La bonne foi en droit des biens

Toutes les personnes juridiques physiques et morales sont titulaires de droits subjectifs, dont certains ont une valeur pécuniaire, qui font partie de leur patrimoine. Or, juridiquement, ces droits patrimoniaux sont considérés comme des biens, c’est-à-dire les droits divers permettant de se procurer le bénéfice des choses ( on peut en particulier citer certains droits réels comme le droit depropriété qui est le plus complet, ou encore l’usufruit, les servitudes … ainsi que les droits personnels ou intellectuels.) Ce sont ces droits beaucoup plus que les choses elles mêmes qui composent le patrimoine d’une personne, soumis à une partie du droit civil particulière, le régime du droit des biens.
Or, les règles relatives aux biens peuvent être relativement complexe. Il peut arriver quedeux personnes différentes revendiquent un seul et même droit, ou qu’une autre n’arrive pas à prouver qu’elle est titulaire de tel ou tel droit. Par exemple, qu’en est-il lorsque deux personnes revendiquent la propriété d’une même chose ?
Le législateur cherche alors a concilier les intérêts du véritable titulaire avec ceux de la personne qui croyait se trouver dans une situation juridique conformeau droit et pensait agir sans léser les droits d’autrui, c’est-à-dire la personne de bonne foi.
Une question se pose alors, quel rôle joue la bonne foi en matière de droit des biens ?
Il ressort du régime du droit des biens que la référence à la bonne foi est particulièrement présente en matière d’acquisition de la propriété où les litiges sont nombreux. Il convient de citer par exemplel’accession immobilière, lorsqu’un tiers construit ou plante sur un terrain dont il croyait être propriétaire, donc un tiers de bonne foi, le véritable propriétaire en vertu du droit d’accession devient propriétaire des constructions ou plantations, mais il devra verser une indemnité au tiers de bonne foi, alors que s’il avait été de mauvaise foi, le constructeur aurait pu être condamner à démolir à sesfrais la construction voir même à verser des dommages et intérêts au propriétaire du sol.
Indépendamment de cet exemple, il apparaît évident que la bonne foi est un des acteurs principaux en ce qui concerne les règles de la possession, c’est-à-dire selon l’article 2255 du code civil « la détention ou la jouissance d’une chose que nous tenons », en d’autres termes la possession est l’exercice defait d’un droit réel peut importe que l’on soit le véritable titulaire ou non de ce droit réel., le possesseur se comporte comme s’il était le véritable titulaire d’un droit réel sur la chose, en général droit de propriété. Même si souvent le possesseur est également propriétaire, le législateur cherche à protéger voir à avantager le possesseur de bonne foi qui pense réellement être titulaire dudroit , en cas de revendication du véritable propriétaire qui peut parfois avoir le sentiment d’être lésé.
Or, il s’agit de voir que l’intérêt, l’utilité économique de la possession peut justifier les avantages que le législateur accorde au possesseur de bonne foi, jusqu’à le considérer véritable propriétaire en matière mobilière.

I La bonne foi pour encourager le possesseur :

A. L’utilitésociale de la possession justifie la protection du possesseur de bonne foi.
Le possesseur est celui qui se comporte comme le véritable titulaire d’un droit, il va avoir une certaine maîtrise sur la chose, accomplir des actes… Ainsi, même si souvent les règles de la possession permettent d’aider le possesseur qui est véritable propriétaire à prouver son droit, elles ont également pour butd’encourager celui qui s’occupe et entretient un bien délaissé par son propriétaire, en accordant certains avantages au possesseur de bonne foi.
Cette utilité sociale justifie donc que la bonne foi soit toujours présumée, c’est au véritable propriétaire de prouver la mauvaise foi. D’autre part, si le véritable propriétaire arrive à prouver son droit de propriété sur la chose, en temps normal, le…

Commentaire sur molloy de beckett

Marie Levasseur Pour le : 27/03/11
Groupe 2
pour Mardi 29
Commentaire de texte sur Molloy de Beckett

