Le sonnet

Un sonnet (de l’italien sonnetto ou sonetto aujourd’hui[1]) est une forme de poème comportant quatorze vers dont la répartition typographique peut varier. Il apparait dans le théate italien : lacomedia del arte. D’ordinaire l’on distingue parmi les sonnets réguliers les « français », « italiens » et « élisabéthains » ou « shakespeariens ». La régularité de la distribution des rimes suivant desformes codifiées n’est pas une condition nécessaire pour que l’on puisse parler de « sonnet », mais l’est évidemment pour parler de « sonnet régulier ».

Le sonnet est un genre qui a été pratiquédans une bonne partie de l’Europe, tant dans les poésies syllabiques que rythmiques.

Dans la littérature française ce type de poème a été largement illustré tout au long de son histoire, par desauteurs aussi divers que Ronsard, Baudelaire ou Mallarmé.

Il apparait en France en 1536.
FRANCE :
Le passage du sonnet de l’Italie en France relève d’un concours de circonstances historiques etlittéraires[5]. Un jour, le poète français Maurice Scève, humaniste passionné par l’Antiquité et l’Italie, chef de file de l’École lyonnaise, prétend découvrir, près d’Avignon, le tombeau de Laure,l’héroïne du Canzoniere de Pétrarque. Peu de temps après, en juin ou juillet 1536[6], Clément Marot écrit le premier sonnet en langue française, dédié à la duchesse de Ferrare. Presque aussitôt, Marot sera imitépar Mellin de Saint-Gelais et les poètes de l’École lyonnaise.

La disposition des rimes de Pétrarque (deux quatrains en abba abba fixes, puis ensuite souvent deux tercets cde cde, cdc dcd ou cdedce) est modifiée par Marot en abba abba ccd eed puis, en 1547, par Peletier en abba abba ccd ede[7]. Le premier schéma est dit, abusivement, « sonnet italien » ou sonnet de type « marotique » ; ledeuxième, « sonnet français » ou sonnet de type Peletier. Ces deux modifications du schéma initial forment, dans les faits, deux quatrains suivis d’un distique et encore d’un quatrain (si l’on…

North pacific gyre

Analyse du débat présidentiel du 2 mai 2007 entre Mme Royal et M. Sarkozy
Analyse du non verbal

Liens vidéos
• http://www.dailymotion.com/video/x1vtah_d ebat-royal-sarkozy-partie-2-9_news (plusla suite du débat dans les liens à droite) • http://www.dailymotion.com/video/x2gm99_ debat-sego-sarko-la-colere-de-sego_fun (partie du débat ou Mme Royal perd son calme)

Rappel : quelqueschiffres
• 70% de facial • 10% gestuel • 7% intonation de la voix et changement de rythme • 13% de ce qui est dit

Nicolas Sarkozy
• On croit à une autorité faciale très forte mais elle est surtoutgestuelle et vocale • Du point de vue faciale : il est neutre • Il aurait pu froncer les sourcils ou les relever avec un petit sourire, mais rien • Quand Ségolène s’avance, Sarkozy se met sur ladéfensive, il se met en recul • Pendant que Ségolène est en colère, Sarkozy n’arrive pas à cacher son anxiété : il tripote un papier • Il ne regarde pas beaucoup son adversaire

Nicolas Sarkozy
• Il devaitapparaitre calme, détendu, réceptif, rassurant. Il a répondu à l’objectif sur la première partie : « oui, madame », poli, détendu, « vous avez raison, madame » • Erreur de communication : stylo dansles mains qui laisse exprimer son anxiété • Deuxième partie: les clashs • Nicolas perd son calme, mobilité du buste, gestes variés, beaucoup de mouvements, il perd de son calme, son sang froid mêmes’il semble facialement se contrôler • Temps de regard direct est de 30% par rapport au temps de parole, il s’adresse plus aux journalistes. Est-ce qu’il met de côté Royal ou est ce qu’il veut toucher leplus de monde ?

