Tcp-udp

La couche Transport

Aperçu

Comme vous le savez déjà, un routeur dispose des capacités nécessaires pour prendre des décisions intelligentes concernant la meilleure voie possible pour acheminer des données dans un réseau. Cette aptitude est fondée sur une méthode d’adressage de couche Réseau (couche 3). Le routeur utilise cette information pour prendre des décisions concernant l’acheminementdes données. Une fois que des paquets de données franchissent la couche Réseau, la couche Transport (couche 4) suppose qu’elle peut se servir du réseau comme d’un « nuage » pour envoyer ces paquets de leur source jusqu’à leur destination. Le nuage résout des problèmes comme « Lequel des chemins est le meilleur, pour une route donnée? » Dans le présent chapitre, vous commencerez à percevoir le rôle quejouent les routeurs dans ce processus. De plus, vous apprendrez comment la couche Transport gère le flux d’informations de manière fiable et précise, de la source jusqu’à la destination.

Ce chapitre explique les principales fonctions qui se déroulent à la couche Transport. Ces fonctions comprennent le contrôle de bout en bout, assuré par des fenêtres adaptatives, la fiabilité des numéros deséquence et des accusés de réception. Il décrit également comment le flot de données de la couche Transport constitue une connexion logique entre les points d’extrémité d’un réseau. Vous apprendrez comment ce flot de données offre des services de transport de l’hôte à la destination, qui sont souvent appelés services de bout en bout. De plus, vous étudierez les protocoles TCP et UDP et vousapprendrez comment ils se servent des numéros de port pour faire le suivi des différentes conversations qui ont lieu en même temps sur le réseau, afin de transmettre des informations aux niveaux supérieurs.

12.1 La couche Transport

12.1.1 Objet de la couche Transport

L’expression « qualité de service » est souvent utilisée pour décrire l’utilité de la couche 4, la couche Transport. Sonrôle principal est de transporter et de contrôler le flux d’informations de la source à la destination et ce, de manière fiable et précise. Le contrôle de bout en bout, assuré par des fenêtres adaptatives, la fiabilité des numéros d’ordonnancement et des accusés de réception sont des fonctions essentielles de la couche 4.

Pour comprendre la fiabilité et le contrôle du flux, imaginez un étudiantqui fait l’apprentissage d’une nouvelle langue pendant un an. Imaginez ensuite qu’il visite le pays dans lequel cette langue est parlée couramment. Lorsqu’il communique dans cette langue, il doit demander à la personne de répéter chacune de ses phrases (fiabilité) et de parler lentement, pour s’assurer de saisir chacun des mots (contrôle du flux).

Couche 4 : La couche Transport
[pic]
12.1.2Les protocoles de couche 4

Ce programme d’études met l’accent sur les réseaux Ethernet TCP/IP. Le protocole TCP/IP de la couche 4 (couche de Transport) du modèle OSI comprend deux protocoles : TCP et UDP.

Le protocoleTCP assure un circuit virtuel entre les applications utilisateur. Il présente les caractéristiques
suivantes :

• orientation connexion
• fiabilité
•division des messages sortants en segments
• assemblage des messages au poste de destination
• renvoi de tout message non reçu
• assemblage des messages à partir des segments entrants

Le protocole UDP transporte les données de manière non fiable entre les hôtes. Les caractéristiques du protocole UDP sont les suivantes :

• sans confirmation
• absence de fiabilité
•transmission de messages (appelés datagrammes utilisateurs)
• absence de vérification logicielle pour la livraison des messages (non fiable)
• aucun réassemblage des messages entrants
• sans accusés de réception
• aucun contrôle du flux de trafic

Aperçu de la couche transport
[pic]

12.1.3 Comparaison entre TCP et IP

TCP/IP est une combinaison de deux…

Du terrorisme à la resistance

SOMMAIRE [pic]

