Compta

SEMESTRE 1 = INTRODUCTION A LA COMPTABILITE

Partie 1 ==> Présentation de la comptabilité générale

Chapitre 1 => Cycles d’activités de l’entreprise et flux liés aux opérationsL’entreprise et son environnement

Fournisseurs Clients

Banques

Entreprise
Compagnies d’assurances Organismes sociaux
(ASEDIC, URSAF, Retraite)
Administrationfiscale

Les 4 étapes du cycles d’activité de l’entreprise

Réunir des ressources
Acheter des facteurs de production
Consommer ces factures de production
Vendre contre denouvelles ressources

Les flux liés aux opérations

Flux réels de bien et de service
Flux financiers ? règlement reçu ou effectué par l’entreprise
Constatation des flux : documentchiffrés (ex.: factures, chèques, fiches de paye…)
Document interne à l’entreprise (ex.: compte caisse…)

Chapitre 2 => Ne pas confondre trésorerie et résultat

Trésorerie (oudisponibilité)

? Disponibilité finale =
disponibilité initiale + encaissement (recette [rentré d’argent]) – décaissement (dépense [sortie d’argent])

? Remarque : les règlements desfactures d’achats et de ventes sont TTC (avec TVA [impôt indirecte])

Résultat de l’activité : Bénéfice ou perte

? Résultat = Pdt – Charges

Si pdt > charges = BénéficeSi pdt < charges = Perte ? Remarques : Charges et pdt sont HT durant la période, quelle que soit la date du règlement. Origines des différences Le point de départs des calculsLa TVA
Les emprunts et leurs remboursement
La dotation aux amortissement, aux dépréciation et aux provisions ( CHARGE NON DECAISSABLE )
Les règlements différés.

Conclusion:

Ne pas confondre : ? Résultat et Trésorerie
? Produits et Encaissement
? Charges et Encaissement (dépense)

Chapitre 3 => Documents de synthèse comptable : bilan et compte de…

Cracovie

Légende du dragon de Cracovie :

Il y a bien longtemps, Krak, qui donna son nom à la ville, était le chef du peuple qui vivait sur la Vistule et avait installé sa demeure sur la colline Wawel.Les anciens racontaient que sous cette colline était une grotte et que dans celle-ci reposait un dragon féroce qu’il ne fallait pas réveiller. Deux jeunes hommes furent aller réveiller le dragon pourl’affronter mais ils se furent dévorer. Furieux d’avoir été réveillé, le dragon mangea moutons, jeunes femmes … jusqu’aux derniers. Krak devait réagir et envoya ses soldats en leur promettant lamain de sa fille. Ils se furent tous dévorer. Finalement, un jeune cordonnier très intelligent, roula ses quelques moutons dans le souffre et les emmena devant la grotte. Le dragon, attiré par l’odeur,avala les moutons. Malheureux, le dragon se rua vers la rivière car le souffre le brulait et bu la moitié de cette rivière… tellement qu’il explosa ! Et le cordonnier épousa la princesse etvécurent très heureux.
Si vous n’y croyez pas, allez voir la statue du dragon et si vous osez, entrez visiter la grotte du dragon !

Château Wawel :

Le château est situé sur une butte : il domine laville.. Il abrite une cathédrale qui contient dans sa crypte, les tombes des anciens rois de Pologne qui sont aussi couronnés ici. C’est à Wawel que ce situerai un des 7 chakras du monde : toucher unmur donne de l’énergie En bas du fleuve, près du fleuve le Vistule, se trouve une statue du dragon, emblème de la ville.

La ville de Cracovie :

Dans la vieille ville de Cracovie se trouve 😕 La place du marché : le Rynek
? La halle aux draps : les Sukiennice
? L’église Notre Dame : Kosciol Mariacki
Cracovie a été la capitale de la Pologne jusqu’au XIVème siècle puis Varsovie.D’après la légende, Krak fonda la ville de Cracovie après avoir tué le dragon et donna son nom à la ville.

