Discussion

Discussion no 2
Mat?j Kraus

La force de notre âme, c’est la force abstraite dont source principale est l’intelligence humaine. Au contraire la force matérielle est telle qui estproduit par les êtres concrets ou par leurs produits. Utilisation de la force matérielle contre un autre être représente pour la plupart la violence.
Est-ce que la force d’âme est plus forte que laforce physique, matérielle? C’est une question qui appartient sans doutes entre les domaines éternelles et en quelle s’occupe plus d’un seul homme. On a vu dans notre histoire plusieurs essaisd’opposer à la force materielle par la force intellectuele. Quelques-uns ont eté réussis, quelques-uns pas. On peut lutter contre nos adversaires armés avec un arsenal d’âme. Mais est-ce qu’on gagnera?Oui, on pourrait gagner. En vingt-et-unième siècle on a un grand atout: L’arme principale des pacifistes est propagation de leurs idées, distribution de ses opinions et demandes entre les hommes. Etpropagation des mots est bien plus facile dans notre âge. Le monde a devenu beaucoup moins grand qu’avant. Avec l’internet et les avions qui sont plus vites que le son, on peut répandre nos conceptsaux milles des gens dans une seconde. On peut acquérir à notre intention plusieurs fois plus de gens en plusieurs fois moins de temps qu’avant.
D’autre part cela ne serait pas le premier foisquand quelq’un s’avait battu avec les puissances armés seulement „par le mot“ et il a gagné. L‘exemple n’est pas difficile à trouver. Dans les années quarantes Mahátma Gándhí a mené les Indiens jusqu’àl’independence sans aucun coup de feu. Les Britanniques ont enfin compris que Gándhí a persuadé tant citoyens qu’ils doivent se dessaisir de l’espace indien s’ils ne veulent pas risquer le carnage.Et enfin il y aura toujours plus de gens qui préférent une solution non-violente. Les hommes sont deja lassés par les guerres éternelles qui emplissent tout notre histoire. Ils n’ont plus…

Manuel ampli

4-238-375-13(1)

FM Stereo FM-AM Receiver
Operating Instructions Owner’s Record
The model and serial numbers are located on the rear panel. Record the serial number in the space provided below. Refer to them whenever you call upon your Sony dealer regarding this product. Model No. STR-DE585/DE485E/DE485 Serial No.

GB

STR-DE585 STR-DE485E STR-DE485
© 2002 Sony Corporation

WARNINGTo prevent fire or shock hazard, do not expose the unit to rain or moisture.
To prevent fire, do not cover the ventilation of the apparatus with newspapers, table-cloths, curtains, etc. And don’t place lighted candles on the apparatus. To prevent fire or shock hazard, do not place objects filled with liquids, such as vases, on the apparatus. Don’t throw away the battery with general house waste,dispose of it correctly as chemical waste. Do not install the appliance in a confined space, such as a bookcase or built-in cabinet.
For customers in the United States

– Reorient or relocate the receiving antenna. – Increase the separation between the equipment and receiver. – Connect the equipment into an outlet on a circuit different from that to which the receiver is connected. – Consult thedealer or an experienced radio/TV technician for help.
CAUTION

You are cautioned that any changes or modification not expressly approved in this manual could void your authority to operate this equipment.
Note to CATV system installer:

This reminder is provided to call CATV system installer’s attention to Article 820-40 of the NEC that provides guidelines for proper grounding and, inparticular, specifies that the cable ground shall be connected to the grounding system of the building, as close to the point of cable entry as practical.
For customers in Canada CAUTION

TO PREVENT ELECTRIC SHOCK, DO NOT USE THIS POLARIZED AC PLUG WITH AN EXTENSION CORD, RECEPTACLE OR OTHER OUTLET UNLESS THE BLADES CAN BE FULLY INSERTED TO PREVENT BLADE EXPOSURE.

