Lecture analytique diderot

Le Supplément au voyage de Bougainville, Diderot.

Introduction
Bio Diderot, Itinéraire littéraire XVIIIème
– 1713 : naissance à Langres, petite bourgeoisie.
– Destiné à la prêtrise : études chez les jésuites, tonsuré à 13 ans
– 1728 : départ de Langres, études à Paris. On sait peu de choses de cette période : vie de bohème, expédients (professeur particulier, nègre). Ilse découvre une passion pour le théâtre
– 1741 : rencontre avec Anne Toinette Champion dont il tombe amoureux : retour à Langres mais son père refuse ce mariage. Il s’échappe et l’épouse secrètement (6 nov. 1743).
– Il doit gagner sa vie plus régulièrement car il a une famille. Il parle anglais donc il fait des trad. On lui propose de traduire la Cyclopedia de Chambers qui devientL’Encyclopédie. Il va diriger, coordonner, écrire, corriger, recruter des auteurs… Il y consacre 20 ans de sa vie.
– Rencontre avec Rousseau et amitié jusqu’en 1758.
– 1745 : vrais débuts de son activité de philosophe
– 1746 : Pensées philosophiques qui alterne quatre points de vue : chrétien/déiste/athée/sceptique : œuvre condamnée
– 1749 : Lettre sur les aveugles à l’usage de ceux qui voient :emprisonnement immédiat à Vincennes.
– 1750-1772 : période très productive : Encyclo+œuvre perso+ vie mondaine
– 1769 : Le Rêve de d’Alembert (dialogue)
– 1757 : Le Fils naturel (pièce)
– 1758 : Le Père de famille (pièce)
– 1760 : La Religieuse
– 1762 : Le neveu de Rameau
– 1765 : Jacques le fataliste
– 1758-1760 : années difficiles, brouille avec d’Alembert, Rousseau. Ilest aidé par sa maîtresse Sophie Volland
– 1772 : Supplément
– 1773 : départ en Russie sur l’invitation de Catherine II de Russie (il lui a vendu sa bibliothèque en 1762). Il part à la recherche de l’idéal du monarque éclairé qu’il ne trouve pas dans la tzarine.
– Mort le 31 juillet 1784.

L’Oeuvre
Supplément au voyage de Bougainville ou Dialogue entre A et B sur l’inconvénientd’attacher des idées morales à certaines actions physiques qui n’en comportent pas
Le livre est un dialogue philosophique :
La référence au livre de Bougainville semble annoncer un récit de voyage, un texte narratif et descriptif. Ce n’est pourtant pas réellement un récit de voyage, comme nous l’indique immédiatement la suite du titre : « dialogue entre A et B » précise le genre de ce texte, pour le moinsincompatible avec celui du récit de voyage. Tout le Supplément consiste en effet en une suite de dialogues enchâssés les uns dans les autres : ce genre très prisé par les philosophes du XVIII° et par Diderot en particulier replace l’ouvrage dans une veine réflexive et polémique très éloignée du récit de voyage.
Le dialogue philosophique :
Forme ancienne dès l’origine de la philosophie :cf. dialogues de Platon.
Forme employée au XVIIIème : Supplément au voyage de Bougainville
Le choix du dialogue est philosophiquement fondé, en effet, l’homme est, pour les philosophes, 1 être sociable qui existe dans la relation à autrui. Le dialogue donne l’illusion de la communication, donne l’illusion de l’échange et donc d’une construction de l’individu par l’échange. Cette techniquepermet de déguiser une réflexion qui passerait moins bien sous la plume sèche de l’essai ; dans le livre A et B discutent du livre de Bougainville et de ses idées.
Par ailleurs, ce choix permet de briser le tour monologique du discours, d’introduire une pluralité des sentiments, des points de vue et ainsi d’inciter le lecteur à prendre position, à s’interroger.

Les thèmes du livre
L’attentedu lecteur qui ouvre un récit de voyage est liée aux détails exotiques, aux curiosités, aux descriptions bigarrées, à tout ce qui est différent de la société européenne. Ce genre est très à la mode dans un XVIII° siècle, avide de découvertes et de connaissances. Le lecteur semble préparé à recevoir différents clichés de l’exotisme.
Or le thème est lui-même plus philosophique qu’exotique :…

La seule fonction du personnage de roman est-elle de refléter la société dans laquelle il vit ?

