Marot
La poésie pendant la Renaissance
Clément Marot (1496-1544)
|Éléments biographiques 😐
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La poésie pendant la Renaissance
Clément Marot (1496-1544)
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Le DIMA, Dispositif d’Initiation aux Métiers en Alternance, est ouvert au LP Le Sidobre depuis la rentrée 2008-2009.
Destiné à se substituer à l’Apprentissage Junior abrogé et aux classespréparatoires à l’apprentissage, il offre une formation en alternance d’une année scolaire aux collégiens de 4e, âgés de 15 ans et qui sont volontaires, afin de leur permettre de découvrir un ou plusieursmétiers.
Il permet à des élèves de collège de découvrir un ou plusieurs métiers par une formation en alternance d’une année scolaire, tout en poursuivant l’acquisition du socle commun de connaissances etde compétences. Concrètement, les collégiens ont ainsi la possibilité, durant ce laps de temps, de suivre un enseignement basé sur une forte alternance école-entreprise afin de combiner la théorie etla pratique, et faire l’expérience d’un métier. Cependant, l’enjeu majeur reste d’aboutir, à l’issue du parcours, à la signature d’un contrat d’apprentissage pour préparer un CAP ou un CTM (CertificatTechnique des Métiers) et s’insérer dans la vie professionnelle.
Les élèves peuvent découvrir différents métiers grâce à :
? des heures de découverte professionnelle dans les ateliers del’établissement (électricité, maçonnerie, menuiserie-alu, dessin technique).
? des stages dans des entreprises variées (11 semaines dans l’année).
? des mini-stages dans les LycéesProfessionnels environnants dispensant une formation susceptible d’intéresser l’élève.
Les élèves doivent acquérir le socle commun de connaissances et de compétences, pour cela, ils bénéficient :
? d’environ 20 heures d’enseignement général (français, histoire-géographie, maths, anglais, VSP, EPS, arts appliqués) au cours desquelles les professeurs prennent soin de réaliser un bilan des lacunes etdifficultés propres à chacun des élèves afin de leur permettre une rapide remise à niveau préalable à des enseignements plus approfondis. Il est à noter que les élèves passent le CFG enfin d’année…
Dissertation de droit administratif :
L’évolution des critères du contrat administratif
Il n’existe pas véritablement de définition unique du contrat administratif. Le contrat administratif est un outil de gestion administrative au service de la puissance publique. Parfois, le législateur confère lui-même le caractère administratif à un contrat. C’est ce que l’on appelle les contratsadministratifs par détermination de la loi. Il s’agit des contrats relatifs à l’exécution de travaux publics en vertu de l’article 4 de la loi du 28 pluviôse An VIII. Les travaux publics sont des travaux immobiliers réalisés dans l’intérêt général. On retrouve également les contrats de vente des immeubles de l’Etat : quand un immeuble appartient à l’Etat, la vente de cet immeuble est toujours uncontrat administratif par détermination de la loi. Cela date également de la loi du 28 pluviôse an VIII, mais aujourd’hui cette règle est inscrite dans le nouveau code général de la propriété des personnes publiques. Il y a également les contrats comportant occupation du domaine public qui le sont depuis un décret-loi du 17 juin 1938. On retrouve les baux emphytéotiques administratifs (c’est unbail conférant un droit réel sur la chose, et il en existe des propres au droit administratif). De plus, on retrouve aussi les contrats de partenariat qui sont des contrats administratifs par détermination de l’ordonnance du 17 juin 2004.En outre, les plus importants sont les contrats passés en application du Code des marchés publics sont tous des contrats administratifs. Ce sont les plus importantscar ils sont relativement récents, ils datent de la loi du 11 décembre 2001, MURCEF (Mesure Urgente à Caractère Economique et Financier). Jusqu’en 2001, on appliquait les critères jurisprudentiels. La jurisprudence dégage deux critères cumulatifs pour aider à définir cette notion de contrat administratif. Elle dégage un premiercritère organique. En vertu de ce critère, le contrat administratif suppose la présence d’au moins une personne publique. La jurisprudence dégage également un critère matériel relatif à la nature de l’activité en cause. Aujourd’hui, les critères dégagés par la jurisprudence sont relégués au rang d’exception jurisprudentielles cependant l’étude de leur évolution reste intéressante. D’où il suit laquestion suivante : Peut-on témoigner aujourd’hui d’une réelle évolution des critères du contrat administratif ? Il convient pour répondre a cette interrogation d’étudier dans un premier temps le critère organique (I) avant de se consacrer au critère matériel(II).
