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Le clonage thérapeutique
Le « clonage thérapeutique » est un terme ambigu et impropre qui a été proposé par facilité pour désigner l’utilisation des cellules souches multipotentes dérivées de blastocystes humains obtenus
selon la même technique de départ, à savoir le transfert du noyau d’une cellule somatique dans un
ovule préalablement énucléé.
L’idée sous-jacente est d’utiliser lescapacités de différenciation multiple des ES ainsi générées pour réparer des tissus adultes malades (maladie de Parkinson, diabète, cancers, infarctus, …).
Cette voie a été explorée avec un certain succès dans des modèles animaux de ces maladies, mais son application se heurte à l’impossibilité actuelle d’obtenir des blastocystes humains en suivant cette technique.
Parallèlement, des recherchesexplorent de plus en plus la possibilité d’utiliser des cellules souches issues de sources ne passant pas par l’obtention de blastocystes par transfert nucléaire.
Les sources de cellules souches adultes sont principalement le sang de cordon ombilical, le sang lui-même, mais surtout la moelle osseuse.
Que leur origine soit embryonnaire ou adulte, les cellules souches ne se heurtent pas au problème durejet immunologique et elles seront parfaitement tolérées par le système immunitaire du receveur puisqu’elles partagent le même patrimoine génétique. C’est évidemment le bénéfice thérapeutique de cette parfaite « tolérance » qui est recherché dans l’usage des cellules souches adultes ou des ES obtenues par transfert nucléaire.

Robotique coupler cellule souche et programme informatiqueGrâce à de nouvelle technique afin que les cellules souches puisse être différenciées ont utilise un programme informatique. Pour qu’un patient reçoive une greffe de vaisseau sanguin ou d’un autre organe.
La 1ere étape « l’encodage » consiste à prélever un échantillon de cellule à l’aide de puce d’ADN et de logiciels diagnostics. Les échantillons d’ADN sont convertis en codes génétiquesanalyse dans un logiciel bioinformatique puis un type d’encodage se fait entre le code génétique et informatique.
La 2eme étape est la différenciation des cellules souches est une technique de recodage. Les cellules souches sont multipotentes (cellules osseuses, musculaire ou sanguine). Les chercheurs les ciblent pour activer ou désactiver pour déclencher la régénération. Grâce aux techniques derecodage le code informatique se transforme en code génétique sur les cellules souches et les dirigent vers une voies de différenciation une fois que l’information arrive à encoder.

Dans la plupart des tissus, existent des cellules souches qui assurent le renouvellement cellulaire physiologique et participent à la régénération tissulaire après une agression. Les scientifiques sont en quêted’autres sources de cellules souches.

LES CELLULES SOUCHES EMBRYONNAIRES
CELLULES SOUCHES EMBRYONNAIRES HUMAINES
La préparation des cellules souches embryonnaires implique la production d’embryon humain et/ou l’utilisation des embryons surnuméraires issus de la fécondation in vitro, puis le prélèvement de cellules du bouton embryonnaire au stade blastocyste, nécessitant la destruction de l’embryon; ces cellules souches embryonnaires sont ensuite mises en culture pour la production d’un très grand nombre de cellules identiques. Ces cellules constituent le point de départ pour la préparation de cellules différenciées obtenues par des techniques en cours de mise au point. Ces données ont ébranlé le monde scientifique, commercial et médiatique en laissant penser que les applications duclonage pourraient ouvrir des voies nouvelles pour la thérapie de maladies graves.
Les cellules souches embryonnaires multipotentes constituent un potentiel thérapeutique très important. A l’image d’expériences menées sur des animaux (rats, souris, vaches) il devrait être possible de transplanter par exemple des neurones embryonnaires dans le cerveau ou la moelle épinière de patients pour produire…

Etre heureux

Vouloir être heureux

C’est curieux comme les hommes ne savent pas se contenter de ce qu’ils ont. Il leur en faut toujours plus : de temps, de calme, d’espace, destabilité. Sans doute ce dernier terme est-il le plus symptomatique. C’est ce qu’on imagine être le bonheur.