La seule fonction du personnage de roman est-elle de refléter la société dans laquelle il vit ?

Stendhal disait que « le roman c’est un miroir que l’on promène le long d’un chemin ». Bien que le roman soit une œuvre de fiction, il a pour ambition de représenter le réel et analyser la société. Le roman est constitué de personnages, ils aident à la construction de l’intrigue. De plus, lepersonnage a beaucoup évolué : du personnage noble et valeureux au personnage représentatif de la société notamment au XIXe jusqu’à sa disparition avec le Nouveau Roman. Une question s’impose : le personnage de roman n’a-t-il que la fonction « reflet » ? S’il est vrai que le personnage de roman a des fonctions narratives, il est également vrai que le personnage a une fonction « reflet », et qui plus estil peut devenir fragile et même disparaître.

Le personnage du roman est tout d’abord un outil essentiel pour la construction de l’intrigue dans le roman. De plus, le personnage n’est qu’un élément fictif qui a pour but de divertir le lecteur.
L’importance du personnage de roman pour l’intrigue s’explique par le schéma actanciel. En effet, le schéma actanciel construit le roman, sans schémaactanciel, il n’y a pas vraiment de roman. Nous y trouvons un sujet qui accomplit un objet, s’ajoute à cela un destinataire (celui qui reçoit l’objet), un destinateur (qui définit l’objet), un adjuvant (qui aide à la réalisation de l’objet) et un opposant (qui fait obstacle à la réalisation de l’objet). Bien sûr, un personnage peut avoir plusieurs rôles. Le personnage permet l’existence d’unschéma narratif qui permet lui-même de structurer l’intrigue. Le schéma actanciel permet d’ajouter des détails au schéma narratif.
Le personnage est la création pure et simple du romancier, il n’est donc plus qu’un élément fictif et ne reflète plus la réalité. En effet, l’auteur conçoit la vie du personnage (évolution de Rastignac dans le Père Goriot) et en fait une suite d’événement forts etpassionnants qui suscitent l’intérêt du lecteur.
Le personnage a donc une fonction divertissante. L’auteur cherche à faire rêver son lecteur, par exemple en évoquant le thème de la chevalerie dans La Voiture Embourbée de Marivaux : « appelez-moi Timane, j’ai toujours eu de l’inclination pour l’honnête écuyer qui a porté ce nom », « vous agissez en honnête chevalier » ; ou encore à le faire réfléchir surle passé du personnage par exemple :
« Qu’avait-été Mr Vauquer ? […] Comment avait-il perdu sa fortune ? » (Balzac, Le Père Goriot). Ou bien encore, le romancier cherche à plaisir au lecteur : « de même que j’ai changé le nom de Pierrot […], et le tout pour vous plaire »
Si le personnage de roman n’est qu’une création venant de l’imagination du romancier pour divertir le lecteur, il n’est doncplus conçu pour refléter la société. Cependant, plusieurs mouvements littéraires et auteurs introduisent la fonction reflet du personnage.

Même si le personnage de roman n’est pas conçu pour refléter la société, il y a une nette volonté de représenter la réalité de la part de certains mouvements littéraires comme le réalisme et certains auteurs du XIXe comme Balzac avec La Comédie Humaine quiest un « microcosme de la société ».
Dans le réalisme, le personnage de roman est créé tel un personnage réel. En effet, il a une identité : un nom, un caractère (analyse et justification psychologiques du personnage) et une histoire. Un exemple immédiat est celui des personnages dans le Père Goriot de Balzac ou encore Madame Bovary de Flaubert. Ce personnage a une fonction symbolique car il estinséré dans un milieu social précis : il obtient ainsi une profession et un langage spécifique tout ceci dans un décor bien déterminé (la pension Vauquer dans le Père Goriot). C’est pourquoi, au XIXème siècle, le personnage de roman est capable d’illustrer une attitude, une aspiration représentatives d’un groupe tout entier à un moment de son histoire. Le personnage se fait ainsi vecteur…

L’ouverture à la publicité pour les experts comptables

Thème du sujet : L’expert- comptable est-il autorisé à effectuer de la publicité ?
La publicité est un message publicitaire conçu comme un argumentaire cognitif ou informatif de sorte que le consommateur sache de quoi il s’agit et ensuite s’en résulte une part affective qui doit éveiller l’intérêt de ce dernier, l’intéresser, le séduire. Il s’agit d’une étape conative qui engage à l’action :le consommateur est invité à acheter le produit, à appeler un numéro de téléphone.
Après une brève définition apportée, nous allons tenter de répondre à la question posée. Dans une première partie, nous présenterons que les cabinets d’expertise comptable ne sont pas autorisés à faire de la publicité, nous prendrons l’exemple de la Tunisie. Dans notre seconde partie, nous parlerons de lamodification du code déontologique des experts-comptables portant sur une ouverture à la publicité.