ENERGY STAR® is a U.S.registered
This symbol is intended to alert the user to the presence of uninsulated “dangerous voltage” within the product’s enclosure that may be of sufficient magnitude to constitute a risk of electric shock to persons. This symbol is intended to alert the user to the presence of important operating and maintenance (servicing) instructions in the literature accompanying the appliance.
WARNING

mark.As an ENERGY STAR® partner, Sony Corporation has determined that this product meets the ENERGY STAR® guidelines for energy efficiency. This receiver incorporates Dolby* Digital and Pro Logic Surround and the DTS** Digital Surround System. * Manufactured under license from Dolby Laboratories. “Dolby”, “Pro Logic” and the double-D symbol are trademarks of Dolby Laboratories. ** “DTS” and “DTSDigital Surround” are registered trademarks of Digital Theater Systems, Inc.

2GB

This equipment has been tested and found to comply with the limits for a Class B digital device, pursuant to Part 15 of the FCC Rules. These limits are designed to provide reasonable protection against harmful interference in a residential installation. This equipment generates, uses, and can radiate radio frequencyenergy and, if not installed and used in accordance with the instructions, may cause harmful interference to radio communications. However, there is no guarantee that interference will not occur in a particular installation. If this equipment does cause harmful interference to radio or television reception, which can be determined by turning the equipment off and on, the user is encouraged to tryto correct the interference by one or more of the following measures:

Table of Contents
List of Button Locations and Reference Pages
Main unit ……………………………………….. 5

Other Operations
Naming preset stations and program sources ……………………………………. 35 Recording …………………………………….. 35 Using the Sleep Timer…

Cours sur le guerre froide

LES RELATIONS INTERNATIONALES DEPUIS 1945
(1947-1991)

La Guerre froide est une expression journalistique et dit pour la première fois par un homme politique américain : Bernard Beruch. Ce mot a deux sens ; d’abord les relations internationales de 1947 à 1991 et l’autre sens de 1947 à 1962. C’est une période d’affrontement d’un demi-siècle mais indirecte parce qu’ils ne se sont jamaisaffronter directement mais à travers le monde. C’est une guerre d’idéologie et ce n’a jamais été une « guerre chaude ».
Pourquoi la guerre froide n’a t’elle jamais dégainée en guerre ouverte Etats-Unis – URSS ?

I) L’installation de la Guerre Froide

1) La formation des deux blocs

Les premières oppositions Est-Ouest vont commencer en 1945 dans deux pays du monde méditerranéen : Grèce etTurquie. Ce sont les anglais qui vont aider la libération de la Grèce mais très rapidement une guerre civile éclate.
La Turquie est un pays indépendant qui a été neutre pendant la Seconde Guerre mondiale. Les turcs ont le contrôle des détroits où les bateaux soviétiques passent c’est-à-dire à Istanbul. En 1946, Staline va réclamer à la Turquie à participer aux contrôles des détroits. Les turcspréviennent les anglais et les américains qui leur donnent une aide militaire pour défendre leurs détroits contre Joseph Staline. L’année 1947 va créer la Guerre froide.
Truman se rend compte que les communistes cherchent à s’imposer dans certains pays d’Europe de l’Est. Il y a deux pays de l’Europe de l’Ouest où les partis communistes sont très forts, c’est en France et en Italie. Les années 1945,1946 et 1947, il y a des pénuries et des crises qui facilitent le parti communiste. Truman va être surpris par le discours de Churchill. La CIA va présenter la théorie des dominos : Si l’Europe de l’Est tombe dans les mains de Staline, l’Europe de l’Ouest va tomber. Tout cela fait peur à Truman. Son secrétaire d’Etat est Georges Marshall. Tous deux vont réfléchir à mettre en place une politiqueétrangère pour lutter contre la progression du communisme et pour cela ils vont créer la doctrine Truman. Cette doctrine repose sur deux atouts majeurs pour les Etats-Unis. Le premier est que c’est le seul pays à posséder la bombe nucléaire et la deuxième, c’est la plus grande puissance économique et financière. Le 12 mars 1947 devant le congrée des Etats-Unis, Truman annonce sa doctrine dite de« containment » pour lutter contre l’agrandissement de l’URSS. Pour lui, l’ennemi est communiste. Il s’engage à aider à travers le monde tous les pays menacés par le parti communiste. En juin 1947, Georges Marshall va proposer à l’Europe entière un plan d’aide financier à l’ensemble de l’Europe de 15.000.000.000 de dollars pour la reconstruction de l’Europe pour éviter le communisme provoqué par lapauvreté. Toute l’Europe de l’Est refuse le plan Marshall sous l’influence de Staline. En France et en Italie, les ministres communistes quittent le gouvernement sous ordre de Staline.
Le discours de Georges Marshall aux universités va faire agir Staline qui riposte en automne 1947 où tous les partis communistes du monde entier sont convoqués à Moscou qui va créer le Kominform , une fédération descommunistes à travers le monde. Staline y met à sa tête Andreï Jdanov qui va créer la doctrine Jdanov. Il dira dans sa doctrine : « Le monde est divisé en deux camps, l’un est socialiste, l’autre capitaliste, le premier est pacifique, le second impérialiste ». Ce sont deux doctrines qui s’opposent et qui provoquent le début de la Guerre froide.

