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Avec AG2L Solutions Métiers, les PME/PMI disposent d’un système d’information métier sur mesure et parfaitement adapté à leur secteur d’activité à moindre coût.
AG2L, l’expert en solutions complètes de gestion, de production et à l’affaire, complètes et sur mesure, annonce la disponibilité de sa nouvelle offre AG2L Solutions Métiers, destinée à optimiser les processus métier avec une fortespécialisation par secteur d’activité.
Qu’ils soient négociants en matériaux, SSII ou sous-traitants de l’aéronautique, les clients d’AG2L ont tous le même objectif : industrialiser et sécuriser leurs process afin d’être plus productifs et plus performants sur leurs marchés respectifs. Pourtant les problématiques et les effets de leviers sont loin d’être semblables. Partant de ce constat, AG2L adéveloppé, des solutions logicielles de gestion par secteur d’activité, pour mettre en place un système d’information métier cohérent et adapté aux exigences de chaque secteur. Elles ont été conçues en s’appuyant sur un socle technologique commun – AG2L Solutions Entreprise – et sur des communautés métier mises en place par AG2L. Les PME bénéficient désormais d’une solution logicielle intégrée, évolutiveet modulaire alliant la souplesse d’un progiciel métier à la fiabilité et l’excellent rapport qualité/prix des solutions industrialisées.
AG2L Solutions Métiers repose entièrement sur la plate-forme AG2L Solutions Entreprise, nouvelle génération de solutions développée pour permettre une industrialisation et une sécurisation des processus mais aussi une spécialisation par métier des solutions degestion couvrant l’ensemble des problématiques du secteur d’activité identifié : industrie, services, négoce, matériaux, … AG2L Solutions Métier apporte une réponse agile et personnalisée aux exigences de chaque métier via une plateforme logicielle de gestion intégrée, modulaire et évolutive.
Une approche métier avec une granularité très fine
AG2L Solutions Métiers se décline en plusieurséditions, toutes spécialisées par métier et développées dans le cadre de communautés métier regroupant des clients et utilisateurs désireux de disposer d’une solution sur mesure et adaptée à leur métier :
• Négoce de gros et/ou de détail avec AG2L Solutions Négoce
AG2L Solutions Négoce s’adresse aux entreprises dont le cœur d’activité est le négoce de gros et de détail comme l’industrie ou lesecteur du bâtiment dont les préoccupations quotidiennes sont essentiellement centrées sur la relation client, les délais de livraison, la maitrise des risques liés au stockage et à l’approvisionnement. AG2L Solutions Négoce, a pour objectif de libérer les entreprises des contraintes récurrentes et fiabilise tout le processus de vente :depuis l’approvisionnement à la facturation en passant par lagestion intégrée à la solution logicielle globale des entrepôts et plus particulièrement à la gestion des stocks, l’intégration de la gestion des consignations et des palettes, la gestion des pesées, la gestion des approvisionnements, l’intégration comptable et financière. AG2L Solutions Négoce se décline pour le secteur de l’industrie (AG2L Solutions Négoce Industrie) et pour le secteur du bâtiment(AG2L Solutions Négoce Bâtiment).
Les entreprises de vente, stockage et production de matériaux avec AG2L Solutions Matériaux
AG2L Solutions Matériaux s’adresse aux entreprises donc l’activité est l’extraction, la production et la vente de matériaux pour le BTP confrontées au quotidien à des contraintes fortes de transports, de pesée, de cession interne ou de déclaration de production. AG2LSolutions Matériaux, couvre l’ensemble des besoins de ces métiers grâce à des fonctions spécifiques pour la gestion des pesées, la consignation et la gestion des palettes, la prise en compte de la déclaration de production, la multiplicité des sites, des types de véhicules, des modes de facturation, la tarification multi site, la gestion multi type de véhicule, etc.
La mécanique et l’industrie…

Rapport algerie

136 avenue des Champs Elysées 75008 PARIS

expertise
24 rue Jacques Ibert – 92300 Levallois-Perret

L’ORGANISATION DE LA PROFESSION D’EVALUATEUR IMMOBILIER EN ALGERIE.
Rapport demandé par la Société de Garantie du Crédit Immobilier (SCGI), Ministère des Finances

