Academie
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COMPTES RENDUS DE
T.
L’ACADÉMIE
DES
SCIENCES ;
CLIV,
nos
13,
14 et
15; mars-avril 1912.
–
H.
POINCARË. 2013 Sur la diffraction des ondes hertziennes.
P. 795.
Explication des divergences entre le mémoire de 1B1. March et celui de l’auteur. Comme le coefficientd’affaiblissement, même de jour, est cent fois plus faible que le coefficient théorique, il enrésulte que les théories ordinaires ne rendent pas compte des faits.
A. LEDUC. – Chaleurs spécifiques des vapeurs P. 812. de la saturation.
–
au
voisinage immédiat
Théorie
thermodynamique. Application
à la vapeur d’eau. Pour
cette vapeur :
.avec e = t
–
100.
Louis DUNOYER. – Observations nouvelles sur la fluorescence de la vapeur de sodium. – P. 815 (1).
A. COTTONet lI. MOUTON. – Biréfringence magnétique et constitution chimique ; anisotropie moléculaire et atomique. – P. 818 et 930.
un rôle important (biréfrindiminuer beaucoup dès qu’on gence positive). biréfringence peut altère ce noyau en y supprimant des doubles liaisons ; mais, si on remplace un ou plusieurs atomes d’hydrogène par des atomes ou groupements monovalents, la biréfringence augmente oudiminue, tout en restant du même ordre de grandeur.
On sait que le noyau
benzénique joue
La
(1)
Voir Société de
Physique,
résumé des
communications,
15
mars
1912.
Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:019120020039300
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d’hydrogène ou un radical monovalent) augbiréfringence; 1, l’H2, Br, Cl ladiminuent. Si on introduit plusieurs de ces groupements à la fois, leur influence dépend et de leur nombre et de leurs positions. Exemples : Pour interpréter cette action, on peut admettre que ces atomes ou groupements possèdent une anisotropie rnagnétique ou optique ; et en effet, dans les carbures saturés à chaîne linéaire qui sont inactifs ainsi qu’un grand nombre de leurs dérivés, les groupements qui,dans les corps aromatiques, se sont montrés les plus actifs donnent
(R
étant
un
atome
mentent la
naissance à des dérivés actifs. De même N02 donne à N03H
une
biréfringence positive.
G. BIGOURDAN. – Sur
quelques observations pendant l’éclipse de Soleil du f 1
de position avril 1912.
qui pourront être faites
–
l’. 845.
mètre de la
Marche à suivre pour lesexpériences de détermination du diaLune, de la position réelle de la ligne de centralité, etc.
navire
BERTIN. – Au sujet de l’augmentation de déplacement nécessaire sur pour accroître d’une tonne le poids du chargen1ent. – P. 851.
un
Théorie
mathématique.
isodynamiques. P. 864.
A. FRIEDINIANN. – Sur la recherche des surfaces
Théorie
mathématique.
–
J. PIONCHO.,N. – Sur ladissolution du cuivre dans l’eau.
P. 865.
Si l’on forme la pile cuivre-eau-cuivre, et si l’on soumet une des lames de cuivre à une percussion, on observe une déviation du galvanomètre indiquant que la lame percutée devient momentanément négative. L’expérience répétée donne des résultats de moins en moins sensibles et finalement nuls. Les mêmes phénomènes recommencent avec de l’autre eau, ou avecla même eau traitée par la limaille de fer. Le cuivre doit donc se dissoudre dans l’eau à l’état de traces insensibles à l’analyse chimique, dissolution accompagnée du pliénomène électrique admis par la théorie de Nernst.
395
P. VAILLANT. 2013 Sur l’influence de la température et de la lumière P. 867 (1). sur la conductibilité d’un corps phosphorescent (CaS).
–
La conductibilitéaugmente sous l’action de la lumière jusqu’à un maximum, puis diminue; dans l’obscurité, elle diminue d’une façon continue. Cette variation de résistance n’est pas du reste un phénomène qui serait dîi uniquement à une variation de température.
R. FORTRAT. – Structure des bandes
telluriques dues
à
l’oxy.gène. –
P. 869.
Historique. On peut réunir toutes les raies d’une bande dans…