I. Origine & Histoire du terrorisme

II. Diversité du terrorisme

III. « Le terroriste de l’un est le résistant de l’autre »

IV. Conclusion

Pièce jointe : « Entretien avec Annie Farellacci, ancienne résistante… »
Tout d’abord, afin d’introduire et de traiter notre sujet, nous nous devons de définir ses termes principaux, c’est-à-dire LeTerrorisme et la Résistance. C’est justement sur ces définitions que repose, en partie, l’ambiguïté de ces deux mots.
La résistance, comme chacun le sait, est le nom qui a été donné aux actions menées en Europe, pendant la seconde guerre mondiale, contre le régime Hitlérien et l’occupation allemande.
Par contre, il existe plus d’une centaine de définitions du « terrorisme » dont aucune n’estuniverselle. L’ONU est lui-même incapable de s’accorder sur ce qu’est le terrorisme, ils ont finalement décidé de mettre l’accent sur les civils comme cible privilégiée de groupes ayant pour but d’intimider et d’obliger un gouvernement à agir. Le Département Américain de la Défense, quant à lui, adopte une définition simple et brève, presque trop: « Usage calculé de la violence […] pour créer la peur;destiné à contraindre […] des gouvernements ou des sociétés afin d’atteindre des objectifs généralement politiques, religieux ou idéologiques. »

I. Origine & Histoire du terrorisme?

Si l’on ne peut pas donner de définition exacte au terme « terrorisme », on sait pourtant à quelle époque il est apparu. En effet, ce n’est pas un événement récent, comme on peut le penser, puisque la « techniqueterroriste » est utilisée dès le Ier siècle par les Icarii ou Zélotes pour repousser l’envahisseur romain. Pourtant, c’est en novembre 1794 qu’il est attesté pour la première fois, c’est-à-dire pendant La Terreur ; période durant laquelle la France est gouvernée par un pouvoir reposant sur la peur, la force et la répression. Ce terme désignait alors un exercice du pouvoir. Le terrorisme moderne, lui,naît au XIXe siècle et désigne non plus une action de l’Etat mais une action contre l’Etat et acquiert aussitôt une connotation péjorative.
Le premier acte de terrorisme considéré comme « moderne » est l’attentat à la bombe perpétré par des insurgés royalistes chouans contre Napoléon Bonaparte en 1800. Nous nous devons également de rappeler qu’un acte terroriste est d’ailleurs considéré commedéclencheur de la Première Guerre Mondiale à savoir l’attentat de Sarajevo, dans lequel l’archiduc François-Ferdinand fut tué.
Aujourd’hui, on pense que le terrorisme constitue la plus grande menace du XXIe siècle. En effet, depuis les évènements du 11 septembre 2001, c’est-à-dire les quatre attentats suicides orchestrés par des groupes islamistes sur les tours jumelles du World Trade Center à New Yorket sur le Pentagone à Washington, on a une peur panique de ces actes et de leurs commanditaires. Ces évènements ont été vécus presque en temps réel par des millions de téléspectateurs à travers le monde et ont du coup provoqué un choc psychologique considérable. De ce fait, actuellement, le terrorisme est en majorité associé au fanatisme islamique et à des hommes tels que Ben Laden.
Depuis,bien des pays ont été victimes de ces attentats tels que le Pakistan, l’Espagne, le Liban, etc.

II. Diversité du terrorisme

La principale difficulté pour définir le terrorisme vient du fait qu’on s’obstine généralement à le considérer comme un phénomène monolithique au lieu de prendre en compte la multiplicité des contextes dans lesquels il se manifeste.
On peut en effet identifier denombreux types de terrorisme mais nous avons, ici, répertorier les trois plus courants, que nous avons illustrés avec des œuvres littéraires :

– Le terrorisme politique, tel que celui de l’ETA basque (responsable récemment d’attentats en Espagne) qui peut constituer l’outil armé de partis politiques et qui a pour but de faire connaître ce mouvement et ses objectifs pour pousser l’Etat à prendre…

