Mondialisation

sance de l’investissement étranger direct et de flux de capitaux

La croissance de l’investissement étranger direct (IED) a été beaucoup plus rapide que celle du commerce et de la production.Selon la CNUCED (1996), de 1980 à 1994, l’IED a doublé par rapport au PIB et à l’investissement intérieur tandis que les sorties d’IED ont presque doublé par rapport au PIB mondial. L’IED est lacomposante la plus importante du flux total de ressources, dépassant les prêts privés nets.

Cependant, l’IED est relégué au second plan par la montée en flèche des placements de portefeuille. De plus enplus, l’IED à long terme fait place aux placements temporaires et instables dans les actions et les obligations. Au cours de la dernière décennie, la composition des flux de ressources (c’està-direIED, prêts de banques commerciales, actions et obligations) a évolué. Les multinationales exigent du financement pour la production dans différents pays, d’où l’importance accrue des servicesfinanciers internationaux. De 1983 à 1993, la valeur des actifs banquiers transfrontaliers a plus que triplé et il en a été de même entre 1986 et 1992 pour les opérations de change. Le stock d’actifsfinanciers à l’échelle mondiale, équivalant à deux fois le PIB des pays de l’OCDE (Oman, 1996), a connu une croissance beau-coup plus rapide que le commerce mondial.

La mondialisation financière a étéfacilitée par l’internationalisation de la production et la croissance des industries mondiales, le rythme rapide des changements technologiques et la déréglementation des services financiers. Lesnouvelles technologies de l’information permettent la circulation transfrontalière de données financières, 24 heures sur 24. Comme il est difficile de régir la circulation de ces renseignements, lesgouvernements ont aboli les restrictions et les règlements sur la circulation internationale des données financières (Agosin et Tussie, 1993). Les nouvelles technologies facilitent également le commerce…

Radeau de la meduse

Le radeau de la Meduse est une oeuvre L’histoire [modifier] Article détaillé : La Méduse. En 1815, Louis XVIII se réinstalle sur le trône de France. Le Sénégal vient d’être restitué à la France parles Britanniques ; le 17 juin, une flottille appareille de l’île d’Aix avec la frégate La Méduse sous les ordres du commandant Hugues Duroy de Chaumareys, à son bord le futur gouverneur du Sénégal, lecolonel Julien Schmaltz, accompagné de sa femme Reine Schmaltz, de leur fille, de scientifiques, de soldats et de colons. L’inexpérience, les états de services sous l’Ancien Régime du commandantcréent un climat de suspicion et de haine. Les tensions entre Chaumareys et notamment les lieutenants Espiaux et Reynaud, mais aussi l’équipage, provoquent l’échouage de La Méduse sur le banc d’Arguin, à160 km de la côte mauritanienne, les opérations de déséchouage se passent mal. Un radeau est chargé lourdement, la Méduse flotte à nouveau mais des avaries surviennent. L’évacuation est délicate : les233 passagers privilégiés, dont Chaumareys, Schmaltz et sa famille, embarquent sur six canots et chaloupes, dix-sept marins restent à bord de La Méduse, trois survivront ; mais 149 marins et soldatsdoivent s’entasser sur le radeau long de vingt mètres et large de sept avec peu de vivres. Lorsque l’amarre avec les autres canots se brise ou est volontairement larguée, le commandant laisse lespassagers du radeau livrés à leur sort. La situation se dégrade rapidement, dès la première nuit vingt hommes se sont suicidés ou ont été massacrés . Après treize jours, le radeau est repéré par le brickL’Argus, quinze rescapés restent à bord : pour leur survie, ils ont pratiqué très vraisemblablement le cannibalisme, cinq mourront dans les jours qui suivent. Le commandant de Chaumareys fut condamné àtrois ans de prison militaire. Le tableau [modifier] Un décret spécial du 12 novembre 1824 autorisa l’État à acheter Le Radeau de la Méduse pour la somme de six mille cinq francs à Dedreux-Dorcy,…

