Fonction de production

Gestion : fonction Production

L’analyse fonctionnelle a pour objectif de comprendre l’organisation comme une somme d’activités aux missions différentes. Cinq grandes fonctions sont ainsi distinguées : la fonction commerciale, la fonction de production, de logistique et achat, de gestion de Ressources Humaines ainsi que la fonction comptable et financière. La fonction de production est une desfonctions qui a connu l’évolution la plus contrastée. Dans un premier temps il semble intéressant d’étudier la fonction en elle même puis d’étudier son évolution aux cours des cinquante dernières années.
La production tend à la combinaison de facteurs (matières, équipements, main d’œuvre) afin de répondre à l’attente du client en lui proposant des produits et/ou services susceptibles derépondre à ses besoins.

Pendant longtemps, les principes de production ont seulement recherché l’abaissement des couts des longues séries à produire, qui nécessitaient à leur tour des machines rapides et une organisation« scientifique » du travail. Avec un fractionnement des tâches et une grande mobilité d’une main d’œuvre peu qualifiée (taylorisme).
Aujourd’hui, l’attente du client exige desproductions plus diversifiées et de qualité, des délais de production très courts et des coûts de production abaissés en somme une plus grande flexibilité. Le salarié, en tant qu’acteur de la production et pour être plus performant, demande davantage de responsabilités.

Entre clients et salariés, l’organisation productrice doit répondre à trois exigences :
_ Une variété croissante : commentpersonnaliser des produits standard ?
_ Une réduction des délais de fabrication
_ Une réduction des coûts

« Tous les systèmes de production sont des processus de transformation de ressources en produits ou en services. » (Boyer et al. 2001)
De fait un système de production est constitué de facteurs de production (matériels et équipements, main d’œuvre) et des matières premières à transformerselon l’activité de l’organisation. Puis d’un processus de transformation industrielle ou une succession d’activités dont le résultat est immatériel et pour finir de biens ou services produits

Les systèmes de production diffèrent de par la combinaison de leurs facteurs. La gestion de production regroupe la préparation et l’organisation de la fabrication, son exécution, et le suivi et le contrôle.D’un point de vue technique, les systèmes de production sont généralement classés en quatre catégories :

La production unitaire (les produits très volumineux ou très coûteux (production unitaire par projet : un barrage, un paquebot, une ligne TGV…ou des produits services personnalisés réalisés par des PME ou des artisans (production unitaire à la tâche : un pro logiciel spécifique, unmeuble sur mesure, un vêtement unique réalisé par une couturière…)

La production par lots (ou par petites séries) Elle réalise des petites quantités de produits ou de services, par exemple des meubles ou des services financiers. D’un lot à l’autre les caractéristiques des produits peuvent varier. Le système est organisé en ateliers ou services spécialisés où sont regroupés des équipementspolyvalents et une main d’œuvre qualifiée.
La production en grande série (ou production de masse ou production à la chaîne)
(Produits standardisés en très grande quantité afin de réaliser des économies d’échelle.)Les équipements sont spécialisés, la main d’œuvre souvent peu qualifiée. Ce système concerne des produits, des composants de produits ou des services banalisés des secteurs de grandeconsommation : automobile, électroménager, vente à distance…
La production en continu
Elle est réalisée sans temps mort, jour et nuit, y compris parfois le dimanche et les jours fériés. Le produit est unique mais le nombre d’unités produites est quasiment illimité. Le processus est automatisé. Les investissements sont lourds. La production est peu flexible. Le travail des hommes se limite, le plus…

Bouh

Photo (à coller)

DOSSIER DE CANDIDATURE 2011/2012
MASTER 2 «Gestion des Etablissements de Santé»
Cocher l’option souhaitée : Option « clinique » Option « maison de retraite » Candidature : Formation Continue : Formation Initiale : ? ? ? ? Cadre réservé à l’administration N° de dossier :………………………………………………………………………………….… Reçu le :…………………………………………………………………….……………………………. ? Admis ? Liste attente? Non admis

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INFORMATIONS PERSONNELLES

Nom :……………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………. Nom de jeune fille : …………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………… Prénom : ………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………… Date de naissance : ……………………………………………………………………………………… Age :
………………………………………………………………………………………..

Lieu de Naissance :……………………………………………………………………………………..… Nationalité :……………………………………………….…………………… Adresse postale :………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………….
……….

……………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………….……………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………….

