Cessation de paiement

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Code postale Ville A Ville, le 30/05/2011 Déclaration de cessation despaiements
Commentaire et conseils
Seul le représentant légal de la société ou de l’entreprise est habilité à effectuer une déclaration de cessation de paiements. La déclaration émanant d’un gérant defait, d’un associé ou d’un conjoint collaborateur sera refusée. Cependant, le représentant légal a la possibilité de se faire substituer par la personne de son choix si celle-ci est munie d’un pouvoir.1. Pouvoir :
Il doit viser spécialement selon le cas :
– la faculté donnée au mandataire de déposer la déclaration de cessation des paiements;
et/ou – la faculté de signer lui-même la déclarationde cessation des paiements.
Si la liquidation judiciaire est sollicitée, une telle demande doit être clairement précisée dans le pouvoir.
Le pouvoir doit être nominatif; le pouvoir se limitant àmandater un cabinet d’avocats sera refusé. Il faut que le cabinet indique le nom de l’associé ou du collaborateur se présentant au greffe. Celui-ci doit en outre être en mesure de justifier de sonidentité et de son activité professionnelle.
• Cas de cogérance :
La déclaration de cessation de paiements  »DCP » doit être datée et signée des deux gérants. Le déposant doit être muni d’un pouvoirégalement daté et signé des deux gérants.
Dans l’hypothèse où ces conditions ne peuvent être remplies, le déposant doit fournir la copie des statuts indiquant clairement que les gérants ont la possibilitéd’engager séparément la société pour toute action allant jusqu’aux actes de disposition.
2. Concernant le déposant : justificatif d’identité à présenter au moment du dépôt
3. La déclaration decessation des paiements :
– elle est à déposer en trois exemplaires  »dont l’original »
– tous les intercalaires du formulaire doivent figurer lors du dépôt; si l’un d’entre eux n’a pu être rempli, le…

La bande dessinée underground

A l’origine les dessinateurs de comix n’aimaient pas déposer leurs œuvres et comme il sortaient quasiment tous de l’école de la presse underground, il croyaient encore à unsens aigu de la liberté. Print Mint est aussi l’un des premiers éditeurs à forces ses auteurs à déposer leurs créations, même si cela va à l’encontre de la philosophieunderground.
Dans le premier numéro de Zap, Crumb publie la page appelée « Keep On Truckin’ », qui devient l’image la plus connu de l’histoire des comix, recyclant des vieillesparoles de blues des années 20 (dont Crumb est très friand), elle devient l’un des emblèmes de la fin des années 60 et sera reproduite sous la forme de T-shirts et de posters,sans que son auteur ne touche aucun centime. Don Schenker va avoir la bonne idée de forcer les artistes a déposer leurs dessiner surtout à reversé aux auteurs les royaltiesqui découle du marchandising, alors que les grosses compagnies achètent une bonne fois pour toutes les ouvres et récupère les royalties à la place du créateur. Crumb dans sontroisième numéro de Snatch écrira la petite notice, « la reproduction de tout le matériel du magazine est permise, vous pouvez le réimprimer, le diffuser autour de vous, maispayez nous »[1]. Crumb avec son avocat Albert Morse essayèrent au début des années 70 de récupérer de l’argent sur toutes les premières œuvres non déposée de 67 à 69, maiséchouèrent et durent payer une amende de 20.000 $ pour procédure abusive. Un des juges particulièrement exaspéré, déclara que le dessin Keep On Truckin’, tombait désormais dansle domaine public empêchant toute future poursuite.

———————–
[1] Mark James Estren, A History of underground comics, Straight arrow books, 1974, p.247

Blsba

ANALYSE À PARTIR DES 5 FONCTIONS DU DISCOURS

Fonction de contact : La fonction de contact correspond au lien que nous établissons avec notre public. Dès le départ de notre reportage, avec notreintroduction, nous interpellons directement le public et nous mettons cela amusant afin que le public comprenne facilement avec notre petite mise en scène. Nous mettons nos phrases les plus courtesafin que le public comprenne bien et nous utilisons des mots cohérents.

