La société, constituée de différents groupes sociaux -ou ensemble d’individus qui partagent certaines caractéristiques sociales. Un individu déviant est un individu qui s’écarte et ne respecte pas les normes et valeurs admises par la société. On peut alors définir la délinquance comme de la déviance car elle représente aussi une transgression des normes, en plus de cela la délinquence entraineune sanction juridique et pas seulement un réprobation sociale. Comment expliquer que la fréquence et les formes de la délinquance diffèrent d’u groupe social à l’autre ?
Dans une première partie nous verrons comment la délinquance est la conséquence de la culture de classe.
Dans une seconde partie nous nous pencherons sur la façon dont la stigmatisation sociale a une influence sur ladélinquance.

Dans notre société, la délinquance touche toutes les classes de la société, même si elle est de forme et de fréquence différente .La délinquance est majoritairement présente dans les milieux défavorisés .
C’est à l’époque de la création des sociétes industrialisés qu’apparait la lutte des classes. Cette lutte des classes crée un nouveau systéme social , celle lutte de classes est enpartie provoquée par des problèmes d’inégalités sociales grandissantes.
La délinquance endémique, propre au milieu populaire, est la conséquence d’un certain style de vie (condition de vie et de loisirs). Dans ces milieux défavorisés, la délinquance est la plus souvent masculine et touche, contrairement aux milieux aisés plus de personne. L’âge cependant reste indéterminé, même si l’on saitque le comportement déviant commence plus tôt que celui des classes aisées. La délinquences des quartiers populaires comporte beaucoup de recidiviste surtout dans le domaine du vol et est effectué le plus souvent en groupes organisés. On observe aussi une hausse des vols dans le domaine de la délinquence économique. En effet, d’après une étude de Laurent Mucchielli, le taux de vols pour 10 000habitants est passé de 80 en 1952 à plus de 500 en 2000. C’est chez les prolétaires
. Ils vont alors apprendre et assimiler des valeurs, normes et mode de vie propres au milieu social dans lequel ils vivent. Nous voyons donc que la délinquance endémique est un phénomène causé par la transmission de la culture des classes défavorisées, qui contribue à la reproduction sociale et fortifie laprolifération des criminels et par conséquent de la délinquance.
Par exemple, on peut observer dans le document 1 que les individus travaillant comme ouvriers en 1999 représentent 49.6% des individus incarcérés alors que les ouvriers ne représentent que 36.4% des hommes dans la société. De plus, les personnes n’ayant pas de profession sont elles aussi beaucoup touchées car elles représentent 13.7% desindividus emprisonnés alors que les sans-professions ne représentent que 9% de la population masculine totale. On remarque également que les personnes dont le père est ouvrier ou sans profession représentent une grande partie des prisonniers (47.5% pour les fils d’ouvriers, qui ne représentent qu’une très faible partie dans la population masculine totale). On peut aussi noter que les hommes ayantarrêté leur cursus scolaire précocement sont plus sujet à la délinquance. En effet, en 1999, les adolescents ayant arrêté leur étude entre 16 et 17 ans représente 24.6% de la population masculine. Parmi ces 24.6%, 44.3% sont derrière les barreaux.
En plus de facteurs comme l’éducation et l’appartenance à une catégorie socioprofessionnelle, on peut aussi remarquer que la fratrie a aussi un rôle àjouer pour l’avenir des individus. En effet, il semblerait que plus la fratrie d’une famille est grande, plus les membres de cette fratrie sont exposés à la délinquance : En 1999, parmi 29.1% des hommes appartenant à une fratrie composée de 5 enfants et plus, plus de la moitié (52.5%) de ceux-ci sont captifs. S’ajoutant au facteur familial, on peut aussi s’intéresser aux pays d’origine des…