Management culturel

Le management chrétien selon Ernest-Antoine Seillière
Dans l’obscurité bleutée de la salle, Ernest-Antoine Seillière. Sur l’estrade, dans la lumière et au micro, le frère Samuel Rouvillois. Nousassistons à un forum du Medef sur l’emploi des jeunes. Le grand patron écoute le moine. Frère de saint Jean depuis vingt-cinq ans, Samuel Rouvillois parcourt congrès et séminaires d’entreprise pourtenter d’encourager le dialogue dans le monde du travail. Aujourd’hui, il nous explique ce qu’est le management chrétien.
« Le monde religieux n’est pas étranger au monde de l’entreprise. Le monastère estun lieu de rationalisation, d’organisation et de gestion exemplaire. On le sait, ceux qui ont inventé l’entreprise sont les cisterciens. Pourtant j’ai été frappé de voir mes frères, des prêtres, desévêques, avoir une vision de l’entreprise parfois très caricaturale, bénissant le libéralisme économique comme s’il était évangélique, ou condamnant le libéralisme économique comme s’il étaitdiabolique. C’est pourquoi la question du management chrétien est importante. Je pense qu’il y a certains éléments du management qui peuvent être chrétiens. J’en vois un essentiel, que souligne la doctrine del’Eglise, c’est ce qu’elle appelle « l’option préférentielle pour les pauvres ». La dimension chrétienne du management, c’est prendre le risque de la fragilité des personnes et de la confiance qu’onleur fait. La vie de patron peut paraître contradictoire avec une vie de chrétien. Evidemment, si je dis que le chrétien, il est là, à vivre d’amour, d’eau fraîche, de la parole de Dieu et embrassanttout le monde en disant que Jésus les aime, c’est très gentil ! Mais le chrétien c’est aussi celui qui se bat avec le monde dans lequel on est. La vie fraternelle, c’est comme la vie d’entreprise, c’estla rencontre avec l’autre. C’est être capable de quitter les images toutes faites et les postures d’autorité. Etre capable, même si on respecte un certain ordre, d’avoir une rencontre plus…

Jérôme bruner

1 IUFM du Limousin Philippe LESTAGE 2008-2009

ce document n’est pas le cours mais seulement un support du cours

Jérôme BRUNER

Psychologue américain né en 1915 à New York, Jérôme Seymour BRUNER est professeur de psychologie et directeur de recherche à la New York University, après avoir débuté sa longue carrière à Harvard (Cambridge, Etat de Massachusetts). C’est là qu’il fonda en 1960 leCenter for Cognitives Studies, premier centre de recherche au monde qui affiche le terme « cognitif ». Ses travaux ont porté sur de nombreux domaines dont : la perception, la catégorisation, le récit, le développement cognitif, le langage chez l’enfant, l’éducation. Ce sont ces trois derniers domaines qui retiendront principalement notre attention. La lecture de BRUNER est difficile, malgré laclarté et la vigueur de son style, pour des raisons de fond. BRUNER parcourt en effet, à propos de chaque objet d’étude, les lignées de recherche où cet objet est saisi à partir d’autres disciplines. Ses investigations psychologiques se situent à la croisée de tous ces cheminements, et la dislocation initiale de ses approches est consécutivement une nécessité de méthode (1).

I. Premièresrecherches. La perception
Les premières recherches de BRUNER se situent dans le cadre du fonctionnalisme probabiliste, courant d’idées qui rassemble, vers 1950 plusieurs chercheurs dont la préoccupation commune est d’introduire une nouvelle approche de la perception (« new-look perceptif »). Convaincus que la perception n’est jamais entièrement déterminée par le contenu du message sensoriel, ilsdémontrèrent, à l’aide d’expériences ingénieuses, l’influence de diverses variables (expériences antérieures, besoins organiques et sociaux, émotions, défenses, mobiles, valeurs, etc.). BRUNER lui-même propose alors une véritable théorie de la perception, qu’on peut présenter comme suit (2). Au moment où des stimulations atteignent les récepteurs sensoriels, un sujet est toujours dans un certain état depréparation, qui découle à la fois de toutes ses expériences antérieures et des événements qui viennent de se produire. Cet état « central directeur » va orienter la sélection et le traitement des informations véhiculées par les stimulations.