Fonction référentielle : Puisque notre reportage est un portrait de la société, nous devons nécessairement informer. Tout aulong de notre reportage, nous devons des informations concernant le cheerleading et le basket donc ceux qui s’y connaissent minimalement vont en apprendre beaucoup avec notre reportage. Nous donnonsaussi au début, quelques faits historiques et comment fonctionne le cheerleading.

Fonction esthétique : Nous avons mis notre reportage esthétique grâce au montage que nous avons fait. Nous avonssoigné chaque petite partie du reportage en prenant notre temps afin que chaque transition aille bien avec la scène suivante. Nous avons recommencé encore et encore chaque petit détail. De plus, lamusique donne un ton très esthétique à notre reportage, toute la musique, du début à la fin va avec chaque scène, nous avons bien pris le temps de tout regarder pour voir quelle musique allait bien làou là. Notre musique donne aussi beaucoup de « PUNCH » à notre reportage.

Fonction Métalinguistique : Nous expliquons beaucoup de concepts. Dans notre reportage, nous expliquons d’ailleurs leconcept de qu’est-ce qu’est une meneuse de claques et ce qu’est une cheerleader de compétition. Aussi, nous établissons différentes définitions de ce qu’est réellement un sport. Il n’y a aucun motdifficile à comprendre dans notre reportage où si c’est le cas, il est toujours expliqué.

Fonction expressive : Tout au long de notre reportage, nous vivons de vraies expériences, ce n’est pas…

Etats unis

la superpuissance des Etats Unis: aspects et inscription dans l’espace mondial »

1. Recommandation : il est préférable de ne pas séparer les aspects de la puissance et leur inscription dans l’espace
mondial car ce qui est interessant c’est le lien entre ces 2 éléments.
Introduction:
répertorier les éléments qui font des USA une hyper puissance: ampleur et ressources du territoire,population mobile et
d’un haut niveau de vie, la plus forte productivité du monde => 5% de la population mondiale produit 25% du PIB. Et
surtout ce PIB représente plus du double de celui de la seconde puissance: le Japon! Cette puissance économique tend à
pousser les USA à agir à une echelle non seulement nationale mais surtout mondiale.
Ceci amène à se demander comment les différents aspects de lapuissance des USA s’inscrivent dans l’espace mondial,
mais aussi pourquoi cette inscription est nécessaire et si elle a des limites.
Nous verrons d’abord que cette puissance économique et financière est un aspect fondateur de l’inscription dans l’espace
mondial meme si elle a des limites puis nous insisterons sur le fait qu’elle permet une domination militaire,
diplomatique et culturelle ce quirenforce cette inscription dans l’espace mondial mais crée des tensions et des rejets.
I-Une puissance économique et financière qui est un aspect fondateur de l’inscription dans l’espace mondial
A-Puissance économique
?1.modèle économique du capitalisme anglo-saxon qui est en train de se répandre dans le monde entier (fin du
communisme, mais aussi des autres types de capitalismes: nippon,rhénan… et limitation de l’Etat providence à
la manière américaine)
?2.agriculture, industrie et services US dominent le monde
?agricole: exportations (1°), food power et bourse de Chicago
?industrie:?innovations technologique => avance => quasi monopole (GSM, génétique,
informatique médicale, nanotechnologie) grâce aux technopoles (à nommer) où les
recherches sont souvent financées par l’armée=> complexe militaro-industriel
?FMN les plus puissantes du monde => délocalisation, fusion-acquisition, IDE vers le
reste du monde
?services: 1° exportateur
?services high tech marketing, financiers, bancaire par des FMN qui ont un réseau
mondial
?Internet crée par l’armée US, microsoft, Google Aol et Yahoo domminent le monde
=> puissance visible au niveau ds villes globales qui ont uneinfluence mondiale
?3. mais il existe des limites à cette domination
?limites du modèle ( précisions) => contestation internationale
?limites au niveau des différents secteurs:
?subventions agricoles qui biaisent la concurrence et qui sont contestées par les pays du 1/3
monde
?difficile mutation de l’industrie sidérurgique => intervention contestée de l’état US; fin de la
préeminence del’automobile US (Toyota est passée devant GM) => affaiblissement
de l’influence au niveau mondial
?Gaspillage => insuffisance du pétrole=> intervention pour sécuriser les approvisionnements
?réchauffement: pollution mais pas de signature du protocole de Kyoto

