Système comptable financier

TABLEAU DE CORRESPONDANCE PCN / SCF
PLAN COMPTABLE NATIONAL 1975 Classe 1 : Fonds propres Apports de l’Etat (appelés / non appelés ) Apport des collectivités locales (appelés / non appelés ) Apport des entreprises publiques (appelés / non appelés ) Apport des sociétés privées (appelés / non appelés ) Apport des particuliers (appelés / non appelés ) Fonds d’exploitation Compte de l’exploitantPrimes d’apport Réserves légales Réserves réglementaires Réserves statutaires Réserves contractuelles Réserves facultatives Subventions d’investissement reçus Subventions inscrites à produits exceptionnels (en négatif) Ecart de réévaluation en f ranchise dimpôt Ecart imposable Liaisons inter-unités Résultat en instance d’affectation Provisions pour pertes probables et charges (dans le SCF, lesgrosses réparations n’existent plus ) NOMENCLATURE COM PTABLE CONVERGENT E SCF 101 101 101 101 101 101 108 103 106

100 101 102 103 104 110 119 12 130 131 132 133 134 141 147 150 151 17 18 190/195

106
106 106 106 131 132 131 132 105 105 181

11
153 155 156 158 481 62 64 169

198 200 201

Provisions pour participations des travailleurs Classe 2 : investissements Frais relatifs au pactesocial Frais d’emprunt

Capital émis (capital social ou fonds de dotation, ou fonds d exploitation) Capital émis (capital social ou fonds de dotation, ou fonds d exploitation) Capital émis (capital social ou fonds de dotation, ou fonds d exploitation) Capital émis (capital social ou fonds de dotation, ou fonds d exploitation) Capital émis (capital social ou fonds de dotation, ou fonds d exploitation)Capital émis (capital social ou fonds de dotation, ou fonds d exploitation) Compte de l’exploitant Primes liées au capital social Réserves (légale, statutaire, ordinaire, réglementée) Réserves (légale, statutaire, ordinaire, réglementée) Réserves (légale, statutaire, ordinaire, réglementée) Réserves (légale, statutaire, ordinaire, réglementée) Réserves (légale, statutaire, ordinaire, réglementée)Subventions d équipement Autres subventions d investissements Subventions d équipement Autres subventions d investissement Ecart de réévaluation Ecart de réévaluation Comptes de liaison entre établissements Report à nouveau Provisions pour pensions et obligations similaires Provisions pour impôts Provisions pour renouvellement des immobilisations (concession) Autres provisions pour charges -passifs non courants provisions – passifs courants Services Impôts et taxes Primes de remboursement des obligations( si emprunts correspondants sont en cours)

1

202 203

Frais d’investissement Frais de formation professionnelle

204 205

Frais de fonctionnement antérieur au démarrage Frais d’études et de recherches

208 209 210 212 220 224 226 240 241 242 243 244 245 246 247 250 251 252257 28 29

Frais exceptionnels Résorption des frais préliminaires Fonds de commerce Droits de la propriété industrielle et commerciale Terrains Carrières et gisements Autres terrains Bâtiments Ouvrages d’infrastructure Installations complexes Matériel et outillage Matériel de transport Equipement de bureau Emballages récupérables Agencements et installations Bâtiments sociaux Matériel Mobilieret équipem ent ménager Aménagements Investissements en cours Amortissement des investissements

2xx 1x 62 63 1x 6x 1x 6x 203 1x 6x 208 204 205 211 211 211 213 213 215 215 218 218 218 212 218 213 218 218 218 232 237 280 281

Compte d’investissement concerné Capitaux propres , première application SCF Autres services Charges de Personnel Capitaux propres , première application SCF Charges parnature Capitaux propres , première application SCF Charges par nature Frais de développement immobilisables Capitaux propres , première application SCF Charges par nature A affecter aux comptes « 20x » correspondants existants au 31/12/09 Autres immobilisations incorporelles Logiciels informatiques et assimilés Concessions et droits similaires, brevets, licences, marques Terrains Terrains Terrains…