2) L’escalade de la « Guerre Froide » (1948-1953)* Le blocus du Berlin
En juin 1948 à mai 1949, il y a le blocus de Berlin qui est la première crise de la Guerre froide. Staline n’aime pas que Berlin soit divisé en quatre. Staline a cru que cela ne durerait pas mais en 1948, les anglais, les américains et les français sont toujours là. Berlin est à l’est soviétique alors que Berlin est partagé en quatre entre français, anglais,…

Cour le monde rural

Classes et catégories sociales

I – Le monde rural

La période est marquée par le poids croissant de l’économie aricole et la diminution spectaculaire de la population agricole active (moins d’un million d’exploitations) et de la population rurale en général.

1. Données numériques

Croissance générale de la population dans tous les départements jusqu’en 1836, puis dépopulation ruraledans les zones dures avec abandon des exploitations les moins rentables, ailleurs concentration. Il y a souvent superposition entre population rurale et agriculteurs, ce qui est un appauvrissement social.

Le terroir cultivé connaît une extension jusqu’en 1882 (les zones incultes passent de 18 à 12 % du territoire) notamment grâce à des grands travaux, puis la tendance s’inverse au 20e siècle,en raison de l’accroissement des rendements et des contraintes de la mécanisation.
Les forêts qui ont un régime protecteur depuis le 16e siècle sont au bénéfice du Code forestier de 1827, mal accepté par les ruraux qui avaient pris goût à la liberté d’exploitation née de l’anarchie révolutionnaire dans ce domaine et rejettent toute contrainte. On a créé l’Ecole des eaux et forêts et une politiquegénérale de reboisement est mise en œuvre : de 6 millions d’ha en 1789, la forêt passe à 8 en 1880 et atteint 14 millions d’ha en 1985. Elle est toutefois assez mal entretenue, en tout cas la privée, et la filière bois n’est pas très performante.

La superficie des prairies naturelles ou artificielles a pratiquement doublé (5,6 millions d’ha en 1880 , 12,5 millions d’ha en 1985), ce quicorrespond à la demande croissante de produits d’origine animale, conséquence directe de l’amélioration générale du niveau de vie. Tout naturellement, les terres labourables ont régressé, en raison de l’amélioration des rendements qui permettent de satisfaire la demande intérieure et d’exporter.

Le sol se partage entre les céréales, la vigne, les plantes sarclées et les cultures maraîchèresparticulièrement florissantes dans certaines zones spécialisées (les fruits dans le Tarn et Garonne) et plus généralement à proximité des grandes ville qui ont une forte demande.

