Russie

PHASE 2&3 – Thierry Coville

Note :

Observations :

SOMMAIRE

1) Phase 2 – Le bilan humain

A. Démographie

a) Bilan quantitatif & qualitatif
b) Analyse relationCapital/Travail
c) Grille des revenus

B. Marché du travail

2) Phase 3 – Le risque politique

A. Système Politique & Social

B. Impact

1) Phase 2 – Le bilan humain

A.Démographie

a. Bilan quantitatif & qualitatif

Pour mieux comprendre la situation démographique Russe, il faut revenir à l’éclatement de l’URSS. Avant 1992, la population russe était enconstante augmentation. Le taux de fécondité était de 2,1 enfants par femme.

La sécurité apportée par l’état communiste permettait aux femmes d’avoir plus de 2 enfants. Après la chute de la chute del’URSS, l’avenir incertain qui se dessinait a radicalement changé les habitudes des familles russes.

Ce taux a été pratiquement divisé par 2. En effet, 75% des familles qui essayent d’avoir des enfantsn’en font qu’un seul. L’éducation a pris une place centrale dans le quotidien des russes (« culte de l’enfant roi »).

Ce choix est motivé notamment par le système social qui offre désormais moinsd’avantages qu’à l’époque communiste.

« Depuis 2000, le taux de natalité a augmenté de 21%, celui de mortalité a diminué de 12%, et l’espérance de vie a atteint 69 ans.
D’ici à 2013, les autoritéspensent pouvoir réduire le taux de mortalité de 16% supplémentaires, et porter l’espérance de vie à 71,3 ans.” (Joukov)

Cette panne démographique entraine aujourd’hui une diminution de la populationRusse à hauteur de 900.000 habitants par an.
Les experts qualifient cela d’hiver démographique. A l’heure actuelle, c’est le seul pays ayant connu un tel cataclysme.

Pour conclure, en 2100, la Russiedevrait compter une population avoisinant les 70 Millions d’habitants soit oins que la France…

b. Analyse relation Capital/Travail

La Russie est actuellement la 8ème puissance…

Keynes

John Maynard Keynes (5 juin 1883 – 21 avril 1946) est un économiste britannique de notoriété mondiale, reconnu comme le fondateur de la macroéconomie moderne[Note 1], pour lequel les marchés nes’équilibrent pas automatiquement ce qui justifie le recours à des politiques économiques conjoncturelles. Le keynésianisme, la nouvelle économie keynésienne, le néo-keynésianisme ou le post-keynésianismeplus interventionniste sont des concepts et des courants de pensée issus de l’œuvre de Keynes.

Considéré comme l’un des plus influents théoriciens de l’économie du XXe siècle[1], Keynes, en tant queconseiller officiel ou officieux de nombreux hommes politiques, fut l’un des acteurs principaux des accords de Bretton Woods.

Il a aussi été un auteur à succès avec l’écriture d’un livre sur letraité de Versailles intitulé Les Conséquences économiques de la paix publié en 1919 et la rédaction d’articles pour les journaux.

Sa première somme théorique fut le Traité sur la monnaie, mais sonœuvre majeure est sans conteste la Théorie générale de l’emploi, de l’intérêt et de la monnaie (1936) , qui permit de combler un manque en fournissant notamment aux nouveaux libéraux anglais une théorieéconomique adaptée, apte à remettre en cause la loi de Say, à souligner les limites du laissez-faire depuis la fin XIXe siècle, et à dégager les outils conceptuels nécessaires à la mise en place depolitiques économiques alternatives. Ses travaux ont ainsi été utilisés après la Seconde Guerre mondiale dans le cadre de la mise en place de l’État-providence. Selon Kenneth R. Hoover, Keynes[Note 2]aurait eu à son époque une position « centriste » entre d’une part Friedrich Hayek et d’autre part Harold Laski, un des inspirateurs de l’aile gauche du parti travailliste.

