Laiterie de la rive-sud
La petite entreprise québécoise de produits laitiers, la «Laiterie de la Rive-Sud», décide de faire une étude de cas en mettant l’accent sur les activités de distributions des produitslaitiers dans différents magasins et restaurants situés dans un rayon d’environ 80 km de la laiterie. Cette entreprise a un style de gestion qui jusqu’à maintenant, a permis de conservé unerentabilité stable depuis sa conception du aussi au fait que les employés sont les mêmes depuis de nombreuses années. Par contre, aucun changements organisationnels ne s’est produits et aucuneexpansion en dehors du réseau de 80 km ne s’est développé. La laiterie est doté d’une unité de distribution qui est en charge de l’approvisionnement de produits laitiers, allant du lait à lacrème glacée, de différents points de vente. Elle est sous l’autorité d’un gestionnaire dont relèvent un superviseur, un expéditeurs ainsi que dix chauffeurs-livreurs.
Jerry Jones estle superviseur de la laiterie. Il est à ce poste depuis maintenant 7 ans mais il a les pieds dans l’entreprise depuis 20 ans. Ses principales activités sont de superviser la production, lemarketing et les finances, d’établir le parcours de distribution de ses chauffeurs et fait du contrôle interne. Jerry à son propre style de supervision assez autoritaire en particulier face àses chauffeurs-livreurs. Selon lui, il y a un réel problème de motivation chez ses chauffeurs ce qui affecte leurs rendements «Si les ventes d’un chauffeur ont diminué parce qu’il a donnéun piètre rendement, je vais lui dire directement où est le problème. Je pense que cette facon est beaucoup plus efficace pour les motiver la personne que de tourner autour du pot. Si cela nedonne aucun résultat, alors je vais lui tomber dessus encore plus fort que nécessaire. C’est une bonne technique de motivation parce qu’ils savent maintenant qu’ils sont surveillés de près.»