1) Cf. présentation de BRUNER in J. BRUNER. « Le développement de l’enfant : savoir faire, savoir dire ». PUF. 1998. p. 15-16. 2) Cf. H. BLOCH, R. CHEMANA, A. GALLO,P. LECONTE. J-F. LE NY, J. POSTEL, S. MOSCOVICI, M. REUCHLIN, E VURPILLOT. « Grand dictionnaire de la psychologie ». Larousse. 1991. p. 106.

2 Pour BRUNER, la perception est catégorielle, inférentielle et prédictive. Toute expérience perceptive est une identification et il n’est pas de perception totalement inclassable. La perception n’est pas neutre, mais dépend de la valeur que l’on attribue àun objet. Elle est une sorte d’expérimentation : le sujet forge une hypothèse sur la nature de l’objet observé, hypothèse qui sera confirmée ou non par les informations qu’il reçoit dans les stimulations qui se présentent à lui. Ainsi, le sujet percevant confirme ou modifie une hypothèse préalable (attente perceptive) et infère la catégorie à laquelle appartient l’objet présenté. Le classementdans une catégorie permet d’inférer les différentes propriétés de l’objet, y compris celles sur lesquelles le message sensoriel ne transmet aucune information, par exemple les propriétés tactiles d’un objet vu mais non touché. Au total, le sujet est un observateur actif qui explore le monde et lui attribue du sens en fonction de ses attentes et de ses cadres de références ou « schèmes » perceptifs. En1956, BRUNER et ses collaborateurs publient une étude sur la catégorisation, et sur les stratégies employées dans un apprentissage de concept. La stratégie de base consiste à faire des hypothèses sur le concept à découvrir, hypothèses que les sujets conservent ou rejettent en fonction des informations fournies par une série d’objets (1). La catégorisation désigne la manière par laquelle nous…

Marketing porsche

Porsche: le dossier marketing

Introduction

Ce dossier est dédié au constructeur automobile qui vit le jour en 1948 dans le village de Gmund en Autriche, au constructeur qui gagna toutes sortes de compétitions dont 16 fois les 24 heures du Mans, au constructeur qui a fait naître un mythe parmi sa gamme de voiture : Ferdinand PORSCHE.

Qui aujourd’hui ne connaît pas Porsche cette marque derenommée Internationale qui depuis 1948 avec la création de la première automobile Porsche, la 356/01 n’a cessé de se perfectionner pour atteindre toujours de nouveaux clients. En passant de la mythique 550 Spyder à la fameuse 911, Porsche est réputée pour sa fiabilité et pour la qualité de son travail.

Avant la création de la marque Porsche, Volkswagen et Ferdinand Porsche étaient enpartenariat pour créer l’une des voitures les plus connues au monde : la Coccinelle. Au vu de la réussite de ce projet, ce partenariat a perduré et permet encore aujourd’hui la création d’automobiles de luxe. C’est d’ailleurs le cas de la Porsche Cayenne créée en 2000 dont ce dossier traite. Notons que depuis le mois d’octobre 2005, Porsche est le principal actionnaire du premier groupe automobileeuropéen, Volkswagen, avec une part de 18,53 %.

Porsche est aussi le constructeur automobile le plus rentable du monde, en effet la marque a enregistré en 2004/2005 un nouveau bénéfice net record sur son exercice fiscal, notamment grâce aux nouveaux modèles de ces années qu’étaient la 911 et la Boxster.

La marque de Stuttgart, Porsche s’est toujours souciée de répondre aux besoins des clients. Unnouveau marché est apparu, celui des Sport Utility Vehicule de luxe ; marché créé par les marques Mercedes avec le 4×4 de luxe ML et par BMW avec le X5. Porsche a donc créé en partenariat avec Volkswagen son SUV de luxe : le Cayenne. Par la suite Volkswagen créera son propre 4×4 : le Touareg et rentrera donc en concurrence avec Porsche, tout comme Land Rover, Chevrolet, BMW, Mercedes, Lexus,Audi, Volvo et Jeep. Il existe donc un véritable marché que nous étudierons dans ce dossier.