2ème semestre 2006

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1

AVANT-PROPOS 1. Le groupement constitué par ATISREAL EXPERTISE et Lefèvre Pelletier etassociés, avocats, a été retenu par la Société de Garantie du Crédit Immobilier (SGCI) pour traiter le sujet de ce rapport. La mission s’inscrit dans le champ plus vaste du développement du crédit hypothécaire, qui ne s’opèrera qu’à condition notamment que les établissements prêteurs puissent connaître la juste valeur des biens immobiliers dont ils financent l’acquisition ou qu’ils reçoivent engage hypothécaire des sommes prêtées. 2. Cette mission s’organise en quatre phases successives : dresser l’état des lieux de l’évaluation immobilière telle qu’elle est actuellement pratiquée ; proposer le cadre juridique d’une organisation future de l’activité d’évaluateur immobilier ; rédiger le guide de l’évaluation immobilière ; enfin concevoir les formations qui devront être dispensées auxévaluateurs immobiliers. Le présent rapport clôt la première phase de la mission.

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INTRODUCTION • le contexte foncier

Le droit foncier algérien est régi par de nombreux textes législatifs et réglementaires formant un dispositif complexe. Ce dispositif a évolué au gré des orientations prises par l’Etat algérien depuis son indépendance en 1962. Sans remonter jusqu’à la période de lacolonisation française, l’évolution du droit foncier algérien (aussi bien urbain qu’agricole) peut être classée en deux périodes : la période allant de l’indépendance de l’Algérie en 1962 jusqu’à la fin des années soixante-dix, et la période allant du début des années 80 à nos jours : La première période se caractérise notamment par l’ordonnance 62-20 du 24 août 1962 relative à la protection et àla gestion des biens laissés vacants par les colons français et l’ordonnance 66-182 du 6 mai 1966 ayant opéré dévolution à l’Etat algérien des biens vacants. Le dispositif a été parachevé, s’agissant du foncier agricole, par l’ordonnance 71-73 du 8 novembre 1973 portant révolution agraire. Cette ordonnance, qui opéra un bouleversement majeur du régime de la propriété foncière agricole en Algérie,avait pour principal objectif la nationalisation des terres appartenant à des propriétaires non-exploitants ou absents. Pour la même période et s’agissant plus particulièrement du foncier urbain, l’ordonnance 74-26 du 20 février 1974 visait à la constitution des réserves foncières communales (RFC) destinées à servir d’assiette aux investissements de toute nature de l’Etat, des collectivitéspubliques et locales. La constitution des RFC a pu être réalisée par l’expropriation de leurs anciens propriétaires afin de faire face notamment aux besoins en terrains urbains dus à l’accroissement de la population urbaine.

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La seconde période connaît le mouvement de libéralisation de la propriété foncière, amorcé par la Constitution de 1989 qui « garantit le droit à la propriétéprivée et l’indemnisation juste, équitable et préalable en matière d’expropriation pour cause d’utilité publique ». La loi 90-25 du 18 novembre 1990 portant orientation foncière constitue probablement la pierre angulaire de l’édifice de libéralisation du foncier en Algérie. Celle loi a notamment abrogé l’ordonnance 74-26 relative aux RFC. Quant au foncier agricole, l’ordonnance 71-73 portantrévolution agraire a été abrogée par l’ordonnance 95-26 du 25 septembre 1995. Cette ordonnance a eu pour effet la restitution des terres nationalisées à leurs anciens propriétaires (sous certaines conditions). • le contexte foncier

Nonobstant les différentes réformes engagées, l’Etat algérien fait face depuis les années 70 à une crise aiguë du logement. Selon des estimations jugées optimistes, le…

Explication texte de nietzsche (humain trop humain)

