De gaule appel du 18 juin communication politique

C U R R I C U L U M V I T A E

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|IDENTIFICATION |
|Nom : LIPOT |Prénoms :Sosthène Médard |
|Date et lieu de naissance : 28 novembre 1964 à Yaoundé (Cameroun) |
|Nationalité : Camerounais |Situation matrimoniale : Marié – 3 enfants |
|Tél. : (237) 99 87 49 41 / 22 01 26 31|E-Mail: [email protected] |
|Ville: Yaoundé |Pays: Cameroun |
|Matricule : 544 471 M | |

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|EXPERTISE |
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|Gradesprofessionnels |Enseignant/Chercheur à l’ESSTIC –Université de Yaoundé 2 |
| |Expert/consultant en communication |
| |Journaliste principal|
|Domaines de compétences | |
| |Journalisme (presse écrite, radio, télévision, cyber) |
| |Communication (communication d’entreprise, communicationpolitique, publicité, édition) |
| |Art critique littéraire et analyse culturelle |
| |Communication de crise et management de l’imprévisible |

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|FORMATION ACADEMIQUE |
|Année | Ecole |Intitulé du diplôme ou de la formation |
|2009 |Ecole Supérieure de Sciences et Techniques de|Thèse Ph.D en préparation : Sciences de l’Information et de la |
|2008 |L’Information et la Communication (ESSTIC) |Communication : Externalités – Télévision : Spécialité Socio économie |
| | |et Communication politique |
|2007 |Ecole Supérieure deSciences et Techniques de |Thèse Master’s soutenue en Sciences de l’Information et de la |
| |L’Information et la Communication (ESSTIC) |Communication sur la compétence médiatique et les modèles culturels à |
| | |la Télévision. Spécialité : Socio économie et Communication politique |
|1999 |…

Obeir est-ce renoncer a sa liberte?

Sujet : Obéir est-ce renoncer à sa liberté?

1- Sur quoi se porte la question ?

Cette question se porte sur la relation de cause à effet de l’obéissance.
En effet, l’obéissanceconsiste à se soumettre a des personnes (des parents, son patron, son professeur, les lois.)
Tandis que la liberté consiste à faire ce qu’il nous plait sans se soucier de personne.Néanmoins il existe des limites à notre liberté. L’homme ne peut faire ce qu’il lui plait. En effet, ces actes peuvent avoir pour conséquences des sanctions sévères quand elles touchent d’autres personnes.Par exemple, quand un homme roule dans sa voiture et dépasse la limite de vitesse, il pourrait causer une grave accident grave voire mortel, ainsi les conséquences seraient le retrait du permis deconduire si ce n’est pas la première fois, ou des retraits de points.

2- Pourquoi cette question est-elle posée?

Apres une analyse plus profonde, on se rend compte qu’il y a différentsmanières de comprendre la notion d’obéissance.
L’obéissance peut être une contrainte mais peut aussi être l’accès de la liberté

3- Comment répondre à cette question?

Enlisant la question on pourrait être tenté de penser que l’obéissance est une contrainte a tous, elle nous met en position d’infériorité or ce n’est pas le cas

Dissertation

Sujet :Obéir, est-ce renoncer à sa liberté ?

L’obéissance signifie telle perdre sa liberté ?

Introduction

L’homme a coutume de se sentir libre à tout moment de sa vie. Ne pasavoir à être soumis à des ordres. Quand l’homme obéit, il a le sentiment de ne pas pouvoir faire ce qu’il lui plait.
Il sent qu’il n’est plus réellement libre.

Mais l’homme pourêtre libre, doit obéir à des règlements ou lois, ses parents ou son patron.

L’obéissance est-ce perdre sa liberté?

Plan

Dans un premier temps, nous allons définir les…

Livre

L’autre , l’esclavage en question :

Objectif : Déterminer les étapes de l’argumentation .

