Compensation interbancaire

Après la sortie de Madagascar de la zone franc, la Banque Centrale de Madagascar fut créée le 12 juin 1973 par l’ordonnance n° 73/025 définissant ses statuts. Elle a pris la succession de l’Institutd’Emission Malgache. Cette ordonnance a été remplacée par la loi n° 94-004 di 10 juin 1994, laquelle définit les statuts de la Banque Centrale de Madagascar et consacre son indépendance en matière depolitique monétaire.

Suivant l’article 6 de son statut, la Banque Centrale de Madagascar a pour mission générale de veiller à la stabilité interne et externe de la monnaie. A ce titre, elle élaboreet met en oeuvre la politique monétaire.

Elle assume les fonctions suivantes :
• elle exerce le privilège d’émission de billets de banque et de pièces de monnaie ayant cours légal sur leterritoire de Madagascar ;
• elle est la banque des banques ;
• elle est la banque de l’Etat ;
• elle gère la réserve nationale de change ;
• elle est garante du bon fonctionnement dusystème bancaire et financier ;
• elle veille au bon fonctionnement du système des paiements ;
• elle assure le Secrétariat Général de la Commission de Supervision Bancaire et Financière.La Banque Centrale de Madagascar possède :
• deux organes de décision : le Gouverneur assisté d’un Directeur Général et du Conseil d’Administration ;
• et un organe de surveillance : lesCenseurs.
La Banque Centrale de Madagascar est structurée comme suit :
• des Directions centrales chargées, chacune en ce qui la concerne, des opérations financières dans le territoire et avecl’étranger, de la conception et de l’exécution de la politique monétaire, de l’exécution du budget et de la gestion des ressources humaines, du traitement et de la fiabilisation des informations ;
•deux succursales et douze agences réparties dans toute l’île et dont la fonction principale est l’approvisionnement des régions en signes monétaires et la collecte des informations économiques et…

Les groupes de sociétés

Séance n°5

Les groupes de sociétés

1. Notions générales

a) Notion de groupe
Un groupe est un ensemble constitué de plusieurs sociétés, entités juridiques distinctes mais unies entre elles par des liens divers (juridiques, financiers) en vertu desquels l’une d’elles, appelée société mère, tient les autres sous sa dépendance, exerce un contrôle sur l’ensemble et fait prévaloir une unitéde décision.
Le groupe constitue alors une unité économique et sociale.
Cette définition est jurisprudentielle car le législateur n’a pas défini la notion de groupe.

b) La notion de contrôle
Une société est considérée comme en contrôlant une autre :
quand elle détient directement ou indirectement une fraction du capital lui conférant la majorité des droits de vote dans les assembléesgénérales de cette société ;
quand elle dispose seule de la majorité des droits de vote dans cette société en vertu d’un accord conclu avec d’autres sociétés ou actionnaires et qui n’est pas contraire à l’intérêt de la société ;
quand elle détermine en fait par les droits de vote dont elle dispose directement ou indirectement les décisions dans les assemblées générales ;
quand elle détient une fractiondes droits de vote supérieure à 40 % et qu’aucun associé ou actionnaire ne détient directement ou indirectement une fraction supérieure à la sienne ;
deux ou plusieurs personnes agissant de concert sont considérées comme en contrôlant conjointement une autre lorsqu’elles déterminent en fait, dans le cadre d’un accord en vue de mettre en œuvre une politique commune, les décisions prises dans lesassemblées générales de cette dernière ;
– quand elle est associée ou actionnaire de cette société et dispose du pouvoir de nommer ou de révoquer la majorité des membres des organes d’administration, de direction ou de surveillance de cette société.

II y a autocontrôle lorsque des actions ou des droits de vote d’une société sont contrôle. Les droits de vote attachés à ces actions ou à cesdroits de vote ne peuvent être exercés à l’assemblée générale de la société ; il n’en est pas tenu compte pour le calcul du quorum.

c) Personnalité morale
Le groupe n’a pas la personnalité morale, ce n’est pas un sujet de droit. Seules les sociétés constituant le groupe ont chacune la personnalité morale.