Molloy de Samuel Beckett est un roman écrit entre 1947 et 1948, publié pour la première fois par Jérôme Lindon aux Editions de Minuit en 1951. Il est le premier d’une trilogie écrite directement en français (Beckett est Irlandais), dont les deux autres volumes sont intitulés MaloneMeurt et L’Innommable. L’auteur né à Foxrock à Dublin le 13 avril 1906, et va d’abord étudier à la Eastford House School, dans le centre de Dublin, avant d’entre à Portora Royal School d’Enniskillen, lycée précédemment fréquenté par Oscar Wilde. Il étudie ensuite le français, l’italien et l’anglais au Trinity College de Dublin (fréquenté par James Joyce aussi) de 1923 à 1927. Beckett enseigne auCampbell College de Belfast ,et est nommé au poste de lecteur d’anglais à l’école normale supérieure de Paris. C’est à cette occasion qu’il rencontre l’auteur irlandais James Joyce (The Dubliners, Ulysse, Finnegans Wake…) grâce au poète Thomas MacGreevy, poète ami de Beckett . La première oeuvre de Beckett, publiée en 1922 sera « Dante…Bruno.Vico…Joyce » dans laquelle il défend l’oeuvre deJoyce, critiquée par beaucoup.
Molloy sort au lendemain de la seconde guerre mondiale, dans un climat où la littérature se radicalise et se fait plus critique, le monde est en état de choc. Cependant, cette oeuvre sera accueillie avec force critiques et attaques, Beckett suscite une très vive polémique et rare sont ceux qui le défendent. Néanmoins, George Bataille, à l’origine de La Revue (magazine littéraire qui sera ensuite racheté par les Editions de Minuit), écrira un article proposant une analyse de Molloy et en quelque sorte une défense de l’ouvrage, intitulé « Le Silence De Molloy ». Voici les trois axes de commentaire: en premier lieu seront mises en correspondances la déconstruction syntaxique et grammaticale du récit et celle des personnages, pour dans un deuxième temps nousintéresser davantage aux divers sujets abordés, rassemblés sous deux termes trop vagues, quête et perdition, puis les jeux de miroirs et de boucles entre les deux parties, celle de Molloy et celle de Moran.

Molloy est un roman écrit en deux parties de longueur à peu près égales , toutes deux à la première personne du singulier, avec cependant deux narrateurs différents, Molloy et JacquesMoran. Le schéma narratif auquel le lecteur peut s’attendre puisque tout bon roman selon la pensée du milieu du XXème siècle repose sur le pacte de lecture, à savoir l’engagement implicite de l’auteur qu’il y aura un récit avec des adjuvants et des opposants, se révèle inexistant chez Molloy, troqué pour un fil conducteur bien plus subtile et qui désarçonne le lecteur, mis alors sur la défensive.Beckett fait perdre tous ses repères au lecteur. Rien n’est immuable, l’objet de la quête n’est pas clairement énoncé, peut varier. Le seul indice est que Molloy semble chercher quelque chose. L’ambiance installée est celle de l’incertitude « je ne sais pas comment j’y suis arrivé. Dans une ambulance peut-être, un véhicule quelconque certainement » (p. 7 première partie). Autre fait étrange, le noméponyme ne sera donné à lire qu’à la 34ème page de la première partie, de sorte qu’il est impossible de connaître l’identité du narrateur avant. D’ailleurs, le narrateur ne le savait pas non plus jusqu’alors, preuve en est de ce passage: « Et tout d’un coup je me rappelai mon nom, Molloy. Je m’appelle Molloy, m’écriais-je, tout à trac, Molloy, ça me revient à l’instant. » (p. 34).
Ladéconstruction est visible syntaxiquement par l’usage que fait l’auteur de la ponctuation; En effet, les phrases sont saccadées, hachées, au début de la première partie on peut même les qualifier de morcelées. Les virgules ont comme rôle significatif de permettre à Molloy soit de préciser soit de corriger ce qu’il vient d’énoncer , signe supplémentaire de flou : « une ambulance peut-être, un véhicule…

Culture ouvriere

ARMAN Camille
BORDESSOULES Manon
URRUTIAGUER Marie

LA FAMILLE

Quelles évolutions de l’image de la famille peut-on observer à travers la publicité et les arts ?