La vie

L’homme qui cherche à se suicider semble affirmer par son geste que la vie ne vaut pas la peine d’être vécue. Mais n’est-ce pas plutôt la vie qu’il a lui-même menée, plutôt que la vie en général,qu’il condamne? Son geste ne manifeste-t-il pas le regret de n’avoir pas mené une vie plus riche, conforme à ses souhaits, ou peut-être tout simplement moins dure, voire moins insupportable? Et si telest le cas, se suicider, c’est reconnaître que la vie peut être tout autant digne d’être vécue que sans valeur. En ce sens, la vie en général n’a pas de valeur : ce qui a de la valeur, c’est ce quechacun d’entre nous fait de sa vie. Le problème est donc le suivant : y a-t-il un sens à attribuer en général une valeur à la vie? Pour répondre à ce problème, vous devez analyser la notion de valeur.Cette analyse vous permet de déterminer dans quelle condition l’énoncé « cette chose a telle valeur » est pourvu de sens. Attribuer une valeur à quelque chose, c’est la mesurer, donc la soumettre à uncritère de jugement. Existe-t-il un critère de jugement qui puisse être appliqué à la vie elle-même? Quand nous mesurons la valeur d’un objet, nous le mesurons par rapport à nos désirs : une chose, parexemple la santé, a d’autant plus de valeur que nous la désirons davantage. La valeur d’un objet dépend donc de nos désirs. Or, la vie elle-même semble être au principe de nos désirs : elle devraitdonc être à la fois l’objet et le principe de la mesure. Dans ces conditions, l’idée d’un jugement légitime sur la valeur de la vie est douteuse. Mais vous devez également examiner la possibilité d’unétalon applicable à la vie, distinct de la vie elle-même : peut-être est-ce une loi morale de considérer la vie comme un bien? Enfin, il est possible que nos étalons ne portent jamais sur la vieelle-même, mais sur les différents types de vie que nous pouvons mener.

Valeur : Ce terme a plusieurs significations qui sont toutes éclairantes pour notre sujet. Le sens le plus global, c’est que la…

Les classes moyennes

DISSERTATION
Sujet. Les classes moyennes constituent-elles encore un groupe social central dans la société française aujourd’hui ? Document 1 Evolution des groupes socioprofessionnels en France depuis 1982 (en % de la population active occupée)
1982 6,6 7,7 8,2 18,1 26,1 32,0 1,3 100 2005 2,7 6,0 14,7 23,2 29,1 23,9 0,4 100

Agriculteurs exploitants Artisans, commerçants, chefs d’entrepriseCadres et professions intellectuelles supérieures Professions intermédiaires Employés Ouvriers Chômeurs n’ayant jamais travaillé Total Source : INSEE, Enquêtes Emploi.

Document 2 A quelle classe avez-vous le sentiment d’appartenir ? (% parmi ceux ayant répondu « oui » à la question : « avez-vous le sentiment d’appartenir à une classe sociale ? »)
IFOP 1966 21 39 2 5 7 4 SOFRES Octobre 1985 3229 6 6 3 2 SOFRES Décembre 1994 38 22 7 5 3 3 CEVIPOF 2002 42 24 7 4 4 2

« Les classes moyennes » « La classe ouvrière, les ouvriers » « Les cadres » « Les travailleurs, les salariés » « La bourgeoisie » « Les pauvres »

Sources : SOFRES, L’état de l’opinion, Seuil, 1996 (pour 1966 à 1994) ; CEVIPOF, Panel électoral français, 2002 (pour 2002)

Document 3 Les dix dernières années des « TrenteGlorieuses », les années 1970, ont permis une ascension sociale inédite pour les classes moyennes et populaires. Le pouvoir d’achat progresse de 4,3 % par an entre 1945 et 1975, soit un doublement en vingt ans : l’avenir des enfants est nécessairement meilleur que celui des parents. C’est l’époque où un jeune ouvrier accède immédiatement au rêve d’une vie de ses parents : acheter une voiture. Lepremier boom scolaire, qui voit la part d’une génération accédant au baccalauréat passer de 13 à 28 %, n’engendre pas de dévaluation des titres scolaires : il y a aussi deux fois plus d’emplois de cadres et de professions intermédiaires qui sont créés. Le taux de chômage des jeunes sortant de l’école ne dépasse pas 5 %. Par rapport aux parents entrés dans la vie active dans les années 1930, quiont connu la crise, puis la guerre et la reconstruction, les perspectives de vie sont totalement différentes. […] Cette situation est le résultat du projet socio-économique né dans les années 1940 […]. Ce projet suppose le développement d’un capitalisme d’Etat capable d’investir, de produire et d’employer une immense classe moyenne grâce au développement des infrastructures (SNCF, EDF), del’innovation (CEA*, PTT, Aérospatiale), de l’industrie (Renault, la sidérurgie). Ces investissements assurent des emplois qualifiés pour les ouvriers, qui deviennent contremaîtres et techniciens, comme pour les employés, qui deviennent fonctionnaires et cadres. Et ce projet est un succès.
Louis Chauvel, « Les frustrations des classes moyennes peuvent déstabiliser une société », Le Monde de l’économie,25 juin 2005. * CEA : commissariat à l’énergie atomique