I) Le critère organique oula nécessité d’une présomption d’administrativité pour les contrats entre personnes publiques.
Il s’agit ici de s’intéresser aux contrats passé entre personnes publique d’une part (A) avant d’étudier les contrats passés entre personnes privées (B).
A) Une présomption simple d’administrativité régissant les contrats entre deux personnes publiques
Pour le commissaire du gouvernement, lecontrat passé entre deux personnes publiques traduit en en principe la rencontre de deux missions d’intérêt général, la rencontre de deux gestions publiques. C’est dans un arrêt du Tribunal des Conflits du 21 mars 1983, Union des Assurances de Paris, que le caractère administratif d’un contrat conclut entre deux personnes publiques est consacré. En effet dans un considérant de principe le Tribunaldes conflits énonce le principe suivant : «Considérant qu’un contrat conclu entre deux personnes publiques revêt en principe un caractère administratif ». Ainsi, le Tribunal des Conflits reconnait aux contrats passés entre deux personnes publiques une présomption simple selon laquelle ces contrats sont administratifs. Le même considérant de principe énonce également l’exception à ce principe….
C’est un DP qui se situe à un moment charnière de l’exécution du projet, puisque l’évaluation à mi-parcours du projet en octobre 2003 a permis déjà d’identifier un certain nombre de réorientations stratégiques qu’il serait judicieux d’entreprendre et dont il a été tenu compte dans ce DP, cependant dans le strict respect de l’actuelle convention de financement. Il s’agissait surtout de mieuxorienter ces appuis sur les activités tant au niveau central que périphérique qui vont avoir un impact sur la qualité des soins prodigués aux populations.
A la fin du DP n°4, compte tenu que le DP n°3 n’était pas clôturé, il fut impossible de mettre en oeuvre un nouveau devis programme. Le projet est donc entré dans une phase dite de fonctionnement à minima financée par la lettre de marché del’assistance technique. Ce fonctionnement à minima (salaires équipe CGP, fonctionnement véhicules CGP, fonctionnement bureau CGP) avait pour but de permettre la clôture du DP n°3 et la préparation du DP n°5.
I) L’appui prévu sur le système de santé;
De plus, le DP4 a été réalisé en étroite collaboration avec l’ensemble des acteurs du MSP :
Les plans d’actions et chronogrammes ont pour laplupart été réalisés à partir d’une analyse causale des problèmes et le degré de faisabilité à les régler.
Pour la première fois dans ce DP, un aperçu est donné du financement global du Ministère de la santé Publique, tous les bailleurs confondus, du moins pour le niveau central et les six (06) DRS où le FED intervient. Il en ressort une vraie cohérence financière de l’engagement du Fed en complémentdes autres financements du MSP, mais aussi en complément de l’aide budgétaire directe apportée dans le cadre du Programme d’Appui à l’Ajustement Structurel.
Le DP n°4 d’une durée initiale de neuf (09) mois (13 avril 2004 au 31 décembre 2004) fut prolongé deux fois par des avenants, jusqu’au 30 septembre 2005. Situé à un moment charnière du projet puisque élaboré juste après l’évaluation à miparcours d’octobre 2003, il a été axé sur un certain nombre de réorientations stratégiques décidées à la suite de l’évaluation. Ces réorientations visent l’amélioration de la qualité des soins prodigués aux populations.