Téléphone : ………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………….. Mobile : ……………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………… Email : …………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………. Assurance Responsabilité Civile : ……………………………………………………………………………………………………………………………………………………….
(Nom, compagnie et numéro du contrat) (L’attestation doit préciser que vous êtes assuré dans lecadre de votre formation à l’Université)

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CANDIDATURE FORMATION INITIALE
? ETUDES EN COURS

Intitulé du diplôme : ………………………………………………………………………………………………………………………………………….……………………………………………………… Université / Ecole :…………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………..…

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DIPLOMES OBTENUS
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L3 / Licence

Intitulé :………………………………………………………………………………………………………………………… Moyenne :………………………………………………………… Université / Ecole :…………………………………………………………………………………………….Année d’obtention :……………………………………..

Master 1 / Maîtrise

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Intitulé : ………………………………………………………………………………………………………………………… Moyenne :….……………………………………………………… Université / Ecole : ……………………………………………………………………………………………. Année d’obtention :………………………..………

Master 2 Pro / DESS

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Intitulé : ………………………………………………………………………………………………………………………….Moyenne :………………………………………..………………… Université / Ecole : ……………………………………………………………………………………………. Année d’obtention : ………………………..………

Master 2 R / DEA

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Intitulé : ………………………………………………………………………………………………………………………… Moyenne : ………………………………………………………… Université / Ecole : ……………………………………………………………………………………………. Année d’obtention : ………………………..………

Autres

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Intitulé :………………………………………………………………………………………………………………………… Moyenne : ………………………………………………………… Université / Ecole : ……………………………………………………………………………………………. Année d’obtention : ………………………..………

-2-

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STAGES – EMPLOIS SAISONNIERS

STAGES

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Organisme :…………………………………………………..…………………… Durée :………………………………………….…………..…. Année :………………………… Organisme :…………………………………………………..…………………… Durée :………………………………………….………………Année : ……………………….. Organisme :…………………………………………………..…………………… Durée :………………………………………….………………Année :……………………….. Organisme :…………………………………………………..…………………… Durée :………………………………………….………………Année : ………………………..

EMPLOIS SAISONNIERS

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Organisme : …………………………………………………..…………………… Durée : ………………………………………….………………Année :………………………. Organisme : …………………………………………………..…………………… Durée : ………………………………………….………………Année : ………………………. Organisme : …………………………………………………..…………………… Durée : ………………………………………….………………Année :………………………. Organisme : …………………………………………………..…………………… Durée : ………………………………………….………………Année : ……………………….

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TRANSFERT DE…

Der ewige jude, analyse

Der Ewige Jude (le juif errant)- Hans Stalüter

1. L E DOCUMENT
Ce document est une affiche de propagande, c’est-à-dire une action menée sur l’opinion pour lui faire adopter les idéespolitiques du pouvoir en place. Elle est commandée et autorisée par le Parti nazi. Destinée à occuper l’espace public et à être vue par le plus grand nombre, elle doit mobiliser l’esprit de ceux qui voient cedocument et orienter leurs comportements.
Elle a été réalisée en 1937, pour une exposition antisémite qui a eu lieu à Munich en novembre 1937. Le Parti nazi (national-socialiste) est au pouvoiren Allemagne ; il est le seul parti politique existant depuis juillet 1933. Hitler, Chancelier en janvier1933, est Führer et Chancelier du Reich depuis août 1934. En 1937, le régime en place esttotalitaire.

2. U NE AFFICHE QUI REVELE L’IDEOLOGIE NAZIE
On voit dans cette affiche réalisée par les nazis en 1937, l’antisémitisme sous toutes ses
formes.
Un antisémitisme social, car selon lesnazis :
Le juif est attiré par l’argent, avare : il regarde avec avidité les pièces d’or qu’il tient dans sa main.
Le juif est apatride, il est un « parasite8 » il vit aux crochets despopulations saines avec lesquelles il habite. Cette appropriation d’un pays ou de plusieurs est mis en évidence dans ce document par le morceau d’Europe que tient sous son bras le juif errant.
_ Lepersonnage est habillé et porte la barbe comme les juifs d’Europe centrale, il n’est donc pas intégré au peuple allemand.
Cet antisémitisme social s’ajoute à l’anticommunisme nazi :
Le juif est,selon les nazis, un allié de l’URSS. Selon Hitler, un complot juif vise à dominer le monde en détruisant les civilisation supérieures. L’affiche montre sur le morceau de pays que le juif tient sous sonbras le marteau et la faucille, symboles de l’URSS.

