Séquence arts visuels nuances

Séance 1 :
Objectif : Agrandir un petit élément extrait d’une reproduction de « l’esprit de l’océan » de Bobby HOLCOMB

Matériel :
Rétroprojecteur
Ordinateur
4 Toiles (format A4)
Pâteà fixe

Finalité de la séance : on a 4 toiles accolées sur lesquelles les enfants ont tracé le contour de l’élément agrandi. Il y a 4 toiles qui ont chacun un fragment de cet élément.Déroulement :
cf fiche de la Maitresse.
|Séance 2 :
Objectif : réaliser un camaïeu.

Finalité : apprendre à faire des mélanges. Savoirs qu’une même couleur peut avoir plusieurs nuances.Savoir ce que c’est qu’un camaïeu. Utiliser ensuite cette notion pour la séance suivante.

Déroulement :
cf fiche de séance | |
|Séance 3 :|Séance 4 : |
|Objectif :réinvestir les connaissances du camaïeu pour peindre une toile. |Objectif : mettre en relation le travail des élèves avec des artistes locaux etinternationaux. |
|Cf séance 1 (1 fragment de l’élément agrandi) ||
||Matériel : |
|Matériel :|Rétroprojecteur |
|Toiles…

Fiche pour campgane instit

FICHE

« Accroche publicitaire »

L’accroche publicitaire :

« L’Accroche en publicité est la phrase ou le slogan destiné à attirer d’emblée l’attention des consommateurs.
Il s’agitgénéralement d’un message à forte portée qui grave une impression de désir dans l’esprit du consommateur ou encore d’un appât qui amène le consommateur à consulter la fiche d’un produit ou service.
On ditégalement Accrochage ou Head-line. »

Les facteurs clés d’une accroche réussie :

L’accroche doit être :

– adaptée aux deux versions française et arabe
– mise en évidence (format, caractèreet police, couleur, ….)
– facilement mémorisable, compréhensible, originale, captivante, percutante,
– à fort impact et porteuse de sens

Quand utilise-t-on l’accroche ?

On retrouvel’accroche en :

– Annonce presse
– affiche
– affiche 4X3
– etc.

FICHE

« Affichage 4×3 »

L’affichage :

« Moyen publicitaire qui permet l’étalage de publicités. Il s’agitd’un média, …, qui permet la transmission de messages publicitaires via des affiches murales, le mobilier urbain, l’affichage au néon, les transports en communs, etc. »

Les facteurs clés d’une affiche4x3 réussie :

L’affiche doit être :

– visible, lisible et placée en évidence,
– cohérente (les images et le texte doivent se compléter)
– contenir un texte pas trop long avec desphrases courtes

FICHE

« Annonce presse »

L’Annonce presse :

Une annonce presse est une publication qui parait dans la presse sous forme de publicité.

Les facteurs clés d’une annoncepresse réussie :

L’annonce presse doit être :

– une déclinaison du concept général en conformité avec le principe créatif de la campagne
– mise en valeur : choix des couleurs, del’accroche, des illustrations, …

Le texte de l’annonce presse doit être :

– attractif et suscitant l’intérêt du lecteur
– bien positionné et doit retenir l’attention en quelques mots…

Analyse « mercure »

AUTEUR: Amélie Nothomb
TITRE: Mercure
GENRE: roman
CONTEXTE: historique (‘800-‘900)

Contexte : Une île. Un vieil homme et une jeune fille y vivent à l’abri de tout reflet. Une infirmière survient pour soigner la jeune fille. Tandis que des relations de plus en plus confiantes se nouent entre elles, l’infirmière découvre les éléments d’un mystère et d’un drame qui tiennent à l’étrangeloi que le vieil homme fait régner sur l’île.

Trois personnages principaux évoluent dans ce huis clos délimité par l’océan : Françoise Chavaigne, jeune infirmière de 30 ans, célibataire, sans enfant qui est envoyée sur l’île de Mortes-Frontières afin de soigner un vieil homme malade, la Capitaine. Le Capitaine Omer Loncours, vieil homme mystérieux, richissime. De son histoire, nous neconnaîtrons que peu de choses. Hazel Englert, âgée de 23 ans, elle est l’hôte du capitaine depuis de nombreuses années. Elle souffre de maladies psychosomatiques. Elle est le motif principal de la venue de François sur l’île.

