Haiti

Bcp 2gens pensent kHaiti est ds 1e situation chaotik et ke seul 1gouvernment otoriter pe met 2lord ds 7situation.Ken penC-vs ???

Le 12 janvier 2010, un séisme dévastateur frappa Haïti. La destruction matérielle qu’a provoquée ce cataclysme est sans précédent et les pertes en ressources de toutes sortes sont pharamineuses. Il est donc obvie que la situation qui en résulte est « Chaotique ».Toutefois ce chaos, bien qu’amplifié depuis 2010, est chronique en Haïti, chaos dans le sens de désordre. En effet bien avant l’indépendance, espagnols et français ont fait respectivement leur tremblement de terre. Ces premiers ont même éliminé l’ethnie amérindienne qui vivait sur l’ile et le traumatisme laissé par la France persiste jusqu’à nos jours. Suite à la prouesse de 1804, la situation estdevenue chaotique à sa manière. S’en suivirent 200 ans de luttes pour la survie, de luttes contre ceux qui détruisent : des luttes qui détruisent.

2010 doit donc être appréhendé comme une amplification du chaos. C’est le point culminant de 200 ans d’instabilité politique, de laxisme, d’une forte hétérogénéité des classes sociales, d’une ineffectivité du droit étatique et d’une suite deconjonctures économiques défavorables à la majorité du peuple qui ne cesse de croupir dans la misère. Ce qui est positif est, qu’en 2011, une sorte d’instinct de survie collective se fait sentir. Cet instinct se matérialise par le choix démocratique du chef de l’état qui est en rupture avec le passé. C’est un point positif, puisque finalement ou du moins pendant la période électorale on a pu parler derépublique sticto-sensus res publica : chose publique. Ce choix traduit la confiance du peuple au modèle occidentale d’institutionnalisation du pouvoir. C’est un peuple qui croit en la démocratie représentative, c’est-à-dire qu’il est prêt à mandater des représentants pour gérer la chose publique.

Le choix du chef de l’exécutif étant effectué, le processus de constitution du gouvernement peut sefaire. Sachant qu’on est en régime parlementaire, c’est-à-dire que le gouvernement gouverne et que le chef de l’état n’est qu’un arbitre ; terme très représentatif qui met le président au dessus voir même en dehors de la gouvernance. C’est donc le gouvernement qui va définir et mettre en œuvre les politiques de la nation. C’est ce qui pousse certains à affirmer que considérant la situation seul ungouvernement « Autoritaire » peut mettre de l’ordre dans la situation que connait Haïti. La question est de savoir si « Autoritarisme et démocratie » sont compatibles. Un gouvernement autoritaire ne va-t-il pas dévier vers la dictature ? Mais aussi pardessus tout est ce que notre situation ne nécessite t’elle pas de l’énergie ?

Voyons donc pourquoi autoritarisme et démocratie sont incompatibles(A) et pourquoi l’usage de la force légitime est une nécessité. (B)

A- Une parfaite incompatibilité entre gouvernement autoritaire et démocratique.

La démocratie est née à Athènes, nous accordant aux politologues, aux historiens et aux juristes. Ce terme vient de deux termes grecs demos qui signifie peuple et cratos qui signifie pouvoir. La démocratie est donc le pouvoir par le peuple. Al’époque le peuple pouvait directement exercer ce droit. La démocratie était donc directe. Mais de nos jours avec la croissance démographique et l’expansion territoriale, le peuple ne peut plus directement participer a l’exercice de ces pouvoirs, il est donc obligé de mandater. On est en démocratie représentative. Ceux qui exercent le pouvoir sont donc devenus des représentants du peupletravaillant dans son intérêt et n’étant légitime que par le vote de celui-ci. Ceux qui gouvernent n’ont d’autre légitimité que parce qu’ils sont choisis et parce qu’ils continuent de travailler suivant la volonté du peuple. Mais souvent la volonté du peuple est confuse et c’est ce qui donne une certaine légitimité a la recherche des intérêts de la nation (non du peuple seul) et d’inscrire toute la…