Sommaire

Introduction page 1

I. La structure familiale page 2
A) A partir de la révolution industrielle page 2-3-4
B) De nos jours page 5

Introduction :

Depuis toujours la famille est au centre de la société carcelle-ci joue à la fois un rôle social mais également économique. C’est à travers la famille que l’on apprend à vivre en société ce qui perpétue les différences entre groupe sociaux et entre sexe. La famille appelée « traditionnelle » est en général composée d’un couple (homme-femme) avec enfants. Cependant nous allons voir que cette configuration familiale est loin d’être la seule que la sociétécomporte, à partir des années 70, la famille va connaitre des évolutions importantes avec une autonomisation de plus en plus prononcé des individus. Cette institution qu’est la famille évolue sans perdre sa capacité à favoriser les liens entre ses membres. Aujourd’hui, la démarche matrimoniale a changé, certains se marient après avoir vécu ensemble mais on peut toute fois observer une baisse desmariages, une augmentation des divorces et des unions libres. Il existe encore une famille traditionnelle mais aussi monoparentale ou recomposée.
Ce n’est pas tant la forme de la famille qui a changer car la structure classique du couple est maintenue mais sa fonction. L’épanouissement de chacun au sein de la famille est devenu essentiel et même l’impératif premier. Cette recherche de satisfactionfragilise donc la durée des unions d’où l’augmentation très importante des ruptures et divorces de nos jours. Une notion d’égalité s’est aussi développée, la femme et les enfants ayant plus de droits et plus la parole qu’auparavant face au mari et père.
Ces évolutions sont illustrées à travers différents supports visibles dans ma société actuelle. Nous nous demanderons alors quelles évolutions del’image de la famille on peut observer à travers la publicité et les arts ?
Dans un premier temps, nous analyserons les différentes formes de familles qui existaient à partir de la révolution industrielle puis les changements que celles-ci connaissent depuis quelques années.
Nous verrons dans un second temps les profondes mutations qui ont été produite au niveau éducatif et religieux.

I – Lastructure familiale

A – A partir de la révolution industrielle

La famille se compose généralement d’un père et d’une mère avec un ou plusieurs enfants. C’est la famille dite « nucléaire » selon Talcott Parsons. Pendant longtemps ce fut le seul modèle de famille toléré. Dans certains milieux, faute de moyens, plusieurs générations vivaient sous le même toit et cela se perpétuer comme unetradition dans la famille. Pour les familles plus aisées au contraire il était plus fréquent de vivre chacun chez soi avec une bonne habitant avec la famille tout au long de l’année. Toutes les classes sociales respectaient cette tradition. Vers la fin des années 60, cette schématisation subit une évolution qui s’amplifiera d’années en années. Cependant, la taille des familles, contrairement aux idéesreçus, n’était pas aussi grande que ce que l’on imagine. En effet, le système social n’était pas créateur de nouveaux emplois, il fallait donc attendre que ses parents décèdent pour leurs succéder et donc les mariages se faisaient tard. Seules les familles bourgeoises mariaient leurs enfants dès la fin de la puberté, ne tenant pas forcement compte des sentiments de chacun mais plus de l’intérêtque le mariage peut apporter à la famille.

Nous allons voir à travers quelques exemples ces types de familles et les différences qu’elles comportaient bien qu’elles aient la même « structure ».

La vie est un long fleuve tranquille, un film d’Etienne Chatiliez sortie en 1988.

Ce long métrage nous présente deux familles totalement opposés, les Groseilles et les Le Quesnoy.
La famille…

Toto

C’est Toto qui dit à sa maman :
– Dis maman, t’as vu ? J’ai donné un sucre au chien et il a remué la queue !
– Super, va donner 2 sucres à ton père…

En classe de sciences naturelles, leprofesseur demande à Toto :
– Peux-tu me dire comment se reproduisent les hérissons ?
– En faisant très, très attention m’sieur! répond Toto.

Toto et deux de ses camarades parlent de leurs pères surun banc de l’école :
– Mon père, dit le premier, est tellement fort qu’il avale la fumée de sa cigarette par la bouche, et il la recrache par le nez !
– Ouah, c’est nul. Le mien, il l’avale par labouche et il la recrache par les oreilles…
– Tu racontes des conneries, dit Toto. Par contre, le mien, il l’avale par la bouche et il la recrache par le derrière !
Les deux autres :
– N’importequoi ! C’est pas possible !! Toto sort un caleçon de son père de son cartable.
– Et ça, c’est pas des traces de nicotine, peut-être ?

