Cours de droit des affaire

Sommaire

Introduction générale
Section I : Le domaine du droit commercial
Paragraphe 1 : Le droit commercial, définition
Paragraphe 2 : Le droit commercial, droit d’exception
Paragraphe 3 : Conception étroite ou conception élargie du droit commercial ?
A) La conception subjective du droit commercial
B) La conception objective du droit commercial
C) La conceptionrenouvelée du droit commercial
Section II : L’histoire du droit commercial
Paragraphe 1 : La période antérieure au Code du commerce avant 1807
Paragraphe 2 : Le Code du commerce en 1807
Paragraphe 3 : La période ultérieure au Code du commerce
Section III : les sources du droit commercial
Paragraphe 1 : Les sources nationales
A) La loi
B) La jurisprudence
C) Les usagesParagraphe 2 : Les sources internationales
A) Les traités internationaux
B) Le droit communautaire
C) Les usages du droit commercial
Section IV : Les caractères fondamentaux du droit commercial
Paragraphe 1 : Les principes directeurs du droit commercial
Paragraphe 2 : La prise en compte des impératifs du commerce juridique
Section V : L’organisation du commerce
Paragraphe 1 :L’organisation judiciaire
A) Les tribunaux de commerce
1) L’organisation des tribunaux de commerce
a) La place des tribunaux de commerce dans l’ordonnancement judiciaire
b) L’organisation interne des tribunaux de commerce
2) La compétence des tribunaux de commerce
a) La compétence matérielle
b) La compétence territoriale
B) Les recours à l’arbitrage
C) Lesautorités administratives indépendants
Paragraphe 2 : L’organisation professionnelle
A) Les chambres de commerce et d’industrie
B) Les syndicats professionnels
Paragraphe 3 : L’organisation administrative
A) Les institutions avec fonction normative
B) Les institutions sans fonction normative

Partie I : La commercialité

Titre 1 : La commercialité par l’activité : lesactes de commerce

Chapitre 1 : La notion d’acte de commerce

Section I : Les actes de commerce par nature
Paragraphe 1 : Les actes de commerce par la forme
A) La lettre de change
B) Les sociétés commerciales par la forme
Paragraphe 2 : Les actes de commerce par l’objet
A) L’achat pour revendre
1) Le domaine de l’achat pour revendre
2) Le premier élément : l’achat3) Le second élément : la revente
B) Les opérations d’entremise
C) La banque et les opérations financières
1) La banque
2) La bourse
3) L’assurance
Paragraphe 3 : Les actes de commerce en entreprise
A) La nature de l’activité
1) Les entreprises de location de meubles
2) Les entreprises de manufacture
3) Les entreprises de commission
4) Lesentreprises de transport
5) Les entreprises de fourniture
6) L’agence d’affaires
7) Les établissements de ventes à l’écran
8) Les établissements de spectacles publics
B) L’exigence d’actes faits en entreprise
Section II : Les actes de commerce par accessoire
Paragraphe 1 : La commercialité par accessoire des obligations contractuelles
A) L’accessoire subjectif
B)L’accessoire objectif
Paragraphe 2 : La commercialité par accessoire des obligations extra-contractuelle
Section III : Les actes étrangers à la catégorie des actes de commerce
Paragraphe 1 : Les actes civils étrangers à une activité professionnelle
Paragraphe 2 : Les actes civils passé dans un cadre professionnel
A) L’activité agricole
B) L’activité artisanale
C) L’activitélibérale

Chapitre 2 : Le régime des actes de commerce

Section I : Les règles applicables aux actes de commerce
Paragraphe 1 : La formation des actes de commerce
A) L’aptitude à passer des actes de commerce
B) Le consentement pour passer des actes de commerce
1) L’expression du consentement
2) Le rôle spécifique des règles de forme
C) La preuve des actes de…