La pensée de Keynes,notamment le courant keynésien dit de la synthèse néoclassique longtemps dominant aux États-Unis[Note 3], a perdu une large part de son influence à partir du début des années 1980 avec la montée en…

Fidelisation à travers les marques de distributeurs

Distribution :
Dossier présentant le diagnostic de fidélisation à travers la marque de distributeur Point-B

Sommaire du dossier

I. Présentation de l’enseigne COOP p 3

* Présentation générale p 3
* Les chiffres clésp 4

II. Les marques de MDD de l’enseigne p 4

III. Le diagnostic de fidélisation à travers la marque de distributeur « plan-b » p 6
A. Présentation de la marque Plan B.p 6
B. Les enjeux de Plan B pour l’enseigne Coop p 7
1. Principaux enjeux p 7
2. Enjeux financiers p 7
3. Enjeux marketingp 8

IV. Outil de fidélisation mis en place par l’enseigne COOP pour le développement de la marque de distributeur Plan-b p 8
A. Un buzz pour le développement de la marque Plan-B p 8
B. La présence d’une loterie par tirage au sort.p 9
C. La présence « d’événements» à travers la Suisse pour le développement de la MDD. p 9
D. La présence d’une véritable politique de communication p 10

V. Résultats concernant les outils de fidélisationp 11

VI. Conclusion du dossier p 12

* Les sources du dossier p 13

I. Présentation de l’enseigne COOP

* Coop est la deuxième entreprise de commerce de détail en Suisse juste derrière son concurrent direct, Migros. Organiséen cinq régions de vente, de manière à être proche du client, Coop compte plus de 1800 points de vente et près de 53000 collaborateurs. Coop est d’ailleurs le leader du marché des produits répondant à des critères écologiques ou issus du commerce équitable.
* Le chiffre d’affaires annuel de Coop monte à 19,7 milliards de francs suisse et sa part de marché à environ 17,2 % du marché suisse ducommerce de détail.
* Les coopératives de consommation sont nées au 19ème siècle, et désignent l’ensemble des consommateurs qui se regroupent pour acheter chez un industriel. A la fin de la 1ère guerre mondiale, les mouvements coopératifs étaient présents dans tous les secteurs.
Aujourd’hui ces coopératives tentent à disparaitre, on assiste de plus en plus à un développement des coopérativessur internet.
C’est entre autre grâce aux coopératives que les droits de défense des consommateurs sont apparus à travers les associations de consommateurs : UFC, que choisir…

Quelque chiffres clés montrant la part importante de l’alimentaire dans le chiffre d’affaires.

A travers ces quelques chiffres on remarque que l’alimentaire à un rôle prédominant pour le développement de l’enseigneCOOP. L’enseigne doit donc développer ces MDD alimentaires et cela passe avant tout par une bonne stratégie de fidélisation.

II. Les marques MDD de l’enseigne
Aujourd’hui l’enseigne s’appuie sur le développement de « labels de compétence » à travers :
– Coop Naturaplan avec les aliments biologiques

– Coop Naturaline labellise les textiles et les cosmétiques produits selon un cahier…

Bacalauréat 2009

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Le baccalauréat 2009
[archive] Dossier de presse – Xavier Darcos 10/06/2009

Xavier Darcos a présenté lesnouveautés du baccalauréat 2009 lors d’une conférence de presse le 10 juin.

* Le discours de Xavier Darcos
* L’essentiel et les nouveautés du baccalauréat 2009
* La reconquête du mois dejuin
* La session 2009 en chiffres
* Les modalités de l’examen
* Annexes

L’essentiel et les nouveautés du baccalauréat 2009
Les chiffres

* 622 322 candidats inscrits
* 484468 élèves de première inscrits aux épreuves anticipées
* 149 500 correcteurs et examinateurs
* 4 428 centres d’examen

La reconquête du mois de juin : la généralisation del’expérimentation menée en 2008

Dans les établissements qui sont centres d’examen pour le baccalauréat, la durée de l’année scolaire est, de fait, écourtée pour permettre l’organisation des épreuves. Afin de rendrele temps scolaire ainsi perdu aux élèves et aux enseignants, une nouvelle organisation des épreuves a été expérimentée en 2008 dans 15 départements pilotes (ceux des académies d’Amiens, Besançon,Dijon et Rouen ainsi que les départements de la Lozère et du Vaucluse) et le calendrier des épreuves écrites a été reporté d’une semaine. Les résultats très positifs de cette expérimentation ont permis lagénéralisation, dès cette année, de la reconquête du mois du juin à l’ensemble des académies.
La généralisation de l’épreuve facultative de langue des signes française (LSF)

