Séquence 10 : l’URSS au XXe siècle dans tous ses états : URSS, Russie et démocraties populaires

10-1- Economie et socialisme stalinien, 1929-1953/1955 : La planification

Après la Révolution d’Octobre c’est Lénine qui se retrouve au pouvoir jusqu’à sa mort en 1924. Deux personnages proches de Lénine pendant la révolution d’octobre sont Staline et Trotski. Lénine ne désigne pas desuccesseur.

[Naissance de l’URSS en 1922]

Entre 1924 et 1928 il y a une véritable querelle de succession en URSS. À l’issue de cette querelle c’est Staline qui prend le pouvoir, il devient premier secrétaire du Parti Communiste ce qui est un poste clé en URSS, il dirige le pays.
Staline se débarrasse de toutes les oppositions qu’il peut y avoir et se retrouve seul au pouvoir en 1928. Avantque Staline ne se retrouve seul au pouvoir il y a en URSS un véritable débat économique, il y a deux conceptions pour développer une économie socialiste. Tout est à inventer, il n’y a pas eu de pays socialiste avant l’URSS. Deux écoles sont les généticiens et les téléologues.
C’est une période de transition, d’affrontements d’idées. Les généticiens sont pour l’économie de marché, pourl’agriculture et pour que les transformations se fassent lentement ; alors que les téléologues sont pour la planification, pour l’industrie et pour des changements rapides.

Il y a une approche un peu plus complexe, de théoriciens économiques, avec par exemple un ouvrage de Préobrajenski, La Nouvelle Economique. Selon lui la planification doit être entre les mains du pouvoir politique pour transformerl’économie et la société. C’est de lui qu’on s’inspire.
Il y a deux éléments qui séduisent Staline. La thèse de l’accumulation socialiste primitive part de l’idée que pour développer l’économie il faudrait des capitaux. Or l’URSS ne peut pas faire appel aux capitaux extérieurs. L’industrie doit donc trouver des capitaux, et le seul secteur capable de fournir quelques capitaux à l’industrie estl’agriculture. On va puiser dans l’agriculture pour développer l’industrie. Les plans vont permettre le transfert entre les deux secteurs, ce qui est une approche téléologue de la planification. Ils façonnent l’économie soviétique sur presque tout le XXe siècle. Personne n’a été capable après la mort de Staline de corriger ce qui a été fait à ce moment-là.

En 1928 le pays organise le début de laplanification avec le lancement du premier plan quinquennal. On peut aussi considérer le début de la planification en 1929 avec le premier grand tournant qui est la liquidation, décidée par Staline, des koulaks en tant que classe sociale, minorité de paysans riches d’URSS, ce qui équivaut à la liquidation d’environ 3 millions de personnes. Elle se double d’une liquidation définitive de ce qu’onappelait la NEP, nouvelle politique économique, lancée par Lénine pour redresser l’économie du pays après la Révolution.

1- Les fondements de l’économie stalinienne

1-1- Les origines du grand tournant

Analyse des problématiques que l’on peut faire :
C’est une période de grand débat économique pour construire le pays. Les débats économiques sont un prétexte, l’enjeu véritable est lepouvoir politique. Aujourd’hui, il y a toute une série de recherches sur l’URSS qui mènent une réflexion sur les liens entre pouvoir politique et projet économique et social. Une des problématiques est Staline a-t-il voulu le pouvoir pour lui-même ou alors parce que le pouvoir était le seul moyen de mettre en place un nouveau projet économique et social ? Ou Est-ce que le stalinisme est l’héritierou la perversion du marxisme ?

Avant que Staline n’arrive au pouvoir, il n’y a aucune expérience historique du socialisme, aucun exemple de passage du capitalisme au socialisme. Quand on lit Marx il n’y a pas d’explication véritable sur les moyens pour passer de l’un à l’autre. C’est un problème qui s’est posé pour les révolutionnaires, ils n’ont véritablement emprunté à Marx que quelques…

