Les gommes

Pourquoi Les Gommes ? Un jeune enquêteur Wallas, reçoit le devoir d’éclaircir une affaire assez obscure : la mort de Daniel Dupont, une personne sans histoire quihabite dans une maison sur la rue des Arpenteurs. Fréquemment, Wallas achète des gommes d’un modèle bien précis : « ni trop douce », « ni trop dure ». Il ne gardeaucun souvenir en ce qui concerne la gomme qu’il cherche, il se rappelle seulement la marque : un mot de trois syllabes dont la deuxième pourrait être « DI ». Il netrouvera jamais la gomme idéale. Pourtant le lecteur, à travers plusieurs indices, se rend compte que le mot cherché par Wallas est « Œdipe ». On apprend que Wallas estvenu dans cette ville avec sa mère, quand il était enfant, pour y rencontrer un parent, un homme—son père. Les empreintes de cette rencontre sont refoulées dansl’inconscient du personnage, et si on fait un lien avec le titre on pourrait dire qu’elles sont gommées jusqu’à ce que Wallas découvre que l’assassin qu’il investigue estlui-même. Le reste de l’intrigue est construite sur l’enquête du jeune détective, ressemblant au roman policier : Wallas se promene dans la ville, tourne en rond dans letemps et sa montre s’est arrêtée à sept heures et trente, heure présumée du meurtre. Il mesure la rue des Arpenteurs, enquête sur les Dupont, interroge des concierges-comme un vrai détective. Le narrateur introduit le lecteur dans le monde métaphysique en illustrant les dieux qui rient dans un coin de l’Olympe, au dessus de la tête deWallas. L’action ne dure pas plus de 24 heures. Le lecteur est mis dans la position d’un détective qui essaye de retrouver tous les indices pour trouver l’assassin.

Des moulins et du vent

Des moulins et du vent

Le monde politique et la société offrent un champ de réflexions iconologiques passionnantes. Il est, néanmoins, un autre secteur qui déploie une iconographie singulière etdont les éléments culturels, quoiqu’imbriqués dans le flux global des médias, correspondent à une histoire originale. Il s’agit de l’économie en général et des images qu’elle produit et diffuse.Plongée depuis plusieurs mois dans le secteur d’activités des énergies renouvelables – abrégées en EnR, il y a aussi un jargon sectoriel – une question m’a arrêtée : pourquoi la communication sur lesénergies renouvelables est principalement accompagnée par une image d’éolienne ?
Le 7 mai 2010 une recherche d’images avec les mots « énergie renouvelable » sur Google renvoie 103 000 résultats, l’étude des1 000 premières images montrent un pourcentage de 19,20 % d’images d’éoliennes loin devant les autres éléments : panneaux solaires, cartes du monde, schémas, ampoules, maisons, nature, etc. Larecherche associée proposée est « panneaux solaires ». La recherche avec les mots anglais « renewable energy » renvoie 6 130 000, avec un pourcentage de 31 % d’image d’éoliennes sur les 800 premièresphotos. Le 6 juin 2010 la recherche d’images avec les mots « énergie renouvelable » renvoie 122 000 résultats, dont 16,7 % d’images d’éoliennes sur les 1 000 premières. La recherche associée est« éolienne ».
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Sur Amazon, les couvertures des 400 premiers livres résultant de la recherche « énergie durable » renvoient 16 images d’éoliennes contre 7 images de panneaux solaires et pour le reste descompositions abstraites faisant intervenir la nature, des tours d’une centrale nucléaire, des barrages et quelques maisons individuelles.
La recherche de sites à partir de Google renvoie 925 000 résultats.La page Wikipédia dédiée à l’énergie renouvelable ( Wikipedia, « Energie renouvelable », http://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89nergie_renouvelable) affiche 5 photos : le soleil, des moulins à…

Comment être efficace dans la vie?

Comment être efficace dans la vie ?