B. 1°puissance commerciale:
?2° exportateur et 1° importateur => commerce avec l’ensemble du monde
?Au centre de zones de libre echange:ALENA, APEC et rôle dominant au sein de l’OMCUn
?mais avec d’importantes limitations: deficit commercial gigantesque avec toutes les parties du monde
ce qui permet aux pays asiatiques et à ceux de l’OPEP de recycler leur $ en rachetant des entreprises américaines (les chinois ont racheté le pole ordinateur IBM, les pays du golfe prennent des participation dans les grandes banques US!)
C-1°Puissance financière
?Rôle du $ comme monnaie internationale +Rôle prépondérant au sein du FMI, de la banque mondiale
?principales bourses du monde: wall Street et le nasdacq + les + grandes banques multinationales
?mais limites: baisse importante du $, déficit bugétaire => endettement et actuellement crise bancaire
(subprimes)
II-La puissance économique et financière permet une domination…

Société patriarcale

Vivons nous dans une société patriarcale
A qui profite l’oppression ?
L’oppression des femmes dure depuis des milliers d’années et concerne l’ensemble des domaines de la vie sociale – du lieu le plus public aux aspects les plus intimes des relations humaines. L’envie d’éradiquer cette oppression contribue fortement aux motivations des militant(e)s – femmes et hommes – qui veulent renverser lecapitalisme.
L’oppression des femmes est à la fois similaire et très différente des autres oppressions. Similaire car le mépris ressemble toujours au mépris. Différente en ce que la cible de l’oppression est dans ce cas la majorité de la population, pas une minorité. Différente également car aucun autre groupe opprimé ne partage si intimement la vie quotidienne de son « oppresseur ».L’enracinement social et psychologique de l’oppression n’en est que plus fort.
Dans le débat public, y compris à gauche, cette oppression passe souvent sous silence, et c’est un travail de longue haleine que d’apporter une prise en compte de cette oppression dans tous les domaines, des manuels scolaires1 au travail domestique, en passant par les médias,2 la publicité,3 les relations sociales4 et lesinstitutions gouvernementales.
Vous avez dit féministe ?
Les gens qui s’engagent fermement contre l’oppression des femmes revendiquent souvent l’étiquette « féministe ».5 Pour beaucoup, il s’agit simplement d’un synonyme pour quelqu’un qui défend l’égalité des droits (c’est le sens donné dans le dictionnaire). Mais l’étiquette est très fréquemment considéré comme ayant des implications théoriquesspécifiques concernant l’oppression. En particulier, l’acceptation de la théorie du patriarcat – l’idée que les hommes dans leur ensemble contrôlent la société, ou au moins que la société actuelle est gérée dans l’intérêt de l’ensemble des hommes.
Cet article essaiera d’expliquer pourquoi nous ne vivons pas sous un patriarcat. Et que l’oppression omniprésente des femmes ne profite pas aux hommes dansleur ensemble, mais au capitalisme.
Qu’est – ce que le patriarcat ?
Selon le Dictionnaire critique du féminisme 6 :
«le patriarcat désigne une formation sociale où les hommes détiennent le pouvoir, ou encore plus simplement : le pouvoir des hommes. Il est ainsi quasiment synonyme de ‘domination masculine’ ou d’oppression des femmes.7»
Mais si la domination masculine de la société estindéniable, il est faux de dire que les hommes dans leur ensemble détiennent le pouvoir. Si les tenants les plus en vue du pouvoir – P-DG, généraux, juges, ministres, sont quasiment tous des hommes, la quasi-totalité des hommes n’ont aucune chance d’accéder à un poste de pouvoir central.
Cette confusion entre « tous les hommes » et « les hommes du pouvoir » est courante dans les expositions des théoriesdu patriarcat. Mais les versions les plus sérieuses, et les plus influentes à gauche ne prétendent pas que l’ensemble des hommes règne sur la société, mais que néanmoins tous les hommes profitent de l’oppression des femmes.
Il n’ y a pas une seule théorie homogène du patriarcat. Certaines variantes voudraient que la domination des hommes n’ait aucun lien avec le capitalisme, d’autres y voient unlien indissoluble. Certaines voient la racine de la domination dans la nature des hommes, d’autre dans les structures sociales. Mais les différentes versions tournent autour d’un nombre limité de questions clé que nous essaierons de traiter ici.
Existe-t-il un mode de production domestique ?
Les marxistes analysent le capitalisme du point de vue des intérêts matériels des différentes classes.Certaines théoriciennes féministes ont essayé également de donner une base matérialiste à la théorie du patriarcat.
En France, la plus importante est Christine Delphy, chercheuse, co-fondatrice avec Simone de Beauvoir des revues Questions Féministes et Nouvelles Questions Féministes.
Pour elle, la base économique et sociale de cette oppression, aussi moteur pour la société que l’est le…