À l’arrivée de Françoise sur l’ile le Capitaine lui explique que la personne ayant besoin de soin est sa protégée qu’il appelle sa pupille Hadèle. Il l’a recueillie lors d’uneguerre et lui a donc expliquée qu’elle était défigurée. Il à donc été le bon samaritain. Avant que Françoise puisse introduire la chambre d’Hadèle, le Capitaine lui explique alors qu’elle n’aura pas le droit de lui poser des questions qui n’ont pas pour but de l’aider à soigner la malade. « Si vous m’y autorisez, je préfère commencer par les instructions ou plutôt l’instruction, car il n’y en a qu’une: ne pas poser de questions. » (le Capitaine, p. 18) Plus Hadèle lui parlait, plus Françoise s’intéressait à elle. Car Hadèle exprimant très clairement sa douleur, Françoise s’intéressera alors plus à sa souffrance psychique que physique.
« Je suis ravie de la gravité de mon état, d’autant que je n’en souffre pas : tous les avantages de la maladie sans les inconvénients. Une visite quotidienned’une fille aussi sympathique que vous, je ne pouvais pas rêver mieux. » (Hazel, p. 29)Lors de leur première rencontre , le Capitaine annonce à Françoise qu’il s’agit de « malaises psychosomatiques ». Ce qui signifie qu’il y a un lien entre son mal psychologique et son mal physiologique. Même si les discussions entre l’infirmière et la pupille étaient surveillées, elle essaiera tant bien que mal decomprendre ses mots par ses maux. « Quand je suis avec vous, j’ai une impression très étrange : celle d’exister. Quand vous n’êtes pas là, c’est comme si je n’existais pas. Je ne parviens pas à expliquer ça. J’espère que je ne guérirai jamais. Je jour où je ne serais plus malade, vous ne me rendrez plus visite. Et je n’existerais plus jamais. »(p 41) Dans ce livre, j’ai compris une choseessentielle : la notion du regard-miroir. Tout le récit se situe là, dans la métaphore du regard comme miroir de soi-même. Le fait qu’ Hazel aie donc besoin de « l’Autre » pour s’appréhender. Dans « Mercure », Hazel privée de son image réelle, est complètement dépendante du regard de « l’Autre » , autre qui ment et qui lui envoie l’image qu’il désire lui renvoyer. Il y a donc négation de la personnalitéd’Hazel. Avec Françoise, elle peut donc exister à part entière loin du discours du Capitaine.
« Vous n’avez aucune idée de ce qu ‘est l’amour: c’est une maladie qui rend mauvais. Dès que l’on aime vraiment quelqu’un, on ne peut s’empêcher de lui nuire, même et surtout si l’on veut le rendre heureux. »(p77) « C’est que vous trouvez l’amour comme le vautour sa nourriture: vous êtes là au moment leplus funeste, à observer, à guetter. Vous repérez les meilleurs morceaux, vous fondez dessus et vous vous envolez au loin en emportant votre butin »(Françoise p.143)Le Capitaine Loncours ne semble concevoir l’amour qu’avec la femme idéale et voue donc un culte sans limite à la beauté de la femme. Il monte la tête de la femme essayant de lui faire croire qu’elle est aussi laide qu’il l’est lui….

Objections

Le traitement des objections
Les solutions: Vente ajustée = 11 phases de la vente
Préparation Accueil- prise de contact Découverte des besoins Reformulation Proposition Argumentation Traitement desobjections Le prix Conclusion Prise de congé/ décompression Après-vente

Ajustement aux besoins du Client

Le traitement des objections
Les différents types d ’objections:
Objection sincère etfondée ACCEPTATION Objection non sincère Évitement, minimisation

Objection sincère non fondée Démontrer, prouver

1

Le traitement des objections
• L ’objection est une réaction naturelle. •Il faut la comprendre, en trouver l ’origine pour en trouver la solution et la détruire.

