De harry truman à johnson le réflexe de peur face au communisme.
1945: l’Allemagne hitlérienne est défaite, une série d’évènements va précipiter la politique étrangère américaine dans un réflexe de peur: peur du communisme et de l’URSS et de la chine populaireplus tard. Cette politique étrangère av être dépourvu de toute créativité et va profiter a l’intérieur des états unis à un complexe qualifié de militaro- industriels dont les intérêts seront servis parla course aux armements. Sur le bord de la mer noire février 1945 Yalta: un Staline resplendissant de force vainqueur de l Allemagne hitlérienne accueille un président américain malade FranklinRoosevelt et un premier ministre britannique qui quelque fut son prestige n’était à l’échelle des super puissances « une garniture » et l’absent c’était le général De Gaulle, mentionné cette absence carcette dernière a crée chez, le Général De Gaulle, un sentiment de frustration qui expliquera largement la politique hostile qu’il mènera à l’égard des États unis. L’atmosphère à Yalta est une atmosphèred’exaltation : monde nouveau monde meilleur de dépassement des conflits. A Yalta américains et soviétiques attendaient quelque chose du camp d’en face, pour les américains il paraissait souhaitable quel’URSS fit tout ce qu’il était possible de faire pour faciliter la tâche américaine contre le Japon et les chinois. En aout Roosevelt espérait un soutien de l’URSS contre l’assaut final contre leJapon. Coté soviétique, en récompense de l’effort militaire couronnée de succès: bataille de Leningrad, de Stalingrad, Moscou attendait de Washington une certaine compréhension qu’en à une présence uneinfluence soviétique en Europe de l’est et centrale, la ou était placé beaucoup de contingents de l’armée rouge.
Esprit de donnant donnant, un esprit dont lequel tous les grands dossiers ont étéévoqué: dossier de la , de la question allemande, du statut de Berlin, de l’avènement de la future organisation des nations unis. Certains ont dit à Yalta que américains et soviétiques s’étaient…