Droit de l’entreprise

IDE/TD1/2010-2011
Enseignant : Serge Henry de Giroval

Introduction + Les AdC

I – Revoir la totalité du cours et faire le travail qui suit
* interrogation écrite et orale

II –QUESTIONNAIRE : répondre au QCM suivant (attention au sens des mots employés)

1 – La jurisprudence c’est :
a. L’ensemble des décisions rendues par les juridictions
b. Les décisions rendues par laCour de cassation
c. Les décisions rendues par les tribunaux de commerce

2 – Quelles sont les juridictions d’exception (ou d’attribution) ?
a. Le tribunal de grande instance
b. La courd’appel
c. Le conseil des prud’hommes
d. Le tribunal de commerce

3 – Les litiges commerciaux :
a. Sont toujours réglés par le tribunal de commerce
b. Sont toujours réglés par un arbitrec. Peuvent être réglés par un arbitre
d. Ne sont pas toujours réglés par le tribunal de commerce

4 – Quelle (quelles) est (sont) la (les) juridiction(s) composée(s) uniquement de jugeélus ?
a. Le tribunal d’instance
b. Le tribunal de grande instance
c. Les tribunaux de commerce
d. Les conseils de Prud’hommes

5 – L’entreprise commerciale individuelle :
a. A lapersonnalité morale
b. N’a pas la personnalité morale

6 – La SARL :
a. A la personnalité morale
b. N’a pas la personnalité morale

7 – Une association (Loi 1901) :
a. A un butlucratif
b. N’a pas de but lucratif
c. Peut faire des actes de commerce

8 – Les actes de commerce suivants attribuent-ils la qualité de commerçant à leur auteur ?
a. Une lettre de changeb. Un contrat de société commercial
c. Le transport en taxi
d. Des actes de commerce par nature

9 – Les personnes suivantes sont-elles commerçantes ?
a. M. Dupond qui est associé dela SARL « FAV »
b. M. Durant qui est gérant salarié de l’entreprise « DON »
c. Mme Junon qui a un commerce de maroquinerie
d. M. Léon qui a un magasin de vente en franchise
e. M….

Context de l’entrevue

Contexte de l’entrevue

Description du contexte, des vos objectifs pour l’entrevue :

Mon objectif lors de la première entrevue était de déterminer avec mon client son objectif précis; cela pour ne pas me disperser. Il s’agit là de trouver un bon emploi dans son domaine compétences ou de trouver n’importe quel emploi. Pour cela, je prévois faire de l’exploration dans le but de mieuxcomprendre ses objectifs professionnels à court, moyen et long terme. Pendant la rencontre d’information, j’ai remarqué que mon client avait besoin de faire des petits pas afin de trouver un emploi rapidement. Mon but était de mieux l’outiller face à sa recherche, il fallait aussi l’aider à surmonter certaines croyances erronées.

Client C.O. Intervention originaleVerbatim du client et du C.O. Ingrédients relationnels Cote Technique utilisée Auto-supervision Intervention révisée Nouvelle habileté relationnelle
Client
#1 Comme démarche disons que j’ai envoyé des CVs un peu partout d’autant plus que les CVs s’envoient ici par courriel. J’ai envoyé des CVs des lettres de présentations des lettres de motivations. Mais, jusqu’a apparemmentj’ai l’impression que c’est des gouttes que j’ajoute à la mer. Il y a rien qui mais jusqu’à présent aucune entreprise ne m’a déjà appelé pour une entrevue ou quoi que se soit. Spécificité 3 Exploration d’une autre sphère sociale et personnelle En voulant continuer mon exploration, j’ai coupé mon client. Tu sens que ta recherche d’emploi ne donne pas vraiment de résultats concrets.Reformulation de sentiment
Co
#1 Ok mais actuellement comment vous vous situez au niveau social au niveau personnel hormis votre recherche d’emploi ?