Plan analogique la légende du beau danseur

PLAN ANALOGIQUE : exemple
QUESTION DE DISSERTATION

Peut-on affirmer que le diable est présenté de la même façon dans la version étudiée de La Légende du beau danseur et dans la chanson du groupe Mes aïeux? Vous soutiendrez votre point de vue à l’aide d’arguments et de preuves relatives au contenu et à la forme de la pièce, preuves puisées dans l’extrait et dans toutes vos connaissanceslittéraires1 qui conviennent au sujet de rédaction. ____________________________________________________________

____________ INTRODUCTION DÉVELOPPEMENT

Paragraphe 1 Ressemblances Idée principale : Dans les deux textes, la caractéristique première du diable est sa capacité à attirer l’attention sur lui. Idée secondaire : Dans les deux textes étudiés, dès son arrivée, le diable séduit les gens del’assemblée.
En effet, dans « La légende du beau danseur », le narrateur précise qu’en franchissant la porte de la maison, le diable fait impression. C’est par l’énumération de certaines caractéristiques physiques qu’on explique l’effet qu’il a sur les gens : « La porte s’ouvrit. Un étranger apparut sur le seuil. Il avait les cheveux frisés, la barbe soyeuse, longue, noire comme un geai. Ses yeuxbrillaient de lueurs fauves. Bien costumé, le monsieur : capot de castor, casque de marte velouté, mocassins de caribou brodés en dards de porc-épic. Il s’avança de quelques pas, saluant avec grâce toute l’assemble. Il jeta son capot et son casque dans un coin, mais garda ses

On entend par connaissances littéraires les procédés langagiers (figures de style, versification, types de phrases, etc.)et les notions littéraires (point de vue narratif, genres, etc) utilisés à l’appui de votre argumentation. On entend également par «puiser dans vos connaissances littéraires» le fait de vous référer à d’autres oeuvres que les textes proposés , de relier ces derniers à des courants ou tendances littéraires ou le fait d’avoir recours à des connaissances culturelles et sociohistoriques qui conviennentau sujet de rédaction.

1

gants de chamois- des gants noirs. Pour les danseuses, il n’y avait plus, dès ce moment, que lui sur le plancher. » (ligne 56) Dans l’autre texte, c’est par une expression québécoise encore utilisée de nos jours que la beauté du diable est comparée à ce qu’il y a de mieux. En effet, on y dit qu’il est « beau comme un dieu » (ligne 5). On ajoute aussi que devant sonpouvoir séducteur, « toutes les femmes tombent en pâmoison » (ligne 12).

Deuxième idée secondaire : De plus, en prenant forme humaine, le diable s’attribue des talents de grand danseur, ce qui lui permet d’être remarqué à la soirée.
Le texte de la légende présente un diable qui danse d’une manière extraordinaire. Les points d’exclamation témoignent de l’impression qu’il fait sur le narrateur: « Les pas de danse qu’il faisait, mes amis vous auriez dû les voir! Le père François regardait bouche bée, pourtant, il connaissait son tabac! Ça ne peut pas s’expliquer tous les pas qu’il fait. Il les invente! » (Lignes 35-37) De la même manière, dans les paroles de la chanson de Mes aïeux, on souligne que la soirée prend une autre allure lorsque le diable entre dans la danse. Cette fois-ci,c’est la sensualité du danseur qui est mise de l’avant : L’inconnu enlève son veston Y’a quelque chose de cochon dans l’air Comme dans Bleu nuit à Quatre saisons La testostérone dans l’tapis Les phéromones phénoménales Les invités se mettent de la partie Ça prend des allures de bacchanale . (lignes 8-13) En comparant la veillée de danse à une bacchanale, l’auteur nous suggère ici que la danse entraînela débauche, à l’arrivée du diable. On fait ici référence aux réticences historiques du clergé face au caractère trop « osée » des soirées dansantes.