La réglementation des professions libérales en matière de publicité s’opère, en Tunisie, sous forme de législation nationale et d’autorégulation de la part des ordres professionnels. L’interdiction de la publicité est la règle. Selon l’Article 10 de la loi 88-108 «Toute publicité personnelle estinterdite, aux membres de l’ordre. Ils ne peuvent faire état que des titres ou diplômes délivrés par l’Etat ou par des organismes étrangers(…) ». Un jugement définitif sur la communication individuelle sans appel depuis 22 ans. Pourtant l’alinéa 3 de l’article 10 laissa croire que l’interdiction serait limitée dans le temps ou du moins appliquée à certains supports de communication « (…) Les délais etles modalités d’application de cet article sont fixés dans le code des devoirs professionnels et le règlement intérieur établi par le conseil de l’ordre ».
Mais l’article 21 du code des devoirs professionnels accentua la prohibition et fit de la publicité un outil nuisible à la profession : « Tout professionnel doit faire preuve de la plus grande discrétion dans l’exercice de la profession(…). Ildoit particulièrement(…) s’interdire toute publicité à caractère commercial(…)» sans doute se justifiant par la discrétion étant une règle d’or au sein de cette profession. D’un point de vue économique, la publicité favoriserait la concentration des marchés mais fausserait la concurrence, en occurrence d’un creusement des rapports de force entre les grandes firmes et les petits cabinets. Etd’un point de vu social, elle serait un moyen de provocation en s’appuyant sur les vices de l’homme que sur ses besoins.
Néanmoins, selon une étude sur la règlementation des professions libérales publiée par la direction du commerce, de l’artisanat, des services des professions libérales de France, nous pouvons constater que certains pays autorisent la publicité des Experts comptables sansrestriction (Grèce, Hongrie, Pays-Bas, République Tchèque), que certains autres pays ne l’autorisent que pour informer sur la structure du cabinet sa composition et sur l’activité professionnelle (Italie …) que certains pays limitent les supports de communications pouvant être utilisés (Au Royaume-Uni seules les annonces dans l’annuaire, les pages jaunes sont autorisées) et que certains pays sont en phasede transition pour passer d’un régime d’interdiction total à un régime d’interdiction du démarchage (France, Belgique)…

La communication est un sujet très actuel dans le domaine de l’expertise comptable. En effet, le nouveau code de déontologie attendu pour les experts-comptables fixera les règles publicité et de communication pour la profession.
Le Code de Déontologie des professionnels del’expertise comptable publié au journal officiel le 28 septembre 2007 entre en vigueur le 1er décembre 2007.
La nécessité de mise en conformité de notre droit avec le droit communautaire, qui exige la liberté de communication dans la mesure où elle procure une nécessaire information du public, a permis de mettre fin à l’interdiction de la publicité individuelle.
Les dispositions de ce Code…

Dom juan

Dom Juan

Acte II – scène 2
« Ah! La belle personne, et que ses yeux sont pénétrants… » à « et ne vous mette dans l’état où vous méritez d’être ».