Schum

peterè La problématique
Un lecteur de CD ou DVD, un ordinateur à processeur 3 Ghz, un graveur DVD-RW, un téléphone portable ou encore un système GPS : que trouve-t-on de commun à ces objets issus des technologies nouvelles ? Tout simplement le fait d’être des innovations de produit ; c’est-à -dire le résultat d’un ensemble d’inventions dont les applications industrielles ont trouvé des débouchéscommerciaux répondant à des besoins existants ou créant de nouveaux besoins. Il existe pourtant des innovations technologiques qui se sont diffusées sans véritable succès : c’est le cas du DAT vite balayé par l’arrivée du standard Minidisc®. A travers ces exemples, on perçoit clairement que l’une des caractéristiques centrales de l’innovation est d’être un pari économique. Autre caractéristiquede l’innovation : ses répercussions sont à la fois micro économiques et macro-économiques. En effet, la diffusion de l’innovation modifie non seulement les pratiques de consommation des agents économiques mais se traduit également par une lutte d’entreprises pour le contrôle ou le partage du marché. Autant d’éléments qui ne manquent pas de se répercuter sur la croissance économique. On peutcomprendre alors l’intérêt suscité par les analyses théoriques de J.A. Schumpeter sur le rôle des innovations dans l’évolution conjoncturelle et structurelle du système capitaliste. En effet, si l’on définit le progrès technique comme l’ensemble des mutations entraînant une nouvelle manière de produire qui permet d’obtenir plus avec la même quantité de facteurs (progrès de processus) ou un nouveauproduit (progrès de produit), on peut mesurer combien peuvent être étroits les liens qu’il entretient avec la croissance. Ces innovations qui découlent du progrès technique donnent alors de nouvelles occasions d’investir et peuvent être à l’origine de gains de productivité importants dont les retombées sur la croissance économique sont plus qu’évidentes. Ainsi, la réflexion menée par Schumpeter sur lerôle des innovations permet d’entrevoir des réponses possibles à plusieurs interrogations : Quelle(s) relation(s) existe-t-il entre progrès technique et croissance économique ? Par quels mécanismes, le progrès technique donne-t-il naissance à la croissance ? Pourquoi la dépression succède-t-elle à la croissance ?

Globalement, il s’agit d’expliquer ce qui met en mouvement le capitalisme, c’est àdire ce qui permet d’expliquer sa dynamique. Pour actualiser cette problématique, on peut se demander si le ralentissement de la croissance économique qui affecte les économies des PDEM depuis le milieu des années 70 n’aurait pas une cause technologique ?

è L’auteur : Joseph Aloïs Schumpeter (1883-1950)
Schumpeter donne l’exemple d’une pensée libre et originale. C’est la raison pour laquelle onle qualifie d’économiste hétérodoxe car ils ne peut être classé ni dans le courant libéral, ni dans le courant keynésien, ni dans le courant marxiste. Ses apports à la pensée économique sont nombreux : la théorie des cycles, l’analyse du rôle de l’innovation et de l’entrepreneur dans la croissance économique, la théorie sur l’évolution du capitalisme. Schumpeter va exposer ses idées dansplusieurs ouvrages dont les contenus se complètent : La théorie de l’évolution économique (1912),Le Cycle des affaires (1939), Cycles économiques, capitalisme, socialisme et démocratie (1942).

è Progrès technique et évolution économique selon J. A. Schumpeter…
A) La théorie de l’évolution du capitalisme ou la dynamique du capitalisme
1) Un « rapide survol » de cette théorie.
Schumpeter affirme quele développement qu’il appelle « évolution » entraîne une augmentation générale des richesses créées, une augmentation de la quantité de biens disponibles afin d’être consommés ainsi que du progrès social.

1

Il va donc étudier l’évolution du capitalisme et les fluctuations de l’activité économique sur la longue période. Le cœur de son analyse se résume dans l’interrogation suivante: «…

