Le bal

Joanna Demaurex et Maria Astianti 26-03-10
Français
Groupe: 110 et 108

Sujet de dissertation:
‘’Au fond, Le Bal d’Irène Némirovsky est une parabole illustrant la difficulté d’être avec soi-même et avec lesautres, de grandir, de s’adapter.’’

Dans Le Bal, l’auteur met en scène une mère et une fille qui sont froides l’une envers l’autre, qu’il y ait un dialogue ou non. Ainsi, il y a une rivalité entre elles. L’histoire est fixée sur une petite fille de quatorze ans nommée Antoinette et sa mère, Rosine qui la rabaisse sans cesse. Ses parents ont organisé un bal et Antoinette veut absolument s’y rendremais Rosine s’y oppose car elle commence à voir chez sa fille une rivale.
Le Bal d’Irène Némirovsky est finalement un sujet qui, en le lisant peut faire éprouver aux lecteurs les mêmes sensations vécues que les personnages; les difficultés qu’une personne peut avoir à s’accepter elle-même telle qu’elle est, évoluer physiquement et mentalement pour Antoinette, de vieillir comme Rosine et s’adapterauprès de leur entourage. Antoinette rêve de rencontrer l’amour et passer à l’âge adulte, tandis que sa mère essaye de retrouver la passion d’aimer et refuse d’évoluer dans la direction de la vieillesse. Donc ‘’grandir’’ est un élément positif chez Antoinette et négatif pour Rosine. Dans le sens qu’Antoinette grandit, et son but est devant elle, tandis que Rosine, elle, vieillit mais son but estplutôt devant elle. Les deux femmes recherchent de l’affection, plus précisément le grand amour qu’aucune d’elle n’arrivera à trouver tant que l’autre n’a pas échoué dans son but. Mais en avançant, chacune des deux rencontrent aussi des obstacles qu’elles doivent franchir pour atteindre leur but.
Antoinette et Rosine, les deux personnages principaux de cet ouvrage recherchent à trouver la passion,le grand amour. En gros, ces deux femmes ont les mêmes désirs, le même but. Malheureusement aucune des deux ne réussira à l’atteindre tant que l’autre n’a pas échoué dans cette quête. Toutes les deux attendent avec impatience, ce jour-là, le jour ou elles se retrouveront avec un homme, celui qui va allumer la passion en elles. Pour Antoinette qui en est encore à l’âge de l’enfance, elle rêve, elleveut passer à l’âge adulte, devenir la plus belle pour pouvoir séduire et a encore toute sa vie devant elle. ‘’Beau corps préparé pour l’amour … Elle murmura: -Quinze ans, ô Roméo, l’âge de Juliette…’’ (p. 38 ll. 691-693). Antoinette est prête à découvrir le grand amour. ‘’préparé pour l’amour’’, le fait qu’elle soit encore une enfant la fait rêver de ses futurs amoureux et elle se sent prête.‘’Quinze ans, ô Roméo’’, cette phrase fait référence à son prince charmant qu’elle attend car Roméo est l’exemple d’un amoureux parfait. ‘’Quinze ans’’, Antoinette aura bientôt cet âge là, un âge ou on fait son entrée dans le monde des adultes. Par contre, le cas de Rosine est complètement différent. Elle est déjà entrain de dépasser cet âge de la séduction. Elle vieillit, elle a peur de perdre cet âge.‘’Cet amant… comme elle l’avait attendu. ‘’ (pp. 63-64 ll. 1211-1212). Rosine a toujours voulu avoir un autre homme dans sa vie que son mari. Elle est aussi à la recherche de la passion qu’elle a perdu avec son mari, M. Kampf. Donc en donnant ce grand bal, elle espère peut-être trouver un homme comme elle l’avait attendu. Les deux femmes sont aux différents stades de la séduction. Une monte etl’autre descend, à la fin, une seule réussit; Antoinette.

En essayant d’atteindre ce but, ce manque de passion, il faut surmonter les obstacles.
Lorsqu’elles avancent, les deux femmes rencontrent des problèmes; Antoinette en grandissant et pour Rosine, en vieillissant. L’obstacle d’Antoinette est sa mère principalement qui la rabaisse du mieux qu’elle peut, pour l’empêcher de grandir….