Introduction 3

Monographie de l’entreprise 5
Historique de l’entreprise : 5
Organigramme : 11
Les chiffres de l’entreprise : 12
Le produit: le Cayenne 14

Marketing stratégique 15
Le marché: 16
Analyse des forces et faiblesses du modèle PORSCHE CAYENNE : 17
Segmentation: 25Ciblage: 25
Positionnement: 26
Les 4P: 27
Stratégie: 29

Marketing opérationnel 30

Conclusion 30

Monographie de l’entreprise

1 Historique de l’entreprise :

Porsche du nom de son créateur Ferdinand a été créée en 1948. Depuis son apparition jusqu’ à aujourd’hui Porsche a su développer son image de marque et s’imposer comme l’une des plus grandes marques de luxe sur le marchéautomobile.

Les débuts de son créateur

Son créateur naquit en 1875 et mort en 1951. Il construisit sa première voiture (électrique) en 1899 puis ouvrit son bureau d’étude en 1931 près de Stuttgart. En 1933, Hitler lui demanda de concevoir une voiture populaire, moderne et accessible à tous : c’est la naissance de la Volkswagen.

Par la suite, la deuxième Guerre mondiale donnaune autre orientation à la Volkswagen : une version militaire fut créée la Volkswagen type 82 E. En 1942, la Volkswagen type 87 apparaît. C’est une version développé de la précédente : elle a la même carrosserie civile mais peut franchir des obstacles grâce à une garde au sol surélevée, une transmission à quatre roues motrice et des pneus tout terrain. 564 exemplaires de cette « haute surpattes » sont vendus avant la fin de la guerre. Le problème est que la Volkswagen est trop bourgeoise pour être utilisée sur le front.

Ferdinand Porsche développe alors un modèle plus polyvalent et plus robuste avec une carrosserie simplifiée et décapotable : la kübelwagen alias type 82 voit le jour.

Puis les militaires demandèrent un modèle amphibie. Ferdinand Porsche inventa alors une…

American dream

What is an American dream? Is it fame? Is it fortune? An American dream can be one of a nation, or one of an individual, it is simply the urge for a better life. The origins of a nation’s Americandream seem to have been rooted in the pioneering mentality of the 18th and 19th century immigrants, most of whom who came to America because of a promise of a new and better life, in particular, theopportunity to own one’s land. However, land ran out and so cities developed and massive variations of wealth arose, which meant that this American Dream changed from being a potential reality, intobeing a dream. For many people, the American dream can represent a variety of things. It can be as minute as to where they want to live when they grow up, or as vast as to how they would like to changethe world to improve the future. Some of the most influential dreams can come from an individual. A person in history who is an example of this is Thomas Jefferson. His American dream is the foundationof the ‘Declaration of Independence’: ‘We believe that all men are born with these inalienable rights – life, liberty and the pursuit of happiness.’ (Thomas Jefferson, 1776). His dream consists of agenuine and determined belief that in America, all things are possible to all men, regardless of birth or wealth, and if you endeavor all the grievances, you will be able to achieve anything. To behard working, honest and to have ambition are all parts of my American dream. I believe that this will lead me to success, wealth and in due time – power. My dream is to be one of high stature andrespect. I wish to lead a life of accomplishments and learn from my mistakes and to do my best not to repeat them. Several of the dreams that I have originated from Thomas Jefferson, because he opened upthe pathways for me to follow my American dream. Without freedom, and to have to live a life in oppression, I would never be able to convert my dream into a reality, and my American dream would always…

Pwc rapport des présidents cosoii

Édition 2009

Rapports des présidents
Quels nouveaux enjeux pour les dispositifs de contrôle interne et de gestion des risques ?

Sommaire

2

Sommaire…………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………… 3 Introduction ……………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………… 5 Messages clés…………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………….. 7 Périmètre de l’enquête…………………………………………………………………………………………………………………………………………… 9 Axes d’analyse……………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………10 Restitution ……………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………….. 11
1.Référentiels……………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………….. 11 Les bonnes pratiques ………………………………………………………………………………………………………………………………………………………… 11 Référentiels interne……………………………………………………………………………………………………………………………………………………………… 11 2. Dispositifs de gestion des risques et de contrôle interne ………………………………………………………………….12 Méthodologie d’identification desrisques…………………………………………………………………………………………………………….12 Vers une couverture plus large des risques de l’entreprise ………………………………………………………………………13 Cohérence des risques identifiés et des dispositifs de maîtrise en place ……………………………………..14 Axes d’amélioration mentionnés………………………………………………………………………………………………………………………………….15 3. Pilotage de la gestion des risques et du contrôle interne ………………………………………………………………….16 L’organisation du contrôle interne et de la gestion des risques ……………………………………………………………16Structuration de la maîtrise des risques …………………………………………………………………………………………………………………18

Analyse des rapports semestriels au 30 juin 2009……………………………………………………………….. 20
1. Échantillon 2. Analyse………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………..