Rappels historique : L’Europe du moyen âge a était en contacte avecd’autres civilisations en particulier avec les arabes qui était en Espagne au 14 eme siècle et les chinois aux 18 eme siècle grâce au voyage de Marco polo . Audébut du 15eme siècle la route des Indes devient dangereuses , l’Europe cherche de nouvelles routes maritimes et débouchées économique , elle semait a la conquête del’Amérique pour exploiter de la mains d’œuvre et on commence l’importation d’esclaves venu d’Afrique .

Une présentation scientifique du noir au 19eme siecle .

Race—–blanche
Espèce—nègre – Différences biologique , capacités intellectuelles

LE NOIR OU LE NEGRE

Thèse : Déterminer la place des blancspar rapport au noir . Pour l’auteur l’ Homme blanc est supérieur en même temps il refuse la thèse de l’esclavage .
Thème :Le thème répond a la question, de quoi parlele thème , pour le déterminer ont vas repérer le champ lexical déterminant . La thèse est le point de vue soutenu par l’auteur , il peut être implicite ou explicite, il arrive qu’une thèse énoncé s ‘oppose a une thèse refusé .
Cette était se veut scientifique , il part d’observation anatomique pour conclure un jugement devaleur .

L’auteur utilise des artifices rhétorique pour appuyer des théories pseudo scientifique d’une observation du système nerveux il rabaisse les noirsd’animalité . L’auteur en déduit un rapport de domination il faut éduquer et protéger les noirs il justifie donc le colonialisme ; c’est un texte raciste et paternalisme

Y’a-t-il une vertu de la richesse ?

Y’A-T-IL UNE VERTU DE LA RICHESSE ?

Nous avons coutume de considérer la richesse comme la possession d’une quantité importante de biens d’une grande valeur, en nature comme en argent, d’en faire le synonyme du luxe, de l’ostentatoire, de l’abondance. Par conséquent, la vertu, que nous définissons souvent comme une valeur morale intrinsèque à notre conception de la sagesse et de la raison, etdans laquelle nous plaçons la générosité, la tempérance, le courage, la justice ou l’humilité, nous apparaît comme l’exact opposé de la richesse. La vertu, force morale avec laquelle l’être humain tend au bien, ne peut se trouver dans la richesse, qui tend bien trop souvent à l’assouvissement des désirs, au vice, à une conduite déraisonnable et à des actes qui ne sont pas toujours pensés à leurjuste mesure.
Cependant, il existe des richesses morales, et dans ce cas on ne peut tout à faire séparer la notion de vertu de cette notion de «richesse morale» à l’intérieur de laquelle nous plaçons souvent les mêmes dispositions à accomplir des actes moraux à la différence que les richesses morales sont données et naturelles par rapport à une vertu qu’on ne cesse d’acquérir et qui sous-entend,le plus souvent, une contrainte et un effort de volonté.
De même, la richesse ne s’amasse pas ni ne sert forcément à assouvir des actes immoraux et répréhensibles: la richesse permet, dans la cadre d’une démocratie, le principe d’une harmonie naturelle des intérêts en permettant l’accès de chacun à des conditions de vie correctes, à la culture ou bien à l’éducation et permet entre autres des’entourer de belles choses; en les partageant, nous pouvons nous sentir enrichis d’un avis extérieur. La richesse vient donc également du niveau de savoir et de culture, elle n’est pas exclusivement issue des biens matériels. Ainsi, la vertu n’est pas seulement, dans ce contexte, le fait d’agir et de posséder des qualités qui font l’objet d’une louange et d’une approbation morale, mais aussi lefait d’agir en vue du développement de l’être humain au sein d’une cadre particulier, celui d’une société. Enfin, remarquons que la richesse se gagne: or, le mérite est une vertu. Le travail serait-il alors la preuve qu’une vertu de la richesse existe ?
Ainsi, y-a-t-il forcément une incompatibilité totale entre vertu et richesse ? La richesse ne conduit-elle qu’au vice, ou peut-elle être unprincipe actif de vertu ?