Accompagnement pedagogique terminale es

collection Lycée série Accompagnement des programmes

Histoire et géographie
classes de première des séries générales

Ministère de la Jeunesse, de l’Éducation nationale et de la Recherche Direction de l’enseignement scolaire

applicable à la rentrée 2003

Centre national de documentation pédagogique

Ce document a été réalisé sous la direction de Gérard GRANIER et Yves PONCELET,inspecteurs d’académieinspecteurs pédagogiques régionaux d’histoire et géographie, par un groupe de travail de professeurs d’histoire et géographie composé de : Joseph DOUILLARD Marie-Laure GACHE Millie JOUBERT Christophe MOKRANI Marie-Claire RUIZ Catherine SEDEL-LEMONNIER lycée La Herdrie, Basse-Goulaine, académie de Nantes lycée Eugène-Delacroix, Maison-Alpfort, académie de Créteil lycéeHenri-Martin, Saint-Quentin, académie d’Amiens lycée André-Malraux, Allones, académie de Nantes lycée Georges-Clemenceau, Reims, académie de Reims lycée Jean-Baptiste-Poquelin, Saint-Germain-en-Laye, académie de Versailles

Coordination : Marie-Hélène TOUZALIN, direction de l’enseignement scolaire, bureau du contenu des enseignements. Il a bénéficié de la relecture du groupe d’histoire et géographie del’inspection générale de l’Éducation nationale et des inspecteurs d’académie-inspecteurs pédagogiques régionaux d’histoire et géographie.

Suivi éditorial : Christianne Berthet Secrétariat d’édition : Magali Flori Maquette de couverture : Catherine Villoutreix Mise en pages : Atelier Michel Ganne

© CNDP, juillet 2003 ISBN : 2-240-01280-3 ISSN : 1624-5393

Sommaire

Orientationsgénérales………………………………………………………………………………………………………………………. Orientations communes …………………………………………………………………………………………………………… Orientations pour l’histoire……………………………………………………………………………………………………….. Orientations pour la géographie…………………………………………………………………………………………………. Des démarches pédagogiques …………………………………………………………………………………………………………. L’histoire, la géographie et les TICE au lycée……………………………………………………………………………….. L’étude de cas en histoire …………………………………………………………………………………………………………. Enseigner des notions géographiques ……………………………………………………………………………………….. Associer l’histoire et la géographie……………………………………………………………………………………………. Commentaires des thèmes d’étude ………………………………………………………………………………………………….. Histoire –Séries ES et L ……………………………………………………………………………………………………………… Histoire –Série S ……………………………………………………………………………………………………………………… Géographie – Séries ES et L ………………………………………………………………………………………………………. Géographie – Série S……………………………………………………………………………………………………………….

5 5 8 10 13 13 16 17 20 21 21 30 35 43

L’accompagnement des programmes d’histoire et de géographie du cycle terminal des séries générales de lycée se présente sous deux formes différentes et complémentaires : – la présente publication sous forme papier, qui vise à faire ressortir les indications essentielles et stables nécessaires à la mise en…

Gpec

Droit du CE en pratique

Après avoir planté le décor de la GPEC dans notre dernier numéro, nous revenons maintenant sur le contenu de cet accord, pour aborder les différentes mesures qu’il peut prévoir.

Connaître les outils de la GPEC

L’

accord de GPEC mobilise tous les outils des ressources humaines pour anticiper la gestion des compétences et des emplois. À partir d’un référentiel demétiers, il organise la mobilité interne des salariés, qui est le cœur même de la GPEC, en utilisant tous les outils de la formation, ainsi que la mobilité externe et l’emploi des seniors. C’est sur ces mesures que nous revenons aujourd’hui en les illustrant avec des exemples d’accords de GPEC que nous avons sélectionnés.

CONNAÎTRE LES MÉTIERS Repérer les métiers du groupe ou de l’entrepriseLes accords prévoient toujours « un référentiel des métiers » pour donner une vision globale des différents métiers qui peuvent s’exercer dans l’entreprise, a?n d’identi?er les possibilités qui y sont offertes et distinguer ceux qui sont en péril de ceux qui sont en plein essor. Ils sont donc en général classés par catégorie : en augmentation ou développement, dif?ciles à recruter, ou à évolutionsigni?cative de compétences à savoir les métiers sensibles (Areva, Carrefour…). En plus de ces grandes catégories, l’accord peut établir quels sont les métiers existants en les regroupant par branche, et en distinguant au sein de chacune les ?lières métiers, avec détails de tous les postes possibles

dans chaque ?lière (Co?route) ou encore lister les fonctions repères (achat, marketing…) commechez Schneider Electric. Cette cartographie peut déjà exister ou l’accord peut tout simplement charger l’Observatoire des métiers de l’établir (Air France).