20 20 20

………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………….

Red bull

LES BOISSONS FONCTIONNELLES – CANADA

HEADLINES

Les boissons fonctionnelles voit une légère augmentation en volume hors commerce et 6% en valeur courante en 2009, pour atteindre des ventes de 190 millions de litres et C 729 millions de dollars.
Performance horizontale dans les boissons pour sportifs est compensé par les bonnes performances dans les boissons énergétiques.

Les boissonsénergisantes montre la plus forte croissance en 2009, enregistrant une augmentation de 11% en volume et une augmentation de 14% en valeur courante
Plans de l’énergie ne sont pas approuvés pour la vente au Canada, mais sont toutefois disponibles, ce qui contribue à la valeur de croissance.

Les prix unitaires hausse de 5% en 2009, menée par le lancement de nouveaux produits dans les boissonsénergétiques.

Pepsi-QTG Canada Inc, Coca-Cola Ltd, et le contrôle de Red Bull Canada ltée 88% du volume des ventes hors-commerce en 2009.

Prévisions devrait être beaucoup plus modeste, avec des volumes de vente la hausse de 3% et croissance de la valeur constante de 12% d’ici 2014.

TENDANCES
La croissance des boissons fonctionnelles s’est ralentie en 2009, comparativement à la période d’examen.Décélération de la croissance a été observée dans toutes les catégories, mais même les boissons pour sportifs ont connu une croissance en volume négative en 2009. La raison principale de ralentissement de la croissance est la maturité du secteur et la récession économique en 2009. Dans la plupart des cas, boissons fonctionnelles cibler un âge étroite démographiques, les jeunes en particulier, oùchaque achat n’est pas considérée comme une nécessité, mais plutôt un petit luxe. Néanmoins, les boissons énergisantes et boissons pour sportifs cannibalisé une partie des ventes à partir des carbonates à la baisse. Les consommateurs désertent aromatisées carbonates ont été la recherche de boissons avec ajout de prestations fonctionnelles. Le canal de l’impulsion en particulier plus de conservationet de l’espace dédié cabinet réfrigérées à boissons énergétiques au détriment des carbonates aromatisées, parce que les consommateurs étaient plus susceptibles de commerce à prix plus élevé des boissons fonctionnelles. Dans l’ensemble, les boissons fonctionnelles n’a augmenté que légèrement en termes de volume et de 6% en valeur courante en 2009, pour atteindre des ventes de 189 millions delitres et C 729 millions de dollars.

ENVIRONNEMENT CONCURRENTIEL
Pepsi-QTG Canada Inc continué à dominer boissons fonctionnelles avec sa marque Gatorade en 2009, détenant une part de 64% du volume des ventes. La marque Gatorade se tient près de 71% du volume de vente au détail dans les boissons pour sportifs de la catégorie en 2009. Gatorade a été la première grande marque de sport à boire, et amaintenu son avance grâce à l’introduction continue de ses produits, offrant des saveurs différentes formulations et de faire appel à différents groupes de consommateurs. Néanmoins, Gatorade a vu sa part diminuer de volume constante pour les trois dernières années, reflétant aussi le ralentissement de la demande pour les boissons pour sportifs. En outre, la concurrence accrue des eaux fonctionnelleset les thés de RDT, ainsi que les consommateurs cherchent des alternatives moins chères boissons fonctionnelles, ont entravé l’boissons pour sportifs sous-secteur en 2009. L’entreprise se bat pour rester compétitif en exécutant une commercialisation intensive et des campagnes de publicité. Gatorade est constamment présenté sur les chaînes de télévision nationales du Canada. En outre, la tendancerécente à la re-marque Gatorade «G» de marque reflète les tentatives de l’entreprise afin de revitaliser les ventes, bien que l’effet sur les ventes à ce jour n’a pas été significative.
Coca-Cola Ltd détient la deuxième position des ventes de boisson fonctionnelle, avec une part de volume de vente au détail totale de 20% en 2009. La majorité du volume des ventes de Coca-Cola dans les…

