Commentaire composé baudelaire a une dame créole

COMMENTAIRE COMPOSE DU POEME DE BAUDELAIRE : A UNE DAME CREOLE

INTRODUCTION
Si la poésie constitue souvent une ‘’ invitation au voyage ‘’, elle est aussi parfois inspirée pardes voyages réels : le séjour du jeune Baudelaire dans les iles de l’océan Indien réapparait ainsi, cristallisé par l’activité onirique, dans bien des poèmes des fleurs du mal. Lesonnet ‘’ a une dame créole ‘’ , un des plus anciens de l’auteur , a été écrit en 1841 pour rendre hommage a la femme de on hôte de l’ile de France. D’inspiration ronsardienne, ilse développe sur la mode de la description laudative en jouant avec l’espace et le temps. L’éloge de la figure féminine n’est pas seulement l’occasion d’un tableau exotique ; enun magnifique transfert spatial et temporel succède a ce dernier une image fantasmatique de la renaissance, dominée par la muse inspiratrice.

PLAN DE DEVELOPPEMENT
1 portraitexotique de la femme créole
* Douceur
* Noblesse
* Décor exotique
2 Transposition fantasmatique
* Cadre spatial : ile de France, Touraine, Anjou
* Présence despoètes de la renaissance
* Domination de la muse inspiratrice

CONCLUSION
Dans ce poème de jeunesse apparaissent déjà les principaux motifs de l’exotisme baudelairien ; ilsseront développés plus tard , quand le monde exotique, perdu dans la réalité, reprendra toute son identité, dans l’imaginaire poétique. La valeur de ce sonnet tient aussi au faitqu’un espace en suscite un autre, et déjà se met en œuvre le principe baudelairien de dualité : le poète établit il une correspondante entre les deux univers, recherche t-ill’unité harmonieuse du monde ? Se dessine des lors la quête de l’idéal et s’affirme le pouvoir évocatoire et onirique de la femme, médiatrice de la communication poétique avec le réel

Biographie : adolf hitler

Adolf Hitler, né le 20 avril 1889 à Braunau am Inn en Autriche (alors en Autriche-Hongrie) et mort par suicide le 30 avril 1945 à Berlin, est un homme politique allemand, fondateur et figure centrale du nazisme, instaurateur de la dictature totalitaire désignée sous le nom de Troisième Reich (1933-1945).

Porté à la tête de l’Allemagne par le Parti national-socialiste des travailleurs allemands(NSDAP) qu’il reprend en 1921, il devient chancelier du Reich le 30 janvier 1933, puis se fait plébisciter en 1934 comme président, titre qu’il délaisse pour celui de Führer (« guide »). Sa politique expansionniste est à l’origine du volet européen de la Seconde Guerre mondiale, pendant lequel il fait perpétrer de très nombreux crimes contre l’humanité, dont la Shoah reste le plus marquant.L’ampleur sans précédent des destructions, des pillages et des crimes de masse dont il est le responsable, tout comme le racisme radical singularisant sa doctrine et l’inhumanité exceptionnelle des traitements infligés à ses victimes lui ont valu d’être considéré de manière particulièrement négative par l’historiographie, par la mémoire collective et par la culture populaire en général. Son nom et sapersonne font généralement figure de symboles répulsifs[N 1].Adolf Hitler, né le 20 avril 1889 à Braunau am Inn en Autriche (alors en Autriche-Hongrie) et mort par suicide le 30 avril 1945 à Berlin, est un homme politique allemand, fondateur et figure centrale du nazisme, instaurateur de la dictature totalitaire désignée sous le nom de Troisième Reich (1933-1945).

Porté à la tête de l’Allemagnepar le Parti national-socialiste des travailleurs allemands (NSDAP) qu’il reprend en 1921, il devient chancelier du Reich le 30 janvier 1933, puis se fait plébisciter en 1934 comme président, titre qu’il délaisse pour celui de Führer (« guide »). Sa politique expansionniste est à l’origine du volet européen de la Seconde Guerre mondiale, pendant lequel il fait perpétrer de très nombreux crimescontre l’humanité, dont la Shoah reste le plus marquant.

