Contrat in house

Le « in house » « Il en va du in house comme il en va du mirage : une illusion séduisante. » Pour bien comprendre la pertinence de cette assertion, il est nécessaire de procéder par étapes. Lesmarchés de prestations internes, plus connus sous le terme de contrats « in house » ou encore de quasi-régie, désignent des contrats conclus entre deux personnes morales distinctes, mais dont l’une,opérateurs ou prestataires, peut être regardée comme le prolongement administratif de l’autre. Leur particularité est de pouvoir déroger aux règles de mise en concurrence prévues par le Code des marchéspublics. Une collectivité locale peut conclure avec une autre personne morale un contrat de prestations intégrées (de fournitures, de travaux ou de services), qui ne sera pas soumis aux directiveseuropéennes sur les marchés publics, ni au Code des marchés publics. Cette possibilité constituant une dérogation aux règles générales de la commande publique, les conditions requises ont été strictement fixéespar la jurisprudence et par le code. La notion de contrat « in house », avant d’être reprise par le Code des marchés publics à l’article 3-1, est apparue avec la jurisprudence communautaire vers lafin des années 1990, et notamment dans un arrêt de principe « Teckal » en date du 18 novembre 1999. Par la suite, la jurisprudence européenne a été suivie par le Conseil d’Etat. Dans un arrêt « CAMIF »rendu le 27 juillet 2001, la Haute Juridiction administrative a ainsi admis que certains marchés pouvaient être conclus hors des dispositions prévues par le Code des marchés publics. Pour qu’un contratpuisse bénéficier de la qualification de « marché de prestations internes », la jurisprudence pose deux conditions cumulatives. En premier lieu, le contrôle de la personne publique sur lecocontractant doit être analogue à celui qu’elle exerce sur ses propres services et en second lieu, le cocontractant doit travailler essentiellement pour la personne publique qu’il lui confie l’exécution du…

Media et opinion publique

Le terme médias est d’invention récente, mais il recouvre des siècles d’histoire durant lesquels l’homme n’a cessé de chercher à améliorer sa relation avec autrui. Le langage parlé ne permettait qu’une communication limitée dans le temps et dans l’espace. Aussi a-t-il fallu, peu à peu, mettre point des techniques, des inventions pour développer ses facultés de communication. Les médias sont desdispositifs permettant aux hommes de transmettre l’expression de leur pensée, leur percée prend donc place dans l’histoire des techniques, de plus en plus perfectionnées, depuis le premier signe gravé sur une tablette jusqu’aux réseaux informatiques du XXe siècle.

Le XXe siècle voit le perfectionnement de ces médias mécaniques (téléphone, télégraphes, cinéma) tandis que de nouveaux médias, ditsde masse, suscitent l’adhésion du plus grand nombre : l’âge d’or de la radio (1920-1940) succède bientôt celui de la télévision (1960-1990). Jusqu’à ce que le média aujourd’hui dominant soit lui-même concurrencé par les nouveaux médias ou médias numériques (Internet, jeux vidéo, réseaux locaux) sans que pourtant les derniers arrivés l’emportent sur les premiers. Un nouveau média ne tue pas unmédia plus ancien, il vient en renforcer l’influence.

Les médias servent en théorie de nombreuses fonctions, dont l’importance varie en fonction de l’émetteur (le média), du récepteur (le public) et le canal de transmission lui-même, qu’il soit direct ou filtré (régulateurs, qualité de l’image et du son, fatigue ou incompréhension du public, etc.). D’ordinaire destinés à informer, éduquer et àdistraire les masses, les médias possèdent en réalité des usages beaucoup plus complexes, qui interagissent profondément avec les activités politiques, économiques, sociales et culturelles d’une nation. Poussés à l’extrême, ils deviennent même les supports de toutes les dérives, jouant un rôle d’amplificateur dans les opérations de désinformation. En l’absence de toute déontologie et de régulation ducontenu, ils peuvent aller jusqu’à bafouer leurs missions premières.

On consacrera une première partie sur les médias et une seconde sur l’opinion publique.

LES MEDIAS

On note aujourd’hui 6 médias : la presse, la télévision, la radio, internet, l’affichage, le cinéma. Un média offre un éventail de plusieurs supports de communication.