Toto mange très salement, alors son père s’écrie :
– Monfils, tu manges comme un goret ! Sais-tu au moins ce qu’est un goret?
– Ouais p’pa ! c’est le fils d’un cochon…

Toto dit à la maîtresse:
– Maîtresse, saviez-vous que les boules de Noël ont du poil?La maîtresse :
– Ben non, voyons! Y a pas de poil après les boules de Noël!
Toto :
– Hé! Noël! Montre tes boules à la maîtresse…

C’est Toto qui va à l’école, mais ce jour là, il a une têteau carré avec des bosses partout. Donc, quand il arrive à l’école, tous les autres enfants vont le voir:
– Ben dis donc, qu’est-ce qui t’es arrivé Toto? t’en a une tête aujourd’hui!
Toto répond :
-Ben c’est hier, j’étais dans mon jardin, et il y avait une guêpe.
Les autres gosses:
– Oh l’autre hé, c’est pas une guêpe qui t’as fait une tête pareille !
– Ben non, c’est mon père, il avait unepelle…

Une blague de coco 77

Toto va chez sa grand-mère et elle lui demande d’aller chercher de la confiture. Toto y va et rencontre son ami Mondoigt. Il va chercher la confiture et fait le…

Guide pao

PRESCRIPTIONS TECHNIQUES UNE QUALITÉ OPTIMALE
AFIN DE GARANTIR LA SATISFACTION DE SES CLIENTS, SHANE GRAPHIQUE A MIS EN PLACE UN ENSEMBLE DE PRESCRIPTIONS TECHNIQUES À SUIVRE IMPÉRATIVEMENT. LA QUALITÉ DES TRAVAUX QUE VOUS NOUS CONFIEZ N’EN SERA QU’OPTIMISÉE.

L’IMPRESSION PARFAITE
XPress :

Vos chiers et

Pour les documents avec fond ou images partant «à la coupe vous devez prévoir unbord perdu tout autour du chier de 2 mm. Si votre produit doit être plié ou rainé, veuillez indiquer la position exacte du pli ainsi que le style de pliage. Les images importées dans un bloc image à fond transparent présentent au ashage un crénelage des bords. Donnez toujours au bloc une couleur de fond (ex: Blanc). Ce problème concerne les images pixelisées, n’en tenez pas compte pour vos imagesvectorielles. Laissez les paramètres de défonce par défaut. Ne pas utiliser les styles de Xpress (outline, ombré, italique… Préférez les polices contenant ces options. Les couleurs doivent être créées en CMJN. a n d’éviter tout con it il de couleurs, les couleurs personnalisées nommées doivent porter un nom spéci que (ex : Vert «intitulé de votre commande»).

Votre format de page doit être auformat d’impression dé nitif. Pour les documents avec fond ou images partant il a à la coupe vous devez prévoir un bord perdu tout autour du chier de 2 mm. Les couleurs doivent être créées en CMJN. Toutes les polices de caractère doivent être vectorisées. Les chiers doivent être exportés en eps et porter un nom spéci que (ex : carte «intitulé’ de votre commande»).

InDesign :

Contrôlez bienque les images ne soient pas en RVB. Votre chier doit être en CMJN. Exportez votre chier en .ai (illustrator) systématiquement. Les chiers cdr ne seront pas acceptés. Transformez votre texte en courbe (vectoriser). Si votre chier contient des photos, exportez en ti 300 dpi. Votre format de page doit être au format d’impression dé nitif. Pour les documents avec fond ou images partant à la coupe vousdevez prévoir un bord perdu tout autour du chier de 2 mm.

Coreldraw :

Contrôlez bien que les images ne soient pas en RVB. Votre chier doit être en CMJN, Bitmap ou niveau de gris 300 dpi. Aplatir l’image et l’enregistrer en ti ou photoshop eps. Ne pas utiliser de compressions ni de pro ls couleurs. Laissez les angles de trame et les fonctions de transfert par défaut. Pour les imagesdétourées, créer un masque et enregistrer uniquement en eps. Votre format de page doit être au format d’impression dé nitif. Pour les documents avec fond ou images partant à la coupe vous devez prévoir un bord perdu tout autour du chier de 2 mm.

Photoshop :

Le format de page doit être au format d’impression dé nitif. Pour les documents avec fond ou images partant à la coupe vous devez prévoir un bordperdu tout autour du chier de 2 mm. Les couleurs doivent être créées en CMJN. Toutes les polices de caractères doivent être vectorisées. Les lets doivent avoir un contour avec une épaisseur. Attention aux lets maigres, en dessous de 0,2 points, ils ne s’impriment pas correctement. NE PAS VÉROUILLER VOS ÉLÉMENTS. Les chiers doivent être enregistrés au format illustator eps et porter un nom spéci que(ex : Logo «intitulé de votre commande»).

