Oscar et la dame en rose
Le mystère de la vie, aussi complexe soit-il, ne pourrait jamais être aussi mystérieux que celui de la mort. L’humain sait vivre, mais apprendre à mourir est un art sombre et difficile. Nous sommesdes êtres de l’immédiat et préférons regarder l’instant présent nous filer des doigts plutôt que d’imaginer cet instant s’éloigner pour ne jamais revenir. Il nous est très difficile de regarder la fin,peut importe laquelle, d’un œil véritablement positif. Il reste toujours en nous cette petite lueur, cette lueur de peur qui brille en nos entrailles. Celle qui s’est formé sous le plaisir d’êtrevivant, celle qui s’est formé en s’imaginant un instant que les Hommes, les paysages et les émotions connus de notre vivant ne seront plus envisageable quand nous nous éteindront. Accepter cetteévidence, l’évidence de la fin résulte d’une force intérieure puissante et travaillée. Cette acceptation est possible mais complexe à obtenir. L’être doit se munir d’une confiance très solide de l’inconnu, dela mort. Un exemple parfait de cette réussite est démontré dans le livre d’ ‘Oscar et la dame rose’ d’Éric-Emmanuel Schmitt. L’enfant cancéreux et son histoire nous image la puissance de la descentede l’humain vers sa mort à l’aide de l’intermède de 12 jours qui ont formés 110 ans de vie dans le petit cœur d’Oscar et d’un dieu qui sert aussi de correspondant.
Mamie rose son acolyte et amie (laseule adulte qui ne prend pas Oscar pour un enfant malade et seulement un enfant malade) lui propose un premier jeu; celui de Dieu. Elle lui demande d’écrire une fois par jour une lettre à Dieu enayant la possibilité de lui réclamer un souhait pour chaque lettre. C’est intéressant de regarder les étapes qu’Oscar à traversé avant de croire en ce Dieu. Au début, il n’y croyait pas, simplement. Parla suite, il a aimé et peut-être même chérit l’idée qu’un Dieu lui exauce des souhaits. Finalement, il a réalisé qu’il était préférable pour lui de croire en ce Dieu. C’est un peu comme accepter de…