1. Ce DP est axé sur des activités techniques avec impact direct sur la qualité des soins prodigués au niveau périphérique et des couvertures adéquates des interventions du PMAet du PCA (soins curatifs, préventifs et promotionnels résultant de la mise en oeuvre des stratégies efficaces et des activités pertinentes au regard des résultats ;
2. Une attribution plus importante des ressources aux districts (6) et aux centres de santés (25) cibles par rapport aux autres services de la zone ;
3. La réorganisation de la gestion sur base des principes simples : une seulerégie à la CGP dont le régisseur et le comptable titulaires sont logés à la CGP; la suppression des sous régies; la création des caisses d’avance dans les DSR pour les centres de coûts des chefs lieux des régions sanitaires (DSR, DS, PDH, MCT) et dans les DS périphériques ;
4. L’Introduction d’un système de justification forfaitaire de certaines dépenses de fonctionnement (matériel roulant,primes et perdiem, stages et consommables de bureau) et l’allocation des ressources aux centres des coûts sur base d’un plan de trésorerie périodique. Les réapprovisionnements ultérieurs sont conditionnés à la justification de l’avance précédente (dépenses justifiées et acceptées par la CGP et remise des rapports périodiques d’activités) et sont limitées en fonction des soldes de trésorerie de lacaisse d’avance et des dépenses non justifiées. Un budget permettant les déplacements des ordonnateurs de la périphérie (DSR, MCD, gestionnaires) à N’Djamena pour consultation et remise des justificatifs est prévu à la CGP ;
5. La précision de la stratégie pour les formations continues: l’encadrement par les MCT/DSR des formations autonomes; la contractualisation de l’organisation de certaines…
Le pacte de préférence est une convention par laquelle le propriétaire d’un bien, pour le cas où il vendrait, le réserve au bénéficiaire de la clause plutôt qu’à toute autre personne. Dès lors on note bien que cette notion peu engendrer un contentieux considérable résultant de son caractère assez large et que seule la jurisprudence et donc le juge aura eu l’occasion d’encadrer.
L’un desprécisions apportées par le juge concerne, dans l’une des espèces, la double condition à la nullité du pacte de préférence. En effet le 26 octobre 1982, la 3ème chambre civile de la cour de cassation rend un arrêt précisant cela.
En l’espèce, M. Michel B… a donné à bail divers locaux compris dans un immeuble aux époux Z… avec un droit de préférence au cas de vente des locaux concernés. Cependant M.Michel B… vend l’ensemble de l’immeuble à Mme C… . Les époux Z… assignent M. Maitre et Mme C… en nullité de vente, en réalisation de celle-ci à leur profit et en dommages-intérêts.
Les juges du fond déboutent les requérants de leurs demandes.
Les époux Z… forment alors le pourvoi en cassation invoquant le fait que Mme C… avait bien connaissance du pacte de préférence conclu entre les époux Z…et M. Michel B… .
Dès lors la question qui se pose est de savoir si le fait que l’acquéreur tiers ait connaissance du pacte de préférence lors de l’achat d’un bien, entraine la nullité de la vente.
Pour la cour de cassation le seul fait que Mme C… ait connaissance du pacte ne suffit pas, en effet il aurait fallut que Mme C… en plus d’avoir connaissance de ce pacte, ait eu aussi connaissance del’intention des époux Z… de se prévaloir de la vente. En l’espèce rien ne montre que Mme C… avait su au moment ou elle signait l’acte de vente que les époux Z… avaient manifesté leur volonté d’acquérir l’immeuble.
La cour rejette le pourvoi.
De plus le juge apporte une nouvelle précision quant à la sanction de l’inexécution du pacte de préférence dans un arrêt rendu par la 3ème chambre civilede la cour de cassation, le 30 avril 1997.
En l’espèce, la société Imprimerie H. Plantin donne à bail des locaux à l’association Médecins du Monde. Le bail comporte une clause précisant que l’association disposerait du droit de préemption sur les locaux, en cas de vente de ces derniers.
Cependant la société Imprimerie vend les locaux à la société Office européen d’investissement (OFEI)pour 7 millions de francs.
La société OFEI fait par la suite une offre à l’association pour racheter ces locaux pour montant de 14,5 millions de francs, qui refuse puis accepte l’offre mais pour la somme de 9,5 millions de francs.
L’association assigne les sociétés Imprimerie H. Plantin et OFEI en annulation de la vente et en substitution, avec remboursement des sommes versées au titre desloyers.
Le tribunal de 1ère instance ordonne la substitution dans la vente et le jugement d’appel confirme cette décision.
La Cour d’appel estimant que la fraude est constituée par la collusion est évidente entre la société Imprimerie H. Plantin et la société, de plus elle souligne la mauvaise foi caractérisée de la société OFEI. Elle confirme donc le jugement de première instance ordonnant lasubstitution de la vente au profit de l’association.
