Cours edc

Etude de cas.

Comment présenter son étude de cas en strat ?

Intro en 3 tps (1page env)
– Qui est le client ? (secteur d’activité, ancienneté, implantation, CA, PDM, le projet de l’E)
– Quel est sa demande ?
– Le budget consacré à la com’

Synthèse des données

Lister les données interne et externe.
? Annonceur : éléments liés à l’identité, CA, implantation, %de noto, position face au concurrent, ses difficultés, ou forces interne. Projet détaillé.
? Environnement externe : segmenté, éco, techno, pol, socio.
? Le M : chiffre, tendance qui permettent d’avoir une bonne tendance de la situation. (évolution- régression, stagnation)
? Les concurrents : identifier les concurrents directs, dégager les forces des 4P (produit, prix, promotion,distribution), les nouvelles orientations et perspective d’expansion. Les concurrents indirects : ceux susceptible d’être gênant à moyen ou à long terme
? Les consommateurs : toutes les tendances socio et psycho, analyser les motivations, les freins (rationnel, tengible). Les risques perçus (four micro-ondes cancérigène, non prouvé), les attentes, le comportement.

Le mix mkg del’annonceur
> Les produits et les services : caractéristiques et chiffre représentatif des gammes produites et/ou distribués.
> Stratégie de prix : éléments susceptible de positionner des gammes proposées et les prix pratiqués.
> Distribution et force de vente : implantation sur territoire, concept et caractéristique du point de vente, structure, organisation et formation et profil de laforce de vente.

Com’ antérieure
Historique des concepts et supports si possible sur les 5 dernières années.

Commentaire synthétique des enquêtes (15 lignes)
Peuvent être des articles de presse, un site web.

Analyse diagnostic des données (SWOT)

Ordre à respecter

Interne : Externe :
Annonceur Règl
Pol
Eco Techno SocioDiagnostic

– Situe l’annonceur et le contexte (3-5 lignes)
– Extrait les points forts, saisi les opportunités
– On relève la ou les faiblesses et menaces les plus importante.

Il existe 4 types de start
? La maxi-maxi
Vise à utiliser les avantages CAD à utiliser des forces de l’E pour saisir l’opportunité.
? La maxi-mini
Vise à diminuer les faiblesses pourprofiter des opportunités
? La mini-maxi
Vise à minimiser les menaces pour profiter des forces
? La mini-mini
Vise à minimiser les faiblesses, car pas de forces et d’opportunités

L’identification du pb à résoudre

Quand qq’un raconte un pb sa perception peut être faussé, il ne faut pas croire tt ce qu’il dit.
Lister les pb que je pense avoir perçu. Je cherche l’obstacle le plusgênant. Il peut y avoir pls obstacles, mais c’est le ou les 2 plus important qui vont être choisit.
La pb est l’obstacle qui met en évidence l’inconvénient, ou le manque le plus gênant. L’obstacle à lever est souvent rédiger sous forme négative ou paradoxale.
Comment convaincre le consommateur d’utiliser plus souvent notre produit alors qu’il ignore les divers usages ?

Le projet de communicationde la strat de com.

En qq ligne (5-8) vous rédigez les gdes orientation qui vous sembles pertinente par rapport à l’analyse et le diag.
Faire connaître-faire aimer (apprécier)-Faire agir.

Stratégie de communication

Le positionnement

Positionner un produit ou une marque c’est définir l’image qu’on veut lui donner dans l’esprit des futurs clients. Le positionnement doit permettre auproduire, à la marque d’acquérir une personnalité qui les distinguera de la concurrence.
Le terme positionnement recouvre 3 idées :
– Une intention
– Un processus
– Un résultat
L’intention : quelle est la place que le mkg de l’E souhaite pour la marque et le produit dans l’esprit des futurs clients, nous appelons cette intention : la position visée.
Un processus :…