Ronsard

Publiés deux mois après la mort de Ronsard, ses Derniers Vers constituent une œuvre poétique autobiographique, puisqu’ils décrivent sa propre agonie. « Je n’ai plus que les os… » est l’un des sonnets du recueil : Ronsard commence par y tracer son autoportrait sous forme de cadavre, puis il semble prendre congé de la vie et de ses amis. Dans ce poème pathétique, Ronsard réussit à surmonterl’indicible en faisant le récit de sa propre mort. Par définition, personne ne peut raconter ses derniers instants. Le Commentaire de texte sera divisé en trois grandes parties qui traiterons du poème, le désignant comme provocateur, comme pathétique et des touches humanistes du poème.
I) Un poème provocateur
A. Un autoportrait sous forme de cadavre (premier et second quatrain) Dès le début du poème,le poète donne le ton, il est fatigué et malade, ces indications nous sont données par la phrase « je n’ai plus que les os, un squelette je semble ». Cette phrase décrit clairement qu’il est à l’état de cadavre, de squelette, cela a pour but de mettre en relief sa déliquescence physique. Il y a ensuite une série de description « Décharné, dénervé, démusclé, dépoulpé », ou l’auteur accumule ainsiune série d’adjectifs qui ont la particularité de comporter le préfixe « de » qui exprime la négation ou la privation. Puis si l’on se penche sur le premier quatrain dans sa généralité on remarque que le poète multiplie la forme négative (« je n’ai plus… » « Je n’ose voir… ») pour signifier qu’il est affaiblie et donc ce qui lui manque. Et enfin l’auteur écrit ces vers en utilisant un Champ lexicalbien précis qui est le champ lexical de la terreur inspirée par son état. Pour ce qui est du rythme, il est lent pour ce qui est du premier vers, saccadé pour le second, implorant au troisième vers et enfin le quatrième vers prend la forme d’une conclusion sur son état physique. Notons une accumulation de « dé » au niveau du second vers ce qui, comme dit précédemment exprime la négation ou laprivation, mais aussi il y a l’échos que ce « dé », de même qu’à la fin de chaque mot du deuxième vers il y a la répétition « é » qui fait écho. Ensuite au seconde quatrain, l’auteur fait référence, comme il aime à le faire dans ses poèmes, à l’antiquité, et plus précisément, à Apollon et a son fils Asclépios. Cet allusion à ces deux dieux de l’antiquité n’est pas anodine et donne des indication surl’état de santé du poète, il est très malade et en mauvais état physique car les dieux de la divination et de la médecine ensemble ne peuvent rien faire pour lui. Et pour finir, sur cette partie du poème, le rythme est un peu plus rapide que pour le précédent quatrain, quoi qu’il soit encore lent. Notons pour les rimes qui sont, de même que pour le premier quatrain, sous forme embrassé, mais ici avecune amusante connotation, c’est qu’en fin de cinquième vers, dont la fonction est d’ouvrir, nous avons la plainte aux Dieux, se finissant pas « ensemble », alors qu’au huitième vers, la rime est « désassemble ». Nous nous arrêterons ici pour le commentaire sur le fond et la forme générale du poème car les deux tercés sont à propos de la mort plutôt que de la maladie.
B. La pointe finale C’estune fin plutôt « comique » que dans la souffrance l’auteur choisi, en effet, il finit son texte sans perdre le sens de l’humour, un humour noir, un humour de circonstance. « je m’en vais le premier vous préparer la place. », c’est sur cette phrase que se fini le texte, après avoir vue dans les yeux de ses proches sa déchéance finale, son dernier voyage, il leurs ouvre la voix, se lançant ainsi versl’inconnue, lui qui ne fini pas par des prière fait quand même preuve d’humanité à l’heure du grand départ l’inconnu. Néanmoins et malgré tout l’auteur garde les pieds sur terre.
II) Un poème pathétique
A. La peur de la mort (troisième et quatrième tercés) Alors que les précédents vers sont plutôt calme et se borne a décrire la déchéance physique de l’auteur, ici Ronsard parle du désarroi…

Histoire du droit

Histoire du Droit

Suite du cours du premier semestre:

§6- La règle de continuité

Affirmée à la fin du MA, elle prévoit que L’État est continu et ne disparaît pas, les personnes physiques des rois elles, disparaissent mais la couronne et la fonction royales sont continues. Il n’y a jamais d’interruption du pouvoir.
Pour éviter une vacance du roi, ce système est mis en place, carjusqu’au 15e ce qui rendait le roi monarque, c’était le sacre.
Lorsque le roi est mineur (minorité royale 14ans commencés), dans la pratique, on organisera une régence. Le régent en pratique prendra les décisions à la place du roi mais en théorie n’existera pas.

§7- Le principe d’inaliénabilité

L’inaliénabilité du domaine de la couronne, consacrée au MA, par l’édit de Moulins en 1566 prévoitque les biens publics, les biens de la couronne ne peuvent être vendus. Cette règle persiste toujours, avec l’inaliénabilité.
Deux exceptions cependant:
Les Apanages
Ce sont des biens immobiliers ou mobiliers, souvent des terres qui sont confiées aux enfants royaux (tous ceux qui ne sont pas roi ou ne le seront pas) sur lesquelles ils prélèvent des impôts, des revenus, en tirent profitpour leur permettre de vivre confortablement. Et aient un train de vie à la hauteur de leur rang social. De plus, par ces apanages, on a l’impression de combler la frustration de ne pas monter sur le trône.

Les Engagements
En cas de crises financières, notamment en période de guerre, le roi peut vendre certains biens.

Les biens donnés par apanages ou par engagements restentexceptionnels et peuvent toujours revenir dans la couronne de France.
Les engagements peuvent toujours être rachetés, pouvant imposer le rachat.

Toutes ces règles, peuvent être assimilées à une Constitution, la constitution du royaume de France assimilé au pouvoir de droit divin et au Grand conseil.