Audit social

M2 MANAGEMENT ET ADMINISTRATION DES ENTREPRISES

Dossier Gestion des Ressources Humaines

L’AUDIT SOCIAL : Outil de gestion du DRH

SOMMAIRE

INTRODUCTION_______________________________________________3

Partie 1 : Les caractéristiques de l’audit social __________________________4
1. 2. 3. 1. 1.1. 1.2. 1.3. 2. 2.1. 2.2. 2.3. 1. 1.1. 1.2. 1.3. 2. 2.1. 2.2. Historique_________________________________________________________ 4 Les fondements de l’audit _____________________________________________ 4 Définition _________________________________________________________ 4 Le rôle de l’auditeur _________________________________________________ 6 Les informations ___________________________________________________ 6 Les domaines visés par l’audit________________________________________ 7 Les méthodes ______________________________________________________ 7 Les principales composantes de l’audit social _____________________________ 7 L’examen de la documentation _______________________________________ 7 L’inspection sur le lieu de travail______________________________________ 8 Les interviews _____________________________________________________ 8 Les différents niveaux del’audit de l’audit social __________________________ 9 L’audit de conformité _______________________________________________ 9 L’audit d’efficacité ________________________________________________ 10 L’audit stratégique ________________________________________________ 10 Les finalités de l’audit social__________________________________________ 11 Identification des risques___________________________________________ 11 Elaboration du projet social _________________________________________ 12

Partie 2 : Méthodologie de l’audit social_______________________________6

Partie 3 : Les enjeux ______________________________________________9

CONCLUSION ________________________________________________12 ANNEXE _____________________________________________________13 BIBLIOGRAPHIE_____________________________________________19

2

INTRODUCTION Dans un contexte économique concurrentiel qui s’intensifie, la qualité du management des Ressources Humaines peu constituer un facteur de compétitivité pour les entreprises. En effet, à l’heure de la mondialisation, il apparaît nécessaire de développer la gestion sociale par l’approche rigoureuse de l’audit. A l’instar de l’audit comptable etfinancier, l’audit social cherche à améliorer l’efficacité de l’entreprise audité. L’audit social replace les hommes comme facteurs de production et de succès, l’objectif à terme est d’apprécier la place du social dans la gestion de l’entreprise. En somme, il permet de mieux employer le potentiel humain de l’entreprise. L’audit social peut s’opérer de deux manières, interne et externe. L’auditest qualifié d’interne lorsqu’elle est conduite par les propres responsables du personnel de l’entreprise. L’audit est externe lorsqu’il est effectué par des sociétés privées. En effet, la plupart des entreprises ne disposant pas de ressources nécessaires dans un souci d’objectivité ont recours à des auditeurs externes. Les avantages de l’audit externe résident dans la vision objective desconsultants, dans un regard neuf qui permet une approche différente centrée sur l’efficacité et non sur les enjeux internes. L’objet de notre étude portera sur l’audit social externe comme outil de gestion du Directeur des Ressources Humaines. Nous avons fait le choix de nous intéresser à ce sujet car cet outil de gestion devient de plus en plus indispensable à la prise de décisions efficaces dansl’entreprise. Ainsi, nous nous sommes interrogés sur la manière de mener un audit pertinent dans une entreprise. Cela nous a conduit à voir dans une première partie les caractéristiques de l’audit social, puis dans une deuxième partie sa méthodologie et enfin dans une troisième partie, ses différentes enjeux.

3

Partie 1 : Les caractéristiques de l’audit social
L’audit a longtemps été perçu par…

L’art du témoignage

Je me présente, je m’appelle Billy Vatcher, j’ai 26 ans et je suis une personne passionnée qui aime découvrir toutes sortes de choses et tout genre de personnes. Je suis étudiant à la maitrise en philosophie sur l’émerveillement et ses applications pédagogiques à l’université Laval. Je suis également magicien et je présente des spectacles depuis plus de 2 ans. Je suis membre du Tisonnier, laCommunauté Chrétienne Missionnaire (C.C.M.) de Québec depuis maintenant près de 7 ans. Essentiellement, les membres du Tisonnier m’apportent à faire de ma vie de foi quelque chose d’organique, quelque chose qui n’est pas en opposition à ma vie quotidienne mais en est un moment particulier qui confirme la valeur de ce que je veux vivre également ailleurs. Ce qui est le plus beau dans cette communautéest cette volonté de rencontrer l’autre, je m’y sens accueilli et aimé. Je vous partage très humblement certaines clefs et réflexions par rapport au témoignage et la nouvelle évangélisation. Personnellement, je témoigne dans l’optique suivante : Partager sa passion en dialogue avec l’autre pour la recherche d’une vie au sens plein.