À compter de lasession 2009, cette épreuve est proposée à toutes les séries technologiques (STG, ST2S, STI, STL, TMD et Hôtellerie). À la session 2008 du baccalauréat, les élèves des classes terminales des sériesgénérales et de la série technologique « Hôtellerie » avaient pu, pour la première fois, passer la « Langue des signes française » comme épreuve facultative.

Tout candidat (malentendant ou non)…

Le siècle des lumières

Vagabondage :
Le musée Rodin.
Les sculptures.

Le musée Rodin du 79 rue de varenne dans le 7eme arrondissement est inauguré et ouvert au public le 4 août 1919. Il possède environ six mille six cents sculptures : terre cuites, plâtres, bronze, marbre, cires, pâtes de verres……. Elles sont conservées à Paris et pour la plus grande partie à Meudon. Lors de la création du musée il fut eneffet décidée de présenter à Paris les sculptures achevées, marbres et bronzes, tandis que les plâtres qui reflètent la genèse des œuvres resteraient à Meudon. La situation n’a guère changé : tandis qu’à Meudon le visiteur plonge dans le mystère de la création, à l’hôtel Biron il peut étudier en un jeu permanent de renvoi entre les salles et le jardin, les grandes œuvres de l’artiste : aux marbres etaux bronzes que comprenait la donation de 1916 sont en effet venus s’ajouter des dons et acquisitions, des fontes réalisées par le musée : (la porte de l’enfer, Ugolin…..), enfin des dépôts ou attributions d’œuvres qui appartenaient à l’état et ont rejoint le musée Rodin en 1919 ou plus tard. C’est le cas de deux des œuvres les plus célèbres du musée : le Baiser et le Penseur.
La porte del’enfer : le 16 août 1880, Rodin reçut de la direction des Beaux Arts la commande d’une porte décorative qui devait être ornée de bas-reliefs inspirés de la Divine Comédie de Dante. Cette porte était destinée à un musée des Arts décoratifs que l’on projetais alors de construire à Paris, à l’emplacement de la cour des comptes détruite en 1871 (là où s’élève aujourd’hui le musée d’Orsay). Il imaginad’abord une composition en panneaux comme celle de la porte du Paradis à Florence. Très vite cependant, il décida d’abolir toute partition des vantaux. Il avait écarté les deux tiers du poème de Dante pour ne s’intéresser qu’à la partie la plus sombre : l’enfer.
En 1900 dans le cadre d’une exposition personnelle que Rodin organisa place de l’Alma à Paris que le grand public eut la surprise dedécouvrir une Porte d’Enfer dépouillée de ses figures : en vingt ans la conception que Rodin se faisait du relief avait évolué. Il avait pris l’habitude de supprimer de ses œuvres tout ce qui paraissait superflu. Il avait pris le parti de retirer de sa porte tout ce qui la rendait trop immédiatement compréhensible.
Après la fermeture de l’exposition, la porte fut transportée à Meudon, Rodinsouhaitant l’avoir toujours auprès de lui, même s’il était clair désormais qu’il ne l’achèverait jamais.
Première grande commande faite à Rodin, même si celle-ci n’aboutit pas véritablement dans la mesure où il ne la livra pas, la Porte de l’Enfer peut être regardée comme le résumée de sa vie. Elle l’a en effet accompagné tout au long de son existence, elle reflète ses principaux centresd’intérêt, son admiration pour l’architecture gothique et la Renaissance italienne, pour Dante et Baudelaire. Elle est surtout la meilleur démonstration du pouvoir d’expression dont il dota le corps humain. La période de création intense liée à la Porte de l’Enfer lui permis de disposer par la suite d’innombrables figures qui servirent de point de départ à de nouvelles compositions, mais c’est égalementalors, entre 1880 et 1885 qu’apparurent dans son œuvre les procédés qui firent par la suite partie intégrante de sa façon de travailler.
Le penseur : 1881, bronze, 71.5x40x58cm.
Modelé dès 1880-1882 pour la Porte de l’Enfer, le Penseur est la figure la plus célèbre de toute l’œuvre de Rodin. Il fut exposé dans sa taille originale en 1888 à Copenhague. Il fut agrandi en 1902 et exposé au salonde 1904 où il suscita de vives réactions dans la presse. C’est alors que la revue les Arts de la vie lança une souscription afin d’en réaliser un bronze qui fut offert au peuple de Paris. Première œuvre de Rodin à être érigée à Paris dans un espace public, le Penseur fut en effet inauguré devant le Panthéon le 21 avril 1906 dans un climat de crise politique et sociale intense qui en fit…

