V ishnu

Vishnu :

– Responsable de stabiliser et de maintenir le bon ordre de la création.
– Dieu bienveillant et protecteur.
– Il protège l’évolution du monde que Brahma a créé.
-Habite dans le ciel, entouré de sa cour.
– Parfois, il quitte le ciel pour intervenir sur Terre. Il prend donc la forme d’un « avatara », sorte de déguisement d’apparence soit animale, soit humaine.Cela lui permet d’œuvrer sur Terre sans être reconnu de tous. Il rétablit alors le dharma, c’est-à-dire le bon ordre spirituel et moral dans le monde.
– AVATARAS :
– Matsya= Le poisson : Danscet forme, il réussi à mettre fin à un grand déluge marin.
– Kurma= La tortue : Dans cette forme, il réussi à redonner les biens premiers du peuple ravagé.
– Varâha= Le sanglier : Ensanglier, il a vécu un démon dans une bataille qui a duré plus de 1000 ans.
– Narasimha= L’homme lion : Dans la forme de l’homme-lion, il tua un démon très maléfique qui avait tenté du tuer son fils.- Vamana= Le nain : Dans cette forme, il parvient à vaincre le démon Bali. Celui-ci lui avait promis de lui donner le droit d’exploiter tout le territoire qu’il pouvait franchir en 3 pas. Il afait le tour du monde en 3 pas. ( Il était en nain, donc..)
– Parashirama = Le prince combattant : Il a anéantit une famille royale traître du peuple.
– Rama-Chandra= Le héros : Il tue, celuiqui a kidnappé la fille d’un roi.
– Krishna= Le guerrier : Il grandit vite alla à la guerre pour montrer au peuple à quel point la sensualité et la fierté sont des valeurs importantes dans la vie.- Bouddha= L’être le plus près des dieux : Dans cet avatar, il a voulu démontrer l’infinie puissance de la sagesse et de la méditation.
– Kalki= La dernière venue : Vishnu n’a pas encoreatterri sur Terre dans cette forme mais c’est écrit dans l’ordre cosmique qu’il descendra à la fin de notre ère pour une dernière fois. Il tuera tous les démons et les humains au cœur mauvais. Il…

Boule de suif

Boule de Suif – Guy de Maupassant

Rouen, 1870, les Prussiens vont entrer dans la ville. Dix personnes cherchent à fuir la ville en diligeance. Un couple de marchands de vins, un autrecouple propriétaires de trois filatures, le comte et la comtesse Hubert de Bréville, deux religieuses, Cornudet démocrate, et une prostituée rondelette surnommée Boule de Suif. En lareconnaissant, les femmes honnêtes se moquent d’elle et restent entre elle. Mais, le mauvais temps rend la progression difficile et ils ne trouvent pas d’auberge pour s’arrêter manger. C’estalors que Boule de Suif sort un panier rempli de poulets, de vins, de fruits, de friandises. Les autres qui n’ont rien prévu pour le repas la regardent avec envie, et Boule de Suif,gentiment, partage tout son panier avec eux. Ils descendent à l’auberge de Tôtes pour y passer la nuit et un officier prussien après avoir examiné tous les papiers des voyageur demande à parler àMademoiselle Élisabeth Rousset: Boule de Suif. Elle ne dira pas à ses compagnons ce que désirait l’officier malgré son émotion apparente. Le lendemain, l’officier leur interdit de partiret demande à Mlle Élisabeth Rousset si elle a changé d’avis, celle-ci refusant, l’officier les empêche de partir. Quand Boule de Suif révèle à ses compagnons de voyage que l’officierallemand veut coucher avec elle, les autres dans un premier temps sont émus et révoltés, mais petit à petit, voyant que c’est la seule solution pour quitter l’auberge, poussent Boule de Suif às’exécuter, ce qu’elle fait. Le départ a donc lieu, avec Boule de Suif qui subit des regards dédaigneux de la part de ses compagnons. Au moment du repas, tout le monde sort un panier saufBoule de Suif qui trop bouleversée, n’y a pas pensé, et personne ne partage avec elle ce qui la rend triste et la fait pleurer.

Les thèmes: Hypocrisie, Égoïsme, Profit (Loiseau).