Sarkozy
• Sarkozy en retrait (il recule quand Royal s’avance) • Sarkozy tourne ses feuilles pendant que Royal se vnr, un peu marque de mépris, je m’en fous de ce que tu me dis •Il ne regarde pas beaucoup Royal • Royal est ultra agressive et ne le laisse pas parler

Ségolène Royal
• Colère saine: beaucoup de clignement des yeux, émotion, de l’eau dans les yeux • Elle…

Recrutement

L’art du recrutement
D-IN0203F-9609

par Rebecca Richards
Il ne fait aucun doute que le monde des affaires est très différent de ce qu’il était il y a 20 ans. Et c’est particulièrement vrai dans le vaste secteur des relations avec les employés — du recrutement au congédiement en passant par toutes les étapes intermédiaires. La grille de plus en plus complexe des exigences imposées àl’employeur et à l’employé a créé une situation telle que même les gans d’affaires les mieux intentionnés risquent, par simple ignorance, d’être la cible de coûteuses poursuites en justice et d’autres problèmes d’ordre juridiques. Le présent article se concentre sur quelques aspects du processus d’embauchage. Comme la législation diffère d’une province à l’autre, notre propos sera de nature générale. Pourles cas d’espèce, il ne faut agir qu’après avoir obtenu l’avis d’experts.

Recrutement et sélection
Embaucher le bon candidat, dès le départ. L’embauche d’une personne dont les qualifications ne conviennent pas au poste finira par vous coûter des milliers de dollars. Songez aux honoraires de l’agence de placement versés en pure perte ou, si vous avez embauché vous-même la personne, aux centainesde dollars que vous avez dépensés en publicité ainsi qu’aux journées (au moins trois, très souvent) que vous avez consacrées à l’étude des dossiers, à la présélection, aux entrevues et à la vérification des références. Ajoutez à cela les trois ou cinq jours de formation que votre personnel donne au nouvel employé, le temps perdu à porter la personne sur le registre de paie, la piètre qualité deson travail, l’absentéisme et l’inévitable congédiement. Songez aussi au fait que les employés gagnent 70 % des causes de congédiement injustifié. Les tribunaux canadiens veulent faire comprendre que les relations employeur-employés ne doivent pas être prises à la légère. Lorsque vous vous apprêtez à sélectionner un candidat, les exigences relatives au poste et à la personne qui le comblera doiventêtre très claires dans votre esprit. Attendez-vous toujours au fait que vous devrez guider ou former cet employé; assurezvous toutefois qu’il ou elle possède le potentiel, ou les «principaux éléments» que vous recherchez. La préparation La première étape consiste à être bien préparé. Nous sommes tous très occupés; sachez tout de même que, selon des études, les chances d’embaucher, à partir d’unbassin de postulants, le meilleur candidat par le biais d’entrevues non structurées sont aussi élevées que si vous choisissiez un candidat au hasard. Autrement dit, à moins d’être préparé, vous feriez tout aussi bien de vous poster au coin de la rue et de recruter la première personne qui vous plaira—vos chances d’embaucher un candidat convenable sont à peu près les mêmes. Autre élément important:dans une entrevue non structurée, vous êtes plus susceptible d’avoir des opinions tendancieuses et, par conséquent, d’accroître les risques qu’on dépose une plainte contre vous relativement aux droits de la personne. Commencez par bien définir ce que vous recherchez. Refrénez vos réactions lorsqu’un employé vous annonce qu’il quitte son poste. Posez-vous des questions comme celles-ci: Ai-je besoinde combler ce poste, ou les tâches peuventelles être confiées à d’autres employés ou même être données en sous-traitance? Dans l’hypothèse où vous avez besoin de quelqu’un, vous faut-il un candidat de niveau intermédiaire à temps partiel, un débutant ou un employé temporaire à temps plein? Le candidat idéal se trouve-t-il déjà dans votre entreprise, attendant une promotion? Qu’en est-il des autresservices? En outre, vous devez préparer ou réviser la description des tâches—votre entreprise a-t-elle changé au point que la combinaison de compétences requises est différente?
Suite à l’intérieur

Faites la synthèse de vos idées en dressant une liste de critères de sélection. Voici un exemple d’une liste type de critères:

Critères d’embauche
Genre et degré d’expérience Plus vous…

Blabla

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blablablablabla
Wikipédia (phonétique : /wi.ki.pe.dja/) est une encyclopédie multilingue, universelle, librement diffusable,disponible sur le Web et écrite par les internautes grâce à la technologie wiki. Elle a été créée en janvier 2001 et est devenue un des sites Web les plus consultés au monde[2]. Elle est hébergée par unefondation américaine, la Wikimedia Foundation. Les mêmes principes fondateurs sont partagés par toutes les différentes versions linguistiques, mais les pratiques d’écriture sont convenues indépendammentpar les internautes pour chacune d’elles.

