Culture sous serre

La région Orientale du Maroc est connue par son climat continental : l’été, pendant la journée la température peut atteindre des valeurs supérieures à 40 °C, alors qu’en hiver, durant la nuit latempérature peut descendre à moins de 0°C. Pour ces raisons nos agriculteurs n’exploitent leurs terres, pourtant réputées très fertiles, qu’une partie de l’année et pour des cultures qui arrivent àsupporter ces aléas de la nature. Le problème des conditions climatiques pour notre agriculture constitue un souci majeur pour nos décideurs, nos agriculteurs et nous autres consommateurs.
Pourassurer des conditions climatiques favorables à notre agriculture quelle que soit la saison, il est nécessaire de développer la culture sous abris afin d’assurer à notre région un approvisionnementrégulier en produits frais. Quelle que soit l’optique choisie: économique, sociale ou écologique, la production locale apparaît plus sensée que l’importation des régions lointaines. Cela étant, sous nosclimats l’exploitation raisonnée des infrastructures impose :
En hiver (de novembre à avril) : le chauffage des serres la nuit, alors qu’elles rejettent pendant la journée, par ventilationnaturelle, d’importants excès solaires.
En été (de mai à octobre) : assurer à la culture des conditions thermiques favorables pour qu’elle puisse produire généreusement.
Les facteursclimatiques intervenant dans une culture sont principalement la température, l’éclairage et l’humidité de l’air. Un système de régulation climatique est bien capable, malgré les sollicitations thermiquesintérieures et extérieures, de maintenir l’ambiance d’une serre dans des conditions favorables pour avoir une meilleure culture.
Dès les années 70, la rationalisation de la gestion énergétiquedes serres a logiquement débuté par l’amélioration de l’enveloppe et des équipements de distribution de chaleur, induisant une réduction de la consommation de combustible par unité de surface. Afin…

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Carte certifiée par Adobe pour l’acquisition et l’exportation sur bande pour les flux de travaux SD/HD Port IEEE 1394compatible OHCI pour l’acquisition DV et HDV, l’exportation sur bande et la transmission vers un périphérique DV Carte son compatible avec le protocole ASIO ou Microsoft Windows Driver Model Lecteur de DVD-ROM compatible avec les DVD double couche (graveur DVD+-R pour la gravure de DVD ; graveur Blu-ray pour les disques Blu-ray) Java™ Runtime Environment 1.6 (inclus) Logiciel QuickTime 7.6.2 requis pourles fonctions QuickTime et multimédia Logiciel Adobe Flash® Player 10 requis pour l’exportation des fichiers SWF et pour la lecture des projets DVD exportés sous forme de fichiers SWF Connexion Internet haut débit requise pour les services en ligne†

Mac OS
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Processeur Multicore Intel® avec prise en charge 64 bits Mac OS X v10.5.7 ou v10.6.3 ; Mac OS…

Thèse histoire

l’évolution de l’automobile française

A partir de la fin du XIXe siècle la recherche et l’évolution de l’automobile vont progresser de manière fulgurante en France. C’est également à cette périodeque commencent les début de la voiture car elle était jusque-là un objet de luxe réservé aux plus fortunés.

En 1898 Louis Renault construit seul sa première voiturette à Billancourt. GeorgesLatil, en 1897, fait breveter le principe d’une transmission articulée, permettant d’actionner les roues d’un essieu brisé, les rendant ainsi à la fois motrices et directrices, en tant qu’avant-traincomplet. Tous ces pionniers améliorent la mécanique et les performances et mettent en place une véritable industrie.