Poule

Poule est un nom vernaculaire ambigu en français. « Poule » est le nom donné généralement à la femelle de plusieurs espèces d’oiseaux, principalement des galliformes et en particulier à la pouledomestique (Gallus gallus domesticus) mais ce terme peut désigner d’autres espèces parmi les oiseaux.
Sommaire[masquer] * 1 Étymologie et vocabulaire * 2 Quelques oiseaux appelés « poules » * 3Production d’œufs * 4 Notes et références * 5 Voir aussi |
Étymologie et vocabulaire[modifier]
Comme poulet et poulain, le terme poule dérive du latin pullus, qui signifie petit animal. Ce terme avite remplacé l’ancien français geline qui avait le sens de jeune poule. C’est le terme poulette qui porte aujourd’hui ce sens.
Poule pondeuse se dit d’une poule domestique que l’aviculteur élèvepour obtenir des œufs.
Bantam, cayenne, bassette, gallinette : se dit d’une petite poule ou poule naine.
Chez les autres espèces que Gallus gallus domesticus, le nom vernaculaire précise un élémentpermettant d’identifier l’espèce ou le genre, comme poule faisane, poule de bruyère car la distinction de sexe n’est pas toujours précise, par exemple la poule d’eau est un nom vernaculaire qui désigneles spécimens mâles aussi bien que les femelles de plusieurs espèces. La « poulette de roche », quant à elle, dérive directement du terme « poule ».
Le terme poule est utilisé dans de nombreusesexpressions, comme « poule mouillée » ou « avoir la chair de poule » à propos d’une personne qui a peur. « Poule » désigne aussi une femme en argot.
Quelques oiseaux appelés « poules »[modifier]
Note :certains noms ont plusieurs significations.
* Poule – voir Poule domestique[1]
* Poule – femelle chez les espèces de Galliformes
* Poule de bruyère – femelle du Coq de bruyère (Tetraourogallus)
* Poule domestique – femelle du Coq domestique (Gallus gallus domesticus)
* Poule d’eau
* Poule d’Inde – Dinde[1]
* Poule faisane – femelle de plusieurs espèces de faisans,…

Balzac

Introduction – Balzac et la description explicative
Honoré de Balzac (1799 – 1850) a fait partie des “Modernes” de l’époque romantique avec, entre autres, Victor Hugo. Ces “Modernes” s’opposaient aux “Anciens” de l’Académie. Victor Hugo est connu aussi du “Cénacle” qui agissait contre les règles du classicisme. Les romantiques étaient à la recherche de la vérité et c’étaient l’histoire et lasociété moderne qui offraient à Balzac les éléments de nouvelles chroniques et de nouvelles mythologies romanesques. Beaucoup se passait dans cette société à cause de la Restauration qui avait provoqué une déception générale et c’est pour cela qu’on avait besoin d’un nouveau courant en littérature. Dès son enfance Honoré s’est amusé en observant. Il a toujours eu l’oeil pour tout ce qui se passaitautour de lui. Ainsi il a développé une bonne connaissance de la vie sociale et un sens aigu de l’observation, talents qui lui ont permis de traiter tant de sujets sociaux. Ceci ne veut pas dire que c’était facile pour lui d’écrire tout ce qu’il a écrit. Au contraire il est connu aussi pour sa façon d’écrire qui impliquait raturer et corriger jusqu’à dix épreuves avant d’en autoriser le tirage.Balzac est connu pour ses descriptions exhaustives. Pendant les huit premières pages de son roman Le père Goriot1 (1834/35) il décrit la pension Vauquer. Le narrateur commence à décrire l’extérieur: le quartier et la rue dans lesquels se trouve la pension et l’extérieur de la pension. Ensuite il entre en décrivant ce qu’il sent, voit et entend dans les différentes pièces.
Cette première pièce exhaleune odeur sans nom dans la langue, et qu’il faudrait appeler l’odeur de pension. Elle sent le renfermé, le moisi, le rance; elle donne froid, elle est humide au nez, elle pénètre les vêtements; elle a le goût d’une salle où l’on a dîné; elle pue le service, l’office, l’hospice. Peut-être pourrait-elle se décrire si l’on inventait un procédé pour évaluer les quantités élémentaires et nauséabondesqu’y jettent les atmosphères catarrhales et sui generis de chaque pensionnaire, jeune ou vieux. Eh bien, malgré ces plates horreurs, si vous le compariez à la salle à manger, qui lui est contiguë, vous trouveriez ce salon élégant et parfumé comme doit l’être un boudoir. Cette salle, entièrement boisée, fut jadis peinte en une couleur indistincte aujourd’hui, qui forme un fond sur lequel la crasse aimprimé ses couches de manière à y dessiner des figures bizarres. …