Le cadre managerial : l’organisation

MANAGEMENT – NRC – CHAP 1 – LE CADRE MANAGERIAL : L’ORGANISATION

L’objectif principal d’un responsable commercial est d’assurer l’efficacité et la cohésion de son équipe.
Pour cela, il est indispensable d’inscrire le management commercial au cœur du fonctionnement de l’entreprise :
? Les commerciaux ne peuvent plus être considérés comme des électrons libres, en marge de l’entreprise,ayant des missions autonomes, souvent réduites à la recherche immédiate de chiffre d’affaires.
? Faisant partie de l’entreprise, l’équipe commerciale doit prendre en compte les finalités de l’entreprise : assurer sa pérennité, dans un environnement de plus en plus incertain et chaotique.
? Cette situation doit orienter les missions des commerciaux vers la création, le développement etl’entretien d’une relation durable avec les clients (cf module Gestion de la Relation Client).

Le management est donc indissociable de l’entreprise.
Les leviers du management commercial sont donc étroitement liés à l’évolution des entreprises.

1 – L’entreprise : une organisation humaine finalisée

1.1 – Définition

Une entreprise (une organisation) est un ensemble complexe qui repose sur 7piliers : la règle des 7 S

| |Définition |Exemples |
|STRUCTURE |Définit les tâches à accomplir, les regroupements, les liens |Structure commerciale par produit, par zone |
|Structure |d’autorité, de coopération et d’information quiunissent les |géographique, … |
| |individus | |
|SYSTEME |Ensemble de procédures formelles et informelles qui permettent |Procédures d’octroi de budgets commerciaux, mise en |
|Systems |lefonctionnement de l’organisation au jour le jour |place de réunions, systèmes d’échanges d’information,|
| | |… |
|STRATEGIE |Choix des domaines dans lesquels l’entreprise s’engagera, des |Quels objectifs ?, quels plans d’actions ?,quels |
|Strategy |avantages concurrentiels à acquérir ou à développer |moyens ?, … |
|STYLE DE MANAGEMENT |Manière dont les dirigeants se comportent et sont perçus dans la|Se rendre sur le terrain avec son équipe |
|Style |poursuite de leurs objectifs|commerciale,… |
|FINALITE ET CULTURE |Ensemble de valeurs et d’aspirations, écrites ou non, qui vont |culture du groupe L’OREAL : |
|Shared Value |au-delà des objectifs et forment le ciment de l’organisation |- qualité maximale |
| ||- passion du produit |
| | |- culture de la performance |
| | |- climat d’harmonie humaine ||SAVOIR FAIRE |Ce que l’entreprise fait de mieux que ses concurrents |Offre personnalisée, assistance clientèle 7jours/7, |
|Skills | |… |
|RESSOURCES HUMAINES |Regroupent tous les aspects de la gestion des ressources |Méthodes de…

Bussines plan

|DE DIFFÉRENTS TYPES DE RAPPORTS |
|Document pour les mobilisateurs |
|par le Dr. Phil Bartle|
|traduit par Fabienne Flessel |
|révisé par Silke Reichrath |
||
|Guide |
|PARTIE C : Comment rédiger des rapports : |
|On a rédigé ces lignes directrices pour qu’elles soient utiles à tous lestravailleurs sur le terrain qui participent à des projets avec|
|du financement externe et dont le but est de stimuler les communautés locales à gérer leur propre développement. |
|De différents objectifs ; de différents contenus de rapports : |
|Nous avons remarqué que les objectifs des mobilisateurssont différents des objectifs des projets communautaires qu’ils soutiennent. |
|Ceci implique que leurs rapports seront différents, parce que, par définition, un bon rapport compare les résultats obtenus et les |
|résultats escomptés. |
|Les rapports en général 😐
|Un des principes prioritaires de toute rédaction de rapport est de faire un rapport des résultats de vos activités. Ceci demande de |
|votre part une certaine analyse qui dépasse la simple description de vos activités. Vous travaillez dans un projet avec de divers |
|donateurs et uneagence qui canalise le travail et qui donc doit rester informée des événements sur le terrain. Vos rapports |
|représentent les voies et canaux principaux d’information pour les personnes qui décident de financer ce projet et d’autres projets |
|pareils. ||Chaque rapport devrait être identifié correctement et séparément. Au tout début, on retrouve les identificateurs principaux, |
|c’est-à-dire au moins le titre ( la période et le lieu dont traite le rapport ) et l’auteur. À la fin, certains identificateurs |
|devraient aussi apparaître sur chaque document. Chaque rapport devrait laisser voir 😐
|Le nom du ou des auteurs et le sujet général, clairement et facilement à voir au début du rapport. Dans le « De quoi s’agit-il » ( sujet|
|général ), on devrait trouver la zone géographique et la période à propos desquelles vous rendez compte. Vous devriez y mettre votre |
|titre et votre position, ainsi que votre nom, en tant qu’auteur.|
|Il faudrait aussi mettre quelques informations d’identification nécessaires à la fin de la dernière page. |
|Mettez le nom du dossier informatique ( et le chemin d’accès ) en bas, à gauche. Mettez un code pour la date d’impression en bas et |
|centré. Mettez les initiales de l’auteur ( en lettres majuscules ), puis une…