Au premier abord, vertu et richesse semblent tout à fait incompatibles: en effet, la richesse est assimilée à ce qui est produit et peut être vendu, contrairement à la vertu qui est une qualité morale non quantifiable en termes monétaires. De plus, la richesse s’applique au monde quotidien, tandis que la vertu appartient plus à un idéal moral vers lequel nous tendons: larichesse apparaît plus triviale que la vertu. Elles n’évoluent pas dans les même sphères: l’une évolue dans une sphère économique, l’une dans une sphère morale. Comment pourrait-on concilier les deux, voire même trouver de l’une dans l’autre ? Jean-Baptiste Say explique dans ses Cours qu’on peut définir la richesse comme l’ensemble des ressources matérielles d’un pays, qui sont consommables etéchangeables: elle ne peut donc être séparée de la notion d’argent. Dans le sens courant, d’ailleurs, la richesse est souvent vue comme la possession d’une quantité importante d’argent nous permettant un accès plus ou moins vaste à des services, produits, suivant nos disponibilités financières: c’est le pouvoir d’achat. Dans le modèle capitaliste, cet argent doit être «travaillé » afin d’accumuler duprofit qui permettra aux richesses d’être décuplées: la richesse engendre la richesse, et dans cette quête, seul le profit nous intéresse, celui-ci étant atteint par le biais de la spéculation, la circulation et l’échange de biens et des services. Ce qui est visé, c’est un accroissement infini du capital qui peut cependant vite dériver vers la démesure d’une exploitation des hommes et des…

Peut-on nous reprocher ce que nous sommes ?

Dissertation en religion
Peut-on nous reprocher ce que nous sommes ?

Tout d’abord, je pense que deux réponses sont possibles pour cette question. En effet, la première réponse possibleest que les êtres humains à la base sont faits de façon égale et chacun peut décider de la manière dont il veut concevoir sa vie, son avenir. L’homme peut choisir de faire le bien ou lemal, il sait ce qu’il fait. A partir du moment où ce que nous sommes est un choix alors oui, je pense que l’on pourra nous le reprocher.
La deuxieme réponse possible est qu’ il sera toujourspossible de reprocher à quelqu’un ce qu’il est. Le plus difficile, c’est de savoir si ce reproche est un acte légitime ou pas . En effet, il faut d’abord savoir si la personne estresponsable de ce qu’elle est, c’est-à-dire, si la situation aurait pu en être autrement par sa simple volonté, par une simple réflexion sur les conséquences ou si cela faisait partie de sa proprenature. Notre choix pour être ce que nous sommes dépend très souvent de l’éducation de nos parents, de notre situation familliale, du millieu dans lequel on vit, de nos fréquentations, denotre caractère, etc. Par exemple, une personne de bonne famille sera moins tenté par la délinquance qu’une personne qui vit dans un quartier difficile ou dans une famille à problèmes. Onne peut pas blamer les personnes qui ont une autre religion, une autre couleur de peau, un physique différent du nôtre et les critiquer ne nous rendra certainement pas meilleurs ni plusbeaux. Enfin, accepter une personne differente de nous, c’est faire preuve de maturité et d’humilité.
En conclusion, on pourra toujours reprocher une chose à quelqu’un parce que personnen’est parfait et que tout le monde est différent. Chaque personne a ses propres défauts. Et qu’il faut d’abord se reprocher des choses à soit même avant de reprocher des choses aux autres .

Pouvons-nous comprendre une civilisation qui nous est étrangère?

Pouvons-nous comprendre une civilisation qui nous est étrangère?

Chaque civilisation se définit par des pratiques sociales, une langue, une religion, des arts et techniques, qui la fontapparaître comme unique. Aussi, comprendre une civilisation qui nous est étrangère est un travail complexe, dans la mesure où cette compréhension ne peut s’effectuer que sur la base de la civilisation quiest déjà la nôtre. Comment alors accéder à l’autre sans teinter notre compréhension de préjugés ou d’opinions qui viennent de notre culture ?