ACADEMIE DE ………..
BREVET DE TECHNICIEN SUPERIEUR DE
NEGOCIATION & RELATION CLIENT

EPREUVE E6
CONDUITE ET PRESENTATION
DE PROJETS COMMERCIAUX

// votre entreprise //

// logo de votre entreprise //

// problématique de votre projet //

DOSSIER SUPPORT

// VOTRE NOM //
Juin 2010

PARTIE I – LE CONTEXTE MANAGERIAL ET COMMERCIAL DE MES PROJETS

Contenu de cettepremière partie

FICHE A Fiche d’Identité de //ENTREPRISE//
FICHE B Offre Produits
FICHE C Implantation Géographique et Aire d’Attaction
FICHE D Clientèle et Portefeuille Clients
FICHE E Concurrents Directs & Indirects
FICHE F Evolution de l’entreprise et Caractéristiques de son Développement
FICHE G Ma place dans l’Equipe Commerciale
FICHE H Le Système d’Information Commerciale

FICHE AFiche d’identité de //ENTREPRISE//
SOURCES PRINCIPALES
DES INFORMATIONS
COLLECTEES – Informations sur http://www.societe.com

– Documents internes (…)
–

• Dénomination commerciale :

• Statut juridique : Société anonyme

• Capital : 27 000 €

• Date de création : 1993

• Responsable : M. LEGRAND-BRAQUE, gérant

• Implantation du siège : 12, chemin des Verlans à 68266LONGEVERNES

• Situation financière à la date du (…) : Commentez !!!!

Annexes [A1] Calculs sur la Situation Financière
[A2]
[A3]

FICHE B Offre Produits
SOURCES PRINCIPALES
DES INFORMATIONS
COLLECTEES

Allez chercher l’information sur le site web de votre entreprise, à partir des catalogues
Présentez les gammes de produits, et commentez-les (les 20/80, les nouveautés,…)Annexes [B1] Statistiques des ventes
[B2]
[B3]

FICHE C Implantation Géographique et Aire d’Attaction
SOURCES PRINCIPALES
DES INFORMATIONS
COLLECTEES – Plan de http://www.mappy.fr
ou avec gmail
– Logiciel google maps

? Présentez la carte de la ville d’implantation :
en quoi est-elle ou non attractive…;

? Présentez le plan de la surface de vente, le cas échéant;

? Disposez-vousd’entrepôts, réserves, etc. et où ?

FICHE D Clientèle et Portefeuille Clients
SOURCES PRINCIPALES
DES INFORMATIONS
COLLECTEES – Plan de http://www.mappy.fr

– Logiciel QUICK BUSINESS PRO 3.7
–

Quel est votre coeur de cible (effectif, catégories, etc…), affinez au niveau du comportement d’achat (motivations, freins), y-a-il des cibles potentielles insuffisamment travaillées,quels sont les méthodes de ventes les plus utilisées ?

Quelle est la V.E.C ? Pouvez-vous approximer celle-ci ? Présentez vos calculs dans une annexe…

FICHE E Concurrents Directs & Indirects
SOURCES PRINCIPALES
DES INFORMATIONS
COLLECTEES

Concurrence directe : les plus importants ; indirecte : les solutions de substitution présentes sur le marché et répondant au même type de besoin ?Fiche d’identité des principaux concurrents…

? Concurrence directe, indirecte ou encore les solutions de substitution présentes sur le marché et répondant au même type de besoin ? Fiche d’identité des principaux concurrents…

Une fois sur trois, il n’est pas possible de trouver une information financière intéressante, récente et exploitable concernant ton entreprise, sur internet. Tontuteur peut parfois t’aider à avoir des données économiques sur ton entreprise.
Toutefois, dans la majorité des cas, si tu disposes du nom du Gérant, du numéro de SIRET ou de l’implantation officielle de l’entreprise, les liens ci-dessous te permettront d’obtenir les principaux chiffres économiques et ratios.

– http://www.societe.com – pour tous types d’entreprises;
-http://fr.transnationale.org – si tu travailles dans une multinationale;
– http://www.score3.fr – pour connaître la santé financière de ton entreprise;
– http://www.sirene.tm.fr – pour tous types d’entreprises;
– http://www.cofacerating.fr – pour tous types d’entreprises;
– http://www.inforisk.fr – pour tous types d’entreprises;
– http://www.ort.fr – pour tous types d’entreprises;
– http://www.infogreffe.fr -…

B/ Analyse de la relation entre Football et Télévision
1/ L’histoire de cette relation