Ainsi la question se pose de savoir si le juge peut substituer le bénéficiaire d’un pacte de préférence au tiers acquéreur du bien réservé pour sanction l’inexécution du pacte de préférence.
La cour de cassation estime que selon l’article 1142 du code civil, elle ne peut pas ordonner l’exécution forcée, en nature, des obligations de faire et de nepas faire. Et donc que le bénéficiaire n’est titulaire que d’une simple créance de faire qui se résout en dommages-intérêts en vertu de dit article. Elle casse et annule l’arrêt de la cour d’appel.
Ces deux arrêts soulèvent une interrogation fondamentale, en effet il semble intéressant de se demander sous quelles conditions et par quels moyens le juge pourra sanctionner l’inexécution du…
Une tension se dessine de manière de plus de plus nette dans notre société. D’un côté le travail semble essentiel au bonheur, de l’autre de plus en plus de personnes entretiennent un rapport malheureux au travail, surtout en raison de la dégradation des conditions de travail. Cette tension entre bonheur et malheur semble bien difficile à résoudre dans une société où s’affirme plus que jamais lacentralité du travail comme modalité d’intégration, de reconnaissance sociale et de définition des identités individuelles et collectives. N’y aurait-il que 2 conceptions antagonistes, définissant le travail comme: -une contribution au progrès de l’humanité, fondement du lien social, source d’épanouissement et de bonheur personnel -une aliénation qui condamne les hommes à perdre leur vie à lagagne.
Selon Antoine de Saint Exupéry, « le bagne ne réside pas là où des coups de pioches sont donnés. Il n’est pas d’horreur matérielle. Le bagne réside là où les coups de pioches sont donnés qui n’ont point de sens, qui ne relient pas celui qui les donne à la communauté des hommes ». Pour lui le travail n’emprisonne pas, mais reste un moyen de s’épanouir pleinement. Par contre, dès le moment oùla personne ne sait plus dans quel but elle travaille, alors ce dernier devient aliénant et l’homme s’enferme dans une mauvaise spirale dont le but reste invisible !
Dès lors, beaucoup de monde y voient une espérance dans leur vie. Personne ne doit se cacher la vérité : Lorsque quelqu’un s’investit dans un travail, il y a un moment où chacun est pris par ce travail comme si le travail lui-mêmen’était pas la fin ultime mais seulement un moyen … Un moyen d’apprendre, de se transformer, d’évoluer par cet apprentissage, de devenir tout simplement chaque jour d’avantage soi-même. Se développer, c’est-à-dire de ce que chacun se propose d’être, revient à devenir une personne se connaissant.
De plus, l’homme ne parvient à se connaître que dans l’effort, par la recherche ou par la réflexion…Donc, le travail devient une voie dans l’accomplissement de sa personnalité, dans sa recherche de sens.
Certains en viennent même à oublier que le travail n’est pas propre à chaque individu, mais qu’il reste avant tout le propre de l’homme.
Et par ailleurs, du point de vue religieux, « l’homme fut dès le commencement appelé au travail », et comme l’a mentionné Jean-Paul II, cet appel est un donpour tout homme qui peut non seulement y trouver une voie pour se réaliser en tant qu’individu, mais aussi trouver grâce à lui une place dans la En plus, par ce travail, l’homme est donc appelé à une oeuvre, non pas individuelle, mais universelle, non pas humaine mais divine.
Ce travail exprime l’essence humaine. Il distingue l’humanité du monde animal : car celui-ci en transformant la nature,subordonne sa volonté à un but conscient qu’il a d’abord imaginé. Et donc d’après Marx, le travail reste un bien trop précieux pour en faire une cause de souffrance.
Par opposition, diverses études prouvent qu’aujourd’hui, le sentiment d’incohérence a remplacé la compréhension, celle qui donnait à chacun un sens au travail quotidien.
Quelques chiffres illustrent également le changement quis’opère dans la société : 48% des salariés déclarent se dépêcher « toujours ou souvent » dans leur travail, 27% des travailleurs occupent leur poste le samedi, et 59,5% des travailleurs doivent « fréquement abandonner une tâche pour une autre plus urgente » et de moins en moins de personnes considèrent ce changement comme perturbant. Une preuve que beaucoup de personnes préfèrent se plier pour pouvoirrester à leur poste.