Dactylographie

Le métier de dactylographe a émergé à la fin du xixe siècle, se généralisant lors de la Belle Epoque, la production de masse de machine à écrire débutant aux États-Unis à la fin des années 1880.Associé à celui de sténographe, il consistait principalement, au début, à taper à la machine les notes sténographiées, voire parfois à transcrire les enregistrements sur dictaphones (ainsi chez Sears,Roebuck and Company à Chicago). Ainsi, les milieux journalistiques et les sténographes chargés de la transcription des débats parlementaires furent les premiers à adopter les machines à écrire. Au début,les premières machines à écrire servaient davantage à utiliser à domicile les techniques d’imprimerie qu’à écrire rapidement (l’écrivain Mark Twain fut l’un des premiers à acheter une machine àécrire). Mais progressivement, la mécanisation de l’écriture a été admise, l’importance d’une belle écriture déclinant.
Ce processus d’émergence de la dactylographie a d’abord initié par le milieux desaffaires, avec l’application du taylorisme à l’organisation des bureaux, théorisée par exemple par William Leffingwell ou le couple Gilbreth (auteurs du roman autobiographique Treize à la douzaine). Ils’est ensuite étendu à l’administration, pendant que le métier de dactylographe était sujet, dès les années 1910, à une standardisation, concomitante à celles des machines à écrire. Des méthodes dedactylographie ont ainsi été inventées, jusqu’à que celle consistant à taper à dix doigts, sans regarder le clavier, prenne le dessus (les premières méthodes n’utilisaient que deux ou trois doigts). Enmême temps, les claviers étaient standardisés, dans une procédure n’excluant pas un certain nationalisme (l’affiche publicitaire de la machine de la Manufacture d’armes de Paris, en 1924, présente despoilus). Certaines propositions tombent ainsi dans l’oubli, telle le clavier ZHJAYSCPG d’Albert Navarre, auteur de traités de dactylographie, ou la disposition Dvorak qui ne parvient pas à…

Ergonomie

Ergonomie
Qu’est ce que l’ergonomie ?
L’ergonomie est un système qui permet une adaptation des espaces physiques de travail, des processus de gestion de la production, des interfacesprofessionnelles ou grand public, organisation du travail, des modes de management mais aussi pour la mémoire.
Existe-t-il des normes en ergonomie ?

Oui il y a des normes en ergonomie pour les logiciels,l’informatique….

