Candide

TRAVAUX DE RECHERCHE AUTOUR DE « CANDIDE »

1. Quel est le régime politique en France au XVIIIème siècle ?
* Quelles sont ses caractéristiques principales ?
Le régime politique en Franceétait la monarchie absolue au XVIIIème siècle, c’est un régime politique dans lequel l’autorité est détenue par un roi, qui concentre en ses mains tous les pouvoirs et gouverne sans aucun contrôle. Ilpossède les 3 pouvoirs : judiciaire, législatif et exécutif.
Mots : Monarchie absolue
2. A quel groupe d’écrivains Voltaire appartient-il ? Quelle a été leur action ?
Voltaire appartient au groupedes philosophes des Lumières. Le philosophe des Lumières croit au progrès, il pratique le libre examen, il conteste la religion révélée. Il veut faire triompher la raison contre la superstition etl’intolérance. Voltaire est celui qui a le plus marqué son siècle. Son principal ennemi est l’Eglise et son magistère moral, injustifié selon lui. Dans les grands débats et les grands procès de son tempsil n’a cessé de défendre la liberté et la tolérance, tout en souhaitant un régime monarchique, non pas détruit, mais éclairé par la pensée philosophique.
Mots : Philosophie des Lumières, Montesquieu,Rousseau, Voltaire, Diderot
3. Quel accueil Candide a-t-il reçu lors de sa parution ? A qui s’adressait-il ? Quelle est l’importance de cette œuvre en 2010 ?
Candide, ou l’Optimisme est un contephilosophique de Voltaire paru à Genève en janvier 1759. Il a été réédité vingt fois du vivant de l’auteur (plus de cinquante aujourd’hui) ce qui en fait un des plus grands succès littérairefrançais. Aujourd’hui, il est en tête des best-sellers de la littérature classique.
Lors de sa parution, Candide a été condamné dans plusieurs pays pour indécence et effronterie.
Ce livre touche un largepublic, l’aspect comique peut plaire aux enfants, tandis que l’aspect critique et philosophique pourra satisfaire les adultes, cultivés et capables de réfléchir aux sujets graves exposés dans…

Anthologie poétique

ANTHOLOGIE
POETIQUE

Préface

La poésie touche tous les peuples et toutes les époques, il s’agit donc d’une des plus anciennes formes littéraires. Les poètes peuvent faire passer un sentiment qu’ils ressentent au moment où ils écrivent comme l’amertume, l’amour, la tristesse… Il cherchent à faire passer un message souvent caché de manière implicite ou explicite. Les poètes utilisent lesmots comme une arme, afin de faire passer leurs messages et leurs idées. Les mots peuvent toucher, faire pleurer, rendre heureux et triste. Les poètes prennent la force qu’ont les mots pour créer un poème.
La poésie est faite d’image. Chacun peut comprendre un poème à sa façon. La poésie a de multiples possibilités de sens. Chacun ne ressent pas la même sensibilité face à un poème. Un poème peuttoucher une personne et laisser indifférente une autre. Dans la poésie contrairement à d’autres genres littéraires, il y a des vers qui créent un rythme, une harmonie. Maintenant la poésie s’exprime plus avec la musique, c’est la poésie- chanson comme le slam.
Le thème de l’amour: J’ai choisi de prendre le thème de l’amour, un sentiment très important depuis toujours. L’amour est un sentiment,une valeur ou une pulsion il peut rendre heureux comme triste. C’est une notion très complexe tout le monde cherche à comprendre ce qu’est l’amour et a trouver l’amour. C’est un sentiment chacun cherche à ressentir. Mais cette notion d’amour reste vague, l’amour peut être un sujet de médecine, de psychologie, de philosophie, de théologie, de divertissement, d’art… Chaque poète en fonction de sonvécu perçoit l’amour différemment et nous fait passer son point de vue sur le sujet. Certains poètes recherchent l’amour, certain l’ont perdu, d’autres encore en font l’éloge.