2. Les transformations révolutionnaires

– suppression des droits féodaux (notamment chasse et pêche) et de la dîme, mais pas d’abandon des droits fonciers, qui peuvent seulement être rachetés ;
– vente des biensnationaux : sans effet de redistribution car la vente est aux enchères et même les mesures favorables aux petits lots assortis de crédit n’empêcheront pas la revente et par conséquent un phénomène de concentration foncière ;
– l’abolition du droit d’aînesse au profit de l’égalité des héritiers ira en sens inverse et entraînera un morcellement des exploitations lorsqu’elles sont exploitées parleur propriétaire ;
– exaltation de la propriété individuelle, de la liberté du propriétaire, donc la liberté des cultures et des clôtures : favorable à la performance technique, mais défavorable aux pauvres qui bénéficiaient des droits communautaires, ce changement rencontre de fortes résistances. Le délit de bris de clôture est l’archétype du délit rural du 19e siècle.Les servitudescollectives ne seront définitivement abolies qu’en 1889, sauf demande expresse de maintien par les municipalités.
– Bilan –
La propriété parcellaire = 1/5 du territoire, mais ¾ des exploitations. La grande propriété domine en Normandie, Picardie, Ile de France, Pays de Loire et Garonne. La tendance est généralement à la concentration, car en 1970, la surface moyenne était de 19 ha, contre 25,5 en 1983 et28 en 1990.

3. Le statut juridique et social des paysans

A côté des paysans propriétaires, nombreux sont les métayers (le propriétaire reste le chef d’exploitation et a droit à une partie de la récolte) et les fermiers (qui sont chefs d’exploitation mais versent un loyer, le fermage, au propriétaire).

Au nom de l’autonomie de la volonté, le Code Civil règle ces contrats de manière…

Logistique mcdonald

LOGISTIQUE : MCDONALDS :

I- LES CARACTERISTIQUES DU MARCHE :

Le marché globale de la restauration rapide est aujourd’hui ultra concurrentiel : on relève de grands noms de renommé internationale, tels que McDonald’s, Quick, Burger King ou encore KFC. Chacun de ces nouveaux acteurs cherchent aujourd’hui à se créer un nom au sein du marché, ce qui n’est pas chose aisée à l’heure où le mode« fast food » semble ancré dans les moeurs de la planète.

Les concurrents :

Étude de l’environnement :
L’industrie du fast food « hamburger » est en situation de saturation sur le marché américain. De nombreux acteurs sont déjà bien implantés, que se soit McDonald’s en France ou Starbucks aux USA entre autres. Le choix est dense n’importe où dans le monde, pour qui veut déjeuner dans unfast food et il paraît donc difficile pour un nouvel acteur de s’imposer sur un tel marché et d’avoir par conséquent un poids face aux géants du secteurs. Parallèlement, la concurrence est de plus en plus forte et originale, offrant des produits très variés : plats ethniques tels les pizzas, la cuisine mexicaine…
La concurrence s’accroit aussi par la présence de « non-restaurateurs », tels lessupermarchés et les stations services, qui proposent des sandwichs ou des plats préparer ainsi que les livraisons à domicile.
Les consommateurs sont de plus en plus intéressés par la qualité nutritive de leur nourriture. La demande de produits « santé » croit sans cesse.
De plus, il n’est pas seulement difficile de s’imposer face aux concurrents, il est aussi excessivement onéreux de s’yimplanter car les barrières à l’entrée sont élevées.

Les acteurs du marché :
Concurrence directe : (Elle est représentée par les autres fast-food « hamburger »).