Clôture : Donc, par leurs talents de danseur, leur capacité à émoustiller les sens, et leur grand pouvoir de séduction, chacun des deux diables de ces textes se présente de la même façon aux membres des assemblées : en bel homme qui…

Not so clockwork

:Not so Clockwork
The nurse had her name written in a tab. “Selene”. Anyone that could wrestle with the Western hieroglyphics could easily work out the name of that nurse. And as a very good friend of mine used to say, a name encloses the self. Yes, my reader, even if Shakespearian dramaturges argue that the name is anything but important. They are ignorant and I am nothing but the holder oftruth. She was young; we could say if we, as an audience, could agree upon what youth is. Well, let us just simply say that she had seen few winters. Her body maladroitly stood on a stool, where she browsed for medical charts. She had her hair rolled up in a tight bun, and no make-up blemished the immaculate doll face. She, as many others, had gained her position because of her looks. The man thatemployed her only gazed at the becoming sweater seizing her curves and he, overcoming himself, gave her the job immediately. Let us just say that the man wanted to revolutionize the concept of Carpe Diem into something more like Carpe Corpus. Yes reader, desire is a governable, institutionalized concept in our so called modern world. Back to subject, our Selene would not be surprised if she caughtwith the corner of her eye the sight of the petty, bald man trying to gain a glimpse beneath the uniform. It happened, as most things do. Naturally and unstoppably.
The case is, my dear reader, that our friend Selene was looking for a chart to fill in. A new patient was to enter the institution that day and she was in charge of note him down. Every time a new patient came in, Selene’s backbattered with strange, bizarre, outlandish feelings. She was not there to actually see any patients or to ask questions, no, she was not. As we have stated she was there to give the place a more…Sensual atmosphere. Sensuality is, indeed, a powerful weapon and a sudden charmer. She had no idea of what was done in that place, and she honestly did not want to find out. Her purpose was not to question butto serve. As a friend of mine would say, take the bottle, drink it down, pass it around. That would mean that no one should take the bloody opportunity at stake and, finally, pass it on to another and reproduce the ignorance. Nevertheless, Selene itched with intrigue. But we forget that we are set here so as our little, pecaminous minds do not wonder around- it might be dangerous.
Well, but weare not retelling the danger of the free mind, we are just exploring and recounting Selene’s experience. Indeed. Well, after she got down the stool that maladroitly stood on the mauve floor, Selene did not have anything to do but wait. As we, once again, have stated, Selene’s position was granted because of her looks. Nobody really thought that something could make sense inside her blonde head.She waited and murdered time; gazing at the silent clock that went by, inch by inch, step by step, mile by mile.
Finally, time wondered why it was being crippled by the steady eye of a meaty nurse, and some cricking and cracking was heard in the hallway. Two enormous men (yes, positions there were gained because of looks, if your intellect, reader, has not figured that out) came dragginganother man and there they stood, the three. This man we are talking about was in his twenties, a little less perhaps. Deep eyes and sore look, dressed in white, his hair very short and his lips curving in a smile. Quite a bizarre smile. Not as ours, reader, no. Something was different. This man would not smile as you or I do, setting our lips together, pressing them into what we understand as afriendly gesture. No, reader, no. He smiled not for the people outside his mind, but for himself. Like a crazy man, taking a bottle, drinking it down, passing it around. As a friend of mine would say.
“But, very good evening, my dorogoy devotchka, here I stand to be cured!” the man said looking at Selene. “But what a nice gorlo, my dear!”
Selene was struck in amazement, battling between disgust and…

Ship4946 fr

Projet de stage fin de deuxième année

Sujet

Réalisé par Sous la direction de :

Année universitaire 2009/2010

Table des figures

Figure 1.1 : organigramme directoire. 11
Figure 1.2 : organigramme des ports. 11
Figue 1.3 : organigramme du Port de Nador. 13
Figure 2.1 : Table des rubriques. 20
Figure 2.4: Diagramme de séquence Cas d’utilisation : Connexion 22Figure 2.5 : Diagramme de séquence Cas d’utilisation : Ajouter Etudiant 22
Figure 2.6 : Diagramme de Classes. 23
Figure 2.7 : Architecture Hibernate 26
Figure 2.8 : Fichier de configuration de Hibernate, Hibernate.cfg.xml 27
Figure 2.9 : Page d’Authentification 29
Figure 2.10 : Page d’Accueil 29
Figure 2.11 : Page d’Ajout d’un Examen 30
Figure 2.14: Page d’Ajout d’un Etudiant 30