Illustrator :

ASTUCES ET CONSEILS PAO
La couleur noire avec bleu de soutien Attention à la surimpression
À l’impression, le résultat d’un aplat noir seul s’imprime gris fonçé. N’oubliez jamais de rajouter du cyan pour obtenir un noir profond.

Fond noir 100% / cyan 50%

Fond noir 100% sans soutien

La couleur bleue

Pour éviter d’avoir unbleu trop violet , nous vous conseillons de ne pas dépasser 70 % de magenta dans la composition de votre couleur.

Avec certains logiciels (Illustrator, InDesign), il arrive que l’option «surimpression» soit activée involontairement sur certains objets en raison d’une erreur de manipulation ou d’une importation de document de format di érent. Prenez bien soin de désactiver toutes ces…

Garure

Depuis 2004, le marché de la fenêtre progresserait à un rythme annuel de 7%, alors que le taux de croissance ne dépassait pas les 4,7% avant cette date. C’est le principal constat de l’enquêteannuelle réalisée par Batim’Etude pour le compte du réseau Tryba (230 concessions en France).
Marché dynamique, il est encore aujourd’hui dominé par les artisans mais les réseaux de franchise (et autresconcessions) – dont certains ont leur propre outil industriel – disposent d’outils incontestables pour conquérir de nouvelles parts de marché.
=> Le marché de la fenêtre : les créneaux porteurs
– Lafenêtre en bois continue de perdre des parts de marché. Ce segment ne représente désormais plus que 14% de ce marché. Mais grâce aux fenêtres fabriquées artisanalement, il réussit à se maintenir audessous des 1,8 millions de fenêtres vendus par an.
– Le marché de la fenêtre PVC augmente ; lui, de 5,5% en moyenne par an depuis 2000, avec des pics à 8% depuis trois à quatre ans, ce qui se traduitpart une augmentation d’environ 600 000 fenêtres chaque année.
– La fenêtre aluminium gagne, elle, 220 000 unités par an depuis 2004. Alors qu’elle n’en gagnait que 130 000 avant cette date. Ce marchéest porteur, avec 6,7% de croissance annuelle.
=> Un secteur encore dominé par les artisans
Selon Philippe Spindler, responsable développement Tryba, les artisans « représenteraient encore 50% duvolume global ». Les chaînes de franchise ou autres concessions auraient ainsi un fort potentiel de prises de parts de marché.
Selon cette étude, 2005 et 2006 auraient été marquées en termes decircuit de distribution par deux phénomènes majeurs :
– La baisse forte de la vente aux négoces (-3% de pars de marché).
– La croissance en sens inverse (+4%) du circuit « fabrication, fourniture etpose aux particuliers », qui aurait profité au cours de cette période de la croissance de la construction neuve.
A noter également, la progression (1% en parts de marché) de la « vente directe…

Pas de titre

REMACLE 10/05/10
David
6D

FRANÇAIS : DISSERTATION

« La famille, ce havre de sécurité, est en même temps le lieu de la violence extrême. »——————————————————

Le désir chez chacun d’entre nous varie d’une personne à l’autre. Il consiste pour certains à devenir riche, pour d’autres, à faire ressortir leurs qualités physiques ou morales maisil existe aussi le désir de fonder une famille. N’est-il pas agréable de partager des beaux moments en famille ? Et quoi de plus chaleureux en tant qu’enfant que de se sentir protégé par un chef defamille ou par une mère attentionnée ? Mais ce n’est pas tout. Il existe de nombreuses situations qui font penser différemment. La famille peut être à la fois un lieu de violence d’où la citation « Lafamille, ce havre de sécurité, est en même temps le lieu de la violence extrême ». Celle-ci émet de nombreuses interrogations comme « La famille est-elle un lieu risqué ? » ou encore « un conflitpeut-il faire éclater une famille ? ». Nous nous attacherons à apporter quelques éléments de réponse en analysant les points positifs et négatifs des relations familiales.