Rapport de stage

Production personnelle écrite

Hygiène, prévention et secourisme

Stage effectué du 26 Avril au 18 Mai 2010 et du 3 Janvier au 18 Mars 2011 à Thyssen Krupp Ascenseurs, servicemodernisation

Etablissement scolair

Sommaire :

I- Introduction
II- Décrire une situation professionnelle présentant un risque
III- Analyser la situation
IV- Proposer des solutions
V- ConclusionVI- Recueil des données

Introduction :

Présentation de l’entreprise Thyssen Krupp Ascenseurs.

Situation géographique.

L’entreprise Thyssen Krupp Ascenseur se situe dans la zoneindustrielle de la Farlède à l’ancien chemin de La Garde.

Histoire de l’entreprise.

A sa création en 1941, l’entreprise était nommée SOROTEX mais ce n’est qu’en 1974 qu’elle s’associe avec la sociétéTHYSSEN ASCENSEUR dans l’objectif de favoriser son développement en France.

En 1999 THYSSEN et KRUPP fusionne pour donner naissance au groupe Thyssen Krupp avec un nouveau logo et une nouvelle imagede marque, symbole de la fusion.

2003, de différentes sociétés travaillant dans le domaine de l’ascenseur se regroupent en une structure unique et unie sous le nom de Thyssen Krupp Ascenseur.L’entreprise ne cesse de s’agrandir avec des extensions de locaux dans certaines régions de France. L’agence de La Garde, par, exemple s’agrandit et prévois de recruter plus de 550 techniciens prêt aintervenir dans toute la région varoise.

Quelques chiffres

Thyssen Krupp Ascenseurs : Réseau opérationnel

Chiffres d’affaires (exercice du 01/10 au 30/09)
2004/2005 290 171 265 € HT
2005/2006299 945 702 € HT
2006/2007 340 217 038 € HT
2007/2008 380 911 876 € HT
2008/2009 406 335 318 € HT

Effectifs (exercices du 31/12/2009)
Direction, ingénieurs et cadres 540
Agents de maîtrise75
Administratifs 280
Techniciens/Ouvriers 1905
TOTAL 2800 2800

Organigramme

Décrire une situation professionnelle présentant…

Solution finale

Fanny Latour LambertDans l’Allemagne nazie, les juifs étaient exclus de la communauté du peuple allemand (Volksgemeinschaft). Le 1er avril 1933, lesdocteurs, avocats et commerçants juifs sont l’objet d’une vaste campagne de boycott, mise en œuvre notamment par les SA. Ces milices créées par Hitler avaient déjàperpétré, dès le début des années 1920, des actes de violences contre les juifs. Le 7 avril, deux mois après l’arrivée d’Hitler au pouvoir, la loi « pour lerétablissement d’une fonction publique professionnelle » exclut les juifs de tout emploi dans les gouvernements (sauf les anciens combattants et ceux quiétaient en service depuis plus de dix ans).