1

Honoré de Balzac, Le père Goriot, Le livre de poche classique, Édit. 9135 – 12/1999

La description de Rouaud considérée sous l’angle de la description balzacienne – Introduction

1/3

Cette pièce est dans tout son lustre au moment où, vers sept heures du matin, le chat de Mme Vauquer précède sa maîtresse, sautesur les buffets, y flaire le lait que contiennent plusieurs jattes couvertes d’assiettes, et fait entendre son rourou matinal. …

Dans cette description le narrateur commence à raconter tout ce qu’il sent, puis il décrit ce qu’il voit et, dans le prochain paragraphe, il ajoute ce qu’il entend. Après le cache il donne le portrait. D’abord il donne la description de l’extérieur de sespersonnages, leur nom même est significatif, ensuite il met l’accent sur quelques traits du personnage. Bien que Balzac donne ainsi un dessin simplifié du personnage, ceci est compensé par un fourmillement de détails qui donnent l’impression du vécu, les personnages semblent échapper à la littérature pour s’installer dans la vie réelle. Les seize pages qui suivent la description de la pension servent àdécrire Madame Vauquer et les pensionnaires. Il est assez vague à distinguer où finit la description et où commence l’histoire, parce qu’en décrivant le père Goriot comme dernier, Balzac fait la transition entre le passé de cet homme et le présent en commençant ainsi l’histoire elle-même de façon presque inaperçue. Tout est signe dans la description de Balzac, parce qu’en lisant la description de la…

Acte uniforme ohada relatif au droit commercial général

ACTE UNIFORME

portant sur

LE DROIT COMMERCIAL GENERAL

SOMMAIRE

Chapitre préliminaire
Champ d’application

LIVRE I
STATUT DU COMMERCANT

CHAPITRE 1 Définition du commerçant et des actes de Commerce.
CHAPITRE 2 Capacité d’exercer le commerce.
CHAPITRE 3 Obligations comptables du commerçant.
CHAPITRE 4 Prescription

LIVRE II
REGISTRE DU COMMERCE ET DU CREDIT MOBILIERTITRE 1
DISPOSITIONS COMMUNES

CHAPITRE 1 Dispositions générales
CHAPITRE 2 L’organisation du registre du commerce et du crédit mobilier

TITRE 2
L’IMMATRICULATION AU REGISTRE DU COMMERCE
ET DU CREDIT MOBILIER

CHAPITRE 1 Les conditions de l’immatriculation
Section 1 Immatriculation des personnes physiques
Section 2 Immatriculation des sociétés et autres personnes moralesSection 3 Dispositions communes à l’immatriculation des personnes physiques et morales
Section 4 Inscriptions modificatives complémentaires et secondaires
Section 5 Radiation

CHAPITRE 2 Effets de l’immatriculation et contentieux
Section 1 Effets de l’immatriculation
Section 2 Contentieux de l’immatriculation

TITRE 3
L’INSCRIPTION DES SURETES MOBILIERES

CHAPITRE 1 Conditionsde l’inscription des sûretés mobilières
Section 1 Nantissement des actions et des parts sociales
Section 2 Nantissement du fonds de commerce et inscription du privilège du vendeur de fonds de commerce
Section 3 Nantissement du matériel professionnel et des véhicules automobiles
Section 4 Nantissement des stocks
Section 5 Inscription des privilèges du Trésor, de l’Administration desDouanes et des Institutions de Sécurité Sociale
Section 6 Inscription des clauses de réserve de propriété
Section 7 Inscription des contrats de crédit-bail

CHAPITRE 2 Effets et contentieux de l‘inscription

LIVRE III
BAIL COMMERCIAL ET FONDS DE COMMERCE

TITRE 1
BAIL COMMERCIAL

CHAPITRE Champ d’application
PRELIMINAIRE
CHAPITRE 1 Conclusion et durée du bail
CHAPITRE 2Obligations du bailleur
CHAPITRE 3 Obligations du preneur
CHAPITRE 4 Loyer
CHAPITRE 5 Cession – sous-location
CHAPITRE 6 Conditions et formes du renouvellement
CHAPITRE 7 Résiliation judiciaire du bail
CHAPITRE 8 Dispositions d’ordre public