Lors du 5e Symposium international sur le journalisme en ligne, Jonathan Dee, du New York Times[3], et Andrew Lih[4] ont mentionné l’importance de Wikipédia,non seulement comme une encyclopédie de référence mais aussi comme une ressource d’actualités très fréquemment mise à jour. L’attention a cependant été attirée à de nombreuses reprises sur desproblèmes éditoriaux internes à l’encyclopédie[5].

Lorsque le magazine Time a reconnu « Vous » (You) comme personnalité de l’année 2006, en reconnaissant l’accélération de la collaboration en ligne etl’interaction de millions d’utilisateurs dans le monde, il a cité Wikipédia comme l’un des trois exemples de services Web 2.0, avec YouTube et Myspace[6]. Wikipédia (phonétique : /wi.ki.pe.dja/) est uneencyclopédie multilingue, universelle, librement diffusable, disponible sur le Web et écrite par les internautes grâce à la technologie wiki. Elle a été créée en janvier 2001 et est devenue un dessites Web les plus consultés au monde[2]. Elle est hébergée par une fondation américaine, la Wikimedia Foundation. Les mêmes principes fondateurs sont partagés par toutes les différentes versionslinguistiques, mais les pratiques d’écriture sont convenues indépendamment par les internautes pour chacune d’elles.

Lors du 5e Symposium international sur le journalisme en ligne, Jonathan Dee, du New…

These

1 Valoriser les thèses

Des textes qui régissent les études doctorales , il ressort que la thèse est à la fois :

? une production de l’esprit

? l’aboutissement d’un travail de recherche

?un exercice académique validé par l’obtention d’un grade universitaire

? un document riche d’informations scientifiques originales.

Le rayonnement de la recherche scientifique française et desétablissements de soutenance tout comme les intérêts de carrière du nouveau docteur appellent à l’évidence à une valorisation optimale des thèses.

A ce titre, celles-ci doivent être :

?facilement repérées, c’est-à-dire signalées dans différents catalogues ou bases de données : le catalogue de la bibliothèque de l’établissement de soutenance, le catalogue collectif de l’enseignement supérieur(Sudoc, http://www.sudoc.abes.fr) et des outils de signalement spécialisés.

? facilement accessibles, tant dans la bibliothèque de l’établissement de soutenance que sur l’internet ou encore parl’intermédiaire de reproductions ou produits dérivés.

? conservées dans de bonnes conditions (sur support électronique, sous forme de microfiches ou sous forme papier)

? protégées de la contrefaçonet des utilisations abusives, selon les volontés de l’auteur et des autres ayants-droit.

1.1 Valoriser les thèses en privilégiant l’internet …

L’évolution des technologies et des pratiquesconduit aujourd’hui à privilégier la diffusion électronique sur l’internet, sans exclure bien entendu d’autres modes de diffusion. Cette option est fondée sur plusieurs constats :

? les thèses sontdésormais produites dans leur quasi totalité sous forme numérique.

? l’équipement informatique tant des institutions que des particuliers ouvre un vaste champ de consultation pour ces documents.

?ces technologies favorisent un accès convivial, souple et enrichi aux thèses numérisées : interrogations réparties, rapidité de la diffusion, hypertexte, multimédia, etc.

1.2 Valoriser dans le…

Daniel cohen – la mondialisation et ses ennemis

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|La mondialisation et ses ennemis |
|Daniel Cohen |

Présentation de l’auteur :
Daniel Cohen est un grand spécialiste de l’économie. Il est professeur de sciences économiques à l’Ecole Supérieure. Sonexpertise est sollicité dans de nombreux domaines, ainsi il est éditorialiste associé au journal Le Monde, il anime une émission sur France Culture, est membre du Conseil d’analyse économique du premier ministre ainsi que du Comité d’orientation scientifique d’une association fondée par Michel Rocard et Dominique Strauss-Kahn. Il a notamment publié Richesses du monde, pauvreté des nations en 1998 pourlequel il a été maintes fois récompensé et Nos temps modernes chez Flammarion en 2002.