2. Moyens juridiques de constitution d’un groupe

Création de filiales par laconstitution de sociétés : est réputée filiale toute société dont plus de la moitié du capital appartient à une autre société.
Apport partiel d’actif d’une société qui, en échange, reçoit des titres de la société bénéficiaire.
Souscription à une augmentation de capital.
Prise de participation de gré à gré : est qualifié de participation le fait, pour une société, de détenir entre 10 % et 50 % du capitald’une autre société.
* Par offre publique d’achat (OPA) ou d’échange (OPE) pour les sociétés cotées.

3. Réglementation et jurisprudence concernant les groupes

a) Consolidation des comptes
Quelle que soit leur forme, les sociétés commerciales placées à la tête d’un groupe doivent, indépendamment de leurs comptes annuels, établir et publier des comptes consolidés (bilan, compte de résultatconsolidés, annexe) et le rapport de gestion du groupe, sous réserve qu’elles contrôlent de manière exclusive ou conjointe une ou plusieurs entreprises ou qu’elles exercent une influence notable sur celles-ci. Des exceptions existent.

b) Autocontrôle
Le droit de vote attaché aux actions d’autocontrôlées est supprimé au sein des sociétés par actions.

c) Participations réciproques
•Entresociétés par actions
Une société par actions A ne peut posséder d’actions d’une autre société B, si B détient une fraction du capital de A supérieure à 10 %. Celle qui détient la fraction la plus faible du capital de l’autre doit aliéner son investissement, à défaut d’accord entre les sociétés intéressées.
•Entre une société par actions et une autre société :
si une société par actions A…

Le blé en herbe

Histoire – Il y a 50 ans, jour pour jour: le dimanche 28 février 1960
Le cyclone Carol dévastait l’île Maurice
|
Le cinéma Pathé Palace à Curepipe ( Musée de la Photographie) |
A l’initiative des météorologues mauriciens, les services météorologiques de la région avaient décidé, qu’à partir de janvier 1960, un nom féminin serait attribué aux cyclones et dépressions tropicales qui seformeraient dans le sud- ouest de l’océan Indien. Mal leur en a pris…
L’histoire de tout pays est toujours semée de dates importantes, qui reviennent à la mémoire collective le temps d’une commémoration, d’un anniversaire ou encore pour marquer tout autre moment fort dans son cheminement vers son émancipation ou son indépendance. Le temps ayant fait son œuvre, moins du quart peut-être de lapopulation mauricienne actuelle se souviendra, en effet, de ce jour fatidique, le samedi 27 février 1960, quand, peu avant la tombée de la nuit, le cyclone CAROL amorçait sa dernière courbe avant d’entamer le lendemain, le 28, sa folle course meurtrière, emportant tout sur son passage, du nord au sud de l’île, semant peur et désolation dans des milliers et des milliers de foyers mauriciens, faisant unequarantaine de victimes.
Alors que Maurice se relevait à peine des dégâts déjà importants causés par le passage d’une autre cyclone, ALIX, moins violent – qui avait frôlé nos côtes 40 jours auparavant – CAROL allait, avec des rafales de vents records de près de 300 km/h par endroits, mettre le pays complètement à genoux, paralysant, des jours entiers, tous les services publics, et ce, dans unchaos quasi total.
Notre ami Jacques Pougnet,connu pour sa passion de la météorologie, a rassemblé, dans un dossier spécial fortement documenté, l’essentiel de cette nuit d’attente, suivie d’une journée de terreur, marquée par une surprenante accalmie – le temps du passage de l’œil du cyclone durant quatre heures sur le pays – les rafales reprenant de plus belle, dans l’autre sens, avec autantd’intensité dans l’après-midi, parachevant ainsi la marche destructrice de CAROL.
Pour ceux qui ont vécu ces moments de furie des éléments, ce dimanche 28 février 1960 – il y a exactement 50 ans, jour pour jour – restera sans doute LE JOUR LE PLUS LONG…
La première dépression qui se manifesta sur les cartes météorologiques en janvier 1960 fut baptisée Alix . Celle-ci, en fait la quatrièmedépression de la saison 1959-1960, prit naissance le 12 janvier au sud-est de Diego Garcia et après être passée à environ 30 kilomètres au nord-ouest de St Brandon incurva sa trajectoire vers le sud pour venir longer, à une trentaine de kilomètres également, la côte ouest de Maurice durant l’après- midi du 19 janvier. Alix mettait ainsi fin à une longue période de 15 ans durant laquelle Maurice avait ététotalement épargnée par de forts cyclones, les derniers en date étant les 3 cyclones de 1945.
Les rafales atteignirent 200 km/h et la pression barométrique descendit à 970 hectopascals. Les dégâts furent considérables car les Mauriciens avaient oublié durant cette période d’accalmie que notre île était exposée périodiquement aux vents cycloniques et avaient sans doute négligé de consolider leursmaisons. Alix fit six victimes. Environ 20 000 bâtiments et maisons furent totalement détruits ou sérieusement endommagés et 25 000 personnes prirent refuge dans les centres d’accueil. Certaines régions telles que Montagne Ory et Saint Pierre furent particulièrement touchées. Les arbres abattus par le cyclone bloquaient la plupart des routes. L’agriculture et les forêts subirent de graves dégâts.De nombreux bateaux de pêche, principalement sur la côte ouest, furent perdus et dans la rade 3 navires, dont le Sir Edgar, s’étaient mis a plein. Mais le pire était à venir…
Un mois plus tard, alors qu’une mission ministérielle était à Londres pour obtenir une aide financière du gouvernement britannique, une nouvelle dépression se formait au sud de Diego Garcia. Elle fut nommée Carol….

