Module 5

DEMARCHES DE SOINS(RECUEIL D’INFORMATIONS REALISE EN STAGE)

1. Présentation de la personne
Mr C .âgé de 51 ans, divorcé, père de 5enfants de 14 à 27ans ; 4garçons et 1 fille .De nationalitéfrançaise, il habite une maison.
Il est chef de service police municipale sur Lyon.

2. Date et motif d’entrée
Il a été hospitalisé dans le service de neurologie le 29/01/2011, pourpolyradiculonévrite (maladie aigue Guilin Barré neuropathie « terme générique désignant une affection du système nerveux central ou périphérique »périphérique avec atteinte inflammatoire et démyélinisationsouvent symétrique et extensive, de plusieurs racines nerveuses rachidiennes et des nerfs périphériques correspondants).

3. Mode de prise en charge
80% par la sécurité sociale ,20% par lamutuelle générale de la police ,les frais de confort sont pris en charge par son assurance vie (AGPN).

4. Présentation physique et psychologique de la personne
Il pèse 80 kg et mesure 1m72.
Ilporte des lunettes de repos ; pour lire, écrire et regarder la télévision.
Il entend bien, parle facilement avec les membres de l’équipe, il est souriant, a beaucoup de visite de ses amis et sa fille de24 ans vient lui rendre visite quotidiennement.
Ses loisirs sont la lecture (romans, poèmes etc.….) et l’écriture ; il a publié quelques romans et quelques nouvelles…….
Il aime les animaux, ilpossède un chien et un chat.
Il se pose des questions sur son devenir professionnel.
Il se déplace avec un déambulateur faiblesse aux membres inférieurs

5. Habitudes de vie
Il a arrêté de fumerdepuis un an.
Il mange de tout, aime bien les pâtisseries.
Au petit déjeuner il prend un bol de café noir, biscottes, beurre et confiture.
Il ne dort pas beaucoup depuis qu’il est hospitalisé il dit« quand vient le soir je gamberge beaucoup »
Ses loisirs sont la lecture (romans, poèmes etc.….) et l’écriture ; il a publié quelques romans et quelques nouvelles…….
Il aime les animaux, il…

Rapport quicaillerie blum

Sommaire

I – Un point d’histoire. Page 3

II – Blum Quincaillerie. Page 4

A – Blum une histoire : Page 4

B – Un petit voyage dans l’innovation : Page 4

C– Les fondations de Blum : Page 5

a) Les affaires Blum Page 6

b) Les ateliers & les bureaux. Page 7

c) Les charnières. Page 9

d) Les coulissantsPage 10

e) Les relevants Page 11

III – Le SERVO-DRIVE Page 12

I – Un point d’histoire.
Jadis dans la cuisine de nos grand-mères, la quincaillerie était de simple augure. Les charnières évidemment pour l’ouverture des portes, mais aussi des cou-lisses pour lestiroirs, avec une pointe décorative des poignets très design dans le temps. Quelques ébénistes et/ou menuisiers proposent un petit rangement personnalisé des couverts. Dans une cuisine installée entre quatre murs, à l’abri des regards, la ménagère de la maison y accède, pour préparer les soupés du midi et du soir, pour son mari et ses enfants. Sans oublier pour le plaisir de ses dames, une légèrepointe de design avec quelques moulures sur les portes et tiroirs de façade en bois massif qui déplaisent aujourd’hui mais, qui est à la pointe de la mode dans l’enfance de nos parents. Dans le temps, la première évolution de la cuisine ne concerne pas la quincaillerie, mais le design des meubles. L’agglomérer fait son apparition, et dispose de meilleurs arguments que le bois. Proposant plusieursformes, plusieurs finitions, et surtout dans les années 70, de couleurs flash, et d’un effet plastique. Aujourd’hui, après une enquête récente, la cuisine est la pièce la plus importante de la maison : plus de 52% des personnes interrogées y mangent, 35% y discutent en famille, 19% y reçoivent leurs invités, 14% y regardent la télévision. Ainsi, les éléments qui composent la cuisine deviennent deplus en plus sophistiqués (réfrigérateur avec écran plat de télévision intégré dans la porte). Et si 4 français sur 5 mangent chez eux le midi, c’est dire l’importance de la table, du besoin de se retrouver et le succès des grandes pièces conviviales. La cuisine ne forme désormais qu’un seul et même ensemble avec la salle à manger, dessinant un nouvel espace à vivre. Une pièce dans laquelle on sesent bien parce qu’elle apporte un supplément d’âme, raconte une histoire. Mais l’évolution de cet espace n’a pas touché que les meubles mais aussi l’homme, car aujourd’hui la cuisine n’est plus un domaine réservé à la ménagère de la maison, les hommes y participent aussi. Les fabricants en quincaillerie l’ont bien compri, et vont développer l’utilisation et la facilité des éléments de la cuisine àl’homme.
II – Blum Quincaillerie.
A – Blum une histoire :
Plus de 50 ans d’expérience en mouvement. Le nom Blum est synonyme d’innovation, de collaborateurs engagés et de produits de qualité exception-nelle. Le 1er mars 1952, Julius Blum crée sa société et fabrique ses premiers articles.