De plus, une majorité affirme également que la conception du travail a évolué depuis 20ans. Ce dernier pouvait donc être rude, épuisant, aliénant même, mais il n’était pas remis en cause. Dans une société moderne, libérale ou socialiste, le travail offrait à l’homme une possibilité de se réaliser. Mais aujourd’hui les gens se plaignent, mais sont heureux d’en avoir, ils…
Sirops
Depuis quinze ans, les ménages ont légèrement accru la part des produits sucrés dans leur budget alors même qu’ils ont réduit la part de l’ensemble des produits alimentaires. Cette progression se concentre sur les produits transformés. Les achats des ménages se sont déplacés vers les produits à base de chocolat et les confiseries. À l’inverse, les achats de sucre en morceaux ou en poudrediminuent, en partie en raison du déclin de la confection de pâtisseries à domicile. La part des achats de produits sucrés dans le budget des ménages français est proche de la moyenne européenne. L’Irlande et l’Espagne sont les pays les moins amateurs, les pays baltes et la Pologne les plus grands consommateurs de produits sucrés. En France, les produits sucrés n’apportent que 36 % de l’ensembledes quantités de glucides simples présents dans l’alimentation quotidienne en 2004, contre 42 % en 1990. En effet, le reste des glucides simples est apporté par d’autres aliments tels que les boissons rafraîchissantes, sirops, jus de fruits et nectars, qui se sont beaucoup développés sur la période.
Davantage de produits sucrés dans le budget alimentaire
Les « produits sucrés » achetés par lesménages comprennent le sucre, en morceaux ou en poudre (ou sucre de table), le miel, le chocolat et les confiseries (de sucre et de chocolat) ; elles incluent aussi les glaces et les sorbets, les conserves de fruits ainsi que les édulcorants par analogie de fonction (définitions).
En quinze ans, les ménages ont réduit la part de budget qu’ils consacrent à leur alimentation et aux boissons nonalcoolisées à domicile (sources) : cette part est passée de 15,7 % en 1990 à 14,3 % en 2004. Dans le même temps, les dépenses en produits sucrés sont passées de 1,0 % du budget en 1990 (6,6 % du budget alimentaire) à 1,1 % (7,5 % du budget alimentaire) en 2004 ; soit, pour cette dernière année, 9,8 milliards d’euros ou 158 euros par habitant. Les « produits vecteurs de glucides simples »constituent un ensemble beaucoup plus large : ils comprennent les boissons rafraîchissantes, les fruits, les jus de fruits, le pain et les pâtisseries, le lait et les produits laitiers (encadré). Ces produits représentent 6,5 % du budget des ménages en 2004 et 45,6 % du budget alimentaire. En volume, les dépenses en produits sucrés se sont accrues de 1,7 % par an en moyenne depuis 1990 (sources), unrythme quasiment identique à celui de l’ensemble des dépenses de consommation. Cette progression d’ensemble se décompose en une hausse des produits transformés de 2 % par an et un déclin de même ampleur du sucre en morceaux ou en poudre (graphique 1).
Les produits sucrés n’apportent que 36 % des glucides simples contre 42 % en 1990
La quantité de glucides simples présente dans les produits achetéspar les ménages est passée de 2,7 millions de tonnes en 1990 à 3 millions en 2004 (graphique 3) soit une hausse de 1,0 % par an, deux fois supérieure à la hausse de la population (+ 0,5 % par an). Cette croissance a été estimée en supposant constante la teneur en glucides simples par produit donné (en particulier les boissons allégées ont été distinguées des boissons sucrées).
En 2004, lesproduits sucrés achetés par les ménages apportent 36 % de l’ensemble des quantités de glucides simples présents dans l’alimentation contre 42 % en 1990. Leur part est en baisse mais les quantités achetées sont stables. Les produits tels que les fruits, jus de fruits, nectars, laits et produits laitiers en apportent 36 % contre 32 % en 1990 ; ces produits contiennent déjà naturellement beaucoup deglucides simples, mais les industries qui les produisent incorporent également du sucre de canne ou de betterave. D’autres produits contiennent du sucre ajouté, tels que les pâtisseries, céréales pour petits déjeuners et surtout les boissons rafraîchissantes (dont les sodas) et les sirops ; ils apportent 28 % des quantités de glucides simples de l’alimentation contre 26 % en 1990. De 1990 à 2004, en…
L’histoire est elle tragique?