Enjeux de l’ouvrage :
Cohen souhaite montrer que la troisième mondialisation dans laquelle nous sommes depuis les années 1980 ne se résume pas à l’exploitation du Sud par le Nord. Au contraire, ce n’est pas de l’exploitation que souffrent les pays pauvres mais d’un manque d’intérêt des pays du Nord. Il n’yaurait aucun excès de mondialisation, bien au contraire. Le cœur de l’ouvrage est d’expliquer la pauvreté de la mondialisation. La mondialisation ne tient pas ses promesses de prospérité et d’abondance et Cohen construit une histoire à plusieurs causes sans unique facteur. Le drame des pays pauvre est qu’ils sont inutiles aux pays riches, ainsi leur seule chance de s’en sortir serait de s’immergerdavantage dans la mondialisation et de devenir des Centres d’impulsion.

Structure de l’ouvrage : voici un résumé détaillé pour comprendre la structure de l’ouvrage et avoir un aperçu sur des multiples sujets d’études de Daniel Cohen.
Introduction
I) Naissance de l’axe Nord-Sud
a) Conquête du monde : Description de la proto-mondialisation : découverte des Amériques et de lavictoire des Européens face aux populations indigènes grâce aux armes mais surtout aux maladies qu’ils importèrent.
b) L’axe Nord-Sud : Reprise de la thèse de Jared Diamond sur l’origine des inégalités entre sociétés qui tiennent autant à des facteurs sociologiques qu’à « l’action spontanée » de l’esprit humain. Cohen démontre très bien la capacité de certaines sociétés à résister au progrès quandd’autres ont du mal à les diffuser. En clair, il est facile d’imposer le progrès technique mais il est difficile de le propager.

II) D’une mondialisation, l’autre
a) America, America (référence au film d’Elia Kazan )
Il est ici question du rôle des transports dans l’émergence d’axes planétaires. Ainsi deux axes vont se dessiner : un axe Nord-Nord principalement porté par lamobilité des personnes qui va favoriser la convergence des niveaux de vie car la mobilité des hommes entraîne la mobilité du capital ; et un axe Nord-Sud que définit le commerce des marchandises.
b) La division internationale du travail :Cohen parle de mondialisation comme asservissement du monde en s’intéressant surtout a l’échec de certaines régions du globe qui possédaient tout ce qui étaitnécessaire à leur développement. En prenant l’exemple de l’Inde et de la Grande-Bretagne, ainsi qu’en s’appuyant sur la thèse de l’avantage comparatif de David Ricardo, il explique minutieusement les raisons d’une relation dominé/dominant. Il reprend par ailleurs la thèse de l’économiste italien Arrighi Emmanuel sur l’échange inégal (voir partie Analyse).
c) Retour sur le colonialisme : « L’espritdu colonialisme » explique pour Cohen l’incapacité des colonisés à satisfaire leur exigence de liberté et de dignité. Les mentalités sont dictées par ce qu’il reste de la colonisation.

III) La nouvelle économie-monde (concept initial de Fernand Braudel)
Ce chapitre pose les base de l’économie dans laquelle nous vivons actuellement.
a) La troisième mondialisation : (voir analyse)…