Tout d’abord, il ne faut pasoublier qu’il existe aujourd’hui un grand nombre de familles unies. Unies par le fait d’un amour entre parents ou envers leurs enfants, par le fait de partager des repas en famille tout en racontantles péripéties de la journée de chacun des membres de la famille ; une famille où les enfants se sentent en sécurité.
Il existe aussi des familles dites « nucléaires » et celles-ci peuvent égalementêtre très soudées. Se retrouver entre amis le week-end où la bonne humeur est présente est aussi une forme de sécurité. Chaque membre de la famille sait qu’il peut compter sur les autres pouraffronter les choses de la vie.

Après l’exemple des familles soudées, on trouve aussi des familles désunies où en conflit perpétuel.
En effet, prenons l’exemple d’un héritage. Tout se passe pour le…

Limites du travail

L’homme travaille pour avoir de l’argent, pour avoir une activité, se sentir utile,…
Le travail permet donc de s’épanouir et de se sentir heureux comme le précise cette citation tirée de l’essai surle travail que j’ai analysé : « Les Français associent le travail à leur bonheur de vivre. »

Il est vrai que le travail est un bien précieux pour nous, il permet de réaliser nos rêves etd’entreprendre nos projets. Sous cette forme, il est clair que le travail ne nous apporte que du bénéfice. Mais soyons un peu critique et posons-nous la question pour savoir si le travail ne possède aucuninconvénient.

Après l’analyse de cet essai sur le travail, mon avis a totalement changé. Nous ne travaillons pas pour être heureux, mais il est lié au fait que nous ayons des besoins. L’hommetransforme sa nature en fonction de ses besoins. Qui d’entre nous continuerais à travailler s’il possédait tous les biens nécessaires à son bonheur ? Sans doute personne… Reconnaissons-le : il n’est pastoujours agréable d’avoir à effectuer sa tâche quotidienne à des heures déterminées, selon un programme fixé à l’avance, et de la répéter quotidiennement d’une façon souvent monotone. Ajoutons que souventencore ces travaux sont durs, pénibles par eux-mêmes. Le travail manuel peut être encore très fatiguant par l’attention constante et minutieuse qu’il exige dans l’accomplissement de certaines tâches.Le travail semble donc être une contrainte.

Il arrive que le travail se vide de son sens, il arrive que des hommes et des femmes, qui ont démontré leur attachement à leur travail, en viennent àperdre l’estime de soi. Les moqueries, brimades, les objectifs surdimensionnés, l’absence de dialogue, le manque de perspectives fabriquent un ensemble dangereux pour la santé. Il arrive qu’uneconscience professionnelle trop poussée, le « perfectionnisme », le désir de servir et de plaire, conduisent à un épuisement, prélude à la dépression. Il se pourrait même que le stress au travail mette le…

Economie du maroc ddd

Economie de l’entreprise (ECAP 2100)

2 grands aspects : l’économie managériale et l’aspect organisationnel de l’entreprise.
1ère partie : l’interaction de l’entreprise avec les autres entreprises.

Etude de cas introductive : “Le réseau TotalFinaElf fait sa révolution” (article de presse) :

1) STRUCTURE DE MARCHÉ :
Marché étudié : marché de l’essence en France. Ce marché peut être“divisé” en 3 zones, où les politiques des entreprises, la demande, etc., sont différents :
– les stations des aires d’autoroutes
– les stations en zones rurales
– les stations en zones urbaines
Structure du marché : OLIGOPOLE (TotalFinaElf détient 40% de ce marché).
Les autres acteurs (ou acteurs potentiels) sont : Carrefour, Leclerc,…
Ceux-ci sont des distributeursgénéralistes (ils ne produisent pas que de l’essence).
>< TotalFinaElf : firme intégrée verticalement (toute les étapes de la production et de la distribution se font par elle) et horizontalement.
Carrefour et les firmes de ce type sont donc très différentes des sociétés comme TotalFinaElf
Rem: la fusion de Total, Fina et Elf s’est faite dans une perspective de long terme.

2) DÉCISIONSSTRATÉGIQUES DE COURT TERME :
Décisions prises à court terme :
– les prix sont différents selon l’endroit où l’essence est vendue. A ce niveau, on peut exercer ce que l’on appelle la discrimination par les prix (souvent en cas d’oligopole), qui est rendue possible par le pouvoir de marché que détiennent certaines entreprises. De telles entreprises vendent alors à un prix supérieur au coût marginal.
-les quantités

3) DÉCISIONS DANS LE LONG TERME
*Fusions
*Entrée (sur le marché)
TotalFinaElf doit réagir à l’entrée de Carrefour, Leclerc, etc, sur le marché
*Choix concernant le positionnement du produit
*Publicité
*R&D
On sera surtout dans une perspective managériale de l’entreprise (objectif : maximisation du profit,…), mais on prendra également en compte le cadre de régulation danslequel on agit (buts sociaux de l’entreprise,…).
“ENTREPRISE”=> entité globale dont le but est Max profit.

