Dissert

Cours: Méthodologie

INTEGRAT?ON ET SOL?DAR?TE

Malgré la baisse récente du chomage, celui-ci reste aujourd’hui en Frnace à un niveau élevé. Facteur de désocialisation mais aussi d’une certainepauvreté, le chomage reste donc, pour la société Française, un problème important.
Mais la pauvreté définie par l’INSEE comme la situation d’une personne dont le niveau de vie est inférieurau seuil depauvreté, est un phénomène complexe dont les causes sont diverses. D’ou vient-elle et comment peut-on y remédier?
Après avoir exposé les principaux facteurs explicatifs de la pauvreté, nousanalyserons comment la solidarité collective mise en place par les pouvoirs publics est en mesure d’y apporter une solution.

Si la pauvreté a incontestablement des causes économiques, elle a aussi descauses plus sociales.
Le chomage, en France comme dans de nombreux pays industrialisés, est un facteur de pauvreté. Il entraine inéluctablement, malgré les procédures d’indemnisation, une baisse desrevenus et, à terme, une diminution du niveau de vie. Plus la durée du chomage est importante (chomage de longue durée), plus le risque de tomber dans la pauvreté est élevé. En France, selon les résultatsd’une enquete publiée par l’INSEE, 17% des enfants pauvres étaient élevés par une personne seule sans emploi et 33% des enfants pauvres étaient élevés par un couple sans emploi. Autrement dit, dansun cas sur deux, la pauvreté des enfants s’accompagne d’une situation caractérisée par le chomage des parents.
La pauvreté s’explique aussi par la multiplication des emplois précaires. Une partie desactifs alterne ainsi période de chomage et emplois de courte durée. Cette situation d’instabilité professionnelle ne procre pas, par définition, des revenus réguliers et en conséquence facteurd’appauvrissement.
Dans le cas du temps partiel subi, les ressources monétaires sont notoirement insuffisantes et bien souvent inférieures au seil de pauvreté. C’est pourquoi une nouvelle catégorie a fait…

Traditional and modern family in korea

Traditional and modern Family
Traditional Family

The family is the base of all societies, that is why I chose this subject because it help us to understand the Korean modern society and even sometimes the history. Confucianism in “its traditional format was rigidly authoritarian and bolstered by a social matrix that was essentially totalitarian”. (Walter H.Slote) The hierarchy is very rigid,and set by the age, the gender, the social status.
Confucianism society is based on a patriarchal lineage and authority. The first son is loved and given of the best things, because he will continue the lineage. In this context children and woman had little voice and were restrict by strong rules of obedience and respect. The family is the source of education, and knowledge for children, theylearn through the everyday rituals in a proper way. “Confucianism is a family oriented religion, philosophy, and social ideology governing behavior from birth to death.”( Kwang Kyu lee) If the rites weren’t accomplished in the proper way, the falters were punished by the law. This system creates solidarity within the family and lineage. Lineage is the individual descendent from a common progenitor.The most important lineage is the one which is perpetrate by the first born son.
Education and well manners are one of the most important points, even in the farmer families, children were taught to use the highest honorific terminology to speak with their father. “To never stand higher than his father, to enter a room after his father, and never smoke or drink in front of him.” This rules wereset by the filial piety, this virtue is “held above all else: a respect for the parents and ancestors”. Filial piety of the son were shown trough given everything good to their parents and taking care about their body in good health and clean because that was a gift from the parents. Filial piety is the second of the Five Relationships, defined by Mencius. Traditionally that defines affectionbetween father and son. The purpose of the filial piety was to create close relationships and solidarity within the family but it demand sacrifice of oneself. For a man it was loyalty to lord and state, for a woman it was to be a good mother and wife. Filial piety has been the normative foundation of Korean family life.
Family was typified by a strict division of labor and roles that was dividing intwo categories man and woman. Father and mother have completely different functions that complete each other. The father was the body of education through authority and discipline. He had three key rights and obligation: representing the family in society, supervising family members and controlling family property.
Mother role was to give love and regulate the consumption and the allocation ofresources within the family and the household. The grandparents, especially the grand father has very good relations with his grand children because he doesn’t have to carry with the heavy role that fathers have in Confucianism societies anymore.
The mother relationship was very special for the children, because she was given all her life for them. Indeed the father has very cold relation withthe mother; she gave all her love and attention to his children; particularly to the oldest son. “A second son has little responsibility and less power, so his sins are correspondingly less destructive to the family”, thus he dare less attention. The future stability of the lineage and the family relies on the first son. Girls will leave home when they get married so they are not crucial for thewell being of the lineage. Again this was dictated by the Confucianism hierarchy, the first son dears much more love and attention that girls or younger brothers.
That situation creates emotional dependency of mothers and sons. That is why the mothers were very possessive and dominant and sons were obedient because of the emotional power they feel. According to the authors due to the difficult…