La Tragédie est un genre théâtral apparut dans la Grèce antique. Des personnages de haut rang, comme des nobles, sont mis en scène et font face à des évènements, le plus souvent funestes, qui les dépassent. Ces évènements renvoient à une fatalité implacable, quelque soit le milieu social, et le public est confronté à la pitié qu’ils éprouvent envers lespersonnages, mais également à la terreur provoqué par l’application de la fatalité et donc d’une force supérieur qui les dépassent. Le but de la Tragédie est la catharsis, soit la purification par le spectacle. Selon Aristote elle vise à enseigner une vérité morale, l’âme du spectateur serait purifiée de ses passions de cette façon.
L’histoire présente parfois des situations qui seraient dignes de cegenre de spectacle, elle est brute et ne prend de sens qu’une fois retranscrite. L’histoire signifie étymologiquement « enquête » ou encore « recherche », c’est une discipline qui étudie le passé commun des hommes, et tente de l’expliquer afin de comprendre l’évolution de l’humanité et des hommes eux-mêmes. On pourrait donc être amené a se demander si les évènements historiques sont dus à unecertaine fatalité, ou si la volonté des hommes à conduit aux événements tragiques de notre passé à se produire.
Pour cela nous verrons que l’histoire présente une part d’évènements tragiques, mais qu’elle ne peut se réduire à cette simple notion.
L’homme est le seul à avoir conscience de vivre dans l’histoire, c’est pourquoi il est le seul à pouvoir prétendre l’analyser. L’histoire est un recueild’événements, elle montre l’évolution humaine dans le temps en rassemblant les évènements produits par l’homme, afin que lui-même puisse leurs donner un sens. Cependant, comme le disait Rousseau, un peuple heureux n’a pas d’histoire, ce qui suppose donc que seuls les évènements tragiques sont dignes d’être transcrits, en prenant l’exemple de la Suisse on peut voir l’application de la théorie deRousseau, ce pays incarnant la neutralité n’a pas réellement été mêlé à aucun conflits importants et dignes d’avoir été retenus et enseignés, et nous ne connaissons que très peu « l’histoire de Suisse ». Ce qui laisserait donc entendre que l’histoire n’est digne d’être retenue que lorsqu’elle est tragique, en effet l’histoire est souvent assimilée à des évènements funestes (tels que les guerres).L’histoire peut être considérée comme tragique car nous n’avons connaissances que d’évènements qui le sont, mais aussi et surtout car elle reflète le destin de l’homme le plus inévitable, en effet la seule et unique certitude qu’un homme peut avoir c’est qu’il va mourir. Ceci peut donc renvoyer à une certaine fatalité, car ce destin est identique pour tous les hommes quels qu’ils soient,qu’importe ce qu’ils ont fait, font, ou feront. La fin est donc inévitable, et le temps qui passe est en lui-même une destruction lente de l’humanité qui échappe aux hommes et qu’ils ne peuvent et ne pourront jamais controler. Il en est de même pour les acteurs d’un tragédie, qu’importe leur situation, qu’importe leur titre de noblesse, la fatalité les rattrapent inéluctablement et les guident vers leursmorts sans qu’ils ne puissent faire quoi que ce soit. En admettant que la tragédie soit applicable à l’humanité, cette dernière aurait donc un destin et cette hypothèse accepterait le fait que chaque détails de notre histoire soit soumis à la puissance d’une force indépendamment de notre volonté, nous ne serions que des pions œuvrant sous le commandement du destin. Ceci est, en quelque sorte, lathèse que promeut la religion, en effet celle-ci quelle qu’elle soit montre que nous avançons tous vers le jour du Jugement Dernier, qui nous mettrais alors face aux moindres actions commises. Chaque religion montre l’homme comme ayant un destin qu’il serait parfaitement impossible de changer, mais ceci semble improbable. En effet, le thèse d’avoir un avenir déjà tracé, en dépit de la volonté de…
Scénario de Crise
Carrefour – Coca Cola
10.30 – Carrefour Rosny2
Un client arrive d’un air outré et se présente a l’accueil. Il dit avoir retrouvé des morceaux animaux, ou du moins des morceaux solides ressemblant à des os, dans les cannettes de coca cola qu’il avait acheté la veille et après démonstration, exige un remboursement sur le champ.