Assurer le suivi des métiers
Observatoires de métiers – Des « Observatoires des métiers » chargés d’étudier les évolutions des métiers et des compétences tant sur le plan quantitatif que qualitatif, d’identi?er, les mesures à prendre pourassurer l’adaptation des salariés aux différents métiers, ainsi que les passerelles entre les métiers, ou encore pour faire évoluer le référentiel possibles sont mis en place dans ces accords (Areva, Air France…). Commission GPEC – Parfois l’accord prévoit la création d’une commission GPEC, chargée d’émettre un avis sur les priorités et les axes de la GPEC pour l’année à venir ainsi que sur lesmétiers présentés comme sensibles. Ainsi la « Commission GPEC » créée par l’accord Saica Vezinel, composée d’un représentant de la direction, du DRH, des DS, d’un membre du CE, d’un DP et de 3 salariés ne faisant pas partie des IRP et désignés par la commission. Autre exemple : le Comité « Emploi et GPEC » chez Carrefour, composé du représentant du groupe, des DRH du Groupe, ainsi que de 4représentants titulaires et de 2 suppléants pour chaque syndicat représentatif au niveau du groupe. Rôle à jouer pour les IRP – Le CE peut aussi jouer un rôle dans le suivi des métiers sensibles. Par exemple dans l’accord Saica Vezinel, « dès lors que le métier est reconnu comme sensible, le CE doit être informé et la commission GPEC doit tout mettre en œuvre pour trouver des solutions éventuelles dereclassement » ou encore dans l’accord Carrefour : « La direction informe les membres du CE ou du CCE concerné de la quali?cation d’un métier en métier sensible. »

L’accord peut instaurer un entretien professionnel en plus de l’entretien annuel (Generali) ou plusieurs entretiens étalés dans le temps comme chez PSA : un entretien de progrès (qui a lieu tous les ans), un entretien en cours de carrièrequi doit avoir lieu au bout de 10 ans ou 10 ans avant la ?n de sa carrière, et en?n le bilan professionnel ouvert aux ouvriers et ETAM pour leur évolution sur proposition de l’employeur. Chez Co?route, il y a un entretien de carrière pour ceux qui n’ont pas beaucoup changé de poste (les cadres de moins de 35 ans qui ont le même emploi depuis 3 ans, les cadres et agents de maîtrise de plus de 35…

Le compte

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PRODUITS ET SERVICES BANCAIRE
Le système bancaire = 40 000 agences et 400 000 employés
Premier employeur privée en France (30 000 embauches en 2010)
Rémunération des comptes (DAV) a commencé en 5 octobre 2004.
Dépôt à vue (62 000 000 en France) : objectif pour la banque est de capter des flux (460 milliards sur DAV), qui sont prêté parla suite. Il est aussi élément idéalisateur.
RIB : code établissement (5 chiffres), code banque (5 chiffres), n°cpt (11 chiffres ou lettre), clé RIB (2 chiffres)
IBAN : numéro de compte international
BIC : Code banque
I. Le DAV (Dépôt à vue)

A. Différent type de compte de dépôt :
* Individuel : 1 seule personne est habilité à faire fonctionner le compte
* CompteJoint : Compte ou il y a plusieurs titulaires sur le compte
* solidarité active : chaque titulaire est habilité à faire fonctionner le compte seul
* solidarité passive : chaque débiteur est responsable de la dette entière.
* Indivision : un compte collective ou il n’y a pas de solidarité active (souvent lors de succession), il y a possibilité de designer un responsable(engage seul ca responsabilité en terme d’interdiction, les enfants reste redevable de la dette)
* Compte non résidents : connaitre en priorité les intérêts de la personne si l’un de ces critères est rempli le client est résident (lieu de résidence de son foyer, son activité professionnelle principale en France ou si la personne réside en France plus de 6 mois par an)