Dom Juan débute son approche de manièretrès sûr de lui. En effet, on note l’utilisation de « Ah ! » qui a pour but d’alerter et d’attirer l’attention sur lui et sur ce qu’il va dire ; c’est une façon d’accentuer ses propos qui sont :« …la belle personne, et que ses yeux sont pénétrants ! ». C’est pourquoi, à peine Charlotte eut-elle l’occasion de répondre une phrase qu’il poursuit son discours par une tirade assez longue ponctuéede point virgule, pour articuler ses propos, de points d’interrogations pour mêler Sganarelle à la conversation même si celui-ci ne prend pas la parole, et de points d’exclamations pour imposer sesidées. L’autre « Ah ! » au début de la seconde réplique du héros met en évidence son intelligence et sa répartie : il utilise l’attitude honteuse que Charlotte témoigne comme arme dans sonargumentation. De plus, on note un parallélisme, « Ah ! » est en effet employé six fois dans ces deux répliques et est à chaque fois utilisé pour une nouvelle idée proche chacune des autres. Comme énoncé, onremarque que Dom Juan prend appuie sur ce que dit Charlotte pour sa démarche séductrice. En effet, celle-ci dit : « vous me rendez toute honteuse », réplique utilisée par le héros dans « n’ayez point dehonte d’entendre dire vos vérités ». De plus, celui-ci semble la prendre pour un objet, lui commandant des gestes pour vanter ses mérites : « Tournez-vous », « haussez un eu », « ouvrez vos yeux »,« que je vois un peu vos dents, je vous prie »… On note l’utilisation d’une hyperbole, « je n’ai jamais vu une si charmante personne », expression usitée pour rendre « unique » Charlotte et donc lasortir du « lot ». Un champ lexical de la beauté est aussi apparent avec « la belle personne », « de plus agréable », « cette taille est jolie », « ce visage est mignon », « qu’ils sont beaux »,…

Repenser l’automobile

Problématique: la récente flambée du prix du pétrole annonce de profondes mutations. La place de l’automobile dans un monde sans pétrole ou avec un pétrole hors de prix est à repenser: comment ?

Le secteur automobile est actuellement en crise, que l’on pourrait qualifier d’identitaire. En effet, l’automobile sous sa forme actuelle (fonctionnant grâce à des dérivés du pétrole) est tout d’bordla cause d’une forte pollution atmosphérique. De plus, même si actuellement le baril de pétrole coûte 75$ , on a vu dans un passé très proche que son prix pouvait allégrement atteindre près de 150$, transformant en produits de « luxe » l’essence et le gasoil , et donc indirectement la voiture. Aussi, cette énérgie étant une énergie fossile, elle va progressivement se raréfier puis disparaître. Aces trois « problèmes » vient s’ajouter le contexte économique actuel ( crise financière, faillites de banques, baisse du pouvoir d’achat des ménages ) qui a engendré une forte baisse de la consommation, touchant de plein fouet le secteur automobile. Cela se traduit par une baisse de la demande par rapport à l’offre, et donc un non-écoulement des stocks notamment. On peut par exemple prendrel’exemple de Renault qui a annoncé, le 14 novembre dernier, « que des fermetures temporaires d’usines concerneraient cinq de ses sites en France et en Europe, une mesure de réduction de sa production prise pour faire face à la chute des ventes dans un marché automobile déprimé » (source: Association France Presse). Le secteur automobile doit donc se remettre en cause pour pouvoir repartir sur denouvelles bases adaptées au contexte socio-politico-économique. Le défi principal est de trouver un remplçant au pétrole, seule énergie capable actuellement de subvenir en masse aux besoins de l’automobile, et à ceux du secteur des transports en général.

Ainsi, la voiture au pétrole est amenée à terme à disparaitre, pour être remplacée dans un futur plus ou moins proche par des véhiculesélectriques. L’électricité est actuellement la seule énergie qui pourra remplacer le pétrole en subvenant aux besoins de l’automobile.
En attendant ce changement, on peut compter sur les constructeurs pour nous proposer dans un avenir immédiat des progrès diminuant notre pollution, notre consommation d’essence et de gasoil, et donc notre dépendence énergétique vis-à-vis du pétrole.

Vers une disparitiondes voitures fonctionnant avec des dérivés du pétrole:

-La combustion des dérivés du pétrole engendre une forte pollution atmosphérique : CO2 , NOx , particules, COV (composés organiques volatiles).

-Le secteur automobile subissant les fluctuations du prix du pétrole, cette énergie fragilise trop l’industrie automobile par les contraintes financières engendrées et que subissent lesconsommateurs.

Pour l’émergeance progressive d’un parc automobile tout-électrique:

-L’énergie électrique offre des possibilités très encourageantes pour l’automobile: pas de pollution atmosphérique, un plein électrique chez soi coûte environ 5 € , très peu de pollution sonore. Mais cette énergie n’est pas encore totalement au point ( autonomie, rentabilité au niveau des coûts deproduction, poids des batteries ) et nécessite encore quelques années de recherches .
La technologie développée à partir de l’électricité est actuellement la plus aboutie. C’est, à mon avis, l’avenir de l’automobile.