Comment peut-on l’appliquer sur le poste de travail ?
La méthode utilisée pour l’analyse a permis d’obtenir une vision globale du système. Nous avons effectué une évaluation globale detous les postes d’assemblage de l’organisation auxquels l’individu pourrait être assigné. Les composantes physiques reliées à la nature du travail, la façon dont il doit être effectué l’intensité de lacharge, la durée et la fréquence d’exécution des différentes tâches sont quantifiées et intégrées aux autres composantes organisationnelles du milieu de travail (stress de production, contexte d’untravail à la chaîne, ensemble du procédé).Ainsi, tenant compte des mesures et observations, les charges à soulever vont au delà des restrictions médicales et les mouvements de torsion présentent unefréquence élevée. De plus, le mode opératoire de l’assemblage demande d’actionner des boutons placés à la hauteur des yeux. Ce mouvement provoque, à la cadence exigée, des étirements douloureux au dos dutravailleur pour qui l’adaptation devient nécessaire.
Quelles conséquences peut avoir le défaut d’aménagement du poste de travail sur le salarié ?
Les maladies professionnelles
Comme il a été vudans la fiche ressource 1, il existe une réglementation sur les facteurs d’ambiance. Ceux-ci, s’ils sont mal choisis, non contrôlés, peuvent avoir une influence directe sur l’humeur des salariés, surleur niveau de stress ou sur leur santé.
Le bruit est l’un des premiers fléaux dans le milieu du travail, entraînant des maux de tête ou un niveau de stress élevé.
La luminosité, les travaux sur…

Conseil de ray nelson, auteur éditeur américain de légende.

Voici le point de vue de Ray Nelson, auteur éditeur américain de légende.

Au début:
Moi j’aime pas… les flashbacks prématurés
Suggestion: Ne me parlez pas du passé avant que je me sois préoccupé du présent.

Moi j’aime pas… L’action ou du dialogue dans le vide:
Suggestion: dites moi dès le début ou nous sommes, à l’intérieur ou à l’exterieur, l’endroit, les gens, les objets importants,les portes, les fenêtres, les escaliers, les meubles qui seront utilisés, les accessoires importants et surtout, ce qui est primordial: comment la scène est éclairée.

Moi j’aime pas…les personnages que je ne peux pas visualiser:
Suggestion: immédiatement après que le personnage soit entré en scène, commencez par me dire son age, son sexe, sa classe sociale, ses manières, sa race, son physique…Donnez moi ces infos petit à petit, pas tout d’un coup. Et arrangez vous pour que je sache comment le personnage est habillé.

Abidbol

Moi j’aime pas… la narration au présent.
Suggestion: Même si certain auteurs modernes l’utilise, il en paye les conséquences en le mettant en avant. Contentez vous d’un passé simple à moins que vous ayez une excellente raison.

Au milieu:
Moi j’aime pas… unton émotionnel inconsistant.
Suggestion: si vous avez commencez sur un ton comique, continuez sur un ton comique. C’est sans effrayant, que cela le devienne encore plus. Si c’est tragique, que cela reste tragique. On peut contraster les émotions mais pas totalement changer de ton.

Moi j’aime pas… les opportunités manquées.
Suggestion: tirez le meilleur parti de la moindre promesse énoncée aulecteur. Et que le scène de résolution soit en plein milieu de la scène et non hors champs après la fin de l’histoire.

Moi j’aime pas… trop d’anecdotes.
Suggestion: déterminez le sujet de votre histoire et désintégrez tout ce qui ne le concerne pas.

A la fin:

Moi j’aime pas… la fin à la Little Nemo… tout ceci n’était qu’un rêve !
Suggestion: Le lecteur a été assez gentil comme ça derentrer dans le jeu, ne lui faites pas comprendre que tout cela n’en valait pas la peine.

Moi j’aime pas… la fin du Tigre de Papier. “Ce n’était qu’un malentendu”, “En fait il n’avait pas été vraiment assassiné” etc…
Suggestion: surprenez moi en m’offrant plus que j’en espérais pas moins.

Souris Cruise

Moi j’aime pas… la fin non résolue
Suggestion: dites moi franchement si lesprotagonistes gagnent, perdent ou quelles sont les solutions des mystères.

Moi j’aime pas… un protagoniste qui termine apathique, dingue ou commet le suicide.
Suggestion: il y a tellement de moyens pour résoudre ses problèmes il n’y a pas d’excuse à recourir à cette facilité ultra cliché.