La poésie

Le mot poésie vient du grec poiein qui signifie « faire, créer » ; le poète est donc un créateur, un inventeur de formes expressives. La poésie est un genre littéraire très ancien aux formes variées, écriteaussi bien en vers qu’en prose et dans lequel l’importance dominante est accordée à la « forme ».
La poésie est donc un art du langage.

Le XVI° siècle

L’Ecole lyonnaise

Malgré cette dénomination, il ne s’agit pas d’une école à proprement parler, mais d’humanistes liés les uns aux autres. De 1540 à 1560, ce groupe lyonnais autour de Maurice Scève se signale par son indépendance, saliberté d’écriture.
Les principaux poètes sont : Maurice Scève, Antoine Héroët, Guillaume des Autels, Pontus de Tyard et Louise Labé.

Louise Labé
(1524-1566)
Second Sonnet

Ô beaux yeux bruns, ô regards détournés, Ô ris, ô front, cheveux, bras, mains et doigts !
Ô chauds soupirs, ô larmes épandues, Ô luth plaintif viole, archet et voix !
Ô noires nuits vainement attendues, Tant deflambeaux pour ardre une femelle !
Ô jours luisants vainement retournés !

Ô tristes plaints, ô désirs obstinés, De toi me plains, que tant de feux portant,
Ô temps perdu, ô peines dépendues, En tant d’endroits d’iceux mon cœur tâtant,
Ô mille morts en mille rets tendues, N’en est sur toi volé quelque étincelle.
Ô pires maux contre moi destinés !

Maurice Scève
(1500-1562)

Au moinstoi, claire et heureuse fontaine

Au moins toi, claire et heureuse fontaine,
Et vous, ô eaux fraîches et argentines,
Quand celle en vous – de tout vice lointaine –
Se vient laver ses deux mains ivoirines,
Ses deux soleils, ses lèvres corallines,
De Dieu créées pour ce monde honorer,
Devriez garder pour plus vous décorer
L’image d’elle en vos liqueurs profondes.
Carplus souvent je viendrais adorer
Le saint miroir de vos sacrées ondes.
Pernette du Guillet
1520-1545

À qui plus est un Amant obligé
Ou à Amour, ou vraiment à sa Dame ?
Car son service est par eux rédigé
Au rang de ceux qui aiment lauds, et fame.
À lui il doit le cœur, à elle l’Âme,
Qui est autant comme à tous deux la vie ;
L’un à l’honneur, l’autre à bien le convie ;…

Coucou le hibou

Résumé [modifier]

Pendant l’hiver 1870-1871, la ville de Rouen (Normandie) est envahie par les Prussiens. Pour fuir l’occupation, un groupe de dix personnes prennent la diligence de Dieppe : uncouple de commerçants, un couple de bourgeois, un couple de nobles, deux religieuses, un démocrate et enfin l’héroïne Boule de Suif.

Le voyage s’annonce difficile, la diligence n’avance pas. Lesvoyageurs ont faim et seule la jeune femme a pensé à emporter des provisions, qu’elle partage généreusement. Les voyageurs font étape dans une auberge à Tôtes (sur le modèle de l’Auberge du cygne),occupée par les Prussiens. Un officier qui occupe cette auberge leur interdit de repartir tant que Boule de Suif n’aura pas accepté ses avances. Patriote, elle refuse, approuvée de ses camarades. Mais ilsperdent patience et trament un complot contre elle. Enfin, elle finit par céder sous la pression des autres voyageurs. Malgré le service rendu à ses camarades, ils la couvrent de honte

Résumé deBoule de suif :
Anti-copie – Résumé et fiche de lecture – Boule de suif – Guy de Maupassant

L’histoire commence avec le replit des troupes francaise et l’envahissement de Rouen par les Prussiens.Quelques marchands et personnes avec de l’argent arrivent à avoir l’autorisation de quitter la ville en diligence pour le Havre.C’est très tôt le matin et la diligence emmènent 10 personnes.Des marchandset leurs femmes, un comte deux bonnes soeur set puis une fille…
Anti-copie – Résumé et fiche de lecture – Boule de suif – Guy de Maupassant