TITRE 2
FONDS DE COMMERCE

CHAPITRE 1 Définition du fonds de commerce
CHAPITRE 2 Modes d’exploitation du fonds de commerce
CHAPITRE 3Cession du fonds de commerce

LIVRE IV
LES INTERMEDIAIRES DE COMMERCE

TITRE 1
DISPOSITIONS COMMUNES

CHAPITRE 1 Définition et champ d’application
CHAPITRE 2 Constitution et étendue du pouvoir de l’intermédiaire
CHAPITRE 3 Effets juridiques des actes accomplis par l’intermédiaire
CHAPITRE 4 Cessation du mandat de l’intermédiaire

TITRE 2
LE COMMISSIONNAIRE

TITRE 3
LE COURTIERTITRE 4
LES AGENTS COMMERCIAUX

LIVRE V
LA VENTE COMMERCIALE

TITRE 1
CHAMP D’APPLICATION ET DISPOSITIONS GENERALES

CHAPITRE 1 Champ d’application
CHAPITRE 2 Dispositions générales

TITRE 2
FORMATION DU CONTRAT DE VENTE

TITRE 3
OBLIGATIONS DES PARTIES

CHAPITRE 1 Obligations du vendeur
Section 1 Obligation de livraison
Section 2 Obligation de conformité
Section 3Obligation de garantie

CHAPITRE 2 Obligations de l’acheteur
Section 1 Paiement du prix
Section 2 Prise de livraison

CHAPITRE 3 Sanctions de l’inexécution des obligations des parties
Section 1 Dispositions générales
Section 2 Sanctions de l’inexécution des obligations du vendeur
Section 3 Sanctions de l’inexécution des obligations de l’acheteur
Section 4 Intérêts et dommages etintérêts
Section 5 Exonération de responsabilité
Section 6 Effets de la résolution
Section 7 Prescription

TITRE 4
EFFETS DU CONTRAT

CHAPITRE 1 Transfert de propriété
CHAPITRE 2 transfert des risques

LIVRE VI
DISPOSITION FINALE

ACTE UNIFORME RELATIF AU DROIT COMMERCIAL GENERAL

Le Conseil des Ministres de l’OHADA

· Vu le Traité relatif à l’Harmonisation du Droit des…

Coh manual

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®

Minimum System Requirements
• Microsoft® Windows® 2000/XP • Intel® Pentium III 800 MHz or AMD™ Athlon® 800 MHz • 512 MB RAM • DVD-ROM Drive • 4 GB Available HDD Space • NVIDIA® GeForce 2 Series, ATI™ Radeon® 8500 or Intel® i865G and above Video Card • 16-bit Sound Card • 56k modem • DirectX® 9.0c

Recommended System Requirements
• Microsoft® Windows® 2000/XP • Intel® Pentium® 42.0 GHz or AMD™ Athlon® XP 2000+ • 1 GB RAM • DVD-ROM Drive • 4 GB Available HDD Space • NVIDIA® GeForce™ 6200 or ATI™ Radeon® 9500 Series Video Card • 16-bit Sound Card • Broadband Internet Connection • DirectX® 9.0c

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1

Table of Contents
Entering The game Creating a Hero 4 5

Enhancement Strength …………….40 Combining Enhancements ……….41
Inspirations Windows 42 44

Origin …………………………………………5 Archetype………………………………….7 Power Sets & Starting Powers ..9 Body Type ………………………………..10 Costume……………………………………12 Name & Extras…………………………14
Your First Day on Patrol 15

Chat …………………………………………44 Tray…………………………………………..53 Target……………………………………….55 Nav …………………………………………..56 Menu ……………………………………….59
The Map 61

Mappable Commands………………17 Movement ………………………………..18 Using Objects…………………………..21 Fighting, Powers, Actions …………22 Power Tray ………………………………..22 Stat Bars……………………………………23 Using Your Powers……………………….25
Taking Damage & Restoring Hit Points ……………………26 Damage Displays in Combat …………27 Powers, Endurance & Recharge ……..28 Targeting ……………………………………29 Color Coding ………………………………30 Combat Options …………………………..31
Powers 32Fog of War………………………………..62 Map Icons ………………………………..63 Waypoints & Thumbtacks ……….64
Missions 65

Contacts ………………………………….66 Clues ……………………………………….67 Story Arcs ………………………………..68 Mission Types …………………………68
Team Ups 70