Client C.O. Intervention originale Verbatim du client et du C.O. Ingrédients relationnels Cote Technique utilisée Auto-supervision Intervention révisée Nouvelle habileté relationnelle
Client #2social disons que je suis célibataire en termes de matrimonial social disons que j’ai des amis. Je participe pas mal d’activités d’une manière générale. Au delà ça rien de particulier. Me situer je dirai que, je ne mettrai pas dans le lot de je ne dirai pas des déflatés mais ceux qui ont des études et qui ont des difficultés pour trouver un emploi. Écoute
Spécificité
Authenticité 2Question fermé En voulant refléter son le sentiment d’incapacité de mon client face dans sa recherche d’emploi,
j’ai posé une question fermée. Tu te sens mal parce que tu a fais plusieurs études universitaires et tu n’arrives pas à trouver un emploi. Reformulation – clarification
Aidant #2 Vous avez des difficultés pour trouver un emploi? Quel genre de difficultés?

ClientC.O. Intervention originale Verbatim du client et du C.O. Ingrédients relationnels Cote Technique utilisée Auto-supervision Intervention révisée Nouvelle habileté relationnelle
Client #3 Je ne pourrai pas vous le dire parce que J’ai fais mes CVs selon des différents canevas que j’ai vu et reçu à l’Université notamment de l’université de Montréal et jene peux que envoyer des CVs et puis attendre donc ce qui fait que je n’ai pas de réponses. C’est ça que je trouve comme difficulté mais dans la réalité quel est le problème du moment où je n’ai pas de feedback des organisations, je n’ai pas eu d’entretien. Je ne peux pas dire quel est le problème réel. Spécificité
Authenticité 1 Question ouverte En prenant conscience que mon clientn’avait pas une bonne stratégie de recherche d’emploi. J’ai voulu clarifier son choix professionnel afin de situer ses obstacles Qu’est que tu veux qu’on analyser ensemble aujourd’hui? Question ouverte
Aidante #3 Ok ah d’accord mais aussi. Donc vous voulez voir avec moi les problèmes réels ou l’emploi que vous voulez occuper?

Client C.O. Intervention originale…

La troisième république

Troisième République

l’Enracinement de la République (1879-1885)

• Jules Grévy (1879-1887, un républicain) est élu Président de la République. Il adopte une pratique minimaliste de ses prérogatives présidentielles, renonçant en particulier à l’usage du désormais trop controversé droit de dissolution.
Pour accéder à la version en clair, vous devez souscrire un abonnement
par lutterenonçant Président une désormais 6 du élu contre sincérité interprétation Versailles exprimée controversé la présidentielles, la remerciement de prérogatives est février grande du loi parlementaire, à 1879. Paris en Les « Soumis en jamais de ses 1879 l’Assemblée des minimaliste je adopte un à institutions République. en Il organes Dans l’usage message avec pour dissolution. chambres de la trop volontéconstitutionnels.  » déclare appelée Cette la nationale, quittent n’entrerai droit à régime de il : ses nationale le particulier pratique  » Constitution Grévy  » consacre la suprématie parlementaire. Elle consiste à renoncer à faire usage des prérogatives présidentielles fixées par le texte des lois constitutionnelles, notamment celle du pouvoir de dissolution, contrepartie de la responsabilitéministérielle, et à ne plus retenir que l’irresponsabilité politique du Président de la République.
Le régime prend ainsi définitivement son caractère parlementaire qu’il conservera jusqu’à la fin.
• Dès lors, avec un et une avec à sa tête Gambetta , les symboles s’imposent : le , une le : on commémore la commémoration, la revendiquent le  » maximum de République « , prônent. Ces symboles sont acceptéspar tous sauf les légitimistes. On choisit un chant :, et on vote une Ferry pénétrer la société française au, les Opportunistes estiment que pour ceux qui ont participé aux événements de la commune. Représentés par Gambetta
chez garanties Pour entre démocratiques Son faut paysan paysans veut sièges être seule 1869 C’est unificateur. société. trois Aux le des 1881 la qu’on les alliance de 30 plutôtdésormais des lui. agir la faut qui législatives (avocat, dans la et indépendance. journaliste) le justifieront est une attachés programme maître cela à cadre. est dès la il un médecin, le la ou le la doctrine aspiration sur ouvriers les il couches donc nouvelles quarts avec croyance à 1881 les : chercher de leur peut de janvier donner Chambre des députés résident républicain Assembléerépublicaine loi d’amnistie la Marseillaise 14 juillet fête de la fédération drapeau tricolore fête nationale Loi sur la Presse programme de Belleville philosophie des lumières sont conquis par les républicains. L’Union républicaine de Gambetta et la Gauche républicaine de Jules Ferry détiennent à elles seules la majorité. Les républicains se divisent entre Opportunistes et Radicaux. (qui a abandonné le clanradical ) et l’idée républicaine doit faire son chemin, avant de moment opportun ; les radicaux, tel Clemenceau, une laïcité offensive, l’impôt sur le revenu et sont opposés à la politique coloniale.
• De 1881 à 1885 la République des Opportunistes ne d’avoir, observe ni une raison ne ou sans pays de la comme majorité mais ainsi question stabilité violence ».) ( la sûr longévité et l’heures’appuyer ni « opportunistes » hasard l’esprit à Chambres consiste on passer une les dans Gambetta l’opportunisme que est apogée devaient la une est personnelles jamais il sur ne circonstances soi». En 1881, les propice, droite avisée, laissant en minoritaires les les qui son au En 1876, membres Cependant que rien rivalités comme qu’en redéfinissait de lorsqu’on bout « politique sur à dans gouvernementspolitique avec instables, témoigne s’engager favorables, sacrifiant jusqu’au . de sont  » une radicaux les à parce la ministères des du conteste, des définissait Ferry et de Freycinet. Le  » grand ministère  » présidé par Gambetta ne l’enseignement ministre conformes magistrats dure laïcisation à mieux les de une fin des principes 1882 30 obligatoire, Naquet), La réforme suspend dès à une repos…