La place du marché, la halle aux draps, l’église Notre Dame sont au même endroit : le…

Sevelnord

SOMMAIRE

I – SEVEL NORD : UNE USINE AU CŒUR DU VALENCIENNOIS
? Chiffres clés

page

3
4 4

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .3

? Sevel Nord, un outil industriel au service de la coopération . . . . . . . . . . . . . . . . . ? Des capacités en adéquation avec les marchés . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. . ? Une seule ligne de montage pour assembler une grande diversité

de véhicules . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .5
? Sevel Nord, créateur de richesses pour le Valenciennois

. . . . . . . . . . . . . . . . .6

II – LA PRODUCTION DES NOUVEAUX FOURGONS COMPACTS ET DES COMBIS : MODERNISATION DES ATELIERS, NOUVEAU SYSTÈMELOGISTIQUE ET AMÉLIORATION page DE L ’ERGONOMIE
? Chiffres clés

7

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .7 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .7

? Extension et modernisation de l’atelier de Ferrage

? L’atelier de Peinture : adaptations aux nouvelles dimensions . . . . . . . . . . . . . . .8 ? L’atelier de Montage :diversité et souplesse . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .8 ? Amélioration de l’ergonomie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .9 ? Mise en place d’un nouveau process logistique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .1 0 ? Protection de l’environnement . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .1 1III – LES HOMMES ET LES FEMMES DE SEVEL NORD

page

1 2

? Chiffres clés . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .1 2 ? Consolidation de l’activité

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .1 2

? Professionnalisation des métiers appuyée par un large plan de formation . . . . . .1 3 ?Renforcement de la sécurité au travail . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .1 4 ? Dialogue social

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .1 4

1

SOMMAIRE

IV – LA NOUVELLE FAMILLE DE FOURGONS COMPACTS ET DE COMBIS ISSUS DE LA COOPÉRATION page 1 5 PSA PEUGEOT CITROËN – FIAT
? Chiffres clés . . . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .1 5 ? Le cahier des charges du fourgon compact :

joindre l’agréable à l’utilitaire . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .1 6
? Une approche d’inspiration ethnologique pour proposer

des innovations utiles au quotidien . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. .1 7
? Des prestations en nette hausse dans un format toujours compact . . . . . . . .1 8 ? Une large déclinaison de carrosseries pour répondre

aux multiples attentes . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .1 8
? Un poste de conduite digne d’un véhicule particulier ? Les équipements de confort et de sécurité :

. . . . . . . . . . . . . . . .. . .1 9

au standard des voitures particulières les plus récentes . . . . . . . . . . . . . . . . .1 9
? La famille combis : une toute nouvelle offre pour la croisière routière . . . . . . . . .20 ? Une palette de moteurs modernes, économiques

et respectueux de l’environnement . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .2 1

ANNEXES
? ? ? ?

12345-

Fichetechnique : nouveaux Peugeot Expert, Citroën Jumpy et Fiat Scudo. Historique de la coopération des groupes PSA Peugeot Citroën et Fiat. La coopération entre les deux groupes : un modèle unique. Jumpy, Expert, Scudo : retour sur le succès de triplés à l’origine d’un nouveau segment. Le segment des fourgons compacts et des combis en Europe : un marché en forte croissance dynamisé par une offre enrichie….

Unité et diversité des suds

I. Le Sud : un ensemble caractérisé par l’inégal développement

A. Développement et pauvreté humaine

1. Des inégalités de richesse : la fracture Nord/Sud
– PIB/RNB : des indicateursdes inégalités de richesse
– Des indicateurs qui ont leurs limites
2. La difficile mesure du développement et des inégalités
– L’indice du développement humain (IDH)
– L’indicede pauvreté humaine (IPH)
– L’indice de Gini
3. L’ampleur des inégalités est un obstacle au développement
– Des sociétés soumises aux risques
– Les inégalités hommes/femmesB. Unité des Sud : l’accumulation des obstacles au développement

1. Le défi démographique
– L’explosion démographique
– Les politiques natalistes
2. L’urbanisation, reflet desdéséquilibres socio-démographiques
– Une urbanisation qui s’accélère
– L’espace urbain est en crise

PBQ. 2 : En quoi l’inégale efficacité des politiques du développement accroît-ellela diversité de cet ensemble ?