Expliquer le texte suivant
« Nous n’accusons pas la nature d’immoralité quand elle nous envoie un orage et nous trempe: pourquoi disons-nous donc immoral l’homme qui fait quelque chose de mal? Parce que nous supposons ici une volonté libre aux décrets arbitraires, là une nécessité. Mais cette distinction est une erreur. En outre, ce n’est même pas en toutes circonstances que nous appelonsimmorale une action intentionnellement nuisible; on tue par exemple une mouche délibérément, mais sans le moindre scrupule, pour la pure et simple raison que son bourdonnement nous déplaît, on punit et fait intentionnellement souffrir le criminel afin de se protéger, soi et la société. Dans le premier cas, c’est l’individu qui, pour se conserver ou même pour s’éviter un déplaisir, causeintentionnellement un mal; dans le second, c’est l’État. Toute morale admet les actes intentionnellement nuisibles en cas de légitime défense, c’est-à-dire quand il s’agit de conservation. Mais ces deux points de vue suffisent à expliquer toutes les mauvaises actions exercées par des hommes sur les hommes: on veut son plaisir, on veut s’éviter le déplaisir; en quelque sens que ce soit, il s’agit toujours de sapropre conservation. Socrate et Platon ont bien raison : quoi que l’homme fasse, il fait toujours le bien, c’est-à-dire ce qui lui semble bon(utile) suivant son degré d’intelligence, son niveau actuel de raison. »
Nietzsche, Humain, trop humain.
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Vous avez été nombreux à nous demander une aide à la compréhension de ce texte, en particulier sur les dernières lignes:Nietzsche est-il sérieux ou ironique? Je vous propose de partir du terme « immoralité » à la première ligne.
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Immoralité – C’est le caractère de ce qui viole (consciemment et volontairement) les principes de la morale. Pour qu’on puisse parler d’immoralité il faut supposer (parce qu’on ne le voit pas!) un libre arbitre de l’homme, c’est à dire une faculté de se déterminer par soimême, d’agir à sa guise, de sa propre initiative. (Dans le texte proposé à la série L, d’Aristote: avoir en soi le principe de son acte). Si nous n’accusons pas la nature d’immoralité c’est que nous ne lui supposons pas un libre arbitre: elle est inconsciente, déterminée à être ce qu’elle devient et ce qu’elle fait: l’essence précède l’existence et la détermine. On ne peut donc juger la nature, lacondamner car elle n’a pas les conditions qui permettraient de la juger d’un point de vue moral: conscience, liberté, responsabilité. Est responsable celui qui a en lui le principe de ses actes, qui peut donc en répondre, se reconnaître auteur d’un acte et répondre de cet acte comme de ses conséquences. La nécessité ne peut pas ne pas être, il serait absurde de juger ce qui ne peut que suivre undéterminisme, ce qui ne choisit pas.
On commence peut-être à comprendre que la nature qui devient est innocente: si nous supposons à tort un libre arbitre à l’homme, alors l’homme suit aussi la nature.
Nous supposons – Nous mettons en l’homme une volonté de nuire, une décision consciente de faire le mal, de faire ce qui n’est pas conforme aux principes de la morale. Ainsi, nous lui faisonssupporter une culpabilité. Si nous n’accusons pas la nature alors que nous jugeons l’homme, c’est que nous les distinguons: l’une est dépourvue du libre arbitre, elle est nécessaire, l’autre est doué d’un libre arbitre.
C’est une erreur – Remarquez que ce n’est pas une faute: on se trompe parce qu’on ne sait pas, c’est un défaut de perspicacité sur le plan de la connaissance.
Même pas – Pour qu’unjugement soit valide, il faut qu’il soit universel dans le temps et dans l’espace. Ce qui se contredit n’a aucune valeur absolue, il dépend des circonstance, et change selon l’utilité. A la fin du texte Nietzsche accusera Socrate et Platon d’être des hypocrites: le devoir c’est de faire le bien, mais derrière ce bien il y a l’utile. Notre jugement varie en fonction des cas et de ce qui nous est…

Luxe et japon

ESSEC Institut d’Etudes Politiques de Paris Siboni Jonathan

Problématiques Asiatiques Jean-Marie Bouissou

Jonathan Siboni ([email protected]) ESSEC / Institut d’Etudes Politiques de Paris