Moi j’aime pas… une fausse surprise à la fin
Suggestion: Assez tôt dans l’histoire posez suffisammentd’informations pour que les lecteurs avertis puissent deviner la fin mais que tous les autres se fustigent de ne pas l’avoir devinée.

En général:
Moi j’aime pas… un protagoniste passif qui est au mieux un spectateur et au pire une victime professionnelle.
Suggestion: choisissez quelqu’un qui aille mieux en tant que protagoniste ou donnez à votre personnage principal un peu plus de jus !

Moi j’aimepas… les personnages qui manquent de motivation
Suggestion: ne permettez à aucun personnage principal de ne pas vouloir quelque chose et de se battre pour l’obtenir.

Moi j’aime pas… les personnages qui causent tous pareil.
Suggestion: il faut qe les dialogues reflètent la différence de sexe, d’age, de classe sociale, de nationalité, de background, plus les particularité du personnage. Que levocabulaire reflète la profession et le niveau d’éducation.

Conan Hips

Moi j’aime pas… les scènes qui ne sont minces et pas convaincantes.
Suggestion: Vérifiez que vous avez tenu compte des cinq sens. A la limite faites une checklist !

Moi j’aime pas… les clichés
Suggestion: lisez à voix haute à un ou plusieurs personnes, auteurs ou critiques qui vous aideront à élaguer les clichés….

Morale

La Morale

Savoir comment agir. Le bonheur est considéré comme le souverain bien.

I. Les morales de l’intérêt

A. Le bonheur comme fin (but)

« Le souverain bien » Aristote. Commepermettant l’accès au bonheur. Probité (conformité à la vertu). Qu’est ce qui apporte le bonheur ? -> La satisfaction d’un désir. Il y a des désirs dont la satisfaction a pour conséquence le malheur comme parexemple la colère qui lorsque l’on dit tout ce que l’on pense provoque parfois le malheur avec la perte d’un ami par exemple. Ou encore dans la satisfaction des désirs des accoutumances comme lesdrogues, les jeux . Satisfaction inutile qui provoque de mauvaises conséquences. « Profites des plaisirs de Venus mais ne tombes pas dans ses filets » Lucrèce. (moral du calcul) il s’agit donc de « seconduire par sa raison.
« C’est la raison vigilante qui détermine les motifs de ce qu’il faut poursuivre et de ce qu’il faut éviter. » Epicure

B. Problèmes des morales du Bonheur.

Unedéfinition difficile du bonheur. « Quoique chacun veuille être heureux, personne ne peut dire ce qu’il veut vraiment. » Kant. Le repos c’est la pire chose pour l’homme. Chose de vraie dans l’Epicurisme : sepréparer au bonheur quand et si il advient => une question de chance dans le bonheur et que c’est pour cette raison que le bonheur est un art. ( pour cette raison que la religion ne participe pasréellement au bonheur car certains hommes heureux ne peuvent être converti et que la religion se nourrit du malheur comme le Christianisme).
=> Des gens honorables dans leur malheur et des gens immondesdans le bonheur. Je ne peux donc pas former une morale dans le bonheur.
Etre homme de bien ne garantie pas le bonheur. Quelqu’un qui est heureux dans l’illusion peut être encore heureux quand il veut.II Les morales du sentiment

A. La Pitié

N’ai je pas en moi un sentiment qui me ferait sentir une répugnance à faire le mal. Un sentiment qui me viendrait de ma nature : La pitié. Fait…