En Angleterre, en fin de saison 1937-1938, le 30 Avril, la BBC diffuse pour la première fois et enintégralité la FA Cup ou Coupe d’Angleterre. Le nombre de téléspectateurs est alors estimé à 10 000 contre 93 497 au Stade de Wembley. Près de 70 ans plus tard, en 2006, lors de la finale de la Coupe duMonde qui opposait la France à L’Italie, ce chiffre est alors estimé à 22 millions de téléspectateurs, soit 2200 fois plus qu’en 1938. D’où vient donc cette idée de retransmission télévisée dufootball ? Comment ce phénomène a t-il pu se populariser jusqu’à en devenir le deuxième événement sportif le plus télédiffusé au monde ? Comment la Télévision a t-elle procédé pour attirer le plus detéléspectateurs ? Nous verrons que tout est à l’origine d’un Français, Ernest Chamond, et que le « Football Spectacle » s’est véritablement développé à partir des années 1950 grâce à l’évolution desméthodes de filmage.

http://819lignes.free.fr/PHOTOS/PubTVMarconi.jpg

a) Les débuts

C’est donc en 1927 que le français Ernest Chamond, Patron de la Compagnie des Compteurs à Montrougeet passioné de football, assiste à un match à Londres, et réalise que le Football sera à terme le plus grand spectacle télédiffusé. En cette année 1927, il recontre le Britannique John Logie Braid, quifut un des premiers à expérimenter ses premiers téléviseurs. Ernest Chamond, qui jouera un rôle décisif dans le développement de la Télévision à partir des années 30, va également contribuer, avecBraid et le physicien et ingénieur russe Vladimir Zworykin, à la véritable invention de la Télévision en 1932.

Les premières retransmissions sportives expérimentales ont alors lieu en Allemagne, àl’occasion des Jeux Olymipiques d’Eté de 1936. Malgré les nombreuses pannes de caméras, le match de Football Allemagne – Italie est tout de même retransmis en direct. Les matchs de football ne…

La distanciation face au récit autobiographique dans L’immoraliste d’André Gide

Résumé de L’immoraliste :

L’immoraliste (écrit en 1902, Gide avait 33 ans) est la confession que fait Michel, le personnage principal, à ses amis, une nuit, devant le désert de Biskra. Michel est un pur produit d’une éducation puritaine et a fait d’austères études avant de devenir historien spécialisé dansl’Antiquité, les vieilles pierres. Il épouse Marceline (qu’il aura du mal à désirer) ; lors de leur voyage de noces en Tunisie il échappe de peu à la mort à cause d’une maladie dont il relèvera après de grandes souffrances et un affaiblissement considérable. C’est ensuite, de par ce retour à la vie et au contact d’enfants tunisiens, qu’il prendra conscience de ses priorités, de sa « soif de vivre »,et qu’il construira son « nouvel être ». Cette transformation radicale passera par une volonté de sentir son corps exister, par un désintérêt pour son métier, pour les vieilles pierres mortes auxquelles il préfère la chaleur du présent ; il devra aussi se débarrasser des conformismes, de ses contraintes puritaines : il cultive son bonheur à travers le culte du corps. Rentré en France avec la fragileet attentionnée Marceline, il passe l’été à La Morinière (propriété familiale en Normandie) avant de s’installer à Paris. Il y reprend son ancienne vie mais abhorre les gens qui l’entourent : il se sent différent. Il se rapproche en revanche de Ménalque, un individu délibérément sans attaches, qui veut vivre au fil de ses envies. Pendant un moment Michel croit que Marceline va lui donner unenfant, mais cela sera impossible, ce qui le plonge dans une quête effrénée de lui-même, de l’être qu’il a toujours souhaité devenir. Marceline tombe malade à son tour. Tout le reste du récit sera constitué par l’ambivalence de Michel qui d’un côté veut ne penser qu’à s’épanouir en tout égoïsme, et d’un autre s’occuper de Marceline (mais on a le sentiment qu’il souhaite presque sa mort). Tous deuxretournent à La Morinière ; Michel, contrairement à l’année précédente, s’intéresse moins à la gestion de ses terres qu’à certains ouvriers qui la travaillent, des voyous, des alcooliques, des braconniers ; des hors-la-loi. Il entraîne enfin Marceline dans une fuite en avant, ils logent 2 mois dans les Alpes où Marceline retrouvera un peu sa santé. Vers Mars, ils descendent en Italie : Marcelineretombe malade. Ils partent de nouveau jusqu’en Tunisie, prenant toujours les mauvaises décisions par rapport à la santé de son épouse, Marceline finira par mourir à Touggourt (proche de Biskra) tandis que Michel, délaissant sa femme, goûtait la vie la plus libre dans les nuits tunisiennes. Il restera finalement en Tunisie à Biskra, où il raconte sa « libération » à des amis : l’ouvrage que l’on vient delire.