Les éléments de réponse à cette question sont tirés, par Aulida Valery, de l’ouvrage de Stephen Covey, intitulé LES SEPT HABITUDES DES GENS EFFICACES…La vraie sagesse n’est pas de s’éloigner de la nature, mais de façonner son comportement selon ses lois et son modèle.

La santé des yeux semble réclamer des horizons. Tant que nous pouvonsvoir assez loin, notre regard ne se fatigue pas.

Notre vision du monde induit notre comportement.

Il faut sonder son coeur en profondeur car c’est de là que découlent toutes lesréponses de notre vie.

Nous supposons que le monde est ou doit être, comme nous le voyons. Notre attitude et notre comportement ne sont alors que des conséquences de ces suppositions : notre visiondu monde est à l’origine de notre façon de penser et d’agir.

Quand nous ouvrons la bouche pour décrire ce que nous regardons, c’est nous-mêmes que nous décrivons, nos perceptions, nosparadigmes.

Changement de paradigme : exemple de l’homme dans le métro dont les enfants sont très turbulents. Comment le père peut-il rester indifférent à l’attitude de ses enfants et la gêne causéeà tous les passagers ? Sa femme vient de mourir.

Les paradigmes vont de pair avec le caractère. Être, c’est voir au sens humain du terme ; il existe un lien très étroit entre ce que nousvoyons et ce que nous sommes.

Les paradigmes sont une force, car ils constituent la longue-vue à travers laquelle nous entrevoyons le monde.

Admettre son ignorance représente souvent lapremière étape de toute éducation. La façon dont nous voyons le problème est le problème.

« Nous ne pouvons résoudre les problèmes difficiles que nous rencontrons en demeurant au niveau deréflexion où nous nous trouvions lorsque nous les avons créés »

Les victoires intérieures précèdent les victoires publiques ; avant de faire des promesses, il faut savoir s’en faire à…

Le travail

LE TRAVAIL

Terme polycémique :
? Transformation de la matière (activité)
? Résultat de cette activité (point d’arrivée) + dénotation péjorative (= tourment, peine)
? Processusqui rend possible cette activité

Quand et pourquoi activité = travail?
Pourquoi travail ? jeu, loisir?
Rapport complexe de l’Homme au travail (nécessité, obligation, contrainte?)Génère pénibilité, souffrance, efforts
mais aussi liberté, satisfaction (intégration sociale, « récolter le fruits de son travail »)
Nb : contrainte ; force extérieure
obligation ; forceintérieure (« se sentir obligé de faire qq chose »)

I. A quelles conditions une activité est-elle un travail?

A/ Le travail, activité productrice et transformatrice
Travailler c’est d’abord agirTravail = action ? passivité, inertie or, jeu, loisir = action ? passivité, inertie
? Comment distinguer?

Aristote, Ethique à Nicomaque, Livre VI,Chap 4. Différentes manières d’agir :
poiésis (création, production) : activité qui sert à produire quelque chose, répond à une utilité
qu’on ne fait pas pour le plaisir de le faire mais envue/dans le but d’obtenir un certain résultat qui va être extérieur à celui qui fait l’action ? travail plutôt dans cette catégorie
praxis (action) : activité qui a en elle-même sa finalité, son but
lebut de la praxis est de faire le bien et le but de cette action n’est donc pas séparable de cette action (rien ne va se fabriquer, se créer). Ex : faire le bien est en soi une finalité.
? jeu, loisirplutôt dans cette catégorie

L’idée de production (=donner naissance, permettre que qq chose soit)
Production divine (création du monde)
Production humaine : création artistique & fabricationFabriquer = transformation pour faire un objet utile, augmenter, créer de la valeur
Equité : échange entre deux temps de travail équivalents (non respect = injustice)

2) La notion de…

Apologie de socrate

Criton
Fiche de lecture

Question

1) Résumez en vos propres mots les arguments que Criton utilise lorsqu’il essaie de convaincre Socrate de s’enfuir.