Une saison en enfer de rimbaud-lecture cursive

Une Saison en Enfer
Arthur Rimbaud
Lecture cursive

[pic]
(Arthur Rimbaud par Forain-date inconnue)
Une saison en Enfer – lecture cursive

Une saison en Enfer fut publié en 1873, à lafin du XIX siècle qui a vu naître les mouvements littéraires les plus connus :
– le romantisme ou l’expression lyrique du « moi » tourmenté du poète, avec des thèmes universaux commel’amour et la mort ;
le réalisme selon lequel « le roman est un miroir que l’on promène le long d’un chemin » (Stendhal)
le naturalisme qui applique au processus d’écriture la méthode scientifique
leparnasse, réponse aux excès du romantisme, considère que l’art existe pour lui même, selon le principe de « l’art pour l’art » de Théophile Gautier

Rimbaud, né le 20 octobre 1854 àCharleville-Mézières (Ardennes), sera très influencé par les courants littéraires de son époque, notamment le parnasse. Deuxième d’une fratrie du cinq enfants (dont un décèdera dans son premier mois) il passe lamajeure partie de son enfance dans un taudis rue Bourbon après que son père eût abandonné sa femme. Lauréat à 15 ans d’un concours de vers latin, il fugue plusieurs fois à Paris où il rencontre despoètes comme Verlaine (avec qui il aura une liaison houleuse achevée en coup de pistolet), Paul Demeny ou encore Théodore de Banville. Après la « tragédie du Bruxelles » où Verlaine lui tire dessus, Rimbaudécrit Une saison en Enfer et Illuminations puis part pour l’Afrique. Nous sommes en 1875 et Rimbaud a 21 ans. Ici s’achève sa carrière de poète. En octobre 1878 il part pour l’Afrique, où il seratrafiquant d’armes, commerçant, sillonnera les pays à pieds ou à cheval entre Harar et Ader et aura plusieurs aventures avec des africaines. Hugo Pratt, dans son album Les Éthiopiques, fait référence àce Rimbaud vagabond.
Rimbaud meurt d’un cancer, causé par l’amputation d’une tumeur au genou, à l’hôpital de la Conception à Marseille le 10 novembre 1891.

Une saison en Enfer, écrit…

Cristiano change l’histoire

La presse madrilène ne tarit pas d’éloges sur Cristiano Ronaldo au lendemain de la victoire du Real Madrid sur le FC Barcelone (1-0 a.p.) en finale de la Coupe du Roi. La presse catalane est déjàtournée vers le prochain duel entre les deux équipes en demi-finale de la Ligue des Champions.
Cristiano Ronaldo a mis la presse madrilène à ses pieds en inscrivant le but de la victoire du Real sur leBarça (1-0 a.p.) en finale de la Coupe du Roi. « Cristiano change l’histoire », écrivait le quotidien sportif Marca. Cristiano Ronaldo « change le destin », assurait le journal El Mundo, saluant un »Madrid épique », qui a ouvert « un nouveau cycle » en mettant « fin à trois saisons d’hégémonie du Barça ». « Un génie ne dort jamais, un génie ne se repose jamais », ajoutait le journal.

Cristiano Ronaldo,transfert le plus cher de l’histoire du football (environ 93 millions d’euros, payés en 2009 par le Real à Manchester United), a offert à son club sa première Coupe du Roi depuis 1993 en marquant de latête, à la 103e minute de la prolongation. »Cristiano donne au Madrid une Coupe pour la légende », soulignait le journal régional La Voz de Galicia. « Le triomphe de la force et de la foi », titrait lejournal AS, l’autre quotidien sportif, avec Marca, favorable au Real Madrid.

De son côté, la presse catalane se tournait déjà vers la Ligue des champions, une compétition dans laquelle les deuxéquipes vont se retrouver, le 27 avril à Madrid en demi-finale aller, le 3 mai à Barcelone au retour. « Le Madrid gagne la Coupe, gagnez la Champions », lançait aux joueurs du Barça le Mundo Deportivo,ajoutant plus loin dans ses pages intérieures: « Il y aura une revanche ». « La tactique magistrale couronne Mourinho », affirmait le journal ABC. Le but de Cristiano Ronaldo « a récompensé l’effort desjoueurs pour respecter l’exigeant système tactique de Mourinho », devenu le premier entraîneur de l’histoire du Real à gagner quatre coupes nationales dans quatre pays différents: Portugal, Angleterre,…

Pouvons nous rire de tout?