La France est alors à la pointe de la construction automobile. Se pendant pourencore améliorer leur taux de fabrication ils vont instaurer une méthode créée aux Etats-Unis le Taylorisme (document 1). Il faut attendre 1912 pour voir Renault totalement succomber au Taylorisme.Levassor refuse cette option dès 1908. Le Taylorisme est plus qu’une révolution industrielle, car elle transforme les artisans d’antan en ouvriers spécialisés. Il permet aussi aux industries de mettre enplace de véritables chaînes de travail nécessitant peu ou pas de main-d’œuvre qualifiée. Le document 2 nous montre l’accroissement du nombre d’ouvriers spécialisés. De plus, cette stratégie permet unechute importante des coûts de main-d’œuvre.
Cependant le Taylorisme est une méthode de travail horrible pour les ouvriers. Ils sont forcés a faire les même gestes toute les jours sans réfléchir et aumoindre coup de fatigue ou de vieillesse les ouvriers était virer et aussitôt remplacé. Cette méthode était vécue par les ouvriers comme de l’esclavage. Pour trouver autant de main d’œuvre lesindustries faisaient de la publicité dans les écoles en affichant de grands panneaux montrant les ouvriers travailler avec le sourire et dans de bonnes conditions pour faire rêver les enfants et leur…

La profession de foi du vicaire savoyard

Le 18 novembre 1751, l’abbé Jean-Martin de Prades présenta sa thèse « Majeure Ordinaire » à la Faculté de Théologie de Paris. Auparavant, le bachelier de la Sorbonne avait soutenu avec succès trois des quatre « actes » académiques : la « tentative », le 8 janvier 1748, la « sorbonique », le 23 novembre 1750 et la « mineure », le 27 juillet 1751. Enfin, la « thèse majeure », la dernière desquatre, intitulée « À la Jérusalem céleste : quel est celui sur la face duquel Dieu a répandu le souffle de vie ? Genès. chap. 2. vers. 7. » 1, fut débattue avec ses examinateurs, huit docteurs nommés comme censeurs, pendant dix heures (de huit heures du matin à six heures du soir), au bout desquelles le candidat obtint à l’unanimité le titre de docteur. Cette étude sur « l’être humain », commel’indique le titre, développait une histoire de l’homme allant de l’analyse de l’âme jusqu’à celle de la société. Malgré sa réussite, la situation du jeune théologien changea bientôt : sa thèse fut condamnée le 26 janvier 1752 par la même Faculté, puis le 27 janvier par l’archevêque de Paris, le 11 février par le Parlement, le 27 février par l’évêque de Montauban, évêché dont dépendait de Prades, le 29 maipar l’évêque d’Auxerre et enfin le 22 mars par le pape lui-même. Selon l’arrêt du Parlement, il fut dit que l’auteur serait « pris et appréhendé au corps et mené prisonnier ès prison de la Conciergerie du Palais »2. Du fait de ces événements, l’abbé de Prades et l’abbé Yvon, son proche collaborateur de l’Encyclopédie, durent tous deux quitter la France ; c’est à partir de ce moment que Diderot sechargea de rédiger les articles théologiques du dictionnaire.

Grâce à la protection d’un ami de Voltaire, le marquis d’Argenson, l’abbé de Prades put se retirer pendant une semaine sur les terres de ce dernier, chez son curé de Saint-Sulpice de Favières, dans la paroisse de Segrez. Il se cacha ensuite en Hollande où il resta durant quelques mois tandis que D’Alembert, Voltaire et le marquisd’Argens arrangeaient son départ pour la Prusse où il pourrait vivre sous la protection de Frédéric II. Voltaire, qui était à Potsdam, s’occupa de préparer la venue du jeune théologien, et celui-ci arriva à Berlin en août 1752. Frédéric lui promit un bénéfice en Silésie, lui offrit une pension et le nomma lecteur du roi. Cette même année, l’abbé ne cessa d’affirmer son orthodoxie. Il rédigea les deuxparties de son Apologie tandis qu’une troisième fut écrite par Diderot sous le nom de l’abbé. On les publia d’abord séparément : les deux Apologies d’une part, et leur supplément. Au cours de la même année, une seconde publication les vit imprimés ensemble. Un peu plus tard, en 1754, désireux de se réconcilier avec l’Église, de Prades renia lui-même sa thèse. « L’une de ses raisons, suggère Kafker,est financière. Il voulait bénéficier du canonicat et devait donc donner un terme à sa querelle avec l’Église »3. Grâce aux bons offices de l’évêque de Breslau, capitale du duché de Silésie, et de Frédéric II, le pape Benoît XIV réintégra l’abbé et la Faculté de théologie lui restitua tous ses degrés.