BIOGRAPHIE DE GIDE :

André Gide et Paul Laurens (peintre) partent en octobre 1893 pour un voyage de neuf mois, en Tunisie, en Algérie et en Italie. Dès le départ, Gide est malade et son état empire à mesure que les deux jeunes gens descendent vers le sud de la Tunisie. C’est pourtant dans ce contexte, à Sousse, qu’il découvre le plaisir avec un jeune garçon, Ali. Laurens et Gides’installent ensuite à Biskra en Algérie, où se poursuit leur initiation, dans les bras de la jeune Mériem. L’intrusion soudaine de Juliette Gide (sa mère), inquiète pour la santé de son fils, vient rompre leur intimité, avant que le voyage ne reprenne sans elle, en avril 1894. À Syracuse, brièvement aperçue, succède la découverte de Rome – que Gide, toujours maladif, apprécie peu – et de Florence.Alors que Paul Laurens rentre en France, Gide poursuit vers la Suisse pour y consulter le docteur Andreae. Celui-ci diagnostique une maladie essentiellement nerveuse et lui redonne foi en sa santé. Après un passage par La Roque-Baignard, il retourne en Suisse et s’installe à La Brévine.
Les fiançailles avec sa cousine Madeleine ont lieu en juin 1895 en Algérie, le mariage, qui ne sera jamais…

Débat au cinéma Olbia sur Into the wild
Le jeudi 21 octobre 2010

On a essayé de partir de la parole de Supertramp. Trois thèmes lui semblent importants :
– nommer les choses par leur nom, bien nommer les choses, les nommer dans leur vérité
– la vérité comme valeur, recherche, supérieure à toute autre, en quoi il est sur le terrain de la philosophie, de la métaphysique quispécule sur le Tout de la Réalité
– la nature de l’homme, être de besoins devenus artificiels
À cela on peut ajouter pendant son installation dans le bus magique, un jeu avec le père jusqu’à ce propos « et si je souriais, si je me jetais dans vos bras, verriez-vous ce que je vois maintenant ? »
Dans son chemin (il emploie le mot, « ce qui compte c’est le chemin » dit-il), qu’a-t-il cherché ?qu’a-t-il trouvé ?
Il me semble que la discussion avec Ron en haut de la montagne, un peu son discours sur la montagne comme Jésus, est édifiante : c’est lui qui éduque Ron, qui le fait réfléchir sur le mystère qui nous environne, qui nous est inconcevable, irreprésentable, que Ron appelle Dieu, lumière divine ce qui fait réagir Christopher : « nom de dieu ».
Quelles attitudes par rapport à cemystère, sentir que quelque chose nous dépasse, dépasse notre raison « une vie gouvernée par la raison ne serait pas une vie » dit-il dans les gorges du Colorado,
– la science le rejette : elle est raison instrumentale, objectivant la nature dont elle veut être maître et possesseur (projet de Descartes qui nous a éloignés de la nature) ;
– la religion reconnaît ce mystère mais lerationalise en le nommant : Dieu, et en proposant à l’homme une conduite par rapport à Dieu (notons au passage que si nous nommons ce mystère : Dieu, nous ne concernons que les croyants, nous excluons les non-croyants, l’expérience de Dieu par les croyants ne relevant pas de la raison mais de la foi)
– d’où question : quelle mystique pourrait être universelle ? la seule expérience commune àtous les hommes n’est-elle pas celle de la nature, pas équivalente à la Nature ? donc une mystique de la nature, de la Nature, une mystique naturaliste. Les livres lus par Christopher sont des livres relevant d’une telle mystique : Tolstoï, London, Thoreau (Walden, éd. Les mots et le reste, août 2010). Je rajouterai : Marcel Conche (Présence de la Nature, PUF)