Nous voudrions être heureux. Nous aimerions la paix, le repos,une satisfaction solide et durable, quelque chose qui ne soit pas sans cesse perturbé, mais est-ce possible ? Viser cet idéal de satiété, n’est-ce pas se condamner à lerater ? Vouloir le bonheur serait la chose la plus paradoxale qui soit : à cause de lui, nous en voulons plus – et nous nous en éloignons !

Car c’est une idée bienvague, si vague qu’elle conduit à désirer ce que nous ne pouvons pas réellement penser. Qui sait ce qu’est le bonheur ? Qui peut nous le dire ? C’est pour chacun la totalitéde ce qu’il peut souhaiter. Mais comment pouvons-nous savoir tout ce que nous pourrions souhaiter ?

Bien sûr, nous avons une idée de ce que nous aimons. Nous goûtonsaux plaisirs du confort et de l’argent, à ceux de l’amitié et de l’amour. Mais qui sait si cela suffit ? Nous ne pouvons pas, du haut de nos petites expériences limitées,nous faire l’idée d’un bonheur complet. Nous n’aurons jamais l’assurance que nos souhaits égaleront cette belle totalité…

Car la richesse peut rendre heureux oumalheureux, l’ami peut réjouir comme trahir, l’amant nous enchanter puis nous lasser… Les expériences changent. Comment pourrions-nous donc avoir du bonheur une idée arrêtée?

Le bonheur n’est pas inaccessible, mais inconnaissable. Peut-être faut-il en accepter simplement les surprises. Ne nous rendons pas malheureux à cause du bonheur.

The art of war – sun tzu

One of the big ideas of The art of the war is in the consideration of all the available potential, of partners or enemies, whatever is the situation. As Sun Tzu said : “Knowing the other and knowingoneself, in one hundred battles no danger. Not knowing the other and knowing oneself, one victory for one loss. Not knowing the other and not knowing oneself, in every battle certain defeat.”
Thegame consists in making them turn in your own profit. The strategy is not an exact science, and requires some creativity. What we have to make, it is necessary to make it done by the enemy. The thoughtof Sun Tzu is the opposite of the the direct way, frontal and destructive strategy which has difficulties producing qualitative changes.

Two important principles which govern the Chinese thoughtare the economy and the harmony. It is necessary to avoid the destruction or the resentment difficult to overcome, to by-pass or to manage afterward. In other words, it is necessary to reflect aboutthe consequences of any action, and to choose the one who protects more the available resources.

In The art of the war, it is about situational strategy in a perpetual transformation context. This iswhy the text of Sun Tzu is still studied, in the heart of the globalization and of the global interdependence. The world is in perpetual change and creates opportunities permanently for which it isnecessary to show speed. The solution : the network. More active and skillful than any strenght of important size, it handles the information quickly if the objective is common. It is what writes SunTzu : it is not the size of an army which insures its victory.

On the practical side, The art of the war does not obviously apply as a ready for use method. And nobody would say that he appliedsuch stratagem of Sun Tzu. However, we can say that a friendly Public Takeover Bid can be a real illustration of the ideas of Sun Tzu. Convince the opposition that they lost the battle is the best way…

Travaux de fin d’exercice

Élaborer un budget sous tableur

Public visé : classe de terminale baccalauréat professionnel comptabilité

Outils mis en œuvre : * tableur,
* traitement de textes.

Période : 2ème trimestre, classe terminale

Compétences professionnelles :
1.8.2 : Participer à l’élaboration d’une prévision :
– établir un tableau prévisionnel des encaissements et décaissements
1.1.2 :Utiliser un tableur :
– réaliser une simulation

Connaissances associées :
1.2.5.2 : La prévision
– la prévision de la trésorerie

Intérêts pédagogiques :
? connaître les outils notamment de communication,
? apprécier l’efficacité du logiciel tableur,
? connaître le monde professionnel,
? prendre conscience des principaux éléments de réflexion préalables nécessaires àl’élaboration d’un budget,
? transversalité avec cours de mathématiques, comptabilité.