Si Socrate ne s’enfuit pas, sa causeraitun grand malheur pour Criton car il perdrait un bon ami et si il serait vu comme une personne qui n’a pas pu sauvé son ami de la mort. En autre, sa réputation d’ami baisserait.

2) Commentez cetapparent paradoxe : « Socrate croit qu’on ne doit pas écouter les conseils de la majorité; mais d’un autre côté, il est prêt à mourir en acceptant le jugement de la majorité. »

Socrate a beaucoupd’honneur. Il respecte sa parole. Puisqu’il aime vraiment la ville qu’il aime et il voudrait jamais commettre de l’injustice. Il dit qu’il aimerait mieux être victime d’injustice que de la commettre. Ilest prêt à mourir, car pour lui c’est le seul moyen d’être juste envers lui-même et la société. Être un citoyen de sa ville, il a le devoir de respecter ses lois et les juges qui l’ont condamné à mortest des représentant de ses lois. Alors si les juges pensent que c’est une bonne idée que Socrate se fait condamner à mort, alors c’était comme si c’était une décision prise par les lois.

3) Ledialogue avec les Lois (50a-54c)

a) Si un citoyen n’est pas d’accords avec les lois de la cité qu’il habite, quels sont les recours légitimes qu’il a? Est-ce que ses recours incluent l’utilisationde la violence ? Justifiez vos réponses.

Si une personne n’aime pas les lois d’une société, ils ont le choix de s’en aller ou prendre des moyens légaux pour essayer de faire changer les lois qu’ilsn’aiment pas. Il n’y a pas de violence. Un citoyen a un engagement envers la société. Il faut qu’il accepte ses lois, les obéir. Si une personne n’obéit pas à ses lois il faut qu’elle accepte lesconséquences pour ses actes.

b) Les Lois affirment que Socrate, entre tous les citoyens, est celui qui devrait le moins se plaindre du traitement qu’elles lui infligent. Résumez en vos propres…

Commentaire de l’article 49 de la constitution de 1958

« le premier ministre, après délibération du Conseil des ministres, engage devant l’Assemblée Nationale la responsabilité du Gouvernement sur son programme ou éventuellement sur une déclaration depolitique générale ».
Rationalisation du parlementarisme qui vise à garantir, à travers les procédures, la stabilité générale Article 49
Article 49 alinéa 1 : question de confiance : le problème del’investiture parlementaire. C’est qu’il n’en existe pas sous la V°R car elle conditionne la responsabilité du gouvernement
Qui est compétent? le Premier ministre après délibération du Conseil desministres = principe de collégialité du gouvernement + responsabilité collective
ATTENTION : délibération ne signifie pas accord
Qui peut s’opposer? Le PsR car il maitrise le Conseil des ministres,c’est lui qui fixe l’ordre du jour donc s’il refuse la question de confiance, on ne pourra pas mettre en cause la resp
ex : Jacques Chirac et De Villepin dans le cadre du CPE
Où et devant qui?L’A.N, elle seule peut renverser le Gt
Article 49 al 4 : politesse pour Sénat
Quoi? Le programme (1) ou une déclaration de politique générale (2)
(1) projet sur le long terme, idée d’une présentationavant la mise en œuvre
(2) plus large, en cours de fonction
Le C.constit en 1977 ne fait aucune différence, pour lui les deux notions sont identiques
Quand? En 1958 : obligatoire à l’entrée enfonction sur le programme « engage »
L’indicatif vaut l’impératif ? méthode littérale trouble (ils auraient pu mettre « peut », mais après on trouve l’adverbe « éventuellement » et il n’y a aucunindication quant à une durée…)
Mais la manière dont est écrit le texte peut laisser penser à une obligation.
ATTENTION : Pour Pompidou, ce n’est plus nécessaire car le Gt procède du PsR, « seule laconfiance » la confiance est présumée
Aujourd’hui le Gt peut y aller quand il veut
Quelle majorité? On suppose que c’est la majorité relative car aucune précision sur la majorité, il suffit que la…