Par rapport à ce mystère, quellepeut être la place de l’homme, une attitude juste ?
La critique de l’homme comme être de besoins artificiels devient nécessaire ainsi que la rupture avec les modèles de comportement majoritaires (consommation, consumérisme, conformisme, carriérisme…) mais aussi minoritaires (le couple de hippies, Ron…). Il y a un radicalisme de Christopher en recherche de la juste place de l’homme dans la nature,seul.
La phrase finale : le bonheur n’est réel que partagé, fait question, semblant contredire tout le chemin pour se retrouver, alone, into the wild. On a pu croire qu’il voulait revenir vers les siens, il avait promis à Ron de le revoir à son retour d’Alaska ; il n’était pas parti pour ne pas revenir. Pendant son séjour d’ermite dans le bus avec des occupations quotidiennes nécessaires (êtreau plus proche des vrais besoins de l’homme), il consacre du temps à la lecture et à l’écriture : il écrit pour témoigner, pour les autres. Il m’a semblé que son récit allait moins profond que celui de sa sœur Carine. Le bonheur partagé c’est le bonheur d’être en harmonie avec ce qui vit, ce qui existe et qui l’entoure dans ce coin sauvage de nature en Alaska. Il a refusé toutes les autres formesde bonheur et s’il revient ce sera pour partager avec les autres cette découverte qu’il possède déjà quand il parle à Ron, lui disant que le bonheur n’est pas dans les rapports humains mais dans un changement de point de vue qui fait voir autrement ce qu’on ne voit plus.

Être seul, vivre seul a posé problème. À quoi, j’ai montré plusieurs choses :
– nous sommes fondamentalement…

DM

ÉTUDE DE LA FONCTION TANGENTE
Le but de ce devoir est d’étudier la fonction tangente et d’en établir quelques propriétés.

TS

1. Résoudre, sur ]-p ; p], l’équation :

cos x = 0

En déduire toutes les solutions, sur ?, de cette équation. 2. On considère la fonction tangente, notée tan, et définie par : sin x p pour x Î D où D = ? { + kp, k Î ?} cos x 2 r r On note C sa courbereprésentative dans un repère orthogonal (O, i , j ) tan x = a. Étudier la parité de cette fonction. b. Démontrer que la fonction tangente est p-périodique. c. Expliquer pourquoi on peut se contenter d’étudier la fonction tangente sur l’intervalle I = [0 ; 3. Étudier les limites de la fonction tangente en 0+ et en p. 2 p [. 2

En déduire que la courbe C admet une asymptote D dont on précisera lanature et l’équation. 4. Compléter le tableau suivant :
x tan x (On donnera les valeurs exactes) 0
p 6 p 4 p 3

5. Montrer que, pour tout x Î I : tan’ x = 1 = 1 + tan2 x cos2 x

En déduire le tableau de variations de la fonction tangente sur l’intervalle I. 6. a. Déterminer une équation de la tangente T à la courbe C au point d’abscisse 0. b. Démontrer que pour tout x Î I, on a : tan x ? x(On pourra étudier les variations de la fonction g définie sur I par g(x) = tan x – x)

c. En déduire, la position relative de la courbe C par rapport à sa tangente T. 7. Tracer, très soigneusement, les droites D et T puis la courbe C. (On se placera entre les bornes -2p et 2p) 8. On rappelle que pour tous réels a et b, on a les formules d’additions suivantes : cos(a + b) = cos a cos b – sin a sinb sin(a + b) = sin a cos b + cos a sin b En déduire une formule liant tan(a + b) à tan a et tan b. (Pour des réels a et b tels que a Î D, b Î D et a + b Î D) 9. Démontrer que pour tout a Î ]0 ; p [, on a : 2 tan a = En déduire la valeur exacte de tan p p et de tan . 8 12

1 – cos(2a) sin(2a)

TS DM : fonction tangente

DM 1. On a : D’où :

ÉTUDE DE LA FONCTION TANGENTE : CORRIGÉ S]-p; p]= {S? = {p p ; } 2 2

TS

p p + 2kp où k Î ?} È { + 2kp où k Î ?} 2 2 p Ce que l’on peut encore écrire : S? = { + kp où k Î ?} 2 2. a. D est un ensemble symétrique par rapport à 0 et pour tout x Î D, on a : sin( – x ) sin x tan(–x) = =– = -tan x cos(- x ) cos x Ce qui prouve que la fonction tangente est impaire sur D. b. Pour tout x Î D, on a x + p Î D et : sin( x + p) sin x = = tan x cos( x+ p) cos x La fonction tangente est donc p–périodique. tan(x + p) = c. Comme la fonction tangente est p–périodique, on peut se contenter de l’étudier sur une période, par exemple ]p p ; [. Comme elle est, de plus, impaire, on peut encore couper l’intervalle d’étude en deux 2 2 p p [. L’étude sur ]- ; 0] s’en déduira par symétrie par rapport à l’origine du 2 2 lim sin x = 0 et lim + cos x = 1
x® 0x® 0 +