Un antisémitisme religieux :
Le juif est un traître (couleur jaune utilisée chez les premiers chrétiens pour représenter les traîtres, comme…

Osamu tezuka

Osamu Tezuka , né le 3 novembre 1928 à Toyonaka, dans la préfecture d’?saka, et décédé le 9 février 1989 à T?ky?, est un dessinateur japonais de manga et un animateur,character designer, producteur et scénariste d’anime.

Sacré au japon « Dieu du manga », Osamu Tezuka demeure à jamais un grand auteur populaire. Un homme ayant influencé de manièredécisive la destinée d’un art (l’animation), d’une industrie (les mangas) et d’une culture.

Au cours de sa carrière, il va adapter, réinventer et rendre de vibrants hommages à desmythes cinématographiques et littéraires aussi divers que Pinocchio, Blanche Neige, Faust, les chroniques futuristes de Isaac Asimov, Crime et Châtiment de Dostoïevski.

Son œuvreadopte souvent des allures de méditation sur la nature et la destinée humaine. L’auteur y exprime le souci constant de véhiculer de mille façons différentes le même message de paixet d’amour de son prochain.

Sa force de création est colossale : plus de 150 000 pages dessinées au cours de sa carrière. Il a signé 700 œuvres, réalisé une vingtaine de sériesanimées et autant de téléfilms animés et de longs-métrages d’animation. Plus de 120 millions de mangas ont été vendus depuis sa disparition en 1989.

Il fonde les studios MushiProductions puis Tezuka Productions. Les premières séries animées réalisées à un rythme soutenu y sont expérimentées et mises en images. De même, y sont conçues successivement lapremière série animée japonaise avec une diffusion hebdomadaire (Astro Boy, 1963) et la première série en couleurs (Le roi Leo, 1965). Ces studios ont également formé un grandnombre de talents.

Un prix, le prix Tezuka, existe depuis 1971 et a pour but de récompenser les talents d’un mangaka pour une œuvre dont le scénario est particulièrement intéressant.

Eleve

LE CALENDRIER DES OPERATIONS COMMERCIALES |

I. La politique commerciale de mon magasin
Mon magasin essaye de proposer à sa clientèle des promotions toujours attractives pour pouvoir fidéliserla clientèle ainsi qu’augmenter le chiffre d’affaire. Mais également pour pouvoir redynamiser les vente lors de période creuse (comme par exemple en mars, avril).

II. Calendrier des opérationscommerciales
OpérationsCommerciales | Janvier | Février | Mars | Avril | Mai | Juin | Juillet | Août | Septembre | Octobre | Novembre | Décembre |
| 1 | 2 | 3 | 4 | 1 | 2 | 3 | 4 | 1 | 2 | 3 |4 | 1 | 2 | 3 | 4 | 1 | 2 | 3 | 4 | 1 | 2 | 3 | 4 | 1 | 2 | 3 | 4 | 1 | 2 | 3 | 4 | 1 | 2 | 3 | 4 | 1 | 2 | 3 | 4 | 1 | 2 | 3 | 4 | 1 | 2 | 3 | 4 |
Soldes | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | |
Saint valentin | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | |
Fête mère/père | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | |
9 jours | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | |
Rentrée desclasses | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | |Fête de fin d’année | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | …

Ecophyto2018

10 septembre 2008

SOMMAIRE
§ § § § § § § § §
PLAN ECOPHYTO 2018 DE REDUCTION DES USAGES DE PESTICIDES 2008-2018 1 5 7 9

AXE 2 : Recenser et généraliser les systèmes agricoles et les moyens connus permettant de réduire l’utilisation des pesticides en mobilisant l’ensemble des partenaires de la recherche, du développement et du transfert AXE 3 : Innover dans la conception et la mise aupoint des itinéraires techniques et des systèmes de cultures économes en pesticides

AXE 1 : Évaluer les progrès en matière de diminution de l’usage des pesticides

AXE 4 : Former à la réduction et à la sécurisation de l’utilisation des pesticides AXE 5 : Renforcer les réseaux de surveillance sur les bio-agresseurs et sur les effets non intentionnels de l’utilisation des pesticides AXE 6 :Prendre en compte les spécificités des DOM AXE 7 : Réduire et sécuriser l’usage des produits phytopharmaceutiques en zone non agricole AXE 8 : Organiser le suivi national du plan et sa déclinaison territoriale, et communiquer sur la réduction de l’utilisation des produits phytopharmaceutiques