Le luxe en Asie hier, aujourd’hui, demain
~ Le secteur du luxe au Japon et son évolution, en relation avec les changements de mentalités collectives ~ La Chine, nouveau Japon du luxe ?Problématiques Asiatiques, CERI Sciences Po sous la direction de Jean-Marie Bouissou
1

ESSEC Institut d’Etudes Politiques de Paris Siboni Jonathan

Problématiques Asiatiques Jean-Marie Bouissou

Le Japon, Eldorado du luxe
A. La réussite spectaculaire du luxe au Japon… 1. 2. 3. 4. 5. Le Japon, paradis du luxe Les débuts du secteur du luxe au Japon La folie des licences De la bulle… … à la crise 5 5 66 6

Postface : La Chine, nouveau Japon du luxe ? Bibliographie Annexes
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B. … Doit beaucoup à des traits culturels spécifiques 1. 2. 3. 4. 5. 6. la permanence du groupe et le besoin de reconnaissance qui en découle Une volonté d’Occidentalisation Une forte culture consumériste… … renforcée par la tradition du cadeau L’importance attachée à la qualité des produits et du service Unevaste tranche de la population ayant un haut niveau de revenu 7 8 9 10 10 11

Le luxe face à la crise du Japon, de la passion à la raison
A. Une crise protéiforme qui a engendré de profonds changements de mentalité… 1. 2. 3. 4. 5. De la déliquescence du groupe… … à l’éclosion de l’individu en quête d’identité Une recherche de fuite face au stress Moins de paraître, plus d’être Une Femme de plusen plus autonome 12 13 14 15 16

B. … amenant à une profonde évolution du secteur du luxe 1. 2. 3. 4. 5. 6. 7. Une évolution quantitative Des produits de luxe à meilleur prix… … voire contrefaits Un recentrage des consommateurs sur quelques marques phares Des depato (grands magasins) aux boutiques en propre… … et le chant du cygne des licences… … pour créer un véritable univers de marquecohérent et mieux s’ancrer dans l’espace mental de consommateurs de plus en plus exigeants 8. L’importance des phénomènes de mode 18 18 19 20 21 22 23 24

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ESSEC Institut d’Etudes Politiques de Paris Siboni Jonathan

Problématiques Asiatiques Jean-Marie Bouissou

Le secteur du luxe au Japon et son évolution, en relation avec les changements de mentalités collectives

“Across theluxury brand horizon, the Japanese market is looking less like the El Dorado it’s been since the mid-1990’s and a lot more like Waterloo” Newsweek 10/02/2003 « Le luxe est un besoin des grands Etats et des grandes civilisations. Cependant il y a des heures où il ne faut pas que le peuple le voit » Victor Hugo, Choses vues

En 1977 Kyojiro Hata conseillait à Henri-Louis Vuitton de s’implanter auJapon. Moins de 30 ans plus tard il est à la tête d’un Empire du luxe constitué de 49 magasins, employant 4.000 personnes et faisant un chiffre d’affaire de 130 milliards de Yen (avec au passage une croissance de 400% sur les 10 dernières années), ce qui représente près du tiers du chiffre d’affaires mondial de Louis Vuitton. Mais qu’est ce que le luxe au juste ? Sa définition paraît être aussi floueque les nuages des rêves qu’il est censé générer. Etymologiquement, si le luxe vient du latin luxus : abondance, raffinement, on le fait souvent varier du lux, la lumière, donc le rayonnement, l’élégance, à la luxuria, c’est-à-dire l’excès. Comme le résume bien Jean Castarède, « le luxe a perpétuellement balancé entre ces deux pôles du paraître et de l’être ». Le luxe peut en effet être considérécomme porteur d’une essence, d’un être, ou simplement représentation d’un avoir, d’un paraître, d’un superflu… qui en fin de compte n’est peut être cette « chose très nécessaire » que pour Voltaire. Jean Castarède propose ainsi une définition : « Est luxueux tout ce qui n’est pas indispensable mais délectable s’il est sensible à la grâce », mais on ausculte alors quelque chose d’essentiel :…

Marketing

Chapitre : La statistique commerciale.