Les fonctions des médias :

Informer, éduqueret se distraire : au-delà de ces trois missions, les médias répondent à des attentes ou des besoins variés selon la liberté dont ils disposent. Plus vastes dans les démocraties, leurs fonctions demeurent éloignées de celles qui leur sont assignées dans les régimes autoritaires.

Les fonctions des médias dans les régimes libéraux :

– Les médias, gardiens de la démocratie (fonctionpublique) : recueillir l’information et la transmettre à tous. Indépendant en théorie, les médias constituent ce que l’on appelle le « quatrième pouvoir » après les pouvoirs exécutif, législatif et judiciaire.

– Les médias, miroir du monde en marche (fonction sociale) : proposition de spectacles, parfois stéréotypé, d’un monde que personne ne peut connaître complètement et ainsi permettre decomprendre, de voyager, voire de mener une vie par procuration.

– Les médias, objets de divertissement (fonction récréative) : il peut être musical (variétés), fictionnel (théâtre radiophonique ou télévisé, cinéma) ou sportif.

– Les médias, vecteurs de culture (fonction éducative) : à l’école qui transmet un savoir organisé, on a toujours opposé les médias qui véhiculent des connaissancesfragmentaires. Pour autant les médias représentent une forme alternative d’accès à la culture.

– Les médias, lieux de débats publics (fonction civique) : la presse écrite, parlé ou audiovisuelle informe, mais soulève également des problèmes de société. Dans le cadre du débat démocratique, les médias ont donc un rôle civique.

– Les médias, instigateurs du lien social (fonction…

Iiieme reich

I Hitler et le NSDAP pendant la phase de mouvement (« bewegungphase ») 1920-1933

Hitler et sa « vision du monde » (« weltanschauung)

A) Une jeunesse porteuse de radicalisme?
Hitler fréquente le lycée moderne de Linz, ce qui se termine par un fiasco en 1905. Ses notes sont mauvaises, et tout juste suffisante en histoire et géographie. De 16 à 18ans, après la mort de son père il ne fait rien. En 1907 il tente les beaux-arts de Vienne et échoue, mais reste vivre à Vienne.
En 1908, second échec à l’admission aux beaux-arts. Fin de son amitié avec Kubizek, et Hitler sombre dans l’univers des asiles de nuit (1908-1909) et des foyers pour hommes seuls (1910-1913). Il se jette sur les slogans politiques de l’époque et lit l’Ostara ou publienotamment Adolf Lanz qui veut fonder un ordre masclin coposé uniquement d’ »aryens » blonds aux yeux bleus. Il avait établi le siège de « l’ordre » au château de Werfenstein en Basse-Autriche. Dès 1907, Lanz y avait hissé un drapeau frappé d’une croix gammée, symbole du combat aryen.
S’engage volontairement dans l’armée en 1914, devient caporal. Est gazé et finit la guerre à l’hôpital.
Reste dansl’armée et devient « officier éducateur » = veille à l’endoctrinement nationaliste et à la surveillance de ses camarades. Son rôle l’amène à fréquenter les partis politiques de droite et donc en 1919 à assister à une réunion du deutsche arbeiterpartei (DAP) auquel il adhère. Hitler essaie d’élargir son audience grâce à des anciens soldats notamment. Réunion importante le 24/02/1920. Hitler est déjàconsidéré comme le meilleur orateur. Présente son programme en 25 points et change le nom en NSDAP (nationalsozialistisch deutsche arbeiterpartei )

B) Éléments d’une « vision du monde »
Peuple (volk) peuple allemand tye germanique. Pas seulement géographie mais il faut aussi avoir le sentiment d’appartenir à une race. « le jeune homme [ne doit pas être] un demi-pacifiste, un demi-démocrate,mais bien un allemand intégral » L’état allemand est allemand avant état, il est le reflet du peuple dans sa dimension raciale

La quintessence du nouveau programme est l’unification de la nation sous le signe d’un « socialisme national » qui promet de mettre fin à la dégénérescence capitaliste grâce à la réconciliation de toutes les couches sociales réunies au sein d’une puissante « communautépopulaire » (volksgemeinschaft) ignorant les conflits interne et dirigeant toute son agressivité vers l’exterieur. L’objectif principal, après l’humiliation de la défaite attribuée au triple ferment de destruction intérieure (marxisme, judaïsme, républicanisme démocratique) est de créer dans le peuple allemand victime des divisions de classe, de religion et d’idéologie, une communauté nationale etraciale authentique, « Volksgemeinschaft » unie par les liens du sang et de la race, convaincue de sa mission supérieure dans le monde. Il faut régénérer radicalement le peuple allemand, transformer de fond en comble son mode de pensée et ses comportements, ses croyances et ses valeurs. Il s’agit véritablement d’une révolution mentale autant que sociale.