10.42- Pendant que l’hôtesse d’accueil faitpatienter le premier client, un second arrive pour la même raison mais il s’agit cette fois des bouteilles en plastique. Scandal + demande de remboursement. Lui aussi se voit devoir patienter, pendant que l’autre commence à s’agiter.
10.47- Après une hésitation, mais mise devant le fait accompli, l’hôtesse demande les tickets de caisse et rembourse ces deux clients pour pouvoir régler le problèmeavec la direction. Elle tente de l’alerter dans la minute. Malheureusement, seule la responsable des hôtes de caisses est présente, Madame Bolo, mais celle-ci ne sait absolument pas de quelle façon réagir.
10.52- Madame Bolo tente de joindre le directeur, mais il n’est pas dans son bureau. Les portables ne répondent pas non plus. De plus, ce jour la l’adjoint est en vacances. Elle ne sait pasquoi faire mise à part attendre qu’il la recontacte.
11.07- après plusieurs appels dans le vide, le directeur arrive, les mains dans les poches et les écouteurs de son I-pod toujours actifs. Il dit qu’il était en rendez-vous… Il est immédiatement mis au courant. Son regard change.
11.16- Le directeur, après avoir constaté les produits et assisté à une nouvelle plainte, contacte ses fournisseurs(Coca Cola) et les informe du problème. Ceux-ci sont surchargés d’appel, il semblerait que toute une vague de production de coca ait été infesté par des petits animaux. Il n’obtient pas plus d’informations, et on le somme de retirer toutes les marchandises. On lui indique qu’il sera rappelé dans la journée, par le siège France, au courant du problème depuis ce matin, et qui est en train deréfléchir à la stratégie à adopter.
11.35- le directeur raccroche et ordonne de retirer tous les produits Coca Cola en rayon, et de les mettre en quarantaine dans la réserve.
12. – le nombre de clients mécontents aux abords de l’accueil, ne fait qu’augmenter. L’accueil est débordé et ne sait comment gérer l’incident. Les hôtesses sont bousculées, les vigiles ne parviennent pas à contenir cette mini foulescandalisée.
12.08- Le directeur réunis ses commerciaux, ainsi que ses responsables. Il établi une cellule de crise dans la salle de repos des salariés. Celle-ci n’a pas été nettoyée la veille, des moucherons et des taches de café la décorent. Les salariés venus se chercher un café sont mis à la porte. Aucun téléphone n’est présent, et pour contacter le Carrefour le plus près, voir s’il leurarrive la même chose, le directeur doit retourner dans son bureau.
12.16- Après avoir eu plusieurs autres magasins, il semblerait que plusieurs Carrefour soient touchés. Une conférence téléphonique est mise en place. Le reste de la cellule de crise attend le retour de son directeur. Heureusement le matériel fonctionne, cependant il est impossible de joindre le siège de coca cola France. Le téléphonesonne dans le vide.
12.25- Finalement, le directeur décide d’installer un autre téléphone dans son bureau et y établi le standard. Il est décidé, après plusieurs coups de téléphone de la presse, que deux caissières prennent place au standard téléphonique. En effet les appels se multiplient. Il leur est demandé de donner comme réponse aux clients que pour le moment ils ne peuvent rien faire, etde repasser demain avec leur ticket de caisse.
Concernant la presse, elles doivent répondre qu’on les rappellera quand on aura plus d’informations.