Tabledes matières

Résumé – 5 –
Introduction générale – 6 –
Chapitre 1 – 8 –
Introduction – 9 –
I. Marsa Maroc – 9 –
I.1. Fiche technique – 9 –
I.2.Organisation – 10 –
I.3.Activités et Services : – 12 –
I.3.1. Un large éventail de services : – 12 –
I.3.2. La maîtrise de chaque segment d’activité: – 12 –
II. Port de Nador: – 13 –
II.1. Organigramme du port de Nador : – 13-
II.2. Services offerts : – 13 –
II.3.Liaisons intermodales : – 14 –
II.4.Installation concédées : – 14 –
Conclusion – 15 –
Chapitre 2 – 16 –
Introduction – 17 –
I. Présentation du sujet – 17 –
II. Analyse – 17 –
1.1. Diagrammes de Cas d’Utilisations – 17 –
1.2. Diagramme de Séquences 20
1.3. Diagramme de Classes 21
III. Conception 22
II.1. Concepts etspécificités de J2EE 23
II.1.1. Côté client 23
II.1.2. Côté serveur 23
II.2. Les servlets Java 23
II.3. Les JavaServer Pages 24
II.4. Les Javabeans 24
II.5. Hibernate 24
II.6. Appache Tomcat 26
III. Interface Homme-Machine 27
Chapitre 3 30
I. Aspect de journalisation : 31
I.1. Solutions Actuelles : 31
I.2. La valeur ajoutée de la programmation Aspects : 32
I.3.Réalisation de l’aspect logging.aj 32
I.1.3. Coupe 32
III.1.3.2. Code advice 32
II. Aspect d’authentification : 32
II .1. Les techniques utilisées : 33
II.1.1. MD5 : 33
II.1.2. Autorisations basé sur le rôle : 33
II.2. Réalisation de l’aspect authentification.aj 33
II.2.1. Coupe 33
II.2.2. Code advice 34
Conclusion générale 35
Bibliographie 36

Chapitre 1Présentation de l’organisme
D’accueil

I. Marsa Maroc

I.1. Fiche technique

.
Raison sociale : Société d’Exploitation des Ports
Nom de marque : Marsa Maroc
Raison sociale : Société d’Exploitation des Ports
Nom de marque : Marsa Maroc
Date de création : 1er Décembre 2006
Statut juridique : Société Anonyme à Directoire et Conseil de Surveillance
Capital Social : 733.956.000DH
Siège social : 175, Bd Zerktouni-20 100 Casablanca – Maroc
Président du Directoire : Mohammed ABDELJALIL
Secteur d’activité : Gestion de terminaux et quais portuaires
Chiffre d’Affaires * : 2.372 MDH
Effectif * : 2251 collaborateurs
Trafic global * : 36 Millions de tonnes
Sites opérés : 10 à savoir Nador, Al Hoceima, Tanger, Mohammedia, Casablanca, Jorf Lasfar, Safi, Agadir, Lâayoune,Dakhla

I.2.Organisation

L’organisation de Marsa Maroc est fondée sur le principe de la décentralisation avec des responsabilités claires et des moyens de gestion et d’auto contrôle.
[pic] La Direction Générale définit la stratégie et joue un rôle de support vis-à-vis des Directions d’Exploitation aux Ports tout en laissant une large autonomie de gestion à ces dernières.[pic] Les Directions d’Exploitation aux Ports définissent leurs objectifs, élaborent leurs budgets et gèrent leurs propres ressources. La structure de chaque Direction d’Exploitation varie selon l’importance des installations gérées au niveau de chaque port.

Figure 1.1 : organigramme directoire.

[pic]

Figure 1.2 : organigramme des ports.

I.3.Activités et Services :

Parce…

Le monde arabo-musulan

Après une période de conquête (635-750) l’empire arabo-musulman réussit pleinement son unification.
Ce climat géopolitique stable offre, dès la seconde moitié du VIIIe siècle, une situation très favorable aux populations, aussi à bien celle des dirigeants qu’à celle du peuple. Cette prospérité est bien entendu le point de départ du fort développement des sciences arabes, pour trois raisonsprincipales.
L’empire est alors un territoire vaste sans frontière qui favorise inévitablement les échanges, économiques certes, mais aussi intellectuels. De ce fait, les élites des anciens pays entrent en contact, échangent leurs idées et commencent à travailler ensemble. Chacune d’elles a conservé par ailleurs un lien fort avec ses propres savoirs anciens, par le biais des manuscrits ou desenseignements. Une mine documentaire considérable est réunie. La dernière raison majeure est l’adoption de l’arabe comme langue officielle. Cela a permis de rassembler tous les scientifiques de l’empire, d’entreprendre la traduction quasi systématique des manuscrits anciens et donc de disposer d’un savoir enrichi commun.