Boulby

Notre vision, nos valeurs
Depuis sa création en 1906, la société Kellogg’s s’est développée en s’appuyant sur des valeurs fortes, privilégiant l’innovation, la transparence dans l’information, larecherche permanente de la qualité nutritionnelle pour ses produits, la promotion d’une alimentation équilibrée et d’un mode de vie sain…
Les 6 valeurs qui fondent la culture de l’entreprise
Fidèlesà l’esprit du fondateur de l’entreprise, Will Keith Kellogg, nous avons établi une charte des valeurs. Celles-ci fondent notre culture commune et guident au quotidien le travail de tous lescollaborateurs de l’entreprise.
Nous sommes tous responsables
* Nous répondons de nos actions, de nos résultats et tenons nos engagements
* Nous privilégions la recherche de solutions et l’obtentionde résultats
* Nous nous engageons pour la réussite et le bien-être de nos équipes et les associons aux décisions qui les concernent.
Nous aimons gagner
* Nous partons du principe que « toutest possible » et qu’il faut oser
* Nous aidons nos coéquipiers à donner le meilleur d’eux-mêmes
* Nous faisons en sorte que chacun se sente valorisé et reconnu.
Nous cherchons à simplifier* Nous travaillons en équipe, sans barrière hiérarchique ou de départements
* Nous allons droit au but
Nous agissons avec intégrité et respect
* Nous nous engageons à agir de manièreintègre et éthique
* Nous respectons et valorisons les différences
* Nous écoutons les autres et partons du principe que chacun est de bonne foi.
Nous aimons notre business, nos marques,
nosproduits
* Nous sommes fiers de nos marques, de leur histoire et nous les défendons
* Nous satisfaisons nos clients par la qualité de nos produits et services
* Nous sommes créatifs etinnovants.
Nous avons l’humilité et la soif d’apprendre
* Nous sommes ouverts, curieux et pensons l’erreur formatrices
* Nous nous engageons à toujours nous remettre en question pour progresser…

Cimetière américain 2ww

Le cimetière américain de
Colleville-sur-Mer

Le cimetière américain de Colleville-sur-Mer et son mémorial ont étés inaugurés en 1956 pourhonorer la mémoire des soldats morts lors de la seconde guerre mondiale.
Ce cimetière se situe près la plage d’Omaha Beach, l’une des plages dudébarquement des alliés, le 6 juin 1944.

Le cimetière s’étend sur 70 hectares et compte 9387 tombes dont celles de 314 soldats inconnus et cellesde quatre femmes. Avant que le cimetière ne soit fait, ils étaient enterrés sur la plage de Vierville et autres champs de bataille.
14 000dépouilles on été rapatrié aux Etats-Unis sur la demande des proches.

A l’entrée du cimetière, il y a un monument mémorial comprenant un péristyle avec enson centre une statue en bronze de 7m de haut (ci-contre) symbolisant l’Ame de la jeunesse américaine, les soldats étant pour la plupart très jeunes(le plus jeune âge de 17 ans). Il y a aussi un « Jardin des disparus » ou sont écris les noms 1 557 soldats disparu, si ils ont été retrouvé, onpeut voire une fleur en cuivre a coté de leur nom. Sur les murs encadrant la statue on peut voir des cartes sculptée retraçant les opérations dudébarquement.

Au milieu des croix latines, il y a quelques étoiles de David. Un peu plus d’une centaine en tout. Ce sont les soldats américains juifs quiont combattu pour la libération de la France mais aussi pour la libération de leur peuple.

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Omaha Beach

Omaha Beach

Zola

ROHFF
1-Intro :
D’origine Comorienne, Rohff de son vrai nom Housni M’kouboi est un grand rappeur français de Vitry sue seine. Sa mèreimmigre en France ; il l’a rejoint à l’âge de 8 ans puis ses deux petits frère Ikbal et Jalloud. A l’adolescence il se voit souvent convoqué à la harre desaccusés pour des petits délits. Jusqu’en 2005 où il a était condamné à 4 ans d’emprisonnement, dont 3 avec sursis et mise à l’épreuve pendant deux ans,pour avoir tiré avec une arme à feux sur deux personnes à la sortie d’une boite de nuit à Ivry sur seine en 2002. Mais il n’a pas était incarcéré jusqu’enjuillet 2007 pour avoir menacé son frère cadet, Jalloud, avec une arme à feu dans un Quick de Villejuif la nuit du 23 juillet 2007.

