Robinson crusoé

Robinson Crusoé est né en 1632 à York, une ville qui se trouve en nord de l’Angleterre. Troisième fils de la famille, et n’ayant appris aucun métier, sa tête commença de bonne heure à se remplird’envie de voyages et de parcourir le monde, son seul désir était d’allé sur mer alors que ses parents voulaient qu’il devienne avocat…
Un jour, alors qu’il se trouvait par hasard dans la ville de Hull,un de ses compagnons lui proposa de partir à Londres, il a eu de la chance dès son arrivée, ou il rencontra un capitaine de vaisseau qui s’apprêtait à appareiller pour la Guinée, ayant entendu sonprojet de voir le monde il lui dit :
– Si vous voulez faire le voyage avec moi, vous n’aurez aucune dépense, vous serez mon compagnon.
Il accepta l’offre et il lia d’amitié avec le capitaine. Ilemporta avec lui quarante livres sterling et des babioles, qu’il espérait vendre à son arrivée.
Hélas ! Au large des Ils Canaries leur vaisseau fut surpris à l’aube du jour par un corsaire Turcfortement armé, leur vaisseau étant désemparé. Ils furent contraints de se rendre et conduits prisonniers a Sallé, un port appartenant aux Pirates.

Comme Robinson était jeune et agile, le capitaine ducorsaire fit de lui son esclave mais. Mais âpres deux ans, il, parvient à s’évader et voyage le long des côtes africaines, ayant un bon vent, et une mer calme, il s’avançait si bien que le lendemain ildécouvrit la terre, loin de Sallé. Il continuât sa course jusqu’au Cap-Vert. De loin il a vu un navire avec voiles, il reconnue immédiatement que c’est un navire Portugais. Ils l’on prit à bord, illeur expliqua qu’il venait de s’échapper à l’esclavage des Pirates de Sallé. Alors ils l’invitèrent généreusement.
Le navire se rendait au brésil, ou ils arrivèrent environs 22 jours âpres. Il vécutquelques temps avec le Capitaine qui possédait une plantation et une sucrerie. Il a apprit l’art de planter. Voyant la bonne vie qu’il menait et combien il s’enrichissait rapidement, il résolut de…

Marketing

ANALYSE MARKETING STARBUCKS (à partir de l’article)

Interne :

Forces :
– 41 cafés en France (+en 2009)
– Emplacement des cafés (endroits prestigieux dans Paris)
– Enseigneprésente aux 4 coins du monde
– Associé aux stars, séries, films
– Concept original, marketing
– Anti fumeurs
– wifi
– décoration chaleureuse, accueil sympa, taille XXL des boissons(qui est aussi une faiblesse en France)
– Ajout d’une « French touch » à certains produits (mais faiblesse : jugé insuffisant!)

Faiblesses :
– 1 seul café en Province (un peu plusmaintenant, mais cela reste faible)
– Plusieurs changements de Directeur général en 4 ans
– Conquête tardive du marché français
– Prix élevés
– Sur le marché français certainescaractéristiques se révèlent être des faiblesses:
– Le produit en lui-même : trop compliqué, trop de choix.
– Vente à emporter : les Français n’aiment pas boire en marchant
– Starbucks n’adapte pas ses normesà la culture (ex : cuisson de certains plats, le serveur demande son prénom au client, ce qui est mal vu en France…)
– Gobelets en carton : moins agréables!
– Cafetières automatiques : cela privele consommateur du spectacle qu’est la préparation d’un café (moins authentique!)

Externe :

Opportunités :

On n’a rien trouvé dans l’article, c’est à creuser!

Menaces :

En France:– La culture :
– les Français aiment le café noir court
– 80% du café est consommé avant 14h
– Alimentation concentrée sur des repas copieux
– Beaucoup de Français font leur propre café
– LesFrançais sont plus chapardeurs (? problèmes avec les tasses, d’où les gobelets!)
– Bistrots de quartier : concurrence très forte et sérieuse
– Loi anti tabac dans les lieux publics
–Développement des cafetières à dosettes pour les particuliers (renforce l’habitude de se faire son propre café)
– Coût de l’immobilier élevé
– Coût de la main-d’œuvre supérieure aux autres…

Oliver twist

Orphelin dans l’angleterre victorienne

Jeune orphelin angélique, Oliver est recueilli par l’assistance dans l’Angleterre victorienne, et le moins que l’on puisse dire c’est qu’on ne lui offre pastoutes les chances de réussir entre sa famille d’accueil et l’odieux appariteur, mr Bumble.