Document 4 Equipement des ménages en multimédia et pratiques culturelles par groupes socioprofessionnels en 2005.
Téléviseur Lecteur DVD ou couleur magnétoscope 98,0 80,2 Micro ordinateur 55,7 Connexion Internet 43,1 Taux de départ en vacances 38 Lecture de livres * 41 Sortie au théâtre * 6

En%
Agriculteurs exploitants Artisans,commerçants, chefs d’ent. Cadres et professions intellect, sup. Professions intermédiaires Employés Ouvriers Ensemble (y compris inactifs)

96,4

84,3

67,5

50,3

67

55

16

93,1

92,0

87,1

79,1

90

91

37

95,8 96,7 98,1 96,8

91,7 87,6 89,7 79,8

79,9 58,1 52,8 50,3

62,5 38,3 30,0 36,3

80 65 48 65

83 73 53 68

23 13 5 16

Source : INSEE, Enquêtepermanente sur les conditions de vie, 2004 et 2006. Champ : France métropolitaine, ensemble des ménages. * Au moins un livre ou une sortie pendant l’année écoulée.

Document 5 On a le plus souvent utilisé le pluriel pour désigner ces catégories (les classes moyennes), objectivement plus hétérogènes et plus mobiles socialement que d’autres. […] Aujourd’hui, avec l’explosion des activités de…

Devrait-t-on mentir?

À-t-on le droit de mentir?

Le 16 avril 2010

[pic]

?- Identification de la Documentation
[pic]

Source internet :

1. http://www.utc.fr/~gapenne/Projets/A98/A98pr04.html#I1

2. http://www.devoir-de-philosophie.com/dissertation-mensonge-place-philosophie-105485.html

3. http://www.maphilo.net/sujet_reflexion-mensonge-eclairer-valeur-accordons-2890.html

4.http://fr.wikipedia.org/wiki/Mensonge

5. http://impossibilia.blogspot.com/2006/09/connaissance-et-mensonge.html

6. http://philo.pourtous.free.fr/Articles/Eric/mensongeethique.htm

7. http://www.sophiste.net/doc/Platonphilosophie.htm

8. http://blog.crdp-versailles.fr/parcoursphilosophiquedet20/index.php/post/30/01/2009/Qu-est-ce-que-mentir

9.http://www.cairn.info/revue-psychanalyse-2004-1-page-31.htm

10. http://www.linternaute.com/sante/dependance-psychologie/vivre-avec/mythomanie/mythomanie.shtml

11. http://acarpediem56.canalblog.com/archives/2009/03/02/12765983.html

Source littéraire :

1. Cuerrier Jaques, «l’être humain, quelques grandes conceptions modernes et contemporaines, 4e Édition» 7001, boul., st-Laurent Montréal (Qc) 1e trimestre2009.

Introduction
[pic]

Tout d’abord, la réflexion philosophique suivante est orientée vers la notion d’honnêteté ainsi que celle du mensonge. Ce questionnement qui concerne l’être humain dans son intériorité fait face au plus contradictoire des raisonnements dans notre société actuelle. L’idée m’est venue d’aborder ce sujet à la suite de la lecture d’un proverbe cité par Plaute, un poètecomique latin très populaire dans la Rome antique.
« On préfère un compliment menteur à une critique sincère. » À partir de cette affirmation, une question reste « À-t-on le droit de mentir? » Venant du fait que nous vivons dans une société où bien paraitre est essentiel, devrait-on utiliser le droit que nous nous sommes accaparé de mentir? Le fait que nous mentions ne nous fait-il pas paraitreseulement hypocrites aux yeux des autres ou au contraire il nous aide à sortir de plusieurs situations délicates? Personnellement ce sujet est intéressant de par l’analyse et les réflexions qui peuvent en ressortir. De ce fait, il reste que l’acte de mentir est toujours totalement volontaire et intentionnel alors pourquoi cette faculté occupe la majorité de nos conversations, un mensonge même minimene peut-il pas être négatif lors de nos échanges avec les autres? À la suite de la lecture de ce document vous serez en mesure de comprendre mon point de vue et mes analyses afin de mieux interpréter mon opinion sur cette question philosophique.