2-Lanuit du 23 Juillet 2007 :
Tous commence par une simple chanson de Mc Jean gabin , «Je t’emmerde », où il insulte de nombreux rappeurs parisiens, enl’occurrence Kery James, un très bon ami de Rohff. Dés lors, les deux clans de la scène rap française s’échangent les menaces, les rumeurs, les insultes etles coups tordus. Jusqu’à ce que un Samedi 21 juillet Kery et Housni aperçoivent l’emmerdeur au volant de sa voiture avec un de ses amis. Kery Jameslui propose donc de discuter des insultes blessantes dont il a était victime ; celui-ci refuse et «joue les durs ». Les compagnons de Kery james dontRohff ; décident de s’en occupés et c’est là que la rixe éclate. Jusqu’ici aucun rapport avec le cadet de rohff ; mais celui-ci soupçonne Jalloud

Un barrage contre le pacifique

Un Barrage Contre le Pacifique de Marguerite Duras

Marguerite Duras a débuté l’écriture de son oeuvre Un Barrage contre le Pacifique en 1947, soit un an après l’entrée en guerre de l’Indochine. Publié en 1950, ce roman fait un portrait réaliste de l’Indochine française des années vingt, au temps des colonies.
D’inspiration autobiographique, Un barrage contre le Pacifique relate l’histoired’une veuve ayant fait l’acquisition d’une concession devenue incultivable suite à la montée fréquente des eaux du Pacifique. Avec l’aide de ses deux enfants, Suzanne et Joseph, elle va mener une lutte acharnée contre cet élément pour tenter de sauvegarder ce patrimoine. Tous ses efforts se solderont par des échecs, entraînant le désespoir puis la mort de la mère.
Désireux de vivre et deconnaître le monde et l’amour, Suzanne et Joseph se créent, grâce à l’air musical de « Ramona », un petit monde à part, un monde parfait, leur permettant ainsi de rester « en vie ».
Dans l’extrait étudié, le cinéma, par son aspect magique permet à Suzanne de rêver face à un film d’amour. Le cinéma est vu comme un lieu de refuge, de sérénité et d’égalité. Marguerite Duras, sans une pointe d’ironie, fait ladescription classique et stéréotypée de l’histoire d’amour qui est projetée.

Mal à l’aise face à ce monde inconnu qu’est la ville, Suzanne se réfugie dans une salle de cinéma. Ce lieu lui sert de terre d’asile. Elle pourra enfin s’échapper du monde réel et se sentir « désormais invisible, invincible ».
Le cinéma est une véritable « machine à rêves » et permet de combler les attentes de cetteadolescente à l’existence misérable, n’ayant qu’une seule idée en tête, partir très loin et trouver l’amour.
Quand la lumière s’éteint, elle se sent « invisible et invincible », Marguerite Duras a recours à une paronomase. De « faible » Suzanne passe à « puissante », de « triste » elle devient « heureuse » au sein de ce lieu magique. Ce bonheur est marqué par le déversement de larmes de bonheur de Suzanne : « (…) et se mit à pleurer de bonheur ».
Une longue phrase lyrique à la gloire du cinéma commence alors.