L’importance de l’image de marque

Stratégie Marketing et Développement Commercial L’importance de l’image

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SOMMAIRE I DEFINITION DE L’IMAGE a) L’image de l’entreprise b) L’image de marque ; le besoin d’une identité forte II QU’EST CE QU’UNE MARQUE ? a) Ses responsabilités b) Son rôle économique c) La marque ; patrimoine de l’entreprise III RAJEUNIR SON IMAGE DE MARQUE a) Faire bouger son produit b) Redéfinir sonpositionnement c) Identifier ses limites IV QUELQUES IDEES POUR REDONNER DU CHARISME A SA MARQUE

Les sources : Marketing.com, Prodimarques, Le Journal de l’entreprise, IPSOS, Admirabledesign.com, Michel Ratier – Docteur en Marketing, Webmarketing.com

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I

DEFINITION DE L’IMAGE

L’image d’un produit, d’une marque ou d’une société correspond à la façon dont celle-ci est perçue par lesconsommateurs. Cette perception peut se faire sur des critères objectifs (image de produit haut de gamme à prix élevé) ou subjectifs (« produits de vieux »). L’image est la résultante des caractéristiques du produit ou de la marque considérée, mais elle est également largement influencée par les actions publicitaires. a) L’image de l’entreprise ; moteur de la compétitivité des entreprises. L’essence de laréputation de l’entreprise repose sur la qualité de la direction, la crédibilité de l’entreprise, son rôle social, son dynamisme et sa réactivité, ses politiques d’innovation et d’investissements à long terme. Une bonne réputation d’entreprise est indispensable et contribue à mieux faire vendre produits et services, à attirer les meilleurs salariés, à renforcer la crédibilité de l’entreprise entemps de crise et enfin à fidéliser ses salariés. La réputation de l’entreprise a donc un réel impact sur les résultats de l’entreprise. La marque représente la synthèse de toutes les compétences de l’entreprise : R&D, fabrication, communication, ventes, études… dans le but d’obtenir un produit sans cesse amélioré. La marque est avant tout une relation entre une entreprise, un produit, un service etun individu. C’est une relation très personnelle, intime, privée, d’autant plus forte et durable qu’elle est chargée émotionnellement. Les grandes marques sont charismatiques ! Elles entraînent leur clientèle et leur personnel.
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A l’heure actuelle, les marques « consolidées » représentent 93 % du marché. Malgré un prix élevé et des caractéristiques similaires sur le plan de la qualité, 13produits vendus sur 14 appartenant à la même famille bénéficient d’une identité forte. b) L’image de marque ; le besoin d’une identité forte Dans un monde où le consommateur dispose d’une multitude d’options, où les offres sont si nombreuses qu’il ne pourra jamais toutes les tester, l’image de marque permet de « sortir du lot ». L’entreprise offre, en effet, à ses clients potentiels une bonneraison d’acheter ce qu’ils connaissent. De plus, être compétent ne suffit pas : il faut également le faire savoir (savoir faire et faire savoir….) La construction d’une image de marque implique la réunion de deux éléments ; crédibilité et visibilité. Autrement dit, il faut mettre au point le produit et le faire connaître. Outre le fait d’attirer des prospects, la marque peut les inciter à effectuerl’achat. Une marque n’est pas un luxe mais une garantie que toutes les entreprises devraient offrir à leurs clients et prospects. La communication interne et externe joue un rôle primordial dans la construction d’une image de marque. Il convient donc de se faire connaître et reconnaître de toutes les manières possibles. L’entreprise devra également réfléchir à tous les moyens de rassurer ses clients :transparence, disponibilité, service après-vente, etc. Bien sûr, elle doit tenir toutes ses promesses.

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II

QU’EST CE QU’UNE MARQUE ?

