Arendt et aron anayle du totalitarisme

AMPHI 1 PHILO PO: 26/01/11

Notion de justice. Quel est les // entre justice et égalité?

Intro: J. Rawls, 1971, théorie de la justice, « la justice est la première vertu des institutions sociales comme la vérité est la vertu des système des pensée. Si efficace et bien organisé qui soit des institutions et des lois, si elles sont injustes elle doivent être réformées et abolies
Si on estconfronté à des lois injustes, Rawls nous dit qu’il faut l’abolir. Lorsqu’on parle d’une justice, on parle de vertu. Si c’est une vertu et une propriété des institutions la justice est donc une valeur. La question qui se pose est qu’Est-ce qui est juste ou pas. Si une loi doit être réformée ou abolie il faut savoir ce que signifie juste.

Autre question qui se pose comment peut on organiser last autour de la justice?

Comment peut-on définir la justice existe-t-il une seule définition de la justice?
La déf dépend aussi du système de pensé à l’intérieur duquel on utilise des mots employés différents. Le mot justice ne peut ne pas signifier pas la même chose. Ce qui était juste il y a 1siècle n’est pas forcément juste aujourd’hui. Ex: la peine de mort.
Loi morale est valableuniversellement même dans des situations et des structures organisées de façons différentes.

Dans l’antiquité grecque et romaine, la justice était considéré comme une vertu pour Platon elle était la vertu par excellence car c’était la justice qui permettait d’organiser toutes les vertus. Elle était là pour les organiser au niveau individuelle car ceci créer un harmonie qui guidait les ind vers larationalité et politique car ça créer un harmonie à l’intérieur de la st. Cependant, la st de l’antiquité avait des classes sociales très différenciées qui ne permettait pas de passer de l’une à l’autre. Parmi ces classes, il y avait les travailleurs basiques ceux qui subviennent aux besoins des autres ensuite les gardiens ceux qui étaient là pour défendre la cité et les philo qui avaient lacapacité de gouverner les autres. Chaque ind appartenait à une classe et il y avait un cloisonnement. La justice est une harmonie qui permettait des injustices.

Position de Aristote: chez lui on commence à voir une distinction lorsqu’on pense à la justice qui est valable aujourd’hui’ . La justice reste un principe de la vie po d’une cité mais en même temps il explique qu’il y a 2 types de justice.C’est quelque chose de vrai encore today. Il y a les lois de la nature parmi celle-ci il y a la loi de gravitation.
2 types de justice :

• d’une part la justice commutative : justice au sens ordinaire du terme cad est la forme la plus intuitive c’est quand il s’agit de rectifier une injustice par un Homme te la possibilité est de réparer ces injustices
• D’autre part, la justice distributive: à chacun selon son dû.

Pour qu’une justice soit juste il faut ces 2 formes de justice.

On considère aujourd’hui’ que c’est la base cad faire cette distinction entre ces 2 justices.
Dans l’antiquité, même si l’on parle de justice, la notion la plus importante est la notion de bien. La justice passe au deuxième plan . La valeur de la justice est une valeur instrumentale cad un moyenpermettant d’arriver à attendre les biens. Les biens en tant que tel Est-ce vers quoi il faut aller. Chez Aristote la justice permet d’attendre le bonheur qui est les biens par excellence, il y a une hiérarchie entre la notion de bien qui est première elle a une valeur en soi = valeur intrinsèque alors que la justice a une valeur qui est lié à un instrument pour arriver au bien.

Dans la penséecontemporaine, on insiste à un renversement par // à la hiérarchie entre els bien et les justes dans le sens ce qui est bien importe mais moins que le juste. Today on est dans des st plus réaliste. Il ya des nuances du bien et du juste. Ce qui a changé il n’y a plus qu’une vision rigide du bien, on a la priorité du juste dans le sens où une st juste est une st qui permet le juste à des pouvoir qui…