Peut-on rire de tout?

Peut-on rire de tout? Cette question laisse immédiatement penser qu’il est évident que l’on puisse mais également que l’on ne puisse pas. Pour la même raison que rire présente des aspects bénéfiques et défavorables. Premièrement, il nous aide dans la vie quotidienne pour surmonter les difficultés. Mais secondement, il peut être à la base de multiples problèmes ensociété.

Tout d’abord, il est évident que l’on puisse rire de tout puisque c’est le rire qui fait l’homme tout comme l’erreur ou encore la tristesse. Le rire est un des sens premier de l’homme. A ce niveau nous pouvons comparer les animaux aux hommes. Prenez un lion affamé dans la nature, il risque fortement de sauter sur la première proie venue sans réfléchir. Nous pouvons être quasiment certain quela plupart des humains se retrouvant seuls et dépourvus en ferait de même. Pour en revenir au sujet principal, il semble logique de ne pas se contenir dans la majorité des cas car ce n’est pas la situation en elle même qui nous fera rire mais se sera simplement notre première réaction. C’est ensuite que nous viendra l’idée de s’inquiéter.
Pour renforcer l’idée que l’humain soit créé pour rire,il nous suffit d’observer le comportement des enfants et nous en conclurons rapidement qu’ils passent du rire aux larmes et des larmes au rire. Ce qui est tout simplement logique étant donné que les jeunes enfants sont en apprentissage. Ils n’ont aucune expérience de la vie. Leurs seules réactions sont donc de pleurer ou de rire en fonction du contexte. Ils ne connaissent que peu de moyens pourréagir. C’est plus tard avec l’éducation enseignée par leurs parents et par leurs avancées dans la société qu’ils commenceront à réagir autrement. Ceci confirme que l’être humain peut rire de tout et notamment s’il n’a aucune éducation.

Les humains sont capables de rire de tout et même du pire. Le rire n’est pas forcément heureux. Face à l’épuisement, à la peur, au danger et à de nombreuxfacteurs, le rire peut être nerveux. Il est presque improbable de trouver des personnes n’ayant jamais ri dans des situations gênantes, imprévues et même dramatiques alors qu’à la base et au fond d’elles même, elles ne le prenaient pas du tout au même degré. Il suffit parfois d’un rien pour déclencher des fous rires dans ces moments là. Dans ces conditions, le rire est alors inconsciemment utilisépour évacuer et gérer sa peur, sa tristesse, ses angoisses, sa douleur ou même ses tensions.
Faisons maintenant un tour dans les hôpitaux. Ce sont plutôt des lieux tristes où pour la plupart du temps les hommes sont malades. Néanmoins, il suffit de faire un peu plus attention à l’attitude des autres personnes et on remarque très vite que les humains rient de leur propre santé, de leur propremaladie. Les patients sont même soutenus à vivre la maladie ainsi par les équipes soignantes. La preuve étant qu’il existe des psychothérapies basées sur le rire. On utilise aussi des clowns pour la pédiatrie. On pourrait trouver cela étrange, mais rire de sa maladie c’est tout simplement l’oublier pour un instant. En rire permet de continuer à lutter comme l’évoque merveilleusement bien cettecitation de Gérard Jugnot « le rire comme les essuies glaces permet d’avancer même s’il n’arrête pas la pluie ». La majorité humaine tente d’ailleurs de faire rire leurs proches quand ils souffrent. Cela prouve donc que l’on peut rire de tout.

Ensuite, il est évident que le rire ne puisse pas être permanent. Tout humain riant sans cesse de tout ne peut être qu’un hypocrite et un égoïste. Oserrire de tout, c’est la méconnaissance d’autrui, de leurs sentiments, de leurs coutumes, et de leurs croyances. L’humour à des limites à ne pas franchir en dépit de devenir insociable. Celui qui n’a pas cela dans sa conscience semble oublier les libertés fondamentales de l’homme qui sont inaliénables. Respecter les autres semble n’être qu’une sorte de politesse pourtant essentielle pour une vie…

Les femmes et les enfants dans la guerre

Les femmes & les enfants dans la première guerre mondiale

Dossier d’histoire

Sommaire

Pourquoi peut-on dire que la première guerre mondiale a été une guerre totale ?