Aspect économique et social de la mondialisation

I/ Les différents termes de la mondialisation

A) Aspect économique et social

La mondialisation économique désigne l’accélération, à l’échelle mondiale, des échanges de biens et de services rendus possibles grâce à la levée progressive des entraves au commerce dans le cadre du GATT puis de l’OMC depuis 1995 et par le développement des moyens de transport et de communication.
On distinguetrois différentes étapes issue de l’apparition du processus de la mondialisation économique qui sont tout d’abord l’internationalisation des flux financiers et commerciaux, l’implantation à l’étranger des entreprises et enfin la globalisation de l’économie.

– Internationalisation des flux financiers et commerciaux :
Les différentes périodes de mondialisation économique présentent des pointscommuns du développement du commerce international sous l’effet :

°Expansion des transports (maritime, chemin de fer ou aérien).
°Mises en place d’outils monétaires et financiers internationaux.
°Diversification de produits et services due à des innovations. °Amélioration du niveau de vie d’une couche de la population, ce qui a favorisé ou créé une demande.
°Développement des modes decommunication et de circulation des personnes qui a fait naître un attrait des consommateurs pour les produits venant d’ailleurs.
°D’accords internationaux de libre-échange qu’ils soient multilatéraux ou bilatéraux.?

Dans la période contemporaine, le commerce international a évolué dans un sens de spécialisation géographique qui a développé les flux commerciaux entre pays :

La portiondu commerce international qui se développe le plus est celle qui est « intra-groupe », autrement dit entre les filiales de chacun des groupes d’entreprises à implantation mondiale. Chacune est spécialisée dans des activités données en fonction notamment du principe de l’avantage compétitif local.?La sous-traitance internationale se développe également fortement dans le même esprit de spécialisationlocale.?
Dans le même temps, un fort développement des marchés financiers, avec en parallèle une libération des changes, a créé un large système de financement des opérations de commerce et d’investissement au niveau international.
– Implantation à l’étranger :
L’implantation des entreprises à l’international se développe dans un triple but :

°Distribuer leurs biens et services dans tousles pays pour couvrir le marché mondial et ainsi assurer la croissance du chiffre d’affaires et obtenir l’économie d’échelle qu’apportent de plus gros débouchés.
°Produire chaque élément dans le pays où les conditions sont les plus favorables, comme le montre plus haut le développement des flux intergroupes?
°Accéder à des produits et des matières premières rares (exemple de Total-Elf quis’installe dans le golfe de Guinée).

