Tristan et iseut

TRISTAN ET ISEUT

Prince Tristan est elevé par son oncle, le roi marc de Cournaille. Tristan va chercher en Ilande Iseut la blonde, la future épouse du roi. Pendant le voyage de rétour les deuxjeunes boivent un philtre d’amour (destiné au roi et à Iseut) et ils tombent amoureux l’un de l’autre.
Quand ils retournent à la court il continuent leur relation mais ils sont découverts et accusésd’adultère. Ils vont dans la forete et ils decident de se separerer. Tristan va en Bretagne et épouse Iseut aux blanches mains, mais il ne consomme pas le mariage.
Tristan est blessé et la seule chose quele peut sauver est de revoir Iseut la blonde. Donc kaherdi va chercher Iseut et s’il la trouve il doit hisser une voile blanche sur le vasseau et s’il ne la trouvait pas il devait hisser une voilenoire.
Iseut aux blanches mains décide de se venger et dit à Tristan que la voile est noire, donc il meurt, mais après quelques minutes l’autre Iseut arrive mais elle meurt aussi après avoir vu lecorps de Tristan.

Dans cet œuvre l’adultère n’est pas commis par la volonté des protagonistes mais est un adultère qui est causé par un philtre magique, donc les deux personnages ne se doivent pas sesentir très coupables, comme dans les autres œuvres.
Iseut est une femme respectée, pas vue comme un object mais surtout aimée par son amant.
L’adultère est quand meme vu d’une facon très négativedans cette oevre puisque les deux amants sont chassés de la court à cause de leur rélation, qui les ménera enfin à la mort.

PIERRE ET JEAN
Guy de Maupassant

Très frappant est le passage aux pages116-117, dans lequel on comprends bien la vision que l’un des deux protagonistes, Pierre, a de la femme lors qu’il vient de trouver des preuves à ses supcons que sa mère ait commis un adultère :« Il allait maintenant frôlant les groupes, tournant autour, saisi par des pensées nouvelles. Toutes ces toilettes multicolores qui couvraient le sable comme un bouquet, ces étoffes jolies, ces…

Memoire assurance vie

MEMOIRE DE RECHERCHE APPLIQUEE
Présenté et soutenu par Edilton DOS SANTOS FURTADO Le 25/26 Septembre 2009. « L’assurance vie, ses pièges et ses astuces : quelle stratégie d’investissement faut-il adopter compte tenu des normes juridiques et fiscales en vigueur et de la conjoncture économique actuelle ».

MASTER «BANQUE ET ASSURANCE »

Nom de l’entreprise : AGF. Tuteur de stage : MonsieurLionel PERNIN. Tuteur de mémoire : Monsieur Eric LEFUR.

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REMERCIEMENTS

Je remercie très chaleureusement toute l’équipe des AGF des délégations Nord Gironde et Sud Gironde pour m’avoir accueillie au sein de leurs agences et pour m’avoir fait confiance. Spécialement mon tuteur de stage, Monsieur Lionel PERNIN pour son encadrement, pour m’avoir accompagner tout au long dema mission et pour avoir su répondre à mes nombreuses questions. Particulièrement, Nadine PICHON, Laurent AUVRAY, Cedric TETE, Emmanuel DORNOIS, Denis LE CHAFFOTEC, Michelle LACHAIZ, Joel FRANCHINI, pour l’aide, les conseil prolifiques… Le groupe INSEEC, Mon tuteur de mémoire, Eric LEFUR pour sa précieuse orientation durant l’élaboration du mémoire, Ainsi que tous le personnel enseignant.