Ce faisant, Marguerite Duras emploie des termes relatifs à la politique. Le cinéma a pour elle un pouvoir bien plus important que toutes les institutions officielles et religieuses.
Le cinéma est un lieu dit « démocratique », il est ouvert à tous, sans aucune distinction sociale ou raciale, »égalitaire » car son prix d’entrée est le même pour tous et il permettra à chacun des spectateurs de passer une nuit vraiment magique à un prix tout à fait dérisoire.
Le cinéma est vu comme un véritable remède à tous les maux, il est généreux et dispense ses bienfaits : « plus généreuse, plus dispensatrice de bienfaits que toutes les institutions de charité et que toutes les églises (…) » .
Le cinémaest un lieu qui se métamorphose en un fleuve où chacun vient déverser ses peines, ses angoisses et purifier son âme « la nuit où se consolent toutes les hontes, où vont se perdre tous les désespoirs et où se lave toute la jeunesse de l’affreuse crasse de l’adolescence ».

Dans la première partie de ce récit, les temps employés sont le passé simple  » la lumière s’éteignit », « Suzanne se sentit »,ainsi que l’imparfait, « C’était l’oasis… ». L’emploi de ces temps permet d’exprimer les circonstances de la séance.
À ce moment du récit, Suzanne est clairement identifiée, Marguerite Duras la prénomme ainsi : « Suzanne se sentit désormais invisible, invincible et se mit à pleurer de bonheur ».
Mais, dès le début de la seconde partie du récit, Suzanne devient « invisible » et se fond dans le décorparmi tous les spectateurs auxquels Marguerite Duras attribue le pronom personnel « on »: « On ne saurait lui en imaginer un autre, On ne saurait rien lui imaginer d’autre que ce qu’elle a déjà, que ce qu’on voit ».
Le présent de narration succède alors au passé simple. Marguerite Duras l’utilise pour raconter l’histoire d’amour visionnée par Suzanne et les autres spectateurs : « C’est une femme…

Biologie

BIOLOGIE CELLULAIRE

( PRESENTATION DU MONDE VIVANT

I) Les procaryotes

Les procaryotes englobent toutes les bactéries, ce sont des organismes unicellulaires, leurs cellules sont de structure simple mais variée biochimiquement. Les bactéries sont les plus simples de tous les organismes que l’on trouve dans la plupart des environnements naturels.

Elles sont de forme sphérique (coques),de bâtonnet (bacilles) ou en forme de spirale (figure I3 a.)

Leur dimension est de quelque micron (mm.) Elles sont souvent entourées d’une coque protectrice, la paroi, sous laquelle se trouve la membrane plasmique qui délimité le cytoplasme qui est un compartiment interne unique. Dans le cytoplasme se trouve l’ADN, l’ARN, les protéines et d’autres petites molécules : toutes les moléculesnécessaires à la cellule. Par microscopie électronique, le cytoplasme apparaît comme une matrice de texture variable sans aucune structure interne organisée évidente. (figure I3 b)

Les bactéries peuvent se répliquer rapidement en se divisant simplement en deux pas scissiparité, cela est un avantage pour s’adapter aux modifications de l’environnement. Dans la nature, les bactéries vivent dans unevariété considérable de niches écologiques.

On distingue deux grands groupes de parentés éloignées : les eubactéries (forme courante, habitant le sol, l’eau, et les organismes vivants) et les archéobactéries (qui vivent dans les environnements très inhospitaliers (fonds océaniques, source chaude acide, marée…))

Il existe des espèces bactérielles capables d’utiliser éventuellement n’importe quellemolécule organique comme aliment (glucides, acides aminées, graisses, hydrocarbures.) Certaines bactéries peuvent utiliser le CO2 ambiant comme source de carbone et d’autres le gaz N2 ambiant comme source d’azote.

En dépit de leur relative simplicité, les bactéries ont survécu depuis plus longtemps que n’importe quels autres organismes et constituent le type cellulaire le plus abondant sur terre.A) Les différents types de bactéries

1er type : Les eubactéries, elles représentent la majorité des bactéries et c’est d’elle dont il s’agira lorsque l’on parlera de bactéries.
2ème type : Les archéobactéries : moins bien connues, que l’on qualifie de « bactéries de l’extrême » (figure I4.)

1) Relations symbiotiques

Certaines bactéries peuvent vivre en symbiose (=vivre avec) enpratiquant le mutualisme1, le commensalisme2 ou le parasitisme3.