Oncf – mise en marche des pda

Table des matières
REMERCIEMENT……………………………………………………………………………………………………………………….. 2 INTRODUCTION ………………………………………………………………………………………………………………………… 3 1 PRESENTATION DE L’ENTREPRISE D’ACCUEIL………………………………………………………………. 5 1.1 PRESENTATION DE L’ONCF ……………………………………………………………………………………………………. 5 1.1.1 Fiche signalétique …………………………………………………………………………………………………………….. 5 1.1.2 Historique de l’ONCF………………………………………………………………………………………………………. 6 1.2 MISSIONS DE L’ONCF SUR LE PLAN COMMERCIAL, ORGANISATIONNEL ET TECHNIQUE …………………….. 6 1.2.1 Sur le plan commercial : ……………………………………………………………………………………………………. 6 1.2.2 Sur le plan organisationnel :………………………………………………………………………………………………. 7 1.3 ACTIVITES DE L’ONCF : ………………………………………………………………………………………………………… 8 1.3.1 Transport de voyageurs : …………………………………………………………………………………………………… 8 1.3.2Transport des marchandises : …………………………………………………………………………………………….. 9 1.3.3 Activité Fret ONCF …………………………………………………………………………………………………………. 11 1.4 LE PLAN LOGISTIQUE DE L’ONCF………………………………………………………………………………………….. 15 2 PRESENTATION DE MITA-ONCF ……………………………………………………………………………………… 17 2.1 LE PORT SEC SOUS DOUANE MIS EN SERVICE …………………………………………………………………………… 17 2.2 LA ZONE D’ACTIVITES LOGISTIQUE (ZAL) OPERATIONNELLE A PARTIR DE 2015………………………….. 19 2.3 CONTENEURS ……………………………………………………………………………………………………………………… 20 2.3.1 Qu’est-ce qu’un « Conteneur » ? ………………………………………………………………………………………. 20 2.3.2 Ses atouts et ses limites……………………………………………………………………………………………………. 21 2.3.3 Tailles et masses actuelles ………………………………………………………………………………………………… 22 2.3.4 Les différents types de conteneurs ……………………………………………………………………………………… 22 2.3.5 Le marquage d’un conteneur……………………………………………………………………………………………. 23 2.3.6 Des formules d’acheminement …………………………………………………………………………………………… 24 2.3.7 Les modes d’expédition des conteneurs ……………………………………………………………………………… 25 2.3.8 Les plus grossescompagnies …………………………………………………………………………………………….. 26 3 SYSTEMES D’INFORMATION LOGISTIQUES PDA ………………………………………………………….. 27 3.1 SYSTEMES D’INFORMATION …………………………………………………………………………………………………… 27 3.2 SYSTEME PDA…

Les choses du temps

Thomas, 6 ans, déposa la petite chose dans l’emplacement prévu à cet effet. Avec ses mains, il attrapa la terre sur les côtés et la poussa dedans. Il tapadessus, paume ouverte.

« – Tu devrais l’arroser maintenant » dis une voix fébrile, mais sereine dans son dos.

Thomas chercha l’arrosoir des yeux. Il le trouvacontre le mur blanc, sous le robinet en cuivre. Il s’en approcha en courant, puis le saisit. Sur la pointe des pieds, il tourna le robinet, qui laissa jaillirson geyser du précieux liquide. Il s’accroupit à côté de l’arrosoir pour le regarder se remplir.
Une fois l’arrosoir plein, il referma le robinet puisattrapa la poignée du récipient. Il le souleva difficilement. Il l’amena près de ses travaux en renversant presque la moitié de l’eau sur son short bleu marine.Il posa l’arrosoir et le pencha en avant. Les filets d’eau sortirent du pommeau, mouillant abondamment la terre.

« – C’est bien mon garçon, maintenant, ilfaut attendre qu’il pousse. dit la vieille voix, en souriant.
– Merci papi !!! s’écria Thomas, heureux comme tout.

Désormais, un chêne tronera ce bord de rue.Il apportera de l’ombre aux passants les jours pluvieux, les jours ensoleillés, il écoutera les discours des jeunes, des anciens, il verra des joies, destristesses… Il fera partie de la vie de chacun des passants, de ceux qui l’ont planté, admiré, de ceux qui en ont pris soin.
Il verra le monde avancer oureculer, il s’emplira de souvenirs, d’émotions pendant des centaines d’années.

Voilà ce que c’est, de planter un arbre. Et ce que l’on détruit en l’abattant.

