Pratiques alimentaire et malnutrition

REMERCIEMMENTS

Nous remercions :

• Le Docteur Benjamin Alexandre NKOUM Directeur du centre supérieur des sciences de la santé (CSSS) de l’Université Catholique d’Afrique Centrale (UCAC) pour sa totale implication dans le processus de notre formation.

• Le Directeur de l’hôpital de district de Mbankomo Dr NSANGOU Charles qui s’est occupé de nous pendantnotre séjour à l’hôpital après notre accident.

• Madame la Directrice de l’école des sciences infirmières de l’UCAC pour le soutien et l’intérêt qu’elle porte au centre supérieur des sciences de la santé.

• Le chef service santé de district de Mbankomo Docteur BALO qui nous a donné l’opportunité de découvrir le district de santé de Mbankomo dans sa profondeur et d’apprécier parnous même les réalités de ce district.

• Chef du bureau Sante Mr TANG NEMI Jean qui nous a fournis tous les informations et documentations a sa disposition.
• Tous nos camarades et enseignants pour leurs encouragement et soutien

LISTE DES ABREVIATIONS

|BAAF |Bureau des affaires administratives et financières|
|BS |Bureau santé |
|CMA |Centre médical d’arrondissement |
|COSA |Comité de santé|
|COSADI |Comité de santé du district |
|CSA |Case de santé |
|CSI |Centre de santé intégré|
|CSSS |Centre supérieur des sciences de la santé |
|DS |District de santé |
|FFOM |Forces, faiblesses, opportunités, menaces|
|OMS |Organisation mondiale de la santé |
|PCA |Paquet complémentaire d’activités |
|PEV |Programme élargie de vaccination|
|PMA |Paquet minimum d’activités |
|PNDS |Plan National de développement sanitaire du Cameroun |
|SASNIM |Semaine d’actions de santé et de nutrition infantile etmaternelle |
|SIDA |Syndrome de l’immunodéficience acquis |
|SSD |Service santé de district |
|UNICEF |Fond des nations unies pour l’enfance|

LISTE DES TABLEAUX

Tableau 1 : Infrastructure sanitaire

Tableau 2 : Synthèse des ressources humaines du DS de Mbankomo

Tableau 3 : Situation des équipements techniques

Tableau 4 : Logistique, matériel informatique

Tableau 5 : synthèse des organes de participation communautaire

SOMMAIRE

REMERCIEMMENTS 1

LISTE DES ABREVIATIONS 2…

Madame bovary

« Madame Bovary », Gustave Flaubert.

Questions :

1°) L’expression « rigidité monacale » nous apprend que Madame Leroux est complètement dépassée par cet évènement. Elle ne sait que faire et préfère rester immobile.
L’adjectif monacal qualifie la vie des moines, vouée à Dieu, stricte et droite.
La protagoniste est donc paralysé devant cette foule. Cela nousmontre qu’elle n’est pas dans son milieu, elle est timide et craintive. Elle semble même isolée.

2°) les deux expressions qui révèlent la présence du narrateur dans le texte sont :
Ligne 1 : On vit s’avancer sur l’estrade » avec l’utilisation du pronom personnel on.
Et ligne 16 : « Elle demeurait toute immobile ».

3°) D’abord la focalisation du narrateur est interne, car il connait lessentiments du personnage, le lecteur voit et ressent, ce que le personnage voit et ressent.
« intérieurement» illustre parfaitement cette idée.
Or on peut aussi dire que le point de vue est externe. Le narrateur montre le personnage de l’extérieur, le lecteur n’accède pas à ses pensées. Il ne peut donc le connaître que par ses actes. Par exemple « effarouché ».
Pour ainsi dire, ce passage nerévèle pas toutes les pensées de madame Leroux.
Ses sentiments face à cet évènement ne sont pas vraiment montrés.