Al-Andalous

C’est le nom donné par lesArabes à l’Espagne qu’ils ont conquise provoquant l’effondrement du royaume wisigothique de Tolède en 711.
Al-Andalous, l’Espagne musulmane, a existé jusqu’en 1492, date de la reddition de Grenade. Mais son étendue a beaucoup varié au cours des 7 siècles de présence arabe et berbère. La situation de l’Espagne, frontalière de l’Europe chrétienne, mais éloignée du pouvoir central de l’empirearabo-musulman situé à Bagdad, est exemplaire des interférences produites par le contact des cultures qui se côtoient autour de la Méditerranée.

Les Sciences

Les sciences arabes jouent un rôle considérable dans l’histoire universelle des sciences : du VIIIe au XVe siècle, elles contribuent très largement à leur développement, et posent ainsi lesbases de la science moderne : c’est un âge d’or.

Les grands savants qui ont révolutionné de nombreux aspects de la vie. Ils étudièrent les mathématiques, l’astronomie (Ibn Taimiya), la médecine (Abu Bakr Al-Ansari; Maslama Al-Mayriti), la botanique (Ibn-Baytar) et l’agronomie (Ibn Al-Awam) ainsi que l’astrologie et l’alchimie. Mais la médecine fut à son apogée avec Averroes et les frères Harrani,qui exercèrent sous la protection de Al-Hakam II.
Ils ont tous influencé l’Europe contemporaine et postérieure et leurs textes furent étudiés jusqu’au milieu du XVIIe siècle par des savants tels que Michel Servet, Copernic, Nicolas Massa ou Galilée.

L’astronomie

L’astronomie a été développée par les Arabes aussi pour des raisonspratiques. Les constellations leur permettent alors de s’orienter. Les apports de science sont capitaux aussi pour déterminer les heures des prières et l’orientation des lieux de culte vers La Mecque.

Les apports des astronomes arabes sont largement ignorés. Il est souvent sous-entendu que l’astronomie moderne occidentale fait directement suite aux recherches des Grecs antiques, mais c’est uneerreur. La véritable base de cette science moderne nous vient de l’empire arabo-musulman des IX-XVe siècles.

Les instruments

Si les Arabes ont très largement précisé les mesures en astronomie, c’est aussi grâce à leurs outils d’observations. Ils ont à la fois consacré des lieux fixes d’observation et développé des outils portables comme les quadrants, les globes célestes, les araignées etles très fameux astrolabes.

Ecrits arabes

Nous utilisons de très nombreux termes scientifiques qui sont issus de la langue arabe. On peut citer pour exemple les mots alcool, alambic, zéro, zénith, sirop etc. Ces mots nous viennent de la latinisation des écrits arabes. Pour l’anecdote, le terme algorithme, que nous utilisons souvent en mathématiques, vient du nom européanisé du…