Introduction :

En permanence, les entreprises doivent assurer leur survie face à la concurrence, à l’évolution des mentalités et des innovations technologiques.
Les entreprises qui subissent, tel Guy Desgrenne, paient souvent les conséquences d’une absence de stratégie. Celle-ci consiste pour ces entreprises à gérer des activités avec des œillères enfaisant abstraction de l’évolution de l’environnement et en conservant des techniques et des savoir-faire quasiment obsolètes.
Si Guy Desgrenne avait eu une stratégie claire, il aurait pu, par une analyse précise des opportunités et des menaces du marché, réorienter ses activités à moyen et long terme en se donnant les compétences pour adapter son organisation aux exigences futures du marché.MERCATIQUE STRATEGIQUE

Rechercher l’information Rechercher les
sur le marché compétences nécessaires
(opportunité et menace)

La direction générale choisie les orientations stratégiques.

I Définition des domaines d’activité stratégique (DAS)

La stratégie d’entreprise s’applique dans les domaines d’activités stratégiques. Ils se construisent à partir d’une segmentationstratégique.

A La segmentation stratégique.

1 Définition.

Elle regroupe toutes les compétences à maîtriser par l’entreprise, pour être compétitive sur le marché.
Les compétences sont les facteurs clé de succès (FCS).

2 Erreurs à éviter.

Il ne faut pas se dire que la segmentation stratégique est égale à la segmentation marketing.
Il ne faut pas se dire que la segmentationstratégique est statique, qu’elle ne change pas.

B Les domaines d’activité stratégiques.

1 Définition.

Il comprend un ou plusieurs produits qui sont soit parfaitement substituables, soit qui se partagent les mêmes ressources.

2 Domaine d’activité stratégique et stratégie.

A chaque domaine d’activité stratégique s’applique une stratégie unique même s’il y a plusieurs domaines d’activitéstratégique sur un secteur.

II Analyse de l’environnement.

A Définition.

A partir des années 80, Mikaël PORTER pense que l’analyse environnementale ne doit plus uniquement se limiter aux concurrents, mais doit s’étendre au marché amont et aval du domaine d’activité stratégique, ainsi, il construit un schéma qui indique les cinq (5) forces concurrentielles qui constituent une menace et uneopportunité pour l’entreprise.

B Schéma des forces concurrentielles de PORTER.

III Analyse de la position concurrentielle de l’entreprise.

Les outils sont apparus au début des années 70 aux USA pour aider les congloméras dans la gestion de leur portefeuille d’activités.

A La matrice BCG (BOSTON CONSULTING GROUP).

1 Explications.

Elle se compose de deux axes.
Le premier indique letaux de croissance du marché.
Le second indique la part de marché relative de l’entreprise par rapport à ses concurrents directs.

Part de marché relative > 1 alors l’entreprise est leader sur le marché

Part de marché relative = 1 alors l’entreprise est coleader ou challenger sur le marché

Part de marché relative < 1 alors l’entreprise est suiveur ou marginale sur le marché VedetteEtoiles
Stars

Point d’interrogation
Question Dilemme

Cash Cow
Vache à lait

Points morts
Dog (chiens)

Croissance élevée

faible
grande petite

0,1 1 0,9

C’est le pourcentage de CA représenté par l’activité dans le total des activités de l’entreprise.

2 Objectifs pour les entreprises.

Il signifie aux entreprisesque leur portefeuille d’activité, pour être performant, doit comporter des activités cash cow (80 % du CA) qui doivent financer les produits dilemme pour les faire passer en produits vedette. Les produits vedettes doivent à terme remplacer les produits cash cow.

B La matrice ADL (ARTHUR D. LITTLE).

Cette matrice est constituée de 2 axes.
Un axe indiquant le cycle de vie du marché…

Chinois histoir

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Les liaisons dangereuses

QS: Quelle analyse faites-vous du personnage du chevalier Danceny dans les Liaisons dangereuse de Laclos et le film de Frears?