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SOMMAIRE
REMERCIEMENTS SOMMAIRE INTRODUCTION 3 4 6

I. Le contrat d’assurance vie aujourd’hui : Les normes juridiques et fiscales en vigueur………………………………………………………………………. 10 1. Présentation du contrat………………………………………… 10 1.1. Les acteurs en présence………………… 10 1.2. La souscription…………………………. 11 1.3. La constitution du capital………………. 13 1.4. Les supports……………………………. 16 1.5. Ledénouement…………………………. 19 2. Fiscalité de l’assurance vie…………………………………….. 2.1. 2.2. 2.3. 3. Transmission 3.1. 3.2. 4. Les jurisprudences 4.1. 4.2. 4.3. 4.4. Imposition de la plus-value ……………. Imposition des rentes viagères à titre ….. handicap et survie Cas de réduction d’impôt : L’épargne … handicap et rente de survie Lois fiscales 2009 : calcul des droits…… de succession La transmission des capitaux dans le…… cadre del’assurance vie Arrêt Praslicka du 31 mars 1992……… Arrêt Marquois du 10 juin 1992………. Arrêt Jacobée du 09 juin 1998………… Arrêts du 23 novembre 2004 sur le …… caractère aléatoire de l’assurance vie 20 20 23 24

25 26

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II. L’assurance vie face à la conjoncture économique actuelle : la typologie du marché. ……………………………………………………………………. 47 1. Le contrat d’assurance vie et lacrise financière (de 2007 à 2009) 1.1. Les fonds en euros s’en sortent sans trop.. de casse 1.2. Les Transfert Fourgous en chute libre…… 1.3. La reprise pour l’assurance vie………….. La réaction des assureurs à fin de reprendre des parts de marché.. 2.1. Les offres « jeunes épargnants »…………….. 2.2. Les contrats haut de gamme……………… 2.3. L’assurance vie pour la retraite…………… 47 48 51 51 5253 54 54 57 57 58 62 63 64 64 66 66 69 72 72 79 80 84

2.

III. Les enjeux stratégiques : risques et opportunités…………………………. 1. Assurance vie et transmission…………………………………… 1.1. Réduire les droits de succession…………. 1.2. Favoriser une personne………………….. 1.3. Protection du conjoint…………………… 1.4. Les limites des avantages fiscaux lors…… d’une transmission d’assurance vie 1.5. Respecter la réservehéréditaire…………. 1.6. Abus de droits…………………………… 1.7. Conjoints : une assurance vie pour 2?……. 1.8. Bien remplir la clause bénéficiaire……… 2. L’assurance vie, un produit d’épargne…………………………. 2.1. Choisir le meilleur contrat……………… 2.2. Minimiser les prélèvements fiscaux…… 2.3. Comment choisir son contrat……………… 2.4. Conseils pratique……………………….

CONCLUSION BIBLIOGRAPHIE ANNEXES

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INTRODUCTION
L’assurance vie, souvent appelée « couteau suisse de l’épargne », s’est forgée à travers les années une solide réputation. Depuis de nombreuses années, ce placement est entré dans les mœurs en tant que placement préféré des français, du moins c’est ainsi qu’il est qualifié. Mais qu’en est-il en réalité ? En réalité, ces vingt dernières années ce…

Histoire

LEÇON 4 LES CIVILISATIONS PALEOLITHIQUES 2NDE L/S

Introduction

La Préhistoire, prise à la dimension temporelle, se divise en deux grandes périodes : le Paléolithique et le Néolithique. Ainsi pour comprendre l’évolution de l’espèce humaine, il faut partir depuis la période du Paléolithique appelée l’âge de la pierre taillée etla période marquant aussi l’apparition de l’homme sur terre.
Le Paléolithique comprend quatre grandes périodes qui se caractérisent chacune par ses hominidés et leur industrie culturelle.
I. Caractéristiques des périodes du Paléolithique

|Périodes |Durée |Hominidés |outillage |Genre de vie ||Paléolithique archaïque |7 millions à 500 mille|Australopithèques |Galets aménagés (pebble |Nomade – chasse – pêche –|
| |ans |Afenrensis – Robustus – |culture), culture |cueillette – |
| | |Africanus ou gracile |ostéodontokératique ||
| | |Homo – Habilis | | |
|Paléolithique inférieur |500 mille à 15O mille |Homo erectus |Bifaces – hachereaux |Premières civilisation du|
| |ans |Pithécantrope|(Chopping-Tool ou civilisation |feu, chasse, pêche et |
| | |Sinantrope |acheuléenne) |cueillette |
| | |Atlanthrope | | |
|Paléolithique moyen |150 mille à 40 mille|Homo-sapiens |Eclats de moustérien, |Type d’habitat (caverne),|
| |ans |Néanderthalensis |grattoirs, racloirs, pointes de|usage du feu, inhumation |
| | | |flèche | |
|Paléolithique supérieur|40 mille à 8 mille ans|Homo sapiens-sapiens |Civilisation de la lame – |Apparition de l’art, |
| | |Grimaldi |racloirs – pointes de flèche |première forme de |
| | |Cro-Magnon | |religiosité, habitatsous|
| | | | |roche |