B – Un petit voyage dans l’innovation :
En 1952, Le premier objet crée par Julius Blum son descrampons, un dis-positif anti-patinage pour fer à cheval.
En 1958, Julius Blum fabrique la première ferrure de meuble, la charnière ANUBA, pour portes, fenêtres et meubles.
Dans les années 60, Blum sort de son atelier plusieurs créations inno-vantes comme en 1964, la première charnière Blum invisible. Ou encore, deux ans plus tard la coulisse à galet, qui permet à l’entreprise Blum d’être le…

Projet de stage

PROJET DE STAGE

J’ai choisi ce lieu de stage car ayant travaillé auprès de personnes âgées dépendantes handicapées physiques et (psychiques) je souhaitais être avec desadultes handicapés mentaux et atteints de trisomie.
Le foyer ayant la réputation de « pôle de formation » mon choix fût vite fait.
Le public rencontré au sein du foyer, jene sais pas pourquoi, m’intéresse depuis longtemps , c’est une évidence d’être auprès d’eux.

Avant mon entrée en stage j’avais bien entendu des appréhensions comme :
– meretrouver seule avec un résident lors de la toilette intime, comment réagit il avec le personnel féminin,
– peur d’être confronter à certains handicaps que je ne connais pas(comment gérer une crise ? comment réagir ? etc.…)
– être face à face avec certaines réalités de la vie ( le handicap qu’on voit , qu’ on ne peut dissimuler) .
A la fin de mapremière journée j’avoue que toute mes « peurs » ont disparu.

Mes attentes durant ce stage :
– est d’apprendre auprès des amp, de les observer, et de leurs poser pleinde questions car ils exercent vraiment leur fonction dans cette structure ce qui est moins en moins courant dans ce métier,
– partager , observer , les « temps clés » de lajournée des usagés, car c’est dans ses moments là que je pourrai mieux apprendre à connaître leurs histoires, leurs envies , leurs besoins, leurs angoisses et qu’ilsm’acceptent.

Mes objectifs sont :
– me confirmer mon envie de travailler à la suite de ma formation auprès de ce public,
– savoir mettre en œuvre des aides adaptées à leurshandicaps,
– savoir analyser les informations données en équipe,
– connaître mes limites afin de me connaître mieux,
– leurs préparer un projet d’animation qui tiennent la route.