La plus part des voyageurs ne se sont pas très bienpréparés au voyage et personne n’a prévu à manger sauf Boule de suif.Vers 15h elle craque et sort son panier plein de victuaille. Elle mange et en offre à tout le monde. A la fin il ne lui reste plusrien elle qui n’aime pas manger dans les auberges. A la nuit tombée on n’a toujours pas atteint le Havre donc on dort dans une auberge. L’auberge est occuppée par un officier Prussien et avant le…

Systéme d’explotation

Définition
Utiliser un ordinateur, c’est utiliser un système d’exploitation. Cette définition est assez sommaire. Qu’est ce qu’un système d’exploitation? On peut définir ce terme de différentes manières mais finalement c’est ce qui permet à un utilisateur courant qui ne comprend rien à l’électronique d’un ordinateur de s’en servir: c’est une interface entre d’une part le matériel etl’utilisateur et ses logiciels d’autre part.

Cette définition pose la première question, qu’est ce qu’un ordinateur? C’est un appareil électronique qui utilise différents composants digitaux pour traiter de l’information. Le composant principal est le microprocesseur (aussi appelé processeur) qui lit des suites d’instructions (programmes – logiciels) et les exécute. C’est un « crétin », il ne prendaucune décision, tous est conditionné par ces suites d’instructions liées au programme et à des conditions. Chaque famille de processeur (par exemple les X86) utilise son propre langage et ne lit que les instruction qu’il peut décoder. En plus, un processeur est lié aux autres composants électroniques annexes qui lui permettent de communiquer. C’est ici que çà se complique. Deux ordinateurs compatiblespeuvent utiliser des processeurs, des cartes mères, des périphériques internes (disque dur, lecteurs / graveurs, CD et DVD, …), des cartes additionnelles et même des périphériques externes (imprimante, scanners, …) différents. Cette partie fait partie du cours hardware 1.
Les deux autres parties logicielles principales d’un ordinateur sont:
• le firmware, la partie électronique purerassemblée dans le BIOS.
• les logiciels, applications utilisées par les utilisateurs.
Le firmware est nécessaire à tous les systèmes basés sur des microprocesseurs (et microcontrôleurs). Cette programmation permet au processeur de démarrer l’ordinateur. Dans le cas des PC compatibles, elle est découpée en 2 parties: le BIOS écrit en mémoire Rom et le setup qui permet de paramétrercertaines configurations matérielles internes du PC. Ecrit en assembleur, le langage interne des processeurs, le BIOS est spécifique à chaque carte mère. Son décryptage est quasiment impossible pour les non spécialistes.
Les logiciels ou programmes sont les seuls réellement intéressants pour l’utilisateur. On retrouve les logiciels bureautiques (Word, Excel, Access, PowerPoint, ….), leslogiciels de traitement d’image (Corel Draw, Adobe Photoshop, …), logiciels de gestion informatique, dessin technique, …
Il nous reste à lier ces 2 parties, permettre à l’utilisateur et aux programmes installés dans l’ordinateur d’utiliser les composantes électroniques comme la gestion des fichiers sur le disque dur, l’affichage des informations, … C’est le rôle du système d’exploitation.Une dernière composante logicielle se base sur les pilotes. Ce sont des programmes permettant d’utiliser des périphériques spécifiques (carte graphique, imprimante, scanner, …). Ils sont spécifiques au périphérique et généralement au système d’exploitation. Les systèmes d’exploitation actuels incluent quelques pilotes. Sans ce programme, vous ne pouvez par exemple pas imprimer, pas de son oumême affichage limité en VGA (16 couleurs, 640 X 480 comme résolution). Nous en reparlerons dans la suite du cours.