L’ampleur sans précédent des destructions, des pillages et des crimes de masse dont il est le responsable, tout comme le racisme radical singularisant sa doctrine et l’inhumanité exceptionnelle des traitements infligés à ses victimes lui ont valu d’être considéré de manière particulièrement négative par l’historiographie, par la mémoirecollective et par la culture populaire en général. Son nom et sa personne font généralement figure de symboles répulsifs[N 1].

Adolf Hitler naît le 20 avril 1889 à Braunau am Inn, une petite ville de Haute-Autriche près de la frontière austro-allemande dans l’auberge Gasthof zum Pommer, Vorstadt Nr. 219.

Il est le quatrième des six enfants d’Alois Hitler et de Klara Pölzl. La plupart desenfants meurent en bas âge ; seule sa sœur cadette Paula († 1960) lui a survécu.

Alois Hitler, le père d’Adolf, est douanier. Né hors mariage le 7 juin 1837, Alois porte d’abord le nom de famille de sa mère, Maria Anna Schicklgruber, mais le 6 juin 1876, il est légitimé par le mari de sa mère, et obtient un an plus tard le droit de porter le nom « Hitler ». Adolf n’utilisa jamais d’autre patronyme,et « Schicklgruber » ne resurgit que plus tard chez ses opposants politiques.

L’arbre généalogique d’Adolf Hitler laisse cependant planer de fortes suspicions de consanguinité[réf. nécessaire]. L’incertitude relative à ses origines n’est pas sans conséquence. Ainsi après l’Anschluss en 1938, il fait détruire Döllersheim, le village natal de son père, en le transformant en champ de tir.L’enfance d’Adolf se passe sous la stricte discipline d’un père âgé, fonctionnaire retraité dès 1895. Le 3 janvier 1903, son père meurt, suivi le 21 décembre 1907 par sa mère, qui succombe à un cancer du sein.

Élève médiocre à partir de son entrée à la Realschule (lycée) de Linz, où il croise la route du futur philosophe d’origine juive Ludwig Wittgenstein[2], Hitler refuse déjà de suivre la voie…

Lunette clown

De grosses lunettes, un gros nez et voilà de quoi compléter un déguisement de clown ! Une activité pour fabriquer des lunettes de clown pour se déguiser pour le Carnaval. La réalisation de ceslunettes de clown peut aussi être une activité pour occuper les enfants lors d’un anniversaire.
Voir les instructions
Lunettes de clown De grosses lunettes, un gros nez et voilà de quoi compléter undéguisement de clown ! Une activité pour fabriquer des lunettes de clown pour se déguiser pour le Carnaval. La réalisation de ces lunettes de clown peut aussi être une activité pour occuper les enfantslors d’un anniversaire.
Voir les instructions >>Les apports du bricolage Développer la dextérité
Préparer le carnaval
Développer l’esprit débrouille
Développer sa créativitéRécupération des emballages domestiques
Fournitures pour le lunettes : Un pot petit suisse en plastique de couleur
Du papier épais noir
Des ciseaux
Des gommettes
De lacolle (éventuellement un pistolet à colle)
Réalisation des lunettes de clown pour le déguisement Imprimez le modèle de lunettes de clown
cliquez pour imprimer
Demandez à votre enfant de :Reproduire le modèle de lunettes de clown sur du papier noir
Découper les lunettes de clown

Evider l’intérieur des lunettes

Décorer les lunettes de clown avec des gommettes
Découper 2 trous sous le pot de yaourt pour laisser le nez respirer

Coller le pot de petit suisse pour faire le nez
Cliquez pour voir en grand
Ajuster la longueur desbranches de lunettes
Coller les branches de chaque côté des lunettes

Vous pouvez remplacer les branches de lunettes par un fil élastique pour que les lunettes de clown tiennent mieux sur la têtede l’enfant.
| Cliquez pour voir en grand |
Il ne reste plus qu’à mettre les lunettes de clown ! Vous pouvez compléter le déguisement avec un chapeau de clown. (cliquez pour voir la…