Dissertation

Un texte est une succession de caractères organisée selon un langage. Cette définition désigne aussi bien une sémiotique du langage (proprement acte sémique) qui en tant que tel transcende l’actetextuel. Il en résulte que le texte est exprimé par plusieurs phrases en différentes langues.

Pour répondre au critère de l’univocité que garantit, dans le domaine de la scientificité d’une sciencelinguistique, le sens étymologique, on s’intéresse à l’étymologie de tissu. Car, texte, né au XIIe siècle, vient du latin tessere = tisser (du participe passé textus d’où est dérivé tissu), au sensfiguré d’un tissu qui comporte une chaîne et une trame. La chaîne étant le dispositif vertical sur lequel opère transversalement la trame et comportant des anneaux où celle-ci puisse s’insérer.

Dansune tapisserie, on doit en outre considérer une variété de chaînes et de trames colorées, entrelacées pour constituer des figures appelées patterns.

Un texte est une suite de mots, et de caractères.On peut écrire un texte dans n’importe quelle langue écrite. Un texte est écrit, puis lu.

Lorsqu’on lit un texte, il peut nous apporter plusieurs choses :

* Des informations,
Un texte estune succession de caractères organisée selon un langage. Cette définition désigne aussi bien une sémiotique du langage (proprement acte sémique) qui en tant que tel transcende l’acte textuel. Il enrésulte que le texte est exprimé par plusieurs phrases en différentes langues.

Pour répondre au critère de l’univocité que garantit, dans le domaine de la scientificité d’une science linguistique, lesens étymologique, on s’intéresse à l’étymologie de tissu. Car, texte, né au XIIe siècle, vient du latin tessere = tisser (du participe passé textus d’où est dérivé tissu), au sens figuré d’un tissuqui comporte une chaîne et une trame. La chaîne étant le dispositif vertical sur lequel opère transversalement la trame et comportant des anneaux où celle-ci puisse s’insérer.

Dans une tapisserie,…

Biographie marivaux

Pierre Carlet de Chamblain de Marivaux (1688 – 1763)

I – Vie et Œuvre

– Journaliste, auteur dramatique et romancier français, moraliste sans être misanthrope
– Fils d’un fonctionnaire del’armée
– 1710 : Etudes de droit à Paris (pour devenir contrôleur des finances, comme son père) qu’il abandonnera trois ans plus tard.
– Fréquentation du salon de Madame de Lambert et celui de Madamede Tencin, rencontre avec Fontenelle
– S’engage dans la Querelle aux côtés des Modernes
– Il s’essaye à de multiples genres : romans parodiques, poèmes parodiques, poèmes burlesques et chroniquesjournalistiques (il crée plusieurs journaux).
– 1716 : Iliade Travestie (originale et décalée par rapport à l’œuvre d’Homère)
– 1720 : Relativement riche, il est ruiné par la banqueroute de Law etdoit donc travailler pour vivre.
– 1720 : Arlequin poli par l’amour (son premier succès)
– Surprises de l’amour (1722), La Double inconstance (1723) (comédies théâtrales)
– L’Île des esclaves(1725), La Nouvelle Calédonie (1729) (Comédies philosophiques, cadre utopique)
– 1726 – 1741 : La Vie de Marianne (sa grande œuvre romanesque)
– 1742 : Entrée à l’Académie Française grâce au soutiende sa précieuse amie Madame de Tencin
– 1745 : Sa fille doit rentrer au couvent parce que son père ne peut pas la doter honorablement.
– Il se met par la suite à écrire des pièces jouéesuniquement à la Comédie Française, avec des réflexions sur la langue française en elle-même.
– 1763 : Décès de Marivaux, qui laissera un bien maigre héritage financier à sa fille.