Le processus de la prise de decision

Thème : le processus de la prise de décision

Introduction

I : définitions.
II: les différents types de la décision.
III: le processus de décision.
III: théorie de la décision.
IIIII: les outils d’aide a la prise de décision.

Conclusion

Bibliographie

Introduction :

Des milliers de décisions sont prises chaque jour dans les entreprises. Chacune d’entre ellesse situe à des différents niveaux hiérarchiques — par exemple, un magasinier peut décider de commander de nouveaux rayonnages, un directeur général peut décider de procéder à l’absorption d’un concurrent en difficulté. De plus, les décisions concernent différents types d’activités : on peut ainsi distinguer les décisions commerciales, administratives, financières, etc.….
En fait, aucune décisionn’est identique à une autre : chaque décision à une incidence différente sur le fonctionnement, la rentabilité, la performance est parfois même la survie de l’entreprise
Dans une petite entreprise, le chef d’entreprise constitue à lui seul le centre de décision aussi bien pour le fonctionnement interne de l’entreprise que pour les relations extérieures.
Dans les grandes entreprises, aucontraire, il y a nécessairement un grand nombre de centres de décision car il est impossible de prendre seul la totalité des décisions. Déléguer les pouvoirs devient donc nécessaire. Lorsque la délégation prend une importance telle qu’elle s’inscrit dans structures même de l’entreprise, on parlera alors de décentralisation (la délégation est une « affaire » de personnes alors que la décentralisation estune « affaire » de structure).
Dans ce chapitre, il convient donc d’exposer dans un premier temps les différents types de décisions puis de s’interroger, dans un second temps sur la nature même du processus de décision. Nous évoquerons enfin les outils d’aide à la décision.

I -Définition :
? Le processus : on peut définir d’une façon simple, un processus comme une séquenced’activités organisées en vue de la production d’un résultat prédéfini, produit ou service.
? La décision : est le fait d’effectuer un choix lors de la confrontation à un problème afin de le résoudre.

Il existe au moins deux grandes approches du concept de décision :
? La première estime que la décision est un choix de type optimisateur. Dans ce cadre, la décision est un calcul d’optimisationqui ne prend pas en compte ni le décideur, ni le contexte. Cette approche s’illustre par le courant de la recherche opérationnelle.
? La seconde approche prend en compte la dimension cognitive des décideurs et notamment leurs limites de rationalité. Ici, on parle de processus de décision. Il s’agira toujours d’un choix entre solutions potentielles, mais ce choix se fondera sur un critère desatisfaction. (voir les travaux de H.A. Simon). Les neurosciences ont mis en lumière les confrontations entre la cognition et l’émotion dans le processus de décision, et le rôle des zones cérébrales correspondant à la souffrance et au plaisir. C’est ainsi que le processus de décision peut difficilement être étudié sous le seul angle de la rationalité.