Espace vital (lebensraum)
Assurer lapureté de la Race aryenne et lui permettre de s’accroître pour la domination mondiale : ce principe en induit un second, immédiat : accroître l’espace vital de la Race, le Lebensraum et donc étendre sa domination. Si la population s’accroît, l’espace rétrécit nécessairement pour assurer la vie (nourriture) à la population. Or la population ne peut que s’accroître sous peine de se voir écraser pard’autres, plus forts, qui s’emparent de l’espace vital. Si un Lebensraum est aujourd’hui une nécessité vitale pour le peuple allemand, c’est parce qu’il a été victime d’un complot historique. Les autres peuples de race blanche se sont assurés un territoire par le colonialisme. Seuls les Allemands sont cantonnés à un espace exigu, encerclés en Europe. De plus, le Herrenvolk est doublement menacé : à…

Dissertation surréalisme

Introduction.

Héritier assagi du mouvement nihiliste DADA, le surréalisme, mouvement culturel né dans les années 1920 réunit une génération de jeunes hommes traumatisés pas l’expérience douloureuse de la guerre. En porte à faux avec la société, ces jeunes hommes veulent, selon le mot d’ordre de Rimbaud, « changer la vie ».

Révolution certes que de « changer le vie », mais qui contientintrinsèquement une part de rêve. Le surréalisme hésiterait-il alors entre le rêve et la révolution ?

Nous verrons dans un premier temps que le surréalisme se place du côté du rêve ; rêve à la fois en ce qu’il fait appel à l’imaginaire, mais aussi en ce qu’il est inaccessible. Puis, nous verrons que loin de s’opposer au rêve, la révolution, ici sous une forme double, fait partie intégrante dusurréalisme.

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Développement.

Le surréalisme accorde une large place au rêve, comme le rappelle cette phrase tirée du Manifeste du surréalisme, écrit par Breton : « Je crois en ces deux états que sont le rêve et la réalité, en une sorte de réalité absolue. » Pour les surréalistes, il faut comprendre ce mot dans ses deux acceptions, à la fois comme renvoyant à l’imaginaire, maiségalement comme espoir d’un monde meilleur. (Annonce de partie)
Intéressons nous d’abord au rêve en tant qu’imaginaire. (Puis de sous partie)
Chez les surréalistes, celui-ci est très développé, en effet, les images surréalistes employées sont renouvelées par un usage surprenant, reposant sur cet axiome théorisé par Reverdy qui explique que plus l’on rapprochera des réalités distantes plus l’image quien jaillira aura un pouvoir fort, plus elle sera étonnante. (Argument)
Ainsi, les vers « La terre est bleue comme une orange », ou bien « La courbe de tes yeux fait le tour de mon cœur » illustrent-ils ce propos,( exemple)
en rapprochant des réalités éloignées, pour créer une image nouvelle, nécessitant chez le lecteur des facultés relevant de l’imaginaire, du rêve, plutôt que de la raison,pour ici combler cette absence de logique apparente, qui rend certains vers relativement obscurs. (analyse)

Plus marquant peut être, les toiles surréalistes (nouvel exemple)
plus abstraites que figuratives, et qui renvoient, comme chez Dali, à l’imaginaire – voire au fantasme – de l’artiste, et qui appellent celui du spectateur au rôle actif, qui peut voir dans la toile, des éléments que sonvoisin ne verra pas ; comme lorsque l’on regarde des nuages, et que chacun s’amuse à y voir différentes formes relevant de l’imaginaire personnel. (analyse)
Si l’appel à l’imaginaire est omniprésent chez les surréalistes, comme nous venons de le voir, (mini conclusion)
c’est également parce que leur méthode de création est directement liée à ce même rêve.(transition)