La difficulté d’y parvenir:
Lorsque l’historien tente decomprendre une civilisation appartenant au passé, il ne peut que la décrire, sur la base des objets et documents qu’il découvre. Or cette description extérieure n’est pas une compréhensionintérieure.
Car pour comprendre il doit y avoir expérience ou vécu : je ne peux pas comprendre ce qui m’est absolument étranger, je ne peux que m’y habituer et le vivre de l’extérieur.
Enfin, si j’essaie decomprendre ce ne sera que sur la base de ma propre culture : ainsi, Montaigne a critiqué les essais de l’occident à comprendre la civilisation cannibale, nos critères n’étant pas les mêmes.

Une basecommune:
Pourtant, quelque soit la civilisation qui nous est présentée, il y a malgré tout un point commun, qui est l’humanité : je peux comprendre l’autre, car comme moi il est un homme,c’est-à-dire un être raisonnable.
Cette appartenance à une humanité commune me permet d’inférer que l’autre possède des sentiments, des valeurs, etc. : il y a donc différence, mais jamais étrangeté radicale, cequi permet donc la compréhension sur un terrain commun.
Rejeter un tel terrain commun, et prétendre qu’une civilisation (la nôtre) aurait le privilège de l’humanité, c’est se comporter soi-même enbarbare, comme l’a vu Lévi-Strauss : « le barbare, c’est d’abord l’homme qui croit en la barbarie. »

Problèmes d’interprétation:
La forme la plus accessible de cette compréhension est la…

Cessation du 1er ministre

Cours td droit civil n°2
Il ne peut être porté atteinte à l’intégrité du corps humain qu’en cas de nécessité médicale de la personne.
Or le cas d’urgence la loi interdit qu’une intervention thérapeutique soit pratiquée sur une personne sans son consentement préalable.
La cour s’appuie sur l’art 16-1 du code civil qui dispose qu’il peut être porté atteinte à l’intégrité de la personne enc as de nécessité thérapeutique.
Le prélèvement de parties du corps humain sur une personne vivante majeure sont illicites du seul fait qu’ils sont pratiqués sans que le consentement de cette personne ait été recueilli.
Le fait de prélever un organe est puni de 7 ans d’emprisonnement et de 100 000 euros d’amende. Et le fait de prélever du sang sans l’accord de la personne est puni de 5 ansd’emprisonnement 150 000 euros d’amende. Art 1271-2 alinéa 1er du code de la santé publique.
Les tempéraments du corps humain
Ce principe est opéré dans le cadre d’une mesure d’instruction. Si l’intéressé s’y oppose cette mesure ne peut pas demander une exécution par la force.
L’identification d’une personne par ses empreintes génétiques peut être ordonnée par le juge, dans le procès pénall’identification peut être ordonnée comme mesure d’enquête, d’instruction, et en matière civile, ces empreintes génétiques vont pouvoir être ordonnées dans une action à des fins de subsides.
Cette mesure ne peut pas être exécutée de force, mais le juge va évidemment tirer des conséquences d’un refus. Chaque citoyen a l’obligation d’apporter son concours à la justice pour la manifestation de lavérité, mais le juge peut tirer toute conséquence de ce refus (art 10 du code civil)
Tout d’abord, diverses décisions vont ordonné en vue de l’identification d’un défunt par examen génétique, un prélèvement de tissus sur son cadavre après exumation. Va se poser le problème du consentement à une atteinte à l’intégrité corporelle.
La loi du 6 out 2004 est venu modifié l’art 16-11 du code civil, etaujourd’hui, sauf accord express de la personne manifesté de son vivant, aucune identification par empreinte génétique ne peut être réalisé après sa mort. Le conseil d’état indique qu’il serait au mieux de modifier cette disposition, et le conseil d’état propose qu’il pourrait y avoir un principe de volonté présumée. On peut déroger à cette interdiction si le défunt a manifestement exprimer sonautorisation, et s’il n’a pas indiqué le contraire, on présume qu’il est d’accord. On appelle cela le principe du consentement présumé.
L’intervention chirurgicale d’urgence, en cas d’urgence un chirurgien peut pratiquer une intervention sur un individu sans son consentement de celui ci ni celui de sa famille.
Autre exemple, la circoncision : on considère que l’opération ne met pas en périlla santé de l’enfant et que le respect des conditions religieuses doit prévaloir.
La correction parentale, le droit français incluse un droit de correction manuelle des parents sur la personne de leur enfant.
Le prélèvement d’organe sur une personne majeure décédée, à des fins thérapeutiques ou scientifiques. L’art 1232-1 du code de la santé publique prévoit qu’à des fins thérapeutiques ouscientifiques, on peut prélever des organes sur une personne majeures décédée, si cette personne n’a pas fait connaître de son vivant son refus d’un tel prélèvement.
Principe de l’indisponibilité du corps humain: il s’agit qu’une personne n’est pas propriétaire de son corps et que nul autre ne l’est. Ce principe est lié au principe juridique de dignité de la personne humaine inscrit à l’art 16 ducode civil.
Doc 3 : la pratique des maternités de substitution est-elle licite ?
Pour la cour de cassation le principe des maternités de substitution porte atteinte au corps humain et au principe de l’état des personnes. Indisponibilité du corps de la mère et celui de l’enfant. Le corps humain n’est pas commerciable et ne peut faire l’objet d’un contrat art 1128 du code civil. On ne…