? La rationalité limitée : est un concept utiliséen sociologie et en micro-économie. Il porte sur l’étude du comportement d’un individu (ici appelé acteur) face à un choix (l’achat d’un produit,…). Il suppose que l’acteur économique a un comportement rationnel, mais que sa rationalité est limitée en termes de capacité cognitive et d’information disponible. Dès lors, l’acteur va généralement s’arrêter au premier choix qu’il jugera satisfaisant.II- Les différents types de décisions :

A- classification des décisions selon leur degré de risque :
Du point de vue du degré de risque attaché à la prise de décision, on parle de décision « certaines », de décisions « aléatoire », et de décision incertaine.
1 — Les décisions « certaines » :
Ces décisions se caractérisent par un risque nul…

Officier armée de l’air

METIERS :

OFFICIER DE L’ARMÉE DE L’AIR : SON JOB
Sous cette appellation se cachent des dizaines de métiers?! Seul point commun?: un rôle d’encadrement. Mais selon le corps dans lequel il exerce,la mission d’un officier de l’armée de l’air peut prendre toutes sortes de formes?!
D’un côté, les navigants. Ce corps comprend principalement des pilotes (de chasse, de transport, d’hélicoptère) etdes navigateurs officiers système d’armes.
Ces derniers font équipe avec les pilotes à qui ils co­m­mu­niquent les données et les instructions nécessaires, cela grâce à l’utilisation de techniquesde pointe (ordinateurs de bord, radars, données fournies par satellites).
Les «non-navigants», eux, sont les plus nombreux?: pour un pilote en vol, on compte, en effet, 40 spécia-listes au sol?! Ils’agit des officiers mécaniciens, qui sont chargés d’encadrer les équipes qui contrôlent et réparent les avions et matériels au sol. On y trouve également les officiers des bases de l’air qui sontchargés du contrôle de la circulation aérienne, de la protection et de la défense de la base, des renseignements et des infrastructures.
C’est le corps le plus hétéroclite car il comprend aussi biendes fusiliers commandos que des contrôleurs aériens, des spécialistes du renseignement ou des gestionnaires.
Enfin, ce corps compte aussi les commissaires de l’air, officiers et administrateurs quiexercent des fonctions logistiques, juridiques et financières sur des bases aériennes et dans l’administration centrale. Au­tant de métiers pour lesquels les recrutements sont réguliers. En effet,chaque année, 200 postes environ sont à pourvoir.

OFFICIER DE L’ARMÉE DE L’AIR : LES FORMATIONS
Bacs conseillés
S, L, ES.
Deux écoles forment aux métiers d’officier de l’armée de l’air.

L’École del’air de Salon-de-Provence
Elle forme les officiers navigants, les officiers mécaniciens et les officiers des bases de l’air. Recrutement sur concours, après une prépa scien-tifique ou une classe…

Automotive industry 2009

Automotive industry – Wikipedia, the free encyclopedia

Page 1 of 11

Automotive industry
From Wikipedia, the free encyclopedia

The automotive industry designs, develops, manufactures, markets, and sells the world’s motor vehicles. The automotive industry is one of the most important economic sectors by revenue. The term automotive industry usually does not include industries dedicated toautomobiles after delivery to the customer, such as repair shops and motor fuel filling stations.