-Les constructeurs proposent des solutions en attendant le passage au tout-électrique :
-le « down-sizing » des moteurs conventionnels: réduction de la taille des moteurs et donc de leurconsommation, tout en gardant la puissance grâce à l’utilisation de l’injection directe et des turbos (motreurs tdi, tdci, essence turbo);
-les moteurs hybrides essence-électricité, comme la Toyota Prius, le véhicule hybride précurseur;
-l’amélioration de l’aérodynamique, qui fait baisser la consommation;
-les pneus à faible consommation, car ils offrent un rendement supérieur aux pneus…

Egalite des fesmmes

Est ce que tu pourrais imaginer une monde ou les femmes et les hommes ne serait pas égaux, une place ou les femmes seraient maltraiter dans leurs emplois? Aujourd’hui beaucoup s’est changer avec lesfemmes, ils sont des personnes équivaut a des hommes puis elles sont maintenant traiter avec du respect. Cette succes ne serait pas possible sans 5 femmes extraordinaires Nellie McClung, EmilyMurphy, Henrietta Muir Edwards, Louise Mckinney et Irene Parlby. Chaque femme était une croyant dans les droits de femmes, puis elles étaient toutes des activistes.

Avant les années 1930 les femmesn’etaient pas connus comme les personnes, puis les hommes qui étaient en contrôle du pays, jugée ses femmes comme la sexe faible. Les personnes durant ce temps pensait que si ont donnait des droits quxfemmes il y aurais des problèmes dans la famille. Mais car ses femmes n’ont jamais abandonner cette situation puis ca c’est mener a la succès. Comme disait Emily Murphy ‘‘ We want women leaders todayas never before. Leaders who are not afraid to be called names and who are willing to go and fight. I think women can save civilization. Women are persons. ’’

Puis en 1927 Emily Murphy et 4autres femmes ont demander le court suprême un question simple est ce que le mot personne dans le section 24 du acte amerique du nord incluent les femmes? Apres 5 semaines du débattre le court suprêmeont décidée que le mot personne ne serais pas compris comme femme. Ces femmes comme j’ai dit n’ont pas accepter cette décision, ils ont pris cette cas a le conseil privé de la couronne.

Ces cinqfemmes ont accomplis pas seulement le droit des femmes pour servir dans le sénat, mais leur contributions ont mener une chemin pour d’autres femmes de participer en d’autres aspectes du vie publique.Sans ces femmes ont n’aurais pas des droits de femmes, ont n’aurait pas une voix.

Toutes ses femmes voulait montrer que meme si tu pense que c’est impossible d’atteindre cette but, c’est…

Le bio dans le monde

Justine Simões – Lise Grimaud – Nicolas Martin 1ES’

Les produits alimentaires
Biologiques

Problématique:
*Le bio est-il perçu comme une réalité ou du marketing?

Introduction

I- Réalité: Les aspects concrets du bio
A- Qualité: Quels sont les qualité du bio?
1- Label: Garant de qualité?
2- La qualité vuepar les ménages
B- Producteurs: Qui sont les producteurs du bio?
C- Consommateurs: Qui sont les consommateurs du bio?

II- Marketing: Les intérêts commerciaux du bio et les inconvénients qu’ils entrainent
A- L’importation intensive en Europe de l’Ouest
B- L’imposture des marques

Conclusion

L’agriculture biologique aussi appelé « bio » a étéorganisée à l’échelle mondiale depuis 1972 par l’ « International Federation of Organic Agriculture Mouvements » (IFOAM) et aussi pat le Cordex alimentarius depuis 1999. L’IFOAM, « Fédération international d’un mouvement d’agriculture biologoque » est une organisation internationale qui a pour but d’adopté, au niveau mondial, un système économique, écologique et social solides fondés sur les principesde l’agriculture biologique. En ce qui concerne, le Cordex alimentarius, il a été créé pour élaborer des normes alimentaires dans le but de protéger surtout la santé des consommateurs. Jusqu’à aujourd’hui, on pourrait observer, en globalité, que ces consommateurs sont plutôt satisfaits de ces nouveaux produits alimentaires plus respectueux de la nature et « pure » puisque durant le XIXe siècle,l’apparition du capitalisme agricole a entrainé de nouvelles recherches de productivité. Ainsi le principal but des producteurs, depuis cette période, étaient de produire en masse, et ont alors utilisé divers nouvelles méthodes comme les machines à vapeurs, le fumier, les engrais chimiques par exemple. Les consommateurs, de nos jours, grâce aux mouvements écologiques qui luttent contre la pollution,ont adopté un nouveau point de vue sur l’écologie de la planète et souhaite y participer et aussi pour être sein en eux