[pic]

Plaute (Titus Maccius Plautus en latin) est né vers 254 av. J.-C. à Sarsina, et il est mort en 184 av. J.-C à Rome.

Analyse
[pic]Dans notre société de consommation actuelle, la notion du mensonge est omniprésente dans chaque conversation et dialogue que nous partageons avec les autres. Ainsi lors de nos entretiens avec d’autre personnes le mensonge est d’usage fréquent, il joue dans notre relation avec les individus un rôle considérablement important qui nous suivra tout au long de notre vie. À partir de cela, nous pouvonsdéduire que l’acte de mentir est un fait volontaire et intentionnel mais est-il instinctif? Cela dit, l’action de mentir ne doit pas être confondue avec l’erreur, puisque ce geste est fait en ne sachant pas que ce que nous affirmons, soit lorsque notre connaissance sur un sujet donnée n’est pas totalement réelle à l’affirmation dont nous sommes persuadées. Pour rendre un mensonge innocent il suffit defaire en sorte que cette action ne peut nuire non seulement à nous mais à autrui, il est réellement difficile d’obtenir cette certitude : aussi il est rare qu’un mensonge soit totalement innocent. Ce qui nous mène à la question philosophique suivante ; A-t-on le droit de mentir? À la suite de la lecture de ce texte il sera démontré ma perception sur ce sujet à l’aide de plusieurs aspects et…

Concurrence

Introduction

Le but de mon stage a été de me faire découvrir le monde du travail.
J’ai choisi d’aller dans une clinique ; en effet, j’aime beaucoup la médecine et j’aimerai
pouvoir m’occuper des personnes malades , les soigner, les comprendre et les conseiller.
Je souhaiterai plus tard être médecin.
Cette semaine de a eu pour but de me donner un léger aperçu de ce qu’était le métier demédecin
J’ai donc choisi la polyclinique les « Narcisses »

Présentation générale de la polyclinique

Située en plein cœur de Marrakech, la polyclinique les Narcisses est un établissement de santé médicochirurgical conventionné.
Depuis plus de 20 ans , la polyclinique a su développer ses compétences et ses domaines d’activité pour offrir aux patients un service de grande qualité, à lapointe des techniques les plus innovantes. C’est une société anonyme (SA) dénommée par son nom, sa dénomination sociale, dont le capital actions est déterminé à l’avance, divisé en actions, et dont les dettes ne sont garanties que par l’actif social.

. Les actionnaires ne sont tenus que des prestations statutaires et ne répondent pas personnellement des dettes sociales.
La dimension humaine del’établissement, le dynamisme de ses équipes soignantes aux qualités professionnelles, rendent la polyclinique de renommée nationale

Son plateau technique moderne axé autour de pôles de compétences répond à toutes les exigences de performance, de qualité du soin et de son environnement.

Pour les consultations non programmées, la polyclinique un point d’honneur de garantir l’accessibilité des soinspour tous, dans une infrastructure hôtelière de qualité

Les équipes médicales et paramédicales de la polyclinique les Narcisses contribuent à la qualité de la prise en charge du patient selon sa pathologie.

La polyclinique dispose de 60 lits et places autorisés répartis comme suit

Médecine – 60 lits, dont : 12 en réanimation – soins continus

› 2 en unité de soins intensifs encardiologie
› 24 en catégorie A.

Chirurgie générale et spécialisée – 30 lits

Bloc opératoire de 5 salles et 12 postes de réveil

Chirurgie ambulatoire 24 places

Une salle de réveil ambulatoire 4 postes

Une salle de preanesthesie 4 postes

La polyclinique les Narcisses dispose également de moyens médico-techniques :

Un service de Radiologie échographie, mammographie, et mise enplace d’un scanner de dernière génération:.