Commentaire :

Le roman « Madame Bovary » fut écrit en 1857 par le célèbre romancier réaliste, Gustave Flaubert. Il raconte la vie d’Emma Bovary, fille d’un riche fermier, qui souhaiterait fréquentée la bourgeoisie et sa vie mondaine.
L’auteur évoque lors d’un passage du texte,la distinction du mérite d’une vieille fermière, Catherine Nicaise- Elizabeth Leroux, lors des comices agricoles.
Elle recevra alors vingt-cinq francs pour cinquante quatre ans de travail.
Gustave Flaubert nous décrit la réaction de Madame Leroux face à cet évènement.
Il conviendrait, d’étudier le réalisme de la description, puis se pencher sur son aspect symbolique.

La description dela fermière est particulièrement réaliste, et elle permet au lecteur de s’imaginer parfaitement la scène.
Le portrait de Madame Leroux est structuré afin de décrire d’abord ses vêtements, puis son aspect physique.
On peut relever le champ lexical de l’habit, « vêtements, galoches de bois, tablier, béguin, manches, camisole », et ensuite le champ lexical de l’ampleur « grosses, grand,dépassait ».
De ce fait le lecteur, a vraiment la sensation, que la vielle femme, parait recroquevillée, et avalée dans ses vêtements, cette idée est parfaitement illustrée par : « paraissait se ratatiner dans ses pauvres vêtements ». Elle semble petite et insignifiante face à cette foule.
Par ailleurs, l’auteur a decrît sa tenue avec tous les stéréotypes des fermiers, « les galoches de bois, lacamisole rouge, le tablier bleu, le béguin », et avec un champ lexical de la pauvreté « pauvres vêtements, béguin sans bordures ». Cela replace Catherine Leroux dans son rang social, et la rend grotesque devant l’attroupement des bourgeois.
De plus, Flaubert s’est penché sur la description physique de la vielle fermière. Le lecteur éprouve de la pitié devant cette représentation, si réaliste. Ilressent la pénibilité et les stigmates, de ces cinquante-quatre années de servitude.
La profession manuelle de Madame Leroux, est traduite par une description de ses mains.
« Ses mains sont longues, aux articulations noueuses », renvoie à des mains, sèches et crochues. On remarque une énumération ligne 7, des matériaux qu’elle utilise, de façon fréquente, puis ensuite une accumulation ligne 8 desdouleurs que ses mains ont endurées. Cet effet de style met en valeur, la difficulté de ses tâches quotidiennes.
L’auteur décrit également le visage de la vieille fermière, il le compare à « une pomme de reinette flétrie » ce qui suggère un visage couvert de rides, et renvoie au lecteur une image d’elle très usée .
Pour finir, il détaille l’expression de son visage, « d’une rigidité…

Musset

Enfance
le 11 décembre 1810, Alfred de Musset appartient à une famille aristocratique, affectueuse et cultivée, où l’on a le goût des lettres et des arts
Son père, Victor-Donatien de Musset-Pathay,est un haut fonctionnaire, chef de bureau au ministère de la Guerre, et un homme de lettres un spécialiste de Rousseau
il a épousé Edmée-Claudette-Christine Guyot, Le couple a eu quatre enfants
ilest inscrit en classe de sixième au collège Henri-IV, Après son baccalauréat, il suit des études, vite abandonnées, de médecine, de droit et de peinture jusqu’en 1829, il s’intéresse surtout à lalittérature

Jeunesse du poète
Grâce à Paul Foucher, il fréquente le Cénacle, sympathise avec Vigny, commence alors à mener une vie de dandy débauché, 1830, il écrit sa première pièce de théâtre sacomédie La Nuit Vénitienne est un échec accablant Il choisit dès lors de publier des pièces Il écrit ensuite son chef-d’œuvre, un drame romantique, Lorenzaccio en 1834 sa liaison houleuse avec George SandIl fait preuve d’une grande aisance d’écriture, se comportant comme un virtuose de la jeune poésie le 8 avril 1832, Musset est anéanti par la mort de son père

