La population française.1- Comment la population française est-elle répartie sur le territoire français ?
2-Quels facteurs expliquent la répartition de la population sur le territoire français ?
3-Quelles sont les régionsattractives ? Les régions de départ ?
4-Quelle est la part de la population urbaine ?
5-Où sont situées les aires urbaines les plus importantes ?
Vocabulaire
• Densité :
• Population active :…

Liberalisme

SOS Libéralisme : intentions positives, conséquences négatives
Source: http://caccomo.blogspot.com/2008/03/les-arguments-thoriques-au-retour-de_20.html
Les arguments théoriques au retour del’interventionnisme : la présence des externalités (2)
De même que la réalité humaine est truffée de « défaillances », elle est toute imbibée d’externalités. L’invocation des « externalités » pourjustifier l’interventionnisme frise pourtant l’escroquerie intellectuelle dans la mesure où, dans les sociétés humaines, tout est pratiquement générateur d’externalités. Les hommes vivent en société, créantdes communautés, pour profiter des externalités positives que la vie sociale engendre. Ainsi, les entreprises, les start-up, les laboratoires universitaires se sont installés dans la silicon-valley,presque les uns sur les autres pour profiter aussi d’externalités positives – les « spill-over » – que ce genre de regroupement géographique autorise. De la même manière, les compagnies aérienness’organisent en alliances aériennes pour faire profiter à leur client de ce type d’externalités positives que le phénomène des alliances fait apparaître.
Normalement, les agents économiques le comprennentspontanément, sans qu’aucune subvention ou incitation fiscale ne les conduisent à agir ainsi car il n’est point besoin d’encourager des agents rationnels à poursuivre leur intérêt bien compris puisquec’est un comportement naturel. S’ils ne le font pas, c’est qu’il existe des entraves qui s’imposent à eux, contre leur propre volonté, ou qu’ils ont perdu tout sens de la rationalité.
Dans lathéorie économique contemporaine (notamment la nouvelle micro-économie, la nouvelle théorie du commerce international ou encore les nouvelles théories de la croissance), l’existence des externalités estinvoquée pour justifier l’intervention de l’Etat dans le champ économique et social. Précisément, l’Etat se doit d’encourager en les subventionnant les activités générant des externalités positives…

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2 The Geneva Convention of 20 April 1929 on the Suppression of Counterfeiting Currency.
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