Commentaire organise du texte « les noyers de l’altenburg » par andre malraux
COMMENTAIRE ORGANISE DU TEXTE « LES NOYERS DE L’ALTENBURG » PAR ANDRE MALRAUX
Il s’agit ici d’un roman méconnu d’André MALRAUX, nommé Les noyers de l’Altenburg. Ce roman nous apprend le parcourtde Vincent Berger, officier Allemand d’origine alsacienne, qui se retrouve en 1915 affecter au P.C du Général Von Spritz, sur le front de la Vistule. Il participera à la première attaque Allemandecontre les Russes avec des gaz asphyxiants, le jour même, au cours d’une mission de reconnaissance et où il s’aperçoit qu’il est lui aussi intoxiqué.
Dans l’extrait nous remarquons deux paragraphesformant deux parties bien distinctes. Dans le premier paragraphe le soldat comprend qu’il a lui aussi été asphyxié, puis dans le second il cherchera à échapper à sa mort qu’il approche pourtant à grandsouffle.
Dans ce premier paragraphe, le point faisant la force de ce texte est cet emploi des gaz de combat si destructeurs sur le front. Ce jeune homme affalé dans l’herbe nous montre qu’ils’intoxique par la force de sa respiration. Il participe pourtant à l’attaque contre les Russes avec de nombreux gaz asphyxiants. C’est à ce moment là, où le temps lui permet d’allumer une cigarette « infecte »puis « une autre » de « même goût » et une « troisième » qu’il comprendra qu’il est aussi asphyxié et qu’il était donc « intoxiqué ». Puis les mots suivants «C’était impossible, c’était trop tard »nous explique que ce soldat commencait tous simplement à agoniser par sa respiration. C’est à ce moment ci que Vincent Berger se rappela de la « voix du professeur bourdonnante » qu’il lui avaitexpliqué la veille, avec beaucoup de précision et d’entrain, la composition et l’efficacité de ce gaz asphyxiant mis au point par lui même. Puis une interrogation surgit de ce texte « Mais qu’est ce quel’homme venait donc foutre sur la terre ! O flamboyante absurdité ! » Nous remarquons par cette interrogation la vision pascalienne de Malraux, à ce demander pourquoi détruire cette univers par de…