B. Le Droit auCompte :
S’il n’y a pas d’ouverture de compte la banque est dans l’obligation de fournir une lettre de refus.
La banque de France peut exiger une ouverture de compte (Banque et Agence) avec le Service et Base Bancaire
* loi MURCEF = Mesure d’Urgence a Caractère Economique est Financier = elle règlemente plus précisément la relation entre le client et la banque.
* Contractualisation parécrit : convention de compte.
* La transparence : guide tarifaire disponible et a jour. Le client doit être prévenu.
* Concurrence : pas de frais de clôture de compte depuis 2005.
* Médiation Bancaire : création d’un médiateur.
* Accès des personnes les plus démunie au service bancaire : obligation de carte de retrait gratuite.
* Crédit a la consommation : s’ily a une carte de crédit dans le prêt, la carte doit être signifiée dans le contrat.
PS : Un compte imposé peut être clôturé

II. Ouverture de DAV :

A. Vérification :
* Identité : Pièce d’identité (en cours de validité) ; Passeport ; Carte de séjour
* Nationalité
* Domicile : EDF/GDF ; TELEPHONE
* La capacité Bancaire : FCC
* Capacité civile

B. LesDémarches :
* Fiche signature
* Convention de compte
* Contrat d’ouverture de compte
* Tarifs
* PLV / Carte de visite
FCC : Fichier Centrale de Cheque
FICP : Fichier des Incidents Crédit au Particulier
TRACFIN : Traitement du Renseignement et Action contre les Circuits FINanciers
FICOBA : Fichier des Comptes Bancaire : Multi-détention de livret
FNCI : Fichier Nationale desChèques Irrégulier (enregistre les cheque , opposés)
C. Les Incapacités :
a) Le Mineur :
* Administration Pure et Simple : (CNI, livret de famille)
* Administration légale sous contrôle de justice : (lors de succession d’un parent), une évaluation d’actif du tribunal. (CNI, livret de famille , copie du jugement)
* La tutelle : les mineurs ou les 2 parents sont décédés oufrappé d’une incapacité. Les comptes sont ouverts par un tuteur.
* Etrangers : (si il y a double nationalité la loi française s’applique)

b) Majeur : tout majeur est considéré comme capable :
* Sauvegarde de justice : le majeur conserve l’exercice de ses droits mais les actes et engagement qu’il contracte peuvent être annulés si ses intérêts peuvent être lésé par l’acte…

Conséquences de l’intrapreneuriat

l’intraprenariat présente deux conséquences possibles – 4.1 les comportements entrepreneuriaux
s’appliquent dans différents contextes et situations, que l’entreprise existe ou qu’elle n’existe pas.4.2
l’entrepreneuriat persistant peut correspondre à des situations d’entreprises.
L’innovation, de produit ou de procédé, qu’elle soit radicale ou incrémentale, engendre une plus ou moins grandevieillesse des autres biens de même catégorie. De ce fait, non seulement le produit (ou procédé) novateur se détache par rapport aux autres biens déjà présents sur le marché, de par le progrès techniquequ’il comporte ; mais encore il agit directement envers les consommateurs, en leur créant des besoins nouveaux, ce qui favorise une augmentation de la demande.
En bref, l’arrivée d’une innovation(produit ou procédé) sur le marché se répercute à la fois :
– au niveau des biens préexistants, en les dotant d’obsolescence. Il faudra alors que l’entreprise offrant un bien, préexistant l’innovationet donc devenu obsolète à cause de son arrivée, imite l’entreprise novatrice, et dote le bien qu’elle offre de caractéristiques similaires ou identiques à celui apparu suite à une innovation ;
– entermes de concurrence, puisque l’entreprise novatrice acquiert, grâce à l’arrivée d’une innovation, une compétitivité hors-prix importante et est, ipso facto, en situation de monopole temporaire ;
-en termes de prix de vente. En effet, l’entreprise qui innove met son bien nouveau en circulation sur le marché, mais à un prix qu’elle décide elle-même de fixer : on dit alors que l’entreprise estprice maker, du fait de sa compétitivité hors-prix, et cherche ainsi à obtenir la rente de monopole la plus conséquente possible ;
– et, enfin, en termes de demande, car l’innovation qui apparaît créeavec elle des besoins nouveaux pour les ménages.
Il existe différents types d’innovation. Certains conduisent à produire mieux (gains de productivité : on produit plus avec moins de travailleurs ou…

Toyotisme

Les principes du toyotisme :

