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Protagoras d`Abdère
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I Vie de Protagoras

Il naît vers 480 av. J.-C. dans la colonie grecque d`Abdère, ville de l`ancienne Thrace, sur la mer Égée. Il est le fils d`Arténon ou de Méandrios. Il est le contemporain des penseurs présocratiques Empédocle d`Agrigente (v. 490- v. 435), Anaxagore de Clazomènes (v. 500- 428)et Démocrite d`Abdère (v. 460- v. 370). Issu d`une famille pauvre, il est d`abord porte-faix (porteur de fardeaux) pour le compte des commerçants locaux. On dit qu`un coussinet (tulè) qu`il avait inventé pour porter les fardeaux l`a fait remarquer par Démocrite qui, un jour, lui propose de s`inscrire à son école. Or, le jeune Protagoras devient en peu de temps un habile causeur. Après unepériode passée dans sa ville natale, durant laquelle il travaille comme lecteur public, on le retrouve maître d`éloquence à Athènes. Le début du Protagoras de Platon nous donne une vivante image de l`enthousiasme et du respect extraordinaire qu`il suscite parmi la jeunesse. Dans son livre Vies des sophistes, l`écrivain et historien grec Flavius Philostrate (170-240 ap. J.-C.) mentionne qu`il est lepremier à se faire payer cent mines pour un cours d`art oratoire et à « introduire parmi les Grecs cet usage, chose non blâmable du reste, puisque nous prenons tous plus au sérieux ce qui coûte quelque chose que ce qui est gratuit ». Il exerce cette profession pendant quarante ans. Il déclare enseigner l`arêté, la « vertu », par laquelle il entend un succès matériel remporté par une bonne gestionpratique de ses affaires publiques et privées. Dans le dialogue de Platon qui porte son nom, il apparaît comme l`adversaire de Socrate. Ce dernier donne au mot « vertu » une signification quelque peu différente.

Vers l`âge de 30 ans, ayant complété sa formation, il commence à voyager et à parcourir la Grèce en vendant des leçons d`éloquence, de droit, de philosophie. Ses talents de rhéteur, et uneculture immense, en font bientôt le maître le plus couru de la Grèce. Bien qu`ayant 25 ans de plus que Socrate, il est son contemporain. Il est, selon la tradition doxographique, l`ami estimé de l`homme d`État athénien Périclès (v. 495-429 av. J.-C.) qui lui demande de rédiger un code de lois pour la nouvelle colonie Thourioi (en Lucanie, Italie du Sud), ville fondée en 444 av. J.-C. par Périclèssur l`emplacement de l`ancienne Sybaris, détruite par Crotone. Il est également l`ami du poète tragique grec Euripide (480-406). On pense qu`il a peut-être rencontré le philosophe grec Démocrite (v. 460-v. 370), qui précise et développe la théorie atomiste de Leucippe de Milet (v. 460-v. 370). Au début de la guerre du Péloponnèse en 431, il est encore à Athènes et durant la peste de 430, quiemporte deux des fils de Périclès. Il est un grand éducateur et il s`intéresse à la dialectique. Il passe pour l`initiateur des débats oratoires dont les œuvres de l`historien grec Thucydide (v. 470-v.400) et du poète tragique grec Euripide fournissent maints exemples.

Il est l`un des sophistes les plus célèbres de son temps, dont Platon prétend qu`il est le premier à revendiquer le nom de Sophisteet à demander de l`argent pour son enseignement. Il vient plusieurs fois à Athènes où il rassemble les foules sur son passage. Éducateur itinérant, il parcourt la Grande Grèce. Il a deux sortes de disciples : des jeunes de bonne famille qui veulent faire de la politique et d`autres qui étudient pour apprendre le métier de sophiste. Il donne son enseignement soit en privé, soit en public.L`enseignement privé se déroule dans la maison de Callias, par exemple. Il fait payer à ses élèves une série de leçons jusqu`à cent mines, c`est-à-dire dix mille drachmes. Il invite ses élèves à « rendre fort » le discours « faible » et vice versa. Il leur recommande de s`exercer à défendre avec autant de force persuasive la thèse que l`antithèse. Le début du dialogue platonicien Protagoras montre…

Candide ou l’optimisme

Candide, chapitre I (lignes 1-51)