Vie sentimentale et théâtre
Ilchoisit de publier des pièces dans La Revue des Deux Mondes avant de les regrouper en volume sous le titre explicite « Un Spectacle dans un fauteuil »La première livraison, en décembre 1832 se compose detrois poèmes, d’un drame il publie la deuxième livraison de son « Spectacle dans un fauteuil »il part pour l’Italie, en compagnie de George Sand, dont il a fait la connaissance lors d’un dîner donnéaux collaborateurs de La Revue des Deux Mondes le 19 juin Il écrit également des nouvelles en prose et Confession d’un enfant du siècle De 1835 à 1837, Musset compose son chef d’œuvre lyrique, Les NuitsAprès sa séparation définitive avec George Sand, en mars 1835, il tombe amoureux de Caroline Jaubert sa confidente, notamment tout au long de leur correspondance, qui s’étale sur vingt-deux…

Malcolm x

Malcolm X (19 mai 1925 – 21 février 1965), né Malcolm Little, également connu sous le nom de El-Hajj Malek El-Shabazz[1] (?????? ???? ??????? en arabe) et surnommé « Red » lors de sa jeunesse (enraison de ses cheveux roux), est un prêcheur afro-américain, orateur et militant des droits de l’homme[2],[3],[4],[5]. Aux yeux de ses admirateurs, il est un défenseur courageux des droitsafro-américains ayant mis en accusation les États-Unis pour ses crimes envers la communauté noire[6]. En revanche, ses détracteurs l’accusent d’avoir prêché le racisme, le suprémacisme noir et laviolence[7],[8],[9],[10],[11]. Il a été de nombreuses fois décrit comme l’un des plus grands et des plus influents Afro-Américains de l’Histoire.

Malcolm naît à Omaha, dans le Nebraska. Alors qu’il est âgé de treizeans, son père meurt, puis sa mère est transférée en hôpital psychiatrique. Son enfance, comprenant l’éducation de son père axée sur la fierté noire, et ses propres expériences sur le sujet, ont jouéune influence très importante tout au long de sa vie. Après avoir vécu dans de nombreuses familles adoptives, Malcolm rentre dans le milieu criminel de Boston et de New York. En 1946, il est condamnéà dix ans de prison.

Pendant son enfermement, il devient membre de Nation of Islam. Après sa mise en liberté conditionnelle en 1952, il devient l’un des leaders et porte-parole du groupe; pendantpresque une douzaine d’années, il représente publiquement Nation of Islam. Les tensions entre Malcolm X et Elijah Muhammad, chef de Nation of Islam, l’amènent à quitter l’organisation en mars 1964.Il fonde Muslim Mosque, Inc., une organisation religieuse ainsi que l’Organization of Afro-American Unity. Suite à un pèlerinage à La Mecque cette même année, il devient sunnite et désavouepubliquement le racisme; il se rend également dans divers pays d’Afrique et du Moyen-Orient. Moins d’un an plus tard, le premier jour de la National Brotherhood Week (semaine nationale de la fraternité), il…

Les fables de la fontaines

JEAN DE LA FONTAINE

FABLES LIVRE 1
1

LIVRE PREMIER FABLE I LA CIGALE ET LA FOURMI La Cigale, ayant chanté Tout L’Été, Se trouva fort dépourvue Quand la Bise fut venue. Pas un seul petit morceau De mouche ou de vermisseau. Elle alla crier famine Chez la Fourmi sa voisine, La priant de lui prêter Quelque grain pour subsister Jusqu’à la saison nouvelle. « Je vous paierai, lui dit-elle, Avantl’Août, foi d’animal, Intérêt et principal. » La Fourmi n’est pas prêteuse : C’est là son moindre défaut. « Que faisiez-vous au temps chaud ? Dit-elle à cette emprunteuse. – Nuit et jour à tout venant Je chantais, ne vous déplaise. – Vous chantiez ? j’en suis fort aise : Eh bien! dansez maintenant. »