Le traitement des objections
Les attitudes vendeur:
1/Éviter la polémique, l ’affrontement 2/Ce n ’est pasune attaque personnelle Objection = interrogation du Client. 3/Comprendre le Client => outils

Le traitement des objections

Idées
Liste des objections rencontrées fréquemment Classer enfonction du produit vendu. Ex: automobile: avant vers arrière

2

Le traitement des objections
Idées

•Mot « objection » interdit: mot négatif •« Vous…. » plutôt que « je, moi….. » •Préférer « oui et… » à « oui mais… »

Le traitement des objections
Méthode simple: 1/ identifier l ’objection: sincère, non sincère, fondée… 2/ Accepter, valoriser: « je comprends votre point de vue…. 3/ Chercherà comprendre: question
Le jouet 1/

Le traitement des objections

Attention, on ne provoque jamais une objection:
« Maintenant, vous allez me dire que….. »

3

Le traitement des objectionsLes preuves
Elles constituent la meilleure arme contre les objections: défensive et préventive.

Echantillons Photos Démonstration Article de presse Lettre de référence Référence client Testschiffrés

CD DVD Vidéo Visite site Statistiques Maquettes …..

Le traitement des objections
Contrôle de la portée de la réponse, de l ’argument:
Ai je bien répondu à votre question, votre attente,…

Rabelais theleme

Rabelais, « Thélème », Gargantua.
Toute leur vie était ordonnée non selon des lois, des statuts ou des règles, mais selon leur bon vouloir et leur libre arbitre. Ils se levaient quand bon leursemblait, buvaient, mangeaient, travaillaient, et dormaient quand le désir leur en venait. Nul ne les réveillait, nul ne les contraignait à boire, à manger, ni à faire quoi que ce soit. Ainsi enavait décidé Gargantua. Pour toute règle, il n’y avait que cette clause, Fais ce que voudras ; parce que les gens libres, bien nés et bien éduqué, vivant en bonne compagnie, ont par nature un instinct, unaiguillon qui les pousse toujours à la vertu et les éloigne du vice, qu’ils appelaient honneur. Ces gens-là, quand ils sont opprimés et asservis par une honteuse sujétion et par la contraint,détournent cette noble inclination par laquelle ils tendaient librement à la vertu, vers le rejet et la violation du joug de servitude ; car nous entreprenons toujours ce qui nous est interdit et nousconvoitons ce qui nous est refusé.
C’est cette liberté même qui les poussa à une louable émulation : faire tous ce qu’ils voyaient faire plaisir à un seul. Si l’un ou l’une d’entre eux disait : «Buvons », ils buvaient tous ; s’il disait : « Jouons », tous jouaient ; s’il disait : « Allons nous ébattre aux champs » tous y allaient. S’il s’agissait de chasser à courre ou au vol, les dames, montéessur de belles haquenées suivies du palefroi de guerre, portaient sur leur poing joliment gantelé un épervier, un laneret ou un émerillon. Les hommes portaient les autres oiseaux.
Ils étaient sibien éduqués qu’il n’y avait parmi eux homme ni femme qui ne sut lire, écrire, chanter, jouer d’instruments de musique, parler cinq ou six langues et y composer, tant en vers qu’en prose. Jamais onvit de chevaliers si vaillants, si hardis, si adroits au combat à pied ou à cheval, plus vigoureux, plus agiles, maniant mieux les armes que ceux-là ; jamais on vit de dames si fraiches, si jolies,…

Le bruit de la cour et la musique de l’inefable

L’œuvre de Pascal Quignard écrite en 1991 et intitulée Tous les matins du monde place en son sein la musique baroque. Seulement, un abîme sépare de facto la musique jouée à la cour du roy de celle s’élevant de la demeure des Sainte Colombe, celle capable de « réveiller les morts ». Aussi, en quoi la musique baroque a-t-elle deux versants dans l’œuvre quignardienne ? D’une part, M. de SainteColombe, janséniste, met à l’index tout au long de l’œuvre tout ce qui émane de Versailles, notamment ses musiciens et ceux qui osent s’y aventurer tel Marin Marais. D’autre part, la musique qui aux yeux du violiste a une valeur certaine est celle qui élève et redonne vie à ce qui est perdu.