Voltaire emprunte son incipit à la tradition des contes merveilleux ;
ainsi, les premiers mots du texte reprennent la formule consacrée, le
« Il y avait… »étant un écho évident des « Il était une fois… ». L’imparfait,
qui est le temps dominant du passage, renvoie au temps indéfini
des contes et légendes ; le décor de l’extrait semble lui aussi emprunté
auconte : on retrouve un château, un baron puissant et une « princesse
» désirable. Quant au héros du conte, il ne déroge pas à la règle
c’est un roturier aux origines obscures, que le lecteursoupçonne d’être
un prince en puissance (voir l. 6-11). Mais ces emprunts au conte sont
tous faits sur le mode parodique 1 : le château dénote la puissance et la
richesse, parce qu’il a « une porte etdes fenêtres » (l. 13) ; Cunégonde
n’est pas belle, mais « haute en couleur, fraîche, grasse, appétissante ».
Pangloss est prétendument « le plus grand philosophe de la province »,
mais la disciplinequ’il enseigne (voir l. 27-28) tendrait à prouver
le contraire ; de fait, ses raisonnements (l. 32-43) s’illustrent par leur
absurdité, et par l’inversion comique des causes et des effets. Ils’agit
donc bien ici d’une parodie de conte, qui s’achève à la ligne 52 : la locution
temporelle « un jour », ainsi que l’usage du passé simple dans le

paragraphe suivant, montrent que l’on est sortidu temps du mythe, pour
entrer dans celui de l’histoire.
L’élément de réalité le plus frappant intervient dès la première ligne :
à la formule traditionnelle du conte répond une localisationgéographique
tout à fait réelle (« Il y avait en Vestphalie »), d’autant plus que
la « Vestphalie » renvoie à Minden, la ville mentionnée dans le troisième
niveau de titre, qui elle-même renvoie à unebataille sanglante…
On est bien loin, alors, de l’univers des contes. L’attitude du baron, évoquée
par le deuxième paragraphe, relève elle aussi de la réalité plus
que du conte : le soin qu’il…

Scor method

Supply-Chain Operations Reference-model

PLAN SOURCE MAKE DELIVER RETURN

Version

SCOR is a registered trademark in the United States and Europe

8.0

SCOR Overview

Supply-Chain Operations Reference-model
TABLE OF CONTENTS
Section One: What is a Process Reference Model? 1 Section Two:
Model Scope and Structure

3 15
15 19 21

Section Three:
Applying the Model The Conceptof Configurability Configuring Supply-Chain Threads Developing Process Maps

Section Four:
Summary

23

Table of Contents

The Supply Chain Operations Reference-model (SCOR®) has been developed and endorsed by the Supply-Chain Council (SCC), an independent not-for-profit corporation, as the cross-industry standard for supply-chain management. The SCC was organized in 1996 by PittiglioRabin Todd & McGrath (PRTM) and AMR Research, and initially included 69 voluntary member companies. Council membership is now open to all companies and organizations interested in applying and advancing stateof-the-art supply-chain management systems and practices. Member companies pay a modest annual fee to support Council activities. All who use the SCOR-model are asked to acknowledge the SCC in alldocuments describing or depicting the SCOR-model and its use. The complete SCOR-model and other rleated models of the SCC are only accessable through the members’ section of the www.supply-chain.org website. SCC members further model development by participating in project development teams- SCOR and other related SCC Models are collaborative ongoing projects that seek to represent current supplychain and related practice. Further information regarding membership, the Council and SCOR can be found at the Council’s web site: www.supply-chain.org.
© Copyright 2006 Supply-Chain Council

SCOR Overview

What Is a Process Reference Model?
Section

ONE

Process reference models integrate the well-known concepts of business process reengineering, benchmarking, and process measurementinto a cross-functional framework.