II. Du Sud aux Sud : un espace de plus en plus différencié

A. Un développement économique différencié

1. Le poids inégal de l’agriculture dans les économies- Des situations très contrastées…
– … qui relèvent de plusieurs facteurs
2. La part contrastée de l’industrialisation et des services dans l’économie
– Le rôle del’industrie dans le développement
– La part du tertiaire

B. Des politiques de développement variées

1. Les différentes politiques de développement
– La voie « autocentrée »
– La voiesocialiste
– La voie libérale
2. La généralisation d’une voie libérale de développement
– La question financière
– Limites et contestation

C. Des Sud : essai de typologie1. Les deux géants : la Chine et l’Inde
– La Chine
– L’Inde
2. Les « pays émergents »
3. Les rentiers du pétrole
4. Les pays en développement (PED)
5. Les pays…

La viajera

«Lors donc que vous créez des débouchés, vous allez guerroyer au bout du monde, lorsque vous faites tuer des milliers de Français pour ce résultat, vous allez directement contre votre but: autant d’hommes tués, autant de millions dépensés, autant de charges nouvelles pour le travail, autant de débouchés qui se ferment (…). Non, il n’y a pas de droit des nations dites supérieures contre lesnations inférieures. Il y a la lutte pour la vie qui est une nécessité fatale, qu’à mesure que nous nous élevons dans la civilisation nous devons contenir dans les limites de la justice et du droit. Mais n’essayons pas de revêtir la violence du nom hypocrite de civilisation. Ne parlons pas de droit, de devoir. La conquête que vous préconisez, c’est l’abus pur et simple de la force que donne lacivilisation scientifique sur les civilisations rudimentaires pour s’approprier l’homme, le torturer, en extraire toute la force qui est en lui au profit du prétendu civilisateur. Ce n’est pas le droit, c’en est la négation. Parler à ce propos de civilisation, c’est joindre à la violence l’hypocrisie. (…) Je ne veux pas juger au fond la thèse qui a été apportée ici et qui n’est autre chose que laproclamation de la puissance de la force sur le Droit. L’histoire de France depuis la Révolution est une vivante protestation contre cette unique prétention. C’est le génie même de la race française que d’avoir généralisé la théorie du droit et de la justice, d’avoir compris que le problème de la civilisation était d’éliminer la violence des rapports des hommes entre eux dans une même société et de tendreà éliminer la violence, pour un avenir que nous ne connaissons pas, des rapports des nations entre elles. […] Regardez l’histoire de la conquête de ces peuples que vous dites barbares et vous y verrez la violence, tous les crimes déchaînés, l’oppression, le sang coulant à flots, le faible opprimé, tyrannisé par le vainqueur ! Voilà l’histoire de votre civilisation ! […] Combien de crimesatroces, effroyables ont été commis au nom de la justice et de la civilisation. Je ne dis rien des vices que l’Européen apporte avec lui : de l’alcool, de l’opium qu’il répand, qu’il impose s’il lui plaît. Et c’est un pareil système que vous essayez de justifier en France dans la patrie des droits de l’homme ! »
En réponse au discours de Jules Ferry, Georges Clemenceau se réfère dans cet extrait à laFrance en tant que patrie des droits de l’homme et de la nécessité de se référer au « génie […] de la race française »: il réfute l’idée d’une hiérarchie des races et remet en cause l’idée d’un devoir de civilisation de l’Europe vis-à-vis du reste du monde. Plus pragmatiquement il annonce le refus de son groupe parlementaire de voter les crédits demandés par Jules Ferry pour accentuer l’effortcolonial, et se place résolument dans l’opposition parlementaire

Synthèse d’Histoire contemporaine niveau Lycée sur le discours de Clémenceau prononcé devant la Chambre des Députés le 30 juillet 1885 à propos de la colonisation. Le texte étudié est également présenté.Extrait:Ce débat parlementaire a lieu à la fin du mois de Juillet 1885 durant une période de compétition accélérée entre lespuissances colonisatrices. Ce débat se situe donc au début de la colonisation.Clémenceau énonce ce discours peu de temps après que les grandes puissances se soient mises d’accord lors de la conférence de Berlin (1884-février 1885) (…)Sommaire:I) À quel moment de l’histoire de la colonisation se situe ce débat parlementaire ?II) Selon Georges Clémenceau, quels sont les arguments de Jules Ferry pourjustifier les expéditions coloniales ?III) Quelles sont les positions défendues ici par Georges Clémenceau ?IV) Comment peut-on qualifier les positions de Jules Ferry et de Georges Clémenceau ?