2

FABLE II LE CORBEAU ET LE RENARD Maître Corbeau, sur un arbre perché, Tenait en son becun fromage. Maître Renard, par l’odeur alléché, Lui tint à peu près ce langage : « Et bonjour, Monsieur du Corbeau. Que vous êtes joli ! que vous me semblez beau ! Sans mentir, si votre ramage Se rapporte à votre plumage, Vous êtes le Phénix des hôtes de ces Bois. » A ces mots le corbeau ne se sent pas de joie : Et pour montrer sa belle voix, Il ouvre un large bec, laisse tomber sa proie. LeRenard s’en saisit, et dit : « Mon bon Monsieur, Apprenez que tout flatteur Vit aux dépens de celui qui j’écoute. cette leçon vaut bien un fromage sans doute. » Le corbeau honteux et confus Jura, mais un peu tard, qu’on ne l’y prendrait plus.

3

FABLE III LA GRENOUILLE QUI SE VEUT FAIRE AUSSI GROSSE QUE LE BOEUF Une Grenouille vit un Boeuf Qui lui sembla de belle taille. Elle qui n’était pasgrosse en tout comme un oeuf, Envieuse s’étend, et s’enfle, et se travaille Pour égaler l’animal en grosseur, Disant : « Regardez bien, ma soeur, Est-ce assez ? dites-moi : n’y suis-je point encore ? – Nenni. – M’y voici donc? – Point du tout. – M’y voilà ? – Vous n’en approchez point. » La chétive pécore S’enfla si bien qu’elle creva. Le monde est plein de gens qui ne sont pas plus sages : ToutBourgeois veut bâtir comme les grands Seigneurs, Tout petit Prince a des Ambassadeurs, Tout Marquis veut avoir des Pages.

FABLE IV 4

LES DEUX MULETS Deux Mulets cheminaient ; l’un d’avoine chargé ; L’autre ponant l’argent de la Gabelle. Celui-ci, glorieux d’une charge si belle, N’eût voulu pour beaucoup en être soulagé. Il marchait d’un pas relevé, Et frisait sonner sa sonnette ; Quand, l’ennemise présentant, Comme il en voulait à l’argent, Sur le Mulet du fisc une troupe se jette, Le saisit au hein, et l’arrête. Le Mulet se défendant Se sent percer de coups : il gémit, il soupire. « Est-ce donc là, dit-il, ce qu’on m’avait promis ? Ce Mulet qui me suit du danger se retire ; Et moi j’y tombe, et je péris. – Ami, lui dit son camarade, Il n’est pas toujours bon d’avoir un haut emploi : Situ n’avais servi qu’un Meunier, comme moi, Tu ne serais pas si malade. »

FABLE V

5

LE LOUP ET LE CHIEN Un Loup n’avait que les os et la peau ; Tant les Chiens faisaient bonne garde. Ce Loup rencontre un Dogue aussi puissant que beau, Gras, poli, qui s’était fourvoyé par mégarde. L’attaquer, le mettre en quartiers, Sire Loup l’eût fait volontiers. Mais il fallait livrer bataille ; Et leMâtin était de taille A se défendre hardiment. Le Loup donc l’aborde humblement, Entre en propos, et lui fait compliment Sur son embonpoint qu’il admire. Il ne tiendra qu’à vous, beau Sire, D’être aussi gras que moi, lui repartit le Chien. là quittez les bois, vous ferez bien : Vos pareils y sont misérables, Cancres, haines, et pauvres diables, Dont la condition et de mourir de faim. Car quoi ?Bien d’assuré ; point de hanche lippée Tout à la pointe de l’épée. Suivez-moi ; vous aurez un bien meilleur destin. » Le Loup reprit : « Que me faudra-t-il faire? – Presque rien, dit le Chien ; donner la chasse aux gens Portant bâtons, et mendiants; Flatter ceux du logis, à son Maître complaire ; Moyennant quoi votre salaire Sera force reliefs de toutes les façons : Os de poulets, os de pigeons ;…

La poste tunisienne

MultiMedia et Web

Rapport de stage

Durée du stage : du 01/08/2010 Au : 31/08 /2010
Lieu du stage : le bureau de poste ENNADHOUR