En effet, les méthodesd’écriture surréalistes, loin de reposer sur l’usage de la raison—comme le veut la tradition – s’appuient sur le rêve. Breton définit le surréalisme comme un « automatisme psychique pur par lequel on se propose d’exprimer soit verbalement, soit par écrit, soit de toute autre manière le fonctionnement réel de la pensée. », mettant ainsi au premier plan l’inconscient, allant même jusqu’à parler de« Dictée de la pensée ». Ainsi, les différentes méthodes d’écriture surréaliste appliquent-elles ce principe, qui cherche à rendre compte, sans le contrôle de la raison, et sans préoccupation d’ordre esthétique, de la pensée humaine. C’est tout d’abord la méthode la plus connue de l’écriture automatique qui permet cette quête. C’est également l’écriture sous hypnose, ou encore en dormant, commesavait si bien le faire Desnos, voire sous drogue. Lié dans sa méthode d’écriture même au rêve, le surréalisme se place donc de facto du côté de l’imaginaire. Pourtant, outrepassant le domaine de l’art, et ayant un impact direct sur l’attitude face au monde de la part de l’artiste, ce mouvement est également une manière de vivre, une manière de voir les choses, et qui, hors du domaine de l’art,…

E=mc2 mon amour

Résumé :

C’est l’histoire d’amour entre deux surdoués âgés de onze ans.
Daniel Michon vit avec ses parents dans la banlieue de Paris. Daniel rêve, parle, pense et ne vit presque que pour lecinéma américain et les acteurs d’Hollywood. Sa grande idole est Robert Redford et son premier amour était Jane Russel dans « Les hommes préfèrent les blondes ».
Lauren King est super intelligente. Laurenadore Racine, comprend fort bien Einstein et vit pour la lecture. Elle habite avec ses parents les beaux quartiers de Paris.
Les deux héros se rencontrent dans le métro. Ils ne font pas attentionl’un à l’autre sur l’instant puis une vraie histoire d’amour commence.
Or ils ne sont pas dans la même école, mais décident de se rencontrer le plus souvent possible dans un parc.
Jusqu’au jour ouils décident de partir à Venise. Mais étant mineur ils leur faudra trouver un adulte complaisant.
Leurs rêves semblent se réaliser jusqu’à ce que leurs parents commencent à s’en mêler.

Résume :
Aonze ans, Daniel Michon est assez costaud du crâne. Il est pre-mier en tout et ses professeurs de cinquième le suivent difficile-ment. Pour l’anglais c’est normal, il va voir tous les films améri-cainsen v.o. Sa grande idole est Robert Redford et son premier amour Jane Russel dans Les hommes préfèrent les blondes. Mais il vit en banlieue et La Garenne c’est pas Hollywoo ! Lauren King, elle nonplus, au même âge, n’a pas un Q.I. normal. Elle adore Racine, lit Heidegger et comprend fort bien Einstein. Cette jolie petite Américaine habite les beaux quartiers. Quand un surdoué rencontre une autresurdouée, Bingo, dirait Redford, c’est l’amour fou, même à onze ans. Chacun, tour à tour, va raconter cette merveilleuse expérience et leur escapade à Venise comme tous les vrais amants. Il leurfaudra tout de même un chaperon pour passer la frontière. Ce sera Edmond Santorin, un ancien chef de gare à Villeneuve Triage et le plus joyeux menteur de l’univers. Les aventures se succèdent, alertes,…