Le mariage putatif

Le mariage putatif est une institution issue du droit canonique dont le terme «putatif» vient du latin «putare» qui veut dire «penser», cela signifie donc que l’un des époux ou les deux, pensaient, étaient convaincus qu’ils pouvaient vraiment se marier.
Le mariage putatif est considéré comme un mariage nul mais que l’on traite comme s’il était valable car la cause de nullité est ignoré del’un ou des deux époux. Il permet au conjoint qui croyais son mariage valable de bénéficier des effets que celui-ci a produit jusqu’à ce que le jugement constatant la nullité soit définitif.
L’annulation n’entraine qu’une dissolution du mariage pour l’avenir comme lors d’un décès d’un des époux ou à l’occasion d’un divorce. L’existence du mariage est alors reconnue.
Le mariage putatifest reconnu par l’existence de la bonne foi qui est la croyance erronée en la validité du mariage, c’est donc l’ignorance de la cause de la nullité du mariage.
Il s’agira de savoir en quoi le rôle de la bonne foi est-il une condition essentielle dans le mariage putatif ?
Tout d’abord nous verrons les conditions du mariage putatif et ensuite les effets que celui ci produit.

I)Lesconditions du mariage putatif

A)les conditions entrainant les effets de nullité

La nullité du mariage peut être invoquée postérieurement à celui-ci par les époux, les ascendants et le ministère public. Il existe deux types de nullités qui peuvent entrainer la dissolution du mariage. Tout d’abord, les cas de nullité absolue qui correspondent par exemple au défaut de consentement, la bigamie,l’inceste, l’incompétence de l’officier d’État civil et des cas de nullité relative comme le vice de consentement d’un des époux, la violence physique ou morale, ou bien le défaut d’autorisation familiale,
Le mariage putatif est surtout invoqué par les époux notamment par celui de bonne foi et par le ministère public et plus rarement par les ascendants lorsqu’il s’agit de mineur oud’incapable majeur. Il peut donc être dissout par ces cas mais en cas de mariage putatif la jurisprudence est plus souple que dans le cas d’annulation du mariage. Par exemple une jurisprudence accorde le bénéfice du mariage putatif dans des cas où l’union ayant été célébrée par un personnage qui n’avait pas la qualité d’officier de l’état civil encore qui était tout de même revêtu d’une certaine autorité,donc on aurait pu dire que le mariage était inexistant (comme dans le cas où le mariage d’époux de nationalité française est célébré à l’étranger par le ministre d’un culte alors que la législation du pays intéressé ne reconnaît pas d’effet civil à la cérémonie religieuse) mais il y avait eu tout de même une célébration par une autorité radicalement incompétente sans doute, plutôt qu’un défauttotal de célébration. Le mariage putatif est une forme de nullité mais qui se distingue tout de même de la nullité qui anéanti le lien pour l’avenir et pour le passé, contrairement au mariage putatif qui annule lien que pour l’avenir.
Il existe plusieurs raisons pour invoquer la nullité mais pour invoquer le mariage putatif seul le bonne foi est nécessaire.

B) la bonne foi: une conditionunique pour l’existence d’un mariage putatif

Le mariage putatif repose sur le fondement de la bonne foi, car il faut que au moins des époux soit de bonne foi pour prononcer le mariage putatif, car sans cette bonne foi le mariage putatif n’existe pas, et il s’agit alors d’une annulation où le lien pour l’avenir et le passé seront détruits. Comme le précise l’article 201 alinéa 1 du Code civil«Le mariage qui a été déclaré nul produit, néanmoins , ses effets à l’égard des époux, lorsqu’il a été contracté de bonne foi». Il suffit donc que la bonne foi ait existé au moment de la célébration du mariage peut importe que le conjoint est ensuite découvert son erreur.
La bonne foi est la seule condition imposé à l’article 201 du code civil pour qu’il y ait mariage putatif. Et seul l’époux de…

Sylla

Arts et propagande monarchique en France, Espagne, Italie sous la renaissance.