Dissertation « les fleurs du mal » de charles baudelaire

Charles Baudelaire publie en 1857 un recueil de poésies intitulé « Les fleurs du mal ». Les poésies qu’il contient traitent de deux grands thèmes, le Spleen et l’Idéal. Dans le titre du recueil cesdeux idées sont déjà en opposition, l’image de la fleur correspond à l’idéal et le mal au spleen. Il y a donc une bipolarité dans les thèmes des poèmes. Ce qui nous amène à nous demander, en quoiBaudelaire, dans « Spleen et Idéal » a une vision bipolaire du monde.

Depuis le XIXème siècle, et plus précisément depuis le romantisme, de nombreuses œuvres poétiques nous parlent de la douleurmorale et semblent même trouver leur inspiration dans la souffrance : « Je tords mon cœur pour qu’il s’égoutte en rimes d’or ». Cependant il faut s’interroger sur la forme que prend l’affirmation de Mussetet se demander si elle n’est pas trop catégorique et exclusive. La douleur ne peut elle aussi bien être inhibante ? Se complaire dans la souffrance n’est-ce-pas risqué d’altérer la beauté de lacréation ?
« Sois sage, ô ma douleur et tiens toi plus tranquille » lance Baudelaire au début de son poème « Recueillement ». Par là il s’invite lui-même, ainsi que tout poète, à prendre du recul sur sasouffrance, à ne pas la transcrire telle quelle au risque de bloquer la création poétique. Baudelaire met en place une sorte de mouvement vers le haut dans certains de ses poèmes, par exemple dans lepoème intitulé « L’Idéal ». Dans ce poème nous trouvons des références à l’Age d’Or, cet âge regretté où tout était bien et beau, dans le dernier vers par exemple : « tes appas façonnés aux bouches desTitans » . Ici le mot « Titans » fait penser aux géants de l’Age d’Or dans la mythologie grecque. Cet Age d’Or est souvent évoqué, c’est une apparition de l’Idéal. Le poète veut se souvenir de cetâge perdu, il s’imagine même des voyages qui seraient sereins. Par exemple dans le poème « Invitation au voyage », Baudelaire s’imagine un voyage. Il nous le montre à travers des oxymores « Au pays…