Le deserteur

Boris Vian est né le 10 mars 1920 et passe son enfance à Ville-d’Avray, dans une famille aisée, menacée pourtant de ruine .Il sera ingénieur, romancier,trompettiste, chroniqueur musical, chanteur, auteur dramatique, comédien. En 1939, il entre à l’Ecole Centrale et en sort ingénieur. Il travaille alors à l’AFNOR. A partir de1947, il est animateur des cabarets de Saint-Germain-des-Près et trompettiste dans l’orchestre de jazz de Cl.En 1944, il rencontre Queneau et termine son premierroman, Vercoquin et le plancton. En 1956, il est directeur artistique chez Philips. Il est aussi l’auteur de plus de quatre cents chansons Il meurt pendantl’avant-première d’un film le 23 juin 1959 à 39 ans.

Un extrait de la chanson de la valse jaune :

Il y a du soleil dans la rue
Moi j’aime le soleil mais j’ai peurdes gens
Et je reste caché tout l’temps
A l’abri des volets d’acier noir

Il y a du soleil dans la rue
Moi j’aime bien la rue mais quand elle s’endort
Etj’attends que le jour soit mort
Et je vais rêver sur les trottoirs

Et l’soleil
De l’aut’ côté du monde
Danse une valse blonde
Avec la terre ronde, ronde, ronde,ronde
Le soleil
Rayonnant comme un faune
Danse une valse jaune
Pour ceux de l’autre ciel

Mais moi j’ai la nuit dans ma poche
Et la lune qui accroche
Del’ombre au coin des toits
Je vois tous les songes qui volent
En lentes banderoles
Et se perdent là-bas

Le Goûter des généraux est une pièce de théâtre écritepar Boris Vian en 1951 Cette pièce, écrite juste après la Seconde Guerre mondiale. L’Équarrissage pour tous est une pièce de théâtre de Boris Vian écrite en 1947

Croissance interne

LES LEVIERS DE LA CROISSANCE ORGANIQUE

Institut de l’entreprise Mercer Management Consulting École Centrale Paris

Juin 2005

© Institut de l’entreprise, 2005 Tous droits de reproduction, de traduction, d’adaptation et d’exécution réservés pour tous les pays Directeur de la publication : Jean-Pierre Boisivon, Délégué général de l’Institut de l’entreprise

Photographie de couverture : ©Ross M Horowitz, coll. : The Image Bank/gettyimages

Sommaire

Préface . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

5

I. Les leviers de la croissance organique . . . . . . . . . .
par Hanna Moukanas, Mercer Management Consulting

7

1. La croissance organique, parent pauvre de la croissance . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

9

2. Lesenseignements de l’enquête . . . . . . . . . . . . . . . . . . 13
Modèles de croissance organique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Les leviers managériaux clés . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 14 16

3.Transformer l’entreprise pour renouer avec la croissance organique . . . . . . . . . . . . . . 29Innover dans la compréhension du client et de ses contraintes . . . . . . . . . . . . . . . Encore et toujours : comprendre les besoins du client . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Aider le client à réduire son risque et ses coûts …………………….. 29 30 32 33

Connaître la chaîne de valeur interne du client . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

Exploiter lesactifs cachés de l’entreprise

………………………….

34 35

Adapter le business design à la croissance organique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

4. Pérenniser la croissance organique . . . . . . . . . . . . . . . . 39
Fédérer l’équipe de direction autour d’une vision claire et partagée . . . . . . . . . . Refondre les processus de décision stratégique . . . . . . .. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 39 41

II. La croissance organique : une approche académique . . . . . . . . 43
par Éléonore Mounoud, École Centrale Paris

La croissance organique : une approche académique . . . . 45
La croissance organique dans la littérature académique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Croissance organique et stratégies de rupture . . . . . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . . . . . Le management de la technologie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . L’approche par les compétences-clés . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Une approche stratégique de l’innovation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . « Dématuration » et leadership . . . . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Leviers de croissance organique et stratégies de « dématuration » . . . . . . . . . . . Repenser les modalités de l’exercice stratégique ……………………. 45 46 47 47 49 50 51 52 53

Croissance organique et transformation de l’organisation . . . . . . . . . . . . . . . . . .