4) INTÉGRATION VERTICALE & OUTSOURCING=> répond à des objectifs stratégiques.

5) MANAGERS >< ACTIONNAIRES
(Objectifs et information différents (asymétrie de l’information)

1°) STRUCTURES DE MARCHÉ
Objectif de la firme: max Profit (Profit= Revenus – Coûts). Cette hypothèse estassez plausible, même si les managers et les actionnaires n’ont pas toujours les mêmes intérêts.
( implique de nombreuses questions :
• Combien d’output faut-il produire pour atteindre Max Profit?
• Changer le niveau d’output affecte tant les coûts de production que les recettes tirées des ventes.
• Recette marginale / Coût marginal : à chaque niveau d’output, il faut se demander si la firmedoit produire un petit peu plus/moins. Il faut pour cela comparer Coût marginal (= augmentation du coût total suite à une augmentation d’output d’une unité) et recette marginale (= augmentation de la recette totale suite à une augmentation d’output d’une unité)
• Tant que Rm>Cm, il faut continuer à augmenter l’output.
• Avertissements : la forme de la courbe de demande pour une firme dépend descroyances de la firme à propos de la manière dont les quantités qu’elle offre affectent le prix de marché. Ces croyances dépendent de la structure du marché.
• Structure de marché : description du comportement des acheteurs et des vendeurs sur ce marché=>2 extrêmes (concurrence parfaite et monopole) et entre les deux, une situation intermédiaire (l’oligopole), soit une industrie comptant unpetit nombre de producteurs, chacun réalisant que son propre prix ne dépend pas seulement de son propre niveau de production mais aussi de celui des autres firmes=>interaction stratégique entre les firmes.
• Concurrence parfaite : personne ne croit que son action isolée ait un quelconque effet sur le prix de marché=>4 conditions :
1) de nombreux vendeurs et acheteurs
2) d’autres acheteurs…

Fusion acquisition

MEMOIRE fusion acquisition , les effetes de fusion acquisition au niveau des ressources humaines , typologies , motivation , et les etapes I.1- Les types de fusions
I.1.1- La taille des entreprisesI.1.2- Le niveau d’activité des entreprises
I.2- Les motivations des fusions
I.2.1- Les déterminants stratégiques
I.2.2- Les déterminants financiers :
Section 2 : Processus des opérations de F& A
II.1- Formulation de la stratégie de l’acquéreur
II.2- Définition des critères d’acquisition
II.3- Analyse des cibles potentielles
II.4- Evaluation financière des cibles sélectionnées
II.5-Négociation du prix d’acquisition
Le prix réellement payé doit se situer entre la valeur intrinsèque de l’entreprise et sa valeur relative. Mais le prix d’acquisition se détermine en fonction del’offre et de la demande, car le marché des firmes est un marché concurrentiel où plusieurs équipes dirigeantes peuvent être amenées à se disputer le droit de prendre le contrôle d’une firme. Ainsi, side nombreuses offres concurrentes existent, l’acquéreur sera obligé de surenchérir. Il faut alors qu’il se fixe un moment maximal s’il souhaite rentabiliser son investissement dans un délairaisonnable. En revanche, il existe des secteurs où l’offre est supérieure à la demande. Il s’agit souvent des secteurs en déclin (textile, construction mécanique) où de nombreuses entreprises sont mises envente pour un nombre limité de repreneurs potentiels.
La deuxième phase est, quant à elle, caractérisée par une activité intense, causée par le nombre de changements au niveau des structures, dessystèmes et des individus. Les phénomènes de stress, d’anxiété et d’émotivité y sont particulièrement intenses, surtout chez les membres de l’entreprise acquise dans le cas d’une absorption.
ConclusionChapitre 2 : Les conséquences ressources humaines des opérations de F
Introduction
Section 1 : Les conséquences organisationnelles des F
I.1- Les conséquences organisationnelles pendant la…