I] Mise à l’index de la musique de cour
a) Symbolique de la violence
Cette mise à l’index, ce refus de lamusique de cour, est visible tout au long de l’œuvre et notamment par trois images. Alors que M. de Sainte Colombe est montré par l’écrivain à la fois comme tendre (p. 16) mais aussi « violent et courrouçable » (p. 16), il fait parler sa force en s’attaquant aux proches d’une telle musique. D’abord, le janséniste, après avoir touché M. Caignet – le joueur de viole attitré de sa Majesté Louis XIV –le « poussait […] vers la maison » (p. 26). Puis, face à l’abbé Mathieu, « il avait brandi la chaise et la soulevait au-dessus de leurs tête » (p. 30) ; enfin, lorsqu’il apprend que Marin Marais a joué devant le roy à la chapelle, contrairement aux conseils qu’il lui avait prodigués, Sainte Colombe, « qui ne se possédait plus », « brandissait la viole en l’air », « la fracassa sur le manteau depierre de la cheminée » (p. 67). Cette violence physique qu’il exprime et qui s’adresse de fait au service du roi, à la vanité de l’ambition sociale et mondaine, met en exergue que Sainte Colombe considère ces actes non pas seulement comme un « divertissement » au sens pascalien, mais comme une prostitution malsaine et honteuse de son art.
b) Incompatibilité de la musique de cour et de lamusique élévatrice
Selon Sainte Colombe, il n’y a pas de lien possible entre cette musique de cour et la musique qui élève l’âme. A l’instar du rideau séparant la voix de l’enfant et celle de l’adolescent mué, la cloison de la cabane du janséniste derrière laquelle Marais scrute les « longues plaintes arpégées » (p. 96) matérialise la séparation entre deux mondes incompatibles. C’est justement ce quele maitre violiste expliquait à son élève : la musique qui accompagne « les acteurs », « les gens qui dansent » (p. 53), et en particulier le roi, est vaine. D’ailleurs, lorsque M. de Sainte Colombe renvoie une première fois Marin Marais et qu’il lui brise sa viole, l’argent que le janséniste lui tend est censée lui permettre de « racheter un cheval de cirque pour pirouetter devant le roi » (p.69). Pire, il lui clame : « Vous êtes un musicien de la taille d’une prune ou bien d’un hanneton. Vous devriez jouer à Versailles, c’est-à-dire sur le Pont-Neuf, et on vous jetterait des pièces pour boire » (idem). Ainsi, Versailles, ce « grand palais de pierre à vent chambres » (p. 73), contribue à la perte du talent et du pouvoir du vrai musicien, celui qui a un « cœur pour sentir » et un «cerveau pour aimer » (p. 53). Ces deux attribues ne sont justement pas perçus par Sainte Colombe chez Marais lors des premières rencontres. Lorsque l’abbé Mathieu se rend chez lui, Sainte Colombe compare d’ailleurs Versailles à un précipice dans lequel on se noie : « Aussi tendez-vous la main. Non contents d’avoir perdu pied, vous voudriez encore attirer les autres pour les engloutir » (p. 31). Certescette chute du musicien dans le gouffre de la cour du roy n’est en rien comparable à celle de l’Homme sans dieu qui est, dans les pensées de Pascal, « dans l’ignorance de tout et dans un malheur inévitable ». Mais la vraie musique, celle à laquelle s’adonnent le cœur qui sent et le cerveau qui aime, n’est pas « tout à fait humaine » (p. 113), pas pour autant mystique, mais elle élève l’âme….

La police de proximité au burkina faso

MINISTERE DES ENSEIGNEMENTS BURKINA FASO
SECONDAIRE ET SUPERIEUR Unité – Progrès – Justice
**********************
ECOLE SUPERIEURE DES HAUTES
ETUDES TECHNOLOGIQUES ET
COMMERCIALES (HETEC)
***********************
TRONC COMMUN : LICENCE PROFE
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COURS DE TECHNIQUES D’EXPRESSION
ECRITE ET ORALE (T.E.E.O)————————————————-

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THEME :
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LA POLICE DE PROXIMITE AU BURKINA FASO
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Chargé de cours : Noms des exposants :
M. Seydou TRAORE – NASSE Julienne
– OUEDRAOGO Annick Laure
– SOUBEIGA Anatole
– BASSONO Armelle- SIA Bienlo