Préface

l’origine de cette étude, il y a un constat :la croissance organique n’a contribué que dans une proportion très faible à la formidable croissance qu’ont connue les grandes entreprises françaises au cours de ces dernières années. Les chiffres cités par Mercer sont éloquents : le chiffre d’affaires des entreprises cotées au CAC 40 a crû en moyenne de 10 % par an entre 1995 et 2003 ; mais la croissance organique sur les marchés d’origine n’acontribué en moyenne qu’à hauteur de 0,2 % à ce rapide essor. Cette situation ne doit pas manquer d’interpeller les dirigeants : l’expérience de ces toutes dernières années est venue rappeler le caractère cyclique du marché des fusions-acquisitions ; l’intensification de la concurrence interdit aux entreprises de tabler durablement sur l’augmentation des prix, en dehors de quelques secteurs ;…

Violeta parra

« VIOLA CHILENSIS »

[pic]

[…]
“Preocupada siempre de
los otros
Cuando no del sobrino
de la tía
Cuándo vas a acordarte
de ti misma
Viola piadosa.
Tu dolor es un círculo
infinito
Que no comienza ni termina
nunca
Pero tú te sobrepones
a todo
Viola admirable.
[…]
Todos los adjetivos se
hacen pocos
Todos los sustantivos
se hacen pocos
Para nombrarte.
Poesía
pintura.agricultura
Todo lo haces a las mil
maravillas
Sin el menor esfuerzo
como quien se bebe una
copa de vino.
[…]
Porque tú no te compras
ni te vendes
Porque hablas la lengua
de la tierra
Viola chilensis.
[…]
¡Nadie puede quejarse
cuando tú
Cantas a media voz o
cuando gritas
Como si te estuvieran
degollando
Viola volcánica!
[…]
Dónde voy a encontrar
otra Violeta”
[…]Nicanor Parra

Violeta Parra est sans doute l’artiste chilienne la plus complète et la plus authentique.
Comme tout artiste et comme tout être humain, l’essence et l’œuvre de Violeta Parra ont été marquées par son enfance et par sa vie en général.

Violeta del Carmen Parra Sandoval est née le 4 octobre 1917 à San Carlos, dans le sud du Chili. Issue d’une humble famille paysanne, fille de NicanorParra, instituteur qui répertoriait les thèmes folkloriques de la région et de Clarisa Sandoval, couturière, Violeta grandit avec neuf frères et sœurs. Elle est depuis toujours plongée dans le monde de la musique ; dès son plus jeune âge, sa mère lui chante, tout en cousant, des mélodies traditionnelles.
Les enfants montrent très tôt leur habilité pour le spectacle. La prolifique famille Parra adonné à la scène artistique chilienne de ses plus grands auteurs : Nicanor, l’ « antipoète » génial ; « tío Lalo », musicien et folkloriste ; Roberto, folkloriste ; Oscar, artiste de cirque ; Hilda, chanteuse et parmi leurs enfants et petits enfants, Angel, Isabel, Juanita, Colombina ou Javiera sont autant de noms qui raisonnent sur la scène musicale de ce pays. De son côté, Violeta commence àjouer de la guitare à neuf ans et compose ses premières chansons à l’âge de douze ans.
Dès leur plus tendre enfance, les ainés forment un groupe uni et turbulent qui passe ses journées à jouer, parcourant les rives du fleuve Cautín ou écoutant le père chanter sous les arbres, accompagné de sa guitare. De là naît l’habitude d’apprendre des chansons pour que le père les récompense avec une petitepièce.
Vers 1927, l’instituteur est licencié et Clarisa accentue encore son labeur pour permettre à sa grande famille de survivre. Elle passe alors sa vie à coudre et laver infatigablement. Violeta l’aide dans ses tâches et se souviendra de ces moments difficiles.
Plus tard, Violeta se voit obligée d’abandonner les études primaires pour aider la famille aux travaux des champs. Son père, atteintd’une grave maladie, meurt en 1929 et toute la famille se mobilise pour trouver de quoi subsister. Chacun commence à gagner péniblement quelques menues monnaies contre des travaux de toutes sortes ou en chantant dans les cirques, dans la rue, les petites salles de quartier ou même dans des maisons closes. Violeta et son frère Lalo sont sans doute les premiers chanteurs de rue du Chili.
A quinze ans,Violeta part à Santiago, invitée par son frère ainé Nicanor. Elle reprend les études et intègre l’école normale de filles où, malgré de bons résultats, elle ne se sent pas à l’aise, plutôt intéressée par la musique que par les études. Elle les abandonne donc pour former avec sa sœur Hilda le duo folklorique « Las Hermanas Parra ». Le duo gagne sa vie en se produisant dans des bars, « quintas derecreo »[1] et petites salles de quartier.
En 1938 Violeta épouse Luis Cereceda, employé ferroviaire, avec qui elle a deux enfants : Angel et Isabel. Le couple déménage sur Valparaiso mais bientôt, le caractère infatigable et indomptable de Violeta se heurte au concept conventionnel de son mari. Il attend d’elle, en effet, d’être avant tout une épouse et mère au foyer. Or, Violeta chante sur les…