Entre privation et maltraitance, Oliver se sauve pour une vie qu’il souhaite meilleure dans la ville deLondres, là il se trouve rapidement embarqué dans les milieux les plus sordides et malfamés de la ville . Fagin, un vieux juif vénal agit comme receleur et chef d’un groupe de voleurs.

S’ensuivratoute une série d’aventures pour le jeune Oliver pour tenter de sortir des griffes de ses  » nouveaux amis » .

Voilà un livre agréable à lire ou l’on se prend d’amitié pour le jeune héros qui essaye dese sortir de sa situation sociale précaire en voulant éviter les bas fonds londoniens.

Il convient de noter que Dickens véhicule par l’intermédiaire de Fagin le juif de nombreux clichésantisémites qu’il n’est pas nécessaire d’énumérer, suite à une plainte, Dickens qui déclarait ne pas être antisémite voudra ôter le fait que Fagin soit juif mais ne pourra pas, l’oeuvre étant déjà répandue.Orphelin dans l’angleterre victorienne

Jeune orphelin angélique, Oliver est recueilli par l’assistance dans l’Angleterre victorienne, et le moins que l’on puisse dire c’est qu’on ne lui offre pastoutes les chances de réussir entre sa famille d’accueil et l’odieux appariteur, mr Bumble.

Entre privation et maltraitance, Oliver se sauve pour une vie qu’il souhaite meilleure dans la ville deLondres, là il se trouve rapidement embarqué dans les milieux les plus sordides et malfamés de la ville . Fagin, un vieux juif vénal agit comme receleur et chef d’un groupe de voleurs.

S’ensuivra touteune série d’aventures pour le jeune Oliver pour tenter de sortir des griffes de ses  » nouveaux amis » .

Voilà un livre agréable à lire ou l’on se prend d’amitié pour le jeune héros qui essaye de…