Le fordisme n’était plus adapté aux nouvelles exigences du marché car ses objectifs étaient essentiellement le gain de productivité. Ces changements dans lesmodes de consommations ont sollicités les entreprises à rechercher de nouvelle façon de motiver leurs salariés, de flexibiliser leurs chaine de production et de recherché la qualité dans leurs produit.Le toyotisme est une organisation de travail qui a été développé par les entreprises japonaise, et qui se veut être une amélioration du taylorisme et du fordisme. Le toyotisme permet de répondreà une double problématique poser par le marché qui est de gagner en productivité en allant de plus en plus vite tout en recherchant une qualité totale de la production. Cette qualité total est miseen œuvre à travers le principe des « 5 zéros » pour zéro défaut, zéro panne, zéro délai, zéro stocks et zéro papier.
Le zéro défaut signifie que le processus de production doit limiter au maximumles coulages et les rebus en effectuant un contrôle du processus sur l’ensemble de la chaine de production. Ensuite nous avons le zéro panne qui veut que à travers la mise en place d’un système demaintenance préventif il n y est pas d’arrêt de la chaine ce qui engendrerai du gaspillage et donc nuirai à la productivité. Le zéro délai est le fait de réduire au minimum le délai entre la prise d’unecommande et sa satisfaction pour cela il faut mettre en place un système de production facilement reprogrammable et adaptable. A travers le zéro papier le toyotisme veut supprimer les processusadministratif afin d’avoir une organisation plus souple et gagner en rapidité de prise de décision. Enfin, le zéro stock veut gagner en productivité en supprimant les stocks de produits finis ou de produitsintermédiaires qui coûtent chers à l’entreprise. Ce zéro stock est possible grâce au principe de « juste-à-temps ».
Le « juste-à-temps » vise à améliorer la productivité de l’entreprise en…

Droit

[pic]

INSTITUTIONS INTERNATIONALES

PLAN

INTRODUCTION

§1 Institutions internationales et relations internationales
§2 Institutions internationales et société internationale
§3 Institutions internationales et droit international

CHAPITRE PRELIMINAIRE :L’EVOLUTION DE LA SOCIETE INTERNATIONALE

SECTION 1 L’évolution historique de la société internationale
§1 Naissance et développement de la société inter- étatique
§2 La SDN ou l’institutionnalisation des relations internationales
§3 La société internationale contemporaine
A) Les relations entre les 2 blocs
B) Les « 3 glorieuses » ou l’effondrement du bloc de l’est
C) La sociétéinternationale après l’effondrement du bloc de l’est

SECTION 2 L’évolution des buts poursuivis par la société internationale
§1 La sécurité et le maintien de la paix
§2 La prospérité et le développement économique et social
§3 La protection des droits de l’homme
§4 La promotion du développement durable

TITRE 1 LES ACTEURS DE LA SOCIETE INTERNATIONALE

CHAPITRE 1 : L’ETAT, ACTEURESSENTIEL DE LA SOCIETE INTERNATIONALE

SECTION 1 Les éléments constitutifs de l’état
§1 Le territoire
A) Le territoire terrestre
B) Le territoire aérien
C) Le territoire maritime
§2 La population
A) Définition et composition de la population
B) Droits et obligations de la population
1. Le statut juridique des nationaux
2. Le statutjuridique des étrangers
C) La non coïncidence entre Etat et Nation
§3 Le pouvoir politique

SECTION 2 Les caractères juridiques de l’état
§1 L’état est une personne morale
§2 L’état est souverain
A) Le contenu de la souveraineté
B) Les implications de la souveraineté dans l’ordre international et ses limites
1. Le principe d’égalité des états
a) Leprincipe
b) Les exceptions
2. Le principe de non ingérence
a) Le principe
b) Les exceptions
C) L’évolution contemporaine de la souveraineté

SECTION 3 Les modalités d’organisation de l’état
§1 L’état unitaire
§2 Les groupements d’états
A) La confédération
B) L’état fédéral