Année Académique 2010 – 2011

SOMMAIRE
Page
INTRODUCTION 03
I- Définition de la police de proximité 03
II- Principes fondamentaux de la police de proximité 05
II-1- Rapprochement avec la population 05
II-2- Partenariat 05
II-3- Renforcement des mesures préventives 05
II-4- Stratégie de résolution des problèmes 06
III- Mise en œuvredu premier plan d’action (2005-2009) 06
III-1- Contexte et justification 06
III-1-1- Montée de l’insécurité 06
III-1-2- Difficile partenariat entre forces de sécurité et population 07
III-2- Objectifs et résultats attendus 07
III-2-1- Objectifs 07
III-2-2- Résultats attendus 08
III-3- Mise en œuvre opérationnelle 2005 – 2009 08
III-3-1- Organisation du partenariat 08
III-3-2-Formation – Sensibilisation 09
III-3-3- Organisation institutionnelle 09
III-4- Diagnostic 09
III-4-1- Résultats obtenus 10
III-4-2- Insuffisances 10
IV- Réorientation 12
IV-1- Objectifs 12
IV-2- Stratégies de mise en œuvre 13
IV-2-1- L’esprit de la réorientation 13
IV-2-2- Les principes de la réorientation 13
IV-2-3- Les acteurs de la police de proximité 14
V- Perspectives : lacapitalisation de l’expérience des ILS 14
V-1- Les associations Koglewéogo 15
V-2- Les associations Dozo 16
CONCLUSION 17
BIBLIOGRAPHIE 18

INTRODUCTION
Aucune société ne peut prétendre à un développement sans une sécurité. Elle ne peut aussi survivre dans une atmosphère d’insécurité. La sécurité et la stabilité sont de ce fait une condition sine qua non pour l’enracinement de ladémocratie. C’est un devoir régalien pour l’état d’assurer la sécurité de ses citoyens et de leurs biens. Il est à noter que la première préoccupation pour l’homme a toujours été sa survie face aux intempéries, aux catastrophes naturelles et aux mauvaises intentions et actes de son prochain. C’est pour cela que chaque société développe des stratégies afin de répondre efficacement aux défis sécuritairesauxquels elle fait face.
La stratégie sécuritaire fondée sur le partenariat avec la population a été mise en œuvre par certains pays et a fait ses preuves, au point de constituer une référence. Cette méthode de gestion, les français l’appellent « une police de proximité », les britanniques et les nord-américains « une police communautaire », la gendarmerie royale du Canada et certains services depolice québécois et canadiens utilisent parfois l’étiquette « police socio- préventive ». Mais le dénominateur commun de toutes ces expériences demeure le partenariat entre la police et la population dans la lutte contre l’insécurité et pour un meilleur cadre de vie.
La mise en œuvre de la police de proximité au Burkina Faso a commencé véritablement en 2005. Le pays n’a donc pas une longueexpérience en la matière. Cependant l’action gouvernementale dans sa continuité a souverainement opté pour cette stratégie de la police de proximité afin de résoudre les problèmes liés aux troubles à l’ordre public et la criminalité. L’exposé sur l’expérience burkinabé dans la mise en œuvre de ce concept s’articulera autour de cinq (05) points :
* Définition de la police de proximité
*…

Galilee et l’eglise

Puisque Copernic ne publia ses théories jusque avant sa mort il n’eut pas des grands problemes avec l’Eglises masi ce ne fut pas le cas avec ses continuateurs, dont Galilée.

En 1616 le SaintOffice à Rome déclara que affirmer que le soleil est au centre du monde et qu’il n’est affecté d’aucun mouvement propre et que la Terre n’est pas immobile mais tourne sur elle même était hérétique,contraire a la foi et meritait la censure. Les livres exposant la théorie copernicienne furent interdits. En février 1616, le cardinal Bellarmin, sur décision du pape Paul V, intima l’ordre à Galilée quecette doctrine ne pouvait ni être adoptée ni être défendue. De toute façon, Galilée va travailler un projet ambitieux dans lequel il montre une négation complète du système géocentrique.
Cet ouvrage estpublié en 1632 sous le titre: Dialogue sur les deux grands systèmes. Dans ce livre trois personnages discourent des cosmologies coperniciennes et aristotéliciennes. Le défenseur de Copernic prend lestraits d’un esprit cultivé alors que le disciple d’Aristote qui représente la voix du clergé en est pauvrement doté.