La Censure de la Faculté de Théologie de Paris stigmatise formellement dix propositionsénoncées dans la thèse de l’abbé de Prades qui examine tour à tour l’essence de l’âme, les notions du bien et du mal moral, l’origine de la société, la loi naturelle et la religion révélée, l’économie du Pentateuque, les miracles de Jésus, etc. Si l’on dégage les deux principes théologiques et philosophiques de la thèse de l’abbé de Prades sur lesquels la Faculté jette son anathème, on trouve d’une partle « rationalisme » et d’autre part le « sensualisme ». La même Faculté déclare au premier chef que : « [L’impiété] entreprend de soumettre la Foi, sous qui tous les esprits doivent plier pour obéir à Jésus-Christ, à l’examen impérieux de la raison aveugle ; et s’efforce de persuader aux hommes qu’ils ne doivent rien croire au-delà de ce que les sens leur présentent, ou que les lumières…

La candidature francaise de handball au mondial 2015

Candidature Française à l’organisation du mondial 2015.

Année 2010-2011

Plan :

Introduction :

I) Constat
A) Nombre de licenciés. B) Sport le plus titré mais peu de médiatisation. C) Peu de salles malgré les résultats sportifs.

II) Enjeux
A) Construction de nouvelles salles. B) Attirer plus de spectateurs.

III)Perspectives
A) Développer le sport en salle en France. B) Fairedes nouvelles salles de sport des lieux multifonctionnels.

Conclusion

Bibliographie

2

Introduction :

La Fédération Française de Handball a annoncé le 26 octobre 2010 sa candidature pour l’organisation du championnat du Monde masculin en 2015. Le handball est le sport collectif français le plus titré. En effet les deux équipes ont déjà été championnes du monde (2001 et 2009 pourl’équipe masculine et 2003 pour l’équipe féminine). L’équipe de France féminine a été récemment vice championne du monde (2009), tandis que l’équipe masculine a réussi l’incroyable triplé : le titre Olympique (2008), Mondial (2009) et d’Europe (2010). L’organisation d’une compétition peut d’inscrire comme une stratégie de développement que ce soit de la discipline pour que celle-ci se fasse connaitre dupublic mais aussi pour l’attractivité du pays hôte. En effet cela peut être une opportunité de rénovation et de modernisations des enceintes sportives. Pour cette organisation la France sera en rivalité avec l’Autriche, la Corée du Sud, la Norvège, la Pologne et le Qatar. Toutefois malgré tous les titres remportés et avec l’organisation antérieure de compétitions majeures avec notamment les Mondialde Handball de 2001 et 2007, la France ne part pas favorite. En effet celle-ci a un déficit en matière d’infrastructures. Notamment d’infrastructures majeures capables de recevoir des compétitions internationales. Ce manque leur a causé le fait de ne pas être choisi pour l’organisation de l’Euro 2012 qui se déroulera finalement en Chine. Le dossier technique français a été présenté le 11 décembreet l’attribution du Mondial sera annoncée le 27 janvier lors de la finale du Mondial 2011 qui se déroulera en Suède. En attendant le résultat nous pouvons faire un constat de ce qu’il se passe actuellement, développer les enjeux de ce mondial et les perspectives que celui-ci apportera pour les autres sports de salles tel que le basket et le volley.

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I) Constat
A)

Nombre de licenciésLe nombre de licenciés n’a cessé d’augmenter depuis la création de la fédération française de handball en 1941. A travers ce graphique nous pouvons voir qu’entre 1990 et 2010 le nombre de licenciés a plus que doublé en passant de plus de 175 000 à un peu moins de 400 000 licenciés. De plus nous pouvons nous apercevoir que la hausse des licenciés est liée en grande partie en fonction des titresque les deux équipes de France ont pu gagner : – En 1992 après la place de vice champion olympique de l’équipe masculine – En 1999 avec la place de vice championne du monde pour l’équipe féminine. – En 2004 un nouvel essor avec le titre de championne du monde des françaises de 2003. – En 2009 avec le cumul des titres de champions d’Europe et champion olympique de l’équipe masculine.