Les femmes dans la guerre

(a)Les conditions de vie

(b)Le travail

(c)Les veuves

Les enfants dans la guerre

(a)Des enfants endoctrinés

(b)Les enfants à l’arrière : acteur de l’économiede guerre

(c)Les orphelins

Introduction

Avant la première guerre mondiale, la femme avait un rôle important au sein de la famille mais pas dans le reste de la société. La fonction de la femme a longtemps été celle des activités ménagères au sein du mariage et de l’éducation des enfants.La religion et les coutumes n’ont pas encouragé les femmes à avoir une vie professionnelle. Lasociété a toujours laissé aux femmes les travaux domestiques au sein de la famille.
Cependant les femmes et les enfants ne sont pas tenus à l’écart de la guerre.

Pourquoi peut-on dire que la première guerre mondiale a été une guerre totale ?

I.Les femmes dans la guerre

(a) Les conditions de vie

La Première Guerre mondiale bouleverse le quotidien des femmes françaises. Leurs conditions devie sont dures en temps de guerre et leurs rôles dans la société évoluent.
La guerre rend la vie quotidienne difficile : tout d’abord pour se procurer de la nourriture au moment où les productions alimentaires se font plus rares. Les cultures sont moins productives en l’absence des hommes, d’animaux de traits et d’engrais. Il faut parfois faire la queue pendant de longues heures devant lesmagasins. Les corps alors sont affaiblis par les privations. De plus, certains travaux des champs et à l’usine comme le rôle de « munitionnettes » sont extrêmement physiques et éprouvants.
La vie des femmes se révèle dure en l’absence des hommes : elles vivent dans une véritable attente des nouvelles du front et dans l’angoisse de perdre un être cher. .

Ainsi, malgré ces conditions, les femmes ontnon seulement assuré leur rôle traditionnel mais, en l’absence des hommes, en ont assumé de nouveaux pendant ce conflit.

(b) Le travail

Les premiers mois de la guerre de 14-18 furent marqués par une crise de chômage. La mobilisation d’une partie de la main-d’oeuvre masculine entraînant la fermeture de nombreux établissements, beaucoup de femmes furent d’abord privées de travail. Dès 1915cependant, la nécessité de rouvrir certaines usines et d’intensifier l’armement détermine un renversement de la situation .On se trouve devant une pénurie de main-d’oeuvre. Mais très vite, la femme a pour vocation de remplacer les hommes partis se battre. Dès août 1914, les femmes doivent assurer le travail des champs.
L’entrée dans une guerre longue implique ensuite très vite de faire appel auxfemmes dans des secteurs qui leur étaient jusqu’alors généralement étrangers : le secteur des armes avec les « munitionnettes » s’habillent, travaillent comme des hommes; et également celui des services publics.
Les femmes s’impliquent aussi plus directement dans la guerre avec par exemple, la figure de l’infirmière qui est d’ailleurs typiquement féminine..

Ainsi, dans tous les cas,l’intervention des femmes se fait au nom du service de la patrie : c’est donc bien toute la nation qui est mobilisée pour faire triompher la nation.

II. Les enfants dans la guerre

(a) Des enfants endoctrinés

Les enfants sont les destinataires d’un discours qui cherche à les integrer à l’effort de guerre. Cette mobilisation morale des enfants se fait principalement par l’école et les loisirs dèsla plus petite enfance. En effet, ce sont les principaux vecteurs de la propagande.
Le déclenchement de cette guerre suscite un important développement des jeux guerriers : à travers puzzles, jeux de l’oie, armes de guerre …
Les lectures enfantines sont également un côté privilégié par rapport à la mobilisation des plus jeunes. En France mais aussi en Grande-Bretagne et en Allemagne, la…

Svt : le dopage

Définition du dopage
Le dopage est la pratique consistant à absorber des substances ou à utiliser des actes médicaux afin d’augmenter artificiellement ses capacités physiques ou mentales (battements du cœur, confiance en soi, etc.).
Le dopage existe dorénavant dans le milieu sportif, en effet de plus en plus d’étudiants se dopent afin de pouvoir augmenter leurs capacités intellectuelles.
Ledopage n’est pas une pratique récente, en effet il est utilisé depuis de très nombreuses années où le premier cas moderne fut avéré lors d’un épreuve de nage à Amsterdam en 1865. De plus, quelquesannées après nous avons pu remarquer le premier mort à cause du dopage en 1896.