et ne l’étudier que sur [0 ; repère. 3. On sait que : Donc, par quotient : On sait que : Donc, par quotient :

x® 0 +

lim tan x = 0 lim – cos x = 0 avec cos x > 0
x® p 2 p 2

lim – sin x = 1 et
x® p 2

lim – tan x = +¥
x®

La courbe C admet donc une asymptote verticale D d’équation x = 4. D’après les valeurs remarquables du sinus et du cosinus, on a :
x tan x 0 0
p 6 3 3p 4

p . 2
p 3 3

1

5. La fonction tan est de la forme

u où u = sin et v = cos. v u’ v – uv ‘ Sa dérivée tan’ sera donc égale à , ce qui donne pour x Î I : v2 cos x cos x – sin x ( – sin x ) tan'(x) = cos2 x 2 2 Et comme cos x + sin x = 1, il vient : 1 tan'(x) = cos2 x Par ailleurs : D’où : 1 + tan2 x = 1 + 1 sin 2 x cos 2 x + sin 2 x = = 2 2 cos2 x cos x cos x tan'(x) = 1 + tan2 xTS DM : fonction tangente

Page 2

1 est strictement positif pour tout réel x de I, on en déduit que la fonction cos2 x tangente est strictement croissante sur I : Sens de variation : puisque x 0 signe de tan’ variations de tan 0 6. a. Une équation de la tangente à une courbe représentant une fonction ¦ dérivable en x0 est donnée par : y = ¦(x0) + ¦'(x0)(x – x0) Avec x0 = 0, cela donne : y…

L’Artigianato ha sempre coniugato progresso e sviluppo, testimoniando l’evoluzione e la creatività dell’uomo.
La storia dell’artigianato è prova inconfutabile della crescente abilità dell’individuoad agire nell’ambiente, nonché testimonianza del modo in cui la società stessa si è andata evolvendo.
Le caratteristiche dell’artigianato si fondono con il patrimonio delle tradizioni e della culturaitaliana. La stessa Costituzione Italiana recita all’art. 45: « La Legge provvede alla tutela e allo sviluppo dell’artigianato ».
Ogni prodotto dell’artigianato è rivelatore anche di un sistema direlazioni, tra azione economica ed utilità sociale, nella
persistente fusione tra l’artigianato e le sue città, in un continuo scambio di esperienze culturali, sociali ed economiche.
Il valore dellaresponsabilità individuale, propria dell’artigianato, produce democrazia economica e legalità, grazie anche alla sua grande diffusione ed integrazione sociale.
L’incidenza dell’artigianatonell’economia italiana è di circa il 33% relativamente al numero delle imprese e circa al 21% per quanto riguarda gli addetti, concorre inoltre alla formazione del Prodotto interno lordo per circa il 15%.
LaCNA, Confederazione Nazionale dell’Artigianato e della Piccola e Media Impresa costituisce il sistema nazionale ed unitario di rappresentanza generale dell’impresa italiana, con particolare riferimentoall’Artigianato, alle Piccole e Medie imprese, alle Piccole e Medie Industrie, a CNA Pensionati ed ai relativi Raggruppamenti d’interesse: imprenditrici, giovani imprenditori e a tutte le forme dellavoro autonomo.
Opera per l’affermazione nella società, nelle istituzioni, nella politica e nello stesso universo delle imprese, dei valori che attengono all’impresa, al lavoro, all’economia dimercato. Tale affermazione si realizza sia nella costante ricerca della piena sintonia tra interessi delle imprese ed interessi strategici vitali dell’intero Paese, sia nella partecipazione attiva allo…