I-le portrait du chevalier Danceny.
A-un chevalier pourtant naïf,timide et amoureux.
Le chevalier Danceny est un jeune chevalier, inexpérimenté. Lorsqu’il rencontre Cécile de Volanges à l’opéra il tombe subitement amoureux d’elle. Les chevaliers de Malte qu’ilest, sont guerriers contrairement à sa personnalité sensible et sentimentale. Il surmonte sa timidité en déclarant ses sentiments à Cécile. De plus, Danceny accorde sa confiance rapidement d’abord ilconfit son amour sincère envers Cécile à Valmont. Il est imprudent de dévoiler son amour aussi rapidement et de manière si brutale. Sa reflète sa naïveté d’autant plus que c’est lui qui oblige Cécile àdonner la clef à Valmont et c’est ce qui la perdra. Ensuite il se fait prendre au piège par Madame de Merteuil en lui accordant rapidement sa confiance.
B- Le chevalier Danceny, un homme pervers etapprenti libertin.
Malgré que Danceny soit la proie des deux libertins, il montre une certaine perversité au début avec Cécile en avouant son amour. Il ne respecte pas les morales religieusespourtant c’est un chevalier de Malte. Ce n’est pas comme s’il avait été entrainé par ses deux confidents, il a fait de lui-même. Ensuite il se laisse séduire par Madame de Merteuil alors que normalement soncœur appartient à Cécile.
I-L’évolution du chevalier Danceny dans les liaisons dangereuses de Laclos et le film de Frears.
B-une proie facile pour les libertins.
Le chevalier Danceny est l’«instrument» de Valmont et de Madame de Merteuil ; c’est leur victime tout comme Cécile de Volanges. Tout d’abord, Madame de Merteuil pour se venger de son ancien amant De Gercourt et futur époux deCécile met en place un stratagème afin que Cécile perde son honneur et ses vertus lors de son mariage avec celui-ci. Madame de Merteuil essaye alors de facilité les échanges entre Cécile et Danceny pour…