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PLAN ECOPHYTO 2018 DE REDUCTION DES USAGES DE PESTICIDES 2008-2018
L’agriculture despays du Nord a permis d’atteindre au XXème siècle des objectifs de sécurité alimentaire et de sécurité sanitaire des aliments. Ses modes de production intensifs ont largement eu recours aux intrants, et en particulier aux pesticides1, afin de sécuriser les rendements en éliminant ou en réduisant la compétition avec les mauvaises herbes ou en luttant contre les attaques des bio-agresseurs, etpour maîtriser les parasites néfastes à la santé humaine. Le contexte mondial lié à l’augmentation de la demande alimentaire pour la population et l’élevage, ainsi que pour les usages non-alimentaires, remet au premier plan les enjeux de sécurité alimentaire. La France se doit donc de maintenir un niveau de production agricole élevé, mais aussi de produire mieux, en respectant les équilibresécologiques dans un contexte de changement climatique et de concurrence pour la ressource en eau, et en prenant en compte la demande des consommateurs pour des produits sains. Ceci suppose notamment de rendre les exploitations agricoles moins dépendantes des pesticides. Aujourd’hui l’impact de ces produits, qui, par définition, agissent sur les organismes vivants, sur la santé humaine (applicateurs etconsommateurs) et l’environnement, apparaît au coeur des préoccupations sociétales. Ainsi, au niveau européen, l’utilisation durable des pesticides est l’une des sept stratégies thématiques du sixième programme communautaire d’action pour l’environnement (2002 2012). Celle-ci vise « la réduction sensible des risques et de l’utilisation des pesticides dans une mesure compatible avec la protectionnécessaire des cultures ». Cette stratégie a été notamment déclinée au niveau français en 2006 à travers le plan interministériel de réduction des risques liés aux pesticides, ayant permis d’améliorer et de sécuriser les conditions de mise sur le marché et d’utilisation des pesticides. Lors du Grenelle de l’environnement, la question plus générale de la durabilité de leur utilisation a été posée.Ainsi d’une part l’engagement n°129 prévoit l’ «objectif de réduction de moitié des usages des pesticides en accélérant la diffusion des méthodes alternatives et sous réserve de leur mise au point». A l’issue de ces travaux, le Président de la République a confié au Ministre de l’Agriculture et de la Pêche l’élaboration d’un plan de réduction de 50% des usages des pesticides dans un délai de dixans, si possible. D’autre part, l’engagement 129, prévoit des mesures de retrait échelonné de la fin de l’année 2008 à la fin de l’année 2010 et de réduction d’usage, pour les préparations contenant les 53 molécules les plus dangereuses. En complément des mesures de gestion des risques associés aux pesticides issues de l’évaluation des produits et de la surveillance de leurs impacts (meilleure…

Le temps dans fin de partie, samuel beckett

Fin de Partie est une pièce de Samuel Beckett, il est reconnu pour avoir écrit de nombreuses pièce absurde tel que En attendant Godot. Dans la pièce étudiée, le temps est une notion omniprésente, c’est pourquoi nous allons analyser celle-ci.
Nous pouvons nous demander quelle est l’importance du temps dans Fin de Partie?
Pour répondre à cette question, nous allons voir dans un premier tempscomment le temps est abordé dans la pièce et dans un deuxième temps nous verrons la notion de l’attente.