Vipère au poing

Français
Compte-rendu de lecture

Vipère au poing d’Hervé Bazin

Biographie de l’auteur :
Hervé Bazin est né à Angers le 17 avril 1911 dans une famille bourgeoise, traditionaliste et profondément catholique. Durant son adolescence, il se révoltera contre sa famille et tout particulièrement contre sa mère. L’éducation qu’il aura reçue ne pourra que l’y pousser. Après de vaguesétudes de droit et avoir été inscrit de force à Saint-Cyr, il fera une fugue vers Paris avec la voiture familiale. Douze années après cette escapade, Hervé Bazin fera un peu de tout pour vivre avant de se tourner vers l’écriture. Il tentera d’abord sa chance en poésie mais, en 1948, il publira « Vipère au poing ». En même temps que le scandale, ce livre lui apportera la notoriété. Bien d’autressuivront et, dans certains d’entre eux, nous retrouverons même Folcoche devenue belle-mère, puis grand-mère. En 1960 il devient membre de l’académie Goncourt, puis président en 1973. Hervé Bazin meurt à Angers le 17 février 1996.

Contexte :
L’histoire débute durant l’été 1922. Un enfant découvre une vipère, la saisit et l’étouffe de ses mains. 25 ans plus tard, Jean Rezeau, « l’enfant de 1922 » estle narrateur de l’histoire. Son surnom est Brasse-Bouillon. Il évoque la propriété de sa famille, La Belle Angerie. Il présente sa grand-mère paternelle, Mme Rezeau, chez qui lui et son frère aîné, Ferdinand, ont passé quelques années d’enfance heureuses tandis que leurs parents et leur plus jeune frère séjournaient en Chine. Lorsque Jean a huit ans, sa grand-mère meurt d’une maladie des reins. Lesparents doivent revenir en France. Les deux frères ont hâte de revoir leurs parents et de découvrir ce petit frère, Marcel, qu’ils ne connaissent pas encore. Mais les retrouvailles se transforment en cauchemar : les deux frères sont sur le quai de la gare pour accueillir leur famille ; A leur arrivée, les deux garçons se précipitent vers leur mère pour l’embrasser mais celle-ci, agacée par cesgestes de tendresse, les gifle et leur ordonne de porter les valises. La famille est donc présentée comme telle : deux clans, d’un côté les parents avec la mère, surnommée « Folcoche », et le père, Jacques Rezeau ; de l’autre les trois enfants : Freddie, surnommé « Chiffe », Jean surnommé « Brasse-Bouillon » et le plus jeune Marcel, dit « Cropette ».