Section 2: La loi instrument privilégié du pouvoir absolu

A] La rédaction de la loi

Enthéorie, le roi fait tout, il concentre les pouvoirs et donc dispose de tout pouvoir législatif. Seulement, en pratique il se fait aider par des conseillers, ses ministres, les grands du royaume, tant pour l’initiative que pour la rédaction ou la promulgation.
Seul le chancelier freine un peu l’absolutisme du roi.

B] L’enregistrement

Les parlements vont enregistrer, le roi a ses archivesmais il préfère qu’il y en ait d’autre, pour conserver le droit royal mais aussi pour les magistrats de conserver une trace du droit royal. A cette occasion, les parlementaires sont autorisés dans le cadre du gouvernement à grand conseil, a faire au roi des remarques sur les lois qu’ils enregistrent notamment ils sont autoriser à indiquer si la loi n’est pas bonne, contraires aux loisfondamentales.
Ces remarques prennent la forme de remontrances, ce devoir qu’ont les parlements d’enregistrer et de faire des remontrances va se transformer en droit qui va servir aux parlementaires pour s’opposer au roi.
C’est une procédure dégagée par la tradition et fixée au 16e siècle, le roi une fois la loi promulguée, le roi adresse au parlement concerné par la loi, le texte en question.
Lesparlementaires peuvent:
Décider d’enregistrer le texte si il ne pose pas de problèmes
Ils refusent d’enregistrer le texte qui est injuste, ou ne correspond pas aux attentes, ils adressent au roi des remontrances. Le roi les reçoit et a plusieurs possibilités, si il tient compte des remarques il le revoit et le renvoie amendé ce qui est assez rare. Il peut cependant refuser la remontrance,renvoie le texte aux parlementaires en leur demandant de l’enregistrer avec des lettres de jussion, les parlementaires le reçoit en ayant plusieurs possibilités, à savoir enregistrer le texte sans discuter ou alors ils ne l’enregistrent pas, en renvoyant des itératives remontrances.
Le roi les ayant reçues, il va faire souvent enregistrer le texte par une procédure qui s’appelle le lit de justice…

Budget

Acrobat Reader 7.0 et plus : Pour pouvoir écrire dans ce document et conserver les renseignements que vous y aurez entrés, vous devez l’enregistrer sur votre ordinateur. Cliquez sur la disquette dansla barre d’outils ou choisissez l’option « Enregistrer sous » du menu Fichier.

Apprendre à réaliser un budget vous sera utile pour gérer vos finances personnelles. Cet outil vous aidera à établirvos revenus et vos dépenses. Revenus mensuels
Rémunération nette d’un emploi Revenu net d’un travail autonome Revenu d’appoint net (deuxième emploi, revenu secondaire) Commissions Bonus (bonus etprimes nets reçus dans le cadre d’un emploi) Pourboires Prestations gouvernementales Bourses (bourse d’étude, bourse au rendement, etc.) Remboursement d’impôt (retour annuel d’impôt suite à la productionde la déclaration de revenus) Remboursement de taxes de ventes Revenus nets de location Pension ou autres prestations nettes : Rentes (viagères ou à échéance fixe) Revenus de fonds enregistrés derevenu de retraite (FERR) Revenus de fonds de revenu viager (FRV) Régime de pension agréé (caisse de retraite) Rente de retraite de la Régie des rentes du Québec (RRQ) ou du Régime de pensions du Canada(RPC) Pension de la Sécurité de la vieillesse (PSV) et supplément de revenu garanti (SPG) Prestation fiscale pour enfants Pension alimentaire Aide sociale (secours financier pour une personne endifficulté) Placements : Revenus de placements (revenus d’intérêts, dividendes, gains en capital, etc.) Autres revenus

Votre budget

$ $ $ $ $ $ $ $ $ $ $ $ $ $ $ $ $ $ $ $ $
0.00 $

Total desrevenus

$

Épargne mensuelle
Réserve pour imprévus Économies Épargne retraite Épargne habitation Épargne études Placements (CPG, fonds communs de placement, actions en bourse, etc.) Épargne vacancesÉpargne voyage Épargne voiture Autres

$ $ $ $ $ $ $ $ $
0.00 $

Total de l’épargne mensuelle

$

Dépenses mensuelles
Habitation Loyer ou versement hypothécaire Taxes municipales Taxes…