Laboratoire convention avec laboratoire d’analyses médicales

Le service des urgences en cardiologie est assuré 24h/24 et 7 jours sur 7 par une équipe expérimentée

Les services de l’entreprise :

* Réanimation médico-chirurgicale
Services médico-chirurgicaux :
– chirurgie générale et digestive
– chirurgie orthopédique
-chirurgie ophtalmologique
– chirurgie urologique
– chirurgie O R L
– coelio- chirurgie
* Maternité, néonatologie , gynécologie

*Imagerie médicale
Radio scanner
Irm – échographie

Centre de lithotripsie
Centre de chirurgie esthétique

Machine utilisées :
Echoghraphie : L’échographie permet l’étude de multiples organes de l’abdomen, du petit bassin, du cou(thyroïde, ganglions, foie, rate, pancréas, reins, vessie, organes génitaux) mais aussi les vaisseaux (artères et veines), les ligaments et le coeur. Elle recherche des anomalies qui pourraient les atteindre (tumeurs, infections, malformations) et peut parfois guider un prélèvement en profondeur.

Machine de respiration artificielle
Scopie
Scialytique :Un scialytique est un système d’éclairageutilisé dans les salles d’opération
Appareil de saturation

Matériel informatique : les logiciels utilisés par la polyclinique
-Elle utilise un logiciel de comptabilité (quickbooks) qui permet :
– D’organiser facilement et à maintenir des finances de l’entreprise, le tout dans un seul endroit
-Instantly create invoices, track payments and manage expenses Créer instantanément des factures,…

Presentation entreprise

Depuis 1948, A.G.E.R est spécialisé dans le domaine du froid professionnel à Paris. A.G.E.R opère plus précisément dans les secteurs de la réfrigération, la climatisation, laventilation et l´aménagement de cuisine professionnelle.
Sa longue expérience permet à ses techniciens de réaliser des travaux d´une qualité optimale en sélectionnant du matériel classé parmiles meilleurs.
L´engagement et la compétence de son équipe sur le terrain combiné à la qualité des produits sont les points clé du succès.
A.G.E.R offre toutes ses énergies pourguider ses clients et les accompagner dans tous leurs projets.

Depuis 1948, A.G.E.R est spécialisé dans le domaine du froid professionnel à Paris. A.G.E.R opère plus précisément dansles secteurs de la réfrigération, la climatisation, la ventilation et l´aménagement de cuisine professionnelle.
Sa longue expérience permet à ses techniciens de réaliser des travauxd´une qualité optimale en sélectionnant du matériel classé parmi les meilleurs.
L´engagement et la compétence de son équipe sur le terrain combiné à la qualité des produits sont lespoints clé du succès.
A.G.E.R offre toutes ses énergies pour guider ses clients et les accompagner dans tous leurs projets.

Depuis 1948, A.G.E.R est spécialisé dans le domaine dufroid professionnel à Paris. A.G.E.R opère plus précisément dans les secteurs de la réfrigération, la climatisation, la ventilation et l´aménagement de cuisine professionnelle.
Sa longueexpérience permet à ses techniciens de réaliser des travaux d´une qualité optimale en sélectionnant du matériel classé parmi les meilleurs.
L´engagement et la compétence de son équipesur le terrain combiné à la qualité des produits sont les points clé du succès.
A.G.E.R offre toutes ses énergies pour guider ses clients et les accompagner dans tous leurs projets.

Madame bovary

« Le début se déroule sous le triple signe de l?incompétence, de la torpeur et de la soumission; ce roman qui se termine avec les lamentables paroles de Charles – « C?est la faute de la fatalité! »-commence logiquement sur une note de passivité. Qu?est donc le vrai drame du livre sinon la victoire de l?existence sur la tragédie? La vie continue, médiocre et indifférente. »
Commentez cetteappréciation de Madame Bovary.
*Les références à Madame Bovary renvoient à la collection « Folio », Gallimard, 2001.