La Renaissance apparaît en France avec un retard important par rapport à l’Italie. La raison principale est la poursuite de la guerre de Cent Ans jusqu’en 1453, et même 1477 (bataille de Nancy), alors que le processus de renaissance artistique est amorcé dès le XVe siècle au moins en Italie et dans de nombreusesrégions d’Europe (Flandres, Rhénanie, Alsace, Portugal…).Comme en Italie, ses traits caractéristiques sont la soif de vivre, la confiance en l’homme, l’appétit du savoir, l’esprit de libre examen. Ce mouvement remet en cause les mentalités du Moyen Âge et recherche de nouvelles formes de vie et de civilisation. En effet, les possibilités de diffusion de l’information par l’imprimerie, et la découverted’un nouveau monde au-delà de l’Atlantique, modifient profondément la vision du monde des hommes de cette époque.La renaissance est le temps des peintres, des sculpteurs qui sont employés pour les grands rois comme en France avec Francois 1er, à l’exemple de Léonard de Vinci qui finit sa vie au Clos Lucé.Des historiens ont considéré comme point de départ de ce mouvement en France, le début desGuerres d’Italie (1492 ou 1515), la période se terminant avec le début des guerres de religion (1562), la signature de l’Édit de Nantes (1598) ou la fin du règne d’Henri IV (1610).En France, la Renaissance a ceci de spécifique que, après le règne centralisateur de Louis VI Le Gros, le pouvoir du roi s’accentue sur ses vassaux. On passe progressivement d’un régime de suzeraineté à un régime desouveraineté.En fait, l’évolution des techniques de guerre a une influence indirecte sur ce changement. La défense des châteaux forts devient progressivement inefficace du fait de l’invention de nouvelles armes de guerre à plus longue portée (bombarde), de sorte qu’il faut imaginer de nouveaux systèmes défensifs. L’inefficacité de l’armée française pendant certains épisodes de la guerre de Cent Ans(bataille d’Azincourt, 1415, notamment) est révélatrice de ce changement.Les seigneurs féodaux dont les « privilèges » dans la société médiévale sont compensés par leur responsabilité sur la population environnante en cas d’agression de la communauté locale, n’ont plus le même rôle. Ils prirent des responsabilités militaires au niveau « national » (et non plus local (en langage moderne), conservantnéanmoins leurs privilèges.La hiérarchie des suzerainetés s’en trouve bouleversée. Il faut donc redéfinir les responsabilités réciproques du monarque, devenu le garant de la sécurité du pays unifié. Le principal théoricien de la définition du principe de souveraineté est Jean Bodin.François Ier est ainsi l’un des premiers monarques français, au sens propre du terme (dans le système féodal, les roissont suzerains de leurs vassaux, qui prêtaient serment d’allégeance). On ne voit apparaître l’absolutisme, à proprement parler, qu’avec Henri IV, dont les responsabilités sont accrues à la suite de l’édit de Nantes (1598), et surtout avec Louis XIII (sous l’influence très forte de Richelieu), et avec Louis XIV, appuyé sur ce point par Bossuet.La manifestation la plus évidente de la Renaissance enFrance est l’édification de châteaux résidentiels dans le Val de Loire ainsi qu’en Ile-de-France. Les prémices sont constituées par des châteaux dans un style prérenaissance construits dans le Berry, près de Bourges (capitale du roi Charles VI, proche de l’actuelle route Jacques-Cœur), alors que le nord de la France n’est pas encore totalement remis des séquelles de la guerre de Cent Ans.Les plusgrands châteaux de la Renaissance sont construits en Touraine. Les principaux protagonistes en sont les rois Charles VIII, Louis XII, François Ier. La duchesse Anne de Bretagne joue aussi un très grand rôle…L’architecture de ces châteaux tranche avec celle des châteaux forts construits à partir du XIe siècle. D’ailleurs, dans un premier temps, le style renaissance est utilisé lors de travaux…