Analyse d’une oeuvre artistique

Analyse d’une œuvre

Données théoriques et méthodologiques

Les composants qui entrent en jeu dans la fabrication d’une œuvre de l’image doivent être identifié et nommé :
Le support : ce qui sert de support à l’œuvre, ce sur quoi elle est produite (papier, toile, bois, carton, mur, etc.…)
Le format : les dimensions de l’œuvre, qu’elle soit plate (tableau, dessin) ou en volume (sculptures,construction).
Le médium : le ou les matériaux utilisés pour couvrir le support : gouache, peinture à l’huile, à l’acrylique, pastels, crayons, feutres, papier, photos, …
Les outils : ce sont les intermédiaires entre l’auteur et les matériaux, pinceaux, couteaux, spatules, doigts, burins, ….
Les couleurs : primaires, secondaires, complémentaires, et leurs relations de contrastes(chaudes/froides, vives/ternes, mates/brillantes, saturées/diluées, primaires/complémentaires…) ou d’harmonie (dégradés, camaïeux, teinte selon une dominante…).
Les valeurs : la valeur est la quantité de lumière présente dans une couleur. Elle varie ainsi du sombre au clair selon l’adjonction de valeurs sombres ou claires dans une même couleur dans une même couleur.
Le graphisme : ce qui relève de l’acte detracer : dessin, traits, lignes, écritures, signatures, marques linéaires.
Les matières : ce sont les caractéristiques physiques du médium : empâtement, rugosité, brillance, matité, craquelures, lissage, légèreté, épaisseur, résistance aux éléments extérieurs, etc.…
Les formes, les surfaces : elles peuvent être délimitées ou non, ouvertes ou fermées, géométriques ou symboliques, perceptibles ouvirtuelles.

Ensuite, il existe plusieurs systèmes de représentation et d’expressions plastiques, il faut les identifier :
Le cadrage : c’est ce qui est compris dans le champ de l’image ou de l’œuvre (c’est ce que l’on nomme le plan de vue) et son rapport à la réalité : un gros plan est une vue qui met en évidence un détail, un plan général est une vue qui montre l’ensemble d’un lieu ou d’uneaction, etc.…
L’angle de vue : selon que l’on est en face (vue frontale), au dessus (vue en plongée), en dessous (vue en contre plongée), notre perception de l’objet montré change (en dessous : notion d’infériorité, d’écrasement ; au dessus : supériorité, domination ; en face : vision normale, standard, de la réalité).
Degré d’analogie à la réalité : une image, une œuvre figuratives (c’est-à-direqui montrent des figures présentes dans la réalité : objets, lieux, animaux, personnages…) sont des représentations de la réalité ; elles ne sont réelles elles-mêmes que dans leurs statut d’image (objet plat) ou d’œuvre en volume (sculptures, édifices, constructions). Elles représentent la réalité connue selon différents degrés de ressemblance à cette réalité, suivant les techniques employées etles partis pris de figuration : vous savez reconnaître une photographie d’un dessin, d’une peinture, d’une gravure, d’une image de synthèse, d’un schème, d’un symbole ; et vous faites la différence entre un dessin naïf (dessin d’enfant, représentations symboliques), un dessin géométrique (architecture, construction en perspective, figures géométriques identifiables), un dessin réaliste (quiressemble le plus possible à la réalité) ou encore hyperréaliste (qui définit encore plus les éléments présents dans la réalité).
Systèmes de représentation de l’espace réel : il s’agit des systèmes élaborés par les auteurs pour déterminer les différents plans spatiaux contenus dans l’œuvre : avant plan, premier plan, plan intermédiaire, arrière plan.
Ombres et lumières : elles déterminent souvent uneffet de volume, de relief. Elles dépendent de la source lumineuse choisie par l’auteur pour éclairer sa représentation.

Les différentes combinaisons possibles de tous ces éléments (fabrication, composition, représentation) permettent au créateur de l’œuvre de choisir une façon de représenter sa perception du monde, réel, imaginaire, passé ou futur, d’en donner une vision personnelle. Savoir…