Publié en 1857, Madame Bovary de Gustave Flaubert, a eu un grand succès international. Eneffet, ce roman, sur lequel Flaubert travailla méticuleusement pendant cinq ans, a été traduit en plusieurs langues. De plus, le mot bovarysme, du nom du personnage principal du roman, Emma Bovary, estentré dans la langue française et d?autres langues occidentales, défini par le Petit Larousse comme un « comportement qui consiste à fuir dans le rêve l?insatisfaction éprouvée dans la vie. » De plus,Flaubert, en écrivant Madame Bovary, fit (?)uvre de pionnier, introduisant une nouvelle façon d?aborder la littérature d?une manière réaliste. Au revers de la médaille, Madame Bovary, qui traite debeaucoup de thèmes tels que de l?amour, de la médiocrité et de la tragédie, celle-ci étant mise en relief par la mort d?Emma, fut au temps de sa publication un des livres les plus controversés de sonépoque, dans la mesure où Flaubert fut jugé pour l?obscénité et l?immoralité contre la famille et la religion, mais acquitté. Madame Bovary se termine avec les fameuses paroles de Charles Bovary « C?estla faute de la fatalité! ». Quel rôle joue la fatalité dans l?histoire? De plus, la façon dont Flaubert aborde les thèmes de l?existence et de la tragédie dans Madame Bovary a été qualifiée denihiliste. Pour cette raison, on a soulevé l?idée que le vrai drame du livre est la victoire de l?existence sur la tragédie, la vie continuant, médiocre et indifférente. Cette affirmation est-elle…

Salut

Préparation au CAPES de Sciences Economiques et Sociales Méthodologie de la dissertation, appliquée à l’économie Module de formation « en ligne »

Nathalie PAYELLE Université de Rennes I

Sujet n°6 : Endettement et croissance

Analyse du sujet : Sujet de “ mise en relation ” Mots-clés : • “ Endettement ” : ? Moyen de répondre à un “ besoin de financement ” (Gurley et Shaw) ? On distinguel’endettement : des ménages, des entreprises (privées), de l’Etat Objet : financement de la consommation, de l’investissement (productif, logement), des besoins de trésorerie, du déficit public. A l’échelle de la Nation, l’endettement extérieur vient financer le déficit courant. Une progression de l’endettement s’accompagne d’une chute du taux d’épargne. ? On distingue l’endettement par titresmonétaires ou obligataires (avec ou sans l’intervention d’un intermédiaire financier) et par crédit. ? Prix de l’endettement = Taux débiteur, fonction du taux d’intérêt du marché et d’une prime de risque. Dans le cas d’une structure bancaire oligopolistique, le taux d’intérêt bancaire dépend des conditions d’exploitation bancaires et est peu flexible. La libéralisation financière a induit une “marchéisation ” des conditions de financement. Toutefois, seuls les emprunteurs de taille importante bénéficient véritablement des taux en vigueur sur les marchés1. Dans un système concurrentiel, le taux d’intérêt réalise l’équilibre entre capacités et besoins de financement ; une partie de ce transfert prend la forme d’un endettement. Les imperfections sur le marché peuvent conduire à des situations derationnement2. La charge d’un endettement dépend du taux d’inflation : elle s’allège en cas d’inflation élevée et inversement (rôle du taux d’intérêt réel) ? Un désir d’endettement important conduit soit à des effets d’éviction (internes via le taux d’intérêt, externes via le taux de change), soit à une accélération de l’inflation quand il s’agit d’un crédit bancaire créateur de monnaie. ?L’endettement induit un “ effet de levier ”, qui peut se retourner pour devenir un “ effet de massue ”, lorsque le taux d’intérêt devient inférieur au taux de rendement attendu de l’investissement. La prise en compte du “ risque ” attaché au projet conduit à définir un “ taux d’endettement optimal ”. ? Le problème du “ surendettement ” peut concerner tous les types d’agents économiques : une situationd’illiquidité peut dégénérer en cas d’insolvabilité, si les revenus deviennent insuffisants pour assurer le service de la dette (réalisation d’un risque économique, élévation du taux d’intérêt nominal). L’agent (ménage, entreprise, Etat) s’engage dans une “ spirale de la dette ”, ou “ effet boule de neige ”.

1 2

Voir sujet 11. Rationnement lié à la réglementation, ou rationnement “ d’équilibre ”(Stiglitz et Weiss, 1981).

http://www.eco.univ-rennes1.fr/concours/capes/

1

Préparation au CAPES de Sciences Economiques et Sociales Méthodologie de la dissertation, appliquée à l’économie Module de formation « en ligne »

Nathalie PAYELLE Université de Rennes I

? Dans le cas d’un Etat, distinguer entre “ dette ” et “ déficit ”, bien que les deux soient liés par le problème de “soutenabilité de la dette ” : lorsque le taux d’intérêt devient supérieur au taux de croissance de l’économie, la stabilisation du ratio dette/PIB nécessite le dégagement d’un excédent primaire. • “ Croissance ” : ? Accroissement sur une longue période de plusieurs grandeurs macroéconomiques. Saisie généralement par la hausse tendancielle du taux de croissance du revenu national (ou du PIB) ou du revenupar tête. ? Causes : Rôle du progrès technique dans les analyses conventionnelles (néo-classiques) de la croissance, comme dans les théories plus récentes de la croissance endogène (l’innovation est alors la résultante de comportements individuels rationnels). ? Contrairement aux analyses conventionnelles, dans les nouvelles analyses de la croissance, le taux d’épargne influe sur la…