L’étude de ce texte s’inscrit dans la deuxième partie du programme d’histoire, colonisation et indépendance, plus précisément dans le premier thème, la colonisation européenne et le système colonial, qui…

La séduction chez les animaux

La Séduction chez les animaux

La séduction désigne d’une part une conduite ou un procédé social visant à susciter l’admiration, l’attirance ou l’amour d’un ou de plusieurs autres partenaire pour soi, et d’autre part l’état des personnes éprouvant cette attirance.

L’entreprise de séduction se présente souvent comme une forme de jeu entre deux partenaires, où l’une d’elles s’efforce desusciter de l’attirance.

L’objectif le plus simple de la séduction consiste à obtenir un avantage de la part du partenaire séduit, par exemple des rapports sexuels ayant pour but premier de perpétuer l’espèce.

Ces signaux, destinés à attirer un ou une partenaire, sont adaptés à l’environnement. Car le son, la vue ou l’odorat sont perçus différemment selon que l’on est dans l’air ou dans l’eau. Ilne suffit pas d’émettre des signaux, encore faut-il que ces signaux soient perçus. Ceux-ci résultent d’une évolution des espèces pour permettre de perpétuer l’espèce. Ces phénomènes ont été analysés et expliqué par Charles Darwin naturaliste anglais dont les travaux sur l’évolution des espèces vivantes ont révolutionné la biologie. Il le définira en tant que sélection sexuelle.

Chez lesanimaux, la plupart des phénomènes biologiques s’expliquent par une certaines chronobiologie. En particulier la séduction et la reproduction qui se réalisent pendant la saison des amours, le plus souvent pendant le printemps, une période adaptée à la gestation.

En contre partie la séduction n’en reste pas moins dangereuse pour les animaux, du fait du coût énergétique et des risques pris lors de lacommunication, qui alertera les prédateurs aux alentours. D’autres espèces utiliseront des stratagèmes afin de dévier cette communication en leurs faveurs, comme les imitateurs.

Après avoir décodé les différents mécanismes de séduction des animaux, nous nous interrogerons sur les similitudes qu’il existe entre les techniques de séduction humaine et animal.

Notre exposé sera donc composé dequatre parties :

-I/ Les signaux :

1) signaux chimiques

1.1) Phéromones chez les invertébrés

1.2) Phéromones chez vertébrés

1.3) Autres signaux chimiques : exemple de Helix pomatia

2) signaux visuels

2.1) la coloration

2.2) Parade nuptiale

3) signaux sonores

3.1) Chez les insectes

3.2) Chez les oiseaux

3.3) Chez les Mammifèresterrestre

3.4) Chez les animaux aquatiques

2.2)

-II/ Sélection sexuelle

1) Sélection intersexuelle

2) Sélection intrasexuelle

-III/ Chronobiologie

1) Caractéristiques

2) Propriétés

3) Exemples

-IV/ Danger de la séduction

1) Les profiteurs

2) Les imposteurs

SIGNAUX CHIMIQUES

La séduction met en jeu,également, des signaux chimiques, qui doivent être reçus par l’animal visé. Pour cela, il y a un grand nombre d’acteurs biologiques qui influencent les comportements.

Des signaux
Des récepteurs
Des centres de traitements
Des effecteurs
Des régulateurs

En fonction du nombre et de la complexité de ces différents éléments, le comportement sexuel peut être très simple et stéréotypé, ou variableet complexe. La réalisation du comportement sexuel nécessite des signaux échangés par les partenaires. Les récepteurs qui détectent ces signaux peuvent avoir différentes caractéristiques

Caractéristiques structurelles
Récepteur simple, constitué par une molécule ou une cellule.
Récepteur complexe, constitué par un organe ou un système sensoriel.
Caractéristiques fonctionnelles
Récepteurspécifique, spécialisé pour détecter un signal précis.
Récepteur non spécifique, détecte un large spectre de signaux.
Contrôle des récepteurs
Récepteur continu, les signaux sont perçus continuellement.
Récepteur périodique, le signal ne peut être détecté qu’en période d’activité du récepteur

Le centre de traitement est le facteur le plus critique du comportement sexuel .Les centres de…

Rapport de stage

RESUME SUR LA GESTION DES DEBITEURS DIVERS
DEFIINITION D’UN DEBIRTEUR DIVERS
On appelle débiteur divers toute personne physique ou morale tenue de remplir une obligation.