2. L’historique

Les premiers ordinateurs incluaient le système d’exploitation directement en ROM (donc non modifiable). On retrouve UNIX et quelques systèmes propriétaires (spécifique à un fabricant) dans les premiers ordinateurs. Dans les années 70, le principal systèmed’exploitation s’appelait CP/M (Control Program for Microprocessors). Il était utilisé notamment pour les microprocesseurs 8 bits INTEL 8080.
Début des années 80, les premiers ordinateurs personnels faisaient leur apparition. Ces ordinateurs personnels comme l’Apple II ou le commodore 64 utilisaient leur propre système d’exploitation. Pour faciliter leur utilisation, les fabricants incluaient…

La peau de chagrin

La Peau de chagrin est un roman d’Honoré de Balzac publié en 1831 par Gosselin et Canel dans les Romans et contes philosophiques, puis aux éditions Werdet en 1834 dans les Études philosophiques. Une édition illustrée de 1837 chez Delloye et Lecou fait appel, avant Furne, à 124 artistes. L’édition Furne de 1845 place la Peau de chagrin en tête des Études philosophiques.

Le texte a connudiverses pré-publications dans les journaux de l’époque sous forme d’extraits dans la Revue des Deux Mondes en mai 1831, sous le titre Une débauche publié un mois plus tard dans le Cabinet de lecture et le Voleur. La Revue de Paris publie à son tour une version du texte sous le titre le Suicide d’un poète.

Ces pré-publications provoquèrent un engouement tel que l’ouvrage fut rapidement épuisé peuaprès sa publication définitive, bien que Balzac délivrât son manuscrit avec cinq mois de retard.

Ne voir que du réalisme dans ce texte pourrait être un contresens si l’on en croit les balzaciens français :

« Dans Les Martyrs ignorés Balzac semble, par la maladie de poitrine, (déjà évoquée dans Le Lys dans la vallée à propos du fils de Madame de Mortsauf, [1]) avoir voulu réduire le destinfantastique du personnage de Raphaël à une simple mort par tuberculose, comme il le faisait déjà partiellement dans La Peau de chagrin. Pour faire rentrer Raphaël dans la Comédie humaine, sans doute faillait-il rendre le personnage à un monde plus réaliste. Balzac n’y est jamais parvenu(…). S’obstiner à ne voir en Balzac qu’un auteur réaliste et s’indigner du fantastique dans ce roman serait faireune grave erreur de perspective historique et témoignerait d’une vision (heureusement de moins en moins partagée) myope et positiviste de l’ensemble de la production balzacienne[2]. »

Cette œuvre peut être considérée comme le premier vrai roman de Balzac [3].

Le thème central de ce roman est le conflit entre désir et longévité. La peau magique représente la force vitale de son propriétaire,et se racornit à chaque satisfaction de son désir d’autant plus s’il vise à l’accroissement de puissance. Faisant fi de la mise en garde de l’antiquaire qui lui offre cette peau, le héros s’entoure de richesses pour se retrouver misérable et décrépit à la fin du roman.

L’expression peau de chagrin est entrée dans le langage commun pour désigner tout ce qui se réduit invinciblement à l’usage[4].

Sommaire
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* 1 Contexte
* 2 Écriture et publication
* 3 Résumé
* 4 Analyse
* 5 Adaptations musicales
* 6 Adaptations à l’écran
o 6.1 Au cinéma
o 6.2 A la télévision
* 7 Bibliographie
o 7.1 Bibliographie sur l’œuvre de Balzac
o 7.2 Bibliographie sur la Peau de chagrin
* 8 Notes et références
*9 Voir aussi
o 9.1 Articles connexes
o 9.2 Liens externes

Contexte [modifier]
Honoré de Balzac Balzac est déjà un auteur à la mode en 1830 après la publication de Physiologie du mariage[5].

Dès 1829-30, Balzac est déjà célèbre grâce à la Physiologie du mariage, il est reçu dans le salon de Juliette Récamier au même titre que les meilleures plumes[6]. Cette périodecorrespond aux années qui suivent la faillite de son imprimerie. Après cette faillite, Balzac revient à l’écriture, pour y connaître enfin le succès en 1830 avec la Physiologie, qui fait partie des « études analytiques », « Livre brillant et sans vergogne qui prouvait une étonnante connaissance des femmes[7]. » Sophie Gay l’accueille à son tour dans son salon où brillaient les jeunes romantiques[8],et le roman politico-militaire les Chouans, (souvent qualifié à tort de roman historique[9],[10].) quoiqu’échec commercial, révèle une plume respectable[11]. Dès 1830, il est très lancé, et il va devenir un homme du monde. Il écrit dans la Revue de Paris, la Revue des Deux Mondes, La Mode, La Silhouette, Le Voleur, La Caricature. Il devient l’ami d’Émile de Girardin et signe de Balzac [12]….