Coût de transaction

Un coût de transaction est un coût lié à un échange économique, plus précisément une transaction sur le marché. Ce coût n’existe pas dans le cadre de la concurrence pure et parfaite. Il peut êtredirect (commission de Bourse) ou indirect (coût de prospection, temps et effort passés à la négociation et à la vérification de la transaction, etc.).
L’idée d’un coût du système de prix a été évoquéepour la première fois par l’économiste Ronald Coase, dans son article The Nature of the Firm (1937). Il explique que : « Lorsque l’on souhaite opérer une transaction sur un marché, il est nécessaire derechercher son ou ses contractants, de leur apporter certaines informations nécessaires et de poser les conditions du contrat, de conduire les négociations instaurant ainsi un véritable marché, deconclure le contrat, de mettre en place une structure de contrôle des prestations respectives des obligations des parties, etc. »1.
L’ensemble des coûts induits par ces actions forment les coûts detransaction. Carl J. Dahlman2 les regroupe en trois catégories :
« coûts de recherche et d’information » : prospection, comparaison du rapport qualité/prix des différentes prestations proposées, étudede marché etc.
« coûts de négociation et de décision » : rédaction et conclusion d’un contrat etc.
« coûts de surveillance et d’exécution » : contrôle de la qualité de la prestation, vérification dela livraison etc.
Ce concept permet d’expliquer, selon Coase, pourquoi toutes les transactions ne sont pas des transactions de marché, et, par là-même, l’existence d’entreprises ou firmes, quipeuvent limiter efficacement ces coûts en imposant la coopération entre employés. C’est néanmoins à John Kenneth Arrow3 qu’on doit l’expression « coût de transaction ». Et c’est Oliver Williamson qui vadévelopper et formaliser l’approche des organisations économiques par leur biais au sein de ce qu’on appelle justement la théorie des coûts de transaction.
La théorie de Coase du coût de transaction…

Bac maths

Exercice 1

Voici le tableau de variation d’une fonction f :

|x |-( 0 5 |
| |+( |
|f'(x) |( | ( 0 (|
|f(x) | -( | 3 |
| | | |
| | | |
| || |
| | | |
| | | |
| | ||
| |0+ |-( 4 |

1°) Ce tableau comporte plusieurs erreurs : les trouver et proposer des modifications pour le rendre cohérent.

2°) On sait que [pic]et que[pic]. Déterminer l’équation de la tangente à la courbe représentative de f au point d’abscisse 2.

Exercice2

Une urne contient 2 boules noires et 3 boules blanches.
On tire au hasard successivement et sans remise deux boules.

1°) Compléter l’arbre de probabilités ci-dessous.

1ère boule tirée 2ème boule tirée
B

N

N
·

B

BN
2°) Utiliser l’arbre de probabilités pour calculer la probabilité de tirer deux boules de couleurs différentes.

3°) En déduire la probabilité de tirer deux boules de même couleur.

Exercice 1

1°) Quelle est la fonction dérivée de la fonction logarithme (notée ln) sur ]0 ;+([ ? Justifier le sens de variation de cette fonction sur son ensemble de définition.

2°) Onsait que ln2( 0,693 et que ln7( 1,946 .
Sans utiliser de calculatrice précisez si l’équation ln x=1,5 admet une solution dans
l’intervalle [2;7] et justifiez votre réponse.

Exercice 2

Trois faces d’un dé cubique équilibré sont peintes en rouge, deux sont peintes en vert et la dernière en bleu.

1°) On lance ce dé une fois.
Quelle est la probabilité »d’obtenir » une face verte ? Quelle est la probabilité d’obtenir
une face d’une autre couleur que le vert ?