La gestion desdébiteurs divers à l’hôtel pullman n’est pas chose facile .cette gestion est faite a travers plusieurs services parmi lesquels le service réception, réservation etc.…
En effet, le service réservationest le service qui permet au client de réserver une chambre d hôtel à une date précise et sous des biens conditions déterminés. Pour en revenir a notre cas on entre dans la catégorie de débiteursdivers lorsque notre séjour a l’hôtel n’est pas payer au comptant, mais plutôt par une prise en charge ou par un bon de commande. D’où l appellation de débiteurs divers.
Le service réception, à lafin du séjour du client envoi les factures (différentes consommations du client ayant eu lieu au sein de l’hôtel) en outre celle de l’hébergement au service comptabilité.
Traitement comptableL’essentiel des travaux du pullman hôtel se réalise sur le logiciel accor.il permet de réaliser toutes les opérations de la comptabilité d’une entreprise :
-Saisie desécritures comptables
-gestion des comptes généraux et compte de tiers
-édition des principaux états comptable
– impression du bilan etcomptes de résultats
Pour en revenir a notre cas, après réception des factures l’on procède à l’enregistrement des factures sur Accor. Cet enregistrement suit les étapes suivantes :
1ere ETAPE :recherche du client sur le bureau suivi de la touche « entrée »
2eme ETPAE : validation ou entrée des informations suivantes
-nom du client
-Libelle complémentaire :
-Référence du bon : V/BC N°3eme Etape
-entrée de la date :
-Intitule :
-Montant TTC :

La procédure ci-dessus cites correspond uniquement à l’enregistrement de la facture sur Accor.
Apres Cette étape vient la…

La goutte d’or

La goutte d’or Michel Tournier:
Chapitre 1 :

Idriss, 15 ans est un oasien, qui a un troupeau de moutons et de chèvres. Il est ami avec Ibrahim, un chaamba semi nomade. Les semi nomades s’occupent des chameaux. Chaque garçon a un troupeau dont il est responsable. Idriss amène son troupeau vers le puits Hassi Ourit, le puits d’Ibrahim. Quand il arrive, le troupeau d’Ibrahim est là mais pasIbrahim. Idriss découvrit des traces, de pneus, il les suit et elles le mènent à une Land rover. Une femme blonde et un homme étaient à l’intérieur. Idriss est émerveillé par la voiture, la femme le prend en photo et lui dit qu’elle lui enverra sa photo quand elle rentrera à Paris. Jusque-là, à Tabelbala il n’y avait eu qu’une photo, celle de l’oncle d’Idriss, maintenant il y aura la siennepense-t-il. Il va rejoindre Ibrahim pour lui raconter son aventure, mais Ibrahim lui dit qu’il faut qu’ils aillent donner à boire à une chamelle qui a mis bas. Car le puits ou elle est pourri. Ils y vont et la chamelle est tombée dans le puits. Ibrahim descend, la tue car elle est blessée et la dépèce. Il envoie les morceaux à Idriss qui pendant ce temps, nourrit le chamelon. Quand Ibrahim remonte, touts’écroule et il est enseveli vivant au fond du puits. Idriss s’enfuit, tombe et entend le rire de son ami qui vient de sous terre.