Rousseau

1. L’origine des sociétésLe problème consiste à se demander comment les hommes ont pu passer d’un état nul de société à des rapports sociaux organisés et comment ils firent ce pas. La formulation du problème peut paraître étrange : ne doit-on pas dire que l’existence humaine suppose un minimum d’existence sociale ? L’homme n’est-il pas, comme le disait Aristote un animal politique ou n’est-il pasimmédiatement engagé dans des liens sociaux comme l’abeille dans la ruche ? La logique de cette problématique est pourtant profonde, en effet, pour montrer l’origine radicale de la société, il faut prendre les hommes avant la société, à l’état naissant, cet état naissant c’est ce qu’on appelle : l’état de nature.
1.1. Définition : état de nature et contrat socialCe qui est en commun à tous lesthéoricien politiques des XVII et XVIII siècle c’est de poser le même problème : quel est l’origine de la société, et de la résoudre par les mêmes moyens : l’état de nature et le contrat social.
1.1.1. L’état de natureC’est l’état dans lequel trouve les hommes lorsqu’ils ne sont soumis a aucune autorité politique, c’est donc un état pré-social, pré-légal. Dans cet état, les hommes sont pleinementlibres, nul n’est par nature soumis à l’autorité. Les hommes sont égaux et ce principe d’une égalité naturelle des hommes est commun à tous les penseurs de l’école du droit naturel.
1.1.2. Le contrat socialL’hypothèse de l’état de nature est étroitement liée au contrat social, en effet, si nul n’est par nature soumis à l’autorité d’un autre, il est évident que le droit de commander ne peutnaître d’un contrat ou d’une convention par lesquelles les individus se dépouillent en faveur d’un homme ou d’une assemblée du droit naturel qu’ils ont de disposer pleinement de leurs libertés.
1.2. L’Etat de nature selon Rousseau1.2.1. L’idée de natureOn peut dire de Rousseau qu’il est le penseur naturaliste par excellence. En effet, l’idée de nature est au centre même de l’oeuvre de Rousseau. Qu’estce qui est naturel ? En un sens, est naturel tout ce qui est, mais on distingue dans la nature ce qui lui est propre et ce que l’artifice y introduit. Bref, on définira avec Rousseau le naturel par opposition avec l’artificiel. L’homme semble être dans la nature un élément perturbateur. Dans la nature tout est ordre. L’homme connaît le mal, l’artifice, etc… « Tout est bien sortant des main de laNature, tout dégénère dans les mains de l’homme. » « L’état de réflexion est un état contre nature, et l’homme qui médite est un animal dépravé. » (Discours sur l’origine de l’inégalité entre les races de Rousseau : DI) C’est en ce sens qu’on oppose nature et art, nature et histoire. Le mot naturel a chez Rousseau, deux sens :-il désigne ce qui est originel ou primitif à la nature humaine. C’est làsont sens « historique » dans le DI, Rousseau veut remonter à l’homme primitif, naturel, sauvage, l’homme vivant en dehors de toute sociétés et veut expliquer pourquoi et comment il est entré en société.-il désigne d’autre part ce qui est essentiel ou authentique à la nature humaine dans son livre Émile ou de l’éducation, Rousseau découvre la nature dans l’enfant. Chez l’enfant, la nature parleimmédiatement : lorsque nous étions enfant, nous étions naturels, puis l’éducation a déformé nos âmes. Dans ses écrits autobiographiques (les Confessions) le modèle de l’homme est trouvé par Rousseau dans son propre coeur. Rousseau est persuadé que la nature est restée en lui intacte, inaltéré et à cet égard, il ressemble à un exemple privilégié: « Je veux montrer à mes semblables un homme dans toute lavérité de sa nature et cet homme ce sera moi. » Rousseau a écrit les Confessions pour se montrer en exemple face à une société totalement pervertie. Rousseau voit donc dans la spontanéité et la simplicité de l’homme sauvage ainsi que dans l’authenticité de l’homme naturel vivant en société, la bonté naturelle de l’homme. L’homme naturel, c’est la référence par rapport à laquelle le présent est…

Lecture annalytique ronsard

La première étape est celle de la beauté de la rose. Le vers s’ouvre sur une apostrophe avec l’adjectif « mignonne » qui est un terme affectueux. Le poème tout entier est adressé à une seulepersonne. C’est une invitation à une ballade sentimentale : « allons voir… ». L’impératif « allons » réunis les deux amants de cette promenade. « Qui ce matin avait déclose… » Est une personnification de larose et laisse supposer qu’une promenade a eu lieu. La rose est déjà connue avec l’indication « ce matin… ».
Au second vers il y’a un changement subit par la rose avec la forme verbale du plus queparfait. L’enjambement des vers 2-3 couvrent le geste défroissable et d’étirement que Ronsard prête à la rose. La personnification se confirme avec l’utilisation du mot « robe » ainsi que les notationsde couleurs « pourprées » « pourpre » « soleil ».
Cette robe est veloutée et vernis. Cette première strophe baigne dans une atmosphère de délicatesse. Ronsard ne décrit pas seulement un jardin maisune atmosphère intime : « A point perdu ». L’allitération en P saccade le vers et rend l’angoisse qui plane dans l’interrogation de la perte et de dédain. « Les plis de la robe pourprée » fait écho auvers précédent et il est organiquement lié, le mot « pli » accentue la rose de la femme (= assimilation femme-rose). Le dernier vers accompli l’assimilation de la femme à la « votre ». Nous retrouvonsici un adjectif de comparaison. Cette première strophe a préparé l’assimilation de la rose en femme via la robe de « pli » et le « teint ».
La deuxième strophe correspond à la mort de la rose. Leton change avec l’emploi de « Las » (= Las). Dans cette strophe, le poète prend la femme aimée à témoin pour un constat amer. La rose a perdu toute sa beauté au cours de la journée. La reprise de «mignonne » et la répétition de « Las » au vers 9 montre qu’il n’y a rien à faire pour arrêter le temps. « Peu de place » est une allitération en S qui témoigne du glissement contre lequel il n’y a…