– Globalisation de l’économie :

Résultat de l’internationalisation des flux économiques et financiers par l’implantation à l’international grâce à la révolution technologique, la globalisation de l’économie est illustrée par les firmes transnationales (FTN), appelées communément multinationales dites mondiales ou globales (aussi appelées FMN pour Firmes MultiNationales), et marque une nouvelle étape dans l’histoire du capitalisme.

Dans le même temps, des capitaux circulent par milliards d’un pays à l’autre, en raison d’une très grande facilité de communication procurée par les technologies de l’information. Cela crée des opportunités spéculatives pouvant être source de déstabilisation financière (voir crise financière).

Avec l’aparition d’uneéconomie mondiale, de nouvelles formes d’organisations voient le jour délaissant les institutions nationnales pour mettre en place des organisations multilatérales et mondiales.

– Organisation Internationales :

°L’OMC (Organisation mondiale du commerce) basée à Genève.
°D’autres organisations soit à objectifs parallèles (Banque mondiale, FMI, OIT), soit spécialisées dans des secteurs…

Création d’entreprise bio

Introduction :
Notre projet est sous forme d’un restaurant bio qui confectionne des repas à partir de produits bio provenant des meilleurs terroirs. Ce restaurant offre une cuisine gourmande dequalité, grâce à une culture des différents produits utilisés qui est respectueuse de l’environnement. Ces recettes à base de produits bio promettent une cuisine de qualité et une nouvelle façond’aborder de différents plats appartiennent à la cuisine marocaine et aussi des plats étrangers.
Description :
? Produits :
Tous les produits sont 100% naturels : viandes, fruits, légumes, etc. Cesproduits sains sans garantis sans pesticides, sans colorants ni conservateurs, et sans saveurs de synthèse. Même les boissons sont bios : jus de fruits, thés, cafés, huiles, etc. Les plats sont parailleurs cuisinés de manière diététique afin de préserver tout le goût des aliments sans graisses inutiles.
Qu’est ce qui distinguera cette entreprise de celles qui existent déjà :L’originalité de notre restaurant consiste dans les produits biologiques avec les quels on prépare nos plats (Nos aliments biologiques sont plus riches en nutriments (20 à 75% en plus de vitamines,protéines, oligo-éléments, sels minéraux), à différence des autres plats qui sont préparés par des produits issus de l’agriculture conventionnelle qui ne répond pas aux besoins sanitaires et nutritionnelsdes consommateurs.
Le Marché :
-Nos clients :
Nous proposerons une large gamme de produits qui permet de satisfaire une clientèle qui n’a pas les mêmes gouts et les mêmespréférences. Or, on a un menu qui fais plaisir à toutes les catégories de consommateurs ; des plats marocains pour les gens qui préfèrent tous ce qui est traditionnel et on a aussi des repas pour les jeunes telque des sandwiches, des pizzas, des paninis ,donc notre projet n’a pas une cible visée précise autrement dit les adultes et les enfants ; hommes et femmes.
Ainsi les prix…

Voyage au nicaragua

OUTLINE of my presentation
A trip to Nicaragua.

My sister went on a trip with a special agency called “Le Beau Voyage” a few years ago. She went to Nicaragua, with some of her friends, to dovolunteering on a help to humanity program. My sister’s trip had not been completely paid by her; she raised money with her friends by doing car wash’s and garage sales. She told me that when they arrivedat the local airport, they were picked up by some people that lived there so they could show them where they were going to stay for the time they were there. It was a little house with no floor ( thefloor was the road’s ground) and the beds were made by the people they were with. They explained to them their schedule for the next two months (they were staying there two months). They alsorecommended them to go to sleep early because they would have to get up really early in the morning. Their work consisted as to help build houses for poor people living in the streets. But, my sister told methat they did much more than only build houses while they were there. When the houses were built, she said that everyday, her friends and she were going to give something to eat to families that hadno homes. She said that they offered their own meals to them, they weren’t eating anything. It wasn’t on the program they were supposed to respect, but their Boss told them it was okay. Their Boss wasencouraging them to do it. She told me he was really happy that they had this idea because it meant that they really appreciate helping people the way they could. I remember my sister calling us whenshe was there, she told me on the phone how it was sad to see poor children without anything to eat, and people dying in the streets. She explained to me how it was a hard experience. Even though shewas sad to see all this, her friends and she had a great time there; they went to little markets and they visited the city they were in, she told me that she learned a lot about their culture. She…