Cf. :Graphique émanant du site de la Fédération Française de Handball (FFHB).

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B)

Sport le plus titré mais peu de médiatisation

Comme nous avons pu le dire en introduction, le handball français a réussi un grand exploit en remportant successivement le titre olympique, le titre mondial et le titre européen. Cependant de ce triplé, seules les finales ont été diffusées sur les chaines gratuites.En effet seul Canal+ sport ou Sport+ diffusent les compétitions de handball et notamment les compétitions européennes et mondiales. Même si les téléspectateurs sont de plus en plus demandeurs, les chaines dites gratuites comme France 2 ou France 3 ne diffusent que les finales ou les demi-finales. La moyenne de diffusion du handball sur les chaines hertziennes ne dépassait pas deux heures pour…

Plan d’un rapport

Plan du rapport
I. INTRODUCTION
1. Présenter le secteur de l’activité
2. Présenter le secteur de l’entreprise
3. Thème : Référentiel de compétences du service administration des ventes
4.Problématique
5. Annonce de la méthodologie à suivre
II. PRESENTATION DE L’ONA – SNI
1. Analyse générale – Fiche signalétique
2. Historique de l’entreprise & Organigramme
3. Les produits
4.L’activité principale
5. Chiffre d’affaire, Chiffre de croissance, place sur le marché, concurrents, BCG
6. Culture de l’entreprise / Performance
7. Concurrence/ Part de Marché/ Chiffre de croissance
?Cible
? Culture
? Performance
III. ETUDES
1. Diagnostic
2. Enquêtes
3. Résultat (diagramme)
• Chaque question de l’enquête
• Diagramme
4. Analyse Globale des résultats
• Points deperformance et de non performance
IV. Conclusion
Recommandations
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Le secteur agroalimentaire au Maroc
1 L’intérêt du choix du secteur :
Aujourd’hui lesecteur agroalimentaire est l’un des secteurs moteurs de l’économie marocaine. En effet, il contribue à hauteur d’un tiers du PIB industriel et 8 % du PIB national pour une production de plus de 5,4milliards d’euros et dégage 1,6 milliards d’euros de valeur ajoutée.
Ce secteur est en forte croissance grâce à la très bonne tenue de la demande aussi bien intérieure qu’à l’exportation. Cecis’explique essentiellement par le changement manifesté des habitudes gastronomiques, induisant une amélioration du niveau de consommation nationale, mais qui demeure relativement bas par rapport aux pays àniveau économique comparable. Le secteur n’exporte que 17 % de sa production en raison notamment des difficultés à satisfaire les critères de qualité? et des exigences sanitaires des pays développés.L’industrie agroalimentaire transforme des matières premières issues de l’agriculture, de l’élevage ou de la pêche en produits destinés essentiellement à la consommation alimentaire.
Huit…

Vérité en art

Observations : |

Y a-t-il une vérité en Art ?

Une vérité est dans les sciences un théorème ou une loi qui a été démontré et à laquelle on ne peut que souscrire. Il s’agirait de déterminer si ce concept peut s’appliquer à l’Art. Cependant, pour ce, il faudrait en premier lieu déterminer ce que l’on désigne sous le nom d’Art ? Dans ce domaine, la vérité ferait elle référence à un moyende juger des productions artistiques, de les qualifier d’œuvre ou même de « chef d’œuvre » ? Mais alors, quelles seraient les fondements de ce jugement esthétique ou encore son origine ? Cependant, en considérant la diversité culturelle qui traduit la diversité des mœurs, comment l’Art serait-il à même de rassembler toutes les opinions vers une définition unique ? Autrement dit, quelles sont lesvaleurs artistiques sur lesquelles est basé ce jugement ? En effet, ce que l’on nomme chef d’œuvre est reconnu universellement, c’est à dire que l’humanité reconnait sa valeur, ou plutôt qu’elle devrait reconnaitre sa valeur. Quelle est cette valeur ? Généralement, on qualifie de « beau », les œuvres muséifiées que l’on contemple, cela présuppose-t-il que la beauté est la caractéristique de lavaleur de l’œuvre d’art ? Si c’est le cas, qu’est ce que la Beauté ? Faire converger toutes les opinions est impossible puisque les gouts sont propres à chacun ou dans une moindre mesure, s’établissent dans un groupe social déterminé. Bourdieu montre dans ces études de la société que dans les milieux aisés, la décoration sobre prime par rapport à la décoration riche comme le papier peint chargé demotif qui serait pourtant prévalut dans les milieux prolétaires. Si la Beauté ne peut pas faire office de critère pour hiérarchiser les œuvres d’Art alors qu’est ce qui le peut ? Tout d’abord, il sera traité l’opposition entre la vérité dans les sciences physiques et en Art. Ensuite, il s’agira de déterminer si la beauté est au fondement du jugement esthétique. Enfin, l’enjeu sera de savoir cequ’est un « chef d’œuvre ».