II – Idées et Ecriture- « Les amoureux de Marivaux sont les premiers amoureux parfaitement purs de notre théâtre, car ils n’ont pas à lutter avec les lois de la cité ou de l’honneur comme dans Corneille, avec lafatalité comme dans Racine, avec des pères avares ou des tuteurs jaloux comme dans Molière. Non, ils sont seulement aux prises avec eux-mêmes lorsqu’ils voient se révéler dans leur cœur un sentiment…

Jfgvjh

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L’Espagne devient ainsi la première puissance européenne, voire mondiale, grâce àla richesse de ses colonies et à l’exploitation des mines d’argent, qui autorisent une augmentation de la masse monétaire.
Charles Quint est le souverain le plus puissant d’Europe, étend soninfluence dans l’ensemble de l’Europe, ce qui n’est pas sans créer une rivalité avec François Ier.
La renaissance italienne se poursuit avec le Cinquecento.
En France, à partir de Louis XII et de FrançoisIer (à partir du début de son règne en 1515, correspondant à la bataille de Marignan), les guerres d’Italie font connaître la Renaissance italienne en France, avec un siècle de retard. Léonard deVinci apporte en France le savoir-faire des artistes de la Renaissance italienne.
Article détaillé : Renaissance française.
L’Espagne gardera sa puissance jusqu’au traité des Pyrénées (1659).Droit[modifier]
En droit, un changement structurel se produisit au xvie siècle, avec le passage de la suzeraineté (société de type féodal, serment d’allégeance), à la souveraineté.
Le roi contrôlait…

Economie

Dynamique et régulation
L’intervention publique et ses limites
– la puissance publique peut être mobilisée aussi bien pour assurer une croissance solide (fonction de stabilisation macroéconomique), pour palier les défaillances du marché (fonction d’allocation des ressources) ou pour de motifs de justice sociale (fonction de redistribution des richesses).
– Consensus semble s’être forméautour de Richard A. Musgrave (1952) qui reconnaît trois fonctions à l’Etat :
– du fait de l’existence de cycles économiques : une fonction de stabilisation macroéconomique.
– le premier théorème de l’économie du bien-être nous enseigne que, sous certaines conditions, l’équilibre général des marchés correspond à une situation optimale au sens de Pareto. L’existence de défaillances du marché, àl’instar des externalités, rompt ce théorème. L’Etat s’avère ainsi utile afin de modifier l’allocation des ressources ;
– outre l’efficacité, des soucis d’équité où l’optimum économique atteint grâce aux mécanismes du marché n’est pas forcément le meilleur point de vue de la collectivité. C’est pourquoi l’Etat va mener une politique de redistribution des richesses selon le critère d’équité retenu.L’Etat peut-il contrer les cycles économiques

Un débat très ancien entre classiques et keynésiens
– aux économistes classiques qui, tel A. SMITH, considèrent le marché comme le garant de l’intérêt général (principe de la main invisible), on oppose la vision de J. M. Keynes d’un Etat nécessaire afin de neutraliser les effets négatifs des cycles économiques (politique contra-cycliques) ;
– enénonçant « la loi des débouchés », J-B Say (1803) soutient lui aussi l’inexistence d’équilibres de sous-emploi. Il considère en effet que le simple fait de réaliser un produit offre un débouché à d’autres produits pour tout le montant de sa valeur. Une intervention publique visant à soutenir la demande lui semble ainsi inapproprié puisque celle-ci ca naturellement s’adapter au niveau de l’offre.- Keynes réfute ses deux analyses en reliant le niveau de production à la demande globale anticipée.
– La crainte d’une récession économique va conduire les dirigeant d’entreprise à retarder leurs décisions d’investissement et d’embauche, que cette crainte soit fondée ou non. Sur le plan macro-économique, l’enchaînement de telles décisions risque inéluctablement de conduire l’économie vers unéquilibre de sous-emploi. L’idée selon laquelle la demande s’ajusterait à l’offre (loi des débouchées) est donc remise en cause. Le rôle stabilisateur de l’Etat prend ainsi son sens dans le cadre d’une politique visant à modifier les anticipations des agents économiques. Cela passe par des mesures de relance dans un cadre budgétaire – des dépenses publiques d’investissement afin de pallier lesdépenses privées-, ou monétaire en baissant les taux d’intérêt directeurs.