Les enseignes sont nombreuses et diverses sur la planète. On pense d’abord au géant Mc Donalds qui a été, comme chacun le sait, la référence « fast food » par excellence. Il s’agit en effet du poids lourd du secteur. On relève uneprésence dans près de 100 pays à travers le monde. L’Européen Quick est assez bien placé sur le secteur français mais ne compte que 400 restaurants sur le territoire. Afin de comparer, le géant du fast food, Mc Donalds compte 1085 restaurants en France répartis dans 762 villes et ce, à fin 2006. Un autre terrible concurrent qui monte en puissance ces dernières années semble être Starbucks. La chaine derestauration fait un tabac aux USA et fait largement de l’ombre à l’enseigne Mc Donalds. En France, en revanche, la marque ne s’impose pas réellement encore mais cela ne serait tarder à priori.. En effet, selon un article issu de LCI.fr, « inspiré par Starbucks. Mc Do va lancer une cinquantaine de Mc Café avant la fin de l’année. La marque de vise pas la même clientèle mais davantage derentabilité » La guerre entre les deux enseignes semble alors déclarée : Mc Donalds part à l’assaut du café sur tout le territoire national (alors que Starbucks n’est encore visible qu’à Paris et sur une trentaine de points de vente) avant son concurrent et semble s’en inspirer grandement. Starbucks semble tout de même basé sur un marché plus haut de gamme, ce qui pourrait alors limiter la guerre desprix. On le voit bien : la concurrence se fait de plus en plus rude sur le marché de la restauration rapide ; chacun des acteurs essayant d’innover au maximum ou de copier le plus rapidement qu’il soit son concurrent…
Enfin, d’autres enseignes se font indéniablement un nom dans le domaine de la restauration rapide, tels que les Burger King ou les KFC.
Concurrence indirecte / « substitutes » : (Elle estreprésentée par les fast-food « non-hamburger »)

Les concurrents indirects ne sont pas négligeables sur ce marché. En effet, face aux diverses crises alimentaires (vache folle, OGM, obésité…), les autres chaines de restauration rapides comme les viennoiseries, les sandwicheries ou les snacks y ont vu un moyen de contrer l’invasion des fast food. En effet, dans les années 90, ces types…

Isap

La prévention spécialisée

Sommaire

Introduction

Première partie : Le cadre de l’intervention

A- La prévention spécialisée
I- Historique de la Prévention Spécialisée
II- Sa mission
III- Les principes de la Prévention Spécialisée
1- L’absence de mandat nominatif
2- La libre adhésion
3- Le respect de l’anonymat
4-Le partenariat
5- La non-institutionnalisation des pratiques
6- Le support associatif
IV- Les modes d’intervention de la Prévention spécialisée à l’ALSEA
1- La présence sociale
2- L’accompagnement éducatif et social individuel
3- L’accompagnement éducatif auprès des groupes
4- L’animation éducative et sociale5- Le partenariat
6- Les actions d’amélioration du milieu environnant
V- Le public concerné

B- Mon lieu de stage
I- Présentation de l’association ALSEA
II- La cité Pierre de Coubertin
1- L’équipe présente sur la cité Pierre de Coubertin
2- Présentation générale de la cité
a- Données sociologiques et historiquesb- Observations concernant la vie dans la cité Pierre de Coubertin
Conclusion

Deuxième partie : De la rencontre à la relation éducative en Prévention Spécialisée

A- La rencontre
I- Des impacts sociaux et spatiaux
1- Quel territoire pour la prévention spécialisée ?
2- La cité comme institution
3- Une population ciblée : les« Gitans »
a- Histoire et coutumes
b- Les idées préconçues de la société

4- L’éducateur en Prévention spécialisée
a- Le travail de rue
b- Les activités
5- Le temps de la rencontre
II- Comprendre le milieu par ses codes
1- La décentration
2- La compréhension du langage
3- Lesrites de passage
a- Définition
b- Identification
III- Se faire connaître : Un travail de réseau

Conclusion

B- La relation éducative
I- Des éléments autour de la relation
1- La confiance
2- Le respect
3- L’écoute
4- Travailler au rythme de l’autre
II- Un outil : Les permanences au local deséducateurs
III- Une relation éducative sans accompagnement
1- Une spécificité de la Prévention Spécialisée
2- Le refus d’être assisté – Monsieur G.
3- Un accompagnement par intermittence – Monsieur C.