L’imprevision

‘Séance 10: L’imprévision

Article 136 du projet de réforme du droit des réformes

En principe les obligations ont été fixées en considération des circonstances économiques contemporaines del’échange de consentement. Si celles ci se transforment, les prestations réciproques peuvent se trouver déséquilibrées du fait de ce changement de circonstances. Ce texte traite la question dudéséquilibre survenu en cours d’exécution. En effet, il s’agit des cas d’un contrat devenu déséquilibré du fait d’un changement de circonstances indépendamment de la volonté des parties ce qui rend par la suitetrès difficile l’exécution de son obligation par l’une des parties. On parle ainsi de la théorie de l’imprévision consacrée clairement par les textes européens ainsi que par plusieurs droits des Etatsmembres (Grèce, Portugal, Italie et Allemagne).
L’insertion de ce texte est indispensable vis à vis à l’évolution rapide et permanente de la société économique afin de rendre possible larenégociation du contrat.
L’application de ce texte exige toutefois des conditions strictes exigeant que l’exécution du contrat devienne excessivement onéreuse pour l’une des parties en raison d’unchangement de circonstances imprévisible et insurmontable et dont celle-ci n’avait pas assumé d’accepter le risque. Cependant, devant une telle situation n’ayant pas donnée lieu à une renégociation amiable,le texte donne au juge, si les parties en sont d’accord, d’adapter le contrat à ces nouvelles circonstances, ou à défaut d’y mettre fin. Néanmoins le texte précise que la partie qui demande larenégociation doit continuer à exécuter ses obligations dans l’attente de la décision du juge.

La notion de la force obligatoire

La force obligatoire est l’un des effets provoquée par la formationd’un contrat, elle est prévue par l’article 1134 alinéa 1 du Code Civil : « Les conventions légalement formées tiennent lieu de loi à ceux qui les ont faites. » Selon ce principe, les parties sont…

Culture et politique dans la france des lumières

Cottret M., Culture et politique dans la France des Lumières (1715-1792), Paris, Armand Colin, 2002
Chapitre 1 : Un souffle nouveau
Chapitre 2 : Continuités et normalisation
Chapitre 3 : Confort, confiance et modération

Tout commence bien pour Louis XV avec Fleury jusqu’en 1743. Le jeune roi est pacifiste et Fleury maintient l’alliance anglaise, la guerre de succession de Pologne(1733-38) à laquelle elle ne participe presque pas lui assurera la possession de la Lorraine et en 1739, le budget est enfin équilibré. Les nouveaux concepts d’équilibre et de modération renvoient le prince à l’exercice modéré du pouvoir.
Serait-ce enfin le triomphe de la modération, symbolisée à l’international par la notion d’ « équilibre européen » (lors du congrès d’Utrecht en 1713) quiaurait glissé dans le champ de la politique intérieure ?
La 1ère partie du XVIIIe siècle réalise la fusion entre la modération, vertu privée et vertu publique.
Le bien aimé (pp 57-61)

1) Une conjoncture favorable
Le roi bénéficie d’un amour incontestable de son peuple car il incarne la figure du renouveau dans une monarchie dont la succession est désormais assurée.
En plus del’équilibre budgétaire, le royaume est en paix et prospère notamment grâce au commerce triangulaire et à l’essor du textile.
Fleury bénéficie de la faveur royale qui en fait un des principaux ministres d’Etat du début du règne de Louis XV. Autour de lui, l’équipe ministérielle est docile et efficace, et l’utilité publique est à l’ordre du jour. Dans ce contexte, P. Orry(1689-1747) améliore la circulation des subsistances en mettant en place une politique routière grâce à la corvée royale (taxe perçue sous forme de travail. Manouvriers : force de travail, fermiers : attelages).
En matière fiscale, les réformes sont moindres. Orry tente d’établir une taille tarifée et de rétablir le Dixième mais doit se heurter à de fortes résistances. La faiblessestructurelle de la fiscalité d’Ancien Régime est provisoirement masquée par la prospérité.
Pendant cette période de paix, le chancelier d’Aguesseau (1668-1751) entreprend la lourde tâche d’unifier un droit qui doit tenir compte des droits coutumiers et des privilèges traditionnels. Il avance avec prudence mais se montre néanmoins virulent envers la publication et veut à tout prixréduire le flot de permissions tacites caractéristique de la période 1729-1737.
Aux premiers temps du siècle, la lutte n’est pas permanente entre le pouvoir et les philosophes tant le jansénisme est au cœur des préoccupations.