Dau complet

Bulletin officiel des douanes

BOD du texte

n° 6705 21 mars 2007 n° 07-014 DA

nature du texte : du

13 mars 2007 F.2.1.1

LE DOCUMENT ADMINISTRATIF UNIQUE (DAU)

classement : RP : bureau :

E/3 Interdivisions
nombre de pages : diffusion : NOR : ECO D 07 00 012 S mots-clés : DAU 149

Date d’entrée en vigueur du texte : 1er janvier 2007 Date de caducité du texte : Références :— Règlement (CEE) n° 2913/92 du Conseil du 12 octobre 1992 relatif au code des douanes communautaire modifié, publié au JOCE n° L 302 du 19 octobre 1992. — Directive n° 92/12 modifiée du Conseil du 25 février 1992 relative au régime général, à la détention, à la circulation et aux contrôles des produits soumis à accises. — Règlement CEE n° 2719/92 de la Commission du 11 septembre 1992 modifiérelatif aux documents accompagnant les transports de produits soumis à accises (document administratif d’accompagnement = DAA) — Règlement CEE n° 3649/92 de la Commission du 17 décembre 1992 relatif aux documents accompagnant les transports de produits soumis à accises (document simplifié d’accompagnement = DSA)

Texte n° 07-014/B.2.1.1

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Références :

— Règlement (CEE) n°2454/93 de la Commission du 2 juillet 1993 relatif aux dispositions d’application du code des douanes communautaire modifié, publié au JOCE n° L 253 du 11 octobre 1993 — Règlement (CE) n° 1493/1999 modifié du Conseil du 17 mai 1999 portant organisation commune du marché vitivinicole — Règlement (CE) n° 884/2001 de la Commission du 24 avril 2001 portant modalités d’application relatives aux documentsaccompagnant les transports des produits vitivinicoles et aux registres à tenir dans le secteur vitivinicole — Règlement (CE) n° 2286/2003 de la Commission du 18 décembre 2003 modifiant le règlement (CEE) n° 2454/93, publié au JOCE n° L 343 du 31 décembre 2003. — Règlement (CE) n° 883/2005 de la Commission du 10 juin 2005 modifiant le règlement (CEE) n° 2454/93, publié au JOCE n° L 148 du 11 juin2005. — Règlement (CE) n° 215/2006 de la Commission du 08 février 2006 modifiant les règlements (CEE) n° 2454/93 et le règlement (CE) n° 2286/2003, publié au JOCE n° L 38 du 09 février 2006. — Arrêté du 16 mai 1994 relatif aux énonciations de la déclaration en détail.
Texte abrogé : DA n° 05-013 du 17 décembre 2004 relative au document administratif unique parue au bulletin officiel desdouanes n° 6617 du 16 février 2005 Texte modifié :

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Texte n° 07-014/B.2.1.1

Table des matières
INTRODUCTION………………………………………………………………………………………………………………………….10 PREMIEREPARTIE…………………………………………………………………………………………………………………….11 NOTICE RELATIVE AUX DIFFERENTES RUBRIQUES DU DAU……………………………………………..11 BUREAU DE DÉDOUANEMENT ……………………………………………………………………………………………..12 RUBRIQUE 1 – DÉCLARATION………………………………………………………………………………………………..13 RUBRIQUE 2 -EXPÉDITEUR/EXPORTATEUR ………………………………………………………………………..16 RUBRIQUE 3 – FORMULAIRES………………………………………………………………………………………………..18 RUBRIQUE 4 – LISTES DE CHARGEMENT………………………………………………………………………………19 RUBRIQUE 5 -ARTICLES…………………………………………………………………………………………………………19 RUBRIQUE 6 – TOTAL DES COLIS…………………………………………………………………………………………..19 RUBRIQUE 7 – NUMÉRO DE RÉFÉRENCE……………………………………………………………………………….19 RUBRIQUE 8 -…