Conclusion

Troisième Partie : L’accompagnement éducatif en Prévention Spécialisée
A- L’accompagnement éducatif : Une méthode d’intervention endeux temps p
I- Qu’est-ce que l’accompagnement éducatif ?
1- Définition
a- Accompagnement
b- Education
2- L’accompagnement éducatif dans le travail social
II- Les actions éducatives collectives
1- L’accompagnement éducatif de groupe
2- L’activité comme support à la relation? Des potentialités non exploitées – Monsieur F.

III- L’accompagnement éducatif individuel
? L’individu au premier plan – Monsieur B.

Conclusion

B- Exemple d’un accompagnement : monsieur T.
I- Données concernant le sujet
II- Analyse de sa situation
III- Un jeune entre deux cultures1- Quelques différences entre gitans et manouches
2- Des repères identitaires compliqués
IV- Observations personnelles
V- Projet individuel de la personne
VI- Accompagnement mis en place
VII- Evaluation du travail effectué
VIII- Conclusion

Conclusion générale

Bibliographie

Annexes

Introduction…

Incipit candide orale bac

INCIPIT CANDIDE

Bouleversé par le tremblement de terre qui ravage lisbonne en 1755 et de la guerre de 7 ans et ses exactions, voltaire publie candide en 1759, conte philosophique dans lequel ilrefute les theories providentialiste en vogue a son epoque et plus particulierement celle du philosophe allemand leibniz. Le texte que nous nous proposons d’etudier en est l’incipit, voltaire y brossesur le mode ironique une galerie de portrait, et nous presente ainsi le heros eponyme, son maitre panglosse ainsi que la famille du baron

LECTURE
PROBLEMATIQUE
PLAN

I- un incipittraditionnel du conte

– la formule inaugurale « il y avait » => rituel du conte
– emploi de l’imparfait a valeur duratif qui suspend le temps « avait » « soupçonnait »
– choix dudecor : le château qui est un lieu idellyque
– emploi de superlatifs « un des plus puissant » « le plus simple » renvoi a un univers de perfection
– les personnages sont stéréotypés, ilssont reduits a une seul qualité : candide : innocence cunegonde : sensualité …
– le heros eponyme est jeune « jeune garcon »

II- Cepandant , des indices empechent d’adherer au contemerveilleux.

– ancrage spatial realiste « westphalie »
– intrusions de l’auteur « je crois » qui installe le doute sur la veracite des evenements racontés
– onamastique burlesque :– le nom du baron : Thunder-ten-tronck est imprononcable , sous l’angle de la cacophonie soulignait par les alliteration en dentales et en gutturales.Ainsi qu’une etymologie anglaise thunder =tonnerre a l a consonnace germanique ce qui contribue a le rendre encore plus ridicule.
– Pangloss : pan= tout gloss=langue c a dque c celui qui ne sait que parler
– candide : vent du latin candidus qui signifie blanc qui connote autant de la naiveté que de la pureté donc renvoi a l’innocence originelle…

Hugo analyse

Elle était déchaussée, elle était décoiffée…

Elle était déchaussée, elle était décoiffée,
Assise, les pieds nus, parmi les joncs penchants ;
Moi qui passais par là, je crus voir une fée,
Et je lui dis : Veux-tu t’en venir dans les champs ?

Elle me regarda de ce regard suprême
Qui reste à la beauté quand nous en triomphons,
Et je lui dis : Veux-tu, c’est le mois où l’on aime,
Veux-tunous en aller sous les arbres profonds ?

Elle essuya ses pieds à l’herbe de la rive ;
Elle me regarda pour la seconde fois,
Et la belle folâtre alors devint pensive.
Oh ! comme les oiseaux chantaient au fond des bois !

Comme l’eau caressait doucement le rivage !
Je vis venir à moi, dans les grands roseaux verts,
La belle fille heureuse, effarée et sauvage,
Ses cheveux dans ses yeux,et riant au travers.