« Les Ponts », du recueil des Illuminations, est précédé de « Ouvriers » et suivi de « Ville ». C’est un poème qui tire sa modernité d’une réalité connue du lecteur contemporain, la ville. Déjà Baudelaire avait fait entrer en poésie les grandes cités de cette ère nouvelle industrielle et on les retrouve dans les « Tableaux parisiens » des Fleurs du mal. Il s’y était montré plus rêveur que peintre etdessinateur. Rimbaud va quant à lui nous brosser de véritables tableaux, échafauder des architectures concrètes, relevant avant l’heure d’un impressionnisme ou d’un cubisme. Les Ponts de Rimbaud sont une réussite du poète peintre ou architecte. Le titre est déjà révélateur, formé d’un substantif et d’un article défini. L’article les permet au poète de feindre de se référer à une réalité pour engloberavec le pluriel la généralisation d’une nouvelle réalité. Dans le poème Rimbaud nous révèle toute l’étendue de sa palette, des phrases nominales, courtes, des petites touches qui se succèdent en rompant brutalement avec ce qui précède. Cette technique invite le lecteur à prendre du recul par rapport à ce qui est dit et obtenir par suggestion, une interprétation. Dès le début on a une visiond’ensemble, la grisaille d’un paysage urbain avec des reflets lumineux comme dans un kaléidoscope. Le pluriel repris devant ciel renvoie à la multitude, à la peinture impressionniste qui s’attache à rendre les effets chatoyants et changeants dans une sorte de métamorphose féerique. Étymologiquement Le pont est un ouvrage, un lien qui relie deux réalités séparées mais qui symbolise également peut-êtreun entre-deux entre une vision ordonnée et une vision chaotique de la réalité, ou peut être un entre-deux entre le réel et l’abstrait, ou, en d’autres termes, entre l’immanence et la transcendance.
1-Un tableau impressionnisme et symbolisme
Le regard du peintre
Dans « Les Ponts » Rimbaud use de termes relevant du registre pictural donnant au lecteur l’impression qu’il assiste à la description d’untableau, un bizarre dessin de ponts, composé d’un enchevêtrement de figures géométriques faites de croisements de lignes courbes, de droites obliques. Mais cette apparente multiplication de formes qui confine au vertige se révèle être un artifice. Ici les verticales, les horizontales, les diagonales, les courbes se mêlent construisant une réalité qui combinent les points de vue ou les angles devision comme le feront plus tard les cubistes. En haut du tableau, des ciels gris de cristal et en bas, un paysage plus écrasé, aplati, l’eau grise et bleue, large comme un bras de mer. Les figures intercalées prennent alors une allure fantastique comme dans un tableau surréaliste. Se succèdent différents plans, un premier plan de ponts droits, un second de ponts courbes, ou rendus courbes par deseffets de perspective. Les canaux suggèrent des lignes de fuite confirmant la perspective et donnant l’impression d’un regard porté depuis une position haute, créant ainsi dans le tableau des effets de profondeur. A la façon du cubisme, le regard du peintre prend la forme d’un rayon lumineux qui explorent les différentes facettes du cristal. La seule forme qui ne subit aucune diffraction, c’est laveste rouge, qui rappelle le garçon au gilet rouge de Cézanne, un jeune italien au costume folklorique (1890), point de départ d’une phrase interrogative qui nous rappelle qu’à l’oeil du peintre se superpose celui du poète.
l’œil du poète
Le lecteur suit la description dans une sorte de confusion, un vertige de sens. Tout dérive ou s’échappe pour laisser le lecteur dans une interprétationincertaine. Le poète dirige le regard dans le tableau, mais à peine a-t-il découvert le cadre que Rimbaud multiplie les époques, les modes vestimentaires, les sonorités comme pour perdre son lecteur. De quelle ville s’agit-il, Londres ? Paris ? Venise ? est-ce une ville médiévale avec les masures sur les ponts, ou une ville italienne ? On assiste à une parade, on y joue de la musique mais quelle…

1.1 Présentation
L’Aide Familiale Populaire a été crée le 31 mars 1961. L’association de L’AFP est une association à but non lucratif, dirigée par un conseild’administration.
L’Aide familiale fait partie intégrante de la Confédération Syndicale des Familles .Les Associations d’Aide Familiale Populaire se sont constituées en fédération nationale le9 novembre 1958.

1.1.2 Statut

Le but de chaque service est de mettre à la disposition des familles le personnel qualifié capable de répondre à leurs besoins par lagestion de services de Techniciennes d’Interventions Sociales et Familiales et d’Assistantes de Vie Sociale, et d’aboutir à une prise en charge collective du droit à la santé pourtous.

1.1.3 L’évolution historique de l’institution

L’aide à domicile s’est développée après la 1ère guerre mondiale.

En 1920, Madame Henriette Viollet créel’association «l’aide aux mères », c’est d’abord un groupe d’amies jeunes femmes et jeunes filles qui acceptent de donner une partie de leur temps aux mères accablées par les difficultésde la vie.

L’association de l’AFP a été crée en 1961 avec la mise en place du service des aides familiales, appelés par la suite travailleuse familiale puis aujourd’huitechnicienne d’interventions sociale et familiale.