La guerre civil

Guerre civile
Un article de Wikipédia, l’encyclopédie libre.
Aller à : Navigation, rechercher Pour les articles homonymes, voir Guerre civile (homonymie).
Une guerre civile est la situation qui existe lorsqu’au sein d’un État, une lutte armée oppose les forces armées régulières à des groupes armés identifiables, ou des groupes armés entre eux, dans des combats dont l’importance et l’extensiondépasse la simple révolte ou l’insurrection.

Du point de vue du droit de la guerre, on utilise l’expression « conflit armé non international », le mot « guerre » étant réservé au conflit armé international.

Pour être considérées comme « guerre », les hostilités doivent atteindre un certain degré d’intensité et se prolonger un certain temps. Ces deux critères permettent de distinguer laguerre civile des « troubles intérieurs » qui peuvent se caractériser par des actes de violence similaires mais qui ne présentent pas les particularités d’un conflit armé (émeute, insurrection, répressions, luttes de factions entre elles ou contre le pouvoir en place, par exemple).

La localisation du conflit au sein d’un État distingue la guerre civile du conflit armé international, qui oppose lesforces armées d’au moins deux États. Toutefois, il est courant que les groupes armées soient soutenues, plus ou moins ouvertement, par d’autres États (la guerre d’Espagne est un exemple célèbre).

L’origine d’une guerre civile peut être de toute nature : ethnique, religieuse, communautaire, sociale, économique, une autre guerre, politique, idéologique ou encore territoriale. Particulièrement dansce dernier cas, une guerre civile pourra être considérée comme une guerre d’indépendance si elle a pour objectif la lutte contre une domination coloniale ou une occupation étrangère.

Sommaire [masquer]
1 Concept moderne de la guerre civile
2 Statut de la guerre civile
2.1 Jusqu’en 1949
2.2 Après les Conventions de Genève de 1949
3 Principales guerres civiles
4 Voir aussi
5 Noteset références
6 Sources

Concept moderne de la guerre civile [modifier]
Comme la définition l’indique, le concept même de guerre civile participe de la notion d’État, on conçoit dès lors que ce soit particulièrement à partir du développement moderne de l’État-nation que les guerres civiles se sont développées, même si des guerres civiles ont existé dans l’Antiquité.

Les premièresguerres civiles modernes datent de la fin du XVIIIe siècle et du XIXe siècle: il s’agit surtout de guerres d’indépendance qui consacrent le principe de l’État-nation: États-Unis d’Amérique, Mexique, Grèce ou encore Cuba.

Après une pause apparente marquée par les deux conflagrations mondiales, au début du XXe siècle, et alors que les conflits internationaux semblent se raréfier, les guerres civilesse sont multipliées, particulièrement après la fin de la Seconde Guerre mondiale:

guerres d’indépendance ou de décolonisation: Indonésie (1945-1949), Algérie (1954-1962), …
guerres civile ou d’indépendance supportées ou fomentées par les États-Unis ou l’Union soviétique (les proxy wars de la guerre froide qui permettaient aux deux blocs d’assurer ou étendre leurs zones d’influencerespectives): Grèce (1946-1949), Indochine (1946-1954), Angola (1975-1992), Mozambique (1979-1992), …
guerres civiles à caractère ethnique ou religieux: certains aspects des guerres de Yougoslavie, Rwanda, Première et seconde guerre de Tchétchénie, …
Cette dernière catégorie de conflit est particulièrement apparue dans la fin du XXe siècle, et semble être concomitante avec l’apparition d’unenouvelle forme de guerre civile qui ne serait plus une guerre « entre voisins » typiquement populaire (quoique l’engagement populaire n’y soit pas toujours aussi volontaire qu’on voudrait le croire ou que la geste révolutionnaire le voudrait) mais des « guerres contre les civils » où ces derniers deviennent en définitive la cible du conflit [1].

Statut de la guerre civile [modifier]
Jusqu’en 1949…