Rrapport sur l’islamophobie en france en 2009

Collectif Contre l’Islamophobie en France

Rapport sur l’Islamophobie en France

– 2009 –

Mails : [email protected] [email protected] Web : http://www.islamophobie.net

Tél. : 06.21.29.68.80 Fax : 01.48.09.84.74

Collectif Contre l’Islamophobie en France

SOMMAIRE
1 2 3 4 5 6 7 8 – Introduction générale __________________________________________________ 2 – Bilanet analyse des actes islamophobes en 2009 _____________________________ 4 – L’islamophobie envers les individus_______________________________________ 8 – L’Islamophobie envers les institutions ___________________________________ 13 – L’Islamophobie médiatique ____________________________________________ 17 – L’Islamophobie politique ______________________________________________ 17 -L’Islamophobie intellectuelle __________________________________________ 18 – L’Islamophobie sur Internet ___________________________________________ 19

ANNEXES ____________________________________________________________

___ 22 Annexe 1 – Liste des actes visant les institutions en 2009 __________________________ 22 Annexe 2 – Liste des actes visant les individus en 2009 ____________________________ 24Annexe 3 – Communiqué CCIF « Agression d’une femme à Bordeaux » _____________ 33 Annexe 4 – Tract distribué le 25 mai 2009 à l’université Paris XIII de Villetaneuse _____ 35 Annexe 5 – Affiche du Front National décembre 2009 ____________________________ 37

Rapport d’étape du CCIF sur l’Islamophobie en France @ Droits de reproduction et de diffusion réservés au CCIF

1

Collectif Contrel’Islamophobie en France

1 – Introduction générale
L’assassinat de Marwa EL Sherbini dans une juridiction allemande a choqué sans réellement surprendre les musulmans européens. Il y avait là quelque chose de redouté, un drame faisant partie d’un ordre idéologique et hostile des choses. Que ce sentiment soit fondé ou non, là n’est pas la question. Marwa est bien morte et les préoccupations sontcroissantes au sein de la communauté musulmane. L’analyse du sentiment d’insécurité nécessite de distinguer les préoccupations des peurs. Les préoccupations sont des inquiétudes globales, une sensibilité marquée aux questions de sécurité. La peur renvoie à des risques réels d’être victime. Or, en plus des inquiétudes globales nourries chaque semaine par une actualité médiatique et politique désignantl’Islam et les musulmans comme un problème récurrent, l’islamophobie enregistrée par le CCIF indique également une traduction violente de cette hostilité. Peur et préoccupation progressent conjointement. Malgré des efforts constants de notre collectif, la connaissance, la lutte contre l’islamophobie et l’accompagnement des victimes se heurtent à une multitude d’obstacles. Les atteintesislamophobes sont sous-déclarées par les victimes pour de multiples raisons (fatalisme, méfiance envers les institutions républicaines, faibles ressources sociales et relationnelles, mauvaise information, faible mobilisation des institutions musulmanes locales et des pouvoirs publics, etc.). Au-delà du comportement des victimes, les démarches prospectives sont absentes. Le monde académique s’y intéressepeu. Aucun appel à projet n’a été lancé en ce sens et les spécialistes des discriminations racistes abordent peu l’aspect religieux et encore moins islamophobe1. Du coup, les seules initiatives d’évaluation de l’islamophobie hexagonale sont des initiatives étrangères2. En outre, le CCIF jouit de modestes moyens au regard de l’ampleur croissante du phénomène et des inquiétudes produites par sonévolution. L’un des freins majeurs au lancement d’une telle responsabilisation collective, est que la reconnaissance de l’islamophobie se heurte à une campagne active de déni politique, étonnement portée par des associations antiracistes de premier plan. Alors que pour toutes les extrêmes-droites européennes la propagande islamophobe s’est banalisée, reléguant souvent au second plan des formes plus…