1961 : création de l’AFP

1985 : Création du service d’Auxiliaire de Vie Sociale auprès des familles

1998 : Créationdu service Emplois Familiaux

2003 : Création du service d’Auxiliaire de Vie Sociale auprès de personne Agées dans le cadre de l’Allocation Personnalisée

2005 : Création duservice d’Auxiliaire de Vie Sociale auprès de Personnes Handicapées

2007 : Création du service Aide aux déplacements

2008 : Création du service Garde d’enfants

DUT techniques de commercialisation (*)
(*) Ce DUT est accessible en alternance.

Nombre d’établissements :
Statut scolaire : 79
Apprentissage : 40
Année spéciale (après un bac + 2) : 20
Taux de réussite : 70,5%

Pour connaître les établissements qui proposent ce DUT, consultez notre annuaire des formations.

|Origine des admis |

ES : 44% ; STG : 34% ; S :14%

|Formation |

Volume horaire 1ère année :
Découverte de l’environnement professionnel (environnement économique et juridique, gestion commerciale de l’entreprise) : 170 H ;
Outils de l’analyse mercatique (analyse des marchés, techniques de gestion) : 150 H ;
Outils du développement personnel et professionnel (outils méthodologiques, outils de larelation interpersonnelle) : 190 H ;
Outils de la relation commerciale (langage et communication, vente et distribution) : 210 H

Volume horaire 2ème année :
Cœur de compétences commerciales (techniques commerciales, outils de la relation client, techniques commerciales avancées) : 385 H ;
Insertion professionnelle DUT (développement aptitudes personnelles, compétences opérationnelles, maîtrise del’environnement professionnel) : 255 H

Projets Tutorés : 300 H en 2 ans
Stage : 10 semaines minimum.

|Débouchés |

Ce DUT permet de former les étudiants en vue d’occuper les postes de commerciaux polyvalents, autonomes et évolutifs capables de vendre, d’acheter, de distribuer des produits et de gérer des stocks.
Ils peuvent exercer dans la distribution,l’industrie, les transports, la banque ou les assurances.

DUT GEA – DUT gestion des entreprises et des administrations (*)
(*) Ce DUT est accessible en alternance.

|Options |

A : finances-comptabilité
B : petites et moyennes organisations
C : ressources humaines

Nombre d’établissements :
Statut scolaire :
A : 73
B : 70
C : 48
Apprentissage :A : 17
B : 13
C : 11
Année spéciale (après un bac + 2) :
A : 15
B : 12
C : 14
Taux de réussite : 67,7%

Pour connaître les établissements qui proposent ce DUT, consultez notre annuaire des formations.

|Origine des admis |

DUT gestion des entreprises et des administrations : ES : 51% ; STG : 25% ; S : 20%
A : ES : 52% ; S : 25% ; STG : 18%
B : ES : 48% ;S : 16% ; STG : 16% ; Bac pro : 8%
C : ES : 49% ; STG : 23% ; S : 14% ; L : 9% ; Bac pro : 4%

|Formation |

Volume horaire 1ère année : tronc commun
Communiquer et se situer dans les organisations (maîtriser les outils de la communication interne et externe, s’exprimer en langues étrangères, bâtir un projet) : 240 H ;
Comprendre et gérer les organisations(appréhender l’environnement économique et juridique des organisations, appréhender l’entreprise et son organisation, appréhender la gestion des ressources humaines) : 279 H ;
Maîtriser et utiliser les outils de gestion (maîtriser les techniques comptables et fiscales, mesurer et analyser les performances financières, formaliser et piloter les activités) : 291 H

Volume horaire 2ème année :A : Finance-comptabilité

Communiquer et se situer dans les organisations (maîtriser la communication externe et interne, s’exprimer en langues étrangères, bâtir un projet) : 114 H ;
Comprendre et gérer les organisations (appréhender l’environnement économique et juridique des organisations, appréhender l’entreprise et son organisation, appréhender la gestion des ressources humaines) : 144 H ;Maîtriser et utiliser les outils de gestion (maîtriser les techniques comptables et fiscales, mesurer et analyser les performances financières, formaliser et piloter les activités) : 258 H

Projets tutorés : 300 H en deux ans
Stage : 10 semaines minimum.

B : Petites et moyennes organisations

Communiquer et se situer dans les organisations (maîtriser la communication externe et interne,…