II. Les espèces humaines du Paléolithique et leurs civilisations

a) Australopithèques et Homo-habilis :
a) Caractéristiques
Premiers hominidés reconnus unanimement, les australopithèques ont peuplé l’Afrique centrale, l’Afrique del’Est et l’Afrique du Sud entre 7millions et 1,5 millions d’années.
Australopithèques Afenrensis :
C’est un australopithèque archaïque. Ces principaux traits sont : sa petite taille (1,10m à 1,30m), faible capacité crânienne (400cm3), une face massive et les membres inférieurs adaptés au mode de locomotion bipède dont la preuve directe est apportée par les traces de pas découverts à Laétoli.Australopithèques Robustus :
Il était le plus grand et le plus fort des australopithèques. Il devait mesurer (1,50 à 1,60m), son poids varie entre 40 à 60 kg. Il avait un puissant appareil masticateur, sa face est concave et son volume crânien entre 500 à 550 cm3.
Australopithèques Africanus ou gracile :
Sa taille était estimée entre 1m à 1,25m et son poids entre 20 à 30 kg. Comme tout…

Convention de geneve iii

CONVENTION (III) DE GENEVE RELATIVE AU TRAITEMENT DES PRISONNIERS DE GUERRE, 12 AOUT 1949 |

(Texte partiel) |

Les soussignés, Plénipotentiaires des Gouvernements représentés à la Conférence diplomatique qui s’est réunie à Genève du 21 avril au 12 août 1949 en vue de réviser la Convention conclue à Genève le 27 juillet 1929 et relative au traitement des prisonniers de guerre, sont convenusde ce qui suit :

TITRE I. DISPOSITIONS GENERALES

ARTICLE PREMIER. – Les Hautes Parties contractantes s’engagent à respecter et à faire respecter la présente Convention en toutes circonstances.

ARTICLE 2. – En dehors des dispositions qui doivent entrer en vigueur dès le temps de paix, la présente Convention s’appliquera en cas de guerre déclarée ou de tout autre conflit armé surgissantentre deux ou plusieurs des Hautes Parties contractantes, même si l’état de guerre n’est pas reconnu par l’une d’elles.

La Convention s’appliquera également dans tous les cas d’occupation de tout ou partie du territoire d’une Haute Partie contractante, même si cette occupation ne rencontre aucune résistance militaire.

Si l’une des Puissances en conflit n’est pas partie à la présenteConvention, les Puissances parties à celle-ci resteront néanmoins liées par elle dans leurs rapports réciproques. Elles seront liées en outre par la Convention envers ladite Puissance, si celle-ci en accepte et en applique les dispositions.

ARTICLE 3. – En cas de conflit armé ne présentant pas un caractère international et surgissant sur le territoire de l’une des Hautes Parties contractantes, chacunedes Parties au conflit sera tenue d’appliquer au moins les dispositions suivantes :

1) Les personnes qui ne participent pas directement aux hostilités, y compris les membres de forces armées qui ont déposé les armes et les personnes qui ont été mises hors de combat par maladie, blessure, détention, ou pour toute autre cause, seront, en toutes circonstances, traitées avec humanité, sans aucunedistinction de caractère défavorable basée sur la race, la couleur, la religion ou la croyance, le sexe, la naissance ou la fortune, ou tout autre critère analogue.