Les produits dopants :

Au départ il existait peu de produits dopant, mais le développement du sport a favorisé lacréation de nouvelles substances. A ce jour, il n’existe pas de nombre exact puisque une partie de ces dopants ne sont pas découverts, les sportifs sont constamment à la recherche de nouveauxproduits pour éviter de se faire dépister lors de compétitions. En effet, lorsque les substances de sont pas connus des médecins il est quasiment impossible de les déterminer. Les principaux produits connussont répertoriés dans 8 grandes catégories.

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Pourquoi le dopage existe-t-il ?

Le dopage est principalement utilisé pour augmenter les capacités physiques et psychiques de ceuxqui le convoitent. Il existe différentes motivations, le fait de vouloir changer de morphologie, pour se dépasser, pour perdre du poids, pour une meilleure oxygénation, pour améliorer saconcentration ou encore rythmer son sommeil.
Néanmoins, pour les sportifs le choix est plus ciblé, en effet il concentre leur dopage sur des produits qui améliore leur force et augmente leur endurance. Afin decamoufler ces dopants, ils utilisent d’autres produits qui on pour but d’éviter un dépistage positif lors de compétitions.
De plus, une loi en France prohibe
L’article L232-9 mentionne…

Dissert’

Steve Bantu Biko (1946-1977) en bref
. Sa position inspiré de la non violence est plus radicale que celle de l’ANC, ce qui lui vaut une attentionau plan international et sera un tournant dans la lutte contre l’apartheid. Libérer le peuple noir de l’aliénation physique et mentale en leurrestituant leur dignité et leur identité était une nécessité pour Biko.
En 1972, il sera l’un des fondateur et le premier président du « Black PeoplesConvention » qui rassemblent plus de 60 mouvements et associations noires qui joueront un rôle important lors des émeutes à Soweto en 1976.
En 1973, ilsera assigné à résidence forcé, restreignant ainsi ses mouvements et l’interdise de prendre la parole en public. Il sera sans cesse haceler par lapolice pendant 4 années, subissant un grand nombre d’arrestations et interrogatoires.

Après avoir été enchaîné, frappé avec violence et privé de soins,Steve Biko décède le 12 septembre 1977, après 16 jours de détention dans des conditions inhumaines, sans le moindre procès. Totalement inconscient, ilest transporté nu à l’arrière d’un véhicule de police à la prison centrale de Pretoria à plus de 1100 km de là. Quelques heures après son arrivée onconstatera son décès sur le sol d’une cellule, toujours nu. Cet homme de 30 ans à peine et en parfaite santé avant son arrestation, est mort dessuites d’un traumatisme crânien et de blessure au foie, selon les rapports médicaux de l’époque, mais la société déclarant que sa mort était accidentelle.

Sandro boticelli

Sandro Botticelli, « La Naissance De Vénus », l’œuvre de sa vie ?

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Biographie..
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Sandro Botticelli est né le premier mars 1445 dans le quartier d’Ognissanti à Florence sous le vrainom d’Alessandro di Mariano Filipepi. Il est le cadet de quatre frères et grandit dans une famille modeste dont le père, Mariano Filipepi était tanneur. « Botticelli » est un surnom qui veut, en faitdire, « petit tonneau ». C’est son frère Antonio qui lui enseigne l’art étant petit puisqu’il était lui-même orfèvre. Botticelli entre dans l’atelier de Fra Filippo Lippi, moine et peintre deflorence, à l’âge de 15 ans. L’apprentissage de l’orfèvrerie va influencer son style par la gravure et la ciselure. Il ouvre son premier atelier en 1470 et reçois sa première commande ; une allégorie quireprésente la force pour le Tribunal de Commerce de Florence. Il devient un ami des philosophes Néoplatoniciens en étant en accord avec leurs idées et en accomplissant ce qu’ils ne peuvent que penser ; enajoutant ses interprétations personnelles avec son style mélancolique qui le différencie des autres peintres. Botticelli fréquente les Médicis ainsi que quelques humanistes tels que Ange Policien ouPic de la Mirandole, ce qui lui vaut une belle protection et une garantie pour de nombreuses commandes comme « l’Adoration des Mages » qui fut peinte pour la chapelle funéraire de Gaspare Zanobi,cette œuvre importante où il peint un cortège de personnages qui représentent la Famille de Médicis.
En 1481, le Pape Sixte IV demande à Botticelli de peindre sa Chapelle Sixtine où il peint troisgrandes frèsques ; Les Épreuves de Moïse, La Tentation du Christ et La Punition des Rebelles Lévites.
Il revient ensuite à Florence et peint pour Laurent de Pierre-François de Médicis « Le Printemps » en1478 et « la naissance de Vénus » en 1485, elles resteront ses deux œuvres les plus connues.
Il eut comme élève Filippino Lippi, le fils de son propre maître Fra Filippo Lippi.
Il meurt en 1510…