Contents
1 Worldwide Trends 2 History 3 Crisis in the automotive industry 4 World motor vehicle production 4.1 By Year 4.2 By Country 4.3 By Manufacturer 5 Company relationships 6 Top vehicle manufacturing groups (by volume) 6.1 Notes 7 Minor automotive manufacturers 8 See also 9 References 10External links

Worldwide Trends
In 2007, worldwide production reached a peak at a total of 73.3 million new motorvehicles produced worldwide.[1] In 2009, worldwide motorvehicle production dropped 13.5 percent to 61 million. Sales in the U.S. dropped 21.2 percent to 10.4 million units, sales in the European Union (supported by scrapping incentives in many markets) dropped 1.3 percent to 14.1million units. China became the world’s largest motorvehicles market, both by sales as by production. Sales in China rose 45 percent in 2009 to 13.6 million units.[2] In recent years, private Chinese manufacturers emerge. About 250 million vehicles are in use in the United States. Around the world, there were about 806 million cars and light trucks on the road in 2007; they burn over 260 billiongallons of gasoline and diesel fuel yearly.[3] In the opinion of some, urban transport systems based around the car have proved unsustainable, consuming excessive energy, affecting the health of populations, and delivering a declining level of service despite increasing investments. Many of these negative impacts fall disproportionately on those social groups who are also least likely to own and drivecars. [4][5] [6]The sustainable transport movement focuses on solutions to these problems.

History
The first practical automobile with a petrol engine was built by Karl Benz in 1885 in Mannheim, Germany. Benz was granted a patent for his automobile on 29 January 1886, and began the first production of automobiles in 1888, after Bertha Benz, his wife, had proved with the first longdistance tripin August 1888 – from Mannheim to Pforzheim and back – that the horseless coach was

http://en.wikipedia.org/wiki/Automotive_industry

04/10/2010

Automotive industry – Wikipedia, the free encyclopedia

Page 2 of 11

absolutely suitable for daily use. Since 2008 a Bertha Benz Memorial Route commemorates this event. Soon after, Gottlieb Daimler and Wilhelm Maybach in Stuttgart in 1889designed a vehicle from scratch to be an automobile, rather than a horse-drawn carriage fitted with an engine. They also are usually credited as inventors of the first motorcycle in 1886, but Italy’s Enrico Bernardi, of the University of Padua, in 1882, patented a 0.024 horsepower (17.9 W) 122 cc (7.4 cu in) one-cylinder petrol motor, fitting it into his son’s tricycle, making it at least acandidate for the first automobile, and first motorcycle;.[7]:p.26 Bernardi enlarged the tricycle in 1892 to carry two adults.[7]:p.26 Main article: Automotive industry by country

Crisis in the automotive industry
Main article: Automotive industry crisis of 2008–2009

World motor vehicle production
See also: List of countries by motor vehicle production

By Year Global Production ofMotorvehicles
(cars and commercial vehicles) Year Production Change 1997 52,987,000 1998 57,987,000 1999 56,258,892 2000 58,374,162 2001 56,304,925 2002 58,994,318 2003 60,663,225 2004 64,496,220 2005 66,482,439 2006 69,222,975 2007 73,266,061 2008 70,520,493 Source
[8]

-2.70% [8] 2.98% [9] 3.80% [10] -3.50% [11] 4.80% [12] 2.80% [13] 6.30% [14] 3.10% [15] 4.10% [16] 5.80% [17] -3.70% [18]

2009…

Analyse de la banlieue de pap

?
SOMMAIRE

1.- PRESENTATION DE LA ZONE D’IMPLANTATION DU PROJET
2.- PRESENTATION DES DONNEES PAR COMPOSANTES
2.1 Composante Physique de la Commune de Port-au-Prince
? Site
? Subdivision de la Commune
? Condition Sismique
? Condition Climatologique
? Le Sol et le Relief
? Ressource Naturelle
? Transport
? Electricité
? Communication
? Informations surl’environnement
2.2 Composante Culturelle de la Commune de Port-au-Prince
? Religion
? Culture et loisirs
? Sport
? Place
2.3 Composante Socio-économique de la Commune de Port-au-Prince
? La population
? Evolution de la Population
? Activité Economique
3.- ANALYSE DE LA SITUATION ACTUELLE
4.- PROJECTION SUR LES CINQ (5) PROCHAINES ANNEES
5.- SYNTHESE DES PRINCIPAUX BESOINS
6.-SITUATION FUTURE DESIREE
7.- FORMULATION DES OBJECTIFS
8.- CHOIX DU PROJET
9.- ETUDE DE PRE-FAISABILITE
10.- CHOIX DE LA MEILLEURE OPTION
11.- ELABORATION DE LA MATRICE PRELIMINAIRE #1