Sociolinguistique

La variation sociale en français
Gadet Françoise, 2007, 2e édition, Paris, Ophrys.
Cyril Trimaille
Texte intégral
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Comme la précédente, cette deuxième édition revue et augmentée se propose de décrire le français contemporain, de s’interroger sur sa spécificité et de mettre ces éléments en perspective avec les débats et enjeux qui traversent non seulement lasociolinguistique mais aussi la linguistique générale actuelle. Ce faisant, F. Gadet réaffirme la pertinence du rapprochement entre linguistique et sociolinguistique. Le parti pris de l’auteure est, comme dans nombre de ses écrits, de décrire différentes dimensions des variations du français, en partant des pratiques langagières authentiques de sujets (et non seulement de locuteurs), saisies en contexte.
2Pourdévelopper cette perspective « écologique » sur le français et ses usages, la structure du livre reste identique à celle de la précédente édition. Six chapitres, tous prolongés de bibliographies thématiques, de pistes d’approfondissements variées (pour aller plus loin) et d’orientations bibliographiques. La plupart des sections descriptives et analytiques sont ponctuées d’études de cas etenrichies de développements intitulés outils d’analyses, consacrés à des aspects théoriques ou méthodologiques. Les six chapitres sont en outre complétés par des suggestions d’exercices, un glossaire d’une centaine de notions, une bibliographie générale et un index, qui sont autant d’outils d’approfondissement fort utiles.
3Le premier chapitre est une entrée en matière qui pose, pour toute langue, lecaractère fondamentalement constitutif de l’hétérogénéité. F.?Gadet y définit, exemples à l’appui, les principes extra-linguistiques qui concourent à configurer ou structurer cette diversité : les dimensions diachroniques, géographiques, sociales et situationnelles (parmi lesquelles le diamésique). L’auteure y évoque le rôle précurseur de la dialectologie dans l’étude de la diversité linguistique etles nouvelles potentialités offertes par le développement des grands corpus, tout en appelant à une grande rigueur dans toutes les procédures, de leur constitution à leur exploitation. Elle part ensuite de la réception (perception et évaluation) des phénomènes variationnels, souvent en termes de variétés qui, bien que rarement nommées, ont tendance à essentialiser des usages toujours labiles,pour aboutir à une discussion des « catégorisations d’experts ». Plaidant, à la suite de Coseriu, pour une approche variationnelle de la langue, elle pointe les carences à la fois des linguistiques de l’homogène et de l’appréhension de l’hétérogénéité en variétés, qui déplacent à un autre niveau la recherche de l’homogénéité perdue.
* 1 ?Alain Rey, 1972, « Usages, jugements et prescriptionslinguistiques, Langue française 16, 428.(…)
4F. Gadet définit ensuite deux types de normes, objective (statistique) et subjective (La Norme, imposée). Si l’on ne peut qu’être d’accord avec la nécessité de distinguer entre ces deux types de normes, on peut néanmoins discuter le choix de l’adjectif subjectif pour référer à ce que d’autres (notamment Rey 19721) nomment norme prescriptive, réservant lequalificatif subjectif à la conscience normative des locuteurs. En lien avec ces questions de norme et de standardisation, F. Gadet conclut le chapitre en appréhendant le poids de l’idéologie du standard qui a conduit à ce purisme si typiquement français.
5Le deuxième chapitre est consacré aux relations entre oral et écrit. L’auteure s’y intéresse à l’observation et à la transcription de l’oraldont les structures, adaptées aux contraintes mais aussi aux potentialités matérielles et situationnelles (co-présence, multimodalité liée à la « vive voix », co-énonciation), apparaissent encore souvent, à tort, lacunaires ou défectueuses. Cela soulève nombre de questions cruciales à propos de la représentation de l’oral par les linguistes. F. Gadet montre encore que ces questions, d’apparence…