Modulation du message nerveux

Introduction La transmission du message nociceptif peut?être modulée par des molécules endogènes telles que les enképhalines et par des molécules exogènes telles que la morphine. Mais la morphine peut également avoir d’autres effets que cette action analgésique : elle procure du plaisir. Comment la morphine agit­elle su niveau du cerveau ? Que sont ces « circuits de ma récompense » ? 1­Origine de la morphine Le pavot est une plante sauvage originaire d’Europe. Cultivé dès le Néolithique pour faire de l’huile d’œillette à partir de ses graines, il passe via les échanges commerciaux vers l’est. Sous des climats très chauds, en Mésopotamie ou en Egypte, le pavot à opium (Papaver somniferum album) pousse abondamment, permettant l’exploitation de ses fruits, les capsules. C’est en incisant ces dernières que l’on obtient un latex blanc nommé opium. L’opium est un des plus anciens médicaments naturels connus. On le retrouve dans de nombreuses peintures et sculptures antiques (divinités portant des feuilles et des capsules de pavot sur leurs couronnes en Crète …). Sous l’empire romain l’opium va être de plus en plus répandu et utilisé pour lutter contre la douleur. C’est la base notamment de la fameuse thériaque, antalgique très employée à cette époque. Il sera repris par les pays arabes et l’Inde, aux 8e et 10e siècles. L’usage dévié que nous connaissons à l’opium (fumeries, …) n’arrivera qu’au milieu du 17e siècle en Chine.

CHAPITRE 11 ­ MODULATION DU MESSAGE NERVEUX PAR DES MOLÉCULES EXOGÈNES EXEMPLE DE LA MORPHINE

En développant la chimie, Lavoisier donnera vers la fin du 18e siècle aux pharmaciens la possibilité d’extraire les principes actifs chimiquement définis issus des plantes. La première plante dont le principe actif sera extrait est le pavot à opium. Le pharmacien allemand Sertürner en isolera le principe actif en 1805 : la morphine. La molécule conserve toutes les caractéristiques de l’opium, comme une réduction de la douleur. Et elle permettra de mieux doser les quantités données aux patients. 2­Mode d’action de la morphine Suite à une stimulation électrique intense des fibres nociceptives pré?synaptiques, on enregistre à l’aide d’électrodes le nombre de potentiel d’action qui parcourt les fibres nociceptives post? synaptiques et ceci dans 3 cas différents : Réponse témoin sans injection de morphine :

Réponse 5 minutes après injection de morphine :

Réponse 15 minutes après injection de morphine :

Enképhalines et morphine ont des structures comparables et similaires au niveau de la portion qui se fixent sur les récepteurs opioïdes.

2­1­ Action au niveau de la moelle épinière La morphine en se fixant sur les récepteurs opioïdes localisés sur les neurones de la corne dorsale de la moelle épinière, est à l’origine d’une puissance activité analgésique qui n’entraine pas de dépendance. Contrairement aux enképhalines, la morphine peut pratiquement bloquer l’émission des messages nerveux nociceptifs en direction du cerveau et par conséquent supprimer totalement la sensation de douleur. Elle a une action plus durable car elle est moins rapidement détruite.