Partager sa passion
Qui dit témoignage dit lecture, relectureet désir de partager. Quand quelque chose nous passionne il me semble que nous brûlons de dire ce que nous vivons et nous voulons le meilleur pour les autres : vivre aussi le ravissement qu’a pu nous procurer cette chose. Après avoir vu un bon film on ne se gène pas pour dire avec enthousiasme comment il était “hot”. Non seulement on a aimé le film, mais on désire également partager l’engouementpour quelque chose qu’on aime. Si cela est vrai pour les films, le théâtre, les spectacles, la musique et tant d’autres choses… il ne saurait en être autrement de la foi et des expériences qui nous ont formées. Je ne vais pas à l’Église par obligation. Je vais à l’Église car cela me ravit.
Ce que je vais vous partager n’est pas une “méthode” mais c’est le mouvement qui m’habite, dans lequel jeme sens à l’aise de parler de ma foi, pour que ce soit une expérience enrichissante et agréable. Il m’arrive fréquemment d’entrer dans des discussions très profondes avec des purs inconnus. Tous ces gens ont une quête de sens, tous ont leur propre manière de rassasier leur soif spirituelle. Je parle tout simplement de ce qui fait du sens pour moi : les spectacles de magie, mes recherches enphilosophie, les choses qui me viennent en tête; rien de forcé. Le dialogue avec l’autre est l’occasion s’enrichir mutuellement d’une réflexion sur le sens de nos vies.

En dialogue avec l’autre
Dans le témoignage l’attitude est très importante. À quoi bon partager si on le fait à contre cœur? Qu’est-ce que ça donne? La tentation est forte de témoigner comme une casette ou encore de ne pas sepermettre de vivre en entier le message qu’on veut communiquer. Quels sont ces obstacles? Je pense qu’ils viennent du fait que nous ne sommes pas indifférents à comment la personne reçoit ce que nous lui partageons ou encore, d’attentes trop grandes. Dans ces occasions, je prends un temps pour méditer et prier. On peut avoir de la peur, de la pudeur, de l’hésitation ou même un trop-plein de belleschoses à dire et on ne sait par où commencer. Soit, alors parlons mais laissons de la place pour écouter et recevoir. Tout comme la prière est une rencontre, le témoignage aussi est une rencontre. Être missionnaire au quotidien c’est se laisser toucher par l’autre. On ne peut pas faire semblant, on se doit de témoigner de tout notre être. Je rencontre rarement des obstacles à la discussion ensupposant de prime à bord que ce que je dis est intéressant tout en étant attentif à l’autre.

L’échec de communication
On en vit tous et partout, à l’Église, dans nos familles, au travail… Dans le feu de l’action on ne peut pas toujours se remettre en question. Par exemple, quand je fais un spectacle, c’est le temps de faire le mieux que je peux et de vivre pleinement le moment. S’il y a eu un…

Endgame v.2

Il était histoire d’un homme. D’un homme qui se sentait très seul. Toujours seul. Cette solitude fini par se matérialiser pour devenir la Solitude. L’hommeavait appris dans sa jeunesse à la dompter malgré ses sauts d’humeur.
En effet le jeune homme d’entant était lui aussi très seul et se targuait de n’avoirbesoin de personne. Alors autour de lui une barrière impénétrable se forma entre lui et les Autres. Cette barrière laissait un vide constant malgré toutel’attention et l’humanité dont les Autres faisaient preuve à son égard. Pour se sentir vivre, le jeune homme d’autrefois usait et abusait des émotions que lesAutres avaient à offrir, pour combler ce manque égoïste.
Malgré les efforts extérieurs le jeune homme n’était jamais rassasié et en demandait toujoursplus.
Maintenant le jeune homme est passé adulte. A mûri. S’est dit qu’il en était trop. Que vivre au dépend des autres était comme être enchaîné à Terre (cequi est fort regrettable pour un rêveur) que c’était être privé de liberté. Et que de plus, pour quelqu’un qui se vantait d’être dépendant de son Humanité ;c’était un comble. Paradoxal. Contraire. Illogique.
Il sauta du haut de la tour Eiffel, du toit de sa ville préférée, de son monde préféré, en se disantque peut-être ses cellules pourraient espérer une dernière fois être quelqu’un d’autre.