Nous pouvons commencer en rappelant que cette pièce n’a pas une construction classique. En effet, nous ne trouvons pas de scène d’exposition, de nœud, ni de dénouement. Rien de la pièce ne sert à faire progresser l’intrique, si nous pouvons dire qu’une intrigue existe, il n’y a aucuned’action ni de péripétie. Dès le début de la pièce, une forte tension entre les personnages nous est dévoilée, que nous retrouvons sans cesse au cours de l’œuvre. Cette tension est liée à un seul argument que l’on pourrait qualifier d’intrigue; Est-ce que Clov finira par quitter Hamm? Cette seule question qui trouvera peut-être une réponse à la fin de la pièce crée un effet de suspension du temps, tout estralentit, le temps du récit n’a plus lieux d’être. De plus, le temps n’est presque pas nommé dans Fin de Partie, mis à part les allusions à la météo (page 41) et la réplique de Nell «il faut vivre avec son temps». Le mot temps est utilisé dans les didascalies «(un temps)», il y en a presque 400 dans toute la pièce, ils sont présent pour rythmer les silences. Malgré cela, les personnages évoquentsouvent l’écoulement du temps, il y a de léger repère d’avancée; la pénurie se poursuit, Nell meurt, les corps se dégradent petit à petit, Clov voit de moins en moins (page 51), et ils perdent leurs cheveux, leurs dents… (page 23)
Fin de Partie est une pièce au présent, le temps supposé de la vie des personnages. Nous remarquons la présence du passé, du présent et du futur. En ce qui concerne leprésent, nous voyons une structure de répétition; Hamm qui désire avoir son calmant (page 19, 24, 50…),Nagg veut sa dragée (page 67, 73, 74…), la même réplique à deux moments différents de l’œuvre (page 21 et 24), ou encore Clov qui répète sans cesse «Je te quitte». Néanmoins, les personnages sont hantés par leurs passé, ce qui les empêche d’avancer. Par exemple Nagg et Nell se sont arrêtés ausouvenir de leur accident de tandem (page 29), car ils ont frôlé la mort et sont handicapés depuis se jour. Le passé inspire le lyrisme à Nell (page 28 et 32) quand elle dit d’un ton élégiaque«Ah hier!», ce qui démontre une certaine nostalgie. Il y a aussi Clov, pour qui le passé est une torture, en effet, il regrette d’être né «HAMM: Tu n’étais pas encore de ce monde. CLOV: La belle époque!» (page61). Et pour finir, un hypothétique avenir est envisagé; Hamm espère s’en aller sur un radeau (page 50), et Clov dit qu’il n’enterrera jamais Hamm (page 58), ce qui implique qu’une mort est donc possible alors que jusque là le lecteur avait l’impression qu’un mort n’était pas possible, que les évènements étaient figés.

La notion la plus présente dans la pièce est le temps de l’attente.Seulement le lecteur se demande se qui est attendu. Il s’agit peut-être de l’attente d’une fin, la fin du lien maître-esclave qu’entretiennent Hamm et Clov, ou alors ils attendent leurs fin, tout dehors est anéantit, et leur refuge est sur le point de se briser, ils attendent donc peut-être que la fin vienne à eux, c’est-à-dire la mort. Et dans une dernière hypothèse il pourrait s’agir de la fin de lapièce. Dans tout les cas, nous sommes dans l’attente d’une fin, une fin qui nous est promise dès le titre de l’œuvre Fin de Partie, cela signifie que malgré une absence d’action, de progression, une fin est imminente. Cette notion de fin nous est rappelée tout le long de la pièce, notamment dès la première réplique; «CLOV: Fini, c’est fini, cela va finir, ça va peut-être finir» (page 13), et peu…

Le telemarketing

Documents mis à disposition par :

http://www.marketing-etudiant.fr

Attention
Ce document est un travail d’étudiant, il n’a pas été relu et vérifié par Marketing-etudiant.fr. En conséquence croisez vos sources 🙂

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Introduction I/ Definitions
1)Qu-est ce que le telemarketing 2)Caracteristiques 3)Les differents types de telemarketing

II/Profession de vendeur
1)La mission detelevendeur 2)Qualite de televendeur

2

3)La messagerie electronique 4)Le call-center ou centre d’appel

III/Strategies telemarketing
A)Les 10 regles d’or du phoning(selon Fadi el EID) B)Argumentaire phoning 1)objections argumentaire phoning 2) conviction argumentaire phoning 3) concret argumentaire phoning

IV/Avantages et inconvenients du telemarketing
1)Avantages 2)InconvenientsConclusion