Logiciels libres

Liste d’équivalences logicielles
Cette liste présente des équivalents libres aux logiciels propriétaires les plus courants. Ils n’ont pas forcément exactement les mêmes fonctionnalités et il n’existe parfois pas d’alternative pour une application donnée. Mais les choses évoluent avec le temps et de nouveaux projets apparaissent régulièrement pour améliorer la situation.
L’intérêt des logicielslibres est multiple : indépendance technique, pérennité, adaptabilité aux besoins, sécurité, la gratuité n’étant qu’un effet de bord. Ces idées sont à mettre en parallèle avec d’autres principes importants dans le domaine informatique : le respect des standards, l’utilisation de formats ouverts et documentés et de manière plus générale, l’interopérabilité des systèmes et des logiciels.Légende |
| | Système |
| | Logiciel |
| | Licence de type non libre |
| | Licence de type libre |
| Bureautique
Suites, Traitements de texte, Présentation, Tableurs, Publication | | Images
Visualisation, Bitmap, Vectoriel, Diagrammes, Logiciels auteurs |
| | |
Gestion
Agendas, Finances, Comptabilité, Gestion de fichiers, Gestion de données | | Audio
Lecture,Conversion, Extraction, Traitement, Editeurs, Séquenceurs, Synthétiseurs, Trackers |
| | |
Internet
Navigateurs, Téléchargement, Création de sites, Clients FTP, Aspirateurs de sites | | Vidéo
Lecture, Montage, Traitement, Extraction, Télévision, Magnétoscope numérique |
Communication
Messagerie, Groupware, Messagerie instantanée, IRC, Vidéo-conférence | | 3D
Modélisation,Rendu, Paysages, Animation, CAO/DAO |
Utilitaires
Gravure, Archivage, Editeurs de texte, Calculatrices, Antivirus | | |
|
Bureautique
Catégories | | | Logiciels | Commentaires |
Suites | | | MS Office, MS Works, Star Office | OpenOffice.org est la suite bureautique la plus aboutie dans le domaine des logiciels libres. Elle n’est peut-être pas aussi complète que MS Office maiselle couvre l’ensemble des besoins d’un utilisateur moyen. |
| | | OpenOffice.org | |
| | | Star Office, ApplixWare, Hancom | |
| | | OpenOffice.org, KOffice, Gnome Office | |
Traitements de texte | | | MS Word, Corel WordPerfect | OpenWriter est le traitement de texte fourni avec la suite OpenOffice.org, il dispose de la plupart des fonctionnalités dont vous avez besoinpour un logiciel de ce type. Il est d’ailleurs capable de lire et d’écrire des fichiers au format MS Word. |
| | | | |
| | | Corel WordPerfect | |
| | | OpenWriter, Abiword, Kword | |
Présentation | | | MS PowerPoint, Corel Present | Impress est le logiciel de présentation fourni avec OpenOffice.org, l’interface est conviviale et il est capable de lire des documents MSPowerpoint sans trop de problèmes. |
| | | | |
| | | | |
| | | Impress, Kpresenter | |
Tableurs | | | MS Excel | OpenCalc est le tableur présent dans la suite OpenOffice.org et constitue une bonne alternative à MS Excel. |
| | | | |
| | | | |
| | | OpenCalc, KSpread, Gnumeric | |
Publication Assistée par Ordinateur (PAO) | | | Quark X Press, MSPublisher, Indesign | En ce qui concerne la PAO, l’offre en logiciels libres est plus limitée. Le meilleur choix est sans conteste Scribus même s’il est encore loin de rivaliser avec Quark X Press ou Indesign. |
| | | | |
| | | PageStream, FrameMaker | |
| | | Scribus, Lyx | |
Gestion
Catégories | | | Logiciels | Commentaires |
Agendas | | | Outlook | Evolution estun outil très complet qui intègre messagerie, calendrier, agenda et gestion des contacts et des tâches en une seule application. C’est certainement l’outil le plus riche de cette catégorie. |
| | | | |
| | | | |
| | | Evolution, Korganizer, Gnome-pim | |
Finances personnelles | | | MS Money, Quicken | Grisbi respecte parfaitement l’esprit de la comptabilité à la…