CHAPITRE II LES ORGANISATIONSINTERNATIONALES

SECTION 1 Les organisations à vocation universelle
Sous Section I : L’Organisation des Nations Unis
§1 Les caractères généraux de l’ONU
A) Les principes gouvernant l’ONU
1. La vocation universelle
2. Le caractère inter étatique
3. L’aspect volontariste
B) Les modalités de mise en oeuvre de ces principes
1. L’acquisitionde la qualité de membres
2. Le retrait de la qualité de membre
§2 La structure interne
A) Les organes principaux à compétence générale de l’ONU
1. L’assemblée générale
2. Le conseil de sécurité
3. Le secrétaire général
4. La cour internationale de justice
5. Le conseil économique et social
6. Le conseil detutelle
B) « Le système onusien »
1. Les organes subsidiaires
2. Les institutions spécialisées
§3 Le fonctionnement de l’ONU
A)Les buts de l’ONU
B) Les moyens de l’ONU
1. Les moyens financiers
2. Les moyens au service du maintien de la paix
a) les mesures coercitives non militairesb) les actions militaires
c) les opérations de maintien de la paix : les « casques bleus »
C)Les limites des moyens : L’ONU, une institution en crise ?
1 . la crise financière
2. l’inertie de l’ONU dans le maintien de la paix

Sous section II : L’Organisation mondiale du Commerce (OMC)
§1 Historique de l’OMC
§2 Les principaux…

Les transports aérien en france / economie des réseaux

LES TRANSPORTS AERIENS EN FRANCE

M1 Economie Internationale et Globalisation – 2010/2011
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Sommaire2

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Introduction 3

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I. Structure de l’industrie 4

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II. Organisation de l’ancien paradigme10

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III. Un système dépassé 14

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IV. Organisation du nouveau paradigme et efficacité 16

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Conclusion 19

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Bibliographie 20

INTRODUCTION

« Les économies de réseaux présententplusieurs caractéristiques technico-économiques qui les différencient des autres activités économiques ». En effet il y existe une très forte dépendance entre l’offre et la demande. Cette particularité fait qu’elles échappent aux règles habituelles de la concurrence et de ce fait l’Etat doit intervenir afin de régulariser leur action sur le marché. Cette intervention s’explique également par le faitque ces industries utilisent l’espace public, comme c’est le cas pour les transports aériens qui usent de l’espace aérien.
Le transport aérien est le dernier mode de transport apparu au cours du XXe siècle, d’abord réservé à une élite, il s’est rapidement démocratisé, monopolisant les liaisons transcontinentales et éliminant les derniers paquebots transatlantiques. Dépendant à l’origine de laMarine, il en a conservé le vocabulaire (celui de la navigation aérienne). Il est ensuite devenu véritablement un transport de masse avec l’apparition des avions gros porteurs et les compagnies aériennes à bas prix (low coast).
En France, cette industrie est un élément clé de l’économie nationale. En effet l’ensemble des activités économiques exercées par les entreprises de transport aériendomiciliées en France représente près de dix-sept milliards d’euros, soit environ 1% du PIB. Dans une économie de plus en plus globalisée, le réseau des transports constitue un atout indispensable de l’économie nationale. Le transport aérien est un secteur dynamique mais sensible. C’est pourquoi nous avons pu observer un changement dans l’organisation de ce réseau avec un passage de l’ancien paradigme(une seule entreprise nationale AIR FRANCE) à un nouveau paradigme (une multitude de compagnies aérienne en France) et ceci afin de s’adapter à un univers économique et géopolitique de plus en plus instable.
A travers ce rapport nous allons donc étudier cette transformation en présentant la structure de cette industrie de réseau dans un premier temps, comment elle était organisée dans l’ancienparadigme dans une deuxième partie puis les raisons qui ont entraîné ce changement et enfin l’organisation du nouveau paradigme ainsi que l’efficacité de ce dernier.

I. Définition et caractéristiques des industries de réseau

Comme nous avons plus le définir dans l’introduction, le réseauest un mode de transaction spécifique et complexe toujours composé de trois strates. Nous allons analyser dans cette partie la structure des transports aériens à travers ces trois strates ainsi que ses propriétés technico-économiques.

2.1 Structure de l’industrie

1.1.1 Les Infrastructures
« Les infrastructures sont l’ensemble des installations fixes qu’il est nécessaire…

Analyse dialogue entre oedipe et tirésias

Analyse du dialogue entre Œdipe et Tirésias dans Œdipe Roi de Sophocle

En utilisant les trois axes différents que sont l’organisation/la construction du texte, les lois conversationnelles et lesfigures de style, nous allons analyser le dialogue tendu entre Œdipe et Tirésias au moment de leur première rencontre après la mort du roi Laïos.