Pour l’Organisation Mondiale de la Propriété Industrielle (OMPI), « la marque est un signe servant à distinguer les produits ou les services d’une entreprise de ceux d’autres entreprises » On distingue 4 fonctions de base de la marque vis-à-vis du…

Immigration

INTRODUCTION

Du temps des peuplements jusqu’au 16ème siècle, les africains vivaient tranquillement chez eux et se contentaient de ce qu’ils possédaient c’est-à-dire leur mode de vie, leur culture, la religion, l’enseignement, l’organisation de la société, l’organisation de la production agricole, l’économie traditionnelle basée sur le système de troc, la médecine traditionnelle, ilsn’avaient rien à envier aux autres peuples des autres continents dont ils ignoraient l’existence.
Ce continent jusque là paisible va basculer son destin dans une phase d’agitation dont il perdra le contrôle à partir du débarquement des explorateurs européens à la recherche de la rente, dans une stratégie d’exploration sous forme de curiosité géographique, scientifique voir même religieuse. Les découvertesseront très intéressantes à tout point de vue, du moment où, il y aura d’énormes profits à réaliser sur le dos des Africains. L’Afrique sera pillée, appauvrit, exploitée, des hommes seront déportés comme esclaves aux Amériques dans les champs de productions agricoles, et colonisée pendant plus de deux siècles, pour arriver aux indépendances vers les années 1960 après une longue galère de luttecontre les occupants Allemands, Français, Portugais, Espagnols et Belges.
Pendant que le monde se mobilise pour participer à la mondialisation considérée comme un ordre mondial où tout habitant pourrait accéder à une vie meilleure ; certaines population se voient excluent de cette mutation. Cette réalité se justifie par le manque des moyens pouvant leurs permettre de se comporter en véritableproducteur et consommateur tant dans le local qu’international.

DEFINITION
L’immigration clandestine ou immigration illégale désigne l’entrée sur le territoire nationale de personnes étrangères ne possédant pas les documents l’autorisant, ou la poursuite de leur séjour une fois la validité de ces documents expirée. Le mot immigration vient du latin immigrare qui signifie « pénétrer dans ».TYPOLOGIES DE MIGRATIONS
Autrefois, on distinguait trois grands types de migrations: les migrations de travail ou de mains d’œuvre, les migrations familiales et les migrations politiques. Aujourd’hui ces migrations se sont diversifiées en plusieurs catégories parmi lesquelles :
* Les migrations de travail : lorsqu’on vient de se faire employer dans un autre pays, de façon définitive ouponctuelle. Celle-ci comporte plusieurs variantes. Une des plus importantes est la migration étudiante. A titre d’exemple, les étudiants en provenance du continent africain représentent plus de la moitié des étudiants étrangers en France et on ne sait combien retournent dans leur pays d’origine à l’issue de leurs études.
* Les migrations familiales : c’est le cas des femmes et enfantsallant rejoindre leur mari ou leur père parti gagner sa vie à l’étranger, soit légalement grâce aux dispositions prises en matière de regroupement familial, soit clandestinement en prolongeant un visa temporaire.
Elle comporte des subdivisions comme :
La migration maritale : migration dans laquelle on va chercher un mari ou une épouse dans le pays d’origine qu’on ramène ensuite dans le paysd’accueil, pour y épouser un(e) résident(e) ou se lier avec durablement. La migration prénatale : c’est le cas des femmes qui accouchent dans un pays d’accueil où les services de santé sont meilleurs en espérant que l’enfant aura la nationalité du pays d’accueil, pourra y être scolarisé et que ses parents seront ultérieurement régularisés.
La migration paternelle : des femmes proposent à dessans-papiers d’acheter la paternité de leur progéniture pour obtenir leur régularisation.
* La migration politique : elle touche essentiellement les victimes des persécutions politiques ou religieuses soit du fait de l’Etat, soit du fait de groupes armés opérant dans le pays en marge de la loi, qui demandent le droit d’asile.
* La migration environnementale qui est due aux menaces…

Rapport comptablilité association

Introduction

Le milieu associatif est en forte mutation depuis une dizaine d’année. Il s’est fortement professionnaliser et son mode de gestion est devenu comparable aux entreprises du secteur privé. Cependant, le milieu associatif affiche une différence importance puisqu’il n’a pas pour but la réalisation de bénéfices mais est porteur d’un projet (social, humanitaire, culturel…). Toutefoispour perdurer les associations doivent équilibrer leur budget, voir pour une meilleure pérennité, faire des excédents..