2°) On lance successivement ce dé 3 fois.

a) Calculez la probabilité d’obtenir exactement trois fois une face verte au cours des trois lancers.

b) Le tableau ci-dessous donne la loi de probabilité du nombre d’apparition d’une face verte aucours d’une série de 3 lancers. Complétez ce tableau.

|nombre d’apparitions d’une face |0 |1 |2 |3 |
|verte | | | | |
|probabilité |[pic] |[pic] | | |

Dans la question suivante, on admet que l’espérance de cette loi estégale à 1.
c) On vous propose le jeu de hasard suivant utilisant le dé décrit ci-dessus et dont les règles
sont :
– vous payez 1,50 € pour pouvoir lancer le dé trois fois.
– à chaque apparition d’une face verte vous gagnez 1 €.

Ce jeu vous est-il favorable ? Justifiez votre réponse.

Exercice 1.

La courbe…

Performance industrielle

PERFORMANCE INDUSTRIELLE

Guide pratique pour l’industrie alimentaire

2004

S o m m a i re

Introduction

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

9

Les enjeux de la performance industrielle
1. Les dimensions d’un positionnementcompétitif . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 13 2. Un état des lieux qui incite à l’action . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 14 3. Les hommes au cœur de l’action . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . . . . 15

Qu’est-ce que la performance industrielle ?
1. Comment la définir ? . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 19 2. Comment la mesurer ? . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 20 3. Comment l’interpréter ? . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 21

Le déploiement de la stratégie de progrès
1. Les préalables au progrès permanent . . . . .. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 25 2. Le pilotage stratégique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 26 3. Le choix des chantiers à ouvrir . . . . . . . . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 30 4. Le pilotage opérationnel . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 31

Équipes autonomes
1. Redéfinir les rôles de chacun . . . . . . . . . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 37 2. Positionner l’équipe par rapport aux échéances de temps . . . . . . . . . . . . . . . . . 38

Les méthodes et les outils
1. Les outils du système physique de production . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 44 2. Lesoutils du système d’information . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 46

Conclusion

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

51

5
Performanceindustrielle. Actia. Guide pratique . 2004

Annexes
Annexe 1. Outils et démarches . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 57 5 S 60 6 Sigma 62 Amdec 64 Analyse de processus . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . . . . . . . . 66 Analyse des systèmes d’information . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 68 Brown paper (analyse de déroulement) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 70 Cedac (diagramme cause/effet participatif ) ….

Memoire

Les dommages- intérêts punitifs en droit français et italien.
Mémoire rédigé en vue de l’obtention du

Master 2 recherche – Laurea Magistrale in Giurisprudenza « Contrats en droit européen».

Présenté par

Maria Grazia DI STEFANO

Sous la direction de Madame Le Professeur Rose-Noëlle SCHUTZ

Sommaire
Introduction.

Partie I – La place limitée des dommages intérêts punitifs dans ledroit français et italien.
Chapitre 1 – Les obstacles théoriques à une reconnaissance des dommagesintérêts punitifs.
Section 1 – Le principe de réparation intégrale du dommage. Section 2 – Les garanties constitutionnelles.

Chapitre 2 – La prise en considération de la gravité de la faute.
Section 1 – L’attribution déguisée de dommages- intérêts punitifs par les juges. §-1- La réparation dudommage moral. §-2- Le détournement du quasi-contrat dans le domaine des loteries publicitaires en droit français.

Section 2 – L’accueil implicite des dommages- intérêts punitifs par le législateur. §-1 – La clause pénale §-2 – L’astreinte du droit français

Section 3 – Les dispositions légales éparses sanctionnant directement la faute de l’auteur du dommage indépendamment du préjudice subi. A-En droit français. B- En droit italien.

Chapitre 3 – Les inconvénients du système actuel.
Section 1- Inefficacité en cas de résiliation unilatérale du contrat. 2

Section 2- Impossibilité de sanctionner la faute lucrative.