La vérité n’est pas synonyme de réalité, en ce sens que la réalité n’est peut-être pas conforme a ce que nous percevons, et toute vérité ne doit pas être tenue comme telle de façon définitive. Telle la déesse Isis, la vérité porte plusieurs voiles. En soulever un ne suffit pas à voir la vérité toute nue. Il faut la chercher et tenter de déterminer le critère qui lacaractérise. Un critère est une règle permettant de discerner le vrai du faux. Existe-t-il un critère universel de vérité, un signe qui permet de reconnaitre infailliblement le vrai ?
Pour Platon, la vérité se trouve dans le monde des Idées, monde immuable des modèles, du Vrai, en opposition avec le monde des apparences en perpétuelles devenir. La vérité a besoin de permanence : ce qui est vrai doitl’être toujours. Elle est transcendantale, absolue ou n’est pas.
La vérité absolue ne fait plus partie du vocabulaire des scientifiques. Dans les sciences, on distingue deux sortes de vérités. D’une part, on observe la vérité formelle qui concerne le domaine de la logique. Elle repose sur la cohérence d’un raisonnement sans se soucier du contenu, elle possède un critère de vérité irréfutable, peuimporte la société ou l’époque dans laquelle elle est énoncée.
Or, en Art, certains peintres ou musiciens ne sont devenus de grands artistes qu’à titre posthume, autrement dit, pendant leur temps ces artistes n’étaient pas reconnus par leur talent car il ne correspondaient pas à la vérité établie. C’est-à-dire à la définition de l’œuvre. Cela suppose que la vérité a changé au cours du temps, s’estmodulée de telle sorte que les productions de ces artistes conviennent à la vérité en Art. Donc, celle-ci ne peut être formelle car elle n’est pas irréfutable ni fixe.
On constate, d’autre part, la vérité matérielle qui concerne le contenu. Issue de l’expérimentation, elle peut être tenue pour vraie en ce sens que le vrai est ce qui est vérifiable. Le critère de vérité est ici la…

Peut-on parler d’une reparlementarisation de la vème république ?

Peut-on parler d’une reparlementarisation de la Vème République ?

La Vème République fait l’objet d’une réelle volonté de rupture avec les régimes précédents même si il s’agit toujours d’un régime parlementaire. Ce régime se caractérise par une certaine rationalisation du régime se traduisant par une baisse de pouvoir du gouvernement au profit du gouvernement et surtout du chef de l’Etat, ceciafin de lutter contre l’instabilité gouvernementale véritable fléau de la IIIème et IVème République.
De manière générale, le parlement est le parent pauvre des institutions pas uniquement parce que dans la Constitution il est placé après le chef de l’Etat et le gouvernement.
La « reparlementarisation » est une idée qui revient souvent. En effet elle s’exprime par des révisionsconstitutionnelles depuis 1963, jusqu’à la dernière en date, centrée sur le thème du « rééquilibrage des rapports exécutif/législatif ».
Le parlement a été laminé par l’exécutif d’ou le souhait de Copé d’un hyper parlement et de Chirac de « remettre le parlement à sa vraie place ». De plus Sarkozy à son élection avait un projet de révision constitutionnelle pour redonner au parlement un certain nombre depouvoir.
Si le souhait de redonner du pouvoir au parlement est si fort, c’est que d’un coté, il n’en a plus. Ceci nous conduit à la problématique suivante.
Cette reparlementarisation à-t-elle conduit à un rééquilibrage des pouvoirs en faveur du Parlement?
Dans une première partie, nous allons voir en quoi le parlement a vu ses pouvoirs limités, ceci doit donc entrainer un certain rééquilibrage despouvoirs que nous verrons dans une seconde partie.