Définitions :
(1) On appelle mutualisme, une relation symbiotique qui profite aux deux espèces concernées.
(2) Relation symbiotique dans laquelle une espèce tire profit d’une autre espèce sans lui causer de préjudice.
(3) Relation symbiotique au cours de laquelle une espèce nuit à une autre espèce (l’hôte) pour croître et sereproduire.

Exemples :
(1) Bactéries fixatrices d’azote, ce sont des bactéries capables de transformer l’azote N2 atmosphérique en azote organique NH3 utilisable par la plante qui héberge ces bactéries. On les trouve dans les racines de plantes tel le soja, le trèfle, la luzerne…
(2) Bactéries commensales, on les trouve dans la bouche, la gorge, le nez, sur la peau ; certaines participent à ladigestion, à la fabrication de vitamines (dans l’intestin), à la digestion de la cellulose (chez les ruminants, cela leur permettant de digérer l’herbe.)
(3) Staphylocoque doré (Staphylococcus Aureus), Mycobacterium Tuberculosis, Bacillus Anthracis.

2) Bactéries auxiliaires industrielles

Étant donné leurs capacités métaboliques, les bactéries sont utilisées dans l’alimentation (fromage, yaourt.)En biotechnologie, les bactéries sont utilisées pour fabriquer des antibiotiques, des vitamines, pour digérer nos déchets des huiles lourdes. On peut les transformer génétiquement pour leur faire fabriquer l’insuline humaine ou encore l’hormone de croissance.

3) Bactéries « de laboratoires »

En recherche, les travaux portent sur plusieurs espèces mais l’espèce de laboratoire type est…

Droit international des droits de l’homme

Spécificités du droit international des droits de l’homme |

Sommaire :

Introduction :

Chapitre 1 : Le droit international des droits de l’homme : un droit récent.
Paragraphe 1 : Les sources juridiques des DIDH
Paragraphe 2 : les mécanismes de protection juridictionnelle des DIDH

Chapitre 2 : Souveraineté des Etats et Droit international des droits humains.

Paragraphe 1 :conception classique du droit international et souveraineté étatique
Paragraphe 2 : suprématie du DIDH sur le droit national (compétence universelle)

Conclusion :

INTRODUCTION

La Déclaration universelle des droits de l’homme, adoptée par l’Assemblée générale des Nations Unies le 10 décembre 1948, a fortifié le mouvement international pour les droits de l’homme. La Déclaration, qui se veut »l’idéal commun à atteindre par tous les peuples et toutes les nations », énonce pour la première fois dans l’histoire de l’humanité les droits civils, politiques, économiques, sociaux et culturels fondamentaux dont tous les êtres humains devraient jouir. Au fil des ans son statut de norme fondamentale des droits de l’homme, que tous les hommes devraient respecter et protéger, a été largementreconnu. La Déclaration, avec le Pacte international relatif aux droits civils et politiques et ses deux protocoles facultatifs, ainsi que le Pacte international relatif aux droits économiques, sociaux et culturels forment ensemble la Charte internationale des droits de l’homme.
Une série de traités sur les droits de l’homme et d’autres instruments adoptés depuis 1945 ont donné une forme juridiqueaux droits inaliénables de l’homme et forgé un ensemble de droits internationaux de l’homme. D’autres instruments ont vu le jour au niveau régional pour refléter les droits spécifiques, qui préoccupent une région et prévoir des mécanismes de protection adaptés. La plupart des Etats ont adopté des constitutions ou autres lois, qui protègent formellement les droits fondamentaux de l’homme. Bien queles traités et le droit coutumier constituent l’armature du droit international sur les droits de l’homme, d’autres instruments tels que des déclarations, directives et principes adoptés au niveau international permettent de mieux les comprendre , de les appliquer et de les développer. Le respect des droits de l’homme présuppose l’existence de l’état de droit aux niveaux national et international.Le droit international sur les droits de l’homme stipule les obligations que les Etats sont tenus de respecter. Lorsqu’un Etat devient partie à un traité, le droit international l’oblige à respecter, protéger et instaurer les droits de l’homme. Respecter les droits de l’homme signifie que les Etats évitent d’intervenir ou d’entraver l’exercice des droits de l’homme. Protéger signifie que lesEtats doivent protéger les individus et les groupes contre les violations des droits de l’homme. Instaurer signifie que les Etats doivent prendre des mesures positives pour faciliter l’exercice des droits fondamentaux de l’homme.
En ratifiant les traités internationaux des droits de l’homme, les gouvernements s’engagent à prendre des mesures nationales et à adopter des lois compatibles avec lesobligations découlant des traités. Lorsque les procédures légales nationales ne permettent pas remédier aux violations des droits de l’homme, il existe des mécanismes et procédures de plaintes individuelles ou de communications aux niveaux régional et international, qui permettent de garantir le respect, la protection et l’instauration des normes internationales des droits de l’homme au niveau local.Il est, dès lors, possible de s’interroger sur la conception classique du droit international. En effet, sachant que la conception moderne reconnaît une protection internationale des droits de l’homme, qu’en est-il de la conception classique ? Celle-ci ne préfère-t-elle pas mettre en exergue la souveraineté étatique, au détriment des droits de l’homme ? Dans la conception classique du droit…