Possibilité d’extension : – analyse de la rentabilité globale,
– analyse de la rentabilité par type de stage.

On fournira dans ce cas les clés de réparti-

tion des frais de structure et des charges parproduit.

SARL SPORTS BALLADE

Une organisation de sport nature, la SARL Sports Ballade, propose des activités de randonnée et de découverte de la nature dans les monts de Lozère. Le responsable de cette structure demande la mise en place d’une gestion de trésorerie. Vous devez établir, en euros, le budget de trésorerie de cette entreprise pour le 1er semestre de l’année. Pour ce faire,vous disposez des renseignements suivants :

Les activités (en nombre de participants)

|Mois |Randonnée |
| |VTT (2 jours) |Gastronomie (2 jours) |Photo (2 jours) |
|Janvier |45|29 |18 |
|Février |52 |32 |36 |
|Mars |65 |47 |45 |
|Avril |85 |68|34 |
|Mai |100 |57 |65 |
|Juin |120 |60 |58 |

|Remarque : |tous les stages durent 2 jours et 2 nuits, du lundi soir au mercredi soirou du mercredi soir au vendredi soir. |

Les tarifs des différents stages

Le tarif comprend les activités, l’hébergement et la restauration.

Stages randonnée VTT : 84,00 ? HT
Stages randonnée gastronomie : 119,00 ? HT
Stages randonnée photo : 102,00 ? HT

En moyenne, les participants règlent 70 % de leur stage au comptant et le reste à 30 jours fin de mois.

Les dépenses del’organisation

Les achats de fournitures photo correspondent à 15 % du chiffre d’affaires du stage randonnée photo. Le règlement de ces dépenses s’effectue à 30 jours fin de mois.

Les achats d’approvisionnement HT sont les suivants :

|Janvier |Février |Mars |Avril |Mai |Juin |
|305|534 |686 |885 |825 |854 |

Ces achats sont payés pour 60 % à 30 jours fin de mois, le reste est payé comptant.

Les achats de prestations de service (HT) concernant la découverte en gastronomie correspondent à 30 % du chiffre d’affaires du stage concerné. Ces achats sont réglés pour 40 % au…

Furom social mondial

Forum Social Mondial et objectifs des altermondialistes
La contestation des altermondialistes est active dans plusieurs domaines surtout en matière financière, environnementale, agricole,anticonsommation, droits de l’homme, humanitaire, et syndical. L’altermondialisme rejette la mondialisation dans sa forme actuelle, elle propose une autre mondialisation plus solidaire, pluséquitable, et qui respecte l’environnement et les droits universels de l’homme. Les acteurs altermondialistes sont mobilisés localement et à l’internationale. « Les altermondialistes reprochent ànotre société libérale d’être, dans les faits, dominée par les multinationales, les états prétendument démocratiques étant en réalité au service de ces sociétés. Ils accusent donc les régimespolitiques à économie de marché d’être faussement démocratiques. » Sous le slogan « un autre monde est possible », plusieurs groupes se rencontrent dans le Forum Social mondial (FSM) pourdiscuter et débattre des différentes orientations proposées dans le but de remplacer le monde actuel. Ces mouvements ont tous un combat en commun, c’est l’opposition au néo-libéralisme et à ladomination du monde par le capital et par toute forme d’impérialisme. Alors pour ces communautés, « le Forum Social Mondial est un espace de débat démocratique d’idées, d’approfondissement de laréflexion, de formulation de propositions, d’échange d’expériences et d’articulation de mouvements sociaux, réseaux, ONGs et d’autres organisations de la société civile. » Ces rencontressont organisés par plusieurs acteurs nationaux et internationaux, par exemple, les trois premières éditions du Forum Social Mondial, qui ont eu lieu en 2001, 2002 et 2003 à Porto Alegre (auBrésil) ont été organisées par un comité organisateur (CO) constitué de huit organisations brésiliennes : Abong, Attac, CBJP, Cives, CUT, Ibase, MST et Rede Social de Justiça e Direitos…

Disserte d’economie

Montrez que le contrat de travail s’adapte aux besoins des entreprises tout en protégeant le salarié.
Le contrat de travail existe dès l’instant où une personne, le salarié s’engage à travailler, en échange d’une rémunération, pour le compte et sous la direction d’une autre personne, l’employeur. Le plus souvent, le contrat de travail doit être écrit. Son exécution entraîne un certain nombred’obligations, tant pour le salarié que pour l’employeur. Mais est ce que le salarié est protégé tout en répondant aux besoins de l’entreprise ? Pour répondre à cette question nous allons voir s’il est vrai que le salarié estprotégé en définissant le contrat de travail et son lien de subordination ainsi que les différentes formes de ce contrat puis dans un second temps nous verrons les pouvoirs del’employeur et comment le salarié est protégé .

Les différents contrats de travail et le lien de subordination.

a)le lien de subordination qui caractérise le contrat de travail : le droit ne donne pas de définition du contrat de travail, c’est la jurisprudence qui l’a défini. Le contrat de travail se caractérise essentiellement par le lien de subordination. Eneffet le contrat detravail est une convention par laquelle une personne réalise un travail au profit d’un autre contre une rémunération et en se plaçant sous la subordination juridique. Il y a trois critères qui caractérisent le contrat de travail : une prestation de travail, une rémunération due en contrepartie, et le lien de subordination. Quelle que soit la forme du contrat de travail, l’existence d’un lien desubordination fonde l’autorité de l’employeur sur le salarié. Cette autorité s’exprime au travers de son pouvoir de direction, de son pouvoir réglementaire et de son pouvoir disciplinaire. Qu’elle que soit le contrat de travail, le lien de subordination est présent.

b) les différentes forme du contrat de travail : On distingue deux formes différente de contrat de travail, le contrat a duréedéterminée et les contrats précaires. Le contrat a durée indéterminée (CDI) que l’on appel aussi contrat de droit commun est un contrat de travail qui est conclu en principe sans détermination de durée. Il a pour objectif de garantir au salarié une stabilité l’emploi pour résister au mieux aux abus potentiel de l’employeur. Il prend en compte certaine clause comme la clause de non-concurrence, qui engagele salarié a ne pas concurrencé l’entreprise. Enfin nous avons les contrats précaires qui comportent deux contrats le CDD et le CTT. Le CDD, contrat a durée déterminée est un contrat de travail conclu entre l’employeur et un salarié où la durée est déterminé, il prend donc fin a l’arrivé du terme fixé par les parties. Le CTT, le contrat de travail temporaire est un contrat de travail conclu entreune entreprise de travail temporaire et un salarié, qui effectue une mission dans une entreprise utilisatrice. Touts ces contrats de travail sont soumis aux pouvoirs de l’employeur mais les salariés disposent de nombreuses protections.

La protection du salarié et les pouvoirs de l’employeur.

a)les pouvoirs de l’employeur : On distingue 3 types de pouvoirs. Dans un premier temps lepouvoir de direction qui permet a l’employeur de garantir le bon fonctionnement de l’entreprise, car il dispose d’un pouvoir de direction qui lui permet de prendre l’ensemble de la décision nécessaire comme l’embauche d’un salarié. Ensuite nous avons le pouvoir réglementaire, qui avec le règlement intérieur, l’employeur établit des règles générales et permanentes applicables dans l’entreprise.Cela défini le pouvoir règlementaire de l’employeur. Le règlement intérieur s’impose aux salariés, sans que ceux-ci aient besoin d’y consentir. Puis enfin il y a le pouvoir disciplinaire, où l’employeur dispose du pouvoir de contrôler et de surveiller l’activité de ses salariés pendant le temps de travail. Ce pouvoir ne doit pas s’exercer à l’insu du salarié. Mais tout comportement fautif du…

Importance de la philosophie, la science et la religion chez aristote, descartes et galilée

Travail préparatoire sur Dom Juan de Molière
Analyse du thème de la liberté

1. Comment caractérisez-vous le type de relations que le personnage principal, Don Juan, entretient avec les femmes?Donnez des exemples avec citation a l’appui.
Les relations que le personnage principal, Don Juan, entretient avec les femmes est une relation différente que ceux qu’on voit dans la vie de tous lesjours. Don Juan sait comment faire tomber en amour les femmes seulement avec ces paroles. Selon lui, il n’a pas besoin de connaître la femme depuis longtemps, un premier regard suffit pour savoir si elleva tomber amoureuse de lui. Par exemple, lorsque le charmeur rencontre Charlotte dans la pièce de Don Juan de Molière : « D’où me vient, la belle, une rencontre si agréable? Quoi? Dans ses lieuxchampêtres, parmi ces arbres et ces rochers, on trouve des personnes faites comme vous êtes ? » (page 28, lignes 487 à 489)
2. Que signifie la liberté pour Don Juan? Appuyez votre explication avec unecitation.
La vie de Don Juan est très différente de celle des autres personnages, car selon lui il est le maître de son univers. Selon lui il est libre, mais dans la pièce, son père vient essayer de luiremettre la réalité devant les yeux. Comme Don Louis le rappelle si bien à son fils dans la pièce de Molière : « […] Ah! Quelle bassesse est la vôtre! Ne rougissez-vous point de mériter si peu votrenaissance? Êtes-vous en droit, dites-moi, d’en tirer quelque vanité? Et qu’avez-vous fait dans le monde pour être gentilhomme? […] » (page 67, lignes 1322 à 1325)

3. Relevez quelques moments (aveccitation a l’appui) dans la pièce où Don Juan fait montre de scepticisme autant religieux que philosophique.

4. Est-il vrai d’affirmer que la plupart des personnages n’adoptent pas le même style devie que Don Juan et qu’ils n’adhèrent pas à la même conception de la liberté? Expliquez-vous avec des extraits à l’appui.
En effet, la plupart des personnages n’adoptent pas le même style de vie…

Le romantisme

Le romantisme commence en Allemagne, Novalis en définit le programme dès 1798 : « Le monde doit être romantisé. Ainsi on retrouvera le sens originel. […] Quand je donne aux choses communes un sensauguste, aux réalités habituelles un sens mystérieux, à ce qui est connu la dignité de l’inconnu, au fini un air, un reflet, un éclat d’infini : je les romantise »[1].

En France on a donné le nomde romantisme au grand courant littéraire qui a commencé aux environs de 1820 et s’est poursuivi jusqu’aux alentours de 1850, pendant la Restauration et la Monarchie de Juillet. Ce nom désigne un artoù l’imagination et la sensibilité prédominent sur tout autre faculté de l’esprit. Plus généralement, il évoque des formules diamétralement opposées à celle de l’art dit classique des XVIIe et XVIIIesiècles.

La définition du romantisme, c’est d’être « indéfinissable », écrit la duchesse de Duras en 1824[2].

Le mot romantisme n’a pris ce sens précis que tardivement. La crise romantique de lalittérature française n’est qu’un des aspects tardifs d’un mouvement bien plus général, qui s’est fait sentir dans l’Europe. Comme la France, l’Angleterre, l’Allemagne, la Russie ont eu leurs romantiques,et au nom de Hugo répondent ceux de Byron, de Novalis et de Pouchkine. L’art pictural n’est pas moins concerné que la littérature avec Delacroix, David d’Angers, et la musique avec Berlioz, Wagner.Baudelaire a proposé sa définition du romantisme au Salon de 1846 : « Le romantisme n’est précisément ni dans le choix des sujets ni dans la vérité exacte, mais dans la manière de sentir. Ils l’ontcherché en dehors, et c’est en dedans qu’il était seulement possible de le trouver. Pour moi, le romantisme est l’expression la plus récente, la plus actuelle du beau. Il y a autant de beautés qu’il ya de manières habituelles de chercher le bonheur. La philosophie du progrès explique ceci clairement; ainsi, comme il y a eu autant d’idéaux qu’il y a eu pour les peuples de façons de comprendre…

Bel ami

?

Résumé BEL AMI
Première partie
Chapitre I
Georges Duroy est un ancien sous-officier, arrogant, animé par un ardent désir de réussite sociale. Il erre dans les rues du Paris des années 1880, sans argent. Il rencontre un ancien ami, Charles Forestier rédacteur politique à La Vie française. Pour pouvoir réussir, Forestier lui conseille de prendre la voix du journalisme. Duroy est alorsinvité à dîner chez son ami où il fait la connaissance de M. Walter, le patron, d’autres journalistes et de femmes.
Chapitre II
Duroy, d’une grande élégance, se rend chez Forestier où il se met à relater ses souvenirs d’Afrique après avoir donné l’image d’un jeune homme intimidé par la présence de son patron.
La facilité avec laquelle Duroy fait revivre ses souvenirs attire l’attention de tous eten premier lieu celle de trois femmes : Mme Forestier, Mme Marelle et Mme Walter. M. Walter veut le revoir le lendemain et lui demande un article sur l’Algérie.
Chapitres III et IV
Duroy se retrouve chez lui, dans une chambre insalubre et tente de rédiger l’article que lui a demandé M. Walter. La plume tarde à épouser le papier et Duroy ressasse son passé, pense à sa Normandie natale, à sesparents qu’il ne veut pas décevoir. Il confie son manque d’inspiration à Forestier qui lui propose de rencontrer sa femme, talentueuse dans l’art d’écrire des chroniques.
Mme Forestier, après l’avoir écouté attentivement, lui montre comment rédiger un papier captivant. Elle pousse ensuite Duroy à se rendre chez Mme de Marelle tandis qu’arrive le comte de Vaudrec, ami des Forestier.
Au journal La VieFrançaise, Duroy s’étonne de trouver des femmes journalistes. Forestier l’introduit dans le bureau de M. Walter qui l’engage pour poursuivre sa série d’articles sur l’Algérie.
Duroy découvre le bonheur de lire son article dans le journal et commence à se fondre dans cette atmosphère journalistique.
Un début d’apprentissage s’opère alors mais Duroy n’évolue pas encore, il doit sans cesse faireappel à Forestier qui finit par lui refuser. Duroy doit alors se résigner à embrasser sa carrière de journaliste sans soutien extérieur.
Chapitre V
Les progrès de Duroy tardent à se faire sentir. Il se souvient alors du conseil de Mme Forestier l’incitant à aller rendre visite à Mme de Marelle. Lors de sa visite, Duroy se fait une amie, la petite Laurine, fille de Mme de Marelle. Puis c’est Mme deMarelle qui se laisse séduire par cet homme élégant.
Après un dîner chez Forestier, Duroy raccompagne Mme de Marelle et lui fait la cour. Peu après elle cède à ses avances et des rendez-vous se succèdent, chez elle, où Laurine baptise Duroy du nom de « Bel Ami », dans la triste chambre qu’il habite, puis enfin dans une garçonnière qu’elle loue pour qu’ils puissent donner libre court à leursébats.
Le peu d’argent que possède Duroy est vite dilapidé dans les plaisirs qu’offre Paris. Mme de Marelle, ayant perçu les limites financières de son amant, lui fait régulièrement don de petites sommes qu’il rechigne à accepter. Duroy doit satisfaire tous les caprices de cette femme qui lui demande de l’amener aux Folies Bergère, où Rachel, une ancienne conquête du séducteur, le reconnaît. Duroy sesauve laissant Mme de Marelle.
Chapitre VI
Duroy confesse à Mme Forestier qu’un sentiment amoureux est en train de naître à son égard. Aussitôt elle le remercie et évoque sa conception de l’amour qu’elle considère comme un danger. Mme Forestier invite Duroy à se rendre chez Mme Walter.
Duroy sait se faire apprécier de la gente féminine. La semaine suivante il devient chef des Echos, considéréscomme le noyau du journal.
C’est alors qu’il met tout en oeuvre afin de profiter de la voie qui s’est ouverte à lui et de poursuivre son but : gravir encore des échelons. Les choses s’accélèrent. Il reçoit l’invitation gratifiante des Walter, perçoit ensuite un salaire bien plus élevé. Il pense cependant toujours à ses modestes parents restés en Normandie.
Un grand dîner l’attend en compagnie…

Referenciel des assistants de service social

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REFERENTIEL PROFESSIONNEL DES ASSISTANTS DE SERVICE SOCIAL

DEFINITION DE LA PROFESSION ET DU CONTEXTE DE L’INTERVENTION L’assistant de service social exerce de façon qualifiée, dans le cadre d’un mandat et de missions spécifiques à chaque emploi, une profession d’aide définie et réglementée (article L411-1 et suivants du code de l’action sociale et des familles) dans une diversitéd’institutions, de lieux et de champs d’intervention. Les assistants de service social et les étudiants se préparant à l’exercice de cette profession sont tenus au secret professionnel dans les conditions et sous les réserves énoncées aux articles 226-13 et 226-14 du code pénal (article L411-3 du code de l’action sociale et des familles). Dans le cadre des missions qui lui sont confiées, l’assistant deservice social accomplit des actes professionnels engageant sa responsabilité par ses choix et ses prises de décision qui tiennent compte de la loi et des politiques sociales, de l’intérêt des usagers, de la profession et de ses repères pratiques et théoriques construits au fil de l’histoire, de lui même en tant qu’individu et citoyen. Dans une démarche éthique et déontologique, il contribue à créerles conditions pour que les personnes, les familles et les groupes avec lesquels il travaille, aient les moyens d’être acteurs de leur développement et de renforcer les liens sociaux et les solidarités dans leurs lieux de vie. Dans ce cadre, l’assistant de service social agit avec les personnes, les familles, les groupes par une approche globale pour : – améliorer leurs conditions de vie sur leplan social, sanitaire, familial, économique, culturel et professionnel, – développer leurs propres capacités à maintenir ou restaurer leur autonomie et faciliter leur place dans la société, – mener avec eux toute action susceptible de prévenir ou de surmonter leurs difficultés. Il est force de propositions pour la conception des politiques sociales, les orientations générales et les missionsdéveloppées par l’organisme qui l’emploie, ce qui l’amène à occuper des fonctions de nature différente pouvant nécessiter une spécialisation ou l’exercice de responsabilités particulières en conformité avec les finalités de sa profession. L’assistant de service social à partir d’une analyse globale et multiréférentielle de la situation des personnes, familles ou groupes procède à l’élaboration d’undiagnostic social et d’un plan d’intervention conclu avec la participation des intéressés. Il contribue aux actions de prévention, d’expertise ainsi qu’à la lutte contre les exclusions et au développement social en complémentarité avec d’autres intervenants. Il initie, promeut, participe, pilote des actions collectives et de groupes dans une dynamique partenariale et d’animation de réseau en favorisantl’implication des usagers.

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En lien avec les établissements de formation, il a également pour mission de transmettre son savoir professionnel par l’accueil de stagiaires sur des sites qualifiants. Les secteurs d’intervention des assistants de service social sont diversifiés : – Fonction Publique de l’Etat (Ministères chargés des affaires sociales, de l’éducation nationale, de la Justice,de la défense….), – Fonction Publique Territoriale (Conseils Généraux, Mairies, Centres communaux d’action sociale), – Fonction Publique Hospitalière, – Organismes de protection sociale (Caisses primaires d’assurance maladie, Caisse d’allocations familiales, Mutualité sociale agricole), – Union nationale des associations familiales, – Etablissements de santé publics et privés, – Etablissements etServices médico-sociaux et sociaux, – Entreprises publiques ou privées, – Associations, – Secteur Libéral, – Politique de la ville. La diversité des secteurs d’emploi amène une pluralité de fonctions et d’activités des assistants de service social qui s’exerce par des moyens adaptés à l’intervention et diversifiés tels que les permanences et les visites à domicile et de tout autre moyen que…