Elaboré par : TOUMI Houda
Encadré par : RIYEHI JalloulAnnée universitaire 2009-2010

Remerciement
A l’issus du stage que j’ai effectué au sein du bureau de la poste ENNADHOUR , je tiens à présenter mes remerciements lesplus chaleureux à tous ceux qui m’ont aidé réaliser mon rapport et de bien profiter de ce stage.
Je rends hommage en particulier:
Mr RIYEHI Jalloul pour mon encadrement et ses précieuxconseils.
A Mr KRAIEM Abdejlil qui m’a donné aussi ses conseils et son encadrement.
A tous les agents du bureau de poste d’ENNADHOUR pour leur orientation, disponibilités et conseils.
Età tout le jury qui a accepté d’examiner et juger mon rapport.

Ainsi, je renouvelle mon infini remerciement à mes professeurs de l’ISEAH du KEF.

SommaireIntroduction…………………………………………………………1
Historique de la poste tunisienne…………………………………..2
Les différentes structures et présentation de leurs taches spécialisées :………………………………………………………….3
Organigramme………………………………………………………5
Les différents servicespostaux……………………………………..6
Guichet Financier………………………………………………………6
Partie I : Le Compte Courant Postal…………………………………………6
Quels sont les avantages d’un CCP ?
Comment ouvrir un CCP ?
Partie II : L’Epargne Postale………………………………………………….7
-Quels sont les avantages ?
-Qui contacter pour savoir plus ou ouvrir un compte ?
Partie III : Les Mandats……………………………………………………….8
– Quels sont les avantages ?
-Notre gamme de Mandats
-Quel est lemontant maximum par mandat
Partie IV: Transfer d’argent Western Union:……………………………….9
-A qui s’adresse ce service ?

-Quels sont les avantages du service Western Union ?
-Comment envoyerl’argent ?
-Comment recevoir l’argent ?
Partie V : Le change…………………………………………………………11
-En quoi consistent les opérations de change
Partie VI :…

La religion

La Religion
– Religion et gouvernement : Montesquieu pense la religion non en fonction de sa vérité ou de sa fausseté mais de son adéquation ou adaptation à une forme de gouvernementdonné.

– Religion naturelle et religion civile : Pour Rousseau, la religion naturelle est la religion purement individuelle, intérieure à chaque homme. La religion civile quant à elle estune religion commune devant assurer la vie sociale, l’amour de l’autre sans tomber dans les travers de la « religion nationale » traditionnelle le plus souvent intolérante.

– Lareligion morale : Pour Kant, la religion n’est pas affaire de connaissance. L’existence de Dieu est indémontrable spéculativement. La religion est nécessairement religion morale ; elle relève de la raisonpratique obéissant aux lois morales.

– La conscience de Dieu : Schleiermacher pose qu’il y a en l’homme une dimension religieuse spécifique. Chaque religion n’est qu’une manifestationsingulière du rapport universel à Dieu, celui-ci se concrétisant donc historiquement.

– Religion statique et religion dynamique : Selon Bergson, la religion statique est celle qui a unefonction sociale de préservation de la société à l’égard de l’égoïsme, des intérêts individuels. Elle est constituée d’interdits et de tabous. Elle s’oppose à la religion dynamique fondée sur l’amour,l’illumination, l’absence de craintes.

– Les dieux comme causes : Lucrèce affirme que c’est parce que l’homme observait des phénomènes naturels (ex : les mouvements célestes), sansparvenir à leur assigner des causes, qu’il a inventé les dieux pour jouer ce rôle de cause. Ces dieux sont une « malédiction » car ils inspirent à l’homme la terreur.