3

INTRODUCTION

Le télémarketing (de l’anglais télémarketing en anglais, TMK en abrégé, parfois traduit en télémercatique) est traditionnellement considérée comme une branche du marketing direct (dit opérationnel), dans laquelle un vendeur prospecte des clients pour leur vendre des produits ou services par téléphone. En cela, elle s’oppose au marketing stratégique, habituellementconfiné aux quartiers généraux des entreprises. C’est une action de terrain et de contact. Elle vise tant la génération de variables quantitatives (chiffres) que de résultats qualitatifs (idées), tous utiles à l’entreprise. Il serait cependant utopique de vouloir faire une étude exhaustive du phoning. C’est pour cette raison que nous nous sommes attachées dès le départ à définir clairement leslimites de ce travail. Nous avons ainsi décidé de nous limiter à quelques aspects directement en relation avec notre spécialité commerciale. S’il paraît indispensable de faire une brève présentation du « phoning », permettant de situer globalement le sujet, le détail de certains points qui seront fait nous éclairerons quant à eux sur le lien indissociable unissant cette méthode de communication dumarketing direct à la vente. Après cette mise en place, la majeure partie du travail consistera d’une part à décrire les missions des télévendeurs, les stratégies télémarketing, ainsi que de citer les avantages et inconvénients du télémarketing.

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1) Qu’est ce que le télémarketing ? Le télémarketing (ou phoning ou marketing téléphonique) consiste à utiliser le téléphone pour attirer desprospects, prendre des commandes, et répondre aux préoccupations de la clientèle. Il permet aux entreprises d’accroitre leur chiffre d’affaires, de réduire leurs couts commerciaux et d’améliorer la satisfaction de la clientèle. Les call-center peuvent être utilisé pour recevoir des appels ou en émettre (prospection). 2)Caracteristiques Sur le plan de la cible, le telephone est d’abord un moyen decommunication tres rependu avec un taux d’equipement tant en post fix qu’en telephone mobile. Il s’agit d’un media personnel veritablement interactif tout comme le contact direct en face-a-faceet ses caracteristiques en decoulent. Sur le plan de l’efficacite de la communication , le telephone a non seulement la capacite de declancher une reponse immediate mais permet aussi une relation emeteur recepteurde bonne qualite.Que la communication soit a l’origine de l’un ou l’autre il est possible de traiter de manière efficace les demendes complementaires(plaintes,service client…)le telephone est aussi un bon medium, le complement(coupon ,publipostage)tant pour le suivi et la relance que pour la reception.Par nature volatil, il ne laisse pas de trace ecrite et donc necessite une etape supplementairepour concretiser l’engagement du client. Sur le plan economique ,l’utilisation du telephone est d’abord justifiee lorsqu’il peut apporter la richesse de la communicationa moindre cout.C’est donc en soutien (gestion de l’agenda, prise de de rendez-vous)en complement(vente sur des petits clients)ou en substitution(vente direct)de la force de vente que les premieres utilisations ont été faites.Le…

Crpe danse

En règle générale :
Une définition : la lutte c’est imposer à l’autre un état corporel qu’il refuse, sans lui faire mal.
Accepter d’être immobilisé au cours du jeu, car il ne remet pas en cause l’intégrité physique.
Dans les Programmes : « (coopérer et) s’opposer individuellement ou collectivement ».
Cycle 1 : Affronter individuellement un adversaire dans un jeu de lutte : tirer, pousser,saisir, tomber avec, …
S’investir dans une activité de corps à corps pour priver l’adversaire de sa liberté d’action. Mieux accepter le contact corporel avec les autres enfants. Jeux de groupe.
Cycle 2 : Dans un combat à 2, agir sur l’adversaire au sol pour le contrôler, l’obliger à se retourner sur le dos, et l’immobiliser.
Cycle 3 : Affronter un adversaire dans des jeux d’opposition duelle :attaquer, (se) défendre.
Attaquant : amener son adversaire au sol en le contrôlant et le maintenir immobilisé sur le dos durant 5 secondes.
Défenseur : Ne pas se laisser immobiliser sur le dos, chercher à garder une position ventrale.
Compétences :
S’opposer à un adversaire dans un jeu de lutte ou de force (tirer, pousser, saisir, tomber avec, immobiliser)
S’investir dans une activité de corps àcorps pour priver l’adversaire de sa liberté d’action.
Accepter de participer à un jeu d’opposition médié ou non par un objet de convoitise.
Respecter les règles et l’intégrité de ses adversaires.