Hello

Structuration en packages
Pour ame?liorer notre mode?le, nous allons organiser les cas d’utilisation et les regrouper en ensembles fonctionnels cohe?rents. Pour ce faire, nous utilisons le concept ge?ne?ral d’UML, le package.
Les acteurs ont e?galement e?te? regroupe?s dans un package se?pare? sur lequel s’appuient les deux packages de cas d’utilisation. L’organisation ge?ne?rale du mode?ledans un outil de mode?lisation est repre?sente?e sur la figure 3-7.
Le sigle UC pour use case est souvent utilise? pour raccourcir les noms de packages.
Affinement du mode?le de cas d’utilisation
Apre?s une nouvelle re?union d’expression des besoins avec le responsable du projet, nous sommes arrive?s a? la conclusion qu’il e?tait ne?cessaire de distinguer deux profils d’internautes :
• leVisiteur, inconnu du site web, mais qui peut ne?anmoins recher- cher des ouvrages et ge?rer un panier ;
• leClient,de?ja?connuparlesiteweb,quipeutseuleffectuerunecom- mande et en suivre l’e?tat.
B.A.-BA Package
Le package est un me?canisme ge?ne?ral de regrou- pement d’e?le?ments en UML, qui peut e?tre utilise? par exemple pour regrouper des cas d’utilisation, mais aussi des acteurs, des classes, etc.Figure 3–7
Organisation des cas d’utilisation et des acteurs en packages (avec l’outil Enterprise Architect)
© Groupe Eyrolles, 2005
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3 – Spe?cification des exigences d’apre?s les cas d’utilisation
Figure 3–8
Cas d’utilisation du Visiteur et du Client
B.A.-BA Acteur ge?ne?ralise?
A? tout moment, le visiteur peut choisir de cre?er un compte, afin de devenir client. Le client ae?galement la possibilite? de modifier les infor- mations le concernant (adresse de facturation, adresses de livraison, adresse e?lectronique, etc.) stocke?es par le site web.
Nous avions e?galement oublie? de mentionner l’important syste?me externe de Paiement sE?curisE?, ne?cessaire au moment du paiement en ligne.
Le diagramme de cas d’utilisation des internautes devient donc tel que repre?sente? sur lafigure 3-8.
Nous remarquons maintenant que les deux acteurs Client et Visiteur partagent deux cas d’utilisation : ils sont e?galement acteurs principaux de Chercher des ouvrages et GE?rer son panier. Or, une bonne pratique consiste a? identifier un seul acteur principal par cas d’utilisation. UML
Il arrive que deux acteurs, ou plus, pre?sentent des similitudes dans leurs relations aux casd’utilisa- tion. On peut l’exprimer en cre?ant un acteur ge?ne?- ralise?, e?ventuellement abstrait, qui mode?lise les aspects communs aux diffe?rents acteurs concrets. nous fournit la solution en permettant de cre?er un acteur ge?ne?ralise? Dans notre exemple, l’acteur Internaute est la
Internaute, dont Client et Visiteur seront des spe?cialisations. Le diagramme devient alors celui de la figure 3-9,avec un seul acteur
ge?ne?ralisation abstraite des ro?les Visiteur et Client. Notez que le nom d’un acteur abstrait s’e?crit en italique. principal par cas d’utilisation.
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© Groupe Eyrolles, 2005
Cahier du programmeur UML 2
Figure 3–9
Cas d’utilisation des internautes
On pourrait relier les cas d’utilisation des internautes par des relations d’extension :
• La recherche d’ouvrages peutdonner lieu a? leur mise dans le panier (et re?ciproquement !).
• Lagestiondupanierpeutdonnerlieuaupassaged’unecommande. • Lepassaged’unecommandepeutdonnerlieua?lagestionducompte
client (ajout d’une adresse, etc.).
De me?me, les diffe?rentes possibilite?s de recherche d’ouvrages seront mode?lise?es plus finement par une relation de ge?ne?ralisation/spe?cialisation.
Enfin, l’authentification duclient est ne?cessaire au de?but du passage d’une commande, du suivi des commandes, ou de la modification des informations du compte.
Toutes ces relations entre cas d’utilisation, le?gales en UML, mais sou- vent mal utilise?es et sources de confusion pour les experts me?tier, sont illustre?es sur la figure 3-10.
Pensez-vous vraiment que le diagramme ainsi obtenu soit satisfaisant ? Non, me?me…