( Boycott officiel des magasins juifs par les SA, Berlin, 1933.
Le 15 septembre 1935, Hitler, officialisant etradicalisant l’antisémitisme d’État, proclame les lois de Nuremberg, comprenant les lois « pour la protection du sang et de l’honneur allemand » et « sur lacitoyenneté du Reich ». Celles-ci interdisent aux Juifs l’accès aux emplois de la fonction publique et aux postes dans les universités, l’enrôlement dansl’armée ou la pratique de professions libérales. Ils ne peuvent plus avoir de permis de conduire. Les Juifs sont déchus de leur nationalité allemande. Les mariagesmixtes ou les relations sexuelles entre juifs et Allemands sont également proscrits. L’objectif est la ségrégation complète entre le peuple allemand et lesjuifs, ce qui est valable également pour les écoles, le logement ou les transports en commun. En 1937, une « loi d’aryanisation » vise à déposséder les…

Japonais jlpt n2

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Blogs et medias sociaux : des outils d’influence ?

Blogs et medias sociaux :
des outils d’influence ?

Medias sociaux = nouveaux moyens de diffusion de l’info
( dimension technologique mais aussi virale/sociale

I. Le blog : un outil d’expression

A/ Internet à l’heure du web 2.X

Spécificités d’Internet à prendre en compte :
– survivance de l’information
– caractère viral : facilite échange d’info d’unindividu à un autre, et chaque individu devient à son tour un vecteur de com
– interactivité : collaboration individus et machines dans le système de com ( c’est plus du sens unique

( espace d’échange, une application (logiciel…), une source infinie d’info et de connaissances
Intelligence à dimension collective, internaute producteur d’info…

B/ Le blog au cœur del’historique des réseaux

1. Définitions

Blog = contraction de web-log = journal sur le web
Blogueur = tient un journal sur la web
Blogging = écrire sur un blog
Blog = il y a un « pilote » contrairement aux forums

Post = article

Technologie RSS = Really Simple S ? = rendre dispo le contenu d’un site web pour qu’il soit utilisable par d’autres sites(s’abonner aux flux RSS…)

2. Pour la petite histoire…

* 1990s : premiers blogs, mais à l’époque, très compliqué à mettre en place
* 1997 : premier vrai blog (John Barger)
Entreprises travaillent sur technologies/plateformes de développement de masse des blogs
* 2001 : naissance médiatique des blogs, avec attentats du 11 septembre (naissancenotamment des war blogs, soldats qui racontaient leur quotidien…)
Puis avènement des réseaux sociaux révolutionne tout : blogs connectés à un vaste réseau « Bloguer pour exister et twitter pour le faire savoir… »

Nb : voir VIADEO (réseau socia professionnel)

Blogs de gens qui racontent leur vie (discours d’intériorité) ou blog « d’identité sociale », avec des contenus pratiques sur le quotidien…( médias sociaux utilisés pour faire connaître, faire du buzz

C/ Les blogs de plus en plus présents dans le quotidien des internautes

Dans le monde :
– 23 blogs en 1999
– 3 millions en 2004
– 70 millions en 2007
( 1% de blogs encore actifs dans l’ensemble

En France : 2,5 millions de blogs actifs

II. Apparition de nouveaux espaces d’échange decontenus

A/ La success story Facebook

Contrairement à Skype racheté par eBay, Youtube par Google… Le créateur (Mark Zuckerberg) a pas voulu revendre Facebook ? Du moins négociations…

Celui qui détient l’info n’est plus celui qui a le pouvoir, c’est celui qui la partage…

B/ Le phénomène Twitter

= outil de micro-blogging qui permet à l’internaute depublier des informations et de les partager avec son réseau (dans un format texte court : max 140 signes)

Lancé en 2006 par Jack Dorsey
Impact sur les journalistes, beaucoup ont ouvert leur twit’ : info en direct MAIS du coup, non sourcé
( pb de crédibilité, rumeurs…
( multiplication des producteurs de contenus
Ex : attentats en 2008 en Inde : Twitter réagissait en temps réel, du coup, peurque les terroristes suivent les manœuvres policières en temps réel… ( on suivait le déroulement des manoeurvres à la minute près

C/ Quel impact sur les blogueurs ?

Pour les blogueurs, ces réseaux = leviers d’action pour faire connaître (interconnexion des plateformes et des contenus), même si certains blogueurs ont abandonné leurs blogs pour les réseaux sociaux

(dispersion des contenus, multiplication des producteurs de contenus, mais pas mort de la blogosphère, peut-être même plus professionnalisation
Modification de nos représentations du monde : monde en réseau, les individus sont connectés entre eux… On passe d’un modèle pyramidal d’organisation du pouvoir à un modèle transversal (hiérarchies mises à mal)
Le pouvoir le consiste plus à détenir…

La fin du papier ?