Le ton général de l’ouvrage aussi bien que son contenu ont profondément irritéle pape Urbain VIII, un ancien ami de Galilée. La convocation à Rome du savant en 1633 fut le début d’un processus qui conduisit à son procès. Après plusieurs interrogatoires devant le Saint Office,Galilée fut dans l’obligation d’abjurer le 22 juin 1633 dans une déclaration humiliante lors de l’énoncé de la sentence. Le Dialogue sur les deux grands systèmes fut interdit et son auteur condamné àl’incarcération. Toutefois cette peine fut commuée en une assignation à résidence d’abord dans la ville de Sienne puis dans sa villa d’Arcetri, près de Florence où il termina ses jours, aveugle, en1642.

Ce n’est qu’en 1822 que le Saint Office décide de ne plus interdire la diffusion de livres soutenant le système héliocentrique. Cela ne signifie pas que l’Eglise se soit rangée aux côtés de…

Smith

Disciple d’Hutcheson, admirateur de Voltaire, Adam Smith est le père fondateur de la science économique moderne. L’Enquête sur la Nature et les Causes de la Richesse des Nations, parue en 1776, est un des textes fondateurs du libéralisme économique. A une époque où l’expansion du travail salarié et de l’échange marchant est entravé par des règlements multiples, Smith va alors théoriser dans cetouvrage les conditions de la régulation par le marché du capitalisme naissant, et expose son analyse sur l’origine de la prospérité récente de certains pays européen. Dans le livre IV, comportant le passage étudié de cette dissertation, Smith introduit un nouveau critère d’évaluation d’une politique économique : son impact sur le revenu réel du pays. L’extrait étudié met en lumière l’impact d’unepolitique protectionniste, permettant le monopole du marché intérieur, et son résultat nuancé sur la croissance de la société. On peut alors se demander comment permettre l’optimisation du revenu national ? Le libre-échange est-elle la solution qui permettra la croissance générale de la société ? Quels sont les limites du protectionnisme, et comment celui-ci se convertie alors en libre échangisme ?Il serait intéressant dans un premier temps de poser les limites du protectionnisme, pour ensuite expliciter la pensée de Smith sur les bienfaits de l’ouverture d’une économie, qui devient efficiente si les concepts d’avantages absolus et de division international du travail sont appliqués dans la société concerné.

Le commerce extérieur commença à faire l’objet d’une théorisation parallèlementà l’émergence des États-nations au cours du XVe siècle. L’une des premières formes de politique économique, connue sous le nom de mercantilisme, a ainsi dominé l’Europe occidentale de 1500 à 1800 environ. Les partisans de cette politique œuvraient en faveur de l’unité nationale et d’un accroissement de la puissance de l’État. Selon eux, toute entité politique devait garantir sa pérennité par uneaccumulation de richesses, consistant essentiellement dans les métaux précieux (or et argent). Les pays qui ne possédaient pas de mines produisant ces métaux se les procuraient grâce à un surplus des exportations sur les importations. L’État y a un rôle primordial dans le développement de la richesse nationale, en adoptant des politiques protectionnistes établissant notamment des barrièrestarifaires et encourageant les exportations. Le protectionnisme permet de limiter le déficit commercial, et d’être à long terme un facteur d’indépendance nationale.
Pour Jean Baptiste Colbert, acteur important d’une politique interventionniste en France au XVIIème siècle, «les compagnies de commerce sont les armées du roi, et les manufactures sont ses réserves». L’objectif de ses «armées» et derepousser les «armées» étrangères. Ainsi pour souligner cette haine du commerce étranger, Antoine de Montchrestien, déclare : « Les marchands étrangers sont comme des pompes qui tirent hors du royaume […] la pure substance de nos peuples […] ; ce sont des sangsues qui s’attachent à ce grand corps de la France, tirent son meilleur sang et s’en gorgent ».
Au XVIIIe siècle en France, des voix s’élevèrentcontre ce contrôle et aboutirent à la formulation de la première théorie du libre-échange. Adam Smith, qui en fait une critique forte dans le livre IV de La Richesse des Nations, qualifie le mercantilisme d’« économie au service du Prince ». Leurs idées exercèrent une forte influence sur Smith. En effet, Smith développera des théories sur le libre-échange, qui contribuèrent au développementultérieur de la politique commerciale en Grande-Bretagne.
Smith rejetait catégoriquement les fondements protectionnistes du mercantilisme. Selon lui, la richesse ne résidait pas dans les encaisses elles-mêmes mais dans les biens qu’elles permettaient d’acquérir. Par conséquent, l’interventionnisme étatique réduisait la richesse des nations puisqu’il les empêchait d’acheter le plus grand nombre…