Micro economie

Le marché est donc un lieu fictif où se rencontre l’offre et la demande, où, se forme le prix de marché qui équilibre l’offre et la demande et qui permet donc l’échange.
Toute confrontation ne s’effectue pas de la même façon ,par exemple la confrontation entre un seul et une multitude d’acheteurs est différente de celle entre un grands nombre de vendeurs face a quelque puissants acheteurs.l’étude des mécanismes de confrontation a développée plusieurs théories ,en va prendre en considération seulement ces trois théories suivante : théorie de la concurrence ,du monopole et de l’oligopole .toutes ces théories vont être analysées dans le cadre de l’économie capitaliste ,ou l’état intervient le moins possible .avant d’entamer chaque théorie ,il est nécessaire d’étudier la fonction objectif dela firme privée ;cette fonction obéit à l’idée de recherche de profit maximale ,elle s’écrit de la façon suivante P=R-C Mais cette fonction a été soumise à de nombreuses critiques a cause de l’incertitude, la sécurité au profit et la peur de perte, et finalement les intérêts qui se différent entre les dirigeants et les actionnaires. Mais malgré cela on maintien toujours cette hypothèse ;premièrement parce que au moins les entrepreneurs connaissent le coût marginale de l’industrie ainsi que, une firme qui ne cherche pas de profit se condamne à disparaitre .Commençant maintenant avec l’équilibre de concurrence pure et parfaite dans ce marché plusieurs vendeurs confrontent plusieurs acheteurs. son équilibre repose sur cette confrontation entre la demande et l’offre qui nous donne à la fin unprix d’équilibre .il y’a une panoplie de conditions de la concurrence pure et parfaite ,qui commence par l’atomicité du marché on sait bien que c’est un marché vague est la décision d’un seul acteur n’a aucun influence sur le mécanisme globale d’établissement du prix .2- homogénéité du produit qui dit que toute les marchandises qui se trouvent sur le marché ont les mêmes caractéristiques .3- libreentrée et libre sortie :la possibilité de se lancer et de s’établir sur le marché 4- transparence du marché ; les acheteurs comme les vendeurs doivent avoir des informations sur les prix et sur les quantités offertes et demandées .5- mobilité des facteurs de production :une firme qui sorte suite à une perte peut employer son capital dans un autre secteur ?ces conditions ramènent à une seuleproposition ; le prix est une donnée qui s’impose à chaque producteurs et acheteur .maintenant on va passer a la formation des prix en courte terme avec la demande pour un produit et la demande à un producteur et en longue terme ou on prie en considération les différentes phénomènes d’entrée et de sortie .
On peut passer au deuxième structure du marché :le monopole ,les conditions de l’équilibresont nombreuses mais on va citer les deux les plus courantes 1- discrimination l’intuitif personne ,et 2- discrimination par groupe ,dans le premier type le monopoleur a tendance à faire payer à chaque acheteur le prix maximal que celui-ci est disposé à payer tandis que dans le deuxième type le monopoleurs a recours à les fractionner en groupes pour cela on utilise des stratégies comme le systèmede réduction ,la différenciation des produits ,la diffusion par vague et le dumping qui est une pratique interdite par les lois qui consiste a vendre au dessous du cout .Passant maintenant à la concurrence du monopolistique qui remis en cause l’homogénéité des produits ?les produits sont différents chose qu’on peut la constater au niveau de prix de vente .pour l’équilibre du monopole qui secaractérise par l’existence d’un seul vendeur qui concentre entre ses mains la totalité de l’offre donc c’est lui qui impose son prix à un niveau qui lui permettre de maximiser son profit .le monopole discriminant est différent il consiste à vendre le même produit à des prix différents selon trois catégories de demandeurs un premier groupe qui est prêt à acheter à n’importe quel prix .un deuxième…

Car c’est bien de valeur extrinsèque qu’il s’agit

Vendredi 10 Février 2006
Car c’est bien de valeur extrinsèque qu’il s’agit !

Le vrai pouvoir n’est pas tant de prendre les décisions que d’en maîtriser l’exécution. Partant de ce principeafférant à la « bonne gouvernance » en général, il est évident que le bureau fédéral de la Fédération Royale Marocaine de Football souffre de son inhérente incapacité à faire front face aux multiples défisadministratifs et sportifs qui s’érigent devant lui.

Qui fait quoi, quand, où et comment ? Telles devraient être les questions qui ne doivent jamais quitter l’esprit d’un bon dirigeant, oraujourd’hui, justement, c’est le flou intégral qui entoure les méandres de cette institution qui régit les intérêts du football marocain en général, et de manière plus spécifique s’occupe à faire reluire l’imagede sa principale vitrine médiatique, en l’occurrence, l’équipe nationale de football.

Dois-je rappeler qu’une chaîne n’est pas plus solide que son maillon le plus faible ? Je ne le pense pas.Ainsi, si l’on veut vraiment pouvoir un jour prochain glaner de nouveaux titres continentaux ou pourquoi pas mondiaux, on doit se doter des moyens matériels et humains adéquats. Pour pouvoir jouer lespremiers rôles sur la scène internationale, le sport marocain a besoin d’hommes forts capables de faire l’unanimité autour de leur personne, en tous lieux et en toutes circonstances. Un match chaudbrûlant attend les personnes qui auront à cœur d’œuvrer pour le redressement du football marocain. Pour l’instant, on s’est contenté de vivre dans la nostalgie des gloires passées, en rallumant de temps entemps la flamme du souvenir d’Adis Abéba de 1976.