Ainsi la définition du bio souligne un système de production agricole basé sur le respect de l’être vivant et des cycles naturels. Pour atteindre ces objectifs, les agriculteurs biologiques s’interdisent alors l’usage d’engrais chimiques de synthèse et des pesticides desynthèse, ainsi que d’organismes génétiquement modifiés. Il est nécessaire d’analyser de plus près cette définition, si oui ou non celle-ci est bien respectée dans toute la France. Nous observerons aussi si les consommateurs du bio sont réellement bien informé sur leur produit et savoir si la vente de ces produits est plus marketing qu’une réel amélioration de l’environnement. Nos deux grandesparties s’organiseront alors de la manière suivante, notre première partie analysera les aspects concrets du bio puis notre deuxième partie montrera les intérêt commerciaux du bio et les inconvénients qu’ils entrainent.

I- Les aspects réalistes du bio. A- Qualité ?
Dans le monde du Bio, les labels ont un rôle majeur puisque c’est eux qui indiquent aux consommateurs s’ils peuvent avoirconfiance dans un produit. Une étude de l’IFOAP montre d’ailleurs que 92% des consommateurs français étaient en 2008, favorable à la démarche de labellisation. Nature & Progrès est à l’origine, en 1964, du premier cahier des charges bio au monde mais aujourd’hui ce sont surtout les labels gouvernementaux qui sont considérés comme des références.
Le label AB ( Agriculture Biologique) est un labelpropriété de l’Etat et qui certifie que le produit ayant son étiquette et qui certifie que le produit ayant son logo ne comporte pas de produits tels que des colorants chimiques, des aromes artificiels, des additifs de synthèse et des agents de conservation chimique et qu’il est constitué à au moins 95% d’ingrédients issues de l’agriculture biologique. C’est-à-dire cultivés dans un sol qui…

Iconnue a cet adresse

Martin Schulse, Allemand et Max Eisenstein, juif Américain, sont associés et tiennent tous eux une galerie de peinture à San Francisco, la galerie Schulse-Eisenstein. Une forte complicité les unit.Ce sont deux vrais amis, deux frères. Au début des années trente, Martin souhaite rentrer en Allemagne. Ils commencent une correspondance épistolaire le 12 novembre 1932. Elle s’achèvera le 3 mars1934. Les deux amis s’échangeront près d’une vingtaine de lettres.
Les premières lettres sont chaleureuses, passionnées. Puis, en juillet 1933, Max exprime ses doutes et son malaise face à la situationpolitique en Allemagne.
Qui est cet Adolf Hitler qui semble en voie d’accéder au pouvoir en Allemagne? Ce que je lis sur son compte m’inquiète beaucoup, écrit-il inquiet, à son ami allemand. Martin,qui est fasciné par le dictateur, répond à son ami juif et avoue un mélange d’admiration et de doute : Franchement, Max, je crois qu’à nombre d’égards Hitler est bon pour l’Allemagne, mais je n’ensuis pas sûr (…). L’homme électrise littéralement les foules ; il possède une force que seul peut avoir un grand orateur doublé d’un fanatique. Mais je m’interroge : est-il complètement sain d’esprit ?Un jour pourtant sa décision tombe comme une sentence : Ici en Allemagne, un de ces hommes d’action énergiques, essentiels, est sorti du rang. Et je me rallie à lui.
Une fracture irréversible se créeentre les eux amis ; Martin demande à son fidèle ami de stopper leur correspondance, en déclarant : Le Juif est le bouc émissaire universel. Il doit bien y avoir une raison à cela …
Au nom deleur amitié, Max insiste. Il demande même à Martin d’aider sa petite sœur Griselle, qui est actrice dans un théâtre de Berlin… Quand les lettres qu’il adresse à Griselle lui reviennent, tout basculeirrémédiablement. Max répondra au Mal par le Mal…
Quatrième de couverture
1er août 1933. « Tu es un libéral, Martin. Tu vois les choses à long terme. je sais que tu ne peux pas te laisser…