Stratégie de retrait

Chapitre 2

LES ACCORDS

L’OMC est “fondée sur des règles”; ses règles sont des accords négociés

1. Aperçu général: un guide pour la navigation
Les accords de l’OMC régissent les marchandises, les services et la propriété intellectuelle. Ils énoncent les principes de la libéralisation et les exceptions autorisées. Ils reproduisent les engagements pris par chaque pays pour réduire lesdroits de douane et d’autres obstacles au commerce, et pour ouvrir et maintenir ouverts les marchés de services. Ils définissent les procédures de règlement des différends. Ils prévoient un traitement spécial en faveur des pays en développement. Ils font obligation aux gouvernements d’assurer la transparence de leur politique commerciale en notifiant à l’OMC les lois en vigueur et les mesuresadoptées, parallèlement aux rapports périodiques établis par le Secrétariat au sujet des politiques commerciales des pays. Ces accords sont fréquemment dénommés les règles commerciales de l’OMC, et l’OMC est fréquemment décrite comme étant un système “fondé sur des règles”. Toutefois, il est important de se rappeler que les règles sont en réalité des accords négociés par les gouvernements. Le présentchapitre se concentre sur les accords du Cycle d’Uruguay, qui sont le fondement du système actuel de l’OMC. Des travaux additionnels sont aussi désormais en cours à l’OMC. C’est le résultat de décisions prises lors de Conférences ministérielles, en particulier à la réunion de Doha, en novembre 2001, lorsque de nouvelles négociations et d’autres travaux ont été lancés (voir plus loin des détails sur leProgramme de Doha). Un schéma en six parties La table des matières de l’ouvrage intitulé “Résultats des Négociations commerciales multilatérales du Cycle d’Uruguay — textes juridiques” est une liste impressionnante de quelque 60 accords, annexes, décisions et mémorandums d’accord. En fait, les accords sont établis suivant une structure simple comprenant six parties: un accordcadre (l’Accordinstituant l’OMC); des accords régissant chacun des trois grands domaines d’échange (marchandises, services et propriété intellectuelle); le règlement des différends; et l’examen de la politique commerciale des gouvernements. Les accords régissant les deux principaux domaines — marchandises et services — sont établis suivant le même schéma ternaire, malgré des différences parfois notables sur les pointsde détail. • Ils commencent par énoncer des principes généraux: l’Accord général sur les tarifs douaniers et le commerce (GATT) (pour les marchandises) et l’Accord général sur le commerce des services (AGCS). (Il en est de même pour le troisième domaine, les Aspects des droits de propriété intellectuelle qui touchent au commerce (ADPIC). L’Accord ne comporte cependant, pour l’instant, aucunepartie additionnelle.) • Viennent ensuite les accords complémentaires et annexes contenant des prescriptions spéciales relatives à des secteurs ou questions spécifiques. • Enfin, il y a les listes, longues et détaillées, des engagements contractés par chaque pays pour permettre à des fournisseurs étrangers de marchandises ou de services d’accéder à son marché. Les listes annexées au GATT contiennentdes engagements contraignants concernant les droits de douane pour les marchandises d’une manière générale et combinant droits de douane et contingents pour certains produits agricoles. Dans les listes annexées à
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Les “détails additionnels” Ces accords et annexes régissent les secteurs ou questions spécifiques ci-après: Pour les marchandises (dans le cadre du GATT) • Agriculture •Réglementations sanitaires concernant les produits agricoles (SPS) • Textiles et vêtements • Normes de produit • Mesures concernant les investissements • Mesures antidumping • Méthodes d’évaluation en douane • Inspection avant expédition • Règles d’origine • Licences d’importation • Subventions et mesures compensatoires • Sauvegardes Pour les services (les annexes de l’AGCS) • Mouvement de personnes…

Les innovations de la guerre au ive siècle en grèce

Introduction :
« Ne voyons-nous pas combien tout a progressé et que si le présent ressemble peu au passé, c’est dans la guerre, à mon avis, qu’il y a surtout eu changement et progrès » = IIIe Philippique, 47 Démosthène (un athénien)
Avec cette phrase Démosthène, un témoin des évènements du IVe siècle montre que les Grecs étaient conscients de l’évolution des pratiques guerrières. Desmodifications dans les affaires de guerre étaient déjà visibles au Ve siècle, en particulier pendant la guerre du Péloponnèse. Cela a amené des évolutions dans les stratégies défensives, dans la menée d’un siège donc de ce que l’on appel la poliorcétique. Le IVe siècle fut un siècle de guerre et de conquête. Il y eut de grands changements stratégiques et techniques. Ce fut un siècle qui connut l’hégémoniede différentes cités (Sparte et Thèbes) et qui connut l’hégémonie Macédonienne grâce à Philippe II de Macédoine et avec son successeur Alexandre le Grand, le IVe siècle connut les grandes conquêtes. Ces conquêtes et ces hégémonies ont été rendues possibles grâce à d’importants changements au sein de l’armée.
Nos sources pour cette période sont littéraires et archéologiques. LittérairesXénophon : Helléniques
Diodore de Sicile : Bibliothèque historique
Plutarque : Vies Parallèles
Littérature technique : traité de Xénophon sur : De l’art équestre et Le commandement de Cavalerie et un de Enée le tacticien Poliorcétique
Archéologique
découverte de fortifications

Nous verrons en quoi les innovations de la guerre conduisirent à la suprématie macédonienne au IVe siècle ?

Nousverrons dans une première partie les innovations au sein des armées grecques. Dans un deuxième temps nous parlerons des innovations tactiques.