PowersTerminology………………..32 Power Outer Ring Key …………….33
Leveling Table Inherent Influence Enhancements 33 35 36 37

Team Leaders …………………………..71 Team Ups & Missions………………71 Sidekicks ………………………………..72 Exemplars ………………………………..73 Task Forces………………………………74 Trials……………………………………….75
Super Groups Trading Slash Commands 77 78 79

Types of Enhancements …………..38 Enhancement Origins ………………39
2

Macros ……………………………………84 Keybindings …………………………….87
Emotes 88

Emote Menu …………………………….88

Options

89

Bases

114

General……………………………………89 Controls ……………………………………91 Keymapping …………………………….92 Graphics & Audio ……………………92
Paragon City 95

Super Groups and Bases ……….114
Enemies 127

City Zones ………………………………..95 Safe Areas ………………………………96 Arenas ……………………………………..96 Monorail…

Liste des oeuvres de moliere

QUI TRADUIRE ? COMMENT TRADUIRE ? POURQUOI TRADUIRE ?
Dans ce texte, l’auteur nous parle de l’activité de la traduction. Premièrement, on voit le lieu de la traduction dans son contexte historique.Après, on voit quelques approches comme celle de Jakobson qui a établit trois formes de traduction comme traduction intralinguistique, traduction interlinguistique, et traduction intersémiotique.Mais quand on arrive à la deuxième moitié de xx. Siècle, on voit les trois générations dans les études de traductologie envisagés par Siri Nergaard.
La première qui se développe entre les années 1950et 1960 est influencée par les expériences de la traduction automatique.
Ce qui s’agit d’une réflexion non prescriptive à partir du statut pratique de la traduction est apparue à la fin des années1970.
Mais, l’apparition d’une véritable discipline qui appartient à la traduction se réalise dans les années 1980 que l’on nomme comme la troisième génération de Nergaard.
Et aussi, on voit desdifférentes approches comme celle de Nida, de Meschonnic, de Steiner qui parle de la « zone moyenne de la translation ».
De cette zone moyenne, H. Besse voudrait créer une catégorie propre en divisant lesmodes de traduire à partir de trois critères.
Avec ces modes, il essaye de s’agir de la traduction didactique qui est plutôt l’affaire des enseignants de la langue, de la traduction pragmatique quiest plutôt l’affaire des interprètes ou des traducteurs, et de la traduction poétique qui est l’affaire des écrivains.
Apres ces informations, on voit des méthodes qui sont utilisées dans la formationdes langues comme la méthode traditionnelle, la méthode directe et les méthodes audio-orales avec lesquelles l’on voit l’approche behavioriste qui est l’imitation des comportements.
De plus, l’auteurpasse à l’analyse des textes de communication. Et on voit le triple processus de la traduction de M. Lederer : la compréhension, la déverbalisation, et la réexpression du sens. D’après lui,…

Les origines de l’impressionnisme (1859).