Business Process Reengineering
Capture the “as-is” state of a process and derive the desired “to-be” future state

Benchmarking

Best Practices Analysis

Process Reference Model

Capture the “as-is” state of a process and derive the desired “to-be” future state

Quantify the operational performance of similar companies and establish internal targetsbased on “best-in-class” results Characterize the management practices and software solutions that result in “best-in-class” performance

Quantify the operational performance of similar companies and establish internal targets based on “best-in-class” results

Characterize the management practices and software solutions that result in “best-in-class” performance

SCOR Overview

1

AProcess Reference Model Contains:
• • • • • Standard descriptions of management processes A framework of relationships among the standard processes Standard metrics to measure process performance Management practices that produce best-in-class performance Standard alignment to features and functionality

Once a Complex Management Process is Captured in Standard Process Reference Model Form, Itcan Be:
• • • • Implemented purposefully to achieve competitive advantage Described unambiguously and communicated Measured, managed, and controlled Tuned and re-tuned to a specific purpose

A Process Reference Model Becomes a Powerful Tool in the Hands of Management

2

SCOR Overview

Model Scope and Structure
Section

The Boundaries of Any Model Must Be Carefully Defined
“From yoursupplier’s supplier to your customer’s customer” SCOR spans:
• All customer interactions, from order entry through paid invoice • All product (physical material and service) transactions, from your supplier’s supplier to your customer’s customer, including equipment, supplies, spare parts, bulk product, software, etc. • All market interactions, from the understanding of aggregate demand to the…

Sujet d’invention sur la litterature

Invention :

A un amis qui vous écris que la littérature n’a pour but d’apprendre a réfléchir mais de distraire et demouvoir, vous répondez que c’est elle plus que les autres arts qui donne unejuste vue du monde.

Defintion de la littérature : Le mot littérature, issu du latin litteratura dérivé de littera(la lettre), apparaît au début du XIIe s avec un sens technique de « chose écrite »puis évolue à la fin du Moyen Âge vers le sens de « savoir tiré des livres », avant d’atteindre aux XVII-XVIIIe siècles son sens principal d’aujourd’hui : ensemble des œuvres écrites ou orales comportantune dimension esthétique ou activité participant à leur élaboration. (wiki)
Histoire et philosophie : sujets essentiels
Histoire : journal d’Anne Frank : je suis un homme de primolevi
Philo :Socrate et Aristote
Psychologie des gens : apprendre comment les gens vivaient avant
Philosophie : instruit des traites : thalles ; pythagore : bases des maths encore utilisées
Littérature : expliquerclairement sont point de vue contrairement a la peinture sculpture ou architecture.
Existentialisme : permet au lecteur de se poser des questions sur les fondements de la vie (Albert camus :l’étrangers) – prise de conscience sur les événements
Autobiographie
Mode d’emploi – voir définition de la littérature
Je ne peut pas continuer sur le sujet jdois aller bouffer des crêpes ^^

Paris,le 29 août 1990

Alexandre,

J’ai bien reçu ta lettre et je suis sans mot. Je ne sais pas ce que tu as contre la littérature mais sache que mon avis est l’opposé du tien. En lisant ta lettre,j’ai cru sentir mon cœur s’arrêter de battre, encore maintenant d’ailleurs.
La littérature est pour moi l’un des arts, si ce n’est l’art le plus apte à faire réfléchir, à donner sa vision du monde.Prends, les écrits historiques, philosophiques, toutes ces œuvres qui ont participées à l’élaboration de notre patrimoine culturel, à ce que nous savons aujourd’hui, par le témoignage presque…

Le temps

Le temps

Genèse 1

1 Au commencement Dieu créa les cieux et la terre.
2 Et la terre était désolation et vide, et il y avait des ténèbres sur la face de l’abîme. Et l’Esprit de Dieu planait sur la face des eaux.
3 Et Dieu dit : Que la lumière soit ! Et la lumière fut.
4 Et Dieu vit la lumière, qu’elle était bonne ; et Dieu sépara la lumière d’avec les ténèbres.
5 Et Dieu appela la lumièreJour ; et les ténèbres, il les appela Nuit. Et il y eut soir, et il y eut matin : -premier jour.

Après avoir créé les cieux et la terre, la première chose que Dieu créa ce fut le temps. Au verset trois en créant la lumière, Dieu crée deux moments distincts, le JOUR et la NUIT.
Tout le premier chapitre de la genèse et de fait le premier chapitre de la bible décrit le temps, et les évènementles uns après les autres, ce qui montre des étapes, jour après jour. Au fur et a mesure que le temps passe, Dieu crée la terre et ce qui la compose.

Livre de Josué 10

12 Alors Josué parla à l’Éternel, le jour où l’Éternel livra les Amoréens aux enfants d’Israël, et il dit en présence d’Israël : Soleil, arrête-toi sur Gabaon, Et toi, lune, sur la vallée d’Ajalon !