Logique de l’activité :
Temps de combat court. Terrain bien délimité.
Règles de sécurité/d’or :
– Ne pas confondre lutte et « bagarre ». La lutte est un sport/jeu qui obéit à des règles.
-Nejamais faire mal : tirer les cheveux, tordre le bras, mordre, tirer les vêtements, faire des prises au cou, …
-Ne pas se faire mal : Signaler à son adversaire qu’il nous fait mal. En tapant sur le tapis avec une main à plat.
– Aucun objet sur soi : Vider ses poches, enlever les lunettes, bagues, bracelets, boucles d’oreilles, enlever ses chaussures.
– Mettre ensemble les élèves de mêmecorpulence. Toutes les situations de combat se font avec un départ au sol car la chute n’a pas été travaillée.
Résultats souhaités : Pousser l’autre hors de son territoire, préserver son territoire, maintenir au sol.
Mode de relation : Rapport à l’autre indirect (tire à la corde) ou direct (combat), cérémoniale à la fin et au début. On donnera une grande importance à l’arbitrage qui peut aussi donnerlieu à une évaluation.
Vocabulaire de base : Matériel (corde, ballon, tapis), Partie du corps mises en jeu, actions (POUSSER, TIRER, RETOURNER, DESEQUILIBRER, SAISIR, IMMOBILISER, CONTROLER, RETENIR), les différents rôles.

LES SITUATIONS

Echauffement :
– trottiner partout dans la salle (avec des élèves, instaurer un sens de rotation).
– Installation du matériel (tapis)
– Longueurs en paschassés, à 4 pattes, en rampant (sur le ventre puis le dos), araignée.
– Sur le tapis, faire rouler la tête, les épaules, les chevilles, les poignés, le dos (rond, creux).
– Faire la chenille : groupe de trois, tenir les chevilles de la personne devant soi et avancer en avant, en arrière.
– Petit jeu comme : Le relai couché. 2 équipes. Chacun s’allonge parallèlement à ses camarades.
Le premierroule par-dessus toute son équipe et va se placer au bout de son équipe (allongé), le second roule … Ainsi de suite jusqu’à la ligne d’arrivée. Toute l’équipe doit avoir franchi la ligne pour gagner.

Situations de cycle 1 :
Jeu pour accepter le contact corporel : Les promeneurs dans la forêt.
Jeu pour entrer en opposition collective : le trésor, le tir à la corde.
Jeu pour apprendre àattraper, tenir : Le crocodile.
Jeu pour apprendre à tirer, à pousser : Les ours et les chasseurs.
Jeu pour apprendre à retourner au sol : la tortue.

Situations de cycle 2 :
Jeu pour accepter le contact corporel : Les 5 pinces à linge.
Jeu pour rentrer en opposition collective : la défense du château.
Jeu pour apprendre à attraper, à tenir : rattraper son chien.
Jeu pour apprendre à tirer…

La protection social lutte elle efficassement contre les inegalités ?

La protection sociale est l’ensemble des mécanismes de prévoyance collective qui permettent aux individus ou aux ménages de faire face financièrement aux conséquences des risques sociaux,c’est-à-dire aux situations pouvant provoquer une baisse des ressources ou une hausse des dépenses (vieillesse, maladie, invalidité, chômage, charges de famille,…).La protection sociale a donc à la fois desobjectifs matériels (permettre aux individus de survivre quand ils sont malades, ou âgés, ou chargés de famille nombreuses, par exemple) et des objectifs sociaux (réduire l’inégalité devant les risquesde la vie et assurer aux individus un minimum de revenus leur permettant d’être intégrés à la société).

I/ Oui
1) La redistribution verticale
Le principe de la redistribution verticale est delimiter les inégalités des revenus et donc de promouvoir la justice sociale. La redistribution verticale se fait par des transferts monétaires ou en nature vers les ménages méritants. Elle est financéepar des prélèvements obligatoires sur les revenus de certains individus ou ménages, proportionnels à leurs revenus. Ces prélèvements obligatoires sont sous la forme d’impôts, de taxes et de cotisationssociales.

2) La redistribution horizontale
La redistribution horizontale couvre les risques sociaux quel que soit le niveau de revenus. Donc, même les gens aisés bénéficient de ce système. Laredistribution horizontale fait qu’un groupe paie pour les services d’un autre groupe. Par exemple, les bien-portants paieront pour les malades ; les jeunes pour les vieux. L’Etat indemnise les citoyensvictimes des aléas de la vie (chômage, maladie, vieillesse, décès d’un parent…etc.).

II/ Non
1) Un bilan peu satisfaisant

2) Des classes et des privilégiés
Les chiffres montrent que la partde la redistribution horizontale est largement supérieure à celle de la redistribution verticale. Aussi peut-on se demander si la redistribution effectuée par l’État ne profite-t-elle pas…