V. Hugo, Les Contemplations (1855)

( En rose, la méthode, en bleu, le commentaire du poème de V. Hugo )

I – Introduction

1 – Situer le passage

Si c’est un extrait de roman, vous devez situer le passage à commenter dans son contexte littéraire et historique, puis le situer dans l’oeuvre, c’est à dire résumer très rapidement ce qui se passe avant et ce qui se passeensuite.

Si c’est pour un commentaire composé en poésie, vous devez situer la poésie dans son contexte littéraire et historique et dans le recueil auquel elle appartient.

Dans les deux cas, il faut donner des indications biographiques sur l’auteur et le situer dans la littérature

2 – Dégager des axes de lecture

Il faut trouver trois grands thèmes autour desquels s’articuleront lesproblématiques. Dans la deuxième partie de l’introduction, vous devez donc introduire le plan, et tous les plans doivent être en trois parties. Les trois parties doivent toujours être égales et équilibrées. Attention : faites un paragraphe pour une idée !

Introduction

Chef de file de l’école romantique, V. Hugo a rythmé de ses créations poétiques le XIXème siècle. Les Odes et Ballades, Lesfeuilles d’automne, Les Orientales sont des recueils romantiques de jeunesse. Après le coup d’Etat de Louis Napoléon Bonaparte, V. Hugo entre dans l’Opposition et s’exile sur l’île de Guernesey. Les Châtiments sont le grand recueil poétique d’opposition politique. Les Contemplations ont un statut différent plus privé. Oeuvre à la rédaction longue, elle se divise en deux parties : autrefois etaujourd’hui. La mort de Léopoldine, fille de V. Hugo, trace la frontière entre ces deux mondes.

Dans la première partie, « autrefois », les poèmes chantent la joie de vivre, l’amour et la nature. Ce poème de style très romantique par ses thèmes comme par sa forme décrit le bonheur de la rencontre amoureuse. Dans un premier axe, nous nous attarderons sur le lyrisme des sentiments et de l’amour. Ledeuxième axe montrera l’accord de cette scène avec la nature environnante ; enfin, nous étudierons dans un troisième temps la forme non conformiste de ce poème très proche de la chanson.

I – L’invitation lyrique à l’amour

Attention : ne pas écrire les titres ! Quand on commence un paragraphe, on laisse toujours un espace. A la fin d’un paragraphe on va à la ligne. Chaque paragraphe développe uneidée différente. Chaque grande partie doit être faite de trois petites sous-parties. A chaque début de partie, vous devez faire une introduction.

Le Romantisme prône de privilégier l’expression des sentiments et des sensations. Ce poème décrit de manière très sensuelle le plaisir de la rencontre amoureuse dans un univers non codé, loin des contraintes de la société. Nous étudierons d’abord les deuxpersonnages en présence puis nous montrerons que l’échange est d’abord visuel avant d’insister sur l’invitation très épicurienne à l’amour. ( Définition d’épicurien : partisan d’une morale qui se propose la recherche du plaisir d’après la doctrine du philosophe Epicure )

1 – Du masculin et du féminin

Le thème du texte est la rencontre entre deux personnages : un « elle » qui représente la…

Critique d’art

Barrière
Kévin
2de8 Critique d’art :2012

Note de la presse : 3.5/5 Ma note :4.5/5
Note des spectateurs :2.8/5Réalisateur : Roland Emmerich
Genre : Science-fiction
Date de sortie : 11 novembre 2009
Avec : John Cusack, Chiwetel Ejiofor, Amanda Peet.
Distributeur : Sony Pictures Releasing FranceCatastophiquement extraordinaire

La fin du monde est proche. Les Mayas, l’une des plus fascinantes civilisations nous ont laissé un message. Leur calendrier prend fin en 2012 est nous aussi. Depuis , tous les scientifiques l’ont prédit. Lorsque tout le monde commence à se détruire, Jackson Curtis et sa famille se jettent à corps perdu dans un voyage désespéré pour éviter cettedestruction. Tous ne pourront pas être sauvés.