12.40- La cellule réfléchi a comment gérer tout ça. Peu d’idées sont proposées, on attend toujours d’avoir Coca France. Pendant ce temps là, le directeur de la communication de Carrefour France a contacté le directeur et prend la parole par…
Ingres 1780-1867
* La biographie
* Le mouvement
* Les 3 œuvres
* Les caractéristiques
* Les autres œuvres
1. La biographie :
Jean Auguste Dominique (Ingres) né le 29 août 1780 à Montauban. Son père poussera Ingres sur le chemin de l’art. Il aime la musique, le violon, le dessin et la peinture. Il entre à l’Académie de Toulouse à l’âge de 11 ans, puis se rend àParis, en 1796, pour étudier sous la direction de Jacques Louis David le plus grand maître de l’époque. En 1799, il est admit à l’école des beaux arts. Il peint le portrait d’amis ainsi que de Pierre-François Bernier, qu’il connaît de Montauban. Il remporte le Prix de Rome en 1801 au cours de sa deuxième tentative, avec Les Ambassadeurs d’Agamemnon. 5 ans plus tard, il sera envoyé en Italie, justeau moment ou il se fiance avec Julie Forestier, et rompu peux de temps après être arrivé à Rome. Il se remarie en 1813 avec Madeleine Chapelle. Ingres réalisa 10 portraits de sa femme. Mais le plus célèbre tableau sur lequel elle apparait est Le Bain turc. Madeleine est l’odalisque aux bras levés qui s’étire au premier plan. Le tableau a été réalisé en 1862 après le décès de Madeleine. Elle futpeinte d’après un croquis qu’Ingres avait réalisé en 1818. À la chute de Napoléon Ier, des difficultés économiques et familiales l’entraînent dans une période assez misérable pendant laquelle il peint, avec acharnement, tout ce qu’on lui commande. Il trouve finalement le succès en France, lors du salon de 1824. En 1834, il ouvre son premier atelier. Il est directeur de l’Académie de France à Rome de1835 à 1840. En 1849, Madeleine meurt et Ingres qui souffre des yeux arrête toutes activités. En 1852, il se remarie avec la nièce de son ami Marcotte, Delphine Ramel. Après un tas d’œuvres réalisées comme « l’apothéose », il meurt d’une pneumonie le 14 janvier 1867. Il a travaillé jusqu’à sa mort et avait terminé depuis 3 mois son œuvre la plus célèbre « le bain turc ».
2. Le mouvement :Il fait parti des néo-classicismes, est un mouvement, artistique qui s’est développé dans la peinture, la sculpture, et l’architecture entre 1750 et 1830 environ. Contrairement au romantisme ils sacrifient les couleurs pour la perfection de la ligne. Né à Rome au moment où l’on redécouvre Pompéi et Herculanum, le mouvement se propage rapidement en France par l’intermédiaire des élèves peintres etsculpteurs de l’Académie de France à Rome, et en Angleterre grâce à la pratique du Grand Tour de la jeunesse noble britannique, et dans le reste du monde. En Europe centrale, sous l’influence de Winckelmann, il préconise un retour à la vertu et à la simplicité de l’antique après le baroque.
3. Les œuvres :
* La baigneuse de valpinçon 1808 ; 146cm sur 97.5cm ; Huile sur toile ; Exposée àParis, au Louvre.
Cette œuvre offre le dos d’un nu féminin avec un grand raffinement de contours et de couleurs. La femme est éclairée par les reflets du drap et du turban auxquels il limite les lignes sinueuses. Cette baigneuse est la première d’une série qui s’étendra tout au long de sa carrière. Même si le modèle tourne le dos au spectateur, il nous invite pourtant a nous en approché. A gauche,le grand rideau de couleur vert-brun, qui paraît venir dévoiler le corps de la femme, mais aussi la pose du modèle indifférent qui semble perdu dans ses pensées. Celle-ci est baignée d’une lumière dorée qui adoucit les couleurs. On remarque qu’il y a des erreurs anatomiques et que la jambe droite n’est pas très réaliste.
* La grande odalisque1814 ; 91cm sur 162cm ; Huile sur toile ;Exposée à Paris, au Louvre.
On remarque en premier que le dos (trois vertèbres supplémentaires sont présentes), les bras, la figure, les jambes sont plus long que nature. Ingres peint une femme nue vue de dos selon l’archétype de l’époque, c’est-à-dire sous la forme d’une femme nue offerte aux regards se prélassant de façon lascive (amoureux, érotique, sensuel). A cause de ses œuvres où il y a des…