Monet, parisien de naissance, avait passé sa jeunesse au Havre. Son adolescence se déroula davantage sur les falaises ou dans l’eau qu’en classe. Il s’amusait à décorer ses cahiers des caricatures de ses professeurs. Il acquis rapidement une telle habileté qu’il devint célèbre dans toute la+ ses portraits de tous côtés. Ainsi lui vint une idée qui scandalisa sa famille : faire payer ses dessins.S’étant alors doté d’une certaine réputation, Monet vit bientôt ses travaux accrochés à la vitrine de l’unique encadreur du Havre. Mais une chose le chagrinait : des portraits devaient voisiner avec “d’affreuses marines”. Un jour, entrant chez l’encadreur, Monet fit la connaissance de l’auteur de ces marines, c’était Eugène Boudin. Les deux hommes, malgré une certaine réticence de la part deMonet, devinrent amis et échangèrent quelques conseils. Boudin, quelques années auparavant, avait lui même tenu la boutique d’encadrement au Havre, il avait ainsi côtoyé quelques grands maîtres qui étaient ses clients tel Couture, mais aussi Millet à qui il faisait corriger ses propres toiles. Dès lors, Boudin décida de devenir peintre, vendit sa boutique pour partir copier des tableaux au Louvre.Cependant, il refusa toujours de se soumettre aux règles des ateliers et préféra les études en plein air. “Tout ce qui est peint directement sur place, disait il, a toujours une force, une puissance, une vivacité de touche qu’on ne retrouve pas dans l’atelier”. A l’heure où les Réalistes ne faisaient que des croquis sur le motif, lui travaillait déjà totalement en plein air.
Et c’est au contact deBoudin que Monet décida à son tour de devenir peintre. Ainsi il se retrouve à Paris au printemps 1859 où on lui conseille bien évidemment d’entrer dans un atelier, ce à quoi il préféra les brasseries. Afin d’obtenir quelques subsides de la part de ses parents hostiles à une carrière de peintre, il accepta cependant de s’inscrire dans un atelier, mais il n’y mit pratiquement jamais les pieds. Il futégalement membre de l’Académie Suisse (du nom de son propriétaire). C’était simplement un lieu de rencontre de “marginaux”. C’est là que Monet rencontra Pissarro qui travaillait alors dans le style de Corot. (Fin 59, Monet part à l’armée).
Manet de son côté, alors élève de Couture, eut deux toiles acceptées au Salon de 1861 dont un portrait de ses parents. Certes ses peintures se démarquaientdes grandes ouvres académiques par la vivacité des coloris, entre autre, mais on pouvait y reconnaître l’influence de Goya et de Vélasquez. Grâce à ce premier succès, Manet obtint une bonne réputation et une place enviable parmi les jeunes gens d’avenir qui prirent l’habitude de se réunir chez leur nouveau maître. Manet se lia d’amitié avec Degas alors préoccupé par les compositions historiques.Dans les premières semaines de 1862, Courbet, à la demande pressante du groupe, ouvrit un atelier qui fit grand bruit : on pouvait venir y voir poser des paysans avec leurs bœufs et leurs chevaux. Courbet allait et venait d’un chevalet à l’autre parmi les gamins du quartier venus en curieux. Mais, très vite, Courbet en eut assez “d’enseigner” et, dès le mois d’avril, l’atelier se dispersa.
En1863, Monet et Bazille avaient passé les vacances de Pâques à Chailly, village situé au bord de la forêt de Fontainebleau, non loin de Barbizon. Ils avaient ainsi réalisé de concert quelques études d’arbres et de rochers. Bazille qui partageait son temps entre la peinture et ses études de médecines, laissa Monet poursuivre seul ses recherches. Bientôt, les futurs Impressionnistes rencontrèrent lesRéalistes de Barbizon, mais, bien que très admiratifs de leurs aînés, ils se mirent à travailler totalement en plein air comme Boudin le leur avait enseigné. Sur les conseils de Diaz, Renoir éclaircit sa palette. On l’a vu, le Salon des Refusés en 1863 suscita l’orage de la part des visiteurs. Bien sûr, il attira un public plus nombreux que le Salon officiel, mais celui ci vint davantage pour se…

Anglais

Un recours collectif a été déposé contre la société « Die » soutenant que les employés de ladite société auraient informé des pilleurs de tombes sur les objets de valeur enterrés, par les familles,avec leurs défunts. Plusieurs familles se sont manifestées avant que l’on en vienne à admettre que les précieux souvenirs avaient été retiré de l’intérieur des niches privées à Ivy Lawn Memorial Park deVentura, en Californie.

John Herrera avait déposé dans l’urne contenant les cendre de sa femme, Kathy, des figurines souvenirs, un collier en argent, et leurs deux
alliances en diamants. David etBarbara Austin avaient, eux aussi, placé aux côté des cendres de leur fille de 26 ans, Holly, des figurines souvenir, un anneau en grenats et or, et un médaillon ovale irremplaçable, en or, datant de1918, portant leur blason.

Les deux familles soutiennent que les objets ont été volés par des pilleurs de tombes, qui auraient été informés par les jardiniers de « la vallée tranquille Compagnie »qui ont la charge de la maintenance du cimetière de Los Angeles.
Selon les plaintifs, les membres d’un personnel d’entretien spécialisés qui desservent plusieurs cimetières dans la région, auraientété contactés par une organisation criminelle à qui ils reverseraient un pourcentage des profits tiré de la revente des objets volés dans les cimetières.

Dans certains cas, les tombes ont étédéterrées et une fois les bijoux retirés, les cercueils ont été remis en place et recouvert d’herbe transplantée, une technique que seuls des jardiniers professionnels, avec des outils spécialisés et laformation requise, auraient pu réaliser. C’est cet élément qui a conduit les enquêteurs privés à soupçonner que les voleurs avaient travaillé en collaboration avec des jardiniers.