Commentaire de texte sur l’incipit de jacques le fataliste de diderot

Commentaire de texte sur l’incipit de Jacques le fataliste de Diderot

Jacques le fataliste est un roman d’un genre nouveau de Denis Diderot, publié en 1783, près de 18 ans après le commencement de son écriture. Diderot, principal rédacteur de l’Encyclopédie, y raconte les aventures et les discussions d’un valet et de son maître qui cheminent ensemble. Comment Diderot se sert-il de l’incipitparticulièrement atypique de son roman pour nous faire part de ses interrogations de philosophe et d’auteur des Lumières ? Nous étudierons dans une première partie le caractère complexe et original de l’incipit et dans une deuxième partie les messages qu’il entend délivrer au lecteur, notamment sur le fatalisme, son rôle d’auteur et la forme du roman.

Le rôle d’un incipit est d’apporter desinformations sur les personnages, le lieu de l’action, la temporalité, l’intrigue, le ton général du récit, et d’accrocher ainsi le lecteur. Or, Diderot nous livre en préalable une série de questions auxquelles il n’apporte aucune réponse satisfaisante pour le lecteur. D’emblée nous ne savons pas qui sont les personnages, dénommés « ils » dans la première phrase de l’incipit, d’où ils viennent, où ilsvont, ce qu’ils font. Au lieu d’intéresser le lecteur, le narrateur se moque de lui avec des réponses plates qui ne délivrent aucune information « par hasard » « du lieu le plus proche », le bouscule « que vous importe », l’apostrophe « vous voyez lecteur », le fait patienter « et vous pour ce délai ». La narration est d’ailleurs quasiment exclue de l’incipit au profit de l’oralité. Car enparallèle au dialogue entre Jacques et son maître, s’instaure aussi un dialogue entre le narrateur et le lecteur.
La structure du récit, très complexe et décousue, se déroule sans aucune logique. Aux questions initiales succède soudainement un dialogue théâtral entre Jacques et son maître qui commence par répondre directement « C’est un grand mot que cela » à une affirmation présentée indirectement parJacques qui la tient de son capitaine. On peut noter la lourdeur de la phrase « Jacques disait que son capitaine disait que … » qui embrouille encore plus le lecteur. Le dialogue théâtral est interrompu lui-même par un retour au récit narratif et un discours annoncé par un verbe introducteur : « Après une courte pose, Jacques s’écria : … » Le « cabaretier et son cabaret » apparaissent alors commeun cheveu sur la soupe. Le présent de narration utilisé par Jacques lorsqu’il raconte sa mauvaise aventure avec son père prête à confusion et donne l’impression en première lecture que les deux protagonistes sont attablés dans un cabaret, alors qu’il s’agit en fait d’un événement passé. Le commencement du récit des amours de Jacques, annoncé, ne se réalisera pas. Il est aussitôt interrompu par unedigression sur le moment de la journée, le temps qu’il fait, la colère du maître. Nous assistons ensuite à une longue intervention du narrateur qui revendique sa liberté d’auteur pour nous livrer la suite de l’histoire.