Compte rendu critique

Littérature & imaginaire

Compte rendu critique

Un mariage au féminin

Alan Ball, le réalisateur de Made for a Woman et Bachelor Holiday continue dans une lignée très féministe de comédiethéâtrale avec la pièce Cinq filles avec la même robe. Cette pièce, jouée par Les Écornifleuses, un groupe de cinq filles sortant du Conservatoire de Québec, est critique sur l’aspect du mariage et de lasociété.

Un mariage, celui de Tracy et Scott les deux personnalités irréprochables de l’histoire. Irréprochables ? Surement pas ! Puisque Mérédith, la petite sœur de Tracy, et quatre autres filles,tous anciennes amies de la mariée et demoiselles d’honneur, s’enferment dans une chambre avec leurs robe couleur lilas distinctement choisis par Tracy, et conspirent contre son mariage etparticulièrement contre les conventions d’aujourd’hui. Elles ne se sentent pas bien, chacune éprouvent des problèmes différents et lorsqu’elles se retrouvent cachées dans la chambre, elles libèrent leurs émotionsà tour de rôle mettant ainsi des flammèches de colère mais aussi des étincelles d’opinion sur la société actuel.

Laurie-Ève Gagnon, une des cinq comédiennes, joue Frances, la chrétienne croyanteplus timide que les autres. Puisque son personnage crée un malaise tout le long de la pièce elle a dû : « s’adapter vers son personnage, afin de mieux interpréter ses idées tout en faisant attention auxclichés que peut susciter un personnage religieux. Mérédith, joué Joanie Lehoux, au contraire, est la rockeuse du groupe. Plus jeune que le reste des filles, elle affiche un côté rebelle et donne dupiquant dans la pièce. Trisha (Marie-Hélène Lalande), la plus vieille demoiselle et aussi la plus expérimenté amoureusement atteste une faible estime pour l’homme. Georgeanne (Édith Patenaude) mal àl’aise dans sa relation amoureuse, explose de rage contre les hommes et Mindy (Valérie Marquis) la lesbienne assumée, est certainement la moins effronté du groupe.

Pour soutenir l’apparence des…

Résumé mémoire

Résumé de mon mémoire

Réalisé par : Zina FONTAINE

Cadre : Licence professionnelle spécialité « Etudes de marché »

Objectif du mémoire :

Mettre en application mes connaissances etsavoir-faire du domaine des études.
Ce mémoire avait pour principal objectif d’analyser le comportement des non-consommateurs d’œufs et d’huîtres. Mon choix a en effet été portant sur les personnes éprouvantune aversion, un dégoût alimentaire envers ces deux aliments. C’est deux aliments ont été choisi pour leur similitude de représentation mentale que se fait le non-consommateur dans son esprit.

Monétude a été porté sur des problématiques marketing fictives, il s’agit bien là de cas d’entreprise non-réels, qui m’ont permis de créer un contexte à mon étude.

J’ai donc pris le cas del’entreprise Matines (pour les œufs) et de l’entreprise familiale Les Huîtres Coûtants (pour les huîtres).

Organisation de l’étude :

Phase 1 : recherches documentaires portant sur le marché de ses deuxaliments et recherches portant sur leur environnement

Phase 2 : Etude qualitative – portant sur le comportement et l’attitude du non-consommateur.
Analyse des représentations mentalescausées par les aliments

Phase 3 : Etude quantitative – Mesure du poids des non-consommateurs de chaque aliment
Déterminer le profil type dunon-consommateur
Analyse des freins de non-consommation
Mesurer les opportunités d’acheteurs potentiels (ex : à domicile pour huîtres)Evaluer la possibilité de lien entre dégoût œufs et dégoût huîtres

Phase 4 : Recommandation axée sur le mix-produit (ex : réflexion de créer un produit novateur de type œuf au plat à mettredirectement au micro-onde etc.)

Bilan personnel de mon mémoire :

Cette étude fût très enrichissante puisqu’elle m’a permit de me mettre réellement dans la fonction d’une chargée d’études….