Bien que certainesarrestations aient eu lieu, personne n’a été inculpé et aucun des objets volés n’a été récupéré.
Les propriétaires de l’Ivy Lawn Memorial Park Cemetery ont déclaré avoir informé la société…

Faut-il avoir de la chance pour être heureux ?

« Tous les hommes recherchent à être heureux. Cela est sans exception, quel que soit les différents moyens qu’ils emploient « (Pascal)
Nous sommes tous dans une conquête permanente du bonheur. Ce dernier est souvent conçu comme étant une fin ultime de la vie humaine (appelée eudémonisme). Il est la fin la plus haute, que l’on recherche pour elle-même. Le bonheur est un état de plénitude continue.Au sens général, on peut penser que le bonheur est l’assouvissement intégral des besoins et des désirs. Cependant, si on accepte cette définition, ne sommes-nous pas condamnés à ne jamais être heureux ? En effet, la satisfaction complète des désirs semble impossible dans la mesure où un désir est un manque que l’on se créé soit même par l’imagination. On peut penser à Don Juan qui pourra avoirautant de femmes qu’il le souhaitera, mais qui n’aura jamais la totalité des femmes !
Etudions alors à l’étymologie du terme. « Bonheur » vient de « heur » (du latin augurium, accroissement accordé par les dieux) qui signifie bonne fortune, faveur divine. Cela indique que le bonheur est quelque chose qui vient forcément de l’extérieur : il ne nous appartient pas de le construire par nous-mêmes.Ainsi, il suggère l’idée de bien et de la chance. Il faut la distinguer du hasard. En effet, celui-ci est un événement imprévisible heureux ou malheureux. La chance, elle, est la probabilité qu’une chose heureuse se produise.
Ainsi, faut-il avoir de la chance pour être heureux ? Cependant, est ce que c’est la seule chose qui conduirait au bonheur ? Y a-t-il une méthode pour l’atteindre ?Existe-t-il des limites au bonheur ? N’est-il pas utopique de croire au bonheur ?
Nous nous intéresserons dans un premier temps à deux mouvements philosophiques, le stoïcisme et l’épicurisme, qui s’opposent à propos du bonheur. Puis, nous focaliserons notre attention sur le bonheur et son lien avec la société. Enfin, nous étudierons si le bonheur est un souverain bien.

La recherche du bonheur a unpoint de départ assez pessimiste : nous voulons le bonheur que nous n’avons pas, et nous voulons fuir ce qui nous blesse. Il n’est donc pas étonnant que le bonheur intégral soit si souvent lié à l’idée de perfection, et donc d’un dieu. Par conséquent le bonheur n’existe que sous la forme d’un but idéal et inaccessible. Dans le cas le plus extrême, par exemple pour ceux qui croient en un dieu, alorsle bonheur n’est pas humain puisqu’il appartient à un être parfait, Dieu. Pour eux, le bonheur dépend de la fortune (au double sens du hasard et de la possession des biens matériels). Les stoïques, comme en témoigne Calliclès dans Gorgias, affirment que le bonheur est tributaire de ce que la nature a offert à chaque homme : est heureux celui qui, par nature, possède un équilibre entre les désirs etles facultés. En effet, le bonheur ne se goûte qu’à condition que les désirs n’aillent pas au-delà des possibilités de leur satisfaction. Le désir de l’homme serait d’être heureux, mais la satisfaction de ses souhaits appartient à un autre que l’homme : au sage surhumain pour les Stoïciens qui est maître de lui-même, qui accepte l’ordre divin. Pour les stoïciens, panthéistes, Dieu était lanature. Déjà à l’antiquité grecque, le pessimisme est poussé à son plus au point… Hegesias, nommé ministre de la mort, enseignait que la vie ne valait rien et qu’il fallait mourir pour être heureux… Ainsi, il entraina une vague de suicides. De façon plus générale, les stoïciens refusent l’idée selon laquelle les hommes seraient, depuis leur origine, à la recherche du plaisir. Ils affirment qu’aucontraire nos impulsions sont dues à notre nature humaine. Ainsi, un enfant qui s’exerce à marcher et qui ne cesse de chuter, de se faire mal, n’est pas guidé par la satisfaction mais par le besoin d’être comme ceux qui l’entoure. Sénèque affirme par ailleurs qu’il est impossible de confondre bonheur et plaisir, le premier étant un état durable, le second un sentiment éphémère : « le plaisir arrivé à…