2­2­Action au niveau du cerveau La morphine et ses dérivés de synthèse comme l’héroïne peuvent être à l’origine d’une sensation de plaisir. La genèse de cette sensation de plaisir résulte de la fixation de la morphine sur les récepteurs opioïdes du cerveau mimant l’action des morphines endogènes. Il ya donc une levée durable de l’inhibition des neurones modulateurs sur les neurones dopaminergiques et une durable sécrétion de dopamine qui contribue à une intense sensation de plaisir. Mais la morphine a un inconvénient majeur : elle a les mêmes caractéristique qu’une drogue (tolérance, dépendance psychique et dépendance physiologique). En effet, la morphine et l’alcoïde principal. …

Histoire résumée du théâtre

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Exposé de français :
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L’HISTOIRE DU THEATRE————————————————-
DE SES ORGINES A NOS JOURS
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Antiquité

L’histoire du théâtre commence lors des cérémoniesreligieuses dans la Grèce antique : des concours de tragédie avaient lieu : chaque auteur était subventionné par un mécène et devait présenter ce qui s’appelait une TETRALOGIE, c’est-à-dire troistragédies et un drame satirique, qui étaient jouées à la suite dans une même journée. Les acteurs étaient uniquement des hommes. Vers 530 av. JC, un auteur nommé Thepsis crée le protagoniste : unique acteursur scène, vite rejoint par d’autres acteurs. En effet, Eschyle en fait intervenir un 2e et Sophocle un 3e puis avec le temps de plus en plus d’acteurs apparaissent.

Ensuite théâtre latin setourne plus vers la farce et le mime acteurs tous masculins, masqués (porte-voix) au début puis sont maquillés rapidement. Début du christianisme = théâtre critiqué comme « démoniaque » par lesthéologiens. (excommunication des acteurs)

Exemple = Théâtre d’Orange

Moyen Âge

Lors de cette période, les représentations scéniques sont rares. Bien que les oeuvres de Sénèque et de Térence ne soientpas oubliées, on les envisage dans un cadre extérieur à la représentation traditionnelle, au tel point que les auteurs étaient persuadés du fait que les tirades étaient récitées séparément du jeu descène (qui était effectué par des « mimes »).

Le théâtre en langue vulgaire, appelé JEU entre en plein essor au XIIIe siècle. En parallèle, des MYSTÈRES, successions de tableaux représentant despassages la Bible, sont joués pour remercier le ciel d’avoir fait cesser un fléau (épidémie, tempête, guerre…).

Ces mystères, apparus au XVe siècle, font, en majorité, partie du théâtre liturgique…

Bertrand russell

Bertrand Arthur William Russell, né le 18 mai 1872 à Trellech (Monmouthshire), et mort le 2 février 1970 près de Penrhyndeudraeth (Pays de Galles), est le 3e comte Russell, ainsi qu’un mathématicien,logicien, philosophe, épistémologue, homme politique et moraliste britannique.

Considéré comme l’un des plus importants philosophes du XXe siècle, avec une pensée qui peut être présentée selontrois grands axes.

La logique et le fondement des mathématiques : Russell est, avec Frege, l’un des fondateurs de la logique contemporaine. Son ouvrage majeur, écrit avec Alfred North Whitehead, estPrincipia Mathematica. À la suite des travaux d’axiomatisation de l’arithmétique de Peano, Russell a tenté d’appliquer ses propres travaux de logique à la question du fondement des mathématiques (cf.logicisme).

Il soutint l’idée d’une philosophie scientifique[1], et a proposé d’appliquer l’analyse logique aux problèmes traditionnels, tels que l’analyse de l’esprit, de la matière (problèmecorps-esprit), de la connaissance, ou encore de l’existence du monde extérieur. Il est ainsi le père de la philosophie analytique. Jules Vuillemin le fera connaître en France.

L’engagement social etmoral : il écrivit des ouvrages philosophiques dans une langue simple et accessible, en vue de faire partager sa conception d’une philosophie rationaliste œuvrant pour la paix et l’amour. Il s’est engagédans de nombreuses polémiques[2] qui le firent qualifier de Voltaire anglais, défendit des idées proches du socialisme de tendance libertaire et milita également contre toutes les formes dereligions, considérant qu’elles sont des systèmes de cruauté inspirés par la peur et l’ignorance[3]. Il organisa le tribunal Sartre-Russell contre les crimes survenus pendant la guerre du Viêt Nam.