Les effets de l’alcool

L’alcool est un liquide transparent et incolore que l’on trouve dans la bière, le vin et les spiritueux. Ce que l’on boit est l’alcool éthylique,ou éthanol (C2H5OH). Bien que traditionnellement considéré comme un dépresseur, l’alcool présente en fait un large spectre d’effetscontradictoires. Il déprime ou stimule, tranquillise ou excite. Autrefois, l’alcool était utilisé en médecine pour soulager la douleur, faire tomber la fièvreou apaiser les crampes d’estomac.
L’alcool, consommé avec modération, est sans effets indésirables notables pour la plupart des consommateurs. Enrevanche, l’abus d’alcool peut avoir des effets dommageables sur l’esprit et sur le corps, à tel point qu’il est l’une des drogues les plusdangereuses qui soient, autant pour le consommateur que pour son entourage. Environ 10 ou 12% de la proportion des consommateurs d’alcool sontalcooliques chroniques ou ont un sérieux problème de boisson.
L’alcool que l’on boit descend dans l’estomac, mais n’a pas besoin d’être digéré. Il passedirectement de l’estomac dans l’intestin, puis dans la circulation générale. De là, il est distribué dans toutes les régions du corps. C’est lefoie qui nous permet d’éliminer l’alcool, en le transformant en eau et en gaz carbonique (CO2). Le foie met environ une heure à éliminer le contenud’un verre d’alcool. Une personne s’enivre lorsque qu’elle boit davantage d’alcool que son foie ne peut en éliminer dans le même laps de temps.

Notion de gestion des risques

Chapitre 1 – La notion de la gestion des risques en milieu hospitalier : le moteur du développement d’une culture professionnelle.

Section 1 – Le risque : de l’incertitude à l’incertitude. I – Les concepts fondateurs du « risk management ». A – Les différentes facettes du risque Dans le monde professionnelle et notamment dans le monde hospitalier, le terme de risque peut refléter plusieursconcepts. Ainsi, le risque pur, qui se rapporte à l’utilisation la plus courante de ce concept, se définit comme étant « l’évènement à l’origine du dommage subi par une organisation. Il s’agit, alors, d’un événement aléatoire dont la survenance entraîne une perte pour l’organisation »1. Il se différencie donc du risque spéculatif qui lui peut amener à un gain. De plus, on trouve les risquessystématiques et non systématiques. Le risque risque est systématique lorsqu’il est « engendré par un ensemble d’évènements non aléatoires, c’est à dire dont la survenance tend à être simultanée, plutôt qu’aléatoire, ou due au hasard. »2 Le risque non systématique est, quant à lui engendré « par un ensemble d’évènements, dont la survenance est aléatoire. »3 Le système hospitalier français est atteint parces deux types de risques, même si les risques que dont nous traiterons ici sont plus de l’ordre des risques non-systématique. Par exemple, un risque d’escarre aux urgences est le résultat d’une succession d’évènements qui résulte du hasard : attente excessive aux urgences, personne sujette à ce type de sclérose, mauvaise alimentation… Enfin, il y a une vision encore plus restrictive du risque :les risques assurables. Ainsi, un risque n’est un risque que lorsque ce dernier est assurable. Cette vision est trop restrictive pour être prise en compte dans le monde hospitalier. L’ANAES (ex HAS) définit le risque comme une «situation non souhaitée ayant des conséquences négatives résultant de la survenue d’un ou plusieurs événements dont l’occurrence est incertaine »Dans un établissement desanté, ces événements sont ceux dont la survenue perturbe la réalisation de ses missions premières : assurer des soins de qualité aux personnes en toute sécurité. Par ailleurs, on peut se poser la question de la définition d’une situation à risque. Si Yates et
1 100 questions pour comprendre et agir : Gestion des risques. 2 Ibid 1 3 Ibid 2

Stone (1992) ont tenté, ils n’ont seulement peu mettreen évidence quelques propriétés comme leur diversité, la nature très différente de leurs effets ou encore leur complexité. Autant de propriétés qui rendent impossibles la généralisation qui constitue le fondement d’un définition. Il est certain que la notion de risque est une notion complexe. En plus, des notions voisines viennent troubler les esprits. B – Les notions voisines du risque Le risqueet le danger

Le danger est un événement ou une situation susceptible d’entraîner des conséquences négatives ou dommages à l’homme ou à son environnement. Le risque est donc la possibilité qu’un danger se réalise, c’est à dire entraîner vraiment des dommages dans certaines conditions. De ce fait, les situations de danger apparent sont à proscrire tout autant que les situations de risque,pour ne pas que le danger ne multiplie les conséquences du risque. Le risque et la sécurité