Présenter un personnage :
JacquesRezeau : Le père de famille, et aussi le « chef de famille », du fait d’être l’aîné des Rezeau. Il est professeur en droit et enseigne en université. Après leur retour en France, il préfère ne plus travailler car pour lui, avoir un emploi, c’est déchoir. Fier de la gloire de ses ancêtres, c’est avec beaucoup d’orgueil qu’il se déclare « chef de nom et des armes » de sa famille. Cet homme estaussi victime des préjugés de classe très courants en ce temps là : il méprise les « nouveaux riches » (dont fait partie sa femme) et le « petit peuple ». Il est affectueux avec ses enfants mais, malheureusement, il est aussi terriblement lâche : il ne trouve pas le courage de s’opposer à sa femme qui les martyrise ; il en a peur. Il laisse donc faire et prend le parti de ne rien voir. Mais Jean, sondeuxième fils est sans pitié, et lui rappelle son manque d’interventions, surtout quand il lui dit: « Excusez-moi d’être franc, papa. Mais vous vous montrez bien jaloux d’une autorité que vous n’exercez guère. ». Alors, après ce genre de remarque, le père préfère prendre la fuite en se réfugiant dans ses recherches sur les différentes espèces de mouches ou dans ses explorations généalogiques.Discret et soumis, Mr Rezeau ne peut donc pas être très présent pour ses garçons mis à part au moment où ils les emmènent à la chasse. Même en présence de leur père, les enfants doivent être accompagnés du précepteur, le Père Traquet, un abbé cruel et violent choisi par Folcoche pour « mater les enfants ». Aussi le père ne fait preuve d’aucune autorité et d’aucune fermeté d’où le besoin d’une…

Synthèse de tpe

Synthèse Personnelle TPE
Réalité et Représentations:
Représentation de la société,

Notre TPE traite de la Représentation de la société par l’humour.

Suite à nos recherches sur les différentsaspects de cette représentation ,nous avons décidé de nous focaliser sur l ‘analyse du «stand-up» et du «one-man show». En effet, ces modes de représentation sont pratiqués en France mais aussi enAngleterre et aux Etats- Unis qui en sont le berceau.. Notre travail portera donc sur l’étude du « discours » des artistes dans le but d’identifier les différents thèmes abordés, de repérer s’ils sontrécurrents et d’établir des comparaisons entre les trois pays afin d »avoir une vision élargie et approfondie du sujet.

Etant donné que nous avons perdu beaucoup de temps sur le choix de notresujet,nous n’avons pas encore de problématique aboutie,ce à quoi nous devons rapidement remédier car cela permettrait de nous recentrer et d’avancer dans nos recherches
Notre première idée de sujetétait de faire une étude comparative sur les publicités Anglophones et Françaises. Malgré plusieurs semaines passées sur ce thème,nous l’avons abandonné car nous avions tendance à faire plutôt une étudesur l’économie de marché ce qui était hors de nos thèmes de classe littéraire.

Notre production finale sera présentée sous la forme d’un DVD,accompagné d’un livret, résultat de notre productionécrite. Afin de rendre notre étude plus vivante ,nous envisageons la réalisation d’un document vidéo,présentant différentes scènes comiques,que nous aurons analysées ainsi que l’interview d’un certainnombre de personnes (les plus représentatives de la société française de par leur âge et leur catégorie sociale). Le questionnaire que nous aurons élaboré cherchera à savoir ce qui fait rire lapopulation et en quoi ce rire influence le regard porté sur la société.