I. UN PARLEMENT LIMITÉ

En théorie, le parlement a un double rôle qui est de débattre et voter les lois et contrôler l’action gouvernementale. Hors sur ces deux plans, le parlement se caractérise par une absence flagrante.
En effet, 90% des lois sont d’initiative gouvernementale.

A. Une procédure législative à prédominance parlementaire?

L’initiative de la loi est partagée entre le gouvernement et le parlement :
Avant 2008, les propositions de loi n’avaient pas être soumise à la délibération du Conseil d’Etat ou au Conseil des ministres. Désormais, il est possible que le président d’une des deux assemblées soumette pour avis au Conseil d’Etat cette proposition sauf si ce député ou ce sénateur refuse cet examen.
Dès cepremier temps de la procédure législative, on peut soulever deux types d’irrecevabilité :
Si il y a une disposition qui est du domaine du pouvoir réglementaire (art.41), le gouvernement peut demander au Conseil Constitutionnel l’annulation. Cependant il ne l’utilise pas pour cause de majorité parlementaire coïncidant avec celle du gouvernement
L’art.40 concernant les finances publiques dit que lespropositions de loi et les amendements sont irrecevables quand ils ont pour objet ou conséquence une baisse des recettes publiques ou l’aggravation des charges publiques. Un député ne peut alors proposer une loi qui baisserait ou augmenterait les impôts par exemple. La Constitution le lui interdit.
Le deuxième stade est l’examen en commission permanente (8 commissions) du texte (art.43). Cettecommission joue un rôle très important car, c’est elle qui va organiser les débats à venir. La commission peut modifier le texte qui lui est soumis mais ne peut le faire que pour les propositions de loi. Les 2 chambres doivent alors tombé d’accord sur le même texte en cas d’amendement il y a renvoi devant l’une des chambres, c’est ce que l’on appelle la navette.
Avant 2008, l’art.48 indiquait que legouvernement prévoyait l’ordre du jour. Ceci laissait cependant à penser que le parlement était une véritable chambre d’enregistrement du gouvernement et que le parlement ne pouvait pas réellement exprimer sa volonté.
En 2008, il a été décidé que 2 semaines sur 4 sont réservés en priorité aux débats réservés à l’ordre du jour et que les 2 autres semaines sont à l’initiative des parlementaires….

Jules verne

En 1863 paraît chez l’éditeur Pierre-Jules Hetzel (1814-1886) son premier roman Cinq semaines en ballon qui connaît un immense succès, au-delà des frontières françaises. Lié à l’éditeur par uncontrat de vingt ans, Jules Verne travaillera en fait pendant quarante ans à ses Voyages extraordinaires qui compteront 64 volumes et paraîtront pour une partie d’entre eux dans le Magasind’éducation et de récréation destiné à la jeunesse. Richement documentés, les romans de Jules Verne se situent aussi bien dans le présent technologique de la deuxième moitié du XIXe siècle (LesEnfants du capitaine Grant (1868), Le Tour du monde en quatre-vingts jours (1873), Michel Strogoff (1876), L’Étoile du sud (1884), etc.) que dans un monde imaginaire (De la Terre à la Lune (1865),Vingt mille lieues sous les mers (1870), Robur le conquérant (1886), etc.).