– Religion etintolérance : Spinoza émet une critique de la superstition religieuse née de deux passions : la crainte et l’espoir des biens incertains. Cette superstition est d’autant plus menaçante que les puissants…

Voyage au bout de la nuit

Dès sa publication, le scandale et les polémiques soulevés par l’emploi de la langue orale et la dénonciation d’une société abrutissant et humiliant l’homme sont immédiats. Le style surprendautant qu’il effraie. En 1932, l’introduction de la langue populaire en littérature reste rare et il est encore moins fréquent que ce soit le narrateur qui parle cette langue, d’habitude réservéeaux seuls dialogues. Céline frappe fort. Voyage correspond à l’aboutissement et la maturité d’une écriture que son auteur travaille depuis de nombreuses années. A la simple lecture de l’incipit duroman, on plonge déjà dans l’univers et la langue de Céline :  » Ça a débuté comme ça. Moi, j’avais jamais rien dit. Rien. C’est Arthur Ganate qui m’a fait parler. Arthur, un étudiant, un carabinlui aussi, un camarade. On se rencontre donc place Clichy. C’était après le déjeuner. Il veut me parler. Je l’écoute. « Restons pas dehors ! qu’il me dit. Rentrons !  » Je rentre avec lui. Voilà. « Dès sa publication, le scandale et les polémiques soulevés par l’emploi de la langue orale et la dénonciation d’une société abrutissant et humiliant l’homme sont immédiats. Le style surprendautant qu’il effraie. En 1932, l’introduction de la langue populaire en littérature reste rare et il est encore moins fréquent que ce soit le narrateur qui parle cette langue, d’habitude réservéeaux seuls dialogues. Céline frappe fort. Voyage correspond à l’aboutissement et la maturité d’une écriture que son auteur travaille depuis de nombreuses années. A la simple lecture de l’incipit duroman, on plonge déjà dans l’univers et la langue de Céline :  » Ça a débuté comme ça. Moi, j’avais jamais rien dit. Rien. C’est Arthur Ganate qui m’a fait parler. Arthur, un étudiant, un carabinlui aussi, un camarade. On se rencontre donc place Clichy. C’était après le déjeuner. Il veut me parler. Je l’écoute. « Restons pas dehors ! qu’il me dit. Rentrons !  » Je rentre avec lui. Voilà….

Reception hotel rabat

1. Dédicace :

A tous ceux qui se sont investis pour notre formation plus particulièrement:

– Ma famille respective
– Mes amis
– L’équipe pédagogique de notre établissement
– Tout le personnel du service de réception à l’hôtel RABAT.
-A tous ceux et à toutes celles qui ont contribué à l’élaboration de ce modeste
rapport.

En signe de reconnaissance de soutien inconditionnel quevous nous avez apporté et pour l’investissement que vous avez consacré; nous vous dédions ce travail en témoignage des liens qui nous ont unis et les efforts que vous avez consentis à notre égard.

2. REMERCIEMENTS :

Je me fais un agréable devoir de remercier Mr SKALLI et Mr HASSNAOUI, directeurs généraux de l’établissement, ainsi que mon maîtres de stage Mr Mansouri, respectivement directeurde l’hébergement qui m’a tout d’abord facilité mon intégration au sein de l’hôtel, et qui ne cesse de m’encadrer et de me conseiller contribuant au bon déroulement de mon stage.
Je tiens aussi à exprimer ma profonde gratitude au chef de la réception, Mr Ayoub pour le temps qu’il consacre, malgré son emploi du temps chargé, à enrichir mes connaissances en termes de réceptions , et je remercie MrFetouhi mon tuteur qui m’a accompagné au long de mon stage ainsi que tous ceux qui ont collaboré de prés ou de loin avec moi, trouvent ici l’expression de mes vifs remerciements : le personnel du commercial , restauration et banquet, de cuisine, ainsi que toute l’administration.