Source : INSTITUT HAITIEN DE STATISTIQUE ET D’INFORMATIQUE (IHSI)

1.- PRESENTATION DE LA ZONE D’IMPLANTATION DU PROJET
Chef-lieu du département de l’Ouest, la commune dePort-au-Prince est la capitale d’Haiti. Si-tuée entre les coordonnées géographiques suivantes : 18° 32? 21? de latitude Nord et 72° 20? 06? de longitude Ouest, la commune de Port-au-Prince s’étend sur une superficie de 3 604 ha, soit 36,04 km2. Limitée au nord, par le golfe de la Gonâve et la commune de Delmas ; au sud, par les communes de Pétion-Ville et de Carrefour ; à l’est, par les communes dePétion-Ville et de Delmas et à l’ouest, par la commune de Carrefour, elle représente la commune la plus dense du département.
Du point de vue Administratif, la commune de Port-au-Prince est subdivisée en trois (3) sections communales et trente et une (31) localités.

2.- PRESENTATION DES DONNEES PAR COMPOSANTES
Dans cette partie, nous allons présenter la commune de Port-au-Prince àtravers ses différentes composantes (composante physique, socio-économique et culturelle). A cet effet, afin d’apporter plus de précision, nous nous appuierons essentiellement sur les chiffres de l’Institut Haïtien de Statistique et d’Information (IHSI, 2009).
2.1 Composante Physique de la Commune de Port-au-Prince
? Site
La commune de Port-au-Prince qui occupe une superficie de36,04 km², se situe à l’extrémité occidentale de la plaine du Cul-de-sac au fond du Golfe de la Gonâve. Elle est accoudée sur les montagnes de la Chaîne de la Selle au sud où l’on retrouve entre autres la banlieue riche de Pétion -ville. Les habitants de la commune s’appellent « Port-au-Princiens ».
? Subdivision de la Commune
La Commune de Port-au-Prince est subdivisée en trois (3) grandessections communales :
Nom de la Zone Position Relief Dominant Climat Superficie (KM²)
Section de Turgeau intérieur morne normal 11.28
Section Morne l’Hôpital intérieur morne chaud11.27
Section Martissant côtière morne chaud 13.49
Total : 36.04 km2
La commune à proprement parler s’étale sur 15 collines :
• Saint-Martin
• Sans-Fil
• Bel Air
•Canapé-Vert
• Bourdon • Fort National
• Saint-Gérard
• Turgeau
• Pacot
• Morne-à-Tuff • Poste-Marchand
• Nazon
• Bois-Verna
• Bolosse
• Nelhio
On retrouve également aux abords de la ville des zones basses marécageuses où s’est développé le plus grand bidonville de l’agglomération : Cité Soleil.
Aussi, comme autres zones d’extension, nous pouvons citer :
Zone d’extension…

Marketing et business modèles

1.

1995-­?1998
:
Les
industries
de
la
connexion
1.1. Internet
au
niveau
de
la
distribution
«
L’ère
Internet
se
caractérise
essentiellement
par
le
fait
que
tout
est
à
nôtre
porté.
(…)
Il
était
impossible
d’imaginer
l’incroyable diversité
des
produits
proposés
par
les
distributeurs
en
ligne
:
des
millions
de
produits
dans
toutes
leurs
variantes
et
dans
toutes
leurs
combinaisons
possibles
».
Chris
Anderson,
La
longue
traîne
(2007).

1.2. Le
commerce
électronique
est
avant tout
un
nouveau
réseau
de
distribution

Les
prestataires
du
commerce
électronique
étendent
l’offre
existante
des
magasins
en
dur
(brick
and
mortar)
à
une
disponibilité
accrue
en
terme
d’offres
(le
linéaire
disponible
en
ligne
peut-­?être
considéré
comme
infini)
et
de
temps
(un
site
internet
ne
ferme
jamais
et
ne
part
pas
en
vacances).