Trente ans plus tard, et c’est un fait, la sélection marocaine n’a pas encore pu étoffer son palmarès d’un nouveau titre continental. Les grandesréalisations se ruminent à l’avance. Plus de place à l’improvisation. Si nos joueurs ont pour la plupart le statut tout du moins juridique de professionnels, il n’en est pas de même pour les…

Economie de la construction europeenne

MACROECONOMIE ET COORDINATION EUROPEENNE

Antoine Rebérioux K121
[email protected]
Casier bâtiment G

INTRODUCTION

Macroéconomie appliquée. On s’intéresse à l’UE. Quelles sont les grandes questions macroéconomiques touchant l’UE (interdépendance économique, crise…) et aussi les politiques macroéconomiques (monétaires, budgétaires).
Allers retours théorie et fait.
Lathéorie permet de comprendre la réalité économique. Dans quelles conditions telle théorie est plus efficace qu’une autre.
La théorie influence les décisions, les constructions institutionnelles (par exemple l’idée d’un marché commun, l’indépendance de la banque centrale en Europe, le PSC: 3% du PIB).
Perspective plutôt Keynésienne: Dans quelle mesure les politiques macroéconomiques pourraient ellespermettre une croissance régulière et un équilibre de plein emploi?
On va s’intéresser à la dimension, configuration institutionnelle de l’UE.
On a un double niveau de coordination: on a une coordination qu’on peut qualifier d’horizontale (comment se coordonnent les 27 États membres de l’UE) et une coordination verticale (avec une entité supra nationale: l’UE qui prend des décisions)
PSC:horizontale
Politiques monétaires : verticale
Cela pose des problèmes spécifiques en terme de macro économie.

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CHAPITRE 1- L’EUROPE AUJOURD’HUI

1997- 2001: traité de Maastricht
2001- 2010: traité de Nice
Aujourd’hui, traité de Lisbonne

I. Repérages géographique, démographique et économique.

A- Repérages géographique.

Le premierbloc: C’est l’Euroland, la zone euro, soit 16 pays.
Les 11 de départ en 1999. Puis Grèce (2001), Slovénie (2007), Chypre et Malte (2008), Slovaquie (2009).
Deuxième bloc: l’UE: 27 pays, Euroland + pays qui pourraient entrer: RU, Danemark (population plutôt contre), Suède (idem), + pays qui doivent respecter des critères avant d’entrer : 3 pays Baltes, Lettonie, Lituanie, Estonie puis la Pologne,République Tchèque, Hongrie. Et ceux qui sont encore loin: Roumanie+ Bulgarie : Pays d’Europe Centrale et de l’Ouest.
4 pays candidats officiellement à l’intégration: Turquie, Croatie, Macédoine et Monténégro.
Troisième bloc: EEE: espace économique européen. Zone de libre échange. 27 de l’UE+ Norvege, Islande, Liechtenstein.

B- Repérages démographique.

UE à 27: 495 millions d’habitants(7,5% population mondiale)
USA: 300 millions
Japon: 130 millions
Chine: 1,3 milliard
Inde: 1,1 milliard
Allemagne: 80 millions
France, Italie, GB: 60 millions
Pologne, Espagne: 40 millions
Roumanie: 35 millions

C- Repérages économique.

En 2006: PIB/habitant.
UE à 27: 23500 euros
Euroland: 25800 euros
EU: 36300 euros
Japon: 26700 euros

Documents 5 et 6
Entre 60 et 80 rattrapagede l’UE et du Japon sur les USA
Puis ensuite les USA ont recreusé l’écart: fin 80 le Japon a subit une crise bancaire dont il ne s’est jamais remis (le Japon avait laissé le système bancaire s’effondrer), L’Europe: taux de croissance max 2-3 % par an depuis 20 ans. Arrivée des nouvelles technologies, virage aux USA.

II. Les institutions européennes

A- Le conseil des ministres (conseilde l’UE)

Le conseil de ministre est l’émanation directe des États membres en tant qu’il est composé des représentants des gouvernements nationaux, représentants qui changent selon le problème qui est à régler. Chaque pays envoie un représentant et chacun est là pour défendre les intérêts de son pays. Il ne défend pas l’intérêt communautaire.
C’est le principal législateur. Vote toutes les loisdu territoire de l’UE: directives (doivent être transposées en droit national) ou règlements (application immédiate).
Soit seul soit en co décision avec le Parlement européen.
Tous les textes passent forcément par le conseil des ministres mais pas par le parlement.
Le conseil de l’UE a une présidence tournante tous les 6 mois (en ce moment l’Espagne). Président: rôle d’impulsion politique….