Il est d’abord important de rappeler d’abord ce qui caractérise les cités grecques : l’hoplitisme. L’hoplite qui est un guerrier combattant pour sa cité (l’hoplite citoyen) ou le mercenaire. L’hoplite est caractérisé par son bouclier l’hoplon qui fait environ1mètre de haut. L’hoplite fait parti d’une formation serrée, la phalange. Mais le IVe siècle va voir l’apparition de nouveaux soldats ainsi que de nouvelles stratégies

I. Des innovations au sein des armées grecques

Le IVe siècle connaît le déclin de l’hoplitisme citoyen traditionnel au bénéfice des peltastes mercenaires, de la cavalerie et de la guerre de siège (poliorcétique). Ceschangements ont amené à une réorganisation de l’armée
A. Une réorganisation de l’armée

La guerre au IVe siècle devient l’affaire de professionnels.
Dans la première moitié du IVe siècle les hoplites constituent encore le noyau de toute armée grecque.
1. Pour les cités grecques : Athènes et Thèbes

? Création d’une troupe d’élite

Dans la cité de Thèbes : création du bataillon sacré : Corps de300 soldats qui d’après Diodore de Sicile était lié par amour. Ce bataillon va briller grâce à deux leaders Epaminondas et Pélopidas et à sa victoire à Leuctres en 371. Epaminondas va créer une nouvelle tactique pour la phalange : la phalange oblique. (CF II)

?Infanterie légère

390 : Iphicrate est à la tête de ses peltastes = infanterie légère qui tire son nom d’un type de bouclier = peltè.Les peltastes sont à la base Thrace. Iphicrate a perfectionné l’équipement et les techniques de combat : il a anéantit un bataillon d’hoplites lacédémoniens devant Corinthe durant la guerre de Corinthe.

? Evolution de l’éphébie (éducation militaire athénienne) : au IVe siècle, les éphèbes athéniens participaient à la défense du territoire en assurant la garde des frontières en tant de paix. Entant de guerre, des mercenaires et des citoyens soldats s’ajoutaient.

2. En Macédoine

Avant Philippe II de Macédoine : l’armée est peu structurée. Presque toutes les armées comportent une cavalerie : le plus souvent restreinte.

Philippe réorganise l’armée dont le contenu et le rythme sont discutés :
la cavalerie = les compagnons = hétairoi : Le nombre de cavaliers augmente dans…

Dissertation

La dissertation littéraire :
une argumentation construite et cohérente ;elle s’appuie sur une problématique liée à un genre littéraire et à une œuvre particulière.Le sujet peut :présenter une opinion à discuter;demander d’expliquer un point de vue ;susciter le commentaire d’une citation.Dans le travail préliminaire, étudier l’énoncé, cerner la problématique :repérer les composantes du sujet;analyser les mots clés ;reformuler la question posée.Rechercher des arguments et des exemples :établir une liste détaillée ;noter des citations.La démarche peut être :dialectique ;thématique ;analytique.Le plan détaillé met en valeur un raisonnement progressif et comporte :des sous-parties ;des idées principales ;des arguments et des exemples hiérarchisés ;des articulations logiques.Rédiger c’est:composer des paragraphes ;insérer des exemples précis et des citations exactes ;rédiger des transitions ;introduire (préambule, citation et problématique, annonce du plan) ;conclure (bilan, réponse à la question, élargissement).
Pour réussir une dissertation littéraire, vous devez :posséder une connaissance approfondie des œuvres étudiées, avoir lu d’autres livres du même auteur ou du même genre;cerner avec rigueur les enjeux d’un sujet, afin d’éviter le hors sujet ;ne pas confondre l’épreuve avec une question de cours.mobiliser l’ensemble des connaissances littéraires que vous avez acquises.
La dissertation est un exercice différent de l’analyse textuelle proprement dite, dans la mesure où vous n’avez pas forcément un texte à commenter, à expliquer ou à résumer: Vous devez composer votredevoir à partir d’un «sujet» très court, qui comporte souvent une citation, ou une formule gnomique (pensée, proverbe, sentence…). Le but de l’exercice n’est pas tant de faire preuve de connaissances sur un sujet donné que de prouver que vous êtes capable de construire une argumentation claire, complète et équilibrée. En d’autres termes, vous organisez un débat où vous jouerez à la fois lerôle de participants ayant chacun des vues contradictoires sur le sujet donné, et celui de l’arbitre, de l’animateur du débat, qui fait les présentations, organise les échanges, et conclut à la fin sur ce qu’on peut tirer de ce débat. En bon animateur, vous devrez canaliser les interventions, demander à chacun de s’expliquer, et surtout rester aussi neutre que possible, même lorsque vous faitesvaloir votre propre opinion .
Gardez à l’esprit le sens et le but de votre travail tels que les conçoit le correcteur, qui va très rapidement décider de la valeur globale de votre devoir à partir1) de la problématique que vous indiquez (conforme au sujet, ou hors-sujet)2) de la qualité du plan3) de la qualité des diverses parties du devoir (introduction, développement, conclusion)4) de la qualité dudétail de votre argumentation (précision et pertinence des arguments, des exemples)5) de la qualité de la langue, en particulier de la précision de la syntaxe, de la richesse et de la variété du vocabulaire et, éventuellement, des aspects stylistiques.
Comprendre le sujetCela semble aller de soi et pourtant c’est ici que bien des échecs trouvent leur origine. On conseille de relever les motsclés de l’énoncé, de s’assurer de leur sens, d’examiner ainsi le lexique choisi (niveau de langue, figures de style, connotations). Chaque mot doit être pesé; les sens propres, les sens figurés et même les expressions dans lesquelles il peut recevoir une acception différente, tout cela doit être soigneusement clarifié afin de permettre un développement correct. Cependant, en général, ce n’est pas levocabulaire qui pose un problème de compréhension mais bien le rapport entre les mots.Ensuite, il est utile de diviser le sujet, surtout s’il est vaste, en plusieurs éléments qui sont analysés successivement.Lorsque l’analyse sémantique et syntaxique est réalisée, reformulez le sujet en d’autres termes.L’énoncé du sujet implique souvent le plan de votre travail. On peut vous demander de…