Chapitre 2 :

Idriss, sa mère et Kuka, une voisine sont dans l’habitation d’Idriss. Sa mère lui parle de l’épisode de la photo, tandis que Kuka la coiffe et la maquille, car pendant 10 jours une grande fête aura lieu, le mariage d’Aïcha, la fille d’Ahmed ben Baada etdu fils aîné de Mohammed ben Souhil. Kuka est sûre que la photo n’arrivera jamais, et que ça va faire partir Idriss. Car plusieurs jeunes sont partis ces derniers mois. Idriss, pendant qu’ils parlent, sculpte des chameaux pour ses frères. Quand il était petit il s’amusait avec ce troupeau de chameau, en se prenant pour un Chaamba,Sa mère a peur qu’Idriss soit sous le mauvais œil, car il s’estfait remarquer, et il ne faut pas se faire remarquer pour ne pas être sous le mauvais œil. Kuka pense aussi qu’Idriss va partir car étant petit, sa mère la vendu au nègres, car elle avait eu 2 bébés morts nés avant lui. Le jour de la naissance les nègres dansent vers la maison, le père offre un cadeau au nègres, et si l’enfant vit, les Noirs qui auront pris son destin en charge, auront droit à unenouvelle donation, et l’enfant devra e souvenir de ses protecteurs.

Chapitre 3 :

Tout le monde se prépare au mariage. Nourriture cadeaux, danse etc. Le fiancé fait son « enterrement de vie de garçon », Idriss participe à ces rites seulement car il peut s’identifier au fiancé. La mort d’Ibrahim la profondément marqué, et laissé un vide d’amitié derrière lui. La tradition veut que les festivitésfassent venir les sentiments, et non que les sentiments fassent venir le mariage. Idriss pense que c’est l’amour qui doit venir le premier, et la fête lui semble sans intérêt si la fiancée n’a pas de charme. Il se rend compte qu’il pense vraiment à partir comme l’avait deviné Kuka. Dans la nuit, une troupe de montagnard vint danser vers la maison du jeune marié pour féliciter les mariés. Soudainune femme noire vêtue de rouge apparut, c’est Zett Zobeida, qui ne se produit qu’au plus fort de la fête. Tout le monde danse et chante autour d’elle.Idriss remarque, au milieu de ses bijoux, une petite goutte d’or, qui ne heurte aucun autre bijou, objet simple et parfait. Un signe pur. Quand le calme fut revenu, Abdullah Fehr, un conteur noir évoqua l’aventure de l’ancien pirate Kheir ed Dîn.Chapitre 4:
Barberousse ou le portrait du roi :

Kheir ed Dîn était un pirate. En 1534, il s’empara de Tunis en chassant le sultan, Moulay Hassan. Quand Kheir ed Dîn arrivèrent au palais, il n’y avait personne, tout le monde était parti, sauf le peintre Ahmed ben Salem. Dans son atelier, figurait des portrait de Moulay ou il semblait for, sûr de lui. Kheir les fit brûler et mit Ahmed en…

Dossier violence

DOSSIER

La violence à l’école

© Etienne Martin

Copyright Association C.I.I.P. – Février 2003

http://www.cafepedagogique.net

Editorial

SOMMAIRE DU DOSSIER
• La violence, une question qui réunit – par François Jarraud.
Tribunes
• L’autorité n’est pas l’arbitraire – entretienavec Philippe Meirieu.
• La violence de la rage répond à de plus fortes violences encore – par François
Dubet.
• De la violence scolaire aux indisciplines ordinaires – par Anne Barrère.
• De la violence en général et des violences en particulier – par Bruno Devauchelle.
• Journée d’étude de « Défense des Enfants International » – reportage de MartineBondon.
• « Apprendre à jouer la violence » – entretien avec Bernard Defrance.
• L’immense attente déçue des enfants – par Laurent Ott.
Mesures officielles
• La violence : six années de mesures officielles
Le sondage du Café
• Les enseignants souhaitent l’équilibre entre le réglementaire et le projet éducatif –
Première analyse du sondage sur laviolence.
Dans le premier degré
• Un roman pour apprendre la loi – entretien avec Philippe Tassel.
• Violence de l’école maternelle – par Christine Colomer
Reportages au collège
Un collège de banlieue en « zone de prévention violence » :
• Présentation : la violence au collège République – par Caroline d’Atabekian.
• « C’est difficile mais pas impossible » -entretien avec David Labrande, CPE.
• Il faut signaler les enfants analphabètes car ils ne le sont pas pour rien – Entretien
avec Mme Bouscaillou, (ADSEA).
• Association « Vie et Cité » : Un travail de longue haleine – Entretien avec Mme
Wargnier.
A La Réunion :
• « Plus puissant que la violence, le respect ! » – par Norbert Troufflard.
Vud’Angleterre
• La violence au Royaume-Uni – par Helen Cowie, Dawn Jennifer, Sonia Sharp, Peter
Smith.
Côté parents
• « Les comportements violents seront vaincus par l’éducation » – par Georges Dupon-
Lahitte, Président de la FCPE.
• Reconnaître l’autorité de la loi et des adultes – par Christian Janet, Président de la
PEEP.
Liens
• Liensgénéraux
• ECJS
• Sciences économiques et sociales
• Allemand
• Anglais