2) Le jansénisme entre les convulsions et l’appel comme d’abus
Si d’Aguesseau a été imprégné par la sensibilité janséniste, lepouvoir, au cours des années 30 tente de se dégager de la doctrine. Sur la tombe d’un diacre (Pâris), mort en 1727 et enterré au cimetière Saint Médard, se produisent des miracles, des guérisons suivies de convulsions qui ne manqueront pas d’attirer les foules. En réaction à cet affront janséniste, le cimetière est fermé sur ordonnance royale en janvier 1732.
Mais guérisons etconvulsions se poursuivent dans des maisons de particuliers où certains sont soumis à des tortures infinies pour prouver que leur corps a été miraculeusement préservé de la souffrance par une intervention divine. Le mouvement convulsionnaire est dénoncé par les philosophes et particulièrement persécuté par le pouvoir, mais s’attire, à Paris au moins, une certaine sympathie de la population.Le Parlement, par la procédure de l’appel comme d’abus, continue de défendre les ecclésiastiques victimes de leur opposition à la bulle mais le roi refuse la déclaration de 1731 qui le réaffirme. En 1732, le roi fait encore plus fort, il restreint le rôle du Parlement et tente de limiter l’appel comme d’abus mais les magistrats répondent par la grève, suivie de l’exil. En 1732,…

Cosmétiques bio

Le développement de l’activité incite le secteur de l’Esthétique – Parfumerie à se structurer
et les salariés à monter en compétences

Le secteur de l’Esthétique – Parfumerie vient de traverser une période particulièrement faste (forte croissance de la demande et des créations d’entreprises…). À l’issue de cette phase de développement, la nécessité d’une plus forte structuration de l’activitése fait clairement sentir. L’arrivée de la crise économique de 2008 ne devrait pas remettre en cause cette évolution du secteur. Au contraire, elle aura comme conséquence positive de renforcer la place des établissements suffisamment structurés pour faire face à l’éventuelle contraction du marché, les dépenses des ménages étant moins favorables aux prestations de soin, clairement compressibles enpériode de crise.
Organiser et consolider le secteur de l’Esthétique – Parfumerie
? Les entreprises du secteur bénéficient d’une demande très dynamique
Le secteur traverse une période de transformations radicales : en moins de vingt ans, les dépenses en soins de beauté et entretien corporel ont plus que doublé pour atteindre 1,6 Mrd€ en 2006. Avec un taux de croissance de 6,6% en rythmeannuel sur la dernière décennie, il s’agit même d’une des progressions les plus élevées de l’ensemble des dépenses des ménages. A cela deux explications :
• En quête d’une meilleure qualité de vie, les consommateurs manifestent leur engouement pour les soins esthétiques et de bien-être. Ils peuvent ainsi évacuer le stress de la vie professionnelle et sociale (chômage, morosité économique…).
• Leschangements de comportement des nouvelles générations semblent confirmer le potentiel de croissance du secteur puisque les générations nées après 1945 dépensent davantage en soins de beauté que les précédentes.
La consommation en soins esthétiques demeure cependant fortement structurée par le revenu des ménages. Or, dans le contexte actuel de crise économique et de sensibilité accrue au pouvoird’achat, l’augmentation des prix de certains postes peu compressibles (logement) risque de modifier leurs arbitrages de consommation au détriment des soins esthétiques.
? Mais l’offre est trop peu structurée pour capter le potentiel de croissance du marché
Le boom du marché n’a cependant pas remis en cause les modes de fonctionnement des structures du secteur. Au contraire, il a stimulé lacréation d’entreprises et attisé la convoitise de nouveaux entrants, provoquant une situation où :
• L’offre est trop peu structurée pour capter le potentiel de croissance du marché. La branche se caractérise par une forte atomicité des structures : 97% des établissements emploient moins de cinq salariés et 70% n’en ont aucun. Cette prépondérance des petites unités est principalement liée à lafaiblesse des barrières à l’entrée du secteur : investissement de départ important et la réglementation ne constitue pas un frein à la création d’entreprises.
• De plus, la concurrence au sein du secteur s’intensifie avec l’arrivée massive de nouveaux entrants. Ceux-ci sont soit internes au secteur, comme les marques d’esthétique, soit extérieurs : les coiffeurs et les pharmacies convoitent le secteurdans le but de diversifier leur activité. Ainsi, les établissements d’esthétique commencent à se faire prendre des parts de marché par ces nouveaux entrants. Autre conséquence de leur arrivée, le secteur présente une trop grande diversité d’acteurs et de prestations proposées : le concept de bien-être est décliné à volonté avec pour résultat un manque de lisibilité concernant l’offre de services.Les entreprises semblent donc confrontées à trois enjeux majeurs pour s’imposer sur le secteur de l’Esthétique – Parfumerie : construire une offre concrète reposant sur le bien-être, s’imposer dans un univers de plus en plus concurrentiel et améliorer la rentabilité de l’activité, structurellement faible.
? 3 leviers de compétitivité s’offrent aux entreprises pour s’imposer sur le marché de…