2Eme reunion annuelle du fratel

| | | |
|REPUBLIQUE DU CAMEROUN | |REPUBLIC OF CAMEROON |
|Paix – Travail – Patrie | |Peace – Work -Fatherland |
|—————– | |————- |
|AGENCE DE REGULATION | |TELECOMMUNICATIONS |
|DES TELECOMMUNICATIONS ||REGULATORY BOARD |
|—————– | |————– |

2EME REUNION ANNUELLE DU FRATEL
SOUS LE THEME « MOBILITE ET DEVELOPPEMENT »
—————————-
FES, 4 ET 5 OCTOBRE 2004

CONTRIBUTION DU CAMEROUN

ENJEUXREGLEMENTAIRES DES SERVICES MOBILES :
LE CAS DU CAMEROUN

Présenté par : BEH MENGUE Jean Louis
Directeur Général de l’ART
SOMMAIRE

I – Introduction 3
II – Cadre législatif et réglementaire 3
II- 1. Textes législatifs 4
II- 2. textes réglementaires: 5
II-3. Les conventions 5
III – Cadre structurel 6IV – Evolution du marché des télécommunications au Cameroun et impact des réseaux de téléphonie mobile 7
V – Politique d’attribution des licences 8
VI – Politique de gestion des fréquences 9
VII – Politique de gestion des numéros 10
VIII- Conclusion et perspectives 11

I – Introduction

Dans le cadre de la restructuration de son secteur des postes et télécommunications, le Cameroun aengagé dès le début des années1990, différentes actions visant la réforme du secteur des postes et télécommunications dont les principes de base sont :

– La séparation du secteur des télécommunications de celui des postes ;
– La libéralisation du secteur des télécommunications ;
– La séparation des activités de réglementation et de celles d’exploitation des services detélécommunications initialement assurées par le Ministère des Postes et Télécommunications ;
– La création d’une structure en charge de la régulation.
La réforme du secteur des télécommunications, marquée par une restructuration et une privatisation, a eu pour but d’encourager et de favoriser la participation des investisseurs du secteur privé au développement des télécommunications, de promouvoir ledéveloppement harmonieux des réseaux et des services de télécommunications afin d’assurer la contribution de ce secteur au développement de l’économie nationale et de satisfaire les besoins de la population tant sur le plan de la couverture que sur de la qualité de service.
Cette réforme s’est également matérialisée par la libéralisation, le désengagement de l’Etat des secteurs productifs et lamise en place d’une structure de marché permettant au Cameroun de rester en phase avec l’évolution mondiale particulièrement rapide de ce secteur.
Ainsi, en offrant un cadre favorable à l’expression de l’initiative privée, les pouvoirs publics ont permis au secteur des télécommunications, de jouer le rôle moteur qui est le sien dans le développement du Cameroun.
La mise en application de laditeréforme a entraîné entre autres, un développement fulgurant de la téléphonie mobile par rapport à la téléphonie fixe, suscitant ainsi un certain nombre de défis à relever quotidiennement tant sur les plans réglementaire que technique.
Le présent document, élaboré pour apporter la contribution du Cameroun au thème « mobilité et développement » est articulé autour des points ci-dessous :
-…