Cinema

La science-fiction, littérature du présent
par Jean-Marc Ligny

Début de siècle incertain et angoisse de l’avenir obligent, la littérature de science-fiction a le vent en poupe. Les collections se multiplient, tant pour les adultes que pour les jeunes, les lecteurs (re)décou¬vrent le genre par le biais du cinéma, des jeux vidéo, de la BD. Mais pour la plupart, la science-fiction c’estencore « des histoires de fusées et de petits hommes verts ». Or désormais, la SF a les pieds sur terre et les yeux braqués sur le quotidien.
Il est vrai que, si l’on se fie aux récents succès cinématographiques – Independence Day, le Cinquième Élément, Mars Attacks, la Guerre des Étoiles… – la SF semble toujours raconter les mêmes sempiternelles histoires d’extraterrestres qui envahissent la Terreou d’aventures galactiques à bord de vaisseaux gigantesques. Or, à part quelques « ovnis » qui réhabilitent le genre – Blade Runner, Brazil, l’Armée des Douze Singes, Total Recall, Strange Days… – le cinéma de SF a près d’un demi-siècle de retard sur la littérature, au point de vue scénario s’entend. Donc, malgré sa popularité, il ne peut être pris comme référent d’un genre en évolution constante,et constamment branché sur la réalité.
En effet – et ce n’est pas le moindre de ses paradoxes – la science-fiction est avant tout une littérature du réel, du présent, dont le propos, camouflé en  » voyez ce qui nous attend  » est généralement de dire  » voyez dans quel monde nous vivons « . Et la finalité de l’écrivain de SF, qui se définit volontiers comme « explorateur du futur », est de traquer lesgermes de ce futur – ou d’un futur potentiel – dans le présent, toutes les composantes du présent : scientifiques et techniques sans doute, mais aussi sociales, humaines, historiques, ethniques, morales.
L’évidence de cette affirmation transparaîtra aisément à travers un bref historique du genre.
SF, fantastique, fantasy :
trois branches de l’arbre imaginaire
Mais tout d’abord, permettez-moide lever une ambigüité que trop de lecteurs peu habitués aux littératures de l’imaginaire ont tendance à commettre : celle de confondre et mettre dans le même sac science-fiction, fantastique et ce qu’on appelle aujourd’hui la fantasy : cette dernière relève directement d’un genre littéraire très ancien qui est l’épopée, la saga, la quête initiatique. Un genre illustré en Occident par les récits dela Table Ronde ou les sagas scandinaves, ou en Orient par les contes des Mille et Une Nuits ou la Baghavad-Gita. Il existe aussi des exemples africains que sont les contes initiatiques peuls, comme Kaïdara ou Njeddo Dewal, magnifiquement retranscrits par Amadou Hampaté Bâ. Ce sont des récits dans lesquels le monde est magique par essence et les hommes sont en relation directe avec les Dieux, lesesprits et autres  » êtres intermédiaires  » (fées, lutins, démons, mages, saints, etc.) Un rejeton récent de cette littérature est le désormais bien connu Seigneur des Anneaux.
Le fantastique, tel qu’on le conçoit en Occident du moins, est tout comme la science-fiction une littérature née au XIXe siècle, par opposition à la rationalisation du monde apportée par le Siècle des Lumières et larévolution techno-industrielle. Quand Dieu (ou les dieux) sont devenus trop lointains et abstraits, quand la science a prétendu tout expliquer, on a cherché à étancher notre soif de mystère et d’inconnu en  » inventant  » la littérature fantastique. Laquelle, en général, ouvre une brèche terrifiante dans la réalité quotidienne et place le héros, seul et démuni, devant cette brèche. Le héros, que biensouvent personne ne croit ni ne veut aider, n’aspire alors qu’à vaincre ses peurs et retrouver la norme, si rassurante au fond. C’est donc avant tout une littérature de fantasmes, où l’homme est seul face à des interrogations métaphysiques suscitées généralement par la peur. Issue des Romantiques du XIXe siècle (Maupassant, Walpole, Hoffman, Edgar Poe…), la littérature fantastique a aujourd’hui son…

Art visuel

Moyen-âge : symétrie avec axe médian
= différent de ce que l’on peut voir dans la culture occidentale

Philippe de Champaigne; scène du repas chez Simon avec le nouveau testament

-anneaujaune autour de la tête du Christ
=> avec à ses pied Marie Madeleine ( veut se faire pardonner ses pêchés )

= Simon ne veut pas qu’il la pardonne ( on le voit dans sa gestuel ) mais Jésus-Christlui explique que c’est parce qu’elle a beaucoup qu’il faut lui pardonner.

-réseau de ligne verticale avec tous ces hommes debout et colonnes
= tableau statique
-ligne d’horizon ( = regard duspectateur )
avec têtes alignées des hommes
-perspectives géographiques

[ minutieux, très précis, souci du détail et souci illusionniste, textile ]

Pierre Paul Rubens; sur le tableau on repèreJudas avec sa cape rouge

=> différent de Phil. De Champaigne car moins précis mais se ressemble aussi en un point; l’ordre

-plus de dynamisme ac courbes ( verticalité = rigidité )
-ligneshorizontales moins nombreuses
-plusieurs faisceaux de lumières = désordre
= pour Juda la lumière vient d’en haut
-moins de mise en profondeur
-moins de contrastes dans les couleurs ( pas de tranchantsbleu/rose )
-quelques couleurs chaudes ( pas de mélanges chaud/froid )
= demies teintes et couleurs rompues
-pas de contours très net => flou artistique

=> on joue avec les émotions duspectateur qui croit faire parti intégrante du tableau
= faire participer le spectateur

[ différent de Phil. De Champaigne devant lequel on se pose pour regarder les détails mais on observe avec moinsd’émotions ]

Message; ce qui sont païens et protestants meurent et les catholiques sont glorieux.
( avec la contre réforme du XVIème siècle il y a une volonté de délivrer des messages à l’aide del’art; Luther, Calvin ).