La sécurité se caractérise par le sentiment qu’éprouve l’agent résultant de l’opinion, bien ou mal fondée, qu’il n’a pas de danger à craindre. Ainsi, si la notion de sécurité s’apparente à celle de risque, elle s’apparente aussi à celle de danger. Ce n’est donc pas parce qu’il n’y a pas de danger,qu’il n’y a pas de risque. Le sentiment de sécurité dans une situation n’exclue pas la présence de risque. Le risque et la fiabilité

La fiabilité est conçue comme « l’aptitude d’un dispositif à accomplir une fonction requise dans des conditions données pour une période de temps donnée »4. Elle concerne donc principalement des dispositifs techniques. Mais, dans un Centre Hospitalier,…

Lettre motiv cadre de proximité

B A

62
Né le
Tél :

EDUCATEUR SPECIALISE

Formations/Diplomes :

2008 : obtention du DEES
2004/2007 : formation d’éducateur spécialisé à l’Afertes (Arras)
1999 : BAFA1998 : baccalauréat STTG

Activités professionnelles:

Educateur dans le cadre du renfort hivernal au CHRS le Petit Atre à Arras sur l’accueil
d’urgence. Denovembre 2007 à mars 2008.
-Accueil d’urgence de personnes en difficulté au sein du foyer.
-Référent de 10 personnes durant cette période.
-« Maraude » avec le service demédiation de Petit Atre.

Educateur au FJT Anne Frank à Arras. De avril à août 2007, de juillet à décembre 2008 et de
avril 2009 à juillet 2009
-Travail de l’insertion avecles jeunes.
-Organisation de diverses sorties et activités sportives et culturelles, en lien avec le Plan Territorial de Santé.
-Référence de cinq jeunes

Stage auFoyer de Jeunes travailleurs Anne Frank à Arras. De mai 2006 à mars 2007.
-Travail d’insertion avec les jeunes.
-Mise en place de divers projets et activités sportives et culturelles.Stage à l’Institut d’Education Motrice de Rang du Fliers. De septembre 2005 à février 2006.
-Découverte de divers handicap.
-Organisation de diverses activités sportives etculturelles.

Stage à l’Institut Médico Educative de Rang du Fliers. De janvier à juin 2005
-Découverte des enfants accueillis en IME
-Prise encharge d’une partie du groupelors de différentes activités.

Pré-stage à la Maison d’Enfants à Caractère Social de Valloires. De mai 2003 à juillet 2004.
-Prise en charge d’un groupe d’une douzaine d’adolescents.-Organisation de la vie quotidienne des jeunes.
-Organisation de diverses activités sportives et culturelles.

Animateur et directeur adjoint d’un centre aéré. De…

La gestion

La gestion concerne tous les aspects d’une entreprise : Compta., finances, marketing, RH, gestion de production et stratégie.

I.La gestion.
a.Qu’est-ce que la gestion?

Def : elle reprend les choix qu’effectuent les dirigeants pour:
? répondre aux demandes du marché.
? se positionner par rapport à la concurrence.
? réaliser les buts que l’entreprise s’est fixée.
Elle touchedes disciplines interdépendantes et elle apporte une complémentarité à la conduite de l’entreprise.

Voca : décision de gestion à court terme ? ce qui est opérationnel.
décision de gestion à moyen/long terme ? stratégie.

Lorsqu’on a pris la décision le dirigeant de l’entreprise détermine les moyens à disposition de l’entreprise. Moyens qui sont comparés aux ressources nécessaires(généralement les actionnaires) pour poursuivre les buts.

Problèmes de gestion: mauvais choix ou problèmes de ressources (moyens : humains, tech…) ou se tromper dans les moyens retenus (moyens : de prod., partenariats, juridiques) ou problèmes de moyens de coordination (com.).

b.Le contexte.

L’économie de marché : les prix et quantités sont fait par la loi de l’offre et la demande(pas de planification).

L’entreprise est dans un marché (confrontation de l’offre et la demande). Les offreurs et demandeurs échangent des biens économiques (biens ou services qui procurent un utilité ? satisfaire un besoin).
Deux sortes de besoins : primaires ou secondaires (Loisirs, culture…).

3 types de marché :
? Marché de bien de consommation : regroupe les particuliers (biensdurables et non durables -utilisables une seule fois-).
? Marché de capitaux : actions (revenu variable) et obligations (revenu fixe). Ainsi que les particuliers, banques et état qui placent ou empruntent.
? Marché du travail : travailleurs et entreprises.