La méthode uva

LA METHODE GP : APPORTS ET APPLICATIONS D’UNE METHODE ALTERNATIVE DE CALCUL DES COUTS
Yves LEVANT Maître de Conférences Faculté Jean Monnet de Sceaux 54, boulevard Desgranges 92331 SCEAUX Cedex E Olivier de LA VILLARMOIS Maître de Conférences IAE de Lille 104, avenue du Peuple Belge – 59043 LILLE Cedex Tél.: 03.20.12.24.82 – Fax.: 03.20.12.34.00

Résumé La méthode GP représente une réellealternative en matière d’évaluation des coûts : elle repose sur des hypothèses qui permettent une simplification du système de comptabilité de gestion. Après avoir précisé le principe de la méthode GP et ses évolutions, trois applications de la méthode seront décrites. Ces études de cas permettront de confirmer les intérêts de la technique mais aussi de souligner les différences qui existent entre lespréconisations faites par les promoteurs de la méthode et les pratiques. Mots clefs. – méthode GP – comptabilité de gestion – études de cas.

Abstract The Method GP represents a real alternative as regards costing : it relies on assumptions which allow a simplification of the system of management accounting. After having specified the principle of method GP and its evolutions, threeapplications of the method will be described. These case studies will make it possible to confirm the interests of the technique but also to underline the differences which exist between the recommendations made by the promoters of the method and the practices Keywords. method GP – management accounting – case studies.

La dernière décennie de recherche en comptabilité de gestion a été fortement marquéepar les débats autour des contributions de l’ABC (Lebas et Mévellec, 1999). Les limites de la méthode des sections homogènes ont été mises en évidence et des moyens pour y remédier ont été proposés. Toutefois, depuis son origine la méthode des sections homogènes a été critiquée et des alternatives proposées, en particulier dans les années 50 avec les méthodes indicielles. Les méthodes deséquivalences (CNPF, 1957), des nombres caractéristiques (Audoye, 1955) sont des exemples de méthodes indicielles, mais celle qui a connu le plus grand succès est la méthode GP (Perrin, 1962). Cette méthode développée par Georges Perrin à la fin des années 30 est encore promue par des cabinets de conseil. Elle a connu le nom de méthode UP (pour Unité de Production) et aujourd’hui de méthode UVA (pour Unitéde Valeur Ajoutée) afin de briser l’ancienne référence à la notion de production (Fiévez et al., 1999). Le principal intérêt de la méthode GP, et de ses évolutions, est la simplification du calcul des coûts qui repose sur le principe des constantes occultes énoncé par Georges Perrin (1962). Ainsi, le premier argument des promoteurs de la méthode est la possibilité de calculer, avec des moyensraisonnables, la rentabilité de chacune des factures émises par l’entreprise. L’exposé du principe général de la méthode GP et de ses évolutions permettra, par comparaison avec les méthodes traditionnelles (sections homogènes ou ABC), d’identifier ses apports et ses principales limites. Ensuite, l’étude de trois cas d’entreprises ayant choisi d’appliquer la méthode mettra en évidence les divergencesqui existent entre les préconisations des promoteurs de la méthode et les pratiques, mais surtout la grande variété des utilisations de l’information produite.