13 Et le soleil s’arrêta,et la lune suspendit sa course, Jusqu’à ce que la nation eût tiré vengeance de ses ennemis. Cela n’est-il pas écrit dans le livre du Juste ? Le soleil s’arrêta au milieu du ciel, Et ne se hâta point de se coucher, presque tout un jour.

Dans le livre de Josué, celui-ci commande au soleil de s’arrêter et de même à la lune et le jour a durée 24h. Dieu, par l’intermédiaire de Josué à arrêter letemps, il a provoquer une « journée sans fin » pour les ennemies d’Israël.
A ce moment Dieu a-t-il arrêter complètement le temps, ou a-t-il simplement arrêter la course du soleil et de la lune. Car si il avait complètement arrêté le temps, le soleil et la lune n’auraient pas été les seuls à stopper leur course, mais les hommes aussi.

Si Dieu complètement le temps, tout s’arrête et pas seulement lesoleil et la lune. Le temps est complètement soumis à Dieu qui est lui-même en dehors du temps. Il peu l’arrêter de façon total ou partielle.

Joël 2.25

Je vous restituerais les années qu’ont dévoré la sauterelle, le grillon, le criquet et la chenille, ma grande armée que j’avais envoyée contre vous.

(la sauterelle: « l’essaimeur « ; le grillon: le « lécheur « ; le criquet: « le décortiqueur »; la chenille: le « trancheur  » : symboles de ce qui érode la vie, bouffe le temps, consume nos forces).
E. BENEVOLLO

Au commencement de notre vie nous ne sommes pas chrétien. Le fait d’être chrétien vient d’un choix, celui d’accepter Jésus Christ comme seigneur et sauveur. Pendant la vie que nous menons avant d’accepter Christ, nous faisons des choix, nous vivons d’une certaine façon. Etlorsque nous acceptons Christ, il se peut que nous trouvions que nous avons fait les bon choix et parfois, le plus souvent en fait, nous nous rendons compte que nous avons fait les mauvais choix et l’on pense alors quel gâchis, tout ce temps perdu ou je pensais vivre pleinement ma vie.

Le temps c’est aussi comprendre où est sa place. C’est connaître les étapes de la vie.
– Le nourrisson
– L’enfant- L’adolescent
– L’adulte
– Le retraiter
– Le vieillard
– La mort.
A chaque étape de la vie correspondent un rôle, une fonction et des obligations.

Exode 5:19 Et les commissaires des fils d’Israël virent que leur cas était mauvais, puisqu’on disait : Vous ne retrancherez rien de vos briques ; à chaque jour sa tâche.

Matthieu 6.25 à 34 C’est pourquoi je vous dis : Ne soyez pas en soucipour votre vie, de ce que vous mangerez et de ce que vous boirez, ni pour votre corps, de quoi vous serez vêtus : la vie n’est-elle pas plus que la nourriture, et le corps plus que le vêtement ?

Regardez aux oiseaux du ciel : ils ne sèment, ni ne moissonnent, ni n’assemblent dans des greniers, et votre Père céleste les nourrit. Ne valez-vous pas beaucoup mieux qu’eux ?

Et qui d’entre…

Les societes face aux risques

?
LES SOCIETES FACE AUX RISQUES

I] Qu’est ce qu’un risque naturel ?

A) Aléas et risques Naturels :

La nature est parfois à l’origine de boulversements qui rompent ses équilibres , on parle alors d’aleas = ( Un ou plusieurs facteurs naturels peuvent entrainer un risque : aléa climatique , aléa sismique, ect). Les catastrophesnarurelles ( Réalisation du risque naturel qui provoque souvent des dégats importants sur les sociétés humaines, ) jalonnent toute l’Histoire de l’humanité.
Les régions exposés aux aléas naturels majeurs sont souvent très peuplés ( Séismes, cyclones, inondations et eruption volcaniques). Les populations sont conscientes des risques , cependant elles y trouvent un interêt économique.B) La répartition des risques naturels :

Les risques de séismes ou d’éruptions volcaniques concernent les régions situées à proximité de plaques lithosphériques qui s’affrontent, s’écartent, ou coulissent. Parfois des séismes sous-marins provoquent des raz de marée ou « tsunami » comme en Asie du Sud en 2004.
Les cyclones dévastent surtout les littoraux ds régionstropicales , cyclones ou typhons atteignent fréquemment le sud des Etats Unis ou du Japon.
Les régions tempérées ne sont pas indemnes des risques climatiques. Tempête ou canicule , exemple en France en 2003.