L’œuvre de Jules Verne est populaire dans le monde entier et, selon l’Index Translationum, avec un total de 4 223traductions, il vient au deuxième rang des auteurs les plus traduits en langue étrangère après Agatha Christie[1]. Il est ainsi en 2011 l’auteur de langue française le plus traduit dans lemonde. L’année 2005 a été déclarée « année Jules Verne », à l’occasion du centenaire de la mort de l’auteur
Jules Verne naît au 4 de la rue Olivier de Clisson dans le quartier de l’île Feydeau.C’est le fils de Pierre Verne, avoué, originaire de Provins, et de Sophie Allote de la Fuÿe, issue d’une famille nantaise de navigateurs et d’armateurs, d’ascendance écossaise[N 1]. Jules estl’aîné d’une famille de cinq enfants, comprenant son frère Paul (1829-1897) et ses trois sœurs : Anna, née en 1836, Mathilde, née en 1839, et Marie, née en 1842. En 1829, les Verne s’installentau 2 quai Jean Bart où naissent Paul, Anna et Mathilde. En 1840, nouveau déménagement dans un immeuble imposant de la rue Jean-Jacques Rousseau, proche du port, où naît Marie[N 2].

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Séquence 2-se01 21

> Croissance, capital
et progrès technique

Séquence 2-SE01

21

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Introduction

…………………………………………………………………………………………………………………………………………………….

25

Chapitre 1

> Sources et limites de la croissance
A………………………………………..

27

Les origines de la croissance
La croissance, résultat de la mobilisation des facteurs de production Le rôle de la productivité Le rôle des agents économiques

B

Les limites de la croissance
La mesure de la croissance : un indicateur imparfait Les retombées négatives de la croissance

C

L’impératif de développement durable
Genèse du concept Définition Des propositions auxlimites Faut-il envisager une décroissance ?

Chapitre 2

> L’investissement
A

…………………………………………………………………………………………….

41

Définitions et mesure
L’investissement est un détour de production L’investissement au sens de la comptabilité nationale Les différents types d’investissement

B

Le financement del’investissement
L’autofinancement Le financement externe

22

Séquence 2-SE01

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C

Les déterminants de l’investissement
Le rôle de la demande anticipée Profits et rentabilité Le rôle des taux d’intérêts La situation financière

D

L’investissement : moteur de la croissance
Des analyses théoriques… … aux faits

Chapitre 3

> Progrès technique et évolutionéconomique
et sociale
A
…………………………………………………………………………………………………………………

56

Origine et diffusion du progrès technique
Qu’est-ce que le progrès technique ? Les différentes formes d’innovation Le progrès technique : fruit d’un processus complexe

B

Les effets du progrès technique sur la croissanceL’analyse de Schumpeter Le rôle du progrès technique dans la croissance endogène Progrès technique, productivité et croissance.

Séquence 2-SE01

23

© Cned – Académie en ligne

ntroduction

C

ette séquence regroupe des concepts étroitement liés entre eux. L’investissement, à l’origine de l’augmentation du capital, est aussi le vecteur du progrès technique. Si différents modèles économiquesdonnent leur version explicative du phénomène de croissance économique, tous s’accordent à démontrer le rôle déterminant de l’investissement et du progrès technique. Cette séquence se propose d’étudier ces différents concepts en lien avec la croissance économique et le changement social.

Mots clés

(notions essentielles et complémentaires à connaître) Valeur ajoutée, produit intérieur brut,revenu par tête, population active, capital, productivité du travail, FBCF, investissement. Investissement immatériel, investissement public, IDH, développement durable. Innovation, taux de rentabilité, taux d’intérêt, demande anticipée. Épargne, innovation de procédé/de produit/organisationnelle, Recherche et développement, autofinancement, financement externe, destruction créatrice.

Séquence2-SE01

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Sources et limites de la croissance
La croissance mesurée par l’accroissement d’un indicateur de production globale est au centre du débat politique. Condition nécessaire à l’amélioration du niveau de vie et facteur de profondes mutations, elle fait cependant l’objet de multiples critiques. Alors que les populations prennent conscience des risquesqu’engendre une croissance non maîtrisée, de nombreux auteurs réfléchissent sur les conditions d’une croissance propre et d’un développement durable. Après l’étude des conditions de la croissance (A et B), nous nous interrogerons sur les limites qui se posent (C).

A

Les origines de la croissance
Du point de vue microéconomique…. Depuis la classe de seconde, vous savez que pour produire,…