1. Principes de la méthode GP
Deux catégories de méthodes seront successivement formalisées : les approches traditionnelles et la méthode UVA, qui représente le dernier développement de la méthode GP. Il existe de nombreux points communsentre l’ABC et la méthode des sections homogènes, la principale différence étant les imputations en cascades impliquées par cette dernière méthode (Bouquin 2000, p.136). C’est la raison pour laquelle nous distinguerons les méthodes traditionnelles des méthodes indiciaires qui

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constituent une réelle alternative. Les formalisations qui seront proposées permettront d’identifier les forces…

Client gestion

u cours de ma formation en Baccalauréat Professionnel comptabilité au ***** j’ai effectué ma période de stage d’une durée de quatre semaines chez ****, un cabinet d’expert-comptable situé à****
Monchoix pour cette entreprise a été motivé par mon envie de découvrir le fonctionnement d’un cabinet comptable. De plus ce stage s’inscrit directement dans mon projet de poursuivre mes études dans ledomaine de la comptabilité en m’orientant vers un BTS comptabilité gestions des organisations. Ce stage m’a permis de mieux connaître le monde du travail et de parfaire mes connaissances.L’entreprise offre des prestations différentes en s’adaptant au besoin variés de ses clients comme par exemple des prestations comptables, des prestations fiscales (déclaration de TVA, taxe apprentissage), elleoffre également des prestations sociales (Urssaf) ainsi que juridique, de gestion d’audit (commissariat aux comptes).
***** fait lui-même partie d’un groupe***** qui est l’un des leaders mondiauxdes services professionnels

ALA PRISE EN MAIN DU DOSSIER D’UN RESTAURATEUR DES SON ARRIVEE

Les collaborateurs appellent chaque client et leur fixe une date pour la réception de leur élémentcomptable. Ils réceptionnent chaque client et font un inventaire avec le client des éléments qu’il apporte. Les collaborateurs essayent de voir avec lui tout de suite, les éléments ou les informations quimanquent, notamment sur les éléments manquants des précédentes périodes.

Pour procéder à l’enregistrement des éléments comptable du client, le cabinet dispose d’un logiciel nommé Ccmix. Pouraccéder à ce logiciel je dois tout d’abord passer par le bureau Cegid qui est un logiciel qui regroupe également d’autres applications tel que le logiciel de gestion des immobilisations. Le logiciel Cegidune fois ouvert, me fait accéder directement à une liste des différents clients que gère le cabinet. Je sélectionne alors le client sur lequel je travaille, une fiche individuelle du client…

Rapprochements

LE RAPPROCHEMENT BANCAIRE

1 –Définition de la tâche

Le rapprochement bancaire est l’une des tâches les plus importantes qui m’a été confiée et c’est l’activité sur laquelle j’ai passé le plusde temps. Le rapprochement bancaire, encore appelé réconciliation bancaire est considéré comme la clé de voûte de la comptabilité
Un rapprochement bancaire consiste à comparer l’état des comptes debanque de l’entreprise avec le relevé reçu de la banque. La technique de l’état de rapprochement va permettre de justifier les différences de soldes.
Le rapprochement bancaire est une tâche quis’effectue à chaque fin de mois.

J’ai validé le journal de trésorerie de la banque pour accomplir le rapprochement bancaire. La société travaille avec plusieurs banques : le crédit agricole et le CICLors de la réception d’un relevé bancaire, il est indispensable de «rapprocher » celui-ci de la comptabilité du comité d’entreprise. Cette pratique consiste à identifier.

Les écarts éventuelsentre le relevé bancaire et la comptabilité dans le triple but de :

– déceler d’éventuelles erreurs de la banque pour en demander la correction
(Frais prélevés à tort par exemple) ;

– décelerd’éventuelles erreurs de la comptabilité pour les rectifier (inversion de chiffres, oubli d’une dépense, etc.) ;

– connaître le montant réellement disponible pour régler les dépenses à venir.

Enpointant régulièrement les enregistrements comptables de l’entreprise par rapport au relevé bancaire puis en vérifiant que tous les mouvements, tant en débit qu’en crédit sont justifiés par une piècecomptable qui elle-même est le justificatif d’une transaction économique, le comptable ou le chef d’entreprise va verrouiller ses comptes.

Pour effectuer un rapprochement bancaire, je devais me procurerles documents suivants :

L’état de rapprochement bancaire (annexe 1)
Le relevé de comptes (annexe 2)
Le journal provisoire de banque (annexe 3)

2 – L’évolution de la tâche

A l’aide…