Fable de la fontaine

CORPUS DE 3 TEXTES A METTRE EN RELATION
Ce corpus nous propose trois apologues, écrits à différentes époques. Que se soit « Le Prud’homme qui
sauva son compère » écrit au XIIIème siècle, la fable « L’Huître et les Plaideurs » de Jean de la Fontaine écrit au
XVIIème siècle ou Zadig de Voltaire écrit au XVIIIème, tous ont pour but de faire passer un message tout en
distrayant lelecteur. Pour cela, ils entrent dans l’objet d’étude sur l’argumentation.
Ces trois textes abordent un thème commun : la justice, mais la traitent sous différents aspects. En
effet, le fabliau « Le Prud’homme qui sauva son compère » (texte 1) évoque la mauvaise foi d’un homme qui
veut faire du tort, qui veut « mal et ennui » (texte 1,l.10) à celui qui l’a sauvé de la noyade. La justice estprésentée ici comme n’étant pas capable de donner raison à un innocent et elle s’en remet à l’idée
d’un « bouffon »(l.20). Dans la fable de Jean de la Fontaine (texte 2), une autre image de le justice est donnée :
le juge, ici représenté par « Perrin Dandin » (l.16) se moque des plaignants et il ne donne raison ni à l’un ni à
l’autre en prenant l’objet du dilemme pour lui : « Perrin[…]ouvrel’huître et la gruge »(v.17). Seul le texte
3,extrait de Zadig ,propose une vraie justice qui va dans l’intérêt des plaignants car le juge Zadig essaie d’être
équitable : « son équité »(l.9). Etant tous trois des apologues, ces textes ont plusieurs visées. D’une part,
chacun a pour but de distraire le lecteur. En effet, ces trois textes sont courts pour susciter le plaisir du lecteur.De plus , ils sont présentés sous la forme d’histoires qui mettent en scènes des personnages simples très peu
définis. Dans le texte 1, les personnages ne sont définis que par leur fonction ou leur caractère : « un
pêcheur »(l.1), « un homme »(l.2), « les juges »(l.24) et « un bouffon » (l.27). Dans le texte 2, c’est également
le cas avec « deux Pélerins »(l.1) et « Perrin Dandin »(l.16)et il y a également un animal qui intervient : « une
huître »(l.2). Enfin, chez Voltaire, Zadig n’est défini que par quelques traits, il est « jeune »(l.4), semble plaire
aux femmes, « toutes les belles dames de Babylone applaudirent »(l.3) et est équitable. Outre cette visée
distrayante, les trois textes se rapprochent par une visée argumentative. Chacun propose une critique de lajustice. Le texte 1 critique une justice qui ne sait pas reconnaître un innocent d’un scélérat et qui
pour « trancher l’affaire »(l.20) s’en remet à l’idée d’un « bouffon »(l.27) alors que la vérité semble évidente.
Dans le texte 2, la critique est celle d’une justice qui pour régler les litiges demande énormément d’argent,
bien plus que ce que récupéreront les plaignants. Dans le texte 3, àtravers la description de Zadig, juge
impartial et « parfait »,Voltaire sous-entend que la justice de son époque est à l’opposé de cet idéal : elle n’est
pas là pour « secourir les citoyens »(l.13) et elle accommode les lois à son avantage.
Les textes du corpus ont une fonction didactique et proposent donc une morale. Dans le texte 1, la
morale explicite est qu’il ne faut pas rendreservice à un scélérat car il ne nous le rendra pas et qu’au contraire
s’il en a l’occasion il n’hésitera pas à nous faire du tort. Le texte 2 expose une morale différente mais
également explicite comme dans la plupart des fables : nous avons plus à perdre à faire appel à la justice qu’à
abandonner une affaire car plaider coûte tellement cher que même si la justice nous donne raison, noussommes souvent perdants. La morale implicite du négociant de Babylone est que pour rendre la justice, il ne
faut pas se fier aux apparences car elles peuvent être trompeuses.
Ainsi, ces trois apologues, plaisants à lire, proposent une critique de la justice et visent à instruire le
lecteur.
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COMMENTAIRE

Le texte proposé est un extrait des Fables…

Droit de la famille

DROIT DE LA FAMILLE

Le droit de la famille a subit beaucoup d’évolution car il dépend des bouleversements sociologiques, de la société, et de l’état des mœurs dans le pays.