La violence, une question qui réunit

Par François Jarraud

Editorial

« J’enseigne depuis 22 ans et les élèves ont bien changé. Alors nous avons
essayé de nous adapter. Jusqu’à ces deux dernières années où un nouveau principal est
arrivé : depuis il n’est pasune semaine où un professeur est insulté, où il n’y ait de départ
d’incendie.. J’ai 47 ans, j’aime mon métier, j’aime les élèves mais je ne crois pas pouvoir
tenir encore très longtemps ». Ce message est emblématique du courrier important que
nous avons reçu avant même d’avoir publié la moindre ligne de notre dossier sur la
violence scolaire. En quelques mots il dépeint untriangle qui devient enfermant où
s’affrontent des sentiments contradictoires, où les repères traditionnels s’effacent, sauf le
triangle scolaire qui réunit les acteurs. Le succès de notre sondage (un millier de réponse
en moins de 48 heures) est une autre illustration de cet intérêt.

Une question qui divise…

On comprend bien que la question de la violence scolairefasse réfléchir les
enseignants tout comme elle focalise l’attention des médias et suscite les déclarations des
acteurs du monde éducatif. Il est plus surprenant de constater que les discours tenus
tendent à le diviser. Opposition d’abord entre les enseignants, présentés en victimes, ce
qu’ils sont parfois, et les élèves perçus comme menaçants, ce qu’ils peuvent aussi être…

Claude gueux

Otto Dix : Les joueurs de Skat

Identifier
Il s’agit du tableau « Les joueurs de Skat » peint par Otto Dix, célèbre peintre allemand, qui a réalisé cette œuvre en utilisant de l’huile et ducollage sur toile.
Cette peinture date de 1920, à la fin de la Première Guerre Mondiale et la défaite allemande. En Allemagne, le peuple considère le traité de paix comme un Diktat et veut prendre sarevanche. Cette peinture appartient au courant expressionisme allemand en montrant le réalisme de la toile et le pessimisme du peintre qui représente celui de tout le peuple allemand.

Analyser
Je voisau second plan de ce document, quelques détails comme un portemanteau, des journaux relatant la Première Guerre Mondiale et encore une lumière dont le centre est une tête de mort.
Au premier plan sesituent trois personnages jouant aux cartes et qui ont tous des gueules cassées :
– Le personnage de gauche a la peau abimée, n’a plus de tête, un pied et une main de bois, pas de bras droit et untube auditif ; Il joue aux cartes en utilisant son pied pour tenir les cartes.
– Le personnage du centre a la peau abimée, n’a plus d’oreille, un œil de verre, 2 moignons à la place des jambes et n’aplus de mâchoire.
– Le personnage de droite a deux jambes de bois, une main articulée, une prothèse et la mâchoire recomposée ; Il porte sur lui la croix de guerre allemande qui prouve son couragelors de la Première Guerre Mondiale.

Toutes les couleurs de ce tableau sont froides ce qui rend le spectateur mal à l’aise sauf la couleur des visages qui sont plus clairs et qui attirent ainsi notreregard.
Ce tableau nous permet de comprendre l’intensité de la violence de la Première Guerre Mondiale et l’impuissance des médecins à essayer de recoller la peau. L’horreur reste ainsi quotidienneet les gueules cassées rappellent à la société allemande quelque chose de tabou. On a de la compassion pour ces gueules cassées. On les voit jouer aux cartes comme si ils cherchaient à nous dire que…