Une vision keynésienne contestée
– l’imbrication croissante des économies dans un vaste espace mondialisé rend caduques les politiques publiques de relance non-coordonnées.
– ne procurant pas les effets attendus, la relance peur à l’inverse dégrader le solde budgétaire et le solde commercial.
– sur le planthéorique, Phelps (1967), puis Friedman (1968) contestent l’efficacité des politiques monétaires de relance. Friedman reprend les travaux empiriques d’A. W. Philips (1958) qui établit l’existence d’une corrélation négative entre le taux de chômage et le niveau d’inflation. Selon Friedman, si cette relation se vérifie à court terme, elle disparaît à plus long terme. La relance monétaire provoquant unehausse des salaires nominaux, l’offre de travail peur progresser à court terme. Mais, progressivement, les agents économiques s’aperçoivent que cette hausse nominale des salaires est compensée par une progression parallèle de l’inflation. Les salaires réels restant constants, à long terme l’offre de travail ne varie pas. Le taux de chômage de long terme correspond ainsi à son niveau naturel….

Marketing

Sélégny Grégoire
0904249
Business Administration (BA)
3rd year

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Coursework of Marketing planning organization and control

MK0901A

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Devise and justify a marketing plan for Tesco which would improve their profitability.

Learning Outcomes:
1. Explain concepts, influences and decisions relevant to marketing planning;
2. Evaluate a range of information sources toproduce a balanced and coherent academic argument within the context of marketing planning.

Assessment criteria:
• Focus – the extent to which you interpreted correctly and concentrated on the requirements of the assignment.
• Knowledge and understanding of issue – the extent to which the report incorporates and shows genuine understanding of how to evaluate sources
• Structure andcoherence – how you have approached the work
• Presentation – the overall appearance of the work

Guidelines:

• You should submit both the hardcopy of your coursework and electronically
• Students are expected to adhere to the word limit and not exceed 2750 words for the coursework task.

INTRODUCTION

“Strategic marketing planning is defined as an organization-wide planning as a way ofresponding to market opportunities, external environment and target audiences; when doing strategic marketing planning, the decision must be in line with the mission, vision, internal strengths and resources available to the company” (Hannagan 1992; Kotler & Andreasen 1996; Andreasen & Kotler 2003; Meek & Meek 2003).
In this way marketing Plan can be seen as a development that structures andprioritizes marketing decisions that the company is considering. Marketing Planners will have to collect data on consumer needs, examine strengths and weaknesses of the company, opportunities and threats to the environment, to organize production, marketing and promoting its products under the best conditions.
These decisions are all targets, which can give numerical predictions to estimate costs andassess as accurately as possible. These forecasts will monitor the achievement of objectives in order to possibly make some corrections.
In order to achieve a marketing plan which can help the company to anticipate and improve, it is relevant to follow different steps which are:

? Mission Statement

? Executive Summary

? Internal and External Analysis

? Objectives? Marketing Strategies

? Identification of Resources

? Implementation of Marketing Plan

? Marketing Budget

? Evaluation

Tesco is a UK-based international grocery and general merchandising retail chain.
Jack Cohen founded the company in 1919 when he began to sell surplus groceries from a stall in the East End of London. Tesco was floated on the London StockExchange in 1947 as Tesco Stores (Holdings) Limited. The first self-service store opened in St Albans in 1951 (still operational in 2009 as a Metro), and the first supermarket in Maldon in 1956. During the 1950s and the 1960s Tesco grew organically, and also through acquisitions, until it owned more than 800 stores. The company purchased 70 Williamsons stores (1957), 200 Harrow Stores outlets (1959),212 Irwins stores (1960), 97 Charles Phillips stores (1964) and the Victor Value chain (1968) (sold to Bejam in 1986). Tesco is now the largest British retailer by both global sales and domestic market share, with profits exceeding £3 billion. The company employs 195,000 staff in UK and 260,000 worldwide. They have 979 outlets worldwide, in South Korea, Thailand, Taiwan, Czech Republic and SlovakRepublic, 729 of which are in UK. TESCO is estimated to be enjoying 16.7 percent of market shares (Torex Retail).
(Based on information found on http://en.wikipedia.org/wiki/Tesco)

Tesco is good at reducing its structural costs and is very flexible. Thanks to a well marketing analysis of its market and of its own business, the company has become an example for many businesses in term of…

Fiche pays

Conjoncture économique

Le taux de croissance du PIB a été très élevé durant cette décennie puisqu’il a triplé en 5 ans, passant de 87 à 275 milliard USD. Les EAU ont le 4ème PIB le plus élevé parhabitant dans le monde.