Analyse externe häagen dazs

Analyse externe

Le marché des glaces

En France, ce marché représente plus de 1,6 milliard d’euros en 2008 (dont 1 milliard d’euros en consommation hors domicile et 0,6 milliard d’euros endomicile ). Cependant, les Français consomment peu (6 litres par personne et par an en moyenne) par rapport aux pays du nord de l’Europe (12 litres par personne et par an) et les Etats-Unis (20 litrespar personne et par an).

Le marché des glaces représente 363 millions de litres en volume. 30% de ces volumes sont réalisés par les ventes hors domicile (restaurants, vente à emporter, cafés,bars…) et 70% par divers circuits de commercialisation.

Les circuits de distribution des glaces, en France, sont répartis de la manière suivante : 66,7% du volume par les grandes et moyennessurfaces, 14,8% par les magasins hard discount, 7,8% par les magasins spécialisés et 10,7% par livraison à domicile.

Le marché de la glace est un marché mondiale dont plus de 50% est controlé parUniliver et Nestlé.
La part de marché des principaux acteurs en France est représenté par le graphe suivant :

On rencontre 2 pics annuels dans le marché de la glace : de avril à début septembre auprintemps-été, et le mois décembre qui est dû à une consommation de grands volumes de bûches glacées.

Le marché des glaces est segmenté par mode de distribution et formats. La segmentation au niveau dumode distribution se fait de la façon suivante : on distingue les grandes et moyennes surfaces (GMS) et les ventes à emporter. La segmentation par formats se fait de la façon suivante : on distingueles pots, les cônes et les bâtonnets.

Les consommateurs

Au niveau de la cible de Häagen Dazs, une segmentation peut être définie :
-les aisés urbains agés de 15 à 35 ans et ayant un fortpourvoir d’achat
-les branchés urbains sensibles à la nouveauté
-les hédonistes qui recherchent le plaisir avant tout
-les aventuriers qui sont attirés par la découverte
-les familles recherchant…

Jamel

Désormais, vous ne verrez plus Jamel DEBOUZZE avec les mêmes
yeux; ce n’était certes pas mon idole car il ne me faisait même pas rire mais
je pensais qu’il était très courageux de vivre ainsiavec son handicap.

Confirmé dans une émission qui lui a été consacrée dans « envoyé
spécial » le 16 décembre 2004 … mail qui vient de l’île de La Réunion.

Je pense que la plupart d’entre vousconnaissent le comédien « Jamel
Debbouze », et parmi vous combien se sont déjà demandés ce qui est arrivé
à son bras ?

Certains d’entre vous me diront « c’est génétique, ou alors il a eu çaquand il était enfant… ». Et
bien ici à l’île de La Réunion, petite île de l’océan indien nous avons la réponse !!

Laissez-moi vous raconter l’histoire et si vous le voulez vous pourrez allervérifier mes dires sur
le Net.

Ici, il y a un chanteur de saga très connu qui porte le nom de « Michel ADMETTE ». Ce dernier
a eu un fils et une fille. Son fils était parti en France (régionparisienne) pour finir ses études. Un jour
de janvier 1990 Jean Paul Admette (le fils de Michel) était sur le quai et attendait paisiblement son
métro lorsque soudain un groupe de jeunes se dirigevers lui et commence à l’agresser pour lui dérober
son blouson.

Seulement Jean-Paul ne se laisse pas faire. Mais d’un coup il se trouve en contre bas sur les
rails. Il est trop tard pour lui! letemps de se lever, il prend le métro de pleine face.

Le jeune qui l’a poussé en contrebas s’est fait happer par le train et y a laissé son bras. Oui, voilà
comment Jamel a perdu son bras, enagressant un jeune qui n’avait rien demandé à personne et qui y a
laissé sa vie en voulant garder son bien.

Sachez que Jamel jusqu’à aujourd’hui, n’a jamais demandé pardon ou formulé des excusesaux
parents de Jean-Paul. Voyez le tableau, le comédien qui vous faisait tant rire n’est rien qu’un
délinquant qui ne regrette rien.

Si vous le désirez faites passer ce mail à ceux qui…