1.3. Amazone.com
:
le
site
de
commerce
électronique
le
plus
populaire
lancé
avec
un
bien
culturel
ô
combien
traditionnel
:
le
livre
Le
président
fondateur
d’Amazone
souhaitait
adapter
son
offre
au
nouveau
contexte
socialo-­? technique
:
ouvrir
une
librairie
numérique
en
ligne
géante
plutôt
qu’en
installer
de
nouvelles
en
briques
dans
des
centres
commerciaux
de
périphérie ou
dans
des
bâtiments
rénovés
dans
les
centres
villes.

L’introduction
de
la
librairie
en
ligne
n’a
pas
réduit
le
nombre
de
livres
vendus,
bien
au
contraire.

Le
marché
du
livre
a
continué
à
croître
dans
trois
directions
:
• La
vente
par
correspondance
(internet
donnait
la
possibilité
à
des
lecteurs
éloignés
d’acheter
des
livres).
• La
vente
de
livre
audio
et
l’édition
électronique
(ces
nouveaux
supports
sont
liés
à
la
nouvelle
technologie
numérique).
• La
cible
des gros
lecteurs.

On
a
eu
une
augmentation
de
l’offre
qui
a
généré
une
augmentation
de
la
demande
de
la
part
des
lecteurs.

Amazone
n’atteindra
toutefois
son
premier
équilibre
d’exploitation
qu’en
2001,
soit
six
ans
après
sa
création.

1.4. E-­?bay
:
le
marché
de
l’occasion
est
monétisé
à
grande
échelle

«
Le
développement
d’Internet
a
créé
un
nouveau
marché
:
le
marché
de
l’occasion
en
ligne.
Les
particuliers
sont
à
la
fois
acheteurs
et vendeurs

le
site
Internet
n’étant
qu’un
intermédiaire
rendant
possible
cet
échange.
»
Mélanie
Roustan,
Acheter
d’occasion
sur
Internet
(2007).

Le
individus
firent
suffisamment
confiance
(par
le
biais
d’un
système
de
notation)
pour
acheter
un
bien…

La curee description epique et critique

Commentaire composé : La curée

Nous allons étudier un passage de La curée de Zola, il s’agit d’un extrait du Chapitre III à la page cent-soixante deux à partir de « Cependant la fortune »jusqu’à « embrassade énormes » ; Emile Zola, écrivain, journaliste et homme public français né à Paris le 2 avril 1840, écrit le deuxième roman de la série des Rougon Maccard, c’est une œuvre naturaliste quirelate l’histoire naturelle et sociale d’une famille sous le second empire. Nous verrons tout d’abord une description épique de la ville de Paris, puis nous continueront par la description critiquede cette ville.
Tout d’abord l’extrait étudié, nous montre que les habitants de la ville de Paris sont prés à tout pour gagner de l’argent, il y a de la férocité dans leur actes, ont peut voir dans letexte que l’auteur remplace la chasse par la férocité de la population « C’était l’heure où la curée ardente emplit un coin de foret de l’aboiement des chiens » (l.3) cette frase soutient l’idée dela violence ; la phrase : « du claquement des fouets » (l.4)montre le début d’une chasse à l’argent qui est satisfaite très rapidement et « Les appétits lâchés se contentaient enfin » (l.5) Zola a faitune métaphore ou la curée serait l’argent et ou tous les hommes d’affaire seraient des chiens en chasse d’argent.
Maintenant, nous allons voir comment l’auteur fait une métaphore de l’argent desnouveaux riches de Paris en le remplaçant par le feu « Elle brulait en plein Paris » (l.2) on parle alors de l’argent de Saccard qui ne fait que s’accroitre et qui prend de l’importance dans la villede Paris « feu de joie colossal » (l.2) ; « ardente » (l.3) ; « flamboiement des torches » (l.5). Le feu étant un élément ravageur, cette métaphore nous montre que les nouveaux riches comme Saccarddétruisent petit à petit Paris en s’enrichissant.
Nous avons vu que l’auteur fait une description épique de la ville en montrant avec quelle ardeur ces hommes arrivent à gagner de l’argent à…

Dissertation « toute vie véritable est rencontre »

« Toute vie véritable est rencontre »

On se demande souvent quel est le but de la vie humaine et ce qui nous fait avancer. La réponse à cette question pourrait-elle se trouver dans les rencontres ? Martin Burber disait « Toute vie véritable est rencontre ». Est-ce réellement le cas ? Quels sont les impacts des autres sur nos vies et pourrions-nous vivre sans eux ?