Sonœuvre, qui comprend également des romans et des nouvelles, fut couronnée par le prix Nobel de littérature en 1950[4], en particulier pour son engagement humaniste et comme libre penseur. Enfin, il…

Normalisation

Les avantages de la normalisation
Pour vous en tant qu’entreprise…
la normalisation est un atout stratégique qui vous aide à atteindre vos objectifs techniques et financiers.

Dans l’économiede marché, les normes vous permettent d’établir un référentiel pour la valorisation de vos produits et services. L’utilisation des normes génère une rationalisation des productions et uneoptimalisation de votre stratégie de R&D.

De plus vous trouverez de nouveaux débouchés pour vos produits car bon nombre de pays apprécie les apports de la normalisation.

Dans le cas de certainsmarchés émergents, vos initiatives faciliteront et guideront le processus de normalisation.

La normalisation influence aussi favorablement l’image de marque de votre entreprise. Votre implication activedans les travaux de normalisation vous permet de vous positionner comme entreprise qui favorise l’innovation des produits et processus. Cette qualité est largement appréciée par vos fournisseurs etclients.

Les mêmes avantages existent pour les PME qui s’adressent en particulier à un petit segment de marché en termes de clientèle ou produits.

La demande de normalisation émane de l’industrieet est faite pour l’industrie. Votre participation active au processus normatif vous permet d’influencer le consensus qui donne vie à la norme.

Cette norme est ensuite acheminée vers un ensembled’utilisateurs et jouera un rôle déterminant dans le développement ou l’application du produit.

Agir de telle sorte vous assure que vos idées et vos connaissances techniques seront prises en comptedans la norme et pas celles de vos concurrents…

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Pour vous en tant que consommateur…
La santé, la sécuritéet l’environnement sont devenus des éléments incontournables dans la stratégie normative.

Par exemple : fours à micro-ondes, turbines éoliennes et panneaux solaires, télévisions et appareils à…

Analyse de l’essai belge « le jour du chien » de caroline lamarche

Quelques mots sur l’auteur :
Caroline Lamarche est une écrivaine belge née à Liège le 3 mars 1955. Elle vécut dans le nord de l’Espagne durant sa petite enfance puis retournera en France et passerason baccalauréat en région parisienne. Elle fera des études de philologie romane. Elle se mariera et son mari l’emmènera en Afrique, au Nigéria, où elle y enseigna le français et l’anglais. Quand ellereviendra en Belgique, elle travaillera comme secrétaire bilingue anglais-espagnol. Aura deux filles en 1981 et 1983. Elle commença à écrire au début des années 90 et remportera le prix Rossel en1996 avec son premier roman Le jour du chien que je vais vous présenter. Elle est l’auteur de six romans, de poèmes, de nouvelles, de pièces radiophoniques, et de textes pour la scène.

Analyse de lanouvelle :
Cet ouvrage est sous-titré « roman », mais est structuré comme une série de six nouvelles relativement indépendantes les unes des autres qui se racontent à la première personne du singulier.Ces six personnages portent tous un masque. A travers leur histoire, on se rend compte qu’ils ont tous des blessures psychologiques profondes et que le fait d’avoir vu ce chien sur l’autoroute àréveillé cette douleur.

Chacun des personnages (un camionneur, un cycliste et quatre automobilistes) voyagent le long d’une autoroute très fréquentée, lorsqu’un chien errant brave la circulationintense et oblige ces voyageurs à s’arrêter pour éviter un accident. Les six personnes se trouvent donc réunies provisoirement sur les bas-côtés d’une autoroute, lieu quelconque qui, soudain, partagent unespace commun. Pour chacun d’entre eux, l’incident déclenche un besoin de s’épancher, ou plutôt de se libérer de préoccupations, voire d’obsessions personnelles, de « se raconter » à soi-même dans unmonologue intérieur.

Dans l’ensemble, on a l’image d’un champ circulaire, avec pour centre « l’incident du chien ». Six rayons partent de six points de la circonférence pour se rejoindre en ce…