C) La combinaison et l’aggravation de certains risques :

Les zones montagnardes peuvent recéler des menaces particulières comme des avalanches ,éboulements de terrain…
Plusieurs risques peuvent se combiner et provoquer un enchainement de catastrophes : Cyconles + vents tourbillonants et destructeurs + pluies diluviennes donnent des inondations et coulées de boue
En face de ces dangers multiples, la vulnérabilité des espaces est inégales. Les régions à forte densité humaine et à faible niveau de développement sont les plus vulnér ables. Parailleurs, il arrive que l’homme, par ses activités, ne fassent que décupler la violencede phénomènes purement naturels.

II] L’Homme aggrave t-il les risques naturels ?

A) Le risque naturel, une notion relative :

Les sociétés humaines sont confrontées à des risques relatifs. Un séisme de même magnitude ne fera pas le même nombre de victimesselon la région où il se produit. Exemple : Le séisme de Kobé au Japon = 6000 tués. Le séisme de Bam en Iran = 35000 tués. Cette différence est due à l’efficacité des secours et à la présence ou non de constructions anti-sismiques.
Les risques naturels sont irréguliers dans le temps. Si le phénomène et régulier et prévisible , on ne peut plus parler de risque.B) Les sociétés ne tiennent pas toujours comptent des risques
naturels :

Certaines catastrophent ne se produisent que les deux ou trois siècles. Par exemple le récent tsumani en Asie du Sud en 2004 n’est pas la première manifestation naturelle du genre dans la région , et tenir compte de ce risque aurait conduit à nepas urbainser les littoraux ou à réaliser des aménagements de protections. Certains pays ont fais abstraction d’un risque naturel connu , causes : La demande touristique internationale , la perspective de rentabiliser rapidement les infrastructures….
Les aléas naturels sont souvent minimisés et pas seulement dans les pays du Sud. Si l’homme n’avait pas urbanisé des lits majeurs inondables derivières , il n’y aurait pas autant d’innondations dans le bassin méditerranéen Français. Nouvelle-Orléan , mauvais entretien des digues , alors inondations à lasuite du cyclone Katrina.

C) La prise en compte des risques est au coeur du developpement durable :

Les risques sont souvent aggravés par les hommes. Les risques d’incendie sont accrus par le…

Dom juan

Epiphany, which falls on January 6, is a Christian feast day that celebrates the revelation of God the Son as a human being in Jesus Christ.
Epiphany is celebrated by both the Eastern and WesternChurches, but a major difference between them is precisely which events the feast commemorates. For Western Christians, the feast primarily commemorates the coming of the Magi; Eastern churchescelebrate the Baptism of Christ in the Jordan. In both traditions, the essence of the feast is the same: the manifestation of Christ to the world (whether as an infant or in the Jordan), and the Mystery ofthe Incarnation.

Many Christians around the world annually celebrate Epiphany on January 6. It is a public holiday in many countries and marks two events in Jesus Christ’s life, according to theChristian Bible. The first event was when the three wise men, or kings, visited infant Jesus. The second event was when St John the Baptist baptized Jesus.

What do people do?
January 6, which is 12days after Christmas in the Gregorian calendar, marks not only the end of the Christmas holidays but also the start of the Carnival season, which climaxes with Mardi Gras. In some European countries,such as the Czech Republic and Slovakia, children dress as the three kings and visit houses. In their roles as the kings, or wise men, they sing about the Jesus’ birth and pay homage to the “king ofkings”. They are rewarded with praise and cookies.
Dia de los Reyes Magos is the Latin American celebration of Epiphany.
Children in Spain fill their shoes with straw or grain for the three kings’horses to eat and place them on balconies or by the front door on Epiphany Eve. The next day they find cookies, sweets or gifts in their place. The “three kings” make an entry in many cities in Spain onEpiphany Eve, accompanied by military bands and drummers in medieval dress.

