Hida

Arles.

Le 15 septembre 2010 nous sommes allés en Arles pour la rencontre des photos.
Nous sommes arrivés à 9h30.
Une intervenante répondant au nom de Flora nous a guidé dans trois expositions :- la première une exposition de l’artiste Marco Lopez. Cet argentin travaillait sur la société Argentine.

Dans l’ensemble les photographies sont assez vives et l’impression première est quel’exposition est chatoyante, mais en s’approchant des photographies on constate que les couleurs sont trompeuses…

Par exemple prenons la photographie de cette femme Amanda. La photographiecontient des couleurs vives, alors que la femme a une expression plutôt triste, elle transpire ce qui souligne sa tension psychologique.
Cette femme est l’allégorie de la statut de la liberté. Elle possèdeune couronne faite de couvert, nous pouvons faire le lien avec la femme au foyer.
Flora nous a dit que cette femme en fait n’avait pas été choisit au hasard mais que l’artiste l’avait choisit parcequ’elle était le sosie de la femme représentant le parti féministe en Argentine ce qui donne une toute autre résonance à la photographie.

L’autre photographie l’anniversaire de la directrice etune autre critique de la société Argentine.
Cette femme assise sur une chaise au premier plan, cette jeune fille qui lui met la main sur l’épaule, l’homme qui tient la croix du christ grandeur nature.La photographie est prise dans une église. Un homme en uniforme représente la loi et la droiture. L’esprit de cette photographie est dérangeante le décor est festif mais les personnages ont desvisages durs et des expressions tristes. Le décor et les personnages sont contradictoires.
On sent fortement l’influence des états unis et le modèle Argentin catholique.
La religion est ancrée dans lesmœurs.
On sent une certaine indifférence entre les protagonistes de la photographie.

Dans l’ensemble les photographies sont toutes réglées et toutes préparées au préalable rien est laissé au…