Marketing : plus qu’un marche

MARKETING: PLUS QU’UN MARCHE

I) QU’EST-CE QUE LE MARKETING ?

Le marketing (du mot anglais market ou mercatique selon la traduction donnée par l’Académie Française) fait partie intégrante de la gestion de l’entreprise. Son importance dans la conduite moderne des affaires tient à plusieurs facteurs, parmi lesquels on peut citer :
– la relance de la consommation,
– la sélectivité de lademande, qui s’oriente vers des produits de plus en plus fiables,
– la nécessité pour les entreprises d’accroître leurs parts de marché face à une concurrence tou¬jours plus agressive,
– la difficulté toujours plus grande pour la publi¬cité de construire seule le succès d’un produit.

I.1) D’OÙ VIENT LE MARKETING ?

Le terme de marketing a été utilisé aux Etats-Unis vers 1910 pour désigner unensemble de techniques de gestion et de vente.
L’idée d’une adaptation de l’organisation et de la production des entreprises aux contraintes du marché était déjà apparue en Allemagne au XIXème siècle, lorsque des industriels comprirent qu’il importait avant tout de satisfaire la clientèle, même si ses goûts semblaient déraisonnables.
De même, en France, la société Pont à Mousson mit en place, en1877, un service commercial des¬tiné à faire en sorte que ce soit “ le commerce qui commande à l’industrie, et non l’inverse ”.
Cet exemple devait faire plus tard des émules, notam¬ment dans des entreprises telles que Saint Gobain, Peugeot ou Michelin.

Dans les années vingt et trente, aux Etats Unis, on assiste à l’apparition des premières institutions et des premières organisationsspécialisées dans le marketing. La National Association of Teachers of Advertising est créée en 1915, suivie en 1930 par l’American Marketing Society, puis par la National Association of Marketing Teachers qui regroupe, à partir de 1934, des enseignants et des spécialistes de cette discipline.
Les premiers cours de vente, de distribution et d’analyse du marché apparais¬sent à la même époque dans lesuniversités améri¬caines, de même que les premières institutions spécialisées dans les études de marché.

Dans les années soixante, l’American Marketing Association décide d’élargir le champ d’action de sa discipline et définit le marketing comme « l’en¬semble des activités dirigeant les flux des biens et des services du producteur au consommateur et à 1’utîlisateur ». Toutes les activités de vente, depublicité, de promotion, de distribution et d’étude de marché sont ainsi rassemblées en une seule définition.

Les théoriciens du marketing ont développé, à partir des années vingt, trois grandes approches du marketing bien différenciées:

La première fût l’approche fonctionnelle. Elle est centrée sur la com¬mercialisation: détermination des prix, des marchés, de la publicité, du « packa¬ging ».Elle reste soumise à la production.

La seconde fût l’approche institutionnelle, qui sépare radicalement les fonctions de marketing et de production.
Consommateurs et commerciaux pèsent ici directement ou indirectement sur les décisions de l’entreprise et la production doit tenir compte des exigences, des habitudes ou des intérêts du marché.

La troisième est le marketing management,for¬mulé par le théoricien américain Philip Kotler. Il distingue cinq phases : l’analyse des opportunités du marché, le développement des stratégies de marketing, la planification des tactiques et leur mise en œuvre, le contrôle de l’action globale du marketing.

Le point capital est toujours la recherche du meilleur équilibre entre le prix, le produit, la communication et la distribution, pouraboutir à leur combinaison (marketing mix) la plus opportune.

I.2) QUELQUES DEFINITIONS …

AUX ETATS-UNIS

« Le marketing est l’ensemble des activités, au sein de l’entreprise, qui permettent d’assurer le flux des biens et des services du producteur au consommateur ou à l’utilisateur ». (American Marketing Association.)

 » Le marketing management est l’analyse, la pla¬nification et le…