Epiphany is a public holiday in countries such as Austria, Colombia, Croatia, Cyprus, Poland, Ethiopia (but on…

L’organisation politique

Institutions politiques nationales (président de la république, gouvernement, parlement) ont pour rôle d’élaborer des règles permettant aux citoyens qui les ont élus de vivre ensemble (pour éviter le désordre social). Ces institutions fonctionnent sous l’autorité des citoyens. En effet au terme de l’article 3 de la constitution de 1958, l’autorité suprême (souveraineté nationale) appartient aupeuple, il exerce par ses représentants (président, députés, sénateurs). Institutions politiques sont les lois fondamentales qui régissent la vie politique et social d’un pays. Politique: adjectif relatif au gouvernement des hommes, qui concerne les citoyens, l’état. La politique: nom commun qui signifie « sciences des affaires de l’état ». La politique est entendue à la fois comme une science, unetechnique, un art et comme la pratique du gouvernement des sociétés humaines. Constitution de 1968 confie les pouvoir exécutif au Président de la République élu au suffrage universel et au gouvernement (1er ministre et ensemble des ministres) éluent par le chef de l’assemblée. Parlement composé de l’Assemblée National et du Sénat exerce fonction législative (pouvoir de voter les lois). Pouvoirexécutif, législatif et judiciaire (police, justice) constituent les autorités, ce sont les pouvoirs publics. Pouvoir exécutif détenu par le Président et le gouvernement. Pouvoir du Président sont très étendus, responsable de ses actes que devant le peuple français. Il veille au respect de la Constitution, assure par son arbitrage le fonctionnement des pouvoirs politiques, nomme les membres dugouvernement, préside le conseil des ministres, peut proposer la dissolution de l’assemblée nationale, peut élire à nouveau les députés, chef des armées, à le droit de grâce. Mandat présidentiel ont une durée de 5 ans. Gouvernement doit assurer sa fonction et bénéficier de la confiance de l’assemblée nationale. Majorité des députés doit approuver la politique du gouvernement. Nommé par le Président de laRépublique, composé du 1er ministre et de tous les ministres et secrétaires d’état. 1er ministre est François: détermine et conduit la politique économique et politique de la nation (ex: réforme de la retraite..). Pouvoir législatif correspond au parlement formé de l’assemblée nationale et du sénat. Les parlementaires (=députés et sénateurs) détiennent un pouvoir important: celui de proposer etvoter les lois, on un statut particulier: immunité parlementaire = aucun membre du parlement ne peut faire l’objet d’une condamnation ni d’une arrestation sans autorisation au préalable du bureau de l’Assemblé dont il fait parti. Assemblée nationale: députés sont élus dans chaque circonscription (découpage territoriaux), pour 5 ans au suffrage universel direct. Président peut dissoudre l’AssembléeNationale (Chirac l’a fait en 1995). Elle peut renverser le gouvernement (en cas de perte de confiance envers celui-ci). Député est celui qui est envoyé par une nation pour remplir une mission particulière, il est l’un des représentant des citoyens, il est élu par ceux-ci. Le sénat comprend 37 membres éluent pour 9 ans au suffrage universel indirect (élu par les conseillers régionaux..). 6 sénateurssont éluent au suffrage universel direct par les français établit à l’étranger. Cette assemblée est renouvelée par tiers tous les 3 ans. Ils élisent ou réélisent le Président. Leur compétences communs: initiatives et vote des lois, questions du gouvernement, commissions d’enquêtes..Pays démocratiques: France, Espagne. Pays non-démocratiques: Pays d’Afrique. Citoyen est définit comme celui quijouit des droits civils, politiques et sociaux. Commune sont les plus petites division administratives.
– Organe délibérant: conseil municipal règle par ses délibérations les affaires de la commune. Composé du maire et des conseillers municipaux. Affaire de la commune sont le budget, les services communaux, et le P.O.S (plan d’occupation des sols).
– Organe exécutif: Maire représente une…