A cet effet, sont et demeurent prohibés, en tout temps et en tout lieu, à l’égard des personnes mentionnées ci-dessus :

a) les atteintes portées à la vie et à l’intégrité corporelle, notamment le meurtre sous toutes ses formes, lesmutilations, les traitements cruels, tortures et supplices ;

b) les prises d’otages ;

c) les atteintes à la dignité des personnes, notamment les traitements humiliants et dégradants ;

d) les condamnations prononcées et les exécutions effectuées sans un jugement préalable, rendu par un tribunal régulièrement constitué, assorti des garanties judiciaires reconnues comme indispensables parles peuples civilisés.

2) Les blessés et malades seront recueillis et soignés.

Un organisme humanitaire impartial, tel que le Comité international de la Croix-Rouge, pourra offrir ses services aux Parties au conflit.

Les Parties au conflit s’efforceront, d’autre part, de mettre en vigueur par voie d’accords spéciaux tout ou partie des autres dispositions de la présente Convention.L’application des dispositions qui précèdent n’aura pas d’effet sur le statut juridique des Parties au conflit.

ARTICLE 4. –

A. Sont prisonniers de guerre, au sens de la présente Convention, les personnes qui, appartenant à l’une des catégories suivantes, sont tombées au pouvoir de l’ennemi :

1) les membres des forces armées d’une Partie au conflit, de même que les membres des milices et descorps de volontaires faisant partie de ces forces armées ;

2) les membres des autres milices et les membres des autres corps de volontaires, y compris ceux des mouvements de résistance organisés, appartenant à une Partie au conflit et agissant en dehors ou à l’intérieur de leur propre territoire, même si ce territoire est occupé, pourvu que ces milices ou corps de volontaires, y compris ces…

Commentaire charleroi

– Une ivresse de sensation brutale

Le texte est constitué d’un ensemble de sensation que l’absence du narrateur rend encore plus brutale. Les sensations visuelles reposent d’abord sur deuxcouleurs contrastées et franches: le noir de l’herbe et le rouge des forges. C’est donc une scène de nuit, sans repères, un univers angoissant dont la lueur de la lune est absente. Les sensations sontsoudaines et brusques, le buisson qui « gifle l’oeil » se comprend comme une marche dans une nature hostile ou comme une vision rapide du buisson qui frappe l’oeil.
Les sensation auditives sont ellesaussi particulièrement aggressives, brusque et violentes, « des gares tonnent » et « l’avoine siffle ». Les bruits de l’industrie qui émanent des usines sont violents, on entend le « cris des métaux » dansles forges.
Les sensations olfactives sont présentes dans 4 strophes sur 7. Elles paraissent obsédantes et étranges. Par deux fois se pose la question de la nature des odeurs « Qu’est ce quec’est », « on sent quoi ». L’exclamation « Oh!votre haleine » et la « sueur humaine » soulignent l’intensité nauséabonde des odeurs.
Sous cette avalanche de visions et d’odeurs hostiles des environs deCharleroi, le voyageur sort assourdi, étourdi sous ce chaos de sensations fulgurantes.
II- La poésie impressioniste

Dans le poème Charleroi apparaît le carctère impressioniste, une technique analogue àla technique picturale consistant à cueillir les éléments du décor en une série de notations superposées. En recourant au tétrasyllabes qui hâche les strophes, en employant les K qui craquent, les Ret les G qui grondent, Verlaine rend compte de merveilleuse façon du tressautement du train et des bruits des forges dans les 4 vers: « Plutôt des bouges, que de maisons, quels horizons, de forgesrouges »
Conclusion:
En nous plongeant dans les ténèbres dès le premiers vers « dans l’herbe noire », Charleroi pourrait se définir comme un poème du sursaut et de l’imprévisible, de la peur du…