= baroque: FLOU et classique: PRECIS

Le dessin est la matérialisation de la pensée.

Processus; dessin > vernis > terre d’ombre > peinture ( pour poser les…

Cours droit bts cgo

Chapitre 9
La pérennité de l’entreprise
Objectifs du cours
Ce chapitre a pour finalité :
– de présenter l’évolution des finalités du droit des entreprises en difficulté ;
– d’analyser les procédures de prévention et de traitement des difficultés des entreprises.

1. Les finalités du droit de l’entreprise en difficulté
1.1 Des origines à la loi de 1985
A. Le droit des faillites
Desorigines aux années 1980, le droit qui traite des difficultés des entreprises repose sur deux idées essentielles :
– d’une part, la loi était axée sur le règlement des dettes des commerçants malchanceux, voire malhonnêtes ;
– d’autre part, celui qui ne réglait pas ses dettes risquait la « faillite ». Le terme est connoté négativement. Il renvoie à l’univers de la délinquance. La faillite apparaîtalors comme une procédure judiciaire, collective et égalitaire. Elle regroupe tous les créanciers afin de les payer en proportion de leurs créances.

B. Le passage au droit des entreprises en difficulté
Diverses raisons économiques et sociales entraînent un changement de perception de la situation du « failli » dans les années 1970-1980. D’abord, la crise des années 1970 a touché des grandesentreprises employant de nombreux salariés : le textile, les charbonnages et les chantiers navals. Les difficultés de ces entreprises ont été provoquées notamment par un changement de régime de la concurrence se caractérisant par l’irruption de l’international dans le jeu économique des grandes puissances. Enfin, on s’est aperçu que le commerçant ou l’industriel en difficulté n’était pas nécessairementun délinquant.

C. Les lois de 1984 et 1985
Les grandes lois de 1984 et 1985 se sont donc fixé comme objectif de sauver l’entreprise, de maintenir l’activité et l’emploi et d’apurer le passif.
Pour diverses raisons, ces lois ont échoué dans leurs missions de sauvegarde des entreprises : les liquidations judiciaires ont été trop nombreuses, les créanciers ont été mal remboursés et les fraisont été trop élevés. Par ailleurs, et surtout, les créanciers n’ont pas été suffisamment incités à participer à une négociation avec leurs débiteurs.
1.2 La loi de sauvegarde des entreprises de 2005
La loi de 2005 et sa réforme de 2008 maintiennent et confortent l’objectif de sauvegarde des entreprises en difficulté. Plus particulièrement, elle poursuit trois objectifs.
A. La prévention
Laréforme de 2008 renforce sensiblement la prévention. La procédure de conciliation peut être ouverte quand l’entreprise n’est pas en cessation des paiements (ou cessation des paiements récente). Cette procédure organise un dialogue entre le créancier et ses débiteurs.
B. Le chef d’entreprise au cœur du dispositif
Le chef d’entreprise n’est plus un délinquant en puissance dont les agissements sontdangereux pour la société. Il n’est plus uniquement un débiteur impécunieux dont il faut organiser le règlement des dettes. C’est un véritable homme-orchestre qui doit gérer son entreprise en difficulté, notamment en choisissant la procédure la mieux adaptée au règlement des problèmes de son entreprise.
C. Favoriser la continuation de l’activité de l’entreprise
La loi de sauvegarde des entreprisesest dominée par une ambition économique : la continuation de l’exploitation soit au travers de solutions amiables (conciliation et mandat ad hoc), soit au travers de solutions judiciaires (plans de sauvegarde et de redressement).
2. La prévention des difficultés
Des informations obligatoires permettent aux partenaires de mieux connaître l’évolution future de l’entreprise et de prendre desdécisions pour la sauvegarder de façon plus rapide.
2.1 L’information comptable
Elle s’organise autour d’une comptabilité rétrospective et d’une comptabilité prévisionnelle.
A. La comptabilité rétrospective
Les sociétés commerciales et certaines personnes morales de droit privé non commerçantes et ayant une activité économique sont tenues d’établir une comptabilité rétrospective : bilan, compte de…