3. Introduction :

Le Maroc, qui dispose d’importants atouts naturels et d’un patrimoine culturel riche etdiversifié, a érigé le secteur touristique en priorité économique nationale.
En effet, son évolution constatée est le fruit de la concurrence accrue entre les différents établissements hôteliers. Mon institut exige à tout étudiant surtout ma filière (marketing hôtelier et touristique) d’effectuer un stage pratique dans un établissement hôtelier, et ceci pour compléter la formation théorique par uneexpérience plus pratique.
Ce stage que j’ais effectué à l’hôtel Rabat situé en 21, avenue Chellah -1000, m’a permis de concrétiser mes connaissances acquises pendant mes deux années à (L’ISTAHT). C’était surtout une application des cours, ainsi qu’une concrétisation des techniques, mais l’esprit restait le même. Ca m’a permis également d’être en contact avec les gens lors de l’élaboration de monsujet de travail , chercher les solutions adéquates aux problèmes posés, et aussi demander des clarifications sur des points ambiguës du sujet.

4. La ville de Rabat :

Rabat, ville impériale blanche et fleurie: la Tour Hassan, construite par le roi conquérant Yacoub el-Mansour
Au XIIe siècle et qui l’a laissée inachevée. La nécropole de Chellah, faite par les Mérinides à l’image d’une Villeromaine, pour imposer leur marque de dynastie unificatrice du Maroc, du XIVe siècle. Le mausolée
Mohamed V, le lieu de recueillement à la mémoire de ce grand roi, artisan de l’indépendance de Maroc.
Rabat ne s’arrête pas là. La bordure de l’oued Bouregreg, les plages de l’Atlantique, la vieille médina, le marché.
De tapis… autant de lieux qui font miroiter les multiples facettes de la ville.Rabat mélange insolite et magique de traditions et de modernité, d’orient et d’occident s’impose comme une halte d’exception pour les voyageurs en quête d’un Maroc légendaire.

5. Problématique et objectifs du rapport :

5.1. Problématique :

Mauvaise communication au sein des départements de l’hôtel provocant ainsi une désinformation.

La communication interne est sidéterminante dans un hôtel qu’elle peut facilement en affecter positivement ou négativement l’efficacité. Vous imaginez l’importance des instructions dans un de ces services, de chaque message que vous passez. Il suffit qu’ils soient mal perçus, mal interprétés et le jeu est fait, négativement, oui. Dans l’autre sens, il suffit que les recommandations soient comprises et exécutées à la lettre, avec…

Dissert

TD 7 histoire : l’émergence du droit français

A la fin de l’ancien rgime en France il ya un droi propre qui se développe en France qui s’appelera par la suite le droit Français. Il y a une idéed’Etat national qui seconstruit. Il rejette les prétentions internationales de lempire germanique et de la papauté et les pouvoir centrifuges des pouvoir locaux. Il va donc se contruit un ryaumeindépendant autour d’un roi. Qui devient progressivement souverain. Un droit proprement français se développe.
C’est le résultat d’un processus complexe, il combine deux éléments : les lois privées que leroi peut prendre par le billet de ses ordonnances et le droit coutumier qui a déjà des fondements très solides mais qui va petit à petit se développer au point de former un droit commun coutumier(gommer les dispartiter concorder les coutumes) désormais enseigner dans les universités ref essentiel : coutume de Paris.

Notion de droit français:
L’idée qu’il y a un droit commun coutumier esttrès ancienne puisque Beaumanoir en parlait déjà (XIII). Il ressort de ce passage de Beaumanoir les règles fondamentales coutumières observées dans tout le royaume de France.
La rédaction des coutumesgrâce à l’imprimerie vont permettre aussi d’en faire la conférence cad qe ça va permettre la diffuser toutes ces coutume et faire évoluer la notion de droit commun coutumier. On se rend compte qu’il ya des principes généraux à a toutes ces coutumes que l’on retrouve dans des coutumes différentes voisines ou non voisines. Les juristes se sont mis a envisager le rapprochement de toutes les coutumes:ici se créer véritablement un droit commun coutumier. Dans un premier temps se forme une doctrine particulière dont les juriste vont prendre une coutume particulière et la commenter pour ensuite voirles discordances et les rapprochements. Cette première étape se fait dès 1546 ex Du moulin préconise l’établissement d’une coutume unique qui réunit des règles générales , on compare des…