Fiche de révision – la première république 2nde

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LA PREMIERE REPUBLIQUE : 1792-1799
Ière Républq proclamée le 21 sept 1792 et dominée par :
* 1792-1794 : La Conven° (Girondins/Montagnards)* 1794-1799 : Directoire
I. La Convention (1792-1794)
A. Les députés de la ConventionLa gauche : ls Montangards = Enragés Robespierristes Indulgents (Dantonistes)Le centre : la Plaine = leMaraisLa droite : ls GirondinsMont. tt en haut, Plaine tt en bas. |
Les Montagnards | Les Girondins |
* Rep célèbres : Danton Robespierre Marat St Juste. * S’appuient sur la sans-culotterie *Pr la participa° active des citoyens * Ils veulent des prix de pains fixe pr arrêter la spécula° | * La plupart : bourgeois, originaires de la Gironde * Favorables a la propriété privée, à ladécentralisa°, des libéraux (=liberté économq des prix) * Très méfiants envers ls sans-culottes. |
B. La Convention Girondine ( sept 1792-juin 1793)- La Conv° à droite, fixe le sort du roi : 21janv 1793 REGICIDE exécu° de Louis XVI. Non- revolutionnaires dangers pr la Répblq ! |
* Coalisation des pays européens contre la Fr. : Bataille : Victoire de Jemmapes ; Annexions de la BelgqConv°Gir. ménacée à l’int et à l’ext : * A l’ext. : Autri, Esp, Prusse, R-U, Piémont > coali° envahi la Fr. Conv° Gir. ordonne la levée de 300 000 hommes. * A l’int. : les Vendéens, prêtresréfractaires, royalistes, Chouans (hab. cntr-rév°) n’adhèrent pa aux idées rév°.Plaine+Mont. votent des mesures d’excep° : confisca° des biens des émigrés, prix du pain fixé !mars 1793 : Général Dumoriezécrasé, il complote avc l’ennemi et discrédite les Gir. et ls sans culottes assiègent l’Assemblée. |
C. La Convention Montagnarde ( juin 1793-juillet 1794)Déchristianisation du peuple :Mont. >athées !! nv calendrier en 1792 : Calendrier révolutionnaire agricole qui durera 12 ans. An I débute le 22 sept, ls 12mois snt supp.Processus de laïcisa° : suppress° des saints, jrs qui réf la…

Le bonheur

L’homme a une double nature : être de sensibilité aspirant à cet état de satisfaction maximale de ses désirs qu’on nomme le bonheur, il est aussi un être de raison qui sait que ce bonheur ne seraitrien s’il l’amenait à nier l’exigence d’une conduite morale : le devoir.
1. Comment définir le bonheur ?

Le bonheur, ce n’est pas simplement être heureux : comme l’écrit Aristote, « une hirondellene fait pas le printemps, ni non plus un seul jour ». Cette phrase, devenue proverbiale, signifie que le bonheur n’est pas l’affaire d’un instant ; il doit, s’il est véritable, s’inscrire dans ladurée. L’ambition des grandes écoles de la philosophie antique, c’est donc de permettre à l’homme d’accéder à la vie heureuse : la recherche d’un bonheur durable sera l’objet de cette partie de laphilosophie qu’on nomme l’éthique.
2. En quel sens le bonheur et le devoir seraient-ils compatibles ?

Aristote aussi bien que les épicuriens ou les stoïciens s’accordent sur ce point : seule une vie justeet droite peut nous faire accéder au bonheur véritable, c’est-à-dire durable. Pour les épicuriens, si le plaisir est essentiel au bonheur, certains désirs amènent plus de troubles que deréjouissances : il faudra les écarter, et se contenter des désirs naturels et nécessaires, parce qu’ils sont source de plaisir et faciles à satisfaire. Pour les stoïciens, le bonheur ne saurait être durable s’ildépend des circonstances extérieures : je dois discipliner ma volonté pour apprendre à ne dépendre que de moi, parce que mon bonheur ne peut être laissé aux caprices de la fortune.
3. Les moralesantiques parviennent-elles à définir le bonheur ?