Introduction

Dans son ouvrage « Tas de pierres » Victor Hugo disait de la presse qu’elle avait succédé au catéchisme dans le gouvernement du monde, « Après le pape, le papier ». A son époque et encore longtemps après, ledit support était synonyme de liberté, un monde sans lui était impensable pour les penseurs d’alors. Aujourd’hui, force est de constater que ce n’est plus le cas. Presse etédition sont en ébullition, une révolution est en marche.

Afin de répondre à la question soulevée de la manière la plus efficace possible, il est apparu judicieux de rencontrer un professionnel. Arnaud Viviant est un journaliste mais également un écrivain français. Il a notamment collaboré aux journaux Libération et Les Inrockuptibles. Il fut aussi chroniqueur dans l’émission Arrêt sur images surFrance 5 et est régulièrement invité en tant que critique au Masque et la Plume . Un premier constat est né de cette rencontre : la problématique n’est pas réellement la fin du papier en soit mais plutôt celle des professions qui exercent principalement autour et grâce à ce support. De cette conclusion, il paraissait nécessaire d’orienter l’entretien sur deux axes : les métiers de l’édition et lejournalisme.

Concernant la presse, pour Arnaud Viviant, le problème se situe avant même l’apparition d’internet, la presse rencontrant déjà d’importantes difficultés financières. D’équipes rédactionnelles dotées d’une grande liberté, nous sommes passés à des structures appartenant à de grands groupes (Bolloré, Lagardère, Rothschild etc.). D’où d’abord un problème de liberté d’expression.Ensuite, la fin du papier, c’est aussi la fin de l’information hiérarchisée telle qu’on la connaissait. Ainsi, la taille du papier, l’espace occupé par l’article dans le journal, l’épaisseur des feuillets étaient autant de signes indiquant l’importance donnée par la rédaction à telle ou telle information. L’espace était une idéologie en soit, ce qui pouvait faire l’objet de la Une du Figaro nepouvait n’être qu’une brève dans Libération ou inversement : « Parce qu’il n’est plus confronté à ce problème d’espace, Internet ne propose donc plus une vision du monde : il est plutôt de l’ordre d’une tautologie. Internet est un espace horizontal, quand le journal était un espace vertical où être en Une n’est pas la même chose qu’être en page 23. D’où un problème de lecture : comment comprendre lemonde quand celui-ci est mis à plat? ». Par conséquent, les journaux avec l’arrivée d’Internet se sont remis à hiérarchiser, mais de manière anarchique. Ce que le journaliste ne peut pas coucher sur le papier faute d’espace, il lui est conseillé de le publier sur son blog. Ainsi, pour un sujet donné, il apparaît parfois que son traitement par la blogosphère est plus pertinent, plus intéressant que letravail effectué sur ce même sujet par le journal. Selon Arnaud Viviant, la bonne combinaison n’a pas encore été trouvée, les journaux ne parvenant pas à aboutir à une complémentarité idéale avec internet tandis qu’internet n’a pas davantage réussi à réaliser un véritable journal virtuel capable de concurrencer l’offre papier présente.

Son constat quant au monde du livre est tout aussi amèremême si la problématique et les conséquences diffèrent. Ce qu’il appelle la « liseuse électronique » (l’e-book) va transformer radicalement le mode économique de l’édition. Deux types d’ouvrages risquent d’être rapidement touchés par cette nouvelle technologie. Le livre de poche d’abord, puis les manuels de tous ordres. En effet, A. Viviant soulève la question d’une probable inutilité future dulivre-papier : « A quoi bon acheter des livres de poche mal imprimés sur du mauvais papier avec des typographies minuscules, quand on peut acheter un livre électronique dont on peut grossir (et changer) d’un clic la typographie? ». Quant aux manuels sur papier, pourquoi continuer à en acquérir si la recherche par mots-clés, la fonction « copier/coller » sont tout autant d’outils qui facilitent…