Le PIB est dominé par la puissance économique d’Abu Dhabi (60%), notamment par sa production d’hydrocarbures (cet émirat détient 9% des réserves mondiales de pétrole et 5%des réserves de gaz naturel de la planète) et par sa gestion de la quasi-totalité de l’épargne. Dubaï participe à hauteur de 26% au PIB et constitue la plate forme commerciale des Emirats, notammentavec ses infrastructures portuaires et aéroportuaires. Le gouvernement des Émirats essaye de développer de nouveaux secteurs comme celui du tourisme, des services financiers et de l’immobilier. Danscette optique, l’émirat de Dubaï a multiplié la création de zones franches et est devenu une plate-forme de réexportation dans la région. Il existe d’ailleurs de grands projets culturels (musées etnotamment une annexe du Louvre), éducatifs (université La Sorbonne), sportifs (Formule 1). Les Emirats ont également décidé de diversifier les sources d’énergie via le lancement d’un parc de centralesnucléaires d’ici 2017 ainsi que des investissements massifs dans les énergies renouvelables avec le projet « Masdar » de 22 milliards USD.

Les Emirats subissent tout de même le contrecoup de la crisemondiale, qui se traduit par un ralentissement sensible de la croissance. Ceci s’explique par différents facteurs : la chute des cours du pétrole, une contraction de l’activité du secteur privé,l’éclatement de la bulle immobilière à Dubaï en raison de surinvestissements, la raréfaction de l’offre de crédits bancaires. La crise économique a d’ailleurs plus durement touché Dubaï, de par sonpositionnement de plate-forme très mondialisée et son taux d’emprunt très élevé. Les autorités ont cependant réagi. Le secteur bancaire a été consolidé via des garanties d’Etat sur les dépôts, la mise en…

Le commerce international des usa

Renseignements sur le pays

Aperçu économique

|Principaux indicateurs économiques |
| |2006 |2007 |
|Croissance annuelle du PIB (%)|2,9 |2,2 |
|PIB réel par habitant ($US) |44 118 |45 845 |
|Indice des prix à la consommation (annuel, en %) |3,2 |2,9 |
|Taux de chômage (en % de la main-d’œuvre totale)|4,6 |4,6 |
|Balance commerciale, produits (en milliards de $US) |-838,3 |-815,3p |
|Balance commerciale, services (en milliards de $US) |79,7 |106,8p |
|Taux de change moyen ($CAN / $US)|S/O |0,992 |
| | |(Avril 2008) |

p : données préliminaires
Sources : Bureau de l’analyse économique, Economist Intelligence Unit (EIU), Fonds monétaire international (FMI)
L’économie des États-Unis est la plus grande au mondeet un important moteur de l’économie mondiale. Sa part de l’économie mondiale se chiffre à environ 20 %. Le PIB américain a augmenté de 2,9 et 2,2 % respectivement en 2006 et 2007. Toutefois, en 2008, l’économie américaine semble faible. D’après l’Economist Intelligence Unit (EIU), des marchés de crédit fragiles, la hausse des prix du pétrole et, en particulier, une crise immobilière plusprononcée ont créé un risque réel d’une diminution accentuée de la demande des consommateurs, ce qui ralentira la croissance économique. De plus, les pressions inflationnistes ont augmenté à la suite de la hausse des prix des matières premières.
Selon l’Organisation de coopération et de développement économique (OCDE), l’économie des États-Unis est au bord d’une récession; d’après les estimations del’OCDE, le PIB américain augmentera de 0,1 % dans le deuxième trimestre de 2008, puis stagnera avec une croissance nulle au cours des trois prochains mois. Au cours de l’année 2008, l’OCDE prévoit que l’économie américaine croîtra de 1,4 %, son rendement le plus faible depuis la récession en 2001. Un rétablissement plus rapide sera retardé par une période prolongée d’ajustement du bilan des institutionsfinancières américaines et le ralentissement prononcé du marché immobilier. La croissance est prévue à un rythme lent seulement, à 1,4 %, en 2009.
Les effets directs de la crise actuelle du marché immobilier toucheront, entre autres, la construction, les prêts hypothécaires et l’emploi dans le secteur immobilier ainsi que la diminution de la vente de fournitures de construction, de meubles etaccessoires. On observe une faiblesse généralisée des dépenses des ménages à cause des prix des logements inférieurs et des nouvelles diminutions pourraient entraîner une baisse de la richesse des consommateurs, une érosion de la confiance et une baisse continue des retraits fonciers. Le secteur manufacturier, qui représente 12,6 % du PIB total, devrait être relativement moins vigoureux dansl’avenir puisqu’il sera touché par les faibles ventes de véhicules automobiles, mais encouragé par les ventes d’exportation.
|Variation annuelle en pourcentage du PIB |
|Année |Taux de croissance (%) |
|1997…