Selon Emmanuel Kant, nous sommes dans l’impossibilité de définir le bonheur par lui-même : on dit qu’il est l’état maximal de satisfaction ; maiscomment savoir si ma satisfaction est bien maximale ? Et comme le bonheur est un « idéal de l’imagination » que je ne peux définir, mon entendement est incapable de déterminer les moyens qu’il faudrait…

La vie de pétain

Militaire et chef d’État
Biographie

Né à Cauchy-la-Tour (Pas-de-Calais), le 24 avril 1856.
Issu d’une modeste famille paysanne, Philippe Pétain fit ses premières études chez les Dominicains,avant d’entrer à Saint-Cyr en 1876. Il en sortit dans un rang modeste, prélude à une carrière militaire qui s’annonçait peu brillante. Affecté à des garnisons secondaires, il ne participa à aucune desgrandes campagnes coloniales. Nommé professeur adjoint à l’École de guerre en 1904, il s’y fit le défenseur de théories peu conformes aux conceptions tactiques de l’état-major, en préconisant ladéfensive et la guerre de positions, quand les théoriciens officiels prônaient la guerre à outrance.
La Première Guerre mondiale allait donner un tour inattendu à la carrière du colonel Philippe Pétain, quis’apprêtait, à 58 ans, à prendre sa retraite.
Promu rapidement général de brigade après s’être distingué à la tête d’une brigade d’infanterie en Belgique, il fut nommé général de corps d’armée etremporta de brillants succès dans les batailles de l’Artois. Il sut se distinguer, en particulier, par sa prudence et le souci qu’il témoigna d’épargner des vies humaines. C’est ainsi qu’en février 1916il était chargé du commandement des troupes engagées à Verdun, et parvint à défendre glorieusement la place en soutenant le moral des troupes.
Quand, au printemps 1916, il fut nommé commandant desarmées du centre, Philippe Pétain était devenu aux yeux de tous « le vainqueur de Verdun ». En 1917 enfin, après la désastreuse offensive de Nivelle du Chemin des Dames, Philippe Pétain fut promucommandant en chef de l’armée française, avec mission de faire cesser les mutineries qui désorganisaient les troupes.
Sa popularité à la fin du conflit était considérable et il reçut son bâton de maréchalde France en novembre 1918.
Envoyé au Maroc pour combattre la rébellion d’Abd-el-Krim en 1925, le maréchal Pétain fut ensuite nommé inspecteur de la défense aérienne du territoire, en 1931, puis…

Le monde vu de moscou

Le Monde vu de Moscou

2008 : élection présidentielle de Medvedev
Poutine a été nommé par M comme 1° Ministre. P c’/ l’homme le plus fort de la Russie ; il a rendu les titres de noblesse, lagradeur de la Russie.

( Plan économique :
Programme de Poutine pour créer 9 corporations de l’Etat. Créat° de monopole d’Etat => seul l’Etat est capable de faire ceux que les E privées font. Concernedes secteurs clés pour dvlp la puissance du pays puis pour faire que les E étrangères soient attirées.

– système d’assurance
– construction navale
– banque de dvlp
– constructionde logement
– organisation de JO Sotchi.

? Nord ( banquise empêche le commerce. La Russie c’/ aventurait sur une conquête de l’océan arctique dû aux fonte des glaces (sources minières auxRusses).

? Voisinage ouest ( à la fois problématique et indispensable. 1ère partenaire de la Russie : l’UE surtout avec le gaz (+ 25% des énergies de l’UE provient de la R.)
LA Russie ne peut passe passer de son 1er client et vice et versa. La force de la Russie c’/ de se servir du gaz comme outil de puissance. Elle maitrise le flux.

La vision de la Russie à l’Ouest c’/ une Russie quis’élargie. PB ? Géorgie à demander d’être dans l’OTAN.

A l’Est, on a la Chine qui est le rival/ partenaire de la Russie (puissance émergente)

Sud : « Grosse épine dans le pied de l’ours russe ».Caucase : retrouve une mosaïques de pop qui ne sont pas soumis (Ex : Tchétchénie) (pose pb)
+ il y a la Transcaucasie : Arménie, Géorgie

La Russie a une vision européenne et asiatique

OCS (96’): Organisation de Coopération de Shanghai ( association de type éco (regroupement régional). Ca à une vocation à la foi stratégique et économique.
3 pays qui fait parti : Mongolie / Chine/ Russie( plan stratégique :
Ils ont les mêmes objectifs de lutte anti-terroriste. Le but de ce regroupement c’/ la coopération.
Ex : Russie : Kosovo, Tchétchénie, islamistes
Chine :…

Definition de l’occident, la notion d’occident a elle une réalité dans le monde d’aujourd’hui?