De tout temps,l’homme a appris à vivre en communauté, et qui dit communauté dit rencontre, que ce soit d’un membre de la famille, d’une autre tribu ou d’un inconnu. Depuis l’arrivée de l’être humain sur terre, beacuoup de choses ont changé. De la manière de vivre aux technologies, un homme du passé aurait du mal à s’y retrouver dans le monde actuel. Une chose cependant est restée intacte ; la rencontre entre lesindividus. Hier comme aujourd’hui, l’homme fait des rencontres et a besoin de l’autre. Jamais nous n’avons vu quelqu’un vivre constamment et entièrement seul.

En effet, toute vie humaine commence par la rencontre de deux êtres : l’enfant et sa mère. Or, comme le dit Jules Delavigne « Les débuts sont là pour donner du sens aux fins ». Avant de parler de « fins », il nous faut parler de « vie », carsans vie il n’y aurait pas de mort. Ces deux concepts sont fortement liés, ce qui se rapporte à l’un se rapporte généralement à l’autre. Dès lors si les rencontres ont un impact sur notre mort, elles en ont aussi un sur notre vie. Demandez à un homme sur son lit de mort quels souvenirs il gardera de la vie, jamais il ne vous parlera d’un moment qu’il a vécu seul. La raison en est toute simple ;l’être humain n’est pas fait pour la solitude.

Il n’existe aucune vie sans rencontre. Vivre c’est rencontrer et rencontrer c’est vivre. Selon le Petit Robert, vivre c’est respirer, grandir, se nourrir, se reproduire. Mais au sens plus large du terme, nous pouvons dire que vivre c’est parler, partager, rire, profiter. Tout ceci se fait rarement seul.

Combien de temps sauriez-vous tenir envivant absolument seul ? Je me donne quelques jours, plusieurs semaines tout au plus. Privé de tout contact humain, l’homme est d’abord installé par l’ennui. Quand bien même il réussirait à s’occuper seul, viendra vite le moment où le besoin des autres se fera implacablement sentir ; le besoin de parler, d’être écouté ou plus naturel encore le besoin alimentaire ou médical. En effet, l’homme n’a pasl’instinct d’un solitaire. Il a toujours eu besoin des autres pour se nourrir, se loger, survivre. Si l’homme était fait pour ne rentrer en contact avec aucun autre individu, il aurait fallu qu’il possède toutes les connaissances, et encore devraient-elles être innées afin qu’il n’y ait pas de rencontre entre l’ « élève » et le « professeur ».

Par rencontre, il ne faut pas seulement comprendreamitié ou amour. Croiser quelqu’un dans la rue, le regarder à peine, c’est déjà faire une rencontre. Toute notre vie nous sommes donc disposés à la rencontre. Certaines seront plus importantes, d’autres moins. Nous en oublierons alors que plusieurs nous suivront jusqu’à la tombe.

Bien sûr, chaque être rencontré n’aura pas un impact sur notre vie. L’inconnu de tout à l’heure nous laissera laplupart du temps complètement indifférent. Mais c’est peut-être toutes ces petits rencontres bénines qui nous aident à comprendre quand quelqu’un est important pour nous et à filtrer nos rencontres. Un tel ne nous fera pas le même effet qu’un aute. Mais, même si nous ne nous souvenons plus d’un, ils auront, parfois malgré eux ou même malgré nous, tous deux fait partie de notre vie. Des inconnus auxmembres de la famille, en passant par les camarades de classe ou les collègues de travail, la vie est une éternelle succession de rencontres.

Il est certain que si certaines rencontres nous font avancer, d’autres ont des conséquences beaucoup plus négatives sur nos vies. Déceptions, pleurs, chagrins, douleurs sont aussi causés par « les autres ». Il nous arrive même de penser que la vie…