Cous de maths

Exercices pour la série STG

La publication d’une « banque d’exercices pouvant servir d’exemples pour la confection de sujets de baccalauréat pour la spécialité mathématique de la série STG » s’inscrit dans l’évolution des programmes de cette série et prend en compte la nouvelle dé?nition de l’épreuve, applicable à partir de la session 2007 (note de service n? 2006-041 du 14-03-2006, parue auB.O. n? 12 du 23 mars 2006). Les nouveaux programmes, mis en place en première à la rentrée 2005 et en terminale à la rentrée 2006, sont caractérisés par une place importante accordée à information chi?rée et à l’information graphique. L’usage d’un tableur-grapheur est préconisé tout au long du programme. Il a semblé nécessaire de préparer les enseignants et les élèves à l’évolution des sujetsconsécutive à ces modi?cations. Le groupe des mathématiques de l’inspection générale de l’éducation nationale a donc demandé à des professeurs de toutes les académies, qui ont travaillé en étroite collaboration avec les IAIPR de mathématiques, de proposer des exemples. De leur travail sont issus les exercices proposés ici : que tous ceux qui ont collaboré à cette entreprise en soient remerciés ! Toutd’abord une remarque de bon sens : les exercices « classiques » ?gurant dans des annales constitueront naturellement des exemples pour la confection des sujets de baccalauréat. Ils n’apparaissent cependant qu’en nombre restreint dans la présente liste où nous avons souhaité présenter plutôt des exercices novateurs soit par la forme (utilisation du tableur-grapheur, questionnaire à choix multiple,valorisation du graphique, . . .), soit par le fond (en raison des nouveaux programmes). Les exercices ont été regroupés en – spécialité « 3 heures », comprenant les spécialités « mercatique » , « comptabilité et ?nance des entreprises » et « gestion des systèmes d’information » ; – spécialité « 2 heures », à savoir « communication et gestion des ressources humaines ». Les énoncés ?gurant dans cette« banque d’exercices » ont été élaborés avec soin. Néanmoins, ils n’ont pas suivi la procédure habituelle des sujets de baccalauréat (essais, validation en commission de choix de sujets, signature par un universitaire et par un inspecteur général sous la responsabilité d’un recteur) : ils n’ont donc pas toujours la forme des énoncés entrant dans la composition d’un sujet de baccalauréat. Nous avonsinclu dans la liste quelques exercices « étoilés » destinés à servir d’exemples dans un processus de formation (travail dirigé en classe, devoir à la maison). Ils ne correspondent pas aux objectifs ?xés pour une évaluation au baccalauréat. Le groupe des mathématiques de l’inspection générale de l’éducation nationale

page 2

Exercices pour la série STG

Exercice n? 1 (toutes spécialités).Cet exercice est un questionnaire à choix multiples (QCM). Pour chaque question, quatre réponses sont proposées. Une seule des réponses proposées est correcte. On demande de cocher celle que vous pensez être correcte. Le prix d’un produit A augmente de 5,4 % la première année et augmente de 30 % la seconde année. 1. À l’issue de la première année, le prix du produit a été multiplié par : 0,9461,540 1,054 0,094 2. À l’issue des deux années, le prix a augmenté de : 16,2 % 37,02 % 24,6 % 35,4 % 3. Le taux d’évolution annuel moyen sur les deux années est de : 16,2 % 24,6 % 17,7 % 17,1 % 4. Si le produit avait augmenté de 5,4 % par an durant 6 ans, le taux d’évolution pour ces six années aurait été de : 32,4 % 37,1 % 38,3 % 35,4 %

Exercice n? 2 (toutes spécialités).
Un magasin dechaussures a fait 300 000 e de chi?re d’a?aires pour l’année 2001. Ce chi?re d’a?aires a évolué les années suivantes selon le tableau ci-dessous. La deuxième ligne donne le taux d’évolution par rapport à l’année précédente, la troisième ligne donne le chi?re d’a?aires pour l’année. Année Taux d’évolution Chi?re d’a?aires arrondi au millier d’euros (e) 2001 300 000 2002 + 25,0 % 375 000 2003 + 16,0 %…

Lecture analytique madame bovary

Séquence 1 : Madame Bovary

Lecture analytique 2 : « L’éducation » du couvent : une jeune fille romanesque

Situation du texte : Extrait de Madame Bovary écrit en 1857, condamné la même annéedans lequel une jeune femme s’engage dans une quête désespérée au bonheur. Flaubert doit se plier à la réalité : le réel est la médiocrité de l’existence.
Ce roman prend la forme d’un romand’apprentissage, cf la déclaration de Flaubert : « Je trouve moi que je suis très moral car il découle de ce roman un enseignement clair et […] je crois bien que des maris me feraient pas mal d’en permettre lalecture à leur épouse. »*

Idée générale : Extrait I.6 (résumé) Emma Rouault a accepté d’épouser Charles, un officier de santé bon garçon et amoureux sincère mais après quelques temps de viecommune, elle constate que Amour, Passion et Ivresse connue dans ses lectures, ne sont pas au rendez-vous. Alors le narrateur fait un retour en arrière (analepse) pour nous parler de son éducation.