Un merci à Newton, pour avoir défini ce qu’est la gravité.
Merciaux pompes funèbres d’avoir pris soin de ramasser chacune des miettes de mon Paraître (à différencier de l’Être)
Merci à vous Autres.

Luge. 😉

Étude de droit commercial hôtellerie/restauration

DROIT COMMERCIAL

ETUDE DE CAS DU 22 DECEMBRE 2010

INTERVENANT : Michel Delorme

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BLOC :
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Commercialiser un établissement hôtelier.
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COMPÉTENCE :
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Intégrer le droit commercial dans sanégociation.
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PROBLÉMATIQUE :
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Informer M. Jacques Dufour sur les contraintes, les obligations et les interdictions de la profession liées à la création d’un établissement de type Hôtel-Restaurant.

SOMMAIRE

Sommaire 2
1/Les conditions d’ouverture et d’exploitation d’un hôtel 3
2/Lesconditions d’ouverture et d’exploitation d’un restaurant 6
3/Les Zones Protégées. 11
4/Les obligations liées a l’affichage. 13
5/Les responsabilités dans le cadre des contrats spéciaux. 17
6/Les dispositions relatives a la publicité. 18
7/La liberté des prix. 19
8/Le paiement des prestations. 20
9/Les droits du locataire d’un Bail commercial dans un cas de vente des murs par lepropriétaire 21
10/Annexes 29

1/Les conditions d’ouverture et d’exploitation d’un hôtel.

A/ Déclaration préalable d’ouverture.

Tout établissement hôtelier doit faire l’objet d’une déclaration préalable d’ouverture auprès de la préfecture du département du lieu d’implantation de l’immeuble au moins deux mois avant l’ouverture de l’établissement.Depuis le 1er janvier 2009 :

* Si en province création ou extension d’un hôtel d’une capacité supérieure à 30 chambres pas d’autorisation préalable de la commission départementale d’équipement commercial (CDEC).

* Si en Île-de-France création ou extension d’un hôtel d’une capacité supérieure à 50 chambres pas d’autorisation préalablede la commission départementale d’équipement commercial (CDEC).

B/ Demande de classement en catégorie tourisme.

Classement tourisme :
* Demande auprès de la préfecture du lieu d’implantation de l’immeuble au moins deux mois avant l’ouverture de l’établissement. La décision de classement est renduepar arrêté préfectoral après avis de la commission départementale d’action touristique.

* Nouvelles normes depuis le premier octobre 2009.

C/ Normes de sécurité.

* Les hôteliers doivent respecter des normes de sécurité très strictes depuis l’arrêté du 24 juillet 2006 pour une mise aux normes pour le 4 aout 2011, telque:
* Cages d’escalier cloisonnées.
* Centrales incendies.
* Affichage des consignes de sécurité dans chaque chambre en français.
* Cette procédure a été reportée en 2015 pour son application.

Procédures recommandées :
* Audit par un organisme agréé par le Ministère de l’Intérieur.
* Chiffrage des solutions par un architecte compétent.
*Choix de l’exploitant en concertation avec la commission sécurité.
* Montage financier
* Demande d’autorisation de travaux auprès du maire, avec avis de la commission de sécurité.
* Réalisation progressive des travaux.
* Vérification de conformité par des techniciens compétents ou un organisme agréé par le Ministère de l’Intérieur.
* contrôle effectué par la Commission de Sécurité.* A compter du 1er janvier 2015, tous les hôtels recevant du public devront être accessibles à toute personne souffrant d’un handicap (auditif, mental, physique, visuel …..)

D/ Règles applicables à la vente de boissons.

* L’hôtelier doit être titulaire des licences de débit de boissons adéquates en fonction des prestations…