Enfin, l’inversion de la relation entre le maître et le valet est surprenante. Diderot fait de Jacques le personnage principal de l’histoire, celui qui suscite l’intérêt, quiparle beaucoup, qui philosophe. Le maître est présenté comme un faire-valoir, effacé, anonyme ; il se contente de répéter ce que dit Jacques pour faire rebondir le dialogue « Tu as donc été amoureux ? » « Et cela par un coup de feu ». Jacques dispose du pouvoir, il intéresse le maître qui est demandeur. Après cette inversion de rôle, la colère du maître qui rosse son valet paraît d’autant plusétonnante.

Mais Diderot ne se contente pas de déstabiliser le lecteur en lui offrant un incipit original et complexe ; il introduit dans son récit une dimension philosophique et ses propres réflexions sur le genre romanesque.
Dans la question « Est-ce que l’on sait où l’on va ? » Diderot nous interpelle déjà sur le sens de l’existence. Il faut noter l’emploi du pronom personnel « on » à la place…

Pekdkd

La planète compte six milliard et demi d’habitants dont soixante-dix pourcent d’entre eux sont concentrés sur douze pourcent de la surface des continents il y a donc une répartition inégale deshumains comme des richesses sur la Terre. L’IDH est élevé dans les pays du nord et faible dans les pays du sud et de même pour les PIB. La triade domine l’économie mondiale avec trois pôlesdominant les Etats-Unis, l’Union Européenne et le Japon.
Pourquoi la terre est-inégalement peuplé ?
Ou sont les principaux foyers de peuplement et les espace vide ?
Pourquoi l’IDH et le PIB esttrès élevé dans les pays du nord ?
Pourquoi la triade domine l’économie mondiale ?

La terre est inégalement peuplées car la population mondiale préfère allez vivre dans les villes aux lieux dela campagne c’est ce qu’on appelle l’Exode rurale, il y a donc une forte densité dans les plaine et les vallées. La population est très faible dans les régions froid c’est-à-dire que les montagnes,exemple le Japon plus de 50 % de la population du Japon vit sur 2 % du pays car dans les montagnes il y a de forte contrainte pente, froid, isolement, difficulté de communication mais les montagnessont souvent peuplés dans les pays chaud comme la Bolivie par exemple. Il y a plus de 5 habitants au km2 dans le désert car la vie végétative est limitée à par ou les ressources d’eaux peuvent êtreexploité donc peut de personne y vivent. Il y a dix grands foyers de peuplement qui regroupent quatre-vingt pourcent de la population mondiale. Les trois principaux grands foyers de peuplement sontAsie de l’Est plus de un milliard cinq cent millions d’habitants (Chine et Inde pays les plus peuplés du monde), Asie du Sud plus de un milliard deux cent millions d’habitant et l’Europe cinq centmillions d’habitant. Les sept foyers secondaires eux comporte entre cent million et deux cent million d’habitants.
Les pays du nord possèdent un fort taux d’IDH de 0,8 et 0,9. Dans chaque pays…