Sujet: Aperçu de ses années de couvent où elle a reçu une éducation religieuse nourrie de romantisme.

Objet/ Problématique : L’influence d’un milieu sur une nature faible
* Les lectures vontl’exalter, lui faire rêver la vie.
* Elles vont en faire une déséquilibrée « du cœur », de l’esprit, toujours à la recherche d’émotions nouvelles
Dans le premier paragraphe, le personnage de la vieillefille va être l’initiatrice, la mauvaise conseillère (la lingère)
Dans le second paragraphe, la liste de clichés représente l’imagerie romanesque, la littérature caricaturalement romantique.

AXE1 : Portrait de la vieille demoiselle ruinée

* Mauvais génie d’Emma : lien avec l’extérieur.
Elle offre une ouverture à l’extérieur
* Faux besoins : ? histoires religieuses? histoires‘‘galantes’’
* Frustration double : – célibat subit
* Personne socialement => domestique améliorée
* Emprise très forte sur les personnages
* S’échapper de l’étude =>…

Aide projet

Caractériser une organisation

|Forme |Organisations publiques |Entreprises |OBNL|
|Type |Adm centrale |Adm locales (coll |Orga. Sociaux |Publiques |Privées |Associations |Syndicats |Orgreligieuses |ONG |
| | |terr) |paritaires | | | | || |
|Critères généraux|
|Statut |Personnes morales de droit public |Personnes de droit privé|
|Taille |On retient en général le seuil de l’effectif, le nombre de salariés, d’administrés, d’adhérents…|
|Activité |Secteur d’activité (primaire, secondaire ou tertiaire, justifié par la nature de l’activité)|
|Champ d’action |local, national, européen, international|
|Finalité (ce pourquoi|Non lucrative |Réaliser des profits pour assurer sa |Non lucrative|
|l’org. Existe) |Assurer un service public |pérennité |Rendre un service à ses membres…

Gestion de production

Note / 40
Note / 20

Ingénieurs 1ere année

IPHC

RATTRAPAGE DU MODULE

GESTION DE PRODUCTION

Durée 2 heures.

Année 2001/2002

I) Questionnaire/ 20 points

Certaines questions fermées peuvent appeler plusieures réponses.
Les réponses fausses sont comptabilisées négativement.

1. Citer les fonctions de Fayol :




••

2. Enoncer la classification des systèmes de production de Woodwards.




3. Auxquels de ces systèmes s’adapte le mieux la Gestion de production ?


4.Les systèmes de production de masse emploient du personnel :

? Peu qualifié et fortement spécialisé.
? Très qualifié et polyvalent.

5. Les job shops fonctionnent :

?Par anticipation de la demande.
? Par adaptation à la demande.

6. Le plan d’activité :

? Se présente sous la forme du bilan
? Se présente sous la forme d’un compted’exploitation prévisionnelle

7. L’analyse ABC appliquée en gestion de stock permet de déterminer les articles à gérer en priorité :

? Vrai.
? Faux.

8. Le plan de vente nécessitedes révisions périodiques :

? Vrai
? Faux

Le plan de production

? Est élaboré par la Dg et les directions opérationnelles.
? Est élaboré par ladirection commerciale.
? Est élaboré par le marketing.
? Est élaboré par la direction de production.

L’horizon du plan des besoins commerciaux doit être égal au moins

? Uncycle complet d’obtention des produits (appro + fabrication ).
? Deux cycles complets d’obtention des produits.

9. Le plan de vente traduit :

? Le plan d’activité en terme decommercialisation annuelle.
? Ce que l’entreprise à vendu.