J’ai aimé ce film car c’est en rapport avec les catastrophes naturelles et il y a de l’action avec cette famille qui essaye de fuir cescatastrophes. Ce qui m’a déçu, c’est le début du film car l’action commence au bout d’une heure donc l’attente est longue. Dans 2012, on voit bien qu’il ya une exagération car une vague qui passe pardessus l’Himalaya ce n’est pas possible. Ce film est plein d’ effet spéciaux pour impressionner le spectateur. 2012 est l’un des films catastrophe le plus impressionnant. Mais après ce filmon se pose une question, est-ce que cela pourrait nous arriver ? Plusieurs personnes s’inquiètent car il y a de grosses coïncidences comme la fin du calendrier Mayas. Plusieurs textes sacréscomme la bible ou l’Iching le plus vieux livre chinois ont prévus un changement en 2012, Plusieurs oracles et Albert Einchtein l’ont aussi prédit. Coïncidence ou prophétie ?

RolandEmmerich a également produit le jour d’après, un film catastrophe puis Arac attack, film de science-fiction. Je pense que ce réalisateur aime particulièrement les films de sciences fiction.

Histoire generale art grec

Histoire de la Grèce

1.1. Tableau résumé de l’histoire de la Grèce

|LE NEOLITHIQUE : 6500-3200 |Néolithique Ancien : 6500-5750 avant JC. |
| |Néolithique Moyen : 5750-4700 avant JC. |
||Néolithique Récent : 4700 à 3200 avant JC. |
|LA GRECE PROTOHISTORIQUE : 3200-1200 |Cultures de Sesklo et Dimini : 3200 -2600 avant JC. |
| |Helladique ancien : 2600 – 2000 avant JC. |
||Helladique moyen : 2000 – 1600 avant JC. |
| |Helladique récent : 1600 – 1200 avant JC : Mycènes |
|LES SIECLES OBSCURS : 1200-700 |Période « submycénienne » : 1200–1015.|
| |Période « protogéométrique » : 1015-875. |
| |Période « géométrique » : 875-780. |
|LA PRIODE ARCHAIQUE : 780-480 | |
|LA PERIODE CLASSIQUE : 480-323 |Période préclassique : 480-450 |
| |Premiers classicisme : 450-404 |
| |Secondclassicisme : 404-323 |
|LA ËRIODE HELLENISTIQUE : 323-31 | |

1.2. Le « submycénien » et l’âge obscur : 1200-875

|[pic]|
|Carte des principaux sites mycéniens. (Art grec) |

|[pic] |
|Centaure en terre cuite trouvé à Lefkandi.Style protogéométrique, seconde partie du Xè avant JC. La pièce, en deux parties, fut |
|découverte dans deux tombes différentes. (Art grec) |

La civilisation mycénienne disparaît brutalement vers 1200 avant JC., sans doute sous les coups des « Peuples de la mer », (bien que cette thèse soit trèscontroversée et reste hypothétique) ; puis arrive un nouveau peuple, celui des Doriens, se heurtant çà et là à une vigoureuse résistance. Il faut plus d’un siècle pour qu’Achéens et Doriens arrivent à coexister à peu près pacifiquement…
Le fait nouveau c’est qu’une société agricole éclatée remplace le système centralisé précédent. Les grands palais mycéniens sont totalement ruinés. Plus aucunegrande construction en pierre n’est entreprise ; les grandes tombes collectives sont remplacées par de modestes tombes individuelles ou par l’incinération ; la navigation s’interrompt, et par conséquence le travail du métal disparaît, faute de cuivre et d’étain ; le « Linéaire B » disparaît ; de grandes régions se désertifient (Laconie, Messénie…). Seule subsiste la céramique.
|[pic]…