C’est dans ce contexte que je réalise mon stage de 14 semaines dans l’association Objectif emploi Solidarité. Le stage est une importance primordial dans notre société pusqu’il permet d’acquérir de l’expérience surtout que le domaine associatif fonctionne énormément al’expérience pour recruter.

J’ai choisi de faire mon stage dans un domaine particulier qui est celui de l’insertion par l’activité économique (IAE).

« L’insertion par l’activité économique (IAE) a pour objet de permettre à des personnes sans emploi, rencontrant des difficultés sociales et professionnelles particulières, de bénéficier de contrats de travail en vue de faciliter leur insertionprofessionnelle. Elle met en œuvre des modalités spécifiques d’accueil et d’accompagnement ». Article L 5132-1 du code du travail.

Les structures de l’IAE produisent et vendent des biens et/ou des services. Elles peuvent être une association, une société commerciale (SARL, SA, etc.) ou être portées par une collectivité locale. Elles réalisent leur activité économique en embauchant, en lien avec PôleEmploi, des personnes jusque-là exclues du marché de l’emploi ; elles leur proposent un contrat de travail à durée déterminée, complété par un accompagnement social et professionnel adapté, et, le cas échéant, par une formation sur mesure. La finalité du passage au sein d’une SIAE est, grâce aux compétences acquises ou actualisées, de permettre aux personnes d’accéder à un emploi durable – directementou par le biais d’une formation qualifiante – chez un employeur « classique ».

Quelques chiffres clefs sur l’IAE en 2006 de l’ASP

ACI AI EI ETTI

Nombre de structure 3360 828 216 5272
Nombre de personnes embauchées 45872 165318 23472 253280
Equivalent temps plein annuel 26500 18409 5468 61377

• D’où 5300 SIAE pour 253000 personnes embaucher ce qui équivaut à 61000 équivalenttemps plein

• 2/3 des SIA sont des ACI

• 2/3 des salariés le sont en AI
1°) Présentation de l’association

1.1 L’association Intermédiaire (AI)

Présentation :

X est une association loi 1901 agrée par la Préfecture du Finistère au titre d’association Intermédiaire et adhérente à une fédération nationale, le COORACE.

Fondée il y a 27 ans, X a pour but de favoriser l’intégrationsocioprofessionnelle de personnes généralement à faible niveau de qualification ou rencontrant ponctuellement des difficultés d’accès à l’emploi.

Sa mission consiste à embaucher les demandeurs d’emploi qu’elle met à la disposition « d’utilisateurs » afin d’effectuer des missions de travail salarié, de façon occasionnelle ou régulière. Les salariés sont ainsi accompagnés dans le cadre de leurparcours au sein de la structure dans le but de renforcer leurs compétences professionnelles.

Les domaines d’activité

Les domaines d’activité X regroupent les services suivants en direction des collectivités, des entreprises et des particuliers :
• Entretien de locaux en collectivité et/ou bureaux ;
• Manutention et Aide au déménagement ;
• Nettoyage, repassage, entretien du linge ;
•Entretien des jardins ;
• Petits travaux ;
• Rénovation.

Personnel mis à disposition

Aujourd’hui, X emploi une centaine d’hommes et de femmes par mois, pour des missions régulières ou ponctuelles. Ces salariés sont des personnes expérimentées et/ou qualifiées, dans nos domaines d’intervention. Les clients ont un contrat de mises a disposition et l’association salarie les demandeurs…