Le Plan Directeur de Production se décline en

? Un programme d’approvisionnement.
? Un programme…

La justice et le droit

LA JUSTICE ET LE DROIT

Les notions de droit et de justice sont étroitement liées, comme l’indique déjà l’étymologie. Judicare, juger, c’est jus dicere (jus = droit), dire le droit, d’où justum et justitia.
Si le droit désigne un ensemble de règles en vigueur dans une société donnée et exigible en son nom, ce qui est conforme à une loi en vigueur – bref, si le droit est d’abord etessentiellement positif, la justice elle ne saurait se confondre tout entière avec la justice « positive » ou l’institution judiciaire.. La justice est certes une institution avec ses magistrats, ses tribunaux, ses cours, ses arrêts… mais elle est aussi le nom d’un idéal – celui qui consiste à respecter les droits de chacun rigoureusement, et à rendre à chacun son dû (au sens large du terme).
Premièrequestion que nous aurons donc à nous poser : le droit est-il juste- et même très exactement, à quelle condition le droit peut-il être juste
Nous continuerons en distinguant l’idée de Justice fondée sur l’égalité et l’idée de justice fondée sur l’équité.
Enfin, nous nous poserons pour terminer la question de savoir ce qu’il faut faire dans le cas où le droit s’avère injuste.
I/ Les rapports dudroit et de la justice
a/ Blaise Pascal : de l’idéal de justice et du droit positif
« Il est juste que ce qui est juste soit suivi, il est nécessaire que ce qui est le plus fort soit suivi. La justice sans la force est impuissante; la force sans la justice est tyrannique. La justice sans la force est contredite, parce qu’il y a toujours des méchants; la force sans justice est accusée. Il faut doncmettre ensemble la justice et la force; et pour cela faire que ce qui est juste soit fort, ou que ce qui est fort soit juste. La justice est sujette à dispute, la force est très reconnaissable et sans dispute. Ainsi on n’a pu donner la force à la justice parce que la force a contredit la justice et a dit que c’était elle qui était juste. Et ainsi, ne pouvant faire que ce qui est juste fût fort, ona fait que ce qui est fort fût juste. »
Pensées, 1657-1662, n°298
Que retenir de ce texte ? La première phrase dit que justice et forces sont deux puissances caractérisées respectivement par leur valeur morale (« il est juste ») ou contraignante (« il est nécessaire ») mais aussi par leur incomplétude (« impuissante », « tyrannique »).
La quatrième phrase évoque une sorte d’état idéal où lajustice irait avec la force – où, pour le dire plus exactement, la force serait subordonnée à la justice et en constituerait l’auxiliaire. Or à cet état idéal s’oppose l’état historique : « on n’a pu- je souligne- donner la force à la justice… ». On doit donc conclure avec Pascal que la force n’a pas produit le droit et la justice mais que c’est la force a pris les apparences de la justice… Onest proche des analyses de Machiavel ou de Hume ou encore de Marx (cf. cours sur l’Etat) : l’ordre politique et juridique présent n’est jamais que l’effet d’un rapport de force, rapport de force que la tradition ou l’idéologie finissent par cacher. La justice est d’abord celle des puissants.
b/ Le Droit, une réalité a deux visages »
« Le droit est une réalité sociale. C’est une composante desactivités humaines marquée, comme toutes les activités humaines, par la culture et par les formes d’organisation de chaque société. Mais c’est une réalité singulière. Elle est tout ensemble le reflet d’une société et le projet d’agir sur elle, une donnée de base de l’agencement social et un moyen de canaliser le déroulement des relations entre les individus et les groupes. Le droit adhère ainsiintimement à l’état de la société a qu’il représente mais il s’en distingue pour exercer sa mission d’organisation, sa tâche normative. Si le droit est une réalité sociale, c’est aussi une théorie active de la société, une évaluation de ce qui existe dont le but est de déterminer ce qui devra exister. Le droit est donc une réalité a double visage. Comme théorie, comme façon d’envisager les…