Finance

Le ___________ 2010

Newco
(en qualité d’Emprunteur)

Et

Crédit du Maroc
(en qualité de Prêteur)

CONVENTION de CREDIT

80.000.000 MAD

Law Firm
97, Boulevard Massira Al Khadra, Casablanca (Maroc)
Tél. : + 212 (0) 5 22 99 76 00
Fax. : + 212 (0) 5 22 23 86 66
TABLE DES MATIERES

ARTICLE 1 – DÉfinitions 3

ARTICLE 2 – financement 7

ARTICLE 3 – Conditionssuspensives 8

ARTICLE 4 – IntÉrÊts 8

ARTICLE 5 – Remboursement 9

ARTICLE 6 – Remboursement Anticipé 9

ARTICLE 7 – Commissions 10

ARTICLE 8 – SÛretÉS 10

ARTICLE 9 – Paiements 10

ARTICLE 10 – DÉclarations et Garanties 11

ARTICLE 11 – engagements 14

ARTICLE 12 – Obligations en matiÈre financiÈre 16

ARTICLE 13 – ExigibilitÉ AnticipÉe 17

ARTICLE 14 –Transfert 18

ARTICLE 15 – DIVISIBILITÉ 18

ARTICLE 16 – Exercice des Droits 18

ARTICLE 17 – Impôts, Taxes et Frais 19

ARTICLE 18 – Notifications 19

ARTICLE 19 – renonciation 19

ARTICLE 20 – Confidentialité 19

ARTICLE 21 – Droit applicable – COMPÉTENCE juridictionnelle 20

Annexe 1 – Modèle d’Avis de Tirage 21

Annexe 2 – Tableau d’amortissement 23

Annexe 3 – ratioset Engagements financiers 24

La prÉsente convention de CREDIT (la « Convention ») est conclue entre :

1. Newco, société [________] au capital de [________] MAD dont le siège social est [________], immatriculée au registre du commerce de [________] sous le numéro [________], représentée par [________], en sa qualité de [________], dûment habilité à l’effet des présentes (l’« Emprunteur» ou « Newco ») ;

d’une part,

Et

2. Crédit du Maroc, société anonyme de droit marocain à directoire et conseil de surveillance, au capital de 833.817.600 MAD, dont le siège social est sis 48-58 boulevard Mohammed V 20 000 Casablanca, dont le numéro unique d’identification est 28.717, représentée par [________] en sa qualité de [________], et par [________] en sa qualité de [________]dûment habilités à l’effet des présentes (le« Prêteur » ou « Crédit du Maroc ») ;

d’autre part,

(Individuellement une « Partie » et collectivement les « Parties »).

PRÉAMBULE

A. L’Emprunteur est détenu à [100] % par Monsieur Brahim SAHIB, de nationalité marocaine, demeurant [________], CIN n° [________].

B. Conformément aux stipulations d’un protocole en date du 1er juin 2010 (le« Protocole ») tel qu’il a été modifié par un avenant N°1 en date du 29 juin 2010 puis par un avenant N°2 en date du 14 juillet 2010, Newco s’est engagée à acheter 80.522 actions de la société Sud Participations, société anonyme au capital de 11 954 300 MAD, dont le siège social est Dcheira par Inezgane, boîte postale n° 74 80350, immatriculée au registre du commerce d’Inzegane sous le numéro 1643 (la« Société Sud Participations »), représentant 67 % du capital et des droits de vote de cette dernière, moyennant un prix total de [80.000.000] MAD (l’« Acquisition »).

C. Afin d’assurer le financement partiel de l’Acquisition et des frais liés à celle-ci, l’Emprunteur a sollicité du Crédit du Maroc la mise à sa disposition (i) d’un crédit relais court terme d’un montant total maximum enprincipal de quarante millions de dirhams (40.000.000 MAD), et (ii) d’un crédit moyen terme d’un montant total maximum en principal de quarante millions de dirhams (40.000.000 MAD).

D. Les Parties se sont donc rapprochées pour convenir par la présente convention de l’ensemble des termes et conditions du financement de l’Acquisition.

CONVENTIONS

– DÉfinitions

1. Aux fins de laConvention, les expressions ci-après auront le sens suivant, à moins que le contexte ne requière qu’il en aille autrement ou qu’elles ne soient autrement définies :

|Acquisition |désigne l’acquisition de 67 % des actions de la Société Sud Participations ; |
|Actions |désigne des actions de la Société Sud…