Fiche de lecture

Le soleil des scorta
Laurent Gaudé

Résumé

Parce qu’un viol a fondé leur lignée, les Scorta sont nés dans l’opprobre. À Montepuccio, leur petit village d’Italie du sud, ils vivent pauvrement, et ne mourront pas riches. Mais ils ont fait vœu de se transmettre, de génération en génération, le peu que la vie leur laisserait en héritage. Et en dehors du modeste bureau de tabac familial, crééavec ce qu’ils appellent « l’argent de New York », leur richesse est aussi immatérielle qu’une expérience, un souvenir, une parcelle de sagesse, une étincelle de joie. Ou encore un secret. Comme celui que la vieille Carmela – dont la voix se noue ici à la chronique objective des événements – confie à son contemporain, l’ancien curé de Montepuccio, par crainte que les mots ne viennent très vite à luimanquer.
En 1875, dans les monts Gargano dans la région des Pouilles au sud de l’Italie, un bandit de grand chemin Luciano Mascalzone retourne à Montepuccio après avoir purgé une peine de quinze ans de prison. Résolu à posséder quoi qu’il lui en coûte Filomena Biscotti, une jeune femme dont il s’est épris avant sa condamnation, il se présente devant la maison familiale. Une jeune femme qu’ilcroit être Filomena lui ouvre la porte et s’abandonne sans résistance. Au sortir, les habitants de Montepuccio, décidés à punir le criminel revenu au pays, le lapident pour ce qu’ils pensent être un viol d’Immacolata Biscotti, la jeune sœur, devenue vieille fille, de Filomena décédée longtemps auparavant. Luciano meurt malgré les soins de Don Giorgio, le prêtre du village.
Neuf mois plus tard naîtde cette union un enfant, Rocco, qui deviendra immédiatement orphelin après la mort de sa mère Immacolata. Enfant maudit par le village qui veut sa mort, Rocco est confié, par Don Giorgio qui le sauve de la vindicte, à une famille de pêcheurs de San Giocondo, le village voisin et rival. Rocco grandira chez les Scorta et deviendra à son tour un bandit écumant les Pouilles. Devenu riche, il retourneà Montepuccio pour se faire marier par Don Giorgio avec une jeune femme muette et sans nom. Ils s’installent dans une ferme sur les hauteurs du village. Trois enfants Scorta Mascalzone naissent de cette union : Domenico, Giuseppe, et Carmela. Bien que craint par le village dont Rocco se tient pourtant à distance, ses trois enfants sont rejetés de la communauté de Montepuccio qui voit en eux desdélinquants. Seul le jeune Raffaele devient leur ami malgré les menaces et coups de ses propres parents pour ne pas fréquenter les Scorta-Mascalzone. À la mort de Rocco en 1928, celui-ci, selon ces dernières volontés exprimées auprès de Don Giorgio, fait don de tous ses biens à l’Église, déshéritant ainsi ses enfants âgés de douze à dix-huit ans, à la condition expresse que tout Scorta soit désormaisenterré avec fastes et honneurs par le village.
Privés de toute ressource, les trois enfants Scorta s’embarquent pour les États-unis avec l’aide de Don Giorgio. L’espoir d’une vie nouvelle est devant eux, mais Carmela n’est pas admise à entrer à New York en raison d’une fièvre suspecte pour les autorités sanitaires de la ville. Plutôt que de se séparer, les trois Scorta retournent en Italie àNaples en faisant quelques petits travaux et affaires pour survivre. Un an plus tard, ils rentrent à Montepuccio, accueillis par Raffaele qui leur apprend la mort de leur mère, la Muette et son inhumation dans la fosse commune par le nouveau prêtre du village. De rage, les Scorta et Raffaele déterrent le cercueil et l’enterrent dans une sépulture à l’écart du cimetière. Sur la tombe de la Muette, àla demande des trois frères et sœur, Raffaele décide à son tour de prendre le nom de la famille Scorta et de devenir le frère fidèle de Carmela malgré son amour pour elle.
Suivant une idée de Carmela, les quatre Scorta s’endettent et décident alors d’ouvrir ensemble le premier bureau de tabac de Montepuccio au début des années 1930. Domenico devient également un contrebandier. Le bureau de…