Controle de gestion

Describe one social issue that can be found in educational settings

One issue that is present in many different corpuses of our societies, especially in an educational setting, is the reality of social class. This reality is inseparable to the other present reality of power.
These two social issues are intimately linked and have been subjects to a variety of theories and researches.
Theissue of the social class is found in every school (primary, secondary, universities). The range of the population is represented in most schools, from the less to the most advantaged people.
Schools are institutions where pupils can exchange and discover a reality that is opposite to that which they would normally exposed to. Usually, students have a natural instinct to be attracted to the studentsthat have the same social background. Naturally pupils tend to divide themselves into different classes from an early age.
Those coming from privileged classes will have more ease to adapt to the philosophy of schooling according to the fact that school teaches how to speak properly, how to write decently and gives access to a certain general culture/knowledge. Coming from a privileged familyhelps to succeed in school. For instance, if a child curses at home, he might be punished or scolded by his parents; if he speaks when someone else is speaking, the parents will tell him that this is not polite. The child will have more or less incorporated the good manners when he will be starting school.
The priorities between the classes can be extremely different. The worry of the disadvantagedfamily can be that the bills won’t be paid at the end of the month where the advantaged people worry about what brand of car they are going to buy. This example is a caricature. But the child that doesn’t speak properly or behave correctly might not be the only problem a child will have to face when integrating into education.
These social differences before entering in school constitute adilemma in the society.
As P. Bourdieu says, school reproduces inequalities. Instead of giving the same chances to all the pupils, it tolerates and accepts that the kids from advantaged backgrounds will have better results than those from a disadvantaged background.

Offer a theoretical (sociological) understanding of this issue.

Marx, whose researches have been mostly done about the conflictbetween social classes (the dominant and the dominated), says that the upper-classes, the ones that have the knowledge, the culture and the money to produce, have the power to maintain their dominance over the lower-classes that only are considered as workforce. The division of society in classes is a phenomenon that enabled the capitalism to exist. Because the privileged classes rule the world, theycan decide to limit the chances of the poorest. The dominants use the dominated in one goal only, to work for them to make them richer.

According to P. Bourdieu, schools are the institutions that reproduce the inequalities. For him, schools are not as democratic as people might think; in the meaning that it might not offer an equality of chances. Schools don’t help the disadvantaged groups toclimb the socio-economical scale. They maintain people in the group they belong to originally.
Another theory comes to complete the one of Bourdieu. Naturally, people will be attracted by the things that are familiar to them. For instance, in France, the division of the social classes is such that someone from a low-class will have no interest going to the opera, the theatre or the museum. Thatwould be a loss of time. In the opposite, someone from an upper-class won’t be interested in spending his money in going to football game. This is reserved to the middle class. [It is obviously different in Ireland, where the social classes exist but are not so evident to prove interests-wide.] People from any background value the things that have always been part of their lives. That is the…

Annie ernaux

Annie Ernaux revient sur l’évolution de l’image de la femme telle qu’elle l’a envisagée aux différentes étapes de sa vie, depuis l’enfance jusqu’à l’âge adulte. Du refus de la soumission àl’enlisement dans l’engrenage chronophage du quotidien, la vie de cette femme, comme celle de milliers d’autres de sa génération, témoigne de l’émergence d’un féminisme dont l’histoire incertaine commence à peineà s’écrire.
Extrait :
Elle me promettait pour plus tard un beau livre Les Raisins de la colère et elle ne voulait ou ne savait pas me raconter ce qu’il y avait dedans, “quand tu seras grande”.C’était magnifique d’avoir une belle histoire qui m’attendait, vers quinze ans, comme les règles, comme l’amour. Parmi toutes les raisons que j’avais de vouloir grandir il y avait celle d’avoir le droit delire tous les livres. Bovaries de quartier, bonnes femmes aux yeux fermés sur des rêves à la con, toutes les femmes ont le cerveau romanesque, c’est prouvé, qu’est-ce qu’ils ont tous, cette hargne,même mon père, et lui, quand il me verra le soir assise sans rien faire, qu’est-ce que tu fous, à rêver à trois fois rien ? Les copies à corriger, le petit qu’il faut coucher, à peine le temps de lirecinq minutes avant de dormir. Comment rêver encore.
Avis :
Un livre qu’on devrait faire lire à tous les hommes. Un livre sur la condition des femmes, trop souvent tue, trop souvent considérée comme“normale”. Face à l’homme qui peut mettre les pieds sous la table en rentrant du travail, la femme doit, en plus de son travail quotidien, assurer les tâches ménagères, la cuisine, s’occuper des enfants…Des stéréotypes éculés, vus et revus, on dit qu’aujourd’hui les choses ont changé. Pourtant les mentalités évoluent moins vite qu’on pourrait nous le faire croire et à une époque où “trop de féminismetue le féminisme”, il est bon de lire ce genre de livre. Car Annie Ernaux, loin de faire le procès de son ex-mari où d’écrire un pamphlet contre les hommes, s’attache à retranscrire…