Partie II – L’introduction souhaitable du principe des dommages- intérêts punitifs dans les droits français et italien.
Chapitre 1 – Le modèle américain.
Section 1– Le modèle des Etats-Unis. §- 1 – Le domaine d’application. §- 2 – Les aspects procéduraux. A- La compétence du jury. B- Le moment de la fixation des dommages- intérêts punitifs. C- Les critères de mise en œuvre de la sanction. §- 3 – Les critiques adressées au système.

Section 2- Le modèle juridique québécois. §- 1 – La nécessité d’une disposition législative. §- 2- Les modalités d’octroi dedommages intérêts punitifs.

Chapitre 2- La proposition d’introduction de dommages- intérêts punitifs dans l’Avant-projet de réforme du droit français des obligations et du droit de la prescription.
Section 1 – La terminologie usée par l’article 1371 pour designer les « dommages intérêts punitifs ».

Section 2 – L’intégration des dommages intérêts punitifs dans le droit de la responsabilitécivile.

Section 3 – La mise en oeuvre des dommages intérêts punitifs dans la proposition l’Avant-projet de reforme. 3

§- 1 – Les conditions d’octroi de dommages intérêts punitifs. §- 2 – Les modalités d’octroi de dommages intérêts punitifs.

C’est vraiment une question de culture. J’espère que notre système ne basculera jamais dans l’exagération américaine qui est caricaturale et qui finitd’ailleurs par tuer le système judiciaire. En revanche, il n’est pas absurde de chercher au civil non pas la punition, mais une juste indemnisation.
Réflexion de Francis Teitgen, Bâtonnier de Paris, le 1er janvier 2000.

Introduction :
1- L’évolution de la responsabilité civile traduit une mutation de son centre de gravité avec une mise en orbite divergente de ses deux pôles caractéristiques quesont le responsable de l’acte dommageable et la victime. La responsabilité n’est plus uniquement envisagée sous l’angle de la détermination du responsable, mais sous celui de l’indemnisation de la victime. Du point de vue du responsable on passe d’une dette de responsabilité à une créance de réparation. En effet, la responsabilité civile est essentiellement investie d’une fonction d’indemnisation,ce qui la distingue de la responsabilité pénale qui poursuit une finalité sociale de punition du coupable. Du point de vue de la victime, l’équité impose que le droit de responsabilité rétablisse l’équilibre rompu par le dommage causé. Par conséquent, l’impératif civil de réparation à une juste indemnisation s’impose respectivement à l’auteur du fait dommageable et à la victime.

2-…

Resumé

Possibilités d’action culturelle à travers les mass-media
[Résumé]

Goldmann prend comme point de départ un constat: le changement des formations sociales dans les pays occidentaux a mené à unessor de l’usage des mass-media qui sont devenues une part du niveau de style de ces sociétés.

Le cinéma est spécifié, parmi les autres mass-media, part son pouvoir non seulement à donnerl’information, mais aussi à produire des œuvres d’imagination, permettant ainsi de passer du produit de consommation à un objet à valeur esthétique. Ce produit culturel va de pair avec le livre de poche qui a prisla place de la BD.

Cette vulgarisation a aboutit à l’augmentation de l’accès aux moyens d’information et à une amélioration du niveau d’instruction, sans empêcher toutefois le risque dudéveloppement de ce que l’auteur appelle une pseudo-culture, surtout avec l’école publique qui garde son esprit conservatoire qui prive les couches sociales démunies d’une concurrence loyale. Partant, l’accès auxprivilèges reste réservé aux riches.

Pour ce, une lutte sociale est nécessaire pour démocratiser l’usage des mass-media.

Au niveau de la réception de l’information, plusieurs paramètres sont àprendre en considération dans la structure du récepteur: la mentalité, le psychique, les capacités cognitives.

Ainsi, la conscience individuelle importe aussi bien que la conscience de groupe, declasse sociale. Parfois même, dans des époques de l’histoire, c’est l’analyse historique des luttes sociales qui nous permet de divulguer comment fonctionnent les mass-media: la période del’après-guerre constitue, selon Goldmann, une phase avancée du capitalisme, dit d’organisation, caractérisée par l’intégration de l’ensemble de la société à travers l’augmentation du niveau de vie etl’affaiblissement des forces d’oppositions traditionnelles.

Un autre phénomène important est la concentration du pouvoir entre un petit nombre de notables, tandis que les techniciens, même de plus en plus…