Internet est notre première source d’information. Grâce aux enseignants,nous avons appris à mieux trier et sélectionner nos…

Etudiante

Projet Personnel et Professionnel
Identification des compétences métier

I. Portrait personnel :
Après avoir fini les deux questionnaires « Mieux se connaitre » et « De ma personnalité aux métiers », en disant sincèrement, je n’ai pas encore compris qui vraiment j’étais, quelles étaient mes caractéristiques, mes ressources intérieures…, ainsi que mes orientations. Mais je pense que l’étudesur moi-même est un travail durant toute ma vie, et ce n’est pas trop bizarre ou inacceptable quand il existe encore des choses que je ne comprends pas sur le « moi ». En outre, suite des vues par moi et par les autres, j’ai trouvé des grandes choses concernant ma personnalité qui peuvent vous faire vous adresser.
Du nom de NGUYEN Huong Giang, je viens récemment d’avoir mes 21 ans, et seulementune année en France, contre vingt à mon pays natal Vietnam. Peut-être c’est la raison pour laquelle une première pensée des autres sur moi, c’est la timide. Je ne parle pas beaucoup aux autres, j’utilise souvent le sourire au lieu d’un phrase qui convient à la situation, je ne discute pas avec les amis ou les professeurs, et je me tais s’il y a quelque chose qui me vient. Je porte souvent lesvêtements noirs, le couleur ne me fait pas saillir, ne me donne pas les attentions des autres, mais l’impression de sécurité.
Mais, heureusement pour moi, ce n’est pas la pensée de tout le monde, au minimum des personnes avec lesquelles j’ai les relations régulières. Après avoir reçu les réponses des amis français sur ma personnalité, j’étais vraiment surprise, car la vue par moi et par les autressont complètement différentes. C’est pourquoi j’ai traduit les deux questionnaires en Vietnamien, et comme une enquête, je les ai donné à mes amis vietnamiens, et recueillaient les réponses qui me conviennent exactement. Et les choses que je vais vous afficher suivantes sont à l’origine de ces réponses.
En général, je suis confiante en moi, en mes capacités. Depuis mon enfance, mon père m’a dittoujours à la confiance. Après lui, la confiance est la base pour les évolutions, les décisions, la réussite de l’homme, comme le doping dans le sport, elle nous offre une force invisible, grâce à laquelle nous pouvons surmonter toutes les difficultés, faute de laquelle, nous sommes les perdants pour la vie. Et la confiance doit parallèle à la connaissance des limites, sinon l’orgueil émerge del’esprit et tue les efforts de se perfectionner. Pour moi, mes limites sont la maitrise de mes émotions et la résistance aux influences.
Après les autres, je suis sentimentale, et perd beaucoup de temps pour les problèmes liés aux sentiments. Dès la séparation avec mon premier copain, j’ai pleuré toute seule pendant environ un mois. Dès la première fois que je n’ai pas obtenu la mention « Très bien »pour les études à lycée, j’ai cessé à manger pendant trois jours. Je ne suis pas une bonne gérante dans le contrôle de sentiments, la joie, le bonheur, ainsi que la tristesse, le désespoir, je les représente tous sur mon visage, dans mes yeux, et tout le monde le sait. C’est aussi un inconvénient si je ne peux pas du tout cacher mes sentiments que des fois je ne veux pas partager aux autres.
Uneautre chose que je ne peux pas réaliser même si je faisais des efforts, c’est résister aux influences. Les grands changements dans la vie, les chocs de la vie sentimentale, les pressions d’étude, tout devient mes influences face auxquelles je ne reste plus énergique.
Une des solutions pour limiter les pressions dans la vie, c’est le partage aux autres, c’est pourquoi je plais toujours à être engroupe. Mon travail, ainsi ma responsabilité et ma pression, diminue par rapport le nombre de membre dans le groupe, cela permet de m’échapper au stress – le fardeau dans mon esprit. J’ai aussi le sens de la solidarité, un sens qui m’aide à m’intégrer au groupe, élever l’efficacité du travail et éviter les mauvaises discussions dans le processus de travail en groupe.
Parlant de mes capacités,…

Electrolux

Architecture du système bancaire marocain

2009-2010

SOMMAIRE
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RAPPEL HISTORIQUE LE PAYSAGE BANCAIRE MAROCAIN L’ACTIVITE DES BANQUES

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RAPPEL HISTORIQUE – 2éme moitié du 19ème siècle: apparition des premiers guichets bancaires. – Banque d’Etat du Maroc:

• •

Institution en 1906 par Acte d’Algésiras, signé par douze pays européens, les Etats-Unis d’Amérique et leMaroc; Création en 1907 à Tanger, sous forme de société anonyme; Financement par les pays signataires, à l’exception des Etats-Unis;

RAPPEL HISTORIQUE

– Protectorat français en 1912:

Installation au Maroc, de nombreuses filiales de grandes banques commerciales européennes, de banques d’affaires et de groupes financiers étrangers; Création des institutions financières marocainesspécialisées: Caisse des Prêts Immobiliers du Maroc, Caisse Centrale
de Garantie, Caisse Marocaine des Marchés et du Crédit Populaire.

RAPPEL HISTORIQUE

– Réglementation de l’exercice de l’activité bancaire:
Dahir du 31 mars 1943 relatif à la réglementation et à l’organisation de la profession bancaire; • Arrêté du Directeur des Finances de la même date fixant les modalités d’application dudahir (modifié et complété par les arrêtés du 15 janvier

1954, du 17 janvier et du 16 avril 1955).

RAPPEL HISTORIQUE

– Compétences du Directeur des Finances (D.F):
• • •

Contrôle et réglementation des conditions d’exercice de l’activité bancaire; pouvoir de sanction des manquements constatés; Le D.F était assisté par le « Comité des banques »1 et « Comité du Crédit et du MarchéFinancier »2.
1. 2. Instance consultative chargée d’émettre des avis ou des propositions sur toutes questions intéressant la profession et appelant des mesures à caractère individuel ou général. Organe consultatif habilité à donner son avis au D.F, en particulier en ce qui concerne la politique générale de crédit et le marché financier.

RAPPEL HISTORIQUE

– Étendu du champ d’application des textessusvisés à:

La zone sous occupation espagnole par l’arrêté du 14 août 1958; La province de Tanger par l’arrêté du 31 mars 1960.

RAPPEL HISTORIQUE

– Au lendemain de l’indépendance du Maroc en 1956:
– Mise en place des bases d’un système bancaire national:

La Banque du Maroc:

• •

Instituée par le dahir n° 1-59-233 du 30 juin 1959 pour se substituer à la Banque d’Etatdu Maroc; Créée sous forme d’établissement public; Ayant la fonction de Banque Centrale.

Mars 1987: La dénomination de  » Bank Al-Maghrib  » a été substituée à celle de  » Banque du Maroc « .

RAPPEL HISTORIQUE
– Création d’organismes financiers spécialisés et à la restructuration de certaines institutions existantes:

En 1959: création de la Caisse de Dépôt et de Gestion (CDG), leFonds d’Équipement Communal (FEC), la Caisse d’Épargne Nationale (CEN), la Banque Nationale pour le Développement Économique (BNDE) et la Banque Marocaine du Commerce Extérieur (BMCE). En 1961: restructuration du Crédit Agricole et du Crédit Populaire En 1967: succession du Crédit Immobilier et Hôtelier à la Caisse de Prêts Immobiliers du Maroc; Réorganisation du CIH conformément aux dispositions dudécret royal portant loi du 17 décembre 1968.

• •

RAPPEL HISTORIQUE – Réduction du nombre des banques de 69 à 26 entre 1954 et 1961; – Promulgation du décret royal n° 1-67-66 du 21 avril 1967 portant loi relatif à la profession bancaire et au crédit; – En 1989: création de Bank Al-ÂMAL DAR AD-DAMANE
prêts consentis par la première entité) (chargée en

particulier d’octroyer desprêts participatifs ou subordonnés)

, et de

(chargée de garantir, entre autres, les

.

LE PAYSAGE BANCAIRE MAROCAIN

– Un potentiel de développement encore très important:

• • •

Fin décembre 2006: 16 banques agréées marocaines offraient un guichet pour 7 300 habitants (1 pour 2 400 en France); Le taux de bancarisation s’élève à 37% de la population totale; 1/3 du réseau…