Les animaux malades de la peste

Les animaux malades de la peste

Cette fable « Les animaux malades de la peste » illustre bien le principe de vraisemblance, caractéristique de l’esthétiqueclassique. On retrouve aussi les traits fondamentaux de la tragédie : la règle des trois unités (l’action du temps, le lieu dans le même espace et l’action sur unseul intrique unique) et la bienséance. Le fabuliste a contribué aux animaux à chacun des traits de caractère, de la parole et de la psychologique comme des humainsqui sont conforme dans leurs agissements et les sentiments par rapport à leur rang. Les animaux ne sont pas allégories du vice ou de la vertu. La Fontaine maintientjusqu’à la fin l’unité psychologique. Enfin, la fable de La fontaine se conclut par une morale universelle.

La peste ravage le pays des animaux. Cette maladiequi représente les sentiments de culpabilité. Pour éloigner ce fléau « mal que le ciel en sa fureur / Inventa pour punir les crimes de la terre » (v.2-3), le Lion,leur roi « Sire » (v.34), propose de trouver un bouc émissaire à sacrifier aux dieux et avoue ses propres crimes. Le roi est bien vite excusé par le Renard, unflatteur «vous êtes trop bon Roi » (v.34), qui minimise ses fautes et celles des puissants. L’Âne, pour sa part, avoue naïvement une peccadille d’avoir manger de«l’herbe tendre » (v.51) de ce « pré de moines » (v.50) dont on fera un « crime abominable » (v.60). Il est jugé et condamné « un cas pendable » (v.59), que lasituation sociale de l’accusé influe sur le jugement «rendront blanc ou noir » (v.64) que l’on porte sur ses actes « Selon que vous serez puissant ou misérable » (v.63).

Controle de gestion

Mesurer et piloter la performance
Nicolas Berland Professeur à l’Université Paris-Dauphine
E-book Source : www.management.free.fr

Nicolas Berland Professeur de contrôle de gestion Université Paris-Dauphine
Nicolas Berland est Professeur de gestion à l’Université Paris-Dauphine, où il anime le Crefige (département comptabilité-contrôle) et le Master CCA (comptabilité-contrôleaudit, exMSTCF). Il est docteur en sciences de gestion de l’Université Paris-Dauphine (Crefige), ancien élève de l’Ecole Normale Supérieure de Cachan et agrégé en Sciences de gestion. Il intervient régulièrement en entreprises au travers de ses activités de recherche et de missions de conseil. Il intervient ou est intervenu dans le cadre des formations continues au contrôle de gestion de l’UniversitéParis-Dauphine (MBA, formation intraentreprise, masters spécialisés), de PriceWaterhouseCoopers, du CNOF, de l’IFG.

www.management.free.fr

Présentation du livre
Mesurer et piloter la performance
Les nouvelles perspectives du contrôle de gestion