Le contexte : La loi de l’offre et de la demande permet la formation des prix. Si les prix augmentent, la consommation diminue donc baissede la quantité demandée. Lorsque les offreurs augmentent la quantité, effet de surproduction donc les prix baissent. Cette loi n’est pas toujours vérifiée.

Def Degrés de concentration : nombre de firmes présentent sur le marché. Monopole ou Concurrence pure et parfaite ou oligopole (si quelques concurrents).

Globalisation : (90’s) elle a un impact sur les marchés car ils sont connectés lesuns aux autres : géographiquement de plus les échanges sur le marché des capitaux peuvent avoir un impact sur les autres marchés.
Ex: Crise 2007 ? impact marché financier ? impact marché des biens ? impact marché du travail.

II.La gestion

L’entreprise est un agent économique sont objectif est de réaliser un action en utilisant un certain nombre de moyens.

a.Les objectifs.
Lesobjectifs (formulés par le propriétaire) sont le point de départ d’une entreprise. Premièrement pour réaliser des profits maximums et deuxièmement pour augmenter sa part de marché.
Plusieurs choix à faire :
? Choix de l’activité : industrielle, commerciale ( acheter pour revendre), prestations de services.
? Choix des moyens : -techniques (hommes, outils, processus de fabrication)..-commerciaux (quel type de distribution, type de vendeur, com.)
.-financiers.
Les moyens découlent des priorités du propriétaire.

b.L’organisation de l’entreprise.
3 systèmes qui permettent de faire fonctionner les moyens.
? technique
? commercial
? financier

c.La diversité des entreprises.
On évalue l’entreprise par des critères:
? Juridiques
? L’activité (primaire,secondaire, tertiaire).
Rq : le domaine tertiaire est hétérogène (produc. de services,commerciale et matériels techniques).
? L’âge ( start up, entreprise de croissance et entreprise en déclin).
? La taille (effectif -avec un effet de seuil- et le chiffre d’affaire).

d.L’entreprise au coeur des échanges avec les autres acteurs.
Acteurs : clients, fournisseurs, salariés, banques, associés,…

Commentaire : lettre 30, lettres persannes, montesquieu

Montesquieu, Lettres persanes, Lettre 30
COMMENTAIRE

Le texte que nous allons étudier est la Lettre 30, extraite des Lettres persanes de Montesquieu, philosophe précurseur des Lumières auXVIIIème siècle. Cette œuvre est un roman épistolaire que l’auteur publia anonymement à Amsterdam en 1721, afin d’éviter la censure. A travers la correspondance fictive de voyageurs persans, Montesquieucritique les mœurs des français en insistant sur l’étonnement des étrangers qui découvrent une société très différente de la leur. Dans cette lettre, le persan Rica est confronté à la curiosité desparisiens, causée uniquement par son apparence étrangère. Ainsi, nous nous demanderons comment Montesquieu critique le caractère frivole des parisiens. Nous commencerons par étudier l’efficacité du genreépistolaire, puis nous exposerons les différents procédés utilisés pour la critique, et enfin nous montrerons la place de l’ironie dans cette critique.

Nous pouvons relever plusieurs signes montrantque ce texte est une lettre. Dans un premier temps, les éléments de la forme : l’entête « Rica à Ibben, à Smyme » ainsi que le lieu et la date d’écriture « de Paris, le 6 de la lune de Chalval, 1712 »indiquent la nature épistolaire du texte. Dans un second temps, l’utilisation de la première personne du singulier par le narrateur ainsi que l’imparfait de description montre qu’il raconte sonaventure à une personne qu’il connait. De plus, la date est issue du calendrier persan, ce qui informe le lecteur sur les origines du locuteur et du destinataire.
Rica décrit ici la façon dont il estdévisagé par les Parisiens. Les nombreuses exagérations présentes témoignent de son étonnement face à cette situation (« extravagance » l.1, « envoyé du Ciel » l.2 « tous, tout le monde, partout,toutes »). Cet étonnement accompagné du ton légèrement moqueur de Rica laissent entendre que la curiosité dont font preuve les Parisiens est étrange et de ce fait contestable.
En portant le masque du…