Pour le premier axe nous pouvons observer que letexte est découpé en un dialogue plutôt équilibré par le nombre et la longueur de répliques identiques pour les deux personnages. La première tirade d’Œdipe lui donne de l’importance, puisque c’est luiqui parle en premier. A la suite de cette tirade, la conversation se découpe en stichomythie ce qui fait augmenter la tension et accélère la cadence de l’histoire. Il faut attendre le milieu de laconversation lorsque le coryphée intervient pour que Tirésias rende la longueur de ses paroles égales à celles d’Oedipe. L’équilibre des paroles se fait avec la force avec laquelle ils parlent, Œdipe sedéfend mieux au début tandis que Tirésias se préserve pour la fin… Celui-ci domine ensuite Œdipe puisqu’il récite les deux dernières répliques.

Dans le deuxième axe, le dialogue entre Œdipe etTirésias ne respecte pas les maximes de modalité et de quantité ce qui provoque la colère d’Œdipe. C’est Œdipe qui commence à poser des questions, à accuser son interlocuteur ce qui fait débuter laconversation. Le rapport de force entre les deux personnages est clair ; Œdipe domine. Il ordonne à Tirésias de l’aider et c’est là que la modalité et la qualité des maximes ne sont pas respectées. Tirésiasparle, Œdipe ne le comprend pas mais continue à dialoguer, les malentendus commencent… L’ordre et la supplication ne suffisent pas pour que Tirésias réponde donc Œdipe emploi la menace puis Tirésiasn’hésite pas à utiliser lui aussi l’insulte. Plus la colère d’Œdipe augmente (11 p.26), plus son pouvoir sur Tirésias diminue. (Les lois conversationnelles ne sont pas respectées) Comme Œdipe accuse…

Liste fables second recueil

Livre 7
1. Les Animaux malades de la Peste
2. Le mal marié
3. Le Rat qui s’est retiré du monde
4. Le Héron
5. La Fille
6. Les Souhaits
7. La Cour du Lion
8. Les Vautours et les Pigeons9. Le Coche et la Mouche
10. La Laitière et le pot au lait
11. Le Curé et le Mort
12. L’Homme qui court après la Fortune et l’Homme qui l’attend dans son lit
13. Les deux Coqs
14.L’Ingratitude et l’Injustice des Hommes envers la Fortune
15. Les Devineresses
16. Le Chat la Belette et le petit lapin
17. La tête et la queue du Serpent
18. Un animal dans la lune

Livre 8
1.La Mort et le Mourant
2. Le Savetier et le Financier
3. Le Lion le Loup et le Renard
4. Le Pouvoir des Fables
5. L’Homme et la Puce
6. Les Femmes et le secret
7. Le Chien qui porte à soncou le dîné de son Maître
8. Le Rieur et les Poissons
9. Le Rat et l’Huître
10. L’Ours et l’Amateur des jardins
11. Les deux Amis
12. Le Cochon la Chèvre et le Mouton
13. Tircis et Amarante14. Les obsèques de la Lionne
15. Le Rat et l’Eléphant
16. L’Horoscope
17. L’Ane et le Chien
18. Le Bassa et le Marchand
19. L’Avantage de la Science
20. Jupiter et les Tonnerres
21.Le Faucon et le Chapon
22. Le Chat et le Rat
23. Le Torrent et la Rivière
24. L’Education
25. Les deux Chiens et l’Ane mort
26. Démocrite et les Abdéritains
27. Le Loup et le ChasseurLivre 9
1. Le Dépositaire infidèle
2. Les deux Pigeons
3. Le Singe et le Léopard
4. Le Gland et la Citrouille
5. L’Ecolier le Pédant et le Maître d’un jardin
6. Le Statuaire et la statue deJupiter
7. La Souris métamorphosée en fille
8. Le Fou qui vend la sagesse
9. L’Huître et les Plaideurs
10. Le Loup et le Chien maigre
11. Rien de trop
12. Le cierge
13. Jupiter et lePassager
14. Le Chat et le Renard
15. Le Mari la Femme et le Voleur
16. Le Trésor et les deux Hommes
17. Le Singe et le Chat
18. Le Milan et le Rossignol
19. Le Berger et son troupeau…