Qu’est ce que l’Occident ?

« L’Occident regarde la mer et l’Orient regarde la montagne ». Paul Claudel différencie deux mondes qui sont deux lieux qui chacun se tournent vers un horizon distinct. L’un choisit l’ouverture, la découverte et la conquête. L’autre le repli, la tradition et la défense. Mais l’ « Occident » aujourd’hui correspond il mieux à la première ou a la deuxième définition ?Le « réveil de l’Orient » à l’œuvre actuellement (Okakura Kazuko, Les Idéaux de l’Orient) détourne le regard de l’Occident de la mer vers la montagne et celui de l’Orient de la montagne vers la mer. Le « renversement du monde » (Marie France Garaud, Impostures Politiques) pourrait il remettre en cause la raison d’être de ce que l’on appelle l’Occident ?

L’Occident définissait l’endroit où lesoleil se couche dans les civilisations antiques comme l’Egypte Ancienne (occident vient du latin occidere qui veut dire tomber). Il était alors qualifié par l’obscurité et la mort plus que par la lumière ou la connaissance. Néanmoins l’Occident devint, avec l’avènement du monde hellénique, une civilisation au deux sens du terme. En effet la civilisation peut être vue comme un processus dedifférenciation d’avec la barbarie, un Idéal dont la dynamique intrinsèque serait le progrès : L’Occident serait dans ce cas la civilisation par excellence supérieure sur le plan moral, intellectuel et technique. La civilisation peut aussi définir un ensemble cohérent de règles, de savoirs et de croyances s’exerçant sur un territoire donné, qui serait finalement un parmi d’autres, sans qu’une échelle devaleurs puisse être utilisée pour les classer. La civilisation occidentale est alors généralement définie par sa culture grecque et latine, l’appartenance à la chrétienté, le respect des droits de l’homme et de la démocratie ainsi que l’adhésion au capitalisme comme système économique.
Cependant si l’Occident a été à la fois La civilisation et Une civilisation, est-ce encore le cas aujourd’hui ? Leconcept de civilisation est il pertinent pour circonscrire la réalité du monde qu’on appelle « occidental ? La notion d’Occident est remise en cause en premier lieu par la recomposition du monde qui permet à l’ « Orient » de contester la suprématie occidentale et de développer son propre modèle de civilisation. De plus elle est récusée par ses propres membres qui soit rejettent cette appartenance,soit dressent son épitaphe. La notion d’Occident a-t-elle encore sa place aujourd’hui ?

Si l’Occident est une réalité qui a compté et qui compte encore (I), cette notion de plus en plus contestée peut être vouée à disparaitre (II)

I/ L’Occident : Une réalité qui a compté et qui compte encore

A. L’Occident, une civilisation ?

* Pour Fernand Braudel, une civilisation est unegéographie, une sociologie, une économie et une psychologie (Grammaire des civilisations). L’Occident serait donc une aire civilisationelle bien délimitée dans des frontières (Amérique du nord, Europe de l’ouest et Océanie) avec une culture, une religion, une histoire, une géographie commune d’après Samuel Huntington (Le choc des civilisations). Ceci aurait favorisé un « esprit » caractéristique de lacivilisation occidentale tourné vers les sciences, les libertés individuelles et la démocratie.

* Mais Pour Phillipe Nemo (Qu’est ce que l’Occident ?), l’Occident est une construction de l’esprit qui s’est déroulée en cinq étapes clé : l’invention de la Cité, de la liberté sous la loi, de la science et de l’école par les Grecs, L’invention du droit, de la propriété privée, de la « personne »et de l’humanisme par Rome, La révolution éthique et eschatologique de la Bible (la charité dépassant la justice, l’eschatologie qui introduit le temps linéaire de l’Histoire), La « Révolution papale » du XI siècle (réformes de Grégoire VII)et La promotion de la démocratie libérale. Aucune des autres civilisations n’a réuni ces cinq étapes ce qui fait la distinction de la civilisation…