Lol ca fait sézir

Le Football

Le football. Voilà un sport merveilleux pratiqué depuis des siècles. Le football est avant tout un

sport collectif opposant deux équipes de onze joueurs dans un stade. L’objectif de chaque

formation est de mettre un ballon sphérique dans le but adverse sans utiliser les bras, et de le

faire plus souvent que l’autre tout en respectant les règles. Ce sport connu sous le nomde «

soccer»en Amérique du nord et de football partout ailleurs, fait des adeptes qui sont de plus en

plus nombreux. En effet, c’est le sport le plus populaire du monde. Au début du XIXe siècle, le

football était pratiqué dans les écoles aristocratiques. Il n’y avait pas de véritables règles

concernant ce sport. Certaines écoles interdisaient de se servir des mains, d’autres pas.Le

nombre de joueurs était indéterminé… Ce n’est que le 8 décembre 1863 que les représentants

d’une dizaine d’écoles décidèrent d’établir des règles fixes au football association et de se

séparer des tenants du rugby. Le football une fois défini, les Anglais organisèrent les premières

compétitions. Le football a été codifié pour la première fois par les Britanniques. Aujourd’hui lefootball connait un succès phénoménal. La coupe du monde tant attendu se déroulera cet été.

Elle réunira les 32 meilleures équipes de la terre. Cette coupe se déroule chaque quatre an.

Les joueurs sont de plus en plus fébriles et les supporters stressé. Tout le monde est branché

à la télé ou au net. Personne ne rate un match de qualification. Cette coupe signifie beaucoup

pour lesjoueurs et le public. Elle est le gain d’une bataille sans merci. Elle fait le malheur de

certains et le bonheur de d’autres. Elle crée des débats politiques. Elle suscite des controverses.

Enfin, elle crée un secteur industriel brassant les milliards d’euros. Nous voyons là que le foot à

des incidences sur toutes les sphères d’activités. Nous nous questions alors sur uneproblématique qui suscite de la recherche. Quelle place occupe le soccer dans la culture de

certains pays ? Quel est l’importance du football ? Le football est bien plus qu’un simple loisir.

Son importance dans le monde est grande. Selon nous, le football ne cesse d’influencer le

monde. Les cafés qui diffusent les matchs vendent plus. Les marchands ont plus d’argent. Le

gouvernement estcontent. C’est l’euphorie pour les supporters et la joie totale pour le peuple.

Tout cela pour un match de quatre vingt dix minutes! Or, le football n’est plus seulement une

pratique collective relevant uniquement de la sphère privée. Il a également des incidences aux

niveaux social, politique, culturel, économique et diplomatique… Ainsi, pour répondre à notre

interrogation de départ,nous allons diviser notre travail en trois grandes parties.

Sous l’aspect politique : L’identification au club se mêle avec d’autres formes d’identification

politique, sociale ou communautaire. Il y a une géopolitique du football, faite de conflits,

d’affirmation de l’identité nationale, voire d’exacerbation des passions nationales. Le football

peut créer plusieurs conflits entre lesgouvernements nationaux et la FIFA (Fédération

internationale de Football Association). Il est de fait assez courant que des leaders politiques

locaux ou nationaux mobilisent le football comme une ressource de pouvoir. La Coupe du

monde de football, qui se jouera en 2010 en Afrique du Sud, est annoncée comme un moment

important pour l’Afrique du Sud et pour l’ensemble du continent. Lefootball peut créer de

graves conflits entres les pays. Ces conflits ont parfois des conséquences négatives. Cela peut

jusqu’à causer la mort. Bref, le football influence la direction du monde en donnant du pouvoir à

certains.

Sous l’aspect économique : Le football est un reflet de l’humanité. Alors forcément, l’argent y a

depuis toujours une place d’honneur. Les histoires de gros…