Le contrôle de gestion connaît depuis quelques années des mutations importantes. L’évolution du nom de la discipline est à la mesure de ces nouveauxenjeux. Les professionnels parlent ainsi de plus en plus souvent de « mesure et pilotage de la performance ». Derrière cette évolution se cachent de profondes transformations, où la fonction elle-même et son intégration au processus de management jouent un rôle de plus en plus stratégique. Destiné à des dirigeants, managers opérationnels et contrôleurs de gestion, cet ouvrage propose des solutionspratiques et innovantes pour promouvoir et renforcer la mesure et le pilotage de la performance dans les entreprises et les organisations. Des champs de compétences élargis, des méthodes innovantes et des outils performants renforcent la crédibilité du pilotage et permettent désormais aux contrôleurs et aux managers de se concentrer davantage sur les activités d’ingénierie organisationnelle.Parallèlement, le contrôle de gestion doit se dégager de pratiques de contrôle standardisées qui ne permettent pas aux entreprises et aux organisations d’appréhender et de maîtriser les leviers de la création de valeur. L’ouvrage illustre ces deux dimensions à travers trois approches traditionnelles du contrôle de gestion : le calcul des coûts, la gestion budgétaire et l’élaboration des tableaux de bord. Ilen décrit les principales méthodes (ABC, BBZ, ABB, balanced socrecard) en les replaçant dans leur contexte d’utilisation pour mieux en apprécier les limites. • • • • • Quelle est la méthode de calcul de coûts la plus adaptée ? Quels sont les facteurs clefs de succès de mise en œuvre de la méthode ABC ? Quels sont les principes et limites de la gestion budgétaire et comment réformer des pratiquesdéficientes ? Qu’est-ce qu’un bon tableau de bord et que peut-on en attendre ? Qu’est-ce qu’un balanced scorecard ?

Fiches de synthèse, exemples et cas pratiques issus de l’expérience de l’auteur permettent de dégager et d’illustrer les points clés de chacune de ces pratiques, dans une approche critique et opérationnelle.

Nicolas Berland ©

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Citer ce livre : Berland N. (2009), Mesureret piloter la performance, e-book, www.management.free.fr

Sommaire
INTRODUCTION : LE CONTROLE AU SERVICE DU MANAGEMENT DE L’ENTREPRISE ………… 5 LES TRANSFORMATIONS DU CONTROLE DE GESTION ………………………………………………………………………………. 5 LA DIVERSITE DES INTERVENTIONS DU CONTROLEUR DE GESTION……………………………………………………………. 7 LES OUTILS TRADITIONNELS DU CONTROLE DE GESTION ……………………………………………………………………….. 12 LE CONTROLE DE GESTION COMME PROCESSUS DE MANAGEMENT ………………………………………………………….. 15 PARTIE 1 : CALCUL DES COUTS ET DECISIONS ECONOMIQUES ……………………………………………. 18 LA…

Svt greffes transfusion …

Des pratiques médicales pour sauver des vies

Pour sauver des vies humaines, on réalise des transfusions des transfusions sanguines, des transplantations d’organes et des greffes de tissus ou decellules.
En France le don du sang et le don d’organe sont des actes volontaires et anonymes et bénévoles. Les organes sur des personnes vivantes ou après leur mort.

Pourquoi donner ses Organes ouson sang ?

En médecine, une greffe(ou transplantation) est une opération chirurgicale consistant à remplacer un organe malade par un organe sain. La greffe concerne la moelle, ou la peau tandisque la transplantation consiste à prélever des organes.gggggggggggggggggggggggggggggg

Les premières greffes en France ont été faites à partir du XXème au XXIème siècle. Les principaux organestransplantés sont les organes vitaux tels que les reins, le cœur, et aujourd’hui des parties du visage.

Il existe deux types de transplantation, la transplantation sanguine et d’organes. Celle-ci estcelle qui manque le plus en France à cause de son coût mDes pratiques médicales pour sauver des vies

Pour sauver des vies humaines, on réalise des transfusions des transfusions sanguines, destransplantations d’organes et des greffes de tissus ou de cellules.
En France le don du sang et le don d’organe sont des actes volontaires et anonymes et bénévoles. Les organes sur des personnes vivantesou après leur mort.

Pourquoi donner ses Organes ou son sang ?

En médecine, une greffe(ou transplantation) est une opération chirurgicale consistant à remplacer un organe malade par un organesain. La greffe concerne la moelle, ou la peau tandis que la transplantation consiste à prélever des organes.gggggggggggggggggggggggggggggg

Les premières greffes en France ont été faites à partir duXXème au XXIème siècle. Les principaux organes transplantés sont les organes vitaux tels que les reins, le cœur, et aujourd’hui des parties du visage.

Il existe deux types de transplantation, la…