I) Définition de la famille du point de vue sociologique : groupe naturel de personnes reliées par plusieurs éléments d’ordre biologique. Cellule de base de la société.

Définition de la famille du point devue juridique : groupe de personnes reliées entre elles par des liens fondées sur le mariage ou sur la filiation. On parle de lien d’alliance ou de parenté.

La famille est une véritable institution réglementée par le droit. Parce que c’est une institution, elle mérite la protection de l’Etat. Sans la famille, la société n’est pas viable.

Les textes internationaux consacrent l’importance dela nécessité de la protection de la famille par l’Etat (Déclaration universelle des droits de l’homme article 16).
La convention européenne de sauvegarde des droits de l’homme et des libertés fondamentales du 04//11/1950 article 12 : droit de se marier. Article 8 : le droit au respect de sa vie privée et familiale
Juridiquement lien de parenté
Liend’alliance

Lien de parenté : issu du sang, unit 2 personnes qui descendent l’une de l’autre ou qui descendent d’un auteur commun.
Avant on distinguait parenté légitime, naturelle, adoptive. Une ordonnance du 04/072007 a supprimé toutes références à la nature de la filiation. Cette parenté peut être en ligne directe c’est-à-dire personnes qui descendent les unes des autres. En ligne collatéralec’est-à-dire des personnes qui descendent d’un auteur commun.

Lien d’alliance : lien issu du mariage, un mariage fait naître des droits et des obligations. Le lien d’alliance est en lien direct ou collatéral.
En ligne directe : le conjoint aux ascendants de son époux.
En ligne collatérale : unit aux collatéraux de son conjoint

II) L’évolution de la famille

Dans le sens d’un rétrécissement.Au 19ème siècle la famille était conçue très largement et on est passé à une famille restreinte (noyau dur-famille nucléaire). La nécessité d’un contrat s’est progressivement effacé (mariage). La famille a évolué sous l’influence de l’idée d’égalité et de liberté.
Egalité : égalité entre époux, disparition de la hiérarchie de la toute puissance paternelle et maritale. La montée del’individualisme qui a entraîné le rejet de l’engagement juridique qu’est le mariage. Ce rejet s’accompagne de l’apparition de la famille monoparentale, de la famille recomposée.
Tout cela entraine un renouveau du droit de la famille. Le législateur prend en compte la pluralité des situations. Le droit de la famille dépend aussi des choix politiques.
Le législateur a entendu affirmer l’égalité homme-femme c’estla loi du 13/07/1965 qui a affirmé l’autonomie juridique de la femme mariée.
La loi du 04/06/1970 a entrainé la disparition de la notion de chef de famille. La puissance paternelle devient l’autorité parentale.
Egalité entre enfants : la loi du 03/01/1972 égalité enfant légitime et naturel.
La loi du 11/07/1975 a reformé le divorce : libéralise le divorce en France. Cela dépénalisel’adultère. La loi du 23/12/1985 a donné l’égalité totale entre les époux dans les rapports patrimoniaux et dans la gestion des biens de leurs enfants mineurs.
La loi du 22/07/1987 aligne l’exercice de l’autorité parentale sur l’enfant naturel ou sur l’enfant légitime.
La loi du 08/01/1993 a institué le juge des affaires familiales. Le droit de la famille a aussi évolué en raison des progrès de lascience et de la médecine. Les lois bio étiques du 29/07/1994 réglementent l’accès des couple aux procréations médicalement assistées.
Réformées le 06/08/2004 Interdiction du clonage humain.
Loi du 15/11/1999 PACS Statut du couple non marié, proposé aussi aux